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Renouvellement de la convention Etat-Polynésie française dans le domaine de la jeunesse et des sports

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Renouvellement de la convention Etat-Polynésie française dans le domaine de la jeunesse et des sports
PARIS, le 13 avril 2015. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Le ministre de la Jeunesse et des Sports, René Temeharo, a participé en fin de semaine dernière à Paris, à la conférence annuelle d’évaluation de la convention décennale liant l’Etat et le Pays en matière de jeunesse et de sport. L’accord sera reconduit dans les prochains mois, pour une période de cinq années, après approbation par l’Assemblée de la Polynésie française.

Conclu en 2003, le partenariat prévoit la mise à disposition du Pays de cinq cadres d’Etat, et l’affectation de moyens budgétaires en fonctionnement, destinés notamment à soutenir les fédérations et associations sportives polynésiennes.

Plus tôt dans la semaine, René Temeharo avait plaidé pour le maintien des dotations budgétaires transférées au budget de la Polynésie française, auprès du directeur général du Centre national pour le développement du sport (CNDS), Jean-François Guillot. Celui-ci lui a assuré que ce serait le cas.

Maintien du financement d’infrastructures sportives

Le directeur du CNDS a, par ailleurs, confirmé au ministre le cofinancement d’infrastructures sportives sur le territoire, dans la perspective des Jeux du Pacifique de 2023. Cette annonce témoigne de la volonté de l’Etat, d’accompagner la Polynésie française dans l’organisation de cet évènement.

La conférence annuelle d’évaluation Etat-Polynésie française qui s’est tenue au Secrétariat d’Etat aux Sports a pu dresser le bilan d’exécution et les perspectives de la commission CNDS et du CTJEP. Cette conférence est venue conclure une mission à Paris particulièrement chargée, au cours de laquelle René Temeharo a notamment été reçu par le conseiller en charge de l’outre-mer à Matignon, au ministère des Outre-mer, au secrétariat d’Etat au Sports, au Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep).

Globalement, ce déplacement jugé positif par le ministre, a permis de consolider le partenariat entre l’Etat et la Polynésie française, dans le domaine de la jeunesse et des sports.

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Cuisine : des idées originales pour savourer le coco

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Cuisine : des idées originales pour savourer le coco
PAPEETE, le 13 avril 2015. Maeva Shelton est une spécialiste de la cuisine polynésienne. Pour son 4e cahier de cuisine, elle a concocté pas moins de 60 recettes à base de coco, élément indispensable à une cuisine océanienne aussi bien en recettes salées que sucrées.
Comme toujours les livres de cuisine de Maeva Shelton ne se limitent pas à énumérer des recettes en suivant les étapes des plats mais à présenter avant tout l'ingrédient principal autour duquel elle a façonné ses compositions. Ce 4e opus de ses cahiers n'échappe pas à la règle : après la vanille, les produits du fenua et les recettes végétariennes, cette fois place au coco, "un élément de base propre à toutes les îles de la Polynésie" dont les bienfaits nutritifs sont enfin reconnus à leur juste valeur.

Utilisé pour son onctuosité et sa saveur, le lait de coco entre dans la composition de nombreuses sauces qui accompagnent aussi bien la viande que le poisson pour des recettes dont l'exotisme océanien ou asiatique charmera nécessairement des convives surpris de certaines associations de goûts. On tentera notamment le gigot d'agneau au curcuma et au lait de coco ou encore le filet d'agneau à l'ananas et au lait de coco. Si on parvient en outre à reproduire les présentations originales des plats de Maeva Shelton, la surprise sera plus grande encore et c'est aussi ce qui fait le charme de ses cahiers de cuisine ! Le lait de coco, une sorte de crème fraîche locale, monté en chantilly viendra agrémenter les desserts d'un parfum original. Quant au coco râpé, il accompagne les desserts et apporte un croustillant sucré naturellement.

Les recettes de Maeva Shelton alternent avec des éléments incontournables comme le pain coco traditionnel qui trône en bonne place dans les petits-déjeuners locaux mais aussi des créations originales comme la polenta au lait de coco. Même si les recettes semblent s'adresser à ceux qui disposent de noix de coco fraîches à portée de la main, elles sont complètement adaptables aux résidents métropolitains par exemple à partir de lait de coco en boîte ou de coco râpé séché que l'on trouve désormais partout. Le cahier "les recettes au coco" de Maeva Shelton de 72 pages, en vente au prix de 1800 Fcfp, est déjà disponible dans toutes les libraires de Tahiti et en grandes surfaces. L'auteur et cuisinière sera en signature le 25 avril prochain à la librairie Archipels : un moment de partage et de discussion à ne pas rater car ce sera un moment forcément savoureux.

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Environnement: le photomontage d'un étudiant polynésien

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Environnement: le photomontage d'un étudiant polynésien
Wilfred Johnston est étudiant à l'Université de la Polynésie française. Il prépare une licence en informatique et se montre très préoccupé par les problématiques environnementales. Dans le but de sensibiliser les gens au tri des déchets tout en tirant les alarmes sur les risques de montée des eaux, il a réalisé ce photo montage


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Football « OFC Champions league » : Tefana, d’un but…

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Football « OFC Champions league » : Tefana, d’un but…
Ce samedi 11 Avril et pour son entrée en lice pour l’OFC Champions League qui se déroule à Suva à Fiji, l’AS Tefana a malheureusement concédé sa première défaite face aux néozélandais du Team Wellington.

Après une première demi-heure de jeu équilibré, c’est le team Wellington qui va ouvrir le score par l’intermédiaire de Luis Corrales à la 36ème minute. La réponse des canaris de Faa’a ne se fait pas prier puisqu’à la 44ème minute sur un coup franc et une sortie hasardeuse du gardien qui se fait surprendre… 1 à 1, c’est le score à la pause.

La deuxième mi-temps démarre sur le même tempo, il faut attendre la 67ème minute et, sur une erreur de communication, voir Smith doublé la mise pour le team Wellington. Malgré quelques tentatives pour revenir au score, le résultat allait en rester là… Le team Wellington s’impose sur le score de 2 à 1.


Suivez les résultats de nos représentants à l’OFC Champions league sur www.sportstahiti.com

Football « OFC Champions league » : Tefana, d’un but…

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Foot-ball « OFC Champion’s League » : Pirae fait match nul…

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Foot-ball « OFC Champion’s League » : Pirae fait match nul…
Vendredi 10 avril s’est déroulé la première journée du OFC Champion’s League au Central Park à Ba à Fidji. L’A.S. Pirae à ouvert le bal face à l’équipe de Samoa Lupe Ole Soaga. Les oranges de Tahiti n’ont pas pu décrocher la victoire et se sont contenter d’un match nul.

Et pourtant tout avait bien commencé pour Pirae ! Après seulement deux minutes de jeu Jay Warren ouvre le score. Les joueurs samoans égalisent à la huitième minute le match est relancé !

A la seizième minute, Pirae reprend l’avantage grâce à un but de Heiarii Tavanae. Le rythme du jeu s’accélère et les attaquants Lupe Ole Soaga multiplient les occasions, à la dix huitième minute Vincent Simon, le portier de Pirae, sauve les buts d’une dangereuse balle dans la zone de pénalty.

A la vingt troisième minute Tehau Teaonui dit « Filou » creuse la l’écart, Pirae mène le match jusqu’à la fin de la première période sur le score de trois buts à un.

Mais à la deuxième mi-temps, c’est un retournement de situation qui se réalise de la part de l’équipe Samoan. Les joueurs de Lupe Ole Soaga mettent la pression et réussissent à revenir au score avant le terme du match. Résultat final : 3 – 3. Prochain match contre GAITCHA lundi 13 avril à 21h00 pour nous Tahiti, le 14 avril à 19h00 à fiji

Le club de Tefana qui est la deuxième équipe à représenter le fenua, les joueurs de Faa’a seront opposés au Team Wellington de la Nouvelle-Zélande samedi 11 avril à 21 h00 (heure Tahiti).

Résultats de la première journée :

Pirae (Tah) 3 – 3 Lupe Ole Soaga (Sam)

Auckland City FC (NZ) 3 – 0 Suva (Fiji)

Western United (Sal) 0 – 1 Amicale (Van)

Ba FC (Fidji) 3 – 0 FC Gaitcha (NC)

Suivez tous les résultats du OFC Champion’s league sur www.sportstahiti.com

Lire aussi: Football "OFC Champion League", Tefana d'un but...

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Boeing invente le "siège à câlins" pour dormir verticalement et confortablement [?] en eco

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Selon le site Dailymail, la firme américaine Boeing aurait déposé un brevet pour un étrange objet, rebaptisé “le siège à calins” (cuddle chair). Le but? Permettre aux passagers de la classe économique de pouvoir dormir confortablement, sans pour autant avoir à incliner leur siège.

Boeing invente le
S'il semble que le système puisse certainement aider à obtenir un peu de repos, quelques problèmes pourraient cependant apparaître. Premièrement, le stockage de centaines de ces sacs à bord. Même s'ils vont vraiment sous le siège, tout le monde acceptera-t'il de sacrifier de la place pour les jambes pour satisfaire le dispositif? Il y a également une préoccupation sanitaire - il devra certainement y avoir une sorte de couverture jetable qu'il faut également ajouter au poids des objets transportés.
Rappelons que s'agissant juste d'un brevet, il n'y a aucune garantie que Boeing ne fasse finalement l' un tel produit. Mais cela ne signifie pas que nous ne continuerons pas à rêver d'un jour où nous pourrons réellement bien dormir dans un avion en classe éco...

Boeing invente le

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Sénatoriales : les candidats autonomistes officiellement déclarés

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Sénatoriales : les candidats autonomistes officiellement déclarés
PAPEETE, 13 avril 2015 – Les deux listes autonomistes issues du Tahoera’a Huira’atira ont officiellement déclaré leur candidature pour les sénatoriales partielles de Polynésie, auprès des services du Haut-commissariat, à la première heure lundi.

Le scrutin est programmé dimanche 3 mai. Les déclarations officielles de candidatures sont possibles jusqu’au 17 avril 18 heures, avant l’ouverture de la campagne officielle, jusqu’à la veille du scrutin. 710 grands électeurs sont appelés à voter dans 3 semaines, à cette élection qui permettra aux autonomistes pro-Flosse et pro-Fritch de compter leurs forces, au sein du Tahoera'a.

Lundi, sans attendre, Vincent Dubois est venu déclarer à la Direction de la réglementation et des affaires juridiques (ex-DRCL), le duo qu’il forme avec Teura Iriti, avec pour suppléants Rosalie Orbeck et Marcelin Lissan. La liste officiellement investie par le Tahoera’a Huira’atira a été la première à se manifester. Immédiatement suivie par la liste dissidente du parti orange, formée par Nuihau Laurey, Lana Tetuanui et leurs deux suppléants. Cette autre candidature autonomiste, soutenue par le gouvernement et le Président Edouard Fritch, se présentera le 3 mai sous l’étiquette Tapura Huira’atira.

Du côté de l'UPLD, rien n'est certain. Pour l’instant, le camp souverainiste n’a pas officiellement arrêté de décision après le report, en l’absence de Tauhiti Nena, empêché, du conseil politique de vendredi 10 avril qui devait entériner la candidature du ticket Tuheiava-Nena, comme pour le scrutin du 28 septembre dernier.

Il semble, au moins en ce qui concerne Tauhiti Nena, qu’une candidature avec le sénateur sortant Richard Tuheiava ne soit pas souhaitable. Le ticket indépendantiste avait recueilli entre 143 et 155 voix, lors du scrutin de fin septembre. Mais une possible liste d’union entre Tauhiti Nena et la mairesse ATP de Uturoa, Sylviane Terooatea, a un temps été évoquée, début avril, avant que l’édile de Raiatea ne confirme vendredi dernier qu’elle renonçait à cette association.

> Lire aussi : Sénatoriales partielles : la liste des grands électeurs publiée

Nous avons interrogé Nuihau Laurey, alors que Vincent Dubois procédait officiellement à la déclaration de candidature de la liste Tahoera'a Huira'atira. Le vice-président du gouvernement justifie une candidature qui lui a valu d'être exclu du parti orange, en début de semaine dernière, avec Lana Tetuanui et leurs deux suppléants, Teapehu Teahe et Michel Buillard. Il insiste sur le caractère démocratique de ce scrutin : "Avec Lana, on se présente devant tous les conseillers municipaux, on explique la motivation de notre candidature, ce que l’on souhaite faire au Sénat. Ce sont les grands électeurs qui trancheront. Ce sont des adultes. Ils sont élus. Ils connaissent les sujets. Nous ferons une présentation publique de notre profession de foi. Chacun se prononcera en son âme et conscience lors du vote du 3 mai. Je ne conçois pas la démocratie autrement".

Sur l’utilité de sa présence à Paris, Nuihau Laurey développe : "Pour Lana, ça lui permettra de défendre les sujet communaux qu’elle connaît bien. Elle est élue depuis de nombreuses années. Pour ma part, je gère les affaires budgétaires et financières du Pays depuis presque deux ans. Chaque année, le vote en métropole de la loi de finances a un impact très important pour la Polynésie. Pour 2014 et 2015, la dotation globale d’autonomie a été réduite de 760 millions Fcfp. C’est la raison pour laquelle il me semble que le gouvernement polynésien doit avoir son mot à dire dans l’examen de la loi de finances. Il s’agit de porter la voix de la collectivité toute entière. Objectivement, la baisse de la DGA s’est faite dans le cadre du pacte de responsabilité des collectivités de la République. Les collectivités ont dans ce cadre fait des efforts en réduisant leurs dépenses, en Polynésie comme ailleurs. Mais en contrepartie, les autres collectivités républicaines ont obtenu des aides en termes de cotisations sociales, au travers du CICE, etc, des aides dont la Polynésie ne bénéficie pas. On fait des efforts ; mais on n’a pas les contreparties. C’est pour cela que la présence du ministre des finances polynésien, dans cette discussion lors de la loi de finances est me semble-t-il importante".

Vincent Dubois s'était beaucoup exprimé mercredi, lors d'une conférence de presse déclenchée par Gaston Flosse, à la veille de l'ouverture de la session administrative de l'Assemblée. "Nos adversaires, ce n’est pas Nuihau Laurey, ce n’est pas le gouvernement d’Edouard Fritch, ni le gouvernement socialiste parisien, pas plus que l’Etat, ni même Tauhiti Nena", avait-il défendu pour faire face à l'accusation d'avoir agi, durant les quatre mois de mandature, d'octobre à fin janvier, contre le gouvernement Fritch. "Nos adversaires, c’est la crise, le chômage, les difficultés des maires avec le CGCT, les difficultés de l’intégration des agents communaux… Nos adversaires, c’est la réforme de la loi Morin (…), la prise en charge par l’Etat de la charge assumée par la CPS pour le traitement des victimes polynésiennes des essais nucléaires, dont le coût total est estimé aujourd’hui à 54 milliards Fcfp (…). Je ne suis pas contre l’Etat ; mais lorsque vous me demanderez de choisir entre les Polynésiens et l’Etat, toujours je choisirai l’intérêt des Polynésiens. (…). Et chaque fois que nous devrons nous battre contre l’Etat pour défendre les intérêts des Polynésiens, Teura et moi, nous le ferons. Maintenant, si les grands électeurs souhaitent avoir des sénateurs dociles, qui ne veulent pas froisser l’Etat au Sénat, qui ne veulent pas partir en guerre pour le compte des Polynésiens sur des sujets importants, comme la loi Morin, l’indemnisation des conséquences des essais nucléaires, la réforme du CGCT… effectivement, je leur dis « ne votez pas pour nous ! » ; mais s’ils veulent des sénateurs qui se battent, qui sont capables d’être fermes et exigeants, alors oui : nous serons leurs porte-parole et nous nous battrons".

Liste des 710 grands électeurs:
Arrêté du 27 mars 2015 fixant la liste des électeurs qui participeront à l'élection sénatoriale du 3 mai 2015
Arrêté du 31 mars modifiant la liste

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Le groupe Casino de Falletta en liquidation

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Le groupe Casino de Falletta en liquidation
PAPEETE, le 13 avril 2015. Après plus d'un an et demi de procédures et pas moins de huit renvois, le tribunal de commerce a finalement décidé de liquider la majorité des sociétés du groupe Casino, dont le P-dg est Franck Falletta. Une seule société sera vendue.

« Certaines sociétés sont liquidées, une autre est vendue et on fait appel du tout. Voilà », a simplement commenté Me Jean-Michel Vergier, avocat de Franck Falletta. Ce dernier n'a pas souhaité commenter la décision à la sortie du tribunal de commerce. Selon nos confrères de Radio 1, seule la société civile gérant le foncier du magasin de Arue a été rachetée par le groupe du propriétaire de Carrefour en Polynésie, Louis Wane.

L’exploitant en Polynésie française des enseignes de grande distribution Casino et Géant Casino, faisait l’objet d’une procédure de redressement judiciaire depuis le 19 juillet 2013. Il était confronté à près de 3,6 milliards Fcfp de dettes.

Lorsqu’une liquidation judiciaire est prononcée
, le jugement devient aussitôt exécutoire de droit. Un mandataire judiciaire commencera sa mission en licenciant les salariés et en clôturant les comptes. Cette exécution peut être suspendue seulement, s'il y a appel, par le premier président de la cour d'appel, qui va alors peser les chances d’obtenir la réformation de la décision.

Selon Ronald Terorotua, président d’honneur de la Confédération syndicale O Oe To Oe Rima, « une soixantaine de personnes travaillaient encore l'année dernière pour le groupe ».


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Anglais: passer l'examen IELTS à Tahiti, c'est maintenant possible

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Anglais: passer l'examen IELTS à Tahiti, c'est maintenant possible
PAPEETE, le 13 avril 2015- Le IELTS (International English Language Testing System) est requis pour poursuivre des études supérieures dans les universités et instituts de Nouvelle-Zélande, d’Australie et du Royaume-Uni et pour obtenir la résidence permanente en Nouvelle-Zélande. Il est également reconnu par de nombreuses universités américaines.

Jusqu’à ce jour les personnes souhaitant passer le test devaient se rendre en Nouvelle-Zélande, ce qui occasionnait des frais importants (déplacements, logements, inscription au test).

Pour la première fois, cet examen se tiendra en Polynésie les 28 et 29 mai 2015 à la Direction Générale de l’éducation et des enseignements.

Les inscriptions se font en ligne à l’adresse suivante : https://www.ela.auckland.ac.nz/ieltsbooking. (date limite le 30 avril)

Une copie de l’inscription doit être adressée pour validation au bureau des relations et Echanges Internationaux de la DGEE qui vous indiquera les modalités de règlement des frais d’inscription. Adresse mail : [dareic@education pf]mail:dareic@education pf

Les frais d’inscription s’élèvent à 505 NZ$.


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KAYAK, V1, SUP –Mata Are Race 2015 : Jonathan Savigny devance Hiromana Florès.

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Belle victoire en kayak de Jonathan Savigny d’Air Tahiti Nui Va’a, qui réussit à distancer Hiromana Florès. En V1 c’est Willy Ah Min qui s’offre sa 1ère victoire de l’année devant Steeve Teihotaata. En SUP Bruno Tauhiro le champion de Shell Va’a ‘largue’ ses concurrents de plus de 8 minutes !
KAYAK, V1, SUP –Mata Are Race 2015 : Jonathan Savigny devance Hiromana Florès.
PUNAAUIA, le 11 avril 2015. La 10ème édition de la Mata Are Surf Ski Race s’est déroulée samedi entre la baie du Taaone et le site des trois pontons à Orohiti, à Punaauia. 275 compétiteurs ont participé à travers les 3 disciplines : le kayak, la pirogue individuelle V1 et le SUP.
 
La Mata Are Race est à l’origine une course de kayak, une trentaine de kayaks étaient au départ. A quelques mois de l’organisation des championnats du monde d’Ocean Racing en Polynésie en octobre, on a pu se rendre compte que d’autres rameurs progressent. Le rameur de Bora Jonathan Savigny est suivi en 2ème position par Georges Tauraa et enfin par Teaurai Floria, un autre kayakiste du club Bora Ocean Paddle de Bora Bora. Hiromana Florès arrive en 5ème position derrière Teva Mooria.
 
Hiromana Florès s’était sans doute trop entraîné la veille, il ne s’était décidé à participer que tardivement. Il est également arrivé en retard au départ et est parti en 2ème ligne. Il a reconnu que ‘c‘est la course et je ne me décourage pas pour autant, l’objectif principal reste le championnat du monde en octobre.’
 
La course V1 était également très attendue et c’est finalement Willy Ah Min, le rameur de Raiatea de Paddling Connection qui réussit à prendre le dessus sur Steeve Teihotaata, le rameur vedette de Edt Va’a. Damas Ami, le jeune rameur de Shell Va’a s’offre un belle 3ème place. Kévin Céran-Jérusalemy de Shell était absent en raison d’une blessure à la main.
 
En SUP, en l’absence de Georges Cronsteadt, c’est l’ancien rameur de Shell Va’a Bruno Tauhiro qui s’impose largement, il distance le 2ème, le jeune Niuhiti Buillard, qui arrive plus de 8 minutes après, suivi par Manatea Bopp Du Pont d’Edt Va’a qui arrive 3ème. La course s’est faite toute en puissance, avec relativement peu de vent et de houle.

KAYAK, V1, SUP –Mata Are Race 2015 : Jonathan Savigny devance Hiromana Florès.
Jonathan Savigny du club Bora Ocean Paddle :
 
Comment envisageais tu cette course ?
 
« Je savais qu’il y aurait eu des champions comme Hiromana Florès, qui gagne toutes les courses de kayak en ce moment, ou Philippe Tauraa qui est très fort également dans les conditions d’aujourd’hui, calme avec pas trop de surf. Je n’étais donc pas vraiment serein. »
 
Comment as-tu pu t’imposer ?
 
« J’ai fait un excellent départ, je suis parti ‘comme une fusée’, je voulais maintenir le plus possible mon avance mais derrière moi j’entendais que cela revenait. Heureusement le mental était là, il m’a permis de continuer à attaquer pour rester devant. »
 
Tu t’es bien préparé apparemment ?
 
« J’ai une préparation de Va’a, je m’entraîne avec mes copains de Air Tahiti Nui Va’a, on a fait le Marathon Polynésie 1ère, on est bien arrivés au classement général, 7ème alors que l’on est un club d’amateurs, par rapport au grand clubs. On s’est préparés durement. »
 
Qu’est ce qui t’a mené au kayak ?
 
« J’ai commencé par le kayak, cela va faire 4 ans maintenant, avec une bande d’amis, des copains de Bora, j’ai eu une année où je n’accrochais pas du tout mais en persévérant, l’année d’après, j’ai commencé à être sur le podium. »
 
Tu penses également aux championnats du monde ?
 
« Je n’ai pas encore trop d’informations dessus, j’attends plus de détails mais oui, pourquoi pas. Ce qui me motive c’est de pouvoir faire des courses à l’international. On essaie d’en faire de temps en temps avec les copains. Le kayak est plus développé que le va’a, on a beaucoup de travail, il faut que les Tahitiens puissent accrocher les champions internationaux. »

KAYAK, V1, SUP –Mata Are Race 2015 : Jonathan Savigny devance Hiromana Florès.
Willy Ah Min remporte la course de Va’a V1 :
 
La course s’est jouée au ‘finish’ ?
 
« Oui, cela s’est joué sur la fin avec Steeve Teihotaata qui n’a rien lâché, cela a été un combat très dur jusqu’au bout. La course a été dure, comme toutes les courses. On a eu beaucoup de plat et un peu de ‘surf bateau’ sur la fin. Heureusement les entraînements payent, ce n’est pas pour rien, surtout que l’on se déplace de Raiatea, ce n’est pas évident. »
 
C’est une première victoire pour toi en 2015 ?
 
« Cela fait plaisir, cela fait du bien au mental. L’année commence bien. Le prochain objectif c’est le Te Aito 2015, comme tout le monde, je vais essayer de me qualifier pour tenter ma chance au Super aito. Je tiens à remercier mon sponsor Joe de Manuia et Fa’i Va’a ainsi que toute la famille de Raiatea qui me soutient. » SB

KAYAK, V1, SUP –Mata Are Race 2015 : Jonathan Savigny devance Hiromana Florès.

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Frédéric Riveta visite plusieurs sites agricoles sur le plateau de Taravao

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Frédéric Riveta visite plusieurs sites agricoles sur le plateau de Taravao
TARAVAO, le 13 avril 2015. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Le ministre du Développement des activités du secteur primaire, Frédéric Riveta, a effectué samedi, plusieurs visites de sites agricoles sur le plateau de Taravao. Le ministre était notamment accompagné de la présidente de la CAPL (Chambre d’agriculture et de la pêche lagonaire), Yvette Temauri.

Le ministre a entamé sa série de visites avec la rencontre d’un producteur maraîcher établi sur une quinzaine d’hectares, dont 8 hectares sur un lotissement agricole. Frédéric Riveta s’est ensuite entretenu avec un horticulteur, à la fois distributeur et fleuriste patenté. Ce dernier, gros producteur de feuillages coupés, a évoqué les questions relatives à l’eau, élément essentiel pour que de telles exploitations puissent prospérer.

Le ministre a aussi rendu visite à l’un des plus gros producteurs de d’orchidées coupées, lequel est également confronté à des problèmes de ressources en eau. Cette exploitation familiale emploie trois salariés à plein temps. Autrefois installé à Papara, ce producteur est affectataire, depuis 2011, d’un lot domanial de 2 hectares situé dans le domaine de pâturages désaffecté du SDR (Service du développement rural), sur le plateau de Taravao, versant Toahotu.

Frédéric Riveta a également fait le point sur un terrain domanial d’Afaahiti. Le Pays a, en effet, fait l’acquisition en 2011 de ce terrain, un vaste plateau à vocation agricole, avec 40 hectares exploitables. Six lots, pour une superficie totale d’environ 17 hectares, sont en voie d’achèvement et pourraient être mis en location très rapidement, et ainsi bénéficier à des agriculteurs de Tahiti.

Une rencontre avec un agriculteur spécialisé en agriculture biologique et en permaculture était également programmée au cours de cette journée. Cet exploitant reçoit régulièrement des écoles et des particuliers, en fin de semaine, dans le but de partager son savoir-faire dans ce domaine. Le ministre devait achever ses visites sur la presqu’île en rendant visite à un éleveur de porcs. Celui-ci utilise les techniques d’insémination artificielle pour son élevage, avec deux sites de production localisés à Papeari et à Papenoo, pour un cheptel de 2 300 porcs.

Ces visites sur le terrain auront permis au ministre de faire le point, avec les producteurs, sur leur situation, et ce afin de répondre au mieux à leurs besoins et apporter ainsi un soutien adapté à leur activité. Par ce déplacement, le ministre a souhaité aussi de nouveau insister sur l’importance du développement agricole, en particulier sur cette zone de la presqu’île de Tahiti.


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Golf de Moorea : nouveau répit de trois mois

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Golf de Moorea : nouveau répit de trois mois
PAPEETE, le 13 avril 2015. Le tribunal mixte de commerce a une nouvelle fois examiné le dossier du golf de Temae. Il a prononcé un dixième renvoi dans la phase de redressement judiciaire de la société South Pacific Golf and Resorts Development (SPGRD).

« Le tribunal a décidé de prolonger la période d'observation pendant trois mois, jusqu'à début juillet », explique Jean-Louis Gregori, gérant du golf. « Le tribunal de commerce nous donne la possibilité d'éclaircir avant le 30 mai le plan de continuation que nous avons proposé. »
« Le renvoi a été accordé dans un seul objectif, celui de finaliser ce plan de continuation, en apportant des éléments technique et complémentaires », a mis en avant l'avocat de Jean-Louis Gregori, Me Arcus Usang.
Jean-Louis Gregori annonce qu'il a demandé également à ce que « la situation de SPGRD soit éclaircie ». « SPGRD, par un concours de circonstances, est bloqué de tous les côtés, les banques ont refusé que nous vendions des terrains alors que le but principal d'un golf est de valoriser les terrains autour et de les vendre », précise-t-il.

La South Pacific Golf and Resorts Development (SPGRD), société par actions simplifiée détenue par Jean-Louis Gregori et exploitante du golf de Moorea, est toujours en conflit avec la SNC Moorea Temae II, son partenaire pour la défiscalisation. Le montage juridique prévoyait à l’origine une transmission de propriété du golf, après construction, à la SNC en échange d’une prise à bail par la société SPGRD jusqu'à la fin de la période de défiscalisation. Aujourd'hui, ce golf n'a pas été rendu à la SPGRD mais le gérant du golf demande à ce que cette situation soit clarifiée. « Soit le golf revient à la SPGRD et c'est moi qui assume la dette, soit il ne revient pas à la SPGRD et alors la dette, qui est à un milliard, tombe de 80 %, ce serait à peine 200 millions de Fcfp de dettes pour moi alors », met-il en avant.




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Maupiti Express : « On n'est plus dans le rouge »

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Maupiti Express : « On n'est plus dans le rouge »
PAPEETE, le 13 avril 2015. L'armateur du Maupiti Express, dont la société est actuellement en redressement judiciaire, a obtenu un nouveau délai.

« Nous n'avons pas pu présenter un plan de relance complet car nous n’avons pas encore toutes les demandes des créanciers », explique Gérald Sachet, directeur de Maupiti Express.
Une nouvelle audience est donc programmée le 6 juillet prochain. Gérald Sachet est optimiste pour l'avenir de la société : « Grâce à l'augmentation des tarifs, nous ne sommes plus dans le rouge », souligne-t-il tout en reconnaissant qu'il attend de connaître les demandes exactes des créanciers.


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Conférence: "Enseigner, éduquer, apprendre en société hypermoderne : un triple défi à relever"

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Conférence:
PAPEETE, le 13 avril 2015- André Pachod, Maître de conférence, HDR en sciences de l'Education de l'Université de Strasbourg, donnera une conférence sur le thème : "Enseigner, éduquer, apprendre en société hypermoderne : un triple défi à relever" ce mercredi à 17 heures à l’ISEPP.

« L’enseignement et l’éducation évoluent dans un environnement qui les façonne et les situe dans une société hypermoderne qui développe quatre nouveaux types de « rapport à » : si le rapport au temps est marqué par l’instantanéité, l’immédiateté et l’urgence, le rapport aux autres s’établit dans l’éphémère, la brièveté, l’interchangeabilité. Le rapport à soi promeut l’individu entrepreneur de lui-même, en innovation et compétition permanentes. Le rapport au savoir s’inscrit dans une société dite de la connaissance ou de « l’apprenance. »
L’enseignant, l’éducateur, l’apprenant sont ainsi appelés à relever un triple défi. Le premier est d’ordre sociologique : connaître ce monde dans ses réalités, ses ruptures, ses contradictions. Le second, d’ordre philosophique et anthropologique, répond à un questionnement éducatif : quel homme former pour le faire habiter quel(s) monde(s) et lui transmettre quelles valeurs ? Le troisième défi est résolument éthique : se préoccuper d’éduquer et apprendre aujourd’hui pour demain, c’est construire dès maintenant un homme libre, relationnel, autonome et responsable. »

Une conférence gratuite, à l’ISEPP, mercredi 15 avril à 17 heures.

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Un bébé gravement malade évasané

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Un bébé gravement malade évasané
PAPEETE, le 13 avril 2015. Un bébé, âgé de quatre mois, souffrant d'une infection, a dû être évasané vendredi depuis Rikitea. En moins de huit heures, il a pu être pris en charge à l'hôpital de Taaone.


L'alerte est donnée vendredi dernier, à 12h26 précisément. L’équipage de la flottille 25F de l'armée est prévenu par téléphone que son assistance est nécessaire pour une évacuation sanitaire depuis l’archipel des Gambier. Un nourrisson, âgé de quatre mois, est atteint d’une infection sévère et ses fonctions vitales se dégradent rapidement. Il doit être évacué sans délai de Rikitea vers l’hôpital de Taaone.

« Le déclenchement de l’alerte est instantané et tous les maillons de la chaîne (équipage, techniciens, état-major interarmées) s’activent pour permettre le décollage du Gardian au plus tôt »,
explique le commandement supérieur des forces armées en Polynésie française. « La cabine de l’avion est configurée en version évasan et un médecin ainsi qu’un infirmier du SAMU rejoignent l’aéroport pour embarquer sur cette mission. »

A peine 1h35 après l'appel téléphonique, le Gardian « Rescue Alfa » décolle de Faa’a en direction de Totegegie, l’aérodrome des Gambier. « Le transit s’effectue à vitesse maximum », note le Comsup. « 2h 10 plus tard, l’avion atterrit à destination. » Pour gagner un maximum de temps, le bébé et sa maman embarqueront dans l'avion alors que celui-ci n'aura pas éteint ses moteurs. L'objectif est de repartir au plus vite.

Il est important de repartir rapidement car, en plus, la piste de Totegegie n’est pas éclairée de nuit. Le Gardian doit donc redécoller avant 17h05. « Après un bilan médical, le bébé et sa mère sont installés à bord », décrit le Comsup. Après un ravitaillement en carburant à Hao, le Gardian atterrit finalement à 20h08 à l’aéroport de Faa’a, soit six heures après l’avoir quitté. Le bébé a été pris en charge sur le tarmac par les services de secours et transporté vers l’hôpital.
« Cette mission menée dans des délais très courts illustre parfaitement les capacités aériennes spécifiques dont disposent les Forces armées en Polynésie française et qui s’inscrivent pleinement dans leurs missions d’opérations de secours d’urgence », met en avant le Comsup.

Depuis le début de l’année, trente personnes ont été secourues par les Forces armées en Polynésie française.



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Une pétition demande l'annulation du concours de surveillant pénitentiaire

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Une pétition demande l'annulation du concours de surveillant pénitentiaire
PAPEETE, le 13 avril 2015. Sur le site Internet Avaaz.org une pétition demande à la garde des Sceaux, Christiane Taubira d'annuler les épreuves écrites du concours qui ont eu lieu vendredi dernier, le 10 avril. Selon l'auteur de la pétition, des "irrégularités auraient été constatées".
La demande d'annulation des épreuves écrites du concours de surveillant de prison relayée sur le site internet des pétitions citoyennes est adressée directement à Christiane Taubira, garde des Sceaux. Ces épreuves ont réuni vendredi dernier plus de 4 000 candidats dans 17 centres d'examen dont 13 à Tahiti, un à Moorea, un à Nuku Hiva et un à Raiatea. La pétition liste différentes irrégularités constatées mais emploie toujours le conditionnel : "Des candidats auraient été autorisés à utiliser leur calculatrice, d'autres en auraient utilisé en cachette" (…) "Certains ont pu avoir accès à leur téléphone portable (Vini) durant l'épreuve, et ainsi utiliser leur 3G pour obtenir les réponses sur Internet".
La pétition demande ainsi que "si ces faits de tricherie sont avérés, par souci d'équité, d'égalité et par précaution, l'annulation pure et simple des épreuves d'admissibilité du 10 avril 2015, ainsi que l'organisation de nouvelles épreuves d'admissibilité le plus rapidement possible, et cette fois dans le respect des règles du concours et de l'égalité des chances pour tous".

Suit alors une autre liste de revendications, cette fois sur l'organisation de ces hypothétiques nouvelles épreuves dont la logistique au vu de la participation réclame de longs mois de travail et de disponibilité des sites : "faire surveiller le concours par du personnel de surveillance qualifié et impartial ; interdiction d'utiliser les calculatrices (même les plus simples) pour tous les candidats ; interdiction d'utiliser les téléphones portables (Vini), pour tous les candidats ; convocation des candidats dans un centre d'examen près de leur domicile". A Tahiti pourtant, les 13 centres d'examen permettaient de bien répartir les candidats en utilisant les lycées et collèges désertés pendant les vacances de Pâques ou transformant des salles omnisports en centres d'examen. Les épreuves écrites ont été surveillées par des agents de la fonction publique.

Alors y a-t-il eu ou pas des irrégularités importantes durant ces épreuves ? Pour l'instant rien n'est sûr et la pétition n'utilise que le conditionnel. Le fait est que du côté des organisateurs, on relève qu'il n'y a eu aucun incident répertorié par les surveillants des centres d'examen le jour des épreuves, ni même aucun signalement effectué par des candidats qui auraient pu voir des tricheries se produire sous leurs yeux. Enfin, pour des réclamations portées a posteriori il reste aux candidats qui estiment que les conditions d'équité n'étaient pas remplies de porter l'affaire devant le tribunal compétent, à savoir le tribunal administratif. Mais il va falloir faire vite, les épreuves d'admission (sport et oral) pour ceux qui auront passé la barrière de l'écrit sont prévues en septembre prochain. En tout cas sur ces milliers de candidats à la fin il n'en restera à peine que 200 à être recrutés pour travailler dans le futur centre pénitentiaire de Papeari.


Pour suivre la pétition sur Avaaz.org, CLIQUER ICI

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Moana Roa, le Grand océan : la BD s'ouvre au financement participatif

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Moana Roa, le Grand océan : la BD s'ouvre au financement participatif
BORDEAUX, le 13 avril 2015. Deux auteurs travaillent depuis quelques années déjà sur un projet de bande dessinée mêlant légendes polynésiennes et vie quotidienne dans le Pacifique. Pour appuyer la production de cette trilogie, un système de financement participatif vient d'être lancé.
L'histoire de Moana Roa, le Grand océan, une bande dessinée en trois albums créée par deux auteurs Oliv' & Tom est déjà tout un roman à elle seule. Le projet de cette bande dessinée a retenu l'attention du 42e festival d'Angoulême en 2014, où les deux auteurs ont figuré parmi les dix lauréats dans la catégorie BD numérique, en dépit des nombreuses difficultés et critiques formulées par les professionnels. L'idée de cette création est née dans la tête du scénariste de BD Olivier Dancot. En 2011, il fait un voyage en Polynésie française et lit alors l'histoire de Tavae Raioaoa, un pêcheur tahitien qui dériva en mer durant quatre mois en 2002, jusqu'à un motu de l'île Aitutaki au nord des îles Cook. L'année suivante, ce terrible périple en mer est transcrit en livre par une autobiographie (Si loin du monde) mise en mots par Lionel Duroy. Un livre forcément riche en émotions qui frappe par sa densité le scénariste de BD.

L'histoire de Tavae est déjà riche en soi, mais les auteurs de Moana Roa y ajoutent bien d'autres choses encore et veulent à la fois faire découvrir à leurs futurs lecteurs la culture polynésienne. "Vient alors le temps des recherches, plusieurs mois à référencer les lieux, les couleurs, les idées, encore quelques uns à créer le scénario et le storyboard" explique Olivier Dancot, puis à chercher le style graphique de cette fresque. Au total, le premier tome de cette trilogie, d'environ 60 pages, raconte l'histoire de Manu'a, un pêcheur qui se perd en mer et va devoir survivre seul face aux éléments. Sur terre, sa femme et son fils l'attendent, s'inquiètent, mais la vie continue. Légendes, croyances et culture ma'ohi, Manu'a survivra-t-il au milieu de l'Océan ?

Pour leurs recherches, les auteurs ont fait appel à l’Association des Etudiants de Polynésie Française (AEPF) implantée à Bordeaux. Ce sont les étudiants polynésiens en France qui permettent aux auteurs de se retrouver dans les légendes polynésiennes et évoquent leur vie quotidienne. Mais ce projet de BD se veut surtout et enfin une création transmedia, une première pour une bande dessinée sur la Polynésie, et souhaite explorer de nouveaux canaux en s’appuyant sur le savoir-faire des étudiants polynésiens. Avec la responsable des ateliers Reo maohi de la Fédération des AEPF (FAEPF), les auteurs souhaiteraient pouvoir traduire l’œuvre en tahitien et réaliser une bande son avec l’orchestre de l’association. Aussi l'AEPF soutient la démarche des auteurs qui ont lancé le 1er avril dernier une plateforme crowdfunding (de financement participatif) afin de se donner les moyens de leur ambition.


Moana Roa, le Grand océan : la BD s'ouvre au financement participatif
Comment participer au financement ?

C’est via une plateforme de crowdfunding (financement participatif) que ce projet multicanal pourra voir le jour et proposer aux lecteurs une expérience nouvelle et interactive de la Polynésie. La levée de fonds est ainsi organisée en plusieurs paliers il faudra ainsi parvenir à 4000 euros pour que la BD soit éditée, 6 000 euros pour la traduction de la BD numérique en tahitien, 10 000 euros pour l'édition papier de la BD en tahitien, 14 000 euros pour la création de la bande son au ukulele et avec un orchestre tahitien.
La plateforme de financement propose différentes contreparties à chaque contributeur en fonction de ses moyens financiers : de 5 euros pour les plus modestes à 3000 euros pour les plus fortunés. A partir d'une contribution de 18 euros, le financeur reçoit la BD au format numérique (Pdf) et une affiche signée. Si les fonds ne sont pas rassemblés, les contributeurs seront remboursés.

Pour rejoindre la plateforme de crowfundind, il faut suivre le lien Internet en CLIQUANT ICI

Informations également sur les auteurs, sur le projet en consultant la page Facebook Moana Roa, CLIQUER ICI

Moana Roa, le Grand océan : la BD s'ouvre au financement participatif

Moana Roa, le Grand océan : la BD s'ouvre au financement participatif

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Sauvetage en mer : la station de secours de Vaitupa inaugurée sur fond d'inquiétude

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Sauvetage en mer : la station de secours de Vaitupa inaugurée sur fond d'inquiétude
FAA'A, le 13 avril 2015. En dépit de ses difficultés financières, la Fédération d'entraide polynésienne de sauvetage en mer (FEPSM) a décidé d'officialiser l'ouverture de la station de secours de Faa'a, basée sur la marina de pêche de Vaitupa. C'est la 8e à être installée en Polynésie.
Le temps était à la fête ce lundi en milieu de matinée sur la marina de pêche de Vaitupa. Sur le plan d'eau, un certain nombre de bateaux de pêche avaient hissé le fanion de la FEPSM. Leur signe d'appartenance à la fédération et donc leur possible implication à une opération de sauvetage pour aller chercher, parfois par gros temps, l'un des leurs ou un plaisancier en difficulté au large.
Sur la base de Vaitupa une vingtaine de bateaux, dont beaucoup de poti marara, sont les moyens techniques dont dispose la FEPSM en cas d'appel à l'aide relayé par le MRCC (Maritime Rescue Coordination Center). A l'Etat, la responsabilité de coordonner les secours, mais ce sont des bénévoles, pêcheurs ou plaisanciers qui se portent, en premier en mer, au secours des personnes avec leurs propres moyens. "Le fait d'utiliser pour le secours en mer des moyens privés est unique au monde" insiste le président Stanley Ellacott et c'est bien là que le bât blesse (voir en encadré ci-dessous).

La première station de sauvetage a vu le jour en 2009 à Hiva Oa, aux Marquises. En six ans, sept autres en comptant la toute dernière à Vaitupa sont venues quadriller l'immense territoire polynésien : à Moorea, Teahupoo, Fakarava, Arue, Nukutavake, Pukarua. D'autres pourraient ouvrir dans le courant de l'année 2015 à Ua Pou, Ua Huka et Makemo. Des stations de secours en mer qui ne fonctionnent qu'avec l'engagement de bénévoles, solidaires des coups durs des autres car fréquenter la mer peut s'avérer périlleux. Pourtant, en Polynésie, ils sont presque 400 à s'être engagés dans cette action bénévole prêt à faire vibrer la corde de la solidarité des gens de mer. En 2014, les sauveteurs en mer bénévoles de la FEPSM ont passé un total de 130 heures en mer pour des opérations de secours.

Pour assurer la sécurité au moins de ceux qui s'engagent sur un sauvetage, la FEPSM vient d'obtenir tout récemment le soutien de Maina Sage. La députée polynésienne a versé une subvention de 1,9 million de Fcfp tirée de sa réserve parlementaire pour soutenir les sauveteurs en mer. 13 "sacs de sécurité" seront achetés prochainement avec cette enveloppe : à l'intérieur du matériel (gilets, lignes de survie, GPS, balises de détresse) "pour mettre en sécurité ceux qui se portent au secours des autres" précise Alain Come, le vice-président de la FEPSM. Car se porter au secours d'un marin en difficulté ne devrait pas engager un risque mortel pour ces bénévoles. Or, depuis qu'en juin 2014 le patrouilleur des douanes s'est échoué sur l'atoll de Tikei, on ne peut vraiment plus compter en mer que sur la solidarité et le courage de ces sauveteurs et de leurs propres embarcations. C'est pourquoi en janvier dernier à l'Assemblée nationale, Maina Sage demandait un renforcement du soutien financier de l'Etat sur ces questions du sauvetage en mer. Jusqu'ici la réponse officielle est restée très énigmatique.

Sauvetage en mer : la station de secours de Vaitupa inaugurée sur fond d'inquiétude
Un ultimatum de la FEPSM fixé au 1er juin

La fédération d'entraide polynésienne de sauvetage en mer est née en 2009 du besoin d'organiser quelque chose de plus structuré que la seule "solidarité marine polynésienne" chère au cœur du président de la FEPSM qui prévalait jusqu'alors. Une convention est signée entre l'Etat et le Pays, mais "il n'y a pas eu alors de modalités de fonctionnement fixées" regrette Stanley Ellacott, le président de la fédération. Résultat des courses, la compétence de ces secours en mer ne semble ni directement du ressort de l'Etat ni de celle du Pays, à l'inverse de ce qui a été fait en Nouvelle-Calédonie. Un vide juridique qui laisse surtout les caisses de la fédération bien vides de subventions.

La FEPSM perçoit en tout et pour tout de l'Etat une somme d'environ 1,2 million de Fcfp versée par la direction des affaires maritimes. "Une somme utilisée à 60% pour rembourser les frais de carburant à nos adhérents qui sortent en mer pour porter secours aux autres". La fédération n'a donc pas les moyens d'investir dans l'achat de bateaux qui seraient entièrement dédiés et équipés pour effectuer du secours en mer. La FEPSM vit essentiellement du mécénat de grosses entreprises locales qui versent régulièrement des subsides.

"Nous sommes arrivés désormais au bout de nos possibilités" indique Stanley Ellacott. En mars dernier lors d'une assemblée générale de la fédération, un ultimatum a été posé, si au 1er juin aucune nouvelle source de financement n'est trouvée, la FEPSM pourrait cesser ses activités. Ne resterait désormais plus que la "solidarité des gens de mer" pour couvrir les 5 millions de km2 de l'espace maritime polynésien. Personne ne souhaite en arriver là, "moi ce que je voudrais c'est que l'Etat et le Pays se partagent cette responsabilité. Il faut que ces deux autorités se mettent autour d'une table et se donnent les moyens d'agir". Un vœu pieux ?

Sauvetage en mer : la station de secours de Vaitupa inaugurée sur fond d'inquiétude

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Un motard blessé aux jambes à Faa'a

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Un motard blessé aux jambes à Faa'a
PAPEETE, le 13 avril 2015. Lundi matin, vers 9 h 45, une moto et une voiture se sont percutées dans la montée de Oremu à Faa'a.

Le motocycliste qui montait a percuté dans un virage le véhicule qui descendait en sens inverse. Le conducteur de la moto blessé aux jambes a été transporté au centre hospitalier de Papeete. Les dépistages d'alcoolémie des deux conducteurs sont négatifs.

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Tahoera'a : avis mitigé des représentants frondeurs après l'exposé comptable de Teura Iriti

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Tahoera'a : avis mitigé des représentants frondeurs après l'exposé comptable de Teura Iriti
PAPEETE, 13 avril 2015 - A la demande d’une partie des représentants orange, Teura Iriti a présenté lundi après-midi les comptes du groupe Tahoera’a, qu’elle préside à l’Assemblée. Les élus frondeurs quittent cet exposé avec un avis mitigé.

La présentation a été faite aux 38 représentants du groupe Tahoera’a, y compris les trois qui ont fait l’objet d’une mesure disciplinaire d’exclusion du parti, mardi dernier. Teura Iriti, sous la pression de 14 élus orange, s’est contrainte à présenter un bilan financier des crédits collaborateurs et des crédits de groupe "dans le détail", lundi après midi.

Derrière cette demande, se joue l’implosion du groupe orange. "Qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme ; j'y trouverai de quoi le faire pendre", se vantait en son temps le Cardinal de Richelieu. Là, il s’agit du détail exhaustif de l’utilisation de près de 624 millions Fcfp par l’association groupe Tahoera’a de l’Assemblée… Mardi 31 mars, la nouvelle était tombée sur le bureau de Teura Iriti, sa présidente, à 14 heures, un peu comme la note grinçante d’une partition politique en mode presto agitato, au sein du parti orange : quatorze représentants Tahoera’a venaient de signer la demande impérative d’un "bilan financier détaillé" de l’utilisation des 624 millions Fcfp de crédits gérés par le groupe orange, depuis 21 mois à l’Assemblée. Une demande légitimée "au nom de la transparence sur l’utilisation des fonds publics".

Le courrier avait été transmis par Sylvana Puhetini. Quinze jours étaient alors donnés à la présidente du groupe politique pour fournir un état précis des dépenses faites sous sa responsabilité par le groupe. Fin mars, Teura Iriti se déclarait "étonnée" par la manœuvre tout en assurant que les comptes étaient réguliers et à jour.

A l’origine de cette demande, on trouve Joseph Ah-Sha, Dylma Aro, Virginie Bruant, Michel Buillard, Jacquie Graffe, Beatrice Lucas, Sylvana Puhetini, Maina Sage, Puta'i Taae, Jeannine Tata, Teapehu Teahe, Lana Tetuanui, Moehau Teriitahi et John Toromona. Tous ces élus sont notoirement dans ce que l’on a fini par désigner comme le camp des pro-Fritch, à l’Assemblée.

"Je pense qu’on nous cache encore des choses"

Depuis, Michel Buillard, Teapehu Teahe, Lana Tetuanui, ainsi que Nuihau Laurey, le vice-président de la Polynésie française, ont été exclus du Tahoera’a par le Grand conseil du parti. La sanction est tombée après le maintien, sous l’étiquette Tapura Huira’atira, de leur candidature aux sénatoriales partielles de Polynésie en dépit de l’existence d’une liste officielle, soutenue par le parti de Gaston Flosse, et manifestée dans le duo Dubois-Iriti.

Autant, lundi après-midi Teura Iriti se disait "détendue" à quelques minutes de présenter sa gestion des comptes. "Ils savent tous comment ça se passe. Peut-être que des précisions seront utiles pour les nouveaux ; mais les anciens savent tous comment nous avons toujours œuvré au sein du groupe Tahoera’a", assurait-elle alors. Autant elle s’avoue "satisfaite" à l’issue de la rencontre. "Ils m’ont remerciée d’avoir présenté ces deux bilans", a-t-elle déclarée vers 16h30. "Nous avons essayé de répondre à toutes les questions qu’ils ont posées".

La présidente du groupe Tahoera’a s’est engagée à faire dorénavant une telle présentation chaque année en janvier.

Les élus insistaient pour que ce bilan soit "distinct du rapport fourni au président de l’assemblée qui ne retrace pas le détail des dépenses".
On leur a fait "une présentation globale, sans rentrer dans le détail", constate un des élus signataires. "Rien ne nous prouve que ce qui est sur le papier est ce qui est en banque. On ne peut pas apprécier pleinement. Personnellement, je ne suis pas tout à fait satisfait", explique-t-il.

Lana Tetuanui a quitté la séance peu avant qu’elle ne s’achève pour se rendre à Mahina, à la rencontre des élus du conseil municipal, dans le cadre de la préparation des élections sénatoriales partielles. Elle qualifie son degré de satisfaction de "moyen" : "Je pense qu’on nous cache encore des choses", a-t-elle estimé, dubitative.

Quant à Sylvana Puhetini, de qui était venu le coup, fin mars : "On fait confiance à Teura", a-t-elle déclaré en sortant de la réunion. "Je ne sais pas trop que penser de cette présentation. C’est encore trop frais. Je ne peux pas dire si on est satisfait ou pas".

Les élus signataires doivent se revoir dans les jours prochains pour faire un débriefing de cette réunion. Ils ajusteront leur position à l’issue. Mais pour l’instant, tout laisse penser qu'au sein du groupe Tahoera'a la montagne est en train d’accoucher d’une petite souris. Plusieurs élus signataires semblent s’être souvenus du rôle déterminant joué par Gaston Flosse dans leur carrière politique.

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