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L'ESSEC Executive Education: Un nouveau programme diplĂŽmant Gestion Finances Ă  la CCISM

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L'ESSEC Executive Education: Un nouveau programme diplĂŽmant Gestion Finances Ă  la CCISM
L’ESSEC Executive Education: Le pîle formation permanente du Groupe ESSEC

Accompagner les transformations des entreprises en dĂ©veloppant les compĂ©tences personnelles et collectives : telle est la mission des programmes de formation permanente. Conçus et animĂ©s par les professeurs de l’ESSEC, ces programmes combinent le meilleur de la recherche en gestion-finances et de l’application en entreprise.

L’ESSEC Executive Education propose une large gamme de programmes de plusieurs formats et niveaux de diplĂŽme dans diffĂ©rents mĂ©tiers et secteurs d’activitĂ©s : parcours diplĂŽmants de niveau 2, 3Ăšmes cycles, Executive MBA, ou non diplĂŽmants.

L’ESSEC Executive Education a construit sa rĂ©ussite autour de valeurs clefs :
-un accompagnement constant des participants et des entreprises,
-l’innovation pĂ©dagogique et l’excellence du corps professorals
-la crĂ©ation de communautĂ©s d’apprentissage multiculturelles et pluridisciplinaires.

L’ESSEC Executive Education a dĂ©veloppĂ© depuis 10 ans des formations diplĂŽmantes spĂ©cifiques Ă  un secteur d’activitĂ© ou Ă  une fonction (Management, Marketing et DĂ©veloppement commercial, Gestion-Finances ou Ressources Humaines) en Martinique, Guadeloupe, Guyane, Ă  la RĂ©union et Ă  Tahiti.

LA CCISM : LE PÔLE FORMATION

De par son histoire et son rĂŽle institutionnel, la Chambre de Commerce, d’Industrie, des Services et des MĂ©tiers s’investit pleinement dans ses missions de reprĂ©sentation, de conseil et de formation. Ces missions sont relayĂ©es par son pĂŽle formation qui regroupe prĂšs de 2 000 stagiaires par an et dispense plus de 13 000 heures de formation.

Reconnu comme source d’innovation en matiĂšre pĂ©dagogique et force de proposition en matiĂšre d’actions et de projets de formation, le pĂŽle formation de la CCISM assure l’évolution du paysage global de la formation aussi bien dans ses approches que dans le dĂ©veloppement durable de l’économie polynĂ©sienne.

-Son offre de formation professionnelle permanente de plus de 120 modules avec des approches transversales et des parcours de formations en synergie avec les enjeux Ă©conomiques,
-Son Ecole de Commerce, Business School Tahiti, qui forme et prépare les jeunes polynésiens à assurer avec responsabilité, efficacité et adaptabilité les missions qui leurs sont confiées par les entreprises du Pays,
-Sa filiĂšre « commerce et vente », issue de son rĂ©seau national Negoventis, qui offre plusieurs titres reconnus par l’Etat et accessible par tous les publics et tout au long de la vie,
-Sa mission rĂ©galienne de permettre la transmission des compĂ©tences et des savoirs faires dans tous les secteurs professionnels en soutenant le dispositif de l’apprentissage en partenariat avec le Pays,
-Ses partenaires de premier choix, comme l’ESSEC, qui permettent d’assurer le dĂ©ploiement sur notre territoire d’actions de formations professionnelles diplĂŽmantes d’exceptions, positionnent le PĂŽle Formation de la CCISM comme l’incontournable dans l’offre locale de formation

LA FORMATION GESTION-FINANCES

Les objectifs du programme

Ce cursus spĂ©cialisĂ© offre Ă  chaque participant la possibilitĂ© de dĂ©velopper ses compĂ©tences en gestion-finances, d’acquĂ©rir de nouvelles techniques et mĂ©thodes, et ainsi de contribuer au dĂ©veloppement de leur entreprise ou de leur organisation.

Ce programme s’adresse aux cadres et aux futurs cadres dĂ©sireux d’acquĂ©rir ou d’amĂ©liorer la maĂźtrise des compĂ©tences clĂ©s pour mieux gĂ©rer leurs entitĂ©s et leurs activitĂ©s. Deux types de profils sont concernĂ©s :
-des responsables de structures ou de services disposant d'une bonne expertise technique ou commerciale, souhaitant développer leur capacité à maßtriser les enjeux de gestion,
-des responsables administratifs ou comptables (ex : chef comptable, contrÎleur de gestion, DAF) souhaitant élargir leur domaine d'expertise et s'ouvrir ainsi de nouveaux champs de responsabilités.

Ce dispositif de formation a pour objectif de former les participants à la maßtrise des outils de gestion adaptés à des environnements de petite et de moyenne entreprise ou de pilotage d'un centre de responsabilité décentralisé (Filiale ou Business Unit de Groupe par exemple).

Le cursus 1 an Finances / ContrĂŽle de Gestion permet aux participants de :
Développer leurs compétences et qualités managériales dans les fonctions ContrÎle de Gestion et Finances.

-Passer d’une vision comptable Ă  une vision orientĂ©e vers la crĂ©ation de valeur.
-Approfondir leur expertise dans les grands domaines de cette création de valeur :
-MaĂźtrise des activitĂ©s de l’exploitation
-Choix et gestion des projets d’investissement
-Optimisation du coût du capital
-Gestion de trésorerie.
-Organiser les systùmes d’information et de pilotage.
-IntĂ©grer dans le management la conduite du changement, la culture et l’éthique.

Les points forts :

-Une mĂ©thode pĂ©dagogique : Une large place est dĂ©diĂ©e aux Ă©tudes de cas, simulations, travaux individuels et d’équipe.
-L’utilisation d’outils multimĂ©dia : En temps utile, chaque participant bĂ©nĂ©ficie des outils pĂ©dagogiques multimĂ©dia nĂ©cessaires aux processus d’apprentissage grĂące Ă  l’accĂšs Ă  un catalogue de modules « e learning »

Une architecture modulaire

Le cursus est constitué de 7 modules de 5 ou 6 jours consécutifs. Ces 7 modules s'articulent dans une démarche pédagogique en étapes :
-une premiÚre étape d'acquisition et de consolidation de prérequis,
-une deuxiÚme étape de mise en oeuvre de ces acquis dans des démarches d'analyse et de pilotage,
-une troisiĂšme d'ouverture et de perfectionnement

Une dynamique trĂšs liĂ©e Ă  l’environnement Gestion-Finances

-Fondamentaux de l’information comptable
-Diagnostic financier
-Gestion, Communication et Conduite du changement
-Maßtrise des coûts et comptabilité de gestion
-Enjeux Juridiques et fiscaux de la gestion des entreprises
-Gestion prévisionnelle
-ContrÎle de gestion stratégique

Les informations utiles:

-Ouverture et fermeture des candidatures : du 20 septembre au 11 octobre
-Coût de la formation : 2 400 000 F TTC
(Prise en charge possible sur enveloppe /droits de tirage Fonds paritaire de gestion)


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Maladie d’Alzheimer : une journĂ©e mondiale ce samedi Ă  Arue

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Maladie d’Alzheimer : une journĂ©e mondiale ce samedi Ă  Arue
ARUE, mercredi 18 septembre 2013. L’association France Alzheimer et maladies apparentĂ©es de PolynĂ©sie française (FAMAPF) n’existe que depuis la fin du mois d’aoĂ»t mais ceux qui y Ɠuvrent(ils sont actuellement 22 adhĂ©rents) ont la foi dans le parcours qu’ils ont entrepris. NĂ©e du constat de l’absence de structures sur le territoire pour les malades voire mĂȘme de relais associatif pour les accompagnants qui assistent les malades au quotidien, l’association a pris le taureau par les cornes. Et trois semaines Ă  peine aprĂšs sa crĂ©ation, l’association FAMAPF organise dĂšs ce samedi 21 septembre Ă  Arue sa premiĂšre journĂ©e mondiale de la maladie d’Alzheimer en PolynĂ©sie française, qui se dĂ©roulera en fait en matinĂ©e de 8 heures Ă  12 heures (voir en encadrĂ©).

La journĂ©e mondiale sera surtout l’occasion pour l’association de se faire connaĂźtre auprĂšs des familles qui ignorent encore son existence. Les chiffres de personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer et les autres maladies neuro-dĂ©gĂ©nĂ©ratives (maladies de Parkinson, Pick, de Lewy etc.) sur le territoire ne sont pour l’instant pas connus. L’association a fait des demandes aux autoritĂ©s locales de santĂ© et attend des retours. «L’association a Ă©galement Ă©tĂ© crĂ©Ă©e Ă  partir du constat alarmant de l’arrĂȘt du remboursement par la CPS des mĂ©dicaments anti-dĂ©mentiels depuis le mois de mai dernier» prĂ©cise Diana Kong, la vice-prĂ©sidente de l’association FAMAPF. Pour certaines familles cet arrĂȘt des mĂ©dicaments de 100% Ă  rien du tout a provoquĂ© un arrĂȘt pur et simple du traitement (les mĂ©dicaments coĂ»tent entre 5 000 et 10 000 Fcfp par mois).

Philip Schyle, reprĂ©sentant de l’assemblĂ©e et maire d’Arue, adhĂ©rent de l’association FAMAPF a interrogĂ© Ă  ce sujet le directeur de la CPS. RĂ©gis Chang lui aurait expliquĂ© que cet arrĂȘt des remboursements des mĂ©dicaments anti-dĂ©mentiels avait Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© par la Commission de la santĂ© mise en place lors des dĂ©bats de la Loi de Pays pour limiter les dĂ©penses de santĂ©. «De nombreuses familles ne traitent plus les patients Ă  cause de ce coĂ»t» souligne encore Diana Kong «nous voulons inciter les autoritĂ©s publiques Ă  mettre en place une politique de la vieillesse Ă  la fois sur le plan curatif mais aussi prĂ©ventif. La solution serait la crĂ©ation d’un Ă©tablissement adaptĂ© Ă  ces malades». Pour discuter de ces problĂ©matiques et aussi faire le point sur la prise en charge actuelle des malades, l’association a prĂ©vu samedi diverses confĂ©rences par des spĂ©cialistes. Des ateliers de musique ou de massages permettront d’accueillir les malades pendant que leurs accompagnants s’informent.


Le programme du samedi 21 septembre

La journĂ©e mondiale se dĂ©roulera de 8h Ă  12h Ă  la mairie d’Arue. Le programme des confĂ©rences/dĂ©bats est le suivant :
8h30 : Heiarii Wong, neuropsychologue
9h15 : Frédéric Pidou, kinésithérapeute au sujet de la maladie de Parkinson
10h : Astrid Godin, orthophoniste
10h45 : Stéphane Rihet, neurologue
11h30 : Louise Montaron Tutelger au sujet de La Tutelle

Une urne sera Ă  disposition des visiteurs pour recueillir des fonds pour l’association. L’adhĂ©sion annuelle est de 5 000 Fcfp dont 1 000 Fcfp sont reversĂ©s Ă  France Alzheimer.


Pour contacter la FAMAPF, Tel. : 266 477

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Élus polynĂ©siens Ă  Angers : s’inspirer des EPCI mĂ©tropolitains.

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Élus polynĂ©siens Ă  Angers : s’inspirer des EPCI mĂ©tropolitains.
L’un des grands axes de la politique du SPCPF est de favoriser, Ă  terme, la mutualisation des moyens entre les communes. Pour ce faire, une mission d’étude composĂ©e de 12 Ă©lus polynĂ©siens, a eu lieu en mĂ©tropole du 9 au 13 septembre derniers dans l’ouest de la France, Ă  Angers (dĂ©partement Maine et Loire). LĂ , ils y ont visitĂ© trois diffĂ©rents EPCI Établissements Publics de CoopĂ©ration Intercommunale, qui Ɠuvrent dans les domaines de la distribution d’eau potable, de l’assainissement et du traitement des dĂ©chets.

Cette mission d’étude, organisĂ©e avec le concours du centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT), avait pour principal objectif de mieux connaĂźtre et comprendre les organisations, mode de fonctionnement et de gestion des EPCI mĂ©tropolitaines. D’aprĂšs le SPCPF « Cela permettra une meilleure identification des enjeux liĂ©s Ă  la mise en Ɠuvre de dispositifs intercommunaux en PolynĂ©sie française ».

Cette mission intervient aprĂšs la rĂ©alisation d’un Ă©tat des lieux de l’intercommunalitĂ© en PolynĂ©sie française suivi d’un sĂ©minaire prĂ©sentant aux communes les diffĂ©rents outils pouvant ĂȘtre utilisĂ©s dans le cadre des projets, notamment par la mutualisation des moyens respectifs.

Le SPCPF prĂ©cise : « Conduite par BĂ©atrice Vernaudon, membre du Bureau syndical du SPCPF et maire de Pirae, la dĂ©lĂ©gation d’élus et de cadres des collectivitĂ©s d’Uturoa, Tumaraa et Taputapuatea (communautĂ© de communes Hava‘i), Mahina, Ua Pou (CODIM), du Syndicat Intercommunal Ă  Vocation Multiple des Tuamotu-Gambier (SIVMTG) et du Syndicat Mixte Ouvert pour la gestion des dĂ©chets (SMO) s’est rendue dans plusieurs collectivitĂ©s diffĂ©rentes :
La communautĂ© d’agglomĂ©ration de Niort sur le thĂšme de l’assainissement. PrĂ©sidĂ©e par Mme GeneviĂšve Gaillard (Maire de Niort) et crĂ©Ă©e en 2000, cette structure compte 29 communes, plus de 100.000 habitants, et doit Ă©voluer Ă  45 communes en janvier 2014,

Le syndicat Intercommunal Ă  Vocation Unique (SIVU) de la rĂ©gion de Noyant pour l’Eau. CrĂ©Ă©e en 2000 et prĂ©sidĂ©e par M. RĂ©mi Chevalier (Maire de Broc), cette structure compte 13 communes pour 4 973 habitants desservis.

La communauté de communes de Loire Aubance pour les déchets. Créée en 2005, présidée par Gautier Robert (Maire de Juigné-sur-Loire) cette structure comporte 14 communes pour 17 593 habitants.
»

Ce dĂ©placement a permis aux Ă©lus et aux cadres communaux de mieux comprendre les enjeux du dĂ©veloppement de l’intercommunalitĂ© en PolynĂ©sie française, notamment en matiĂšre : d’exercice de compĂ©tences. S’agit-il d’exercer tout ou partie d’une compĂ©tence transfĂ©rĂ©e par le Pays ?

-de gouvernance. Comment instaurer un climat de confiance entre l’EPCI et les communes ?

Et de gestion. Mise en place des plans pluriannuels, Ă©quilibrer la mise en rĂ©gie et la dĂ©lĂ©gation de service public et enfin de moyens : ingĂ©nierie, juridique, financier. Dans un contexte ou les moyens financiers mais aussi juridiques (Ă©volution nĂ©cessaire de la lĂ©gislation) et techniques (technicitĂ© et expertise des agents) constituent le principal enjeu de dĂ©veloppement, les communes polynĂ©siennes devront s’unir pour constituer une force de proposition auprĂšs de leurs partenaires (l’Etat et le Pays) et pouvoir mettre en place des dispositifs adaptĂ©s et performants.

Cette mission donnera lieu Ă  un sĂ©minaire d’information et de rĂ©flexion avec l’ensemble des communes et groupement de communes les 10 et 11 octobre prochains.

Sources : SPCPF

TP

Tere hi’opo’ara’a i te ‘oire nƍ Angers : te mau rāve’a e au ‘ia fa’a’ohipa hia i te fenua nei

I roto i te mau ‘ƍpuara’a a SPCPF, te aupĆ«pĆ« a te mau ‘oire, tē vai nei hƍ’ē o tē tÄ«tau nei i te mau ‘oire ato’a ‘ia rave ‘āmui i te ‘ohipa. Nƍ tetahi mau ha’amaramarama hau roa atu, ‘ua tere ti’a roa atu 12 mau tāvana ānei, mau mono ānei, mau ‘aivāna’a ato’a, i te pae’au tƍ’o’a o te rā o te fenua farāni, i Angers ihoa ra ( i te tuha’a mata’eina’a ‘āmui ra nƍ Maine-et-Loire ). I reira, ‘ua māta’ita’i rātou e toru pĆ« ‘ohipa pi’i hia EPCI, e ‘ƍpere nei i te pape, e mā’aro nei i te pape vi’ivi’i, ‘e o tē tÄ«ti’a nei i te mau pehu.

Te fā nui o taua tere hi’opo’ara’a ra, ‘ia ‘ite mata roa atu ‘e ‘ia ta’ahia ato’a atu mea nāhea teie mau pĆ« ‘ohipa e fa’anaho nei i tā rātou mau ravera’a, nāhea ato’a rātou e fa’ohipa nei i tā rātou mau tāpura faufa’a . Te ha’apāpĆ« mai ra te aupĆ«pĆ« : « E riro teie ‘ohipa mai te hƍ’ē ha’amaramaramara’a hau roa atu i ni’a i te huru fa’aterera’a o teie mau pĆ«, mea nāhea Ä«a tātou e nehenehe ai e fa’a’ohipa i te reira mau huru fa’anahora’a Ä«o tātou nei ».

No mono noa mai ra teie tere hi’opo’ara’a, i te hƍ’ē tĂŻtorotorora’a i rave hia nƍ te fāfā i te mau fa’anahora’a ‘āmui i rave hia ana i PƍrÄ«netia farāni nei, i muri mai ra e tupu tetahi ta’irurura’a ha’amaramaramara’a i te mau ‘oire nƍ te fenua nei, i ni’a ihoa ra i te mau mauiha’a e ti’a ‘ia fa’a’ohipa nƍ te mau ‘ƍpuara’a hururau, nƍ te parau ihoa ra o te rave ‘āmuira’a i te ‘ohipa.

Tē nā’o nei te pĆ« SPCPF : ” Nā BĂ©atrice Vernaudon, ‘oia tetahi ti’a o te piha fa’atere nƍ te aupĆ«pĆ« SPCPF ‘e tāvana ato’a ho’i nƍ Pira’e i arata’i i teie pĆ«pĆ« ta’ata nƍ roto mai ite mau ‘oire nƍ ‘Uturoa, Tumara’a ‘e Taputapuātea (mau ‘oire tā’ati Hava’i), Mahina, Ua Pou (CODIM), nƍ te aupĆ«pĆ« ‘oire āmui ha’a rau nƍ Tuāmotu – Ma’areva ma (SIVMTG) tae noa atu te aupĆ«pĆ« ‘āno’i mātara nƍ te ‘ohipa tÄ«ti’ara’a pehu (SMO) ‘o rātou tei ‘āmui roa mai i roto i teie tere hi’opo’ara’a i roto i na tuha’a ‘oire e toru :

Te mau tuha’a ‘oire ‘āmui nƍ Niort i ni’a i te tumu parau o te ha’amā’arora’a pape. ‘Ua ha’amau hia teie ‘āmuira’a i te matahiti 20000. E 29 ‘oire tei ƍ mai i roto i teie ‘āmuira’a ‘e arata’i hia nei e Genevieve Gaillard. 100 000 ta’ata e noho ra i reira, e riro mai vētahi mau ‘oire i te fa’aƍ ato’a mai Ä«a rātou i te matahiti i muri nei, tai’o hia e 16 mau ‘oire hau o tē fēruri nei i teie ‘ƍpuara’a. I muri mai, ‘ua tere ato’a atu teie mau ti’a nƍ te fenua nei I te tuha’a nƍ Noyant, nƍ te pape. Nā te hƍ’ē aupĆ«pĆ« ‘oire ‘āmui ha’a tahi (SIVU) e peretiteni hia mai e te tāvana nƍ Broc, o RĂ©mi Chevalier tāne, e ha’apa’o nei i teie ‘āmuira’a. 13 mau ‘oire tei ƍ mai, te aura’a : 4 973 ta’ata. Te toru o te terera’a, nƍ te haere roa e fārerei i te ‘āmuira’a o te mau ‘oire nƍ Loire Aubance, tā na tuha’a, te tÄ«ti’ara’a pehu. ‘Ua ha’amau hia te reira i te matahiti 2005 ra, e arata’i hia ana e Gautier Robert tāne (tāvana nƍ te ‘oire o JuignĂ©-sur-Loire) I roto i teie ‘āmuira’a, tai’o hia 14 ‘oire (17 593 ta’ata)
”

‘Aua’a māoti teie terera’a i ‘ite mata roa atu tƍ tātou mau ta’ata e te mau ‘āpe’e i te faufa’a mau o taua mau ravera’a ra, ‘ia maita’i fa’ahou atu ā te terera’a o tā tātou mau ‘oire, i te pae’au ihoa ra : o te fa’a’ohipara’a o tā rātou mau mana. E riro te reira i te rave ‘āmui i tetahi ā mau ‘ohipa e te Hau Fenua ?
‘A ore ra te parau nƍ te fa’aterera’a i teie mau ‘āmuira’a : nāhea ‘ia ha’amau i tetahi ti’aturira’a pāpĆ« i roto pĆ« i teie mau EPCI ‘e te mau ‘oire ?

Te hƍpe’a, te ha’apa’ora’a i te tā’ato’ara’a o te mau ravera’a. Te ha’amaura’a i tetahi tārena ‘ohipa matahiti rau, ‘eitueā i te mau fa’a’uera’a ‘ohipa i te mau pĆ«pĆ« ‘ohipa a te mau ‘oire, ‘e te parau nƍ te mauiha’a rau : fērurira’a, ture, tāpura faufa’a. I mua i te rahira’a o te mau tauira’a, i te pae ānei o te mau ture arata’i ‘e te fifi ato’a ho’i o te tāpura faufa’a, tae noa atu i ni’a i te huru o te mau rāve’a ‘āpÄ« o tē fa’a’ohipa hia nei, e tÄ«tau hia Ä«a te mau ‘oire i te ‘āmui Ä«a rātou nƍ te ti’a atu i mua i te Hau Fenua ‘e te Hau Nui, ‘ia ra’e hia i te rave i tetahi mau ‘ohipa tano ia au i te terera’a o te orara’a ‘e te mau maitata’i.

E vauvau atu teie mau ti’a i tƍ rātou mau mana’o i mua i te tā’ato’ara’a o te mau ‘oire, i teie 10 ‘e 11 nƍ ‘ātopa i muri nei.

TP

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Fritch dĂ©nonce une "politique de la terre brĂ»lĂ©e" de l’opposition

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Fritch dénonce une
PAPEETE, mercredi 18 septembre 2013 – La loi du Pays relative aux contrats d’accĂšs et de soutien Ă  l’emploi (CASE), adoptĂ©e le 6 aoĂ»t dernier, est l’objet d’un recours enregistrĂ© le 16 septembre, au Conseil d’Etat. La procĂ©dure est suspensive et l'instruction pourrait prendre de 9 Ă  12 mois, selon Edouard Fritch.

Le prĂ©sident de l'AssemblĂ©e s’en est vivement pris Ă  l’opposition et Ă  Oscar Temaru, dans la matinĂ©e, lors d’un point presse donnĂ© en prĂ©sence de 29 reprĂ©sentants Tahoera’a Huira’atira. Il dĂ©nonce une procĂ©dure dilatoire faite par un "homme de paille" tĂ©lĂ©commandĂ© par l’UPLD.

Le recours a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© par Lionel LĂ©opold Bambridge, un retraitĂ© de 66 ans habitant Paea et relayĂ© devant le Conseil d’Etat Ă  Paris par le cabinet Waquet, Farge, Harzan. "Le mĂȘme cabinet d’avocats qui a portĂ© tous les recours de l’UPLD devant le Conseil d’Etat", a constatĂ© le prĂ©sident de l’APF qui pointe du doigt une "dĂ©marche d’obstruction" mise en Ɠuvre par le Tavini "pour freiner la mise en Ɠuvre" du dispositif d’aide aux demandeurs d’emploi "en espĂ©rant que cela se retourne contre le gouvernement".

"Cette attitude est proprement irresponsable", a-t-il martelĂ©. "Il y a des milliers de gens qui souffrent parce qu’ils n’ont pas d’emploi, pas les moyens de faire vivre leur famille. Face Ă  cela, le Tavini fait de la politique politicienne, je dirais mĂȘme fait la politique de la terre brĂ»lĂ©e, et dĂ©tourne les moyens juridiques pour saboter le travail de la majoritĂ©".

"Il faut bien dire aux PolynĂ©siens que celui qui n’a rien fait pour tenter de les sortir de la prĂ©caritĂ© fait tout aujourd’hui pour les enfoncer encore plus. C’est intolĂ©rable, c’est minable, c’est inadmissible, c’est criminel mĂȘme".

Edouard Fritch a terminĂ© sa vive harangue contre Oscar Temaru en accusant ce dernier de gĂącher le NoĂ«l de dizaine de millier de familles qui auraient pu profiter de l’aide prĂ©vue pour les demandeurs d’emploi. Il annonce aussi une rĂ©flexion menĂ©e par la majoritĂ© pour "contourner" les dĂ©lais imposĂ©s par la procĂ©dure devant le Conseil d’Etat, qu’il estime entre 9 et 12 mois.

Le recours déposé devant le Conseil d'Etat :


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Incendie Ă  Bora Bora : le feu est reparti de plus belle

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Incendie Ă  Bora Bora : le feu est reparti de plus belle
FA’ANUI, mercredi 18 septembre 2013. A 16 heures, ce mercredi les informations en provenance de Bora Bora oĂč un incendie fait rage depuis mardi Ă  la mi journĂ©e Ă©taient rassurantes. Les largages d’eau effectuĂ©s depuis ce mercredi matin par hĂ©licoptĂšre sur les diffĂ©rents foyers Ă  l’assaut du Mont Pahia avaient permis de circonscrire en grande partie le sinistre. Toutefois de la fumĂ©e se dĂ©gageait encore dans les hauteurs en fin de journĂ©e. vers 20 heures cependant, des habitants nous signalent que les flammes ont de nouveau envahi les flancs du mont Pahia.

L’incendie avait dĂ©marrĂ© ce mardi vers 12 heures. L’origine de ce feu de forĂȘt semble ĂȘtre le fait d’un Ă©cobuage effectuĂ© par un agriculteur sur les hauteurs du district de Faanui. LaissĂ© sans surveillance, le feu s’était rapidement propagĂ© Ă  la vĂ©gĂ©tation proche pour atteindre les hauteurs du Mont Pahia. Les pompiers ont toujours Ă©tĂ© prĂ©sents en nombre prĂšs de l’incendie mais ne pouvaient pas intervenir en raison de l'accĂšs difficile au site. Aussi, l’intervention dĂšs ce mercredi matin de l’hĂ©licoptĂšre bombardier d’eau est venue les soulager efficacement.



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Compte rendu du Conseil des Ministres du 18 septembre 2013

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Un Conseil des Ministres s’est tenu ce jour Ă  la PrĂ©sidence de la PolynĂ©sie française. Plusieurs dossiers ont fait l’objet d’une prĂ©sentation lors du point presse donnĂ© par le porte-parole du gouvernement le Ministre Marcel TUIHANI.

Accroissement des crĂ©dits d’aide Ă  la famille

Le Vice-PrĂ©sident a prĂ©sentĂ© ce matin en Conseil des Ministres un projet de dĂ©libĂ©ration portant modification du budget du FELP pour l’exercice 2013. Le FELP, Fonds pour l’Emploi et la Lutte contre la PauvretĂ© qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en Juillet 2013 regroupe toutes les ressources publiques qui contribuent au financement des dispositifs d’aide Ă  l’emploi et de lutte contre la pauvretĂ© ainsi que du rĂ©gime de solidaritĂ© territoriale (RSPF). La modification prĂ©sentĂ©e permettra le redĂ©ploiement des crĂ©dits inscrits au titre des aides Ă©conomiques du volet « SolidaritĂ© » (d’un montant total de 200 000 000 FCFP) qui ne seront pas utilisĂ©s d’ici la fin de l’annĂ©e, au profit du RSPF. Cela permettra l’accroissement des crĂ©dits d’aide Ă  la famille dont les rĂ©alisations sont supĂ©rieures aux estimations initiales.

Importation de fleurs coupées pour la Toussaint 2013 et la Saint Valentin 2014


Le Vice-PrĂ©sident a Ă©galement prĂ©sentĂ© ce matin l’ouverture d’un quota spĂ©cifique d’importation de fleurs coupĂ©es au profit des fleuristes patentĂ©s exploitant un magasin, Ă  l’occasion de la Toussaint de cette annĂ©e et de la Saint Valentin 2014. Ce quota a Ă©tĂ© fixĂ© aprĂšs avis de la Commission des fleurs coupĂ©es rĂ©unie le 29 AoĂ»t 2013. En tenant compte des demandes formulĂ©es par les fleuristes et en appliquant une marge supplĂ©mentaire par rapport aux importations effectuĂ©es l’annĂ©e derniĂšre, les quotas globaux ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s de la maniĂšre suivante :
‱ 17 150 tiges de fleurs coupĂ©es pour la Toussaint 2013
‱ 10 100 roses pour la fĂȘte de la Saint Valentin 2014
Fin des études relatives à la révision du PGA de la commune de PUNAAUIA
En fĂ©vrier 2010, le plan gĂ©nĂ©ral d’amĂ©nagement de la commune de PUNAAUIA Ă©tait mis en rĂ©vision. Le dĂ©lai de trois ans prĂ©vu par le code de l’amĂ©nagement n’ayant pas permis Ă  la commune d’aboutir et de procĂ©der Ă  l’enquĂȘte publique prĂ©vue, Ă  la fin de l’annĂ©e 2012, la commune a choisi d’interrompre sa collaboration avec le service de l’urbanisme pour l’étude de ce dossier, prĂ©fĂ©rant se tourner vers le secteur privĂ©. La commune a pris par dĂ©libĂ©ration en aoĂ»t 2013 la dĂ©cision de demander le lancement des Ă©tudes relatives Ă  la rĂ©vision de son plan gĂ©nĂ©ral d’amĂ©nagement. Dans l’attente de ce lancement et conformĂ©ment aux dispositions du code de l’amĂ©nagement la procĂ©dure engagĂ©e prĂ©cĂ©demment par arrĂȘtĂ© rĂ©fĂ©rencĂ© doit donc ĂȘtre clĂŽturĂ©e. Un nouvel arrĂȘtĂ© sera prĂ©sentĂ© en Conseil des Ministres dĂšs lors que la prĂ©sente procĂ©dure sera officiellement clĂŽturĂ©e et que la composition de la future commission locale d’amĂ©nagement chargĂ©e de l’élaboration du futur P.G.A. sera Ă©tablie.
Modification de la composition du Comité Technique de Coordination du SAGE de la Polynésie française

Le MinistĂšre du Tourisme, de l’écologie, de la culture, de l’amĂ©nagement du territoire et des transports aĂ©riens a Ă©galement prĂ©sentĂ© ce matin en Conseil des Ministres un projet d’arrĂȘtĂ© modifiant le composition du comitĂ© technique de coordination du SchĂ©ma d’AmĂ©nagement GĂ©nĂ©ral de la PolynĂ©sie française. En effet, la rĂ©organisation de certains services ou structures impose de mettre Ă  jour la liste des organisations composant le ComitĂ© Technique de Coordination du SAGE. Les Ministres Geffry SALMON et Bruno MARTY se rĂ©uniront trĂšs bientĂŽt afin de traiter ces modifications.

RĂ©vision de la convention Etat/Pays sur les missions sur Service du patrimoine archivistique et audiovisuel


Le Ministre Marcel TUIHANI a prĂ©sentĂ© ce matin une communication mettant en Ă©vidence les activitĂ©s du service du patrimoine archivistique et audiovisuel pour le compte de l’Etat. En effet, depuis le 31 Mars 1988 et sous l’égide d’une convention conclue entre l’Etat et la PolynĂ©sie française, ce service (anciennement dĂ©nommĂ© « Service des archives de la PolynĂ©sie française ») assure Ă©galement le traitement des archives dĂ©tenues ou produites par les services de l’Etat. Depuis la signature de cette convention, les missions du service se sont Ă©largies puisqu’il est sollicitĂ© par un nombre grandissant d’entitĂ©s publiques de l’Etat dont l’archivage n’a pas Ă©tĂ© prĂ©vu dans le pĂ©rimĂštre du champ d’intervention de la convention d’origine. Une rĂ©vision de la convention est donc nĂ©cessaire afin Ă©videmment de tenir compte de l’élargissement de ces missions mais Ă©galement de rĂ©actualiser les moyens Ă  mettre en Ɠuvre afin de conserver ce patrimoine de la collectivitĂ© et de l’Etat.

Approbation des comptes financiers de l’Institut Louis MalardĂ©


Les comptes financiers de l’Institut Louis MalardĂ© pour l’exercice 2012 ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s ce matin en Conseil des Ministres et validĂ©s. Le rĂ©sultat comptable enregistre un excĂ©dent de prĂšs de 49 millions FCFP grĂące notamment Ă  plusieurs mesures prises au sein de l’établissement (rĂ©duction du personnel et du temps de travail par exemple), mesures saluĂ©es par l’ensemble du gouvernement.

Garantir l’accùs à la route traversiùre

Le Ministre de l’Equipement a prĂ©sentĂ© un rapport concernant une procĂ©dure qui tend Ă  l’expropriation de plusieurs parcelles de terrains le long de la route traversiĂšre qui relie la commune de Mataiea (Teva I Uta) Ă  celle de Papenoo. En effet la route actuelle est rĂ©guliĂšrement bloquĂ©e aujourd'hui par quelques propriĂ©taires. L’objectif de cette procĂ©dure est bien Ă©videmment de faciliter l’accĂšs Ă  cette route traversiĂšre notamment pour accĂ©der Ă  la centrale hydroĂ©lectrique (qui est une infrastructure importante) implantĂ©e au fond de la vallĂ©e. Les blocages exercĂ©s par certains propriĂ©taires empĂȘchent en effet les employĂ©s de maintenance d’aller faire les vĂ©rifications et les contrĂŽles techniques d’usages de la centrale, ce qui pose un rĂ©el problĂšme de sĂ©curitĂ©. C’est afin de rĂ©soudre ce problĂšme que le MinistĂšre de l’Equipement va lancer cette procĂ©dure, en respectant bien Ă©videmment toutes les Ă©tapes administratives nĂ©cessaires Ă  une expropriation. L’affichage de la procĂ©dure dĂ©butera Ă  la Mairie de Mataiea le 4 Novembre prochain. Les riverains ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rencontrĂ©s et les nĂ©gociations concernant les emprises fonciĂšres concernĂ©es par la libĂ©ration de l’accĂšs vont dĂ©buter. Il sera proposĂ© aux propriĂ©taires, soit d’effectuer un Ă©change de foncier, soit le rachat de la parcelle de terre concernĂ©e, pour la meilleure circulation des vĂ©hicules.

Report de l’élection des membres de la chambre de l’agriculture et de la pĂȘche lagonaire


Le Ministre Thomas MOUTAME a prĂ©sentĂ© un rapport demandant le report de l’élection des membres de la chambre de l’agriculture et de la pĂȘche lagonaire. En effet, il convient encore de procĂ©der Ă  des modifications, notamment en ce qui concerne les modalitĂ©s d’organisation de ces Ă©lections telles que le montant, les conditions de perception et la durĂ©e de validitĂ© des cotisations, la mise en place d’une rĂ©gie, l’affiliation au rĂ©gime des non-salariĂ©s de la Caisse de PrĂ©voyance Sociale des Ă©lecteurs du collĂšge des professionnels agricoles. Aussi, il a Ă©tĂ© proposĂ© en accord avec le prĂ©sident de la CAPL de reporter les Ă©lections de la chambre aprĂšs l’adoption dĂ©finitive des nouveaux statuts, le 17 Juin 2014.

Nominations :

o Fin de fonction de Monsieur Maurice YUNE en qualité de directeur de la santé par intérim
o Nomination de Madame Yolande MOU aux fonctions de directeur de la santé par intérim
o Nomination de Madame Hitihiti-i-Te-Marama Tea HIRO TEHEI’URA aux fonctions de secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale du Haut conseil de la PolynĂ©sie française



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Mondial beach-soccer - Bonne entrée en matiÚre de la Russie et du Brésil

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Mondial beach-soccer - Bonne entrée en matiÚre de la Russie et du Brésil
PAPEETE, 19 septembre 2013 (AFP) - La Russie, tenante du titre, et le Brésil, quadruple champion du monde, ont bien lancé leur campagne dans le Mondial-2013 de beach-soccer en battant respectivement le Japon (4-1) et l'Iran (4-1), mercredi à Papeete lors de la 1re journée.

Les BrĂ©siliens ont pris la tĂȘte de la poule C en compagnie du SĂ©nĂ©gal, qui s'est imposĂ© plus difficilement (5-4) face Ă  l'Ukraine.

Dans la poule D, la Russie partage les commandes avec le Paraguay, qui a infligé dix buts (10-6) à la CÎte d'Ivoire.

La journée d'aujourd'hui verra l'entrée en lice de l'Espagne face aux Etats-Unis et de l'Argentine face à Salvador.

Résultats des rencontres de la premiÚre phase du Mondial de beach-soccer disputées mercredi à Papeete:

Poule C:

Sénégal - Ukraine 5 - 4

Brésil - Iran 4 - 1

Programme des matchs :

21/09 (17h30) Iran - Sénégal

21/09 (20h30) Ukraine - Brésil

23/09 (17h30) Iran - Ukraine

23/09 (20h30) Brésil - Sénégal

Classement Pts J

1. Brésil 3 1

2. Sénégal 3 1

3. Ukraine 0 1

4. Iran 0 1

Poule D:

Paraguay - CĂŽte d'Ivoire 10 - 6

Russie - Japon 4 - 1

Programme des matchs

21/09 (16h00) Japon - Paraguay

21/09 (19h00) CĂŽte d'Ivoire - Russie

23/09 (16h00) Japon - CĂŽte d'Ivoire

23/09 (19h00) Russie - Paraguay

Classement Pts J

1. Paraguay 3 1

2. Russie 3 1

3. Japon 0 1

4. CĂŽte d'Ivoire 0 1

Poule A:

20/09 (16h00) Espagne - Etats-Unis

20/09 (19h00) Tahiti - Emirats arabes unis

22/09 (16h00) Emirats arabes Unis - Espagne

22/09 (19h00) USA - Tahiti

24/09 (16h00) Emirats arabes unis - Etats-Unis

24/09 (19h00) Tahiti - Espagne

Poule B:

20/09 (17h30) Argentine - Salvador

20/09 (20h30) Pays Bas - Iles Salomon

22/09 (17h30) Iles Salomon - Argentine

22/09 (20h30) Salvador - Pays Bas

24/09 (17h30) Iles Salomon - Salvador

24/09 (20h30) Pays Bas - Argentine

Programme de la 2e phase:

Quarts de finale:

26/09 (16h00) 1er groupe C - 2e groupe D (1)

26/09 (17h30) 1er groupe B - 2e groupe A (2)

26/09 (19h00) 1er groupe A - 2e groupe B (3)

26/09 (20h30) 1er groupe D - 2e groupe C (4)

Demi-finales:

28/09 (19h00) Vainqueur quart N.3 - Vainqueur quart N.1

28/09 (20h30) Vainqueur quart N.4 - Vainqueur quart N.2

Match pour la 3e place:

29/09 (19h00)

Finale:

29/09 (20h30)


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Rencontre entre Geffry Salmon et Théo Sulpice à Paris

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Rencontre entre Geffry Salmon et Théo Sulpice à Paris
Une rencontre a été organisée entre Geffry Salmon, ministre de la Culture et du Tourisme de la Polynésie Française et Théo Sulpice à la Délégation de la Polynésie le 19 septembre 2013.
Des projets d'avenir ont été évoqués, ils concernent essentiellement 3 dossiers:
- Un dossier de la SACEM
- Un dossier de Convention et promotion du Fenua’a prĂ©sentĂ© par ThĂ©o Sulpice
- Un dossier de RadioFrance

Concernant le dernier dossier, l’objet de l’entretien d’aujourd’hui est d’organiser un projet avec la productrice dĂ©lĂ©guĂ©e de RadioFrance, Françoise Degeorges, concernant la diffusion de plusieurs Ă©missions reflĂ©tant les artistes polynĂ©siens et leur Ă©volution. FranceO est l’un des associĂ©s inclus dans ce projet.
Une Ă©mission parmi toutes sera diffusĂ©e en direct de Tahiti sur le plan national. Françoise Degoerges souhaite rediffuser d’autres Ă©missions en mĂ©tropole et ainsi sur le web, qui seront diffusĂ©s dans le monde.

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ATN : la commission de contrĂŽle se penche sur le CA de la compagnie

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ATN : la commission de contrĂŽle se penche sur le CA de la compagnie
PAPEETE, lundi 23 septembre 2013 – La commission de contrĂŽle budgĂ©taire et financier de l’AssemblĂ©e doit instruire mardi le projet d’arrĂȘtĂ© du Conseil des ministres portant nomination des reprĂ©sentants du Pays au Conseil d’administration d’Air Tahiti Nui.

Le 12 septembre dernier, neuf reprĂ©sentants avaient Ă©tĂ© proposĂ©s par le gouvernement pour siĂ©ger au CA de la compagnie aĂ©rienne : Geffry Salmon (ministre du Tourisme), Nuihau Laurey (Vice-prĂ©sident, ministre de l'Economie et des Finances), Jean-Christophe Bouissou (reprĂ©sentant Ă  l’APF), Edouard Fritch (prĂ©sident de l’APF), Teura Iriti (reprĂ©sentante Ă  l’APF), Daniel Palacsz (sociĂ©tĂ© civile), Michel Monvoisin (directeur gĂ©nĂ©ral de la SA OcĂ©anienne de services bancaires, l'OSB) et Gilles BernĂšde (reprĂ©sentant du personnel d’ATN).

Une fois constituĂ©, le nouveau Conseil d’administration d’ATN se rĂ©unira sous quinzaine pour Ă©lire le nouveau prĂ©sident de la compagnie. Le nom de Michel Monvoisin a Ă©tĂ© suggĂ©rĂ© pour occuper ce poste.

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Nuihau Laurey reçu Ă  l’AutoritĂ© nationale de la concurrence

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Nuihau Laurey reçu Ă  l’AutoritĂ© nationale de la concurrence
PARIS, lundi 23 septembre 2013 (communiquĂ©) – Nuihau Laurey a Ă©tĂ© reçu Ă  16 h, par le prĂ©sident de l’AutoritĂ© Nationale de la Concurrence (ANC), Bruno Lasserre, ainsi que par Virginie Beaumeunier, rapporteur gĂ©nĂ©ral, et Liza Bellulo, chef du service du prĂ©sident. Le vice-prĂ©sident du gouvernement Ă©tait accompagnĂ© de Maina Sage, prĂ©sidente de la commission des finances de l’AssemblĂ©e de PolynĂ©sie française et de Benoit Thirion, conseiller technique.

Les discussions ont portĂ© sur la loi sur la concurrence et la crĂ©ation de la future autoritĂ© polynĂ©sienne de rĂ©gulation de la concurrence. Le projet de loi de pays rĂ©cemment transmis pour avis au CESC et au Haut conseil de PolynĂ©sie française, sera prochainement examinĂ© par la commission financiĂšre de l’APF.

La question des pouvoirs d’enquĂȘte des agents de la future autoritĂ© administrative constitue une des conditions de la rĂ©ussite de cette entitĂ© qui sera chargĂ©e de mettre en Ɠuvre le droit de la concurrence en PolynĂ©sie.

> Lire aussi : Concurrence : des rĂšgles et un arbitre pour imposer les "bonnes pratiques"

Bruno Lasserre a indiquĂ© l’intĂ©rĂȘt que portait l’ANC Ă  la dĂ©marche initiĂ©e par la PolynĂ©sie française en matiĂšre de rĂ©glementation de la concurrence. DiffĂ©rents points relatifs Ă  l’indĂ©pendance de la future autoritĂ© administrative ont Ă©tĂ© Ă©voquĂ©s, de mĂȘme que les relations avec les diffĂ©rents rĂ©gulateurs sectoriels, notamment la Commission de rĂ©gulation de l’énergie (CRE) et l’AutoritĂ© de rĂ©gulation des tĂ©lĂ©communications et des postes (ARCEP).

Nuihau Laurey et le prĂ©sident de l’ANC ont convenu de signer dĂšs la promulgation de la future loi de pays sur la concurrence une convention de partenariat afin de faciliter la mise en place de l’autoritĂ© polynĂ©sienne de la rĂ©gulation de la concurrence. Ce partenariat prĂ©voira notamment la formation des agents aux techniques d’enquĂȘte et Ă  l’instruction des dossiers liĂ©s Ă  des problĂ©matiques de concurrence.

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CCISM : la liste Rima Ora entre dans la danse

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CCISM : la liste Rima Ora entre dans la danse
PAPEETE, lundi 23 septembre 2013 - Le groupe Rima Ora rĂ©agit aux propos tenus par Gilles Yau dans un quotidien de la place, qui accusait vendredi ses adversaires d’avoir "exercĂ© une pression intolĂ©rable" pour tenter de le disqualifier Ă  la prochaine Ă©lection consulaire.

La liste Rima Ora est candidate aux du 5 décembre prochain qui renouvelleront les 36 élus de l'Assemblée générale de la Chambre de commerce, d'industrie, des services et des métiers (CCISM).

TroisiĂšme force en prĂ©sence Ă  ce suffrage, confrontĂ© aux deux formations historiques Rima Ora se dĂ©finit comme "une nouvelle force de proposition crĂ©Ă©e Ă  la demande de nombreux patentĂ©s et chefs d’entreprise non satisfaits des bilans et actions menĂ©s par la CCISM".

"iNotre liste a souhaitĂ©, Ă  travers diffĂ©rents courriers auprĂšs du PrĂ©sident de la Chambre de Commerce et de la vice-prĂ©sidence, que cette Ă©lection se fasse dans les rĂšgles et de maniĂšre impartiale ce qui n’était pas le cas au dĂ©but, puisque les listes de M. Yau et de M. Chin Loy se retrouvaient juge et partie lors de la premiĂšre validation des diffĂ©rents collĂšges et sans notre prĂ©sence. Nous prĂ©cisons que le juge nous avait donnĂ© raison sur ce point.

On dĂ©couvre, Ă  travers la rĂ©ponse de M. Chin Loy Ă  M. Yau que M. Jimmy Wong, colistier de M. Yau, a dĂ©clarĂ© dans les Nouvelles du 9 septembre 2013 que les contrĂŽles de leur liste n’avait pas Ă©tĂ© faits avec suffisamment de rigueur « d’autant que ce n’est pas une Ă©lection qui mobilise les foules ». Tout cela manque de sĂ©rieux surtout quand on a exercĂ© plusieurs annĂ©es Ă  la CCISM et qu’on en connaĂźt tous les rouages.

Le peu de participation des Ă©lecteurs montre le dĂ©sintĂ©rĂȘt des patentĂ©s et des entreprises du Fenua pour l’Organisme qui les reprĂ©sente.

Rima Ora n’a pas d’adversaire et nous sommes prĂȘts Ă  travailler avec tous ceux qui le voudront. Rima Ora se dĂ©finit comme une nouvelle force de proposition crĂ©Ă©e Ă  la demande de nombreux patentĂ©s et chefs d’entreprise non satisfaits des bilans et actions menĂ©s par la CCISM. Il suffit d’ailleurs de prendre connaissance du rapport de la Cour des Comptes...

Rima Ora compte respecter le cadre lĂ©gal et n’a d’ailleurs fait aucun recours lors de l’annulation de son CollĂšge des MĂ©tiers Ă  la suite des premiers rĂ©sultats. Que M. Yau se rassure, pour nous, cette campagne sera surtout l’occasion de dĂ©fendre un programme et des idĂ©es autour d’une nouvelle Ă©quipe motivĂ©e qui veut sensibiliser les Ă©lecteurs des Ăźles et de Tahiti, déçus par le manque de considĂ©ration des problĂ©matiques qu’ils rencontrent.

Travaillons ensemble pour le bien de tous
 et surtout allons voter".

[Les listes candidates

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Météo : vigilance orange sur les Tuamotu

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Météo : vigilance orange sur les Tuamotu
PAPEETE, lundi 23 septembre 2013. MĂ©tĂ©o France a Ă©mis de nouveau un bulletin de vigilance orange sur les Tuamotu ce mardi Ă  5 heures. Des prĂ©cipitations soutenues ou orageuses sont prĂ©vues dans les Tuamotu, les Îles du Vent et mĂȘme jusqu’à Rapa au sud de l’archipel des Australes. Les autres archipels en revanche sont Ă©pargnĂ©s par ce phĂ©nomĂšne pluvieux. La vigilance jaune impose d’ĂȘtre attentif si vous pratiquez des activitĂ©s sensibles au risque mĂ©tĂ©orologique. Il ne s’agit que de phĂ©nomĂšnes habituels dans la rĂ©gion, mais qui peuvent ĂȘtre occasionnellement dangereux avec des averses localement fortes et du vent soutenu sous les rafales.
La vigilance orange nécessite de se tenir au courant de l'évolution météorologique et suivre les conseils et les consignes particuliÚres éventuellement émises par le Haut-Commissariat.

Des conditions mĂ©tĂ©o soudainement dĂ©gradĂ©es au cours du week-end dernier qui n’entament pas l’enthousiasme de certains Ă  pratiquer leur activitĂ© nautique favorite. Ainsi, ce lundi aprĂšs-midi Ă  Papara, un paddle-boarder n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  affronter la pluie battante dans le lagon en s’emmitouflant dans une parka. Une vision suffisamment insolite pour que nous en fassions l’écho. Qu’importe la mĂ©tĂ©o pourvu qu’on ait le «spirit»!

Météo : vigilance orange sur les Tuamotu

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Une maison détruite par le feu à Mataiea

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Une maison détruite par le feu à Mataiea
MATAIEA, lundi 23 septembre 2013. Un fare MTR de la commune de Mataiea située vers le PK 46 cÎté mer a été entiÚrement détruite par un incendie dimanche en fin de journée. La propriétaire de cette maison, ùgée de 30 ans avait allumé un petit feu de déchets verts dans son jardin et n'a pas su maßtriser l'incendie qui s'est rapidement propagé jusqu'à sa maison vers 18h30. En dépit d'une rapide intervention des pompiers la maison a été entiÚrement détruite par le feu. Aucun blessé n'est à déplorer.


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Echouement d’un voilier sur l’atoll de Scilly

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Echouement d’un voilier sur l’atoll de Scilly
Le dĂ©clenchement d’une balise de dĂ©tresse dans la soirĂ©e de dimanche a amenĂ© le MRCC Ă  lancer des recherches afin d’en connaĂźtre l’origine.
Lundi Ă  01h45, l’avion « Gardian » de la flottille 25F a localisĂ© le navire Ă  l’origine de ce dĂ©clenchement, le voilier « SOUKYU » Ă©chouĂ© sur l’atoll de Scilly.
Le MRCC a aussitĂŽt organisĂ© l’évacuation du skipper par hĂ©litreuillage. Pour cela, la flottille 35F a Ă©tĂ© mobilisĂ©e ainsi que l’avion CASA de l’armĂ©e de l’air, afin d’effectuer un ravitaillement en carburant de l’hĂ©licoptĂšre Dauphin sur l’aĂ©roport de Maupiti.

Sain et sauf, le naufragé, de nationalité japonaise, a été transféré à Papeete.

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Chaussée glissante : trois voitures et un scooter s'encastrent à Punaauia

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Chaussée glissante : trois voitures et un scooter s'encastrent à Punaauia
PUNAAUIA, lundi 23 septembre 2013. Trois voitures et un deux-roues ont Ă©tĂ© impliquĂ©s ce lundi matin vers 5h30 dans un accident de la circulation au PK 15,5 Ă  Punaauia. Tous les vĂ©hicules roulaient dans le mĂȘme sens (Taravao-Papeete) et se sont encastrĂ©s les uns dans les autres quand la premiĂšre voiture a freinĂ© soudainement.

En raison de la chaussée glissante, les deux voitures qui suivaient et le deux-roues en queue de file se sont rentrés les uns dans les autres. Au total cinq personnes ont été conduites au Centre hospitalier du Taaone pour des blessures légÚres et des examens médicaux aprÚs le choc. Aucun des conducteurs n'était sous l'emprise d'un état alcoolique.

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Pakalolo: certains enfants de 6 ans ont déjà fumé !

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Pakalolo: certains enfants de 6 ans ont déjà fumé !
PAPEETE, lundi 23 septembre 2013. 1988, 1999 et 2009 ce sont les dates des trois grandes enquĂȘtes menĂ©es en PolynĂ©sie sur la consommation de drogue. Une tous les dix ans. La derniĂšre effectuĂ©e en 2009 et publiĂ©e en 2011 a montrĂ© une progression de la consommation des drogues, particuliĂšrement chez les jeunes. 29% des jeunes scolarisĂ©s au second degrĂ© (6e Ă  la terminale) ont dĂ©jĂ  consommĂ© au moins une fois de la drogue, le plus gĂ©nĂ©ralement du pakalolo, le cannabis local. Quasiment un enfant sur trois qui entre au collĂšge fumera au moins une fois un joint avant de quitter le lycĂ©e. Quand il ne s’agit que d’une consommation Ă©pisodique Ă  l’occasion de soirĂ©es, ce n’est pas si grave.

Mais pour 4% de ces jeunes, la consommation de drogue est rĂ©guliĂšre : au moins deux Ă  trois fois par semaine et surtout s’associe Ă  d’autres conduites addictives, le plus souvent l’alcool et le tabac. La dĂ©pendance est alors importante, le changement de comportement de ces jeunes Ă©vident entraĂźnant l’absentĂ©isme scolaire voire la dĂ©scolarisation totale. Le ministre de l’éducation du Pays Ă©voquait en 2011 environ 600 mineurs dĂ©scolarisĂ©s en PolynĂ©sie. Un phĂ©nomĂšne suffisamment important, mĂȘme s’il reste moindre que dans certaines rĂ©gions urbaines françaises, pour qu’une convention de partenariat soit envisagĂ©e en aoĂ»t 2012 entre justice, police, gendarmerie et le systĂšme Ă©ducatif pour lutter contre le dĂ©crochage scolaire et les comportements dĂ©viants en milieu scolaire. La convention en question, du fait du renouvellement politique, est pour l’instant toujours en gestation.

Ce qui inquiĂšte en PolynĂ©sie c'est l’aggravation de la consommation de drogue au cours des dix derniĂšres annĂ©es (ce qui est rĂ©current partout dans le monde) et surtout sur la jeunesse des consommateurs rĂ©guliers. Un consommateur sur trois a commencĂ© Ă  fumer du pakalolo avant l’ñge de 14 ans. Au Centre de consultations spĂ©cialisĂ©es en alcoologie et toxicomanie (CCSAT) qui dĂ©pend de la direction de la santĂ© Ă  Papeete on remarque que pour certains des patients qui viennent en consultation au Centre, l’ñge de la premiĂšre bouffĂ©e de paka se situait Ă  6 ou 7 ans, au tout dĂ©but de l’école primaire ! Bien sĂ»r, ils ne sont pas alors des consommateurs rĂ©guliers, mais avec l’ñge et l’augmentation de la consommation, vient la dĂ©pendance, d’autant qu’elle s’accompagne le plus souvent d’une poly consommation de divers produits illicites.

Il ressort Ă©galement de la derniĂšre enquĂȘte rĂ©alisĂ©e en 2009 que «par rapport Ă  la mĂ©tropole, Ă  15 ans, les niveaux de consommation et d’usages Ă  risque de paka apparaissent supĂ©rieurs en PolynĂ©sie». La banalisation de l’usage de paka est aussi une nouvelle donnĂ©e selon le docteur Marie-Françoise Brugiroux, chef de service du CCSAT depuis 1987. Autre rĂ©alitĂ© vĂ©cue au quotidien par le Centre : les jeunes qui deviennent dĂ©pendants le sont en raison de problĂšmes de personnalitĂ© ou de leur contexte personnel. «La consommation rĂ©guliĂšre d’un produit quel qu’il soit s’explique toujours par une souffrance» dĂ©taille encore Marie-Françoise Brugiroux. Ce qui inciterait Ă  poser le problĂšme de la drogue d’un point de vue plus gĂ©nĂ©ral. Faire des campagnes de communication contre les drogues est une chose, une prochaine campagne du Pays est prĂ©vue courant 2014, mais si rien n’est fait pour remĂ©dier au mal ĂȘtre des jeunes qui consomment, cela ne sera toujours pas significatif pour lutter contre ce flĂ©au.

Pour lire l'enquĂȘte publiĂ©e en 2011 au complet, suivre le lien ICI

Pakalolo: certains enfants de 6 ans ont déjà fumé !
1400 toxicomanes suivis par le CCSAT


Le Centre de consultations spécialisées en alcoologie et toxicomanie (CCSAT) a ouvert ses portes en Polynésie en 1984. Le Centre a suivi en 2012 pas moins de 1404 personnes pour des problÚmes de toxicomanie, un nombre de «patients» important au vu de la taille du territoire concerné. En 2012, 40% des patients pris en charge par le Centre avaient moins de 20 ans (87% étaient adressés par leur établissement scolaire, 9% par la justice).

Le Centre est situĂ© rue des Poilus Tahitiens Ă  Papeete (en face de l'imprimerie Officielle). L’accueil du public se fait du lundi au jeudi de 7h30 Ă  15h30, le vendredi de 7h30 Ă  14h30. L’équipe est composĂ©e de deux mĂ©decins, trois psychologues cliniciennes, deux infirmiers et une secrĂ©taire et assure chaque semaine plusieurs sessions d'information ou de consultations au sein des collĂšges et lycĂ©es de Tahiti et Moorea. Une prĂ©vention ou une action directement dans les Ă©tablissements scolaires, relayĂ©es par les infirmiĂšres scolaires, qui porte ses fruits aprĂšs 25 ans de travail sur le terrain.

Contacts du CCSAT
TĂ©lĂ©phone : 46 00 67. Site Internet (qui doit ĂȘtre rĂ©actualisĂ© prochainement) : www.drogue-polynesie.com/

L'association Vivre sans drogue reçue Ă  l’AssemblĂ©e

L’association Vivre sans Drogue est allĂ©e il ya peu Ă  la rencontre des Ă©lus de l’assemblĂ©e de PolynĂ©sie française via la commission santĂ© de l’institution. «Nous avions invitĂ© les 57 reprĂ©sentants Ă  parler des problĂšmes de la jeunesse et de la drogue et de notre demande de mettre en place des tests salivaires dans les Ă©tablissements scolaires pour vraiment mesurer le problĂšme. Seuls dix d’entre eux Ă©taient prĂ©sents, essentiellement des femmes» note avec un peu d’amertume la prĂ©sidente de l’association Jacqueline LiĂ©nard. Mais la prĂ©sidente de la commission santĂ© de l’assemblĂ©e, Sylvana Puhetini s’est dĂ©clarĂ©e ouverte Ă  ces questions «en tant que mĂšre et en tant qu’infirmiĂšre». Elle souhaite ainsi poser une question au gouvernement Ă  ce sujet «pour ouvrir le dĂ©bat. Il y a une vraie inquiĂ©tude sur les problĂšmes de toxicomanie. C’est vrai dans les Ă©tablissements scolaires et aussi dans le milieu du travail» remarque l’élue.

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Beach Soccer: L'Espagne s'impose 4 buts Ă  2 face Ă  Tahiti

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Beach Soccer: L'Espagne s'impose 4 buts Ă  2 face Ă  Tahiti
Les Tiki Toa se sont inclinés 4 buts à 2 face aux espagnols lors du dernier match de poule qui se disputait ce lundi soir place To'ata.

Déjà qualifiés pour les 1/4 de finale les tahitiens devront donc affronter l'Argentine mercredi soir;

DÚs la premiÚre partie, l'Espagne a dominé le match avec 3 buts à zéro.


Tahiti à marqué son premier but à 30 secondes de la fin de la seconde partie. Score de 4 à 1 en faveur des Espagnols

un 2 Úme but a été pour Tahiti à 2 minutes de la Fin du match, mais cela n'a pas suffit aux Tiki Toa pour reprendre la main.

L'Espagne s'impose 4 buts Ă  2 .

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Beach Soccer : Espagne-Tahiti 4 Ă  2. Naea Bennett le capitaine : “Cette dĂ©faite est collective”

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Beach Soccer : Espagne-Tahiti 4 Ă  2. Naea Bennett le capitaine : “Cette dĂ©faite est collective”
Lundi 23 septembre 2013. L’équipe des Tiki Toa s’est inclinĂ©e 4 Ă  2 contre l’Espagne dans ce troisiĂšme et dernier match de poule A. AprĂšs avoir remportĂ© leur premier match 3 Ă  2 contre les Emirats Arabes Unis puis leur deuxiĂšme match 5 Ă  3 contre les Usa, cette fois-ci c’est la dĂ©faite, devant un public venu nombreux malgrĂ© la pluie. Ils devront donc affronter l’Argentine en quart de finale, une Ă©quipe qu’ils ont battu 6 Ă  4 le 6 septembre dernier lors d’un match amical.

DĂšs les premiers instant du match, sur un terrain humide qui favorise un peu plus le jeu Ă  terre, on note la prĂ©sence dans les buts tahitiens de Franck Revel le numĂ©ro 12, qui a la lourde tĂąche de succĂ©der Ă  Johnatan Torohia, impĂ©rial dans les deux premiers matchs de cette Coupe du Monde. AssurĂ©s de leur qualification en quart de finale, l’entraĂźneur fait logiquement tourner son effectif. Heimanu Taiarui reste Ă©galement sur le banc.

Cela commence plutĂŽt mal pour Franck, il fait un bel arrĂȘt mais relĂąche la balle dans les pieds argentins : c’est le 1-0 Ă  trois minutes du dĂ©but. L’Espagne, une Ă©quipe expĂ©rimentĂ©e, joue bien et marque son deuxiĂšme but trois minutes plus tard. A quatre minutes de la fin du premier tiers temps, une frappe espagnole touche l’intĂ©rieur du poteau droit mais le but n’est pas accordĂ©.

Les Tiki Toa se battent, ne se laissent pas faire, Raimana Lee Fung Kuee tente sa chance mais la balle passe au dessus. A trois minutes de la fin du tiers temps Franck Levert est sollicitĂ© et rĂ©alise un magnifique arrĂȘt. Malheureusement, il rate sa relance qui atterrit directement dans les pieds de l’attaquant adverse qui frappe sans contrĂŽle et assĂšne le but du 3 Ă  0. Franck adresse un geste d’excuse vers son entraĂźneur. Tearii Labaste dĂ©tourne de la poitrine une balle rapide qui touche le poteau espagnol, 40 secondes avant la fin de la premiĂšre pĂ©riode.

Dans le second tiers temps, les espagnols frappent encore sur la barre transversale, puis finalement marquent leur 4Ăšme but, quatre minutes aprĂšs la reprise du jeu. A partir de ce moment ils ne marqueront plus. Les Tiki Toa enchaĂźnent les occasions mais n’arrivent pas Ă  concrĂ©tiser.

A cinq minutes de la fin de la période Patrick Tepa dévie judicieusement la balle vers son capitaine Naea Bennett qui tente sa chance mais la balle passe juste au dessus des buts espagnols. Heiarii Tavanae rate une reprise de volée à bout portant. Il faut attendre la toute fin du deuxiÚme tiers temps pour que Patrick Tepa, allÚge la situation en revenant à 4 à 1.

Dans le troisiĂšme tiers temps les Tiki Toa poussent vaillamment, Naea Bennett, Teva Zaveroni, Patrick Tepa font de leur mieux, mais semblent impuissants face Ă  une Ă©quipe espagnole bien en place. Les cartons jaunes sont distribuĂ©s des deux cĂŽtĂ©s. A trois minutes de la fin, Franck Levert frĂŽle le deuxiĂšme but offert Ă  l’adversaire avec une mauvaise relance. Sur un coup de pied arrĂȘtĂ©, Raimana Lee Fung Kuee envoie un boulet de canon dans les buts espagnols et rĂ©duit le score Ă  4 Ă  2, c’est l’explosion de joie pour le public de To’ata, malheureusement ce sera le score final.

Angelo Schirinzi serre la main du coach espagnol semblant reconnaĂźtre la bonne performance de l’Espagne qui rappelons-le est la grande nation de football qui a gagnĂ© la derniĂšre Coupe du Monde en football ‘classique’.

Naea Bennett, en bon capitaine, analyse la situation sans dramatiser : “C’est une Ă©quipe d’expĂ©rience, on va essayer de tirer les leçons de ce match. On a quand mĂȘme essayĂ© de rĂ©agir mais cela n’a pas suffit. La dĂ©faite est collective, il faut rester solidaires.”

Il serait bien facile de mettre cette dĂ©faite sur le dos du gardien de but remplaçant qui, Ă  part les quelques erreurs lourdes en consĂ©quences, a fait de bons arrĂȘts. Comme toujours, les commentaires sur les rĂ©seaux sociaux ne sont pas tendres mais d’autres prĂ©fĂšrent soutenir ‘plus que jamais’ nos Tiki Toa, pour le meilleur comme pour le pire.

Et puis quel Ă©tait le rĂ©el enjeu de ce match ? Tenter d’éviter de tomber contre l’Argentine, une Ă©quipe battue 6 Ă  4 il y a moins de trois semaines ? Certes, les argentins venaient d’arriver et seront certainement plus affĂ»tĂ©s en quart de finale mais les Tiki Toa ont dĂ©jĂ  montrĂ© leur capacitĂ© Ă  dĂ©velopper un bon jeu, dans diffĂ©rentes situations et devant diffĂ©rentes Ă©quipes de qualitĂ©, toutes aussi hargneuses les unes que les autres : les suisses, les hollandais, les français, les argentins ou encore les australiens.

On voit aussi tout l’intĂ©rĂȘt de ce sport oĂč les situations basculent sur pas grand chose, on remarque l’importance des entames de matchs, de la volontĂ©, du physique qui permet de tenir le pressing qui empĂȘche l’adversaire de dĂ©velopper le jeu. Les Tiki Toa auront montrĂ© de la force de caractĂšre, car quand les choses tournent mal, il est parfois difficile d’inverser la tendance, or ils se sont accrochĂ©s pour revenir malgrĂ© tout Ă  4-2.

Le suspense reste entier et l’énergie du public aura toute son utilitĂ© dans le prochain match. Les argentins risquent fort de vouloir prendre leur revanche mercredi Ă  17H30 mais ne doutons pas des ressources de nos ‘aito’ qui ne manqueront pas de tout donner pour ce moment important dans l’histoire du sport tahitien. SB






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GrĂšce: aux innocents les mains pleines de billets

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GrĂšce: aux innocents les mains pleines de billets
ATHÈNES, 23 septembre 2013 (AFP) - Un groupe d'enfants qui jouaient, en GrÚce, dans un immeuble abandonné de Ioannina (nord-ouest) a mis au jour un trésor inattendu: les 43.000 euros en petites coupures qu'une octogénaire avait dissimulés dans le bùtiment, espérant sauver ses économies de la crise, a-t-on appris lundi de source policiÚre.

L'argent était dissimulé dans un sac sur lequel les enfants, ùgés d'une dizaine d'années, sont tombés par hasard en jouant dans l'immeuble abandonné, a indiqué la police, confirmant des informations de presse.

Selon l'agence de presse Ana (semi-officielle), des voisins ont alertĂ© la police aprĂšs avoir vu les Ă©coliers jouer avec les billets et mĂȘme en dĂ©chirer certains.

Les autoritĂ©s sont Ă  leur tour parties Ă  la chasse au trĂ©sor et dĂ©couvert que cette petite fortune appartenait Ă  une retraitĂ©e de 83 ans, propriĂ©taire de l'immeuble oĂč elle eu l'idĂ©e de dissimuler ses Ă©conomies retirĂ©es de la banque il y trois ans par crainte d'un effondrement du systĂšme financier du papier engluĂ© dans la crise.

L'octogénaire a affirmé ne plus se souvenir précisément du montant dissimulé dans le bùtiment, prÚs duquel elle vit, l'estimant entre 50.000 et 70.000 euros.

La crise économique qui frappe la GrÚce depuis 2010 a conduit de nombreux Grecs à mettre leurs économies à l'abri loin des banques du pays, soit en les transférant à l'étranger, soit en les cachant à domicile. Les ventes de coffres-forts avaient sensiblement augmenté au début de la crise.

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Le Prince Harry attendu en Australie en octobre

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Le Prince Harry attendu en Australie en octobre
CANBERRA, mardi 24 septembre 2013 (Flash d’OcĂ©anie) – Le nouveau Premier ministre australien, Tony Abbott, a annoncĂ© en dĂ©but de semaine la prochaine visite dans son pays du Prince Harry, Ă  l’occasion d’un dĂ©filĂ© maritime Ă  Sydney censĂ© commĂ©morer le centenaire de la marine australienne, durant la premiĂšre quinzaine d’octobre (3-11).
À cette occasion, les marines de nombreux pays alliĂ©s participeront Ă©galement Ă  cet Ă©vĂ©nement dont le temps fort sera l’entrĂ©e de cette flotte internationale dans le port de Sydney.
Il s’agira de la premiĂšre visite officielle du Prince, ĂągĂ© de 28 ans, qui Ă©tait dĂ©jĂ  venu dans ce pays Ă  titre privĂ© en 2003.
En tant que soldat au sein de l’armĂ©e britannique, il reprĂ©sentera aussi la Reine Elizabeth II d’Angleterre.

pad

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