BORA BORA, le 15/07/2016 - Plus de peur que de mal en ce jeudi 14 juillet, à Bora Bora, où les forces ont été confrontés à un homme fortement alcoolisé, prêt à en venir à bout avec les mūto'i. Cet homme qui s'était montré agressif avec son père, s'est muni de son fusil-harpon pour tirer dans la direction des forces publiques. La flèche est passée à droite du premier policier, et avant même qu'il n'ait le temps de réarmer son fusil, les mūto'i ont réussi à le maitriser.
L'alcool est à nouveau au cœur du débat, avec une affaire qui s'est déroulée ce jeudi 14 juillet à Bora Bora, où un drame aurait pu survenir, en fin de journée.
Vers 16h30, la police municipale est informée qu'un fils agresse son père, dans le quartier Tiipoto à Vaitape.
À leur arrivée, ils ont été reçus par le père du mis en cause. Ivre, le fils commet plusieurs dégradations à l'intérieur de la maison.
Une première fois, les mūto'i arrivent à le calmer, "puis profitant d'un moment d’inattention, le forcené se dirige vers sa chambre et en ressort armé d’un fusil de chasse sous-marine. Il menace de mort les policiers puis il arme le fusil-harpon et tire dans leur direction", indique le communiqué de la gendarmerie.
Fort heureusement, personne n'a été blessé, et avant même qu'il n'ait le temps de réarmer son fusil, les policiers ont réussi à le maitriser.
Le forcené a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Bora Bora. Une enquête est en cours.
L'alcool est à nouveau au cœur du débat, avec une affaire qui s'est déroulée ce jeudi 14 juillet à Bora Bora, où un drame aurait pu survenir, en fin de journée.
Vers 16h30, la police municipale est informée qu'un fils agresse son père, dans le quartier Tiipoto à Vaitape.
À leur arrivée, ils ont été reçus par le père du mis en cause. Ivre, le fils commet plusieurs dégradations à l'intérieur de la maison.
Une première fois, les mūto'i arrivent à le calmer, "puis profitant d'un moment d’inattention, le forcené se dirige vers sa chambre et en ressort armé d’un fusil de chasse sous-marine. Il menace de mort les policiers puis il arme le fusil-harpon et tire dans leur direction", indique le communiqué de la gendarmerie.
Fort heureusement, personne n'a été blessé, et avant même qu'il n'ait le temps de réarmer son fusil, les policiers ont réussi à le maitriser.
Le forcené a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Bora Bora. Une enquête est en cours.
RIXE ENTRE DEUX FRÈRES
À Toahotu, cette fois-ci, les gendarmes ont été alertés vers 17h52, d'une rixe entre deux frères dans le quartier Vaihi.
À leur arrivée sur les lieux, les secours soignaient un individu blessé au bras droit, et à la tête avec un sabre d’abattis (coupe-coupe).
"Il semble que le plus jeune des deux frères s’est alcoolisé en l’absence de son aîné", ce qui aurait provoqué la colère de son aîné, à son retour. "Pendant la bagarre, le plus jeune, battu à coups de manche de balai, se saisit d’un coupe-coupe et frappe son grand-frère à deux reprises."
Le visage tuméfié, le plus jeune a été conduit aux urgences avant de se retrouver en garde à vue pour tentative d’homicide volontaire. Il présentait, cependant, un taux d’alcoolémie très important.
Son frère a également été évasané au CHPF du Taaone, avant de se retrouver, lui-aussi, en garde à vue pour violences volontaires avec arme.
Une enquête en cours.
À Toahotu, cette fois-ci, les gendarmes ont été alertés vers 17h52, d'une rixe entre deux frères dans le quartier Vaihi.
À leur arrivée sur les lieux, les secours soignaient un individu blessé au bras droit, et à la tête avec un sabre d’abattis (coupe-coupe).
"Il semble que le plus jeune des deux frères s’est alcoolisé en l’absence de son aîné", ce qui aurait provoqué la colère de son aîné, à son retour. "Pendant la bagarre, le plus jeune, battu à coups de manche de balai, se saisit d’un coupe-coupe et frappe son grand-frère à deux reprises."
Le visage tuméfié, le plus jeune a été conduit aux urgences avant de se retrouver en garde à vue pour tentative d’homicide volontaire. Il présentait, cependant, un taux d’alcoolémie très important.
Son frère a également été évasané au CHPF du Taaone, avant de se retrouver, lui-aussi, en garde à vue pour violences volontaires avec arme.
Une enquête en cours.
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