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Ouverture officielle de la 14e édition du Fifo demain matin : 70 festivaliers attendus au village de l'Océanie

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Ouverture officielle de la 14e édition du Fifo demain matin : 70 festivaliers attendus au village de l'Océanie
Papeete, le 6 février 2017 - L'ouverture officielle du Festival international du film documentaire océanien (Fifo) aura lieu demain matin, à la Maison de la culture. Jusqu'au 12 février, écoutez la parole portée par les peuples de notre région et échangez avec des professionnels de l'audiovisuel. Les prix attribués par le jury, présidé cette année par Stéphane Martin, seront dévoilés vendredi soir.


Après une très belle nuit des courts métrages offerte samedi et une soirée "Carte blanche" donnée lundi à Stéphane Martin, place au lancement officiel du Fifo 2017. La traditionnelle cérémonie d’ouverture de cette 14e édition se déroulera demain matin, à 8 heures, dans les jardins de la Maison de la culture, en présence des autorités de l’État et du Pays, ainsi que de tous les festivaliers.
Après un chant d’accueil mené par la chorale de l’établissement, Michel Buillard, maire de Papeete, Stéphane Martin, président du Jury, Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, Marc Tschiggfrey, secrétaire général du haut-commissariat et Édouard Fritch, président du Pays, souhaiteront la bienvenue aux professionnels participants à ce grand événement culturel et au public. Bon Fifo à tous !

Ouverture officielle de la 14e édition du Fifo demain matin : 70 festivaliers attendus au village de l'Océanie
Miriama Bono, présidente de l'Afifo
"Une belle sélection, cohérente et très représentative"


"Nous avons une belle sélection cette année, cohérente et très représentative de l'Océanie et de la Polynésie. Elle est très diversifiée de par sa provenance, avec la participation de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, par exemple. En outre, les thématiques proposées sont variées, avec moins de sujets sur l'environnement mais beaucoup de films sur la culture, auxquels je suis particulièrement sensible, et notamment ceux autour des mouvements visuels avec des documentaires comme "Mele Murals" sur l'art du graff', ou encore "100 Tikis" ; sans oublier la musique, avec par exemple "How Bizarre", porté par un chanteur néo-zélandais. Cela promet de nombreux moments forts. La Nuit Al Dorsey sera par ailleurs un rendez-vous important, puisque les deux premiers épisodes de la saga tournée à Tahiti et Moorea seront projetés samedi prochain ; c'est la belle histoire d'un roman qui devient une fiction, dont le casting s'est tenu au Fifo. Il y aura également plein de rencontres, puisqu'environ 70 personnes (réalisateurs, équipes de production, porteurs de projets…) se sont déplacées, ce qui prouve que le Fifo a toute sa place dans le marché audiovisuel de l'Océanie. C'est vraiment une belle réussite. Vendredi, ce sera la cérémonie de remise des prix ; en plus des habituels grand prix, trois prix spéciaux, prix du public, prix du scénario, prix du court métrage, nous ajoutons un nouveau prix, celui de la fondation Okeanos, qui a financé la construction des pirogues doubles traditionnelles du Pacifique, et notamment celle de Fa'afaite, et veille à la protection des océans."

Ouverture officielle de la 14e édition du Fifo demain matin : 70 festivaliers attendus au village de l'Océanie
Heremoana Maamaatuaiahutapu, ministre de la Culture
"Nous devons retisser des liens en Océanie"


"L'objectif du Fifo est avant tout de parler de l'Océanie face aux enjeux de la mondialisation. Bizarrement, nos ancêtres communiquaient davantage à l'époque des pirogues à voile qu'aujourd'hui, malgré le développement de nos moyens de communication. Tout le monde sait ce qu'il se passe à Washington et dans les grandes villes internationales, mais personne n'entend parler des Fidji, Samoa, Tonga, etc. Nous devons retisser des liens en Océanie. Le Fifo permet de porter notre parole devant le monde entier, et cette transmission est possible grâce aux films réalisés pour ce festival, au Colloque des télévisions et aux diverses conférences et rencontres. Ce n'est pas parce que nous sommes petits que nous devons nous taire ! Nous sommes heureux d'accueillir les festivaliers, vous êtes ici chez vous."

Ouverture officielle de la 14e édition du Fifo demain matin : 70 festivaliers attendus au village de l'Océanie
Le programme de mardi

● Projections des films en compétition et hors compétition
Au Petit théâtre, à la salle Muriāvai et au Grand théâtre de 9 à 21 heures. Renseignements au 40 54 45 44. En raison de la présence du jury au Petit théâtre le matin, toute personne arrivant en retard à la projection sera orientée vers la salle Muriāvai.

● Ateliers gratuits tout public
Atelier prise de vue et montage sur tablette et smartphone : de 13 à 17 heures - Salle Marama - Formateur : Nyko PK16, réalisateur.
Atelier Vlogging : de 8 heures à midi – Cyberespace - Formateur : Tevai Maiau, réalisateur.
Atelier Sound Design : de 13 à 17 heures - Cyberespace - Formateur : Heimana Flohr, ingénieur du son.
Atelier d’écriture de scénario : de 8 heures à midi – Loge 1 - Formatrice : Pascale Berlin, scénariste et productrice.
Atelier make up FX : de 13 à 17 heures – Loge 1 – Formateur : Christopher Prenat, maquilleur professionnel.

Ces ateliers sont ouverts au public à partir de 15 ans. Attention, les places sont limitées.
Pour chaque atelier, une pièce d’identité est obligatoire.
Inscriptions au +(689) 87 70 70 16 ou à assistantdg.fifo@gmail.com

● Ateliers gratuits pour les professionnels
Atelier interactive storytelling : de 8 heures à midi – Salle Marama
Atelier master class ATPA (préparation au pitch) : de 8 heures à midi – Loge 2

Inscriptions au 87 70 70 16 ou à assistantdg.fifo@gmail.com

● Pré-casting "Coup de foudre à Bora Bora"
De 10 à 18 heures - Village du Fifo
Organisé par les Films du Pacifique, un casting technique et artistique pour la fiction télévisée "Coup de foudre à Bora Bora" (Big Band Story et Merapi Productions) aura lieu durant tout le festival.
Envie de tenter votre chance à l’écran ? Inscrivez-vous à ce casting sur :
http://www.spapf.com/category/tahiti-casting/

● Les écrans océaniens
Une nouvelle fois, le Fifo ouvre un espace de diffusion aux productions polynésiennes et d'ailleurs avec les écrans océaniens. Ces documentaires océaniens sont présentés dans la salle de projection, avec au programme le mardi 7 février :
"The Roots of ‘Ulu" – 18 heures
"Mobilité Québec, les défis de Leila" – 18h45
"ADORN : The Herstory of Pacific Island Hair" – 19h45
"Wosera Justice" – 20h25

● Inside the doc
C'est un format de rencontres avec le réalisateur, le producteur ou un protagoniste des documentaires présentés. Cet échange, mené par un professionnel, sera le moyen pour le public de découvrir les coulisses d'un documentaire et d'en approfondir la thématique.
- Denis Pinson, réalisateur du documentaire "Le va’a dans les veines" - De 11 heures à 11h30
- Patrick Durand-Gaillard, coproducteur du film "Yam, quand l’igname raconte les hommes" - De 11h30 à midi
- Alec Doomadgee, coproducteur du film "Zach’s Ceremony" - De midi à 12h30

● Le 11e Colloque des télévisions océaniennes
Seul rendez-vous des professionnels d'Océanie à regrouper autant de partenaires, il permet un échange fructueux d'expériences et de liaisons entre spécialistes de l'audiovisuel et de la région. Une constante très importante pour cette réunion annuelle, unique en son genre en Océanie. Les participants travailleront aujourd'hui, de 14 heures à 16h30, sous le chapiteau sur le thème du numérique dans les programmes documentaires.

● Les rencontres
Pour de nombreux professionnels du milieu, le Fifo est l'endroit propice pour se réunir afin de faire l'état des lieux de la filière, ainsi que de discuter du secteur audiovisuel en Polynésie française. Pour se faire, des rencontres entre professionnels ont été programmées sur différentes thématiques. La première concerne les États généraux de l’audiovisuel. Sous le chapiteau de 16h30 à 17h30.

● Les conférences
Le public pourra assister à des conférences tout au long du FIFO. C'est sur le thème de la propriété intellectuelle et des droits d'auteur que sera ouvert ce premier débat. Sur le Paepae a Hiro, de 9h30 à 11 heures - Entrée libre

● Assemblée générale PADISA
La Pacific Alliance for Documentary and Interactive Storytelling Agreement est l'union de plusieurs festivals tels que le Doc Edge (Nouvelle-Zélande), le Festival Ânûû-rû Âboro (Nouvelle-Calédonie), le Hawaiian International Film Festival (Hawaii) et bien sûr le Fifo (Tahiti). La première assemblée générale du PADISA se tiendra aujourd'hui et facilitera le partage de données, de réseaux, de réalisations, de moyens et d’encourager les co-productions audiovisuelles entre les pays d’origine des festivals membres.

● Doc Zone pour les pros
Grâce au soutien technique du Service du patrimoine archivistique et audiovisuel, tout a été mis en œuvre pour proposer aux professionnels un espace de visionnage des films sélectionnés au Fifo depuis sa création et leur permettre de se mettre en relation avec les réalisateurs, producteurs, etc., à partir de ces œuvres.
De 8 à 17 heures - Réservé aux professionnels - Pour plus d’informations : assistantdg.fifo@gmail.com




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A 19 ans, le petit voleur de scooter n'a déjà plus peur de la prison

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A 19 ans, le petit voleur de scooter n'a déjà plus peur de la prison
PAPEETE, le 6 février 2017 - Un jeune homme a écopé de 6 mois prison ferme avec mandat de dépôt, ce lundi en comparution immédiate, pour le vol d'un deux-roues commis en novembre dernier à Faa'a. Tombé dans la délinquance à l'âge de 15 ans, il a accueilli sans sourciller sa dixième condamnation.


Vingt-deux mois de prison ferme. C'est, en cumulé, la somme des peines prononcées depuis 2012 pour vols, vols aggravés, recel, contre un jeune homme aujourd'hui âgé de 19 ans, et une nouvelle fois condamné, ce lundi, par le tribunal correctionnel en comparution immédiate. Cette fois, c'est d'un vol de scooter dont il s'agit. Le petit voleur s'était fait surprendre en flagrant délit par le propriétaire de l'objet de sa convoitise qui l'avait vu filer sur son deux-roues, stationné en bas de chez lui. Après quelques recherches dans le quartier, la victime avait retrouvé sa trace et s'était fait restituer l'engin, fortement dégradé. Il s'était décidé à porter plainte quand le jeune homme n'a pas respecté sa promesse de lui rembourser les dégâts.

"A Tahiti il y a plein de voleurs, Je ne suis pas le seul voleur"

Interpellé après une nouvelle plainte pour vol de scooter il y a une quinzaine de jours et toujours à Faa'a, c'est en habitué du palais de justice que celui qui passe ses journées à jouer au chat et à la souris avec les forces de l'ordre s'est présenté devant les juges. Relaxé au bénéfice du doute pour ce second vol, "à Tahiti il y a plein de voleurs, je ne suis pas le seul voleur" a t-il fait valoir, le prévenu a néanmoins écopé de 6 mois de prison ferme avec mandat de dépôt pour le premier, reconnu celui-là. "Je n'ai pas de travail, pas d'argent", a sommairement déclaré le jeune homme pour expliquer ses larcins. Il était sorti de prison un mois à peine avant de retourner aux affaires, condamné à 1 an de prison ferme pour un vol avec violence.

"Des comme lui, j'en vois de plus en souvent, il y en a beaucoup" s'est désespéré son avocate à l'issue de l'audience. "Il a perdu son père à l'âge de 12 ans et vit depuis chez ses grands-parents. Il n'a pas eu de repères, il a grandi tout seul, dans la rue, au milieu de mauvaises fréquentations, fume du paka et éventuellement de l'ice". C'est un problème avec un dealer de méthamphétamine du quartier qui l'aurait d'ailleurs conduit à dérober le premier deux-roues.

Déscolarisé depuis la seconde, il n'a jamais travaillé, entretient une relation avec sa copine de 15 ans avec laquelle il attend un enfant. Connu comme le loup blanc par le juge des enfants depuis son adolescence, le voleur devenu jeune majeur n'a pourtant pas l'air décidé à changer ses habitudes.

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Stand Up Paddle « Championnat de Tahiti » : Poenaiki Raioha maître incontesté

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La toute première journée de surf s’est déroulée ce week end à la baie de Papenoo. Sans surprise, Poenaiki Raioha a dégommé la concurrence. Le jeune surfeur, champion du monde ISA 2015, originaire de Papenoo, n’a rencontré aucune difficulté du début à la finale.
Stand Up Paddle « Championnat de Tahiti » : Poenaiki Raioha maître incontesté
Au troisième tour, le surfeur a réalisé son meilleur score (16,40 points) face à Audibert Tama et Jean Pierre Wong. En finale, il s’est retrouvé face à Heimanu Mataoa qui, lui, termine deuxième, à Natua Teriitahi qui lui se place troisième et à Teiki Conti. Il s’est octroyé le score de 15,17 points à coup de rollers et de cut-backs dévastateurs. Il a même eu le temps de tenter quelques air reverses.

Chez les longboardeurs Kahuna (âgés entre 45 et 50 ans), Jean Pierre Wong s’est adjugé la première place avec la note de 9,37. Il est suivi de l’infatigable Teiki Conti de Marc Hoffmann et de Viri Teiva.

Retrouvez tous les résultats sportifs sur www.sportstahiti.com.


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Va’a : Entretien avec Kévin Ceran-Jérusalemy avant le début de saison

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Kevin Céran-Jérusalémy débute son année. Le vainquer de l’édition 2016 du Te Aito a mis la barre encore plus haute cette année avec l’arrivée des championnats du monde de marathon. Il nous parle des compétitions pour lesquelles il se prépare, de ses attentes pour cette nouvelle saison.
Va’a : Entretien avec Kévin Ceran-Jérusalemy avant le début de saison
Quels sont tes objectifs individuel et en équipe ?

« Ce serait les grandes courses comme le Heiva, le Te Aito, le Super Aito et les championnats du monde qui auront lieu à Aorai. En V6, je vais essayer de faire mieux que l’année dernière, de gagner un peu plus de courses. «

Quelle sera ta préparation cette année ?
« Ma préparation se fait en équipe la plupart du temps. après je vais ramer en V1 pour reprendre mes repères, retrouver un peu la technique sur le Va’a. Mais le plus gros du travail se fait en équipe. »

Qui crains-tu cette année ?
« En V1 c’est toujours les mêmes qui sont dangereux. Steeve, Rete, Kyle, Hititua, Damas. Je ne sous-estime personne après tout dépendra de ton feeling avant la course. Je ne crains personnes en particulier… En V6 c’est toujours pareil aussi. Il y a juste une équipe qui peut surprendre. C’est la CPS, deux de nos gars sont partis là bas cette année. Les équipes des îles aussi, mais ce sont bien sûre les équipes confirmées comme EDT et OPT qui sont à surveiller. »

Que penses-tu de la nouvelle génération de rameur ?
« Les jeunes rameurs s’intéressent de plus en plus au Va’a. L’année dernière, les cadets et les juniors comme Revy Thon Sing et surtout Tutearii Hoatua ont surpris tout le monde. Cela promet pour l’avenir. Même pour nous les seniors, ça va être difficile de garder la tête si en face, on a des jeunes qui ont faim comme ça. »

Des remerciements ?
« Je tiens à remercier ma famille, ma copine, ma petite, et les sponsors : fai va’a, oversteams, aito sports manuia tahiti, huahine rame et spy. Merci d’être encore derrière moi cette année. »

Retrouvez tous les portraits des sportifs du Fenua sur Sportstahiti.com.

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Le maire d'Ankara voit une main étrangère derrière des séismes

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Le maire d'Ankara voit une main étrangère derrière des séismes
Le maire d'Ankara a dit mardi redouter que des puissances hostiles à la Turquie déclenchent artificiellement des séismes pour nuire à l'économie du pays, où plusieurs tremblements de terre se sont produits ces derniers jours.
"Il y a eu un fort séisme dans les Dardanelles (nord-ouest) aujourd'hui (..) J'ai fait des recherches (..) Il apparaît qu'il y a un navire de recherche sismique dans les parages", a déclaré sur Twitter Melih Gökçek, réputé en Turquie pour ses théories alambiquées.
"Il faut de toute urgence déterminer l'objet des recherches de ce navire et à quel pays il appartient", a poursuivi le maire de la capitale turque. "Peu importe ce que diront certains, je crains sérieusement qu'un séisme soit déclenché de manière artificielle".
Maire de la capitale turque depuis 1994, Melih Gökçek gratifie régulièrement ses 3,7 millions d'abonnés Twitter de déclarations à l'emporte-pièce.
Ses dernières déclarations ont été accueillies avec consternation par de nombreux internautes turcs, alors que d'autres s'en alarmaient. "Il faut protéger notre pays", pressait une internaute, tandis qu'un autre déplorait "des bêtises hallucinantes".
Deux séismes de magnitude 5,3 et 5,2 ont frappé lundi et mardi la région de Canakkale, située dans nord-ouest de la Turquie au niveau du détroit des Dardanelles, selon l'Agence turque de gestion des situations d'urgence (Afad).
"Certains, en ce moment, veulent porter un coup à la Turquie, faire flancher l'économie de la Turquie en provoquant un séisme dans les environs d'Istanbul", a précisé M. Gökçek sur Twitter.
La Turquie est située sur d'importantes failles sismiques et est régulièrement secouée par des tremblements de terre. En 1999 notamment, deux violents séismes ont dévasté des zones très peuplées du nord-ouest du pays, notamment Istanbul, faisant 20.000 morts.
Par précaution, M. Gökçek appelle à "placer sous surveillance tous les sous-marins et les navires équipés de grands appareils dans les environs d'Istanbul, Marmara et les Dardanelles".

avec AFP

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N-Calédonie: mesures pour sécuriser une route théâtre de violences récurrentes près de Nouméa

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N-Calédonie: mesures pour sécuriser une route théâtre de violences récurrentes près de Nouméa
Les autorités de Nouvelle-Calédonie ont annoncé des mesures mardi pour tenter de sécuriser la route qui longe le territoire de la tribu de Saint-Louis, en proie à des exactions récurrentes depuis la mort d'un jeune tué par un gendarme fin octobre.  
Les violences dans cette communauté kanak de 1.400 habitants située sur la commune de Mont-Doré, en banlieue de Nouméa, ont débuté après que William Decoiré, un évadé de prison de 23 ans, a été tué par un gendarme le 29 octobre alors qu'il fonçait sur un autre gendarme au volant d'une camionnette. 
Depuis, des jeunes cherchent vengeance et multiplient les actions violentes sur cette portion de route, surnommée "le couloir de la mort" par les habitants de Mont-Doré.  
Fin janvier, trois gendarmes ont été blessés, un automobiliste a été touché à la tête par un jet de pierre tandis qu'un autre, visé par plusieurs tirs, a échappé de peu à la mort, une balle lui ayant frôlé le visage. 
Après une semaine d'interdiction, le haut-commissaire, Thierry Lataste, a décidé  de "permettre à nouveau" à partir de lundi soir la circulation sur cet axe durant la nuit. 
Un important dispositif de gendarmerie avec des véhicules blindés reste néanmoins mobilisé "pour intervenir à tout moment si nécessaire", indique-t-il dans un communiqué. 
Des mesures "particulières" en vue de la rentrée scolaire le 13 février et de l'ouverture à cette occasion du nouveau lycée du Mont-Doré ont fait l'objet mardi d'une réunion de travail entre l'Etat et les collectivités. 
Parallèlement, la province Sud a entamé mardi des opérations de "débroussaillage" et "d'élagage" de part et d'autre de la route de Saint-Louis et lancé un appel à marché de 100 millions CFP (830.000 euros) pour améliorer l'éclairage, afin d'empêcher les fauteurs de trouble de se camoufler. 
La collectivité a en outre mis en place "une cellule d'assistance psychologique" pour les victimes et "une logistique de transport par hélicoptère" pour les urgences médicales en cas de nouveau blocage. 
"Nous sommes face à des individus dont le but est de tuer un gendarme, qui utilisent des armes de guerre pour arriver à leur terrible dessein", a déclaré vendredi le haut-commissaire. Dans le cadre des enquêtes en cours 11 individus ont été incarcérés, 10 sont sous contrôle judiciaire et 12 autres en attente de mise en examen, a-t-il précisé.

avec AFP

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Nouvelle-Zélande: le responsable de la sécurité des Blacks inculpé pour espionnage

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Nouvelle-Zélande: le responsable de la sécurité des Blacks inculpé pour espionnage
L'équipe de Nouvelle-Zélande a fait part de son désarroi mardi après que le responsable de sa sécurité ait été inculpé pour avoir installé un dispositif d'espionnage dans l'hôtel des All Blacks à Sydney l'année dernière juste avant un match contre l'Australie.
"Honnêtement, les charges semblent étranges et difficiles à croire", a réagi l'entraîneur All Black Steve Hansen.
"L'homme inculpé a travaillé pour les All Blacks et bien d'autres organisations depuis des années et c'est quelqu'un qui est respecté et en qui on fait confiance", a-t-il ajouté.
L'homme de 51 ans, dont le nom n'a pas été révélé, devra se présenter au tribunal le 21 mars prochain.
La police de Nouvelle Galles du Sud (région de Sydney) s'est contentée de publier un communiqué dans lequel elle affirme qu'un homme a été inculpé pour avoir installé un dispositif d'espionnage dans une chaise de la salle de conférence de l'hôtel où résidaient les Blacks en août dernier.
La découverte du dispositif était intervenue cinq jours avant un match contre l'Australie, largement remporté par les Blacks (42-8).
A l'époque, le micro avait été découvert au cours d'une vérification de routine de la part du staff néo-zélandais, qui effectue toujours ce genre de procédure en déplacement. 
 
avec AFP

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L'Australie fait un don de 750 000 Fcfp pour les sinistrés

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L'Australie fait un don de 750 000 Fcfp pour les sinistrés
PAPEETE, le 7 février 2017. Le gouvernement australien a fait un don de 750 000 Fcfp, à la Croix Rouge, pour les sinistrés des fortes pluies des 21 et 22 janvier.


Le président du Pays Edouard Fritch, accompagné du vicep-président, Teva Rohfritsch, s’est entretenu, lundi après-midi, avec le consul général d’Australie, Paul Wilson. Basé à Nouméa, il est actuellement en visite en Polynésie française. Avec à ses côtés le consul honoraire d’Australie en Polynésie française, Marc Siu, le consul général a exprimé la solidarité de son pays à la Polynésie suite aux intempéries des 21 et 22 janvier. Le gouvernement australien a fait un don de 750 000 Fcfp, à la Croix Rouge, pour les sinistrés.

Plusieurs autres sujets ont été évoqués, notamment l’idée de la reprise d’une liaison aérienne directe entre la Polynésie française et l’Australie. Edouard Fritch a par ailleurs réitéré ses remerciements pour le soutien apporté par l’Australie, en septembre dernier, à la candidature de la Polynésie française au statut de membre à part entière du Forum des îles du Pacifique.

Ce nouveau statut permet l’intégration de la Polynésie française dans la liste des pays éligibles pour les étudiants boursiers australiens, de façon à ce que ceux-ci puissent venir compléter leur cursus universitaire au fenua. Le Consul général d’Australie sera en visite officielle en Polynésie française jusqu’au 11 février.

Après cette rencontre, Edouard Fritch s'est envolé lundi soir pour Paris afin de finaliser la rédaction du projet de convention cadre de l’accord de Papeete.

Annoncé à la signature avant décembre 2016, mais victime d’un sérieux retard, l’accord de Papeete devra être signé avant la fin de la mandature de François Hollande au risque d’être sérieusement compromis. Et c’est notamment pour préciser la rédaction de ce projet de convention cadre Etat-Pays que le président Edouard Fritch se rend à Paris cette semaine, jusqu'à samedi. Il doit participer à une réunion au ministère des Outre-mer, en présence d’Ericka Bareigts et du conseiller Outre-mer de François Hollande, Marc Vizy. Edouard Fritch rencontrera également à Paris Jean-Jacques Urvoas, le garde des Sceaux, ainsi que la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem.


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Le premier étage du lycée Paul-Gauguin en rénovation

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Le premier étage du lycée Paul-Gauguin en rénovation
PAPEETE, le 7 février 2017. La ministre de l’Education Nicole Sanquer-Fareata s’est rendue, vendredi dernier, au lycée Paul -Gauguin, afin de visiter le chantier de réhabilitation du premier étage du bâtiment principal. La ministre a pu ainsi apprécier le bon déroulement de l’opération, dont le financement, de plus de 140 millions Fcfp, est assuré en partenariat avec l’Etat, dans le cadre de la dotation globale d’investissements. Au terme de cette opération, l’établissement disposera, notamment, d’un centre de documentation et d’information moderne, mais également de salles de cours et de sanitaires rénovés.

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Les artistes ultramarins mobilisés pour le concert de solidarité

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Les artistes ultramarins mobilisés pour le concert de solidarité
PARIS, le 7 février 2017. La délégation de la Polynésie française à Paris a finalisé la programmation du concert de solidarité au bénéfice des sinistrés des fortes pluies des 21 et 22 janvier.

Artistes et étudiants de Paris se sont retrouvés ce mardi à la délégation de la Polynésie française à Paris. Ils ont finalisé le programme du concert de solidarité au bénéfice des sinistrés des fortes pluies des 21 et 22 janvier. Le concert est prévu le mardi 14 février à partir de 19h30 à la mairie du Ve arrondissement de la capitale. Des artistes de plusieurs régions ultramarines se sont mobilisées pour l'occasion.
C'est Théo Sulplice et son Ballet Show Tahiti Nui qui ouvrira la soirée, suivis de Thierry Cham (Guadeloupe), l'association Hiva Nui, le duo Kaori, Taina Quitterie, humoriste, l'association Hei Show Tamure et Sloane (Chantal de Peter et Sloane), la troupe de Karine Zemour, Ken Carlter, Claudia Taïna et la troupe Ata Nui, Teveu Tetauupu, Sly Karembeu (Nouvelle-Calédonie), Sylviane Cedia (Guyane), Melina Wamyndan et les musiciens du ballet Show Tahiti Nui, Melina, Mara Kelly association le Bourget et un groupe de bringue de l’association des étudiants polynésiens de Paris.

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Taha'a: Il avait mis le feu au véhicule des gendarmes qui avaient arraché son paka

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Taha'a: Il avait mis le feu au véhicule des gendarmes qui avaient arraché son paka
PAPEETE, le 7 fevrier 2017 - Le tribunal correctionnel de Papeete a condamné ce mardi matin un père de famille de 36 ans à 5 ans de prison dont 3 ans avec sursis pour avoir incendié un véhicule Ford Everest de la gendarmerie, en juillet 2016 à Taha'a.

Ivre après avoir passé la soirée à la fête foraine, l'homme s'était introduit de nuit dans l'enceinte de la brigade locale pour se venger des militaires qui avaient découvert et arraché sa production de pakalolo quelques semaines plus tôt. Détenu dans le cadre de cette affaire depuis son interpellation le 2 août 2016, le prévenu va rester en prison pour y purger le reliquat de la partie ferme de la peine, soit 2 années.

Le trentenaire avait mis le feu au véhicule avec de l'essence et un bout de papier enflammé. L'incendie s'était propagé à une palette sur laquelle était stocké du matériel domestique destiné à l'installation d'un gendarme. Personne n'avait été blessé.

"Ç'est grave et mal, je m'excuse, je regrette"

Les militaires avaient été réveillés par l'explosion d'un pneu de la voiture en feu. Le pakaculteur a expliqué avoir agi par vengeance pour n'avoir pas digéré la destruction par les militaires quelques semaines plus tôt de sa plantation clandestine de paka, son seul moyen de subsistance selon lui.

Sept mois après les faits, il a reconnu ce mardi depuis le box des prévenus que son geste était "grave et mal" et qu'il regrettait. Jugé parfaitement sain d'esprit et responsable de ses actes pas les psychologues, il n'avait jamais fait de prison avant, condamné pour des petits délits routiers et pour détention de stupéfiants : "Je présente mes excuses, ma femme et mes enfants me manquent, ces 6 mois passés à Nuutania m'ont fait réfléchir à ne plus recommencer". Le tribunal s'est montré plus clément que le parquet qui avait requis 7 ans de prison ferme contre l'incendiaire, soupçonné d'avoir voulu mettre le feu à la gendarmerie toute entière selon le ministère public.

Raphaël Pierre

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Natation – Coupe Guy d’Esposito : La victoire pour Alizée Diaz et Guillaume Vermorel

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La première partie du « Meeting Pearl Tour » s’est déroulée dimanche dernier à la piscine de Tipaerui, un meeting de travail organisé par le cercle des nageurs de polynésie (CNP) et la fédération tahitienne de natation. Cette année, il a été décidé de joindre au meeting la 45e coupe Guy d’Esposito, une des compétitions du calendrier fédéral annuel.
Natation – Coupe Guy d’Esposito : La victoire pour Alizée Diaz et Guillaume Vermorel
La Coupe Guy d’Esposito 2017 a récompensé la nageuse et le nageur ayant cumulé le plus grand nombre de points selon un barème constitué en fonction de la classe d’âge. Ce sont près de 70 nageurs qui ont pris les différents départs avec au total plus de 400 engagements sur deux journées de compétition. C’est finalement Alizée Diaz et Guillaume Vermorel qui ressortent vainqueurs, ayant cumulé le plus grand nombre de points.
 
Si la Polynésie française est bien représentée en métropole par Stéphane Debaere ou encore Anthony Clark, la fédération tahitienne encourage nos nageurs à se perfectionner. On peut noter que les échéances de qualification pour les championnats de France et les championnats internationaux s’approchent pour les athlètes. C’est fin mars qu’aura lieu le national 2Q2 qui permettra aux meilleurs locaux de se tenter de se qualifier pour les championnats de  France 2017.

Natation – Coupe Guy d’Esposito : La victoire pour Alizée Diaz et Guillaume Vermorel
Parole à Guillaume Vermorel
 
« C’est plus une compétition d’entrainement, du coup les temps ne sont pas vraiment à la hauteur de ce que l’on peux faire en compétition importante …mais c’est bien d’essayer de tout faire ».
 
Parole à Alizée Diaz
 
« Je suis très contente et plutôt satisfaite ! Enchainer les courses, ce n’est pas facile pour tout le monde mais je me suis entrainée pour… mon entraineur et mon club sont tous derrière moi et c’est important pour se surpasser ».
 
Parole à Jean Marc Vermorel, président du CNP
 
« Globalement, on est satisfait. On a ouvert cette compétition aux jeunes, ce n’était pas prévu au départ… donc on a eu beaucoup plus de monde, près de 77 nageurs. C’est une belle épreuve, avec beaucoup de monde et puis des jeunes qui découvrent le bassin de 50 ». Vaitiare Gobrait / Sport Tahiti

Natation – Coupe Guy d’Esposito : La victoire pour Alizée Diaz et Guillaume Vermorel

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Athlétisme – Meeting Master : Les Océania et les championnats d’Australie en ligne de mire

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Le ‘Meeting Master’, proposé par la fédération d’athlétisme de Polynésie française, s’est terminé dimanche après un weekend chargé. Près de 100 athlètes ont répondu présent pour les différentes épreuves telles que le 110 mètres haie, le lancer de disque, le saut en hauteur ou le lancer de javelot.
Athlétisme – Meeting Master : Les Océania et les championnats d’Australie en ligne de mire
Au 110 mètres haies, Timona Poareu franchit la ligne d’arrivée en 16’6. Le jeune Timona s’entraine en vue de participer aux championnats d’Australie prévus du 26 mars au 2 avril 2017. Une autre compétition est en ligne de mire, il s’agit des prochaines Océania d’athlétisme qui se dérouleront à Fidji du 29 juin au 1er juillet 2017. Timona est licencié au club d’Aorai, le même club que Teura Tupaia.
 
Samuel Aragaw, dont le nom est désormais connu du public puisqu’il a remporté de nombreuses courses à pied sur route ces derniers mois, notamment le dernier championnat de Polynésie du 10km fin janvier, participe également aux courses sur piste. Il réalise ainsi un temps de 2’05 sur 800 mètres.
 
En saut en hauteur, l’heptathlonienne Kahaia Dauphin réalise 1m45. Elle aussi se prépare pour les mêmes compétitions en Australie et à Fidji. Timona réalise quant à lui 1m55. Le plus haut saut du weekend a été effectué par Teaue Teihotaata (1m70).
 
Au saut en longueur, c’est Candice Richer qui réalise la meilleure performance chez les filles avec 5m06, Kahaia Dauphin saute 4m87. Du coté des garçons, Timona réalise la meilleure performance avec 6m05, le saut en longueur étant son point fort.
 
Au lancer de disque, Nicolas Olendareff atteint les 27m80. Enfin, au javelot, Kahaia Dauphin lance à 29 mètres et Timona Poereu à 38m60.
 
Timona comment se déroule ta préparation ?
 
« Ça se passe bien. J’essaie de m’entrainer dans les disciplines que je devrai faire lors des championnats d’Australie et des Océania en tant que décathlonien. C’est assez difficile, je m’entraine presque tous les jours, je n’ai plus le temps de m’adonner à mon autre passion qui est le surf. Lorsqu’on me demande de me reposer, je vais surfer. Il faudra que je travaille ma discipline (rires). » Sport Tahiti

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Football – Championnat d’Océanie U17 : La liste des 20 joueurs retenus à J-4

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Patrice Flaccadori, l’entraîneur des « Tama Ura », la sélection de Tahiti de football U17, a divulgué lundi soir la liste des 20 joueurs retenus pour le championnat d’Océanie de football des moins de 17 ans qui démarrera ce samedi 11 février au Stade de Mahina, un tournoi qualificatif pour la Coupe du monde U17 qui se déroulera en Inde courant octobre.
Football – Championnat d’Océanie U17 : La liste des 20 joueurs retenus à J-4
18 joueurs de champ et 2 gardiens auront l’honneur de représenter la Polynésie française lors de ce tournoi qui fait également office de qualifications de la zone Océanie pour la prochaine Coupe du monde U-17 proposée par la FIFA qui se tiendra en Inde en octobre.
 
Huit pays de la zone Océanie sont en lice : Nouvelle Zélande, Nouvelle Calédonie, Fidji, Salomon, Vanuatu, Samoa, la Paouasie et Tahiti. Sur ces huit pays, deux gagneront leur ticket pour la Coupe du monde en Inde, les deux pays finalistes du tournoi.
 
Une liste composée majoritairement de joueurs issus des principaux clubs formateurs du football polynésien : l’AS Tefana, qui est le club le plus représenté avec 7 joueurs et l’AS Venus qui compte 4 représentants.
 
Ce n’est pas une surprise tant les deux clubs avaient dominé la catégorie U-15 l’an dernier, menant une lutte acharnée tout au long de la saison. Les jaunes de Tefana, à égalité de points avec les bleus de Mahina, s’étaient adjugés le championnat grâce à une meilleure différence de buts. Les joueurs de Vénus s’étaient consolés en remportant la Coupe.
 
L’AS Taiarapu FC et l’AS Aorai comptent chacun deux joueurs retenus et l’AS Arue un joueur. A noter également la présence dans l’équipe de 4 joueurs issus des clubs de Moorea, l’AS Tiare Tahiti, l’AS Tiare Anani, l’AS Tapuhute et l’AS Temanava qui produisent chaque année de nombreux talents.
 
Les joueurs seront encadrés par Pare Salmon (chef de délégation), Patrice Flaccadori (sélectionneur), Vincent Simon (entraîneur adjoint), Emmanuel Liparo (entraîneur des gardiens), Julien Beaussier (chiropracteur), Jean-Claude Lintz (masseur) et Maratino Teanomarama (intendant).
 
Les Tama Ura auront l’avantage de jouer à domicile face à leur public. Le premier match aura lieu ce samedi 11 février à 19h au stade de Mahina, Tahiti sera opposé au Vanuatu. Ils ne sont qu’à 4 matches d’une éventuelle qualification pour la Coupe du monde U17. KK /FTF

Football – Championnat d’Océanie U17 : La liste des 20 joueurs retenus à J-4

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Les Rando Nettoyeurs plantent frangipaniers et arbres fruitiers à l'Aorai

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Les Rando Nettoyeurs plantent frangipaniers et arbres fruitiers à l'Aorai
PIRAE, le 7 février 2017 - En plus de nettoyer des tonnes de déchets chaque année à l'Aorai et d'avoir entièrement retapé les refuges de cette randonnée mythique, les Rando Nettoyeurs ont décidé d'embellir le chemin en y plantant des arbres fruitiers ou arbustes décoratifs. Une belle initiative qui profitera à tous, tant que les promeneurs respectent ce travail bénévole.

Samedi 4 février, une vingtaine de bénévoles jardinait sur les bords de la randonnée de l'Aorai. Une vue inhabituelle, avec des randonneurs de tous âges, incluant des enfants et des retraités, la pelle à la main. "Il y avait une centaine de plans, pour commencer deux cykas pour marquer l'entrée et la sortie du sentier. Ensuite, nous avons planté une allée de frangipaniers de toutes les couleurs, des pieds de citronniers, de jacquier (uru taratoni), des auti, deux pieds de uru, des pamplemoussiers, des pomelos chinois (de la famille du pamplemoussier), des caramboles, corossols, avocatiers, tamarins, pruniers, noix, mandariniers et pommes étoile… À peu près tous les fruits !" s'enthousiasme Stéphane Lebon, de l'association Rando Nettoyeurs.

Les plans ont été offerts par des mamas, des particuliers vivant entre Punaauia et Papara. "Elles nous ont ouvert leurs jardins, mais aussi leurs cœurs en nous faisant confiance pour le petit projet d'un groupe qu'elles ne connaissent pas. Elles nous ont aussi apporté pleins de conseils !"

Au final, c'est tout le chemin autour du premier refuge qui va prendre un air de jardin d'Eden pour les promeneurs du dimanche, dès que ces arbres auront pris racine et un peu poussé. Trois bancs ont également été installés pour pouvoir s'assoir face à Moorea et profiter de la vue à couper le souffle en dégustant un fruit offert par la nature… Et le travail des bénévoles !

"J'ESPÈRE QUE CE TRAVAIL SERA RESPECTÉ"

Le grand public a appris à connaître et apprécier les Rando Nettoyeurs pour le travail acharné que réalisent ces bénévoles pour entretenir et enrichir nos balades. Ainsi, ils ont retapé le premier refuge et y ont installé portes et fenêtres. Ils ont aussi organisé de nombreuses expéditions pour nettoyer les tonnes de déchets abandonnés en pleine nature par des indélicats. "Nous comptons vivement sur le soutien et l’intelligence du cœur de tous pour que ce travail soit respecté, encore une fois pour que TOUT LE MONDE puisse un jour en profiter. Nous avons commencé par essayer de réduire l’empreinte néfaste de l’homme en ramassant les déchets - il y a encore beaucoup à faire mais la sensibilisation semble porter ses fruits. Merci à tous pour le respect que vous portez envers Mama Natura" s'exclame Stéphane.

La mission de samedi s'inscrit pour lui dans une démarche à long terme pour promouvoir les réflexes écologiques : "nous voulons aller plus loin en participant au monde de demain, plus proche de la nature, plus collaboratif, plus local. Redonner des couleurs et des saveurs aux sentiers du Fenua pour que tout le monde puisse profiter un jour des fleurs et des fruits que ces arbres voudront bien nous donner. Nous avons voulu faire participer des enfants car ils sont partie prenante de l’avenir, les reconnecter à la terre, leur permettre de participer à la naissance d’une vie, d’un arbre, de ses fleurs et de ses fruits. Les inclure pleinement au cercle de la vie. Ils étaient heureux et fiers de leurs plantations. Ils reviendront voir l’évolution des arbres qu’ils ont plantés, c’est certain."

Le sentier de l'Aorai devient ainsi une balade difficile, mais bientôt à nouveau accessible à tous. Les refuges sont propres et réparés, le sentier est entretenu par l’association Te Rauatiati. Pour conclure, Stéphane Lebon nous déclare : "ce sentier et ses refuges font partie intégrante et reconnue du patrimoine de l’île de Tahiti. En empruntant ce chemin, nous marchons sur les pas des nombreuses personnes qui l’ont ouvert puis entretenu toutes ces années. En dormant dans les refuges, nous profitons du confort qu’ils nous ont permis d’avoir. Respectons le travail de nos anciens, apprécions l’héritage qu’ils nous ont laissé et entretenons-le tous afin qu’il puisse profiter un jour à nos propres enfants !"



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Le racheteur d'or écroué pour recel de vols de bijoux reste en détention

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Le racheteur d'or écroué pour recel de vols de bijoux reste en détention
PAPEETE, le 7 février 2017 - La chambre de l'instruction de la cour d'appel a refusé, ce mardi, son placement sous bracelet électronique.

Le commerçant de 62 ans avait été mis en examen et écroué à Nuutania le vendredi 27 janvier, pour recel de vols de bijoux en bande organisée, au terme d'un an d'enquête des gendarmes des brigades de recherches de Punaauia et Faa'a. Le sexagénaire, qui avait nié les accusations portées contre lui, avait déjà sollicité ce jour-là son placement sous bracelet électronique pour raisons de santé devant le juge des libertés et de la détention. Qui le lui avait refusé pour éviter, notamment, tout risque de pressions et concertations avec les autres acteurs du dossier. La chambre de l'instruction a à son tour refuser d'accéder à sa requête ce mardi.

Le racheteur d'or, dont la boutique du passage Cardella a depuis été placée sous scellés, est soupçonné d'avoir animé depuis 2015 un réseau de cambrioleurs qui s'étaient spécialisés dans le vol d'or et de bijoux chez les particuliers. Une soixantaine de victimes auraient déjà été identifiées. Trois autres membres de ce réseau présumé, des hommes de main et un cambrioleur, ont aussi été placés en détention provisoire.

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Page enfant : Ice and salt challenge, attention danger !

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Page enfant : Ice and salt challenge, attention danger !
PAPEETE, le 7 février 2017 - Comme le Neknomination, l'Ice bucket challenge, le condom challenge ou encore le Fire challenge, un "jeu" fait le buzz sur la toile. Il s'agit du Ice and salt challenge. Mais ce "jeu" n'est pas sans risque. L'action combinée du sel et de la glace peut abimer la peau définitivement.

L'Ice and salt challenge n'est pas nouveau. Il aurait au moins quatre ans. Mais en ce moment il fait le buzz sur la toile. Cela inquiète la gendarmerie nationale qui s'est fendu d'un tweet le 31 janvier : #IceAndSalt Challenge. Attention ! Un glaçon + une pincée de sel = brûlure au 2ème degré ! Prévenez vos ados !

Le challenge consiste, si tu ne le connais pas, à saupoudrer avec du sel un endroit de son corps, en général le bras ou la main. Ensuite, tu places un glaçon et tu essaies de résister à la douleur le plus longtemps possible. Le tout se fait sous l'œil d'une caméra, pour pouvoir partager l'épreuve avec les copains.

Le fait divers qui déclenche tout

En Grande-Bretagne, une maman a dû emmener à l'hôpital son fils qui avait relevé le défi. Au début elle pensait que c'était une coupure. La peau était très abimée. La brûlure était tellement profonde que des nerfs ont été endommagés. Les médecins se sont demandé s'il ne fallait pas faire une greffe de peau. Le jeune garçon ne sent plus rien là où il avait placé le sel et le glaçon.

La greffe de peau c'est une opération qui consiste à prendre de la peau sur une autre partie du corps de la personne blessée ou bien sur une autre personne pour réparer la partie abimée. C'est ce fait divers qui a suscité beaucoup d'émotions et qui a entrainé les nombreuses mises en garde.

Engelures et graves séquelles

Pourquoi le challenge est-il si dangereux? Parce que si tu mélanges du sel et de la glace il se produit une réaction particulière. Normalement, l'eau gèle à zéro degré Celsius. Avec le sel, la température de congélation peut descendre jusqu'à – 20 degrés Celsius.

Une très basse température a le même effet que le feu, elle provoque des brûlures de 1er, 2ème, voire 3ème degré. On parle d'engelure, de brûlure par le gel. Les tissus, en cas de brûlure du 3ème degré, sont complètement détruits. La peau et parfois les nerfs peuvent être touchés. Les conséquences sont parfois définitives.

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Travailleurs sociaux : les raisons de la colère

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Travailleurs sociaux : les raisons de la colère
PAPEETE, le 7 février 2017 - La tension monte dans les rangs des travailleurs sociaux du Pays. En cause, principalement, un manque criant de moyens humains selon les syndicats. Ils souhaitent combler les postes vacants. Cette mesure permettrait aux professionnels de renouer avec l'essence de leur métier.

Mines cernées et visages fatigués, les travailleurs sociaux sont à bout de force. Depuis de nombreuses années, ils accompagnent les enfants et les familles avec les moyens du bord. "Nous avons beaucoup de dossiers, ça s'accumule, mais nous n'avons pas les ressources humaines nécessaires", souffle Claudine Laugrost, responsable de la circonscription de Pirae Arue et représentante syndicale. A l'heure actuelle sur les neuf circonscriptions, sept postes sont vacants selon elle. "Mais la charge de travail est restée la même."

15 étudiants suivent une formation d'éducateur spécialisé au fenua et quatre autres d'assistante sociale en métropole. Les représentants syndicaux souhaitent leur ouvrir les portes de la direction des affaires sociales du Pays (DAS) mais pour cela, il faut organiser un concours. Problème : rien n'est programmé pour 2017. "A l'été, quand la promotion sortira et quand ces jeunes arriveront sur le marché de l'emploi, nous voulons qu'un concours pour intégrer la fonction publique du Pays soit organisé."

MANQUE DE TEMPS
D'ici à une dizaine d'années, 80 départs à la retraite sont prévus dans les services de la DAS du Pays. L'intersyndicale souhaite aussi que cette formation soit pérennisée car, pour le moment, il n'est pas prévu qu'elle rouvre les portes en 2017. "Nous n'avons aucune garantie pour que l'école rouvre à la rentrée. Nous nous sommes déjà battu pour qu'elle le soit il y a trois ans!", peste Christian Jonc, responsable de la circonscription de Papeete et représentant du personnel, travailleur dans le domaine social depuis 31 ans.

Le manque de moyen humain est un problème récurrent pour la DAS. En décembre dernier, sur la circonscription de Pirae et Arue, un agent a été recruté. "A ce poste, je n'avais plus personne depuis août 2015", explique Claudine Laugrost, avant que son collègue, Christian Jonc n'ajoute : "Nous avons besoin de monde, nous ne pouvons plus continuer comme ça. Nos agents sont fatigués. Il y en a de plus en plus qui font des burn-out. Il faut faire quelque chose."

Les travailleurs sociaux croulent sous les dossiers de suivis de mineurs et demandes d'aides. Pour chaque, ils doivent rédiger un rapport. Au final, le temps passé au bureau est plus important que sur le terrain, l'essence même de leur métier. "Notre métier, nous l'avons choisi et on l'aime. Mais à l'heure actuelle, nous devons faire beaucoup d'administratif. Nous n'avons plus assez de temps avec les familles et avec les enfants, c'est terrible! Quand j'ai commencé, nous faisions la traversière de la Papeno'o avec les gamins, là c'était plus facile de leur parler de drogue et de faire de la prévention mais aujourd'hui, nous n'avons plus le temps", raconte, nostalgique, la responsable de circonscription. Groupes de paroles, excursions avec les familles, interventions dans les quartiers et accompagnements des jeunes parents, entre autres, ont presque déserté les programmes des travailleurs sociaux.

A ces moyens humains viennent aussi s'ajouter des problèmes de logistique. Le parc automobile de la DAS est très ancien. Les travailleurs sociaux ont du mal à se rendre sur le terrain. "Il y a des voitures qui sont vieilles de 20 ans. Elles tombent tout le temps en panne, certaines ne respectent même pas les normes de sécurité, nous ne pouvons pas prendre les prendre ni emmener les familles avec nous."

Selon les représentants du personnel, la dernière fois que des postes ont été créés à la DAS remonte à 2010. Cette année-là, les travailleurs sociaux avaient exercé leur droit de grève. La grève, les travailleurs sociaux l'ont envisagé cette année encore. Mais les intempéries les ont stoppés dans leur élan. "Nous sommes des travailleurs sociaux, nous devons être là pour les familles. Nous n'allons pas faire grève alors que certains sont dans la boue et ont besoin de notre aide…"

"IL FAUT QU'IL Y AIT UN GESTE FORT "
Le 27 janvier dernier, les représentants syndicaux ont rencontré leur ministre de tutelle : Jacques Raynal, en poste depuis le 13 janvier dernier. Les représentants du personnel lui ont exposé leurs doléances. "Nous avons connu beaucoup de ministres et à chaque fois que nous les rencontrions leur réponse était : "Attendez, je viens d'arriver!" Cette fois, nous avons dit stop, ça suffit! Il faut agir maintenant. Il semblerait quand même que, suite à notre rencontre, certaines choses aient l'air de bouger", se réjouit Claudine Laugrost.

Certaines demandes ont été entendues. Les représentants de l'intersyndicale ont déjà relevé plusieurs points positifs de la part du ministre. "Notre demande pour avoir un médecin COTOREP a été entendue. Du personnel a été recruté pour nous aider à gérer les dossiers du RST et puis, cette semaine, quelques une des voitures ont été contrôlées… Il y a eu quand même du positif!", notent la responsable et son confrère.

Pour autant, ils attendent un geste fort de la part du ministère de tutelle. "Nous sommes contents mais nous ne voulons pas que ce soit du vent ! Il faut qu'il y ait un geste fort, cela va calmer les esprits des travailleurs et cela va leur donner de l'espoir!"

Le ministre a proposé aux syndicats de les revoir à la fin du mois de mars, après le collectif budgétaire. Si c'est une bonne chose pour Claudine Laugrost, elle espère tout de même que les choses soient plus rapides : "Nous voulons que des annonces soient faites avant! Une fois que tous les sinistrés auront été pris en charge, nous n'excluons pas de manifester notre colère! Les travailleurs sociaux sont à cran! "

"Il reste encore deux points à régler et je m'y emploie"
Travailleurs sociaux : les raisons de la colère
Jacques Raynal, ministre de la Santé et de la Solidarité, est en charge des affaires sociales du Pays. Il revient sur sa rencontre avec les représentants syndicaux :
"Je les ai reçus la semaine dernière. Nous nous sommes mis d'accord sur un certain nombre de dispositions mais il reste encore deux points à régler et je m'y emploie. (NDLR : le ministre n'a pas voulu préciser lesquels). Nous avons exposé ce que nous pouvions faire pour eux et nous leur avons proposé un certain nombre de solutions. Il y a certaines questions qui sont un peu plus complexes et qui nécessitent un peu plus de temps. En ce qui concerne le concours que les syndicats demandent, ce n'est pas moi qui décide."

Les circonscriptions d'action sociale
Les circonscriptions sont réparties suivant des secteurs bien précis. Il y environ une dizaine de travailleurs sociaux par circonscription, certains sont détachés dans les îles et d'autres partent en mission suivant les besoins. Toute circonscription a un responsable et un psychologue.
- Numéro 1 : Papeete/Australes
- Numéro 2 : Faa'a
- Numéro 3 : Punaauia/Paea
- Numéro 4 : Papara Teva i Uta
- Numéro 5 : Mahina, Hitiaa O te Raa et Marquises.
- Numéro 6 : Pirae, Arue et Tuamotu Gambier
- Numéro 7 : Raromatai
- Numéro 8 : Taiarapu
- Numéro 9 : Moorea Maiao


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Page enfant : Les singes meurent à petit feu

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Page enfant : Les singes meurent à petit feu
PAPEETE, le 7 février 2017 - Nos proches cousins les singes sont en train de disparaitre de la planète Terre. Sur les 500 espèces de singes qui vivent sur la planète, deux tiers c'est-à-dire près de 350 d'entre eux pourraient ne plus exister d'ici à 50 ans.

Une étude scientifique américaine, inédite, a été publiée le 18 janvier dernier dans un journal scientifique de renom*. C'est la plus grande étude jamais menée sur les singes et c'est elle qui s'est intéressée au sujet. Les espèces les plus menacées sont le gorille et l'orang-outan.

Pourquoi les singes sont-ils en danger? À cause du braconnage (la chasse interdite), de la destruction des forêts où ils vivent, de la pollution, du changement climatique.

Pourquoi cette nouvelle est-elle inquiétante? Parce que nos cousins sont essentiels au bon fonctionnement des écosystèmes. Ils aident notamment les forêts à se régénérer car ils dispersent les graines des arbres. Ils sont importants aussi pour les populations qui vivent aux alentours. C'est un peu comme si certaines espèces de poissons ou les baleines disparaissaient.

Un primatologue (spécialiste des singes) qui a participé à l'étude est inquiet. Il précise : "Nous alertons sur la situation des singes depuis des années, mais elle est bien plus grave que nous ne l'imaginions."

* Science Advances

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"Vis ta ville" fête la Saint-Valentin ce mercredi

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PAPEETE, le 07/02/2017 - La nouvelle édition de cet événement dédié à la jeunesse se tiendra ce mercredi de 12 heures à 15h30, au parc Bougainville. Prévention, activités ludiques et créatives seront au menu. Côté scène, deux groupes de danse animeront la deuxième partie de l'après-midi : les Breaking Motion et les All in One (lauréats au Upa Nui 2016).

L'amour sera à l'honneur ce mercredi pour la nouvelle édition du "Vis ta ville".

Cet événement dédié aux jeunes se tiendra au parc Bougainville à partir de 12 heures jusqu'à 15h30.

À chaque édition, prévention, activités ludiques et créatives sont au menu. Pour rester dans le thème de la Saint-Valentin, un stand "déclare ton amour" sera installé.

En deuxième partie, deux groupes de danse évolueront sur la scène : les Breaking Motion et les All in One, lauréat du Upa Nui 2016.

Cet événement a été mis en place en 2009, il permet notamment aux jeunes de "se divertir autour d’activités saines et divertissantes que sont la musique et la danse. Pour beaucoup de jeunes, ce rendez-vous leur a permis d’affirmer leur talent artistique mais aussi d’affronter un vrai public", indique un communiqué.


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