La chambre territoriale des comptes ( CTC) a rendu public son rapport d'activité 2013.
Télécharger le rapport complet en cliquant ICI

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PAPEETE, le 16 avril 2014. (COMMUNIQUE) C’est toujours un plaisir pour le FIFO d’organiser des opérations Hors les Murs dans les archipels, où les films sont très attendus. Une initiative qui date de 2008 et qui attire chaque année sur l’ensemble des îles entre 5000 et 6000 Polynésiens.

Cette année, 11 étapes sont programmées pour la caravane du FIFO dans les îles. Première étape : Raiatea et Tahaa’a, du 15 au 17 avril, où 6 établissements auront la possibilité de découvrir la sélection du dernier FIFO. En soirée, les films seront présentés à la population dans la salle des mariages d’Uturoa. Suivront ensuite Rangiroa, Moorea, Huahine, Bora Bora, Nuku Hiva, Hiva Oa, Ua Pou, Hiti’a, Taravao et Rurutu.

Rappelons concernant les projections dans les îles que le choix des films projetés en journée dans les établissements scolaires est laissé à l’appréciation des enseignants ; quant aux projections publiques, elles sont proposées par les organisateurs du FIFO aux communes et à la population. Ces projections sont gratuites, toutes les dates et les informations seront disponibles sur le site du FIFO et les réseaux sociaux ou auprès des mairies concernées.

Ces opérations Hors les Murs sont organisées grâce au soutien des établissements scolaires, aux communes, mais aussi grâce aux associations et aux bénévoles qui sont le relais du FIFO dans les îles. Un partenariat a été mis en place pour ces opérations avec le groupe EDT, GDF SUEZ, qui finance depuis le début les déplacements de l’association et met au service du FIFO son réseau dans les îles pour l’organisation des projections. Un partenariat précieux, renforcé cette année par la compagnie AIR TAHITI, car ce type de déplacement a un coût que l’organisme a de plus en plus de mal à pouvoir supporter.

Programme des premières projections dans les îles:

Raiatea :
Mardi 15 avril, Mairie de Uturoa : Des oeufs dans la cendre, Papous entre 2 mondes
Mercredi 16 avril , Mairie de Uturoa : Inside The monster, Ananahi

Rangiroa:
Mardi 22 avril, Ecole de Avatoru : The Valley of the Shark, Take me to Pitcairn, Queen of the desert
Mercredi 23 avril : Collège de Avatoru : I’m going to mum’s ( court métrage), Inside the monster, Le truck Polynésien, le dernier arrêt.

Et qui se poursuivent en métropole et dans la région

Grâce à la venue durant le dernier FIFO de plusieurs représentants de festivals de la région ou de Métropole, et suite à la première réunion des organisateurs de festivals océaniens, le FIFO continue de développer son réseau, et donc de diffuser largement les films de la 11ème édition.

4 films du FIFO ont ainsi été présentés en mars en Nouvelle Zélande et en Australie à l’occasion du French Film Festival. Il s’agit de « La Monique, une blessure calédonienne », « La fabuleuse histoire de la tête Maori », « Et vogue aux Australes » ainsi que « Jacques Brel, dernière ligne droite aux Marquises ». Lors de sa présentation à Sydney le 18 mars, un événement a été proposé grâce à « Tahiti Tourisme,-Australie » avec une animation polynésienne et des danses. Par ailleurs, les représentantes du FIFO ainsi que le réalisateur Philippe Sintes pour la Polynésie, et pour la Calédonie Nune Luepack dont le pitch a été primé au FIFO et le film sélectionné en compétition, ont pu participer au début du mois au DOC WEEK d’Adélaïde, un événement qui réunit plus de 500 professionnels du documentaire australien. Cette participation a permis aux organisateurs de nouer de nouveaux contacts, de prospecter pour de nouveaux films, mais également de s’inspirer de l’organisation de cet événement pour la tenue de la 12ème édition.

Les 2, 3 et 4 juin, à l’occasion de la 4ème édition du « FIFO à Maré » en Calédonie, seront présentés plusieurs films de la 11ème édition : « Inside The Monster », « Bucksin », « Des œufs dans la cendre », « Ananahi, demain », « Nickel le trésor des Kanaks » et enfin « La compagnie des archipels » . Le FIFO organisera également les 14 et 15 juin des projections spéciales au Musée du Quai Branly, et des films de la sélection officielle du FIFO 2014 seront présentés en Nouvelle Zélande durant le Wairoa Film Festival. Toutes ces projections permettent de faire rayonner le FIFO, et à travers lui l’Océanie et ses spécificités.

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PIRAE, le 12 avril 2014. La fédération d’athlétisme et sa présidente Titaua Maurin ont proposé aux licenciés des différents clubs une après midi d’épreuves combinées. Une première pour ces athlètes qui ont dû faire 7,8 ou 10 épreuves en une heure sous une chaleur accablante.
 
Dans une ambiance conviviale la majorité d’entre eux a su se surpasser. De nombreux records personnels ont été battus et des minimas pour les Océanias ont été réalisés. Namataiki Tevenino (Aorai) s’impose en open homme avec un total de près de 5000 points avec une très bonne performance en 110 m haies.
 
Chez les minimes homme Teura Tupaia (Aorai) s’illustre comme d’habitude et remporte l’épreuve. En open femmes c’est Tea Boyer (Central Sport) qui s’impose alors qu’en minimes filles c’est Kahaia Dauphin (Central Sport) qui gagne en faisant un total de 3000 points. Certaines athlètes minimes revenaient du match Calédonie-Tahiti qui s’est soldé par la victoire de la Calédonie.
 

Véronique Boyer, entraineur à l’as Central Sport :
 
« On le faisait régulièrement en France. Pour les athlètes c’est un moyen de venir s’amuser un peu, découvrir les épreuves combinées sur lesquelles ils ont du mal à venir. Ce sont sur ces épreuves techniques que l’on peut avoir des médailles. C’est bien aussi de voir un peu le potentiel des jeunes. »
 
« Les filles ça va, car elles ont sept épreuves en une heure, mais les garçons, dix en une heure, c’est pas évident. Il faut gérer son effort, ne pas faire le 400m à fond parce que derrière il y a le 110m haies et là on ne décolle plus. C’est aussi l’intérêt de l’épreuve. »
 
« J’ai dis à mes athlètes de se faire plaisir sur chaque épreuve, de tenter d’aller chercher les minimas pour les Océanias, mais il n’y a pas d’objectif précis de performance, c’est plus pour découvrir l’ambiance des épreuves combinées. Personne n’est rival, tout le monde s’encourage, c’est ça l’esprit des épreuves combinées. »
 
« Oui, il fait chaud, heureusement que cela ne dure qu’une heure pour les athlètes, les officiels, eux, en ont pour toute l’après midi ! Les jeunes minimes qui sont partis en Calédonie sont là aujourd’hui, c’est sympa. »

Grace Neagle, la mère de Vainui Neagle :
 
« Le déplacement sur la Nouvelle Calédonie s’est très bien passé. Vainui nous a fait une belle perf’, 12’96 en finale du 100m. Elle a fait également le relais 4x60mv et elles ont battu leur record. Elle a fait le même chrono que les garçons wallisiens de la même catégorie ! »
 
« Pour la compétition d’aujourd’hui, c’est un peu stressant, surtout qu’elles n’ont pas eu beaucoup de repos par rapport à leur déplacement et au décalage horaire, je sais que les autres filles sont fatiguées. Nous vivons à Taravao, je la récupère à 15H30 après l’école et on vient sur Papeete pour les entraînements. Elle fait aussi du taekwondo, elle est championne de sa catégorie, donc il faut gérer tout ça. »
 
« Elle est prise tous les jours dans le sport, si ce n’est pas le taekwondo, c’est l’athlétisme mais c’est l’athlétisme d’abord. Etant jeune fille j’ai vécu en Nouvelle Calédonie et j’étais une des meilleurs sprinteuses. On est fiers d’elle, bien sûr, et à l’école elle gère très bien, on a pas de problème. » SB

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PIRAE, début avril 2014. En marge du festival des îles nous avions rencontré Thierry Ariiotima le président de la fédération tahitienne de football. Il nous avait annoncé le feu vert de l’OFC pour l’organisation à Tahiti des éliminatoires de la coupe du monde de futsal. Le futsal comporte aujourd’hui près de 5000 licenciés. Pour comparatif, l’athlétisme comporte environ 800 licenciés.
 
Le beachsoccer a suscité un engouement sans précédent lors de la coupe du monde organisée à Tahiti fin septembre 2013. Le futsal pourrait bien profiter de cette vague d’intérêt de la part des pratiquants comme de la part du public. Le futsal, contrairement au football peut se pratiquer en intérieur avec tous les avantages que cela comporte.
 

Thierry Ariiotima, au micro de Tahiti infos :
 
Vous avez annoncé que Tahiti organiserait les éliminatoires de la coupe du monde de futsal ?
 
« J’ai participé à une réunion du comité exécutif de l’OFC et j’ai demandé si l’on pouvait avoir la désignation pour l’organisation des éliminatoires de la coupe du monde de beachsoccer pour la zone océanienne et l’OFC a accepté. Ils ‘nous ont donné’ le futsal en février et le beachsoccer en août. L’équipe qui sera qualifiée participera à la coupe du monde. C’est une première pour nous car on est toujours arrivés en demi finale, en finale mais on a jamais gagné. Demain cela va se passer chez nous, j’espère que cette fois-ci on parviendra à gagner. »
 
Le succès de la coupe du monde de beachsoccer vous a motivés ?
 
« C’est dans la continuité de l’organisation  de la coupe du monde de beachsoccer. Je ne vais pas vous cacher que nous sommes très ambitieux, on a l’intention de demander à la Fifa la coupe du monde de futsal 2024. Pourquoi 2024 ? Il faut laisser le temps aux services administratifs du gouvernement de nous offrir une salle adéquate pour l’organisation d’une coupe du monde, comme celle  que la Calédonie a reçue lors des derniers jeux. Je pense que la Calédonie sera candidate pour 2020. »
 
Quel bilan pour le festival des îles ?
 
« Je pense que pour les îles c’est leur coupe du monde, c’est le seul événement grandiose qu’elles ont dans l’année. Il y a le fait de venir à Tahiti : parmi eux certains n’ont jamais vu Tahiti, jamais pris l’avion ni le bateau…mais ils sont venus et très heureux d’être venus. Ils se préparent pendant un an en fonction de ce festival qui leur permet de se frotter aux Tahitiens. »
 
Le futsal est un sport de quartier ?
 
« Actuellement nous avons de près de 5000 licenciés, je ne sais pas combien exactement mais c’est un chiffre conséquent. On avait démarré avec 350 il y a cinq ans. On a pas développé le futsal avec nos licenciés du football mais on a été chercher les gens des quartiers parce qu’on a voulu faire une action sociale vis à vis des quartiers, sachant bien que tous les maux possibles et inimaginables y existent. On arrivera pas à bannir tous ces maux mais on a réussi à en baisser le taux, c’est important. En futsal également on fait des contrôles anti dopage, anti pakalolo et je pense que les jeunes ont compris que ce n’est pas pour les embêter mais pour qu’ils réfléchissent à leur avenir. » SB

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PAPEETE, le 16 avril 2014 – L’agence immobilière Aito Immobilier se lance dans l’économie solidaire et s’engage à reverser 2% de toutes les commissions qu’elle touchera en 2014 à l’association Village d’Enfants SOS. Le premier chèque va être remis à l’association dès le vendredi 25 avril, un beau cadeau d’un montant de 300 000 francs cfp.

Ce montant est pour l’instant basé sur une estimation tirée du chiffre d’affaire 2013 de l’entreprise. Au deuxième et au troisième trimestre, ce seront encore des chèques de 300 000 francs cfp qui viendront remplir les caisses de cette association. Pour rappel, le Village d’Enfants accueille les fratries orphelines, abandonnées ou en situation très difficile, parfois séparées de leurs parents par la justice.

« Un résultat positif de l’opération pour nous serait que des propriétaires nous confient leurs biens à nous plutôt qu’à d’autres agences parce que nous sommes une entreprise solidaire. Cela augmenterait nos ventes, et permettrait du même coup de verser un plus gros chèque à l’association à la fin de l’année » explique Véronique Caujole, la directrice de Aito Immobilier. Selon elle, l’idée de cette opération est venue en 2013, alors que son équipe réfléchissait à une campagne marketing pour changer l’image de marque des agences immobilières. « Nous avons 15 ans, et nous voulons être responsable, alors au lieu d’acheter de la publicité nous suivons une initiative de plus en plus courante dans d’autres pays et nous nous lançons dans l’économie solidaire. »

Sur la photo apparaissent Béatrice et Catherine, deux commerciales de l’agence qui sont aussi des mamans. Elles ont décidé de devenir les marraines de cette opération et représenteront Aito Immobilier lors des remises de dons au village à Papara.

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PAPEETE, le 16 avril 2014. (COMMUNIQUE) Ce week-end de Pâques, Papeete accueillera 4 paquebots les 18, 19 et 20 avril 2014. Durant leurs parcours en Polynésie française, ils visiteront principalement les îles de Tahiti, Moorea et Bora Bora. Ainsi, ce sont 13 532 croisiéristes dont 9 499 passagers et 4 033 membres
d’équipage en provenance des paquebots suivants qui débarqueront à terre:

• Le GOLDEN PRINCESS de la compagnie Princess Cruises, le vendredi 18 avril 2014 à 7 h à l’épi ES3.
2 600 passagers et 1 123 membres d’équipage descendront du paquebot de croisière ce vendredi. Le
GOLDEN PRINCESS quittera le port de Papeete samedi à 4 h puis se dirigera vers l’île soeur Moorea pour une arrivée prévue à 8 h. Le jour même à 17 h, il rejoindra Bora Bora pour une escale d’une journée, le dimanche 20 avril de 7 h à 17 h.

• Le SOLSTICE de la compagnie Celebrity Cruises accostera le samedi 19 avril 2014 à 10 h à l’épi ES3.
Le paquebot compte 3 145 passagers et 1 253 membres d’équipage à son bord. Après une courte
escale d’une journée à Tahiti, il prendra la direction de l’île de Moorea à 23 h 59. Les croisiéristes visiteront l’île toute la journée de dimanche de 7 h à 18 h avant de naviguer vers Bora Bora pour une escale prévue le lundi 21 avril de 7 h à 18 h.

• Le MARINA de la compagnie Oceania Cruises sera en turn around à Papeete le samedi 19 avril 2014 de 4 h à 23 h à l’épi EN1.
Avec ses 1 258 passagers et 793 membres d’équipage, le navire enchaînera les croisières vers les îles
de Moorea, Bora Bora, Raiatea, Nuku Hiva, Hiva Oa et Rangiroa.

• Le RADIANCE OF THE SEA de la compagnie Royal Carribean Cruise Line fera escale à Papeete le dimanche 20 avril 2014 à 7 h à l’épi ES3.
Le RADIANCE OF THE SEA compte à son bord 2 496 passagers et 864 membres d’équipage. Après sa visite sur l’île de Moorea le vendredi 18 avril de 9 h à 18 h et l’île de Bora Bora le samedi 19 avril de 7 h à 18 h, le navire de croisière fera une courte escale à Tahiti, sa dernière destination dans nos eaux, le
dimanche 20 avril de 7 h à 22 h.

Un accueil organisé et offert par le GIE Tahiti Tourisme sera réservé à tous les croisiéristes qui seront reçus avec une fleur de tiare tahiti dès leur descente à terre. Une animation musicale et des démonstrations culturelles se tiendront également au Fare Manihini.
Les comités du tourisme des îles assureront l’organisation de l’accueil des passagers avec le soutien
du GIE Tahiti Tourisme.

Visitez le site : www.tahiti-tourisme.pf

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PAPEETE. Le 16 avril 2014 - L’association TE NATI (le lien) composée de cinéastes, cinéastes et amateurs de culture polynésienne offrira le samedi 26 avril prochain une soirée gratuite spéciale « court-métrages mā’ohi & māorie », dans les jardins du musée de Tahiti et des Îles.

Les organisateurs précisent que la projection gratuite concernera 5 courts-métrages māori et 7 autres films réalisés en Polynésie. Gratuite, elle s’adressera aux cinéphiles, à l’industrie de l’audio-visuel ou tout simplement aux amoureux de la culture mā’ohi. L’objectif de l’opération est de préparer le Festival du film culturel Te Nati.

L’association Te Nati a pour vocation justement de préserver et promouvoir la culture polynésienne, sans omettre le développement des échanges culturels entre les îles du Pacifique. Comme précisé dans un communiqué de presse, « l’association s’appuie pour cela sur une série d’actions et de missions qu’elle souhaite mener à bien durant les prochaines années. Par ces dernières, citons la mise en place d’un programme de formation et d’éducation au cinéma pour la population locale, en commençant par la mise en œuvre de séminaires de formation à Tahiti offerts par des professionnels néo-zélandais, ou encore en augmentant le nombre de représentants polynésiens sur la scène internationale de l’industrie du film. »

Et pour mener à bien ces missions, le directoire de l’association peut compter sur un soutien de taille, celui du Wairoa Film Festival fondé en 2005 par une association « Te Roopu Whakaata Māori i Te Wairoa ». Cette dernière mène d’ailleurs ce même genre d’action au pays du long nuage blanc. L’évènement prend place chaque année à Kahungunu Marae, situé sur la côte Est. L’an dernier, nombre de films présentés au festival ont trouvé preneurs sur le marché international de la distribution de films. Deux pays sont cités : la Finlande et l’Allemagne, mais également dans la région Pacifique comme Fidji. Par la même occasion, une collaboration a vu le jour entre grandes nations et le Festival de Wairoa, allant jusqu’à projeter les court-métrages à Sydney, en Australie. « Et aujourd’hui, c’est au tour de Tahiti de partager les œuvres diffusées lors de ce festival. » précise encore le communiqué de presse de l’association Te Nati.

Par le biais de la production audio-visuelle polynésienne, Te Nati entend permettre à la population locale de raconter sa propre histoire, de mieux connaître ses propres légendes, qui sont habituellement transmises oralement par les anciens. Enfin, autre point qui sera soulevé lors des projections programmées, la création d’une plate-forme de production audio-visuelle accessible aux polynésiens et non seulement à certaines sociétés de productions. Les cinéastes mā’ohi pourront enfin se faire entendre et bénéficier d’un lieu pour présenter leur travail sur le plan local tout d’abord, puis par extension (grâce au réseau de chaînes du Festival du film de Wairoa) à l’étranger.

La première projection gratuite se fera dans l’enceinte du musée de Tahiti et de ses Îles, Te Fare Manaha, le samedi 26 avril, à partir de 17h30.

TP

KIAORANA, Tahiti, 2013, 5min29
Réalisatrice / Productrice: Tiairani DROLLET-LE CAILL - Producteur: Lennie HILL

Pitch : 5 guerriers de îles Cooks trébuchent par hasard sur un objet inconnu dans le sable. Une découverte qui leur ouvrira les portes de la musique ...
Projeté lors du Trompfest Film Festival 2013

HOU'A HA'AMATA AI, Tahiti, 2010, 3 min
Réalisateurs/producteurs: Vanina BEA et Naea JACQUET

Pitch : Alors que l'héroïne est occupée à plier le linge, son mari rentre à la maison, s'ouvre une bière, puis une autre, et encore une autre… La réaction de l'héroïne ne manquera pas de vous surprendre !
Prix du court-métrage le plus drôle au Vini Film Festival

LOL, Tahiti, 2010, 2min20
Réalisateurs/producteurs: Vanina BEA

Pitch : Ze tombeur rencontre Rosa Linda sur Facebook(c) et l’invite à dîner en tête-à-tête chez lui. Tout excité, il prépare un plat original qui ne sera pas du tout au goût de mademoiselle.
Prix du meilleur acteur à Naea JACQUET au Vini Film Festival

TO'OE FENUA, TO'OE NATURA, Tahiti, 2010, 5 min
Réalisateur/Producteur/Scénariste: Are RAIMBAULT

Pitch : Trois jeunes vivent mal en milieu urbain et décident de partir en quête d'un environnement plus préservé. Durant leur périple, ils vont redécouvrir leurs racines...
Prix de l’environnement au Concours Tahiti Nui Ananahi

E ARIOI VAHINE, Tahiti / Australie, 2008, 15 min
Réalisatrice : Virginie TETOOFA – Production : VCA School of Film and Television.

Pitch : Depuis toute petite, Poeiti a toujours rêvé d'appartenir à la classe des Arioi. Mais alors qu'elle est devenue une des meilleures danseuses de la troupe, elle est confrontée à un terrible choix ...

BUTTERFLY, NZ, 2013, 15 min
Réalisateur : Renae Maihi - Nga Puhi ( Ngati whakaeke ), Te Arawa ( Ngati Whakaue ) - Producteurs Sandra Richmond et Renae Maihi Cast : Jahna Batt , Aroha Hathaway

Pitch : Parfois, les souvenirs ne se fanent jamais , ils s'envolent parfois quelques temps, et attendent patiemment le bon moment pour revenir.

URU, NZ, 2010, 15 min
Réalisateur / scénariste : Hiona Henare ( Ngati Mauaupoko ) - Produit par Hiona Henare & Ngawaeroa Maniapoto - Avec Noa Campbell et Shannon Claire

Pitch : Uru raconte l'histoire d'une femme désabusée qui se détourne de son ascendance māori à adopter un nouveau mode de vie avec les colons européens. Le film est basé sur un discours prononcé par Akenehi Tomoana , dont la parole a influencé toute une communauté de femmes māori à prendre le contrôle de leurs droits.
Prix du public - Court métrage - Wairoa Māori Film Festival 2010

FOOTSTEPS, Cook Islands, 2013, 13 min
Réalisation / Production : Lennie Hill

Pitch : Aux îles Cook, un père et son fils sont au milieu de l'océan, ils ont faim, et leur pêche ne leur rapporte rien. A contre coeur, le père se déplace vers l'île de One Foot, un meilleur lieu de pêche, mais appartenant à une autre tribu …

WHAKATIKI, NZ, 2012, 13 min
Réalisateur: Louise Leitch - Producteur : Melissa Dodds - Scénario: Bernadette Murphy ( Te Ati Awa )

Pitch : Kiri, une femme māori douloureusement consciente de son poids, se rend avec sa famille et ses amis à la rivière Whakatiki où elle a passé de nombreux étés. L'endroit réveille en elle des souvenirs puissants.

NINE OF HEARTS, NZ, 2012, 15 min
Réalisateur: Briar Grace- Smith ( Ngapuhi , Ngāti Wai ) - Producteur : Alexandra Keeble - Scénario: Briar Grace- Smith , Kelly Joseph .

PItch : Ce court raconte la relation complexe d'une mère et de sa fille, sur fond de magie Māori-Pākehā...

LAWNMOWER MEN OF KAPU, NZ, 2011, 14 min
Réalisateur / Scénario: Libby Hakaraia ( Ngāti Raukawa , Ngāti Kapumanawawhiti ) Producteur : Tainui Stephens

Pitch : Atawhai est un garçon proche de l'adolescence, et il compte sur ses trois oncles pour aider ses tantes. Mais ces derniers choisissent ce moment pour entrer dans une importante dispute. Atawhai apprend alors une leçon précieuse sur la famille et la tradition.

DOG ON DUTY, NZ, 2013, 7 min
Réalisateur : Lennie Hill – Producteur : Tania Hill (Ngapuhi), Ronel Schodt, Mark Ruka

Pitch : La conscience d'un voleur de voiture endurci est mise à mal par... un petit chien .

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PAPEETE, 16 avril 2014 - Voici un inventaire détaillé des 50 mesures du Plan de relance présenté par le gouvernement, ce mercredi matin. Un ensemble de choix stratégiques dont le vice-président a annoncé qu' "une très large partie sera adoptée très rapidement, certaines seront présentées dès cet après-midi lors de notre conseil des ministres".

L'assemblée de Polynésie française est saisie d'un projet de collectif budgétaire, ce jeudi, pour aménager le budget 2014 en conséquence.

Trois grands axes constituent l’architecture de ce plan de relance : favoriser la création d’emplois ; dynamiser les principaux secteurs de développement, le tourisme, les ressources marines notamment ; renforcer la compétitivité de l'économie afin de permettre aux entreprises de s’adapter aux réalités actuelles du marché et de la concurrence.

Lire aussi : Présentation du Plan de relance par Nuihau Laurey

> Pour télécharger la brochure en format pdf, c'est ICI

Mesure 1
Budget d’investissement 2014 de relance de la commande publique – 37 milliards FCFP de crédits de paiement inscrits et financés – avec un accent mis sur le logement social au travers de la prorogation d’une année du contrat de projet. Le budget 2014 constitue le premier outil de stimulation de l’activité économique et donc de création d’emplois.


LOGEMENT ET ACCESSION A LA PROPRIETE

Mesure 2
Mise en place du cadre réglementaire permettant l’agrément d’opérateurs de logements sociaux privés et définition d’un document de politique sectorielle permettant de dynamiser l’offre de logements sociaux.

Mesure 3
Instauration d’une prime à l’acquisition ou à la construction de logements neufs individuels, sous conditions de revenu modulées selon la composition du ménage (plafonnée à 2.000.000 francs pacifiques).

Mesure 4
Suppression et allègement des droits d’enregistrement et de transcription pour les ménages réalisant une première acquisition de logements.

Mesure 5
Lancement d’un programme de travaux de réhabilitation de logements en milieu occupé (10 lotissements concernés pour 846 logements) et de sécurisation des lotissements du parc OPH (sécurisation électrique et zones à risques du PPR). Mise en place d’un dispositif d’accession à la propriété.


DYNAMISATION DE L’EMPLOI

Mesure 6
Création du Contrat d’Accès à l’Emploi (CAE). Le dispositif mis en œuvre depuis le mois de janvier 2014 a permis à 1.200 personnes (avril 2014) de se réinsérer dans la vie professionnelle et de bénéficier d’un revenu d’activité.

Mesure 7
Contrats de chantier : permettre aux entreprises de pouvoir recruter plus facilement dans le cadre temporel fixé par la durée des projets / chantiers qu’elles auront à conduire. Ce dispositif permettra de dynamiser l’emploi dans le cadre de projets ou de chantiers dont la durée est supérieure à 2 ans mais limités dans le temps. Il constituera un outil d’assouplissement du code du travail ouvert à tous les secteurs de l’économie et permettra de combattre le travail non déclaré dans le secteur du bâtiment notamment.

Mesure 8
Chèques emploi-service : Déplafonnement du nombre d’heures mensuelles autorisées pour les chèques emplois particuliers pour les services visant l’aide à la personne, qui passera ainsi de 52 à 80 heures par mois. Cette disposition permettra de faciliter la création d’emplois de proximité dans les secteurs d’activités liés aux services à la personne (soutien scolaire, garde d’enfants, aides aux personnes dépendantes).

Mesure 9
Intérim : élaboration d’un cadre réglementaire destiné aux sociétés de placement de personnes définissant leurs activités dans le domaine des emplois de proximité et les modalités de leur placement à travers divers mécanismes d’incitation.


TOURISME ET TRANSPORT AERIEN

Mesure 10
Grands projets : Instauration de dispositifs incitatifs (mises à dispositions d’emprises foncières publiques, exonération ou allègements fiscaux) en faveur du développement de grands projets touristiques.

Mesure 11
Sites touristiques : Mise en œuvre d’un programme d’aménagement de nos principaux sites touristiques (trois cascades, Pointe Vénus, trou du souffleur) et réhabilitation ou création de sites culturels, de loisirs et d’écotourisme (écomusée Arahurahu (culture), domaine d’Opunohu (écotourisme et tourisme culturel), mémorial américain à Bora Bora, Musée Gauguin, Jardin Botanique, centre culturel de Vaiami).

Mesure 12
Transports aériens : L’amélioration de la desserte aérienne par une meilleure maîtrise du coût de l’escale internationale de TAHITI-FAAA et par la stimulation de la concurrence sur les lignes intérieures et internationales.

Mesure 13
Réduction du coût du transport aérien induite par les gains de productivité liés à la poursuite de la politique de diminution des charges et la modernisation de la flotte d’ATN.

Mesure 14
Création d’un aérodrome de dégagement permettant de sécuriser les lignes existantes et de réduire le coût d’accès à la Polynésie française, et susceptible de devenir un nouveau point d’entrée.

Mesure 15
Allègements fiscaux : Prorogation du régime d’exonération de droits et taxes relatif aux marchandises et équipements destinés à la rénovation et la modernisation des établissements hôteliers classés.

Mesure 16
Facilités financières : Octroi de prêts à taux bonifiés par la SOFIDEP pour les investissements liés à la rénovation, à la modernisation et aux actions de promotion commerciales des pensions de famille.

Mesure 17
Plaisance de luxe : Mesures incitatives en faveur du tourisme nautique avec l’augmentation de la durée du régime des admissions temporaires (passage de 18 à 36 mois), la suppression du délai de carence, une fiscalité allégée lors de la mise à la consommation des navires et l’aménagement des escales dans les îles principales de la Polynésie française (quais de Paopao, Papetoai, Bora, Fakarava).


SECTEUR DE LA MER

Mesure 18
Instauration de mesures fiscales incitatives visant à créer une zone franche dans l’archipel des Tuamotu Gambier pour le développement de grands projets aquacoles.

Mesure 19
Valorisation de l’ensemble des filières aquacoles prenant en compte la nature et la quantité de la ressource, les débouchés commerciaux locaux et à l’exportation et les modalités de préservation et de gestion durable de la ressource (bénitiers, holothuries).

Mesure 20
Redéfinition du futur complexe portuaire de Faratea (infrastructures portuaires, équipements d’entretien et de réparation navale, dock flottant, bâtiments pour le conditionnement et le stockage des produits, zones dédiées à l’installation des entreprises).

Mesure 21
Réorganisation du fonctionnement du port de pêche de Papeete (modernisation de la criée, caractère obligatoire du passage par la criée, mise en place d’une régie d’avance pour fluidifier les opérations) et restructuration de la S3P (privatisation par la sortie progressive ou immédiate du pays du capital de la société).

Mesure 22
Redynamisation des filières de pêche côtière et lagonaire par la mise en place de structures de collecte et de commercialisation de poissons autour de Tahiti pour la pêche côtière et dans l’archipel des Tuamotu pour les produits lagonaires.

Mesure 23
Relance de la construction navale à laquelle sera consacrée une enveloppe de crédits d’impôts de 300 millions Fcfp et adoption de mesures économiques destinées à renforcer la compétitivité de nos chantiers navals.

Mesure 24
Création par le pays et l’état d’un centre de recherche à Paea. Cet ensemble regrouperait l’IFMPC, l’IFREMER, le pôle Faahotu, les structures de l’état et du Pays effectuant des recherches sur la mer et les ressources de l’océan (y compris les ressources minières sous-marines).

Mesure 25
Modernisation du cadre réglementaire portant définition, classification et contrôle des produits perliers (certification d’origine) afin de mieux valoriser notre perle.

Mesure 26
Définition et mise en place en concertation avec l’ensemble des professionnels du secteur d’une stratégie de promotion des perles de Polynésie française (organisation locale des ventes aux enchères en Polynésie française).


ENVIRONNEMENT

Mesure 27
Généralisation et mise en oeuvre de la responsabilité élargie des producteurs (REP), pour créer, organiser et financer les filières de traitement spécifiques à chaque catégorie de déchets (véhicules, pneus, piles).

Mesure 28
Etablissement et mise en oeuvre d’un programme pluriannuel de formation et de sensibilisation des enseignants aux problématiques environnementales dans le cadre des projets d’établissements. Ces derniers seront couplés à une action de moyen et long terme de dépollution des lagons et des rivières en partenariat avec le secteur associatif et le monde éducatif.

Mesure 29
Mesures incitatives en faveur de l’équipement écologique des logements (chauffe-eaux solaires, panneaux photovoltaïques, cuves de rétention des eaux pluviales, équipements électriques basse consommation, système de capteurs de mouvements, double vitrages).

Mesure 30
Définition d’un label polynésien de la construction HQE en partenariat avec la CCISM et les professionnels du secteur de la construction et obligation pour les services et établissements publics de réaliser une étude technique de développement durable dans le cadre de tous les projets de constructions neuves.

Mesure 31
Soutien au développement des transports propres par la suppression de l’ensemble des droits et taxes d’importation frappant les véhicules de transport hybrides individuels et publics.

Mesure 32
Déploiement progressif de lignes de transport public dans la zone urbaine de Papeete avec circuits courts et régularité de la desserte. Ce déploiement sera ensuite étendu géographiquement en partenariat avec les communes. L’expérience de la ligne Papeete - nouvel hôpital de Taaone sera analysée avant généralisation.

Mesure 33
Soutien au développement des énergies renouvelables par une révision des politiques tarifaires de l’énergie (formule tarifaire de l’électricité et tarifs spécifiques de rachat des énergies renouvelables).

Mesure 34
Redéfinition des dispositifs de régulation et de péréquation du prix des hydrocarbures dans le cadre des différentes activités économiques.

Mesure 35
Valorisation de notre potentiel hydraulique par l’étude et la réalisation de centrales hydroélectriques prenant en compte la dimension écologique et environnementale de nos vallées.

Mesure 36
Lancement d’un audit de fonctionnement des centrales hybrides des Tuamotu (6) et poursuite du programme de développement des centrales hybrides dans les îles éloignées.


ECONOMIE NUMERIQUE

Mesure 37
Déploiement de la fibre optique pour permettre la mise en place du très haut débit de l’Internet à Tahiti (Fiber to Home) et améliorer de la qualité du service rendu aux usagers.

Mesure 38
Création d’un incubateur permettant le développement et la création d’entreprises spécialisées dans les services numériques. La structure apportera un soutien en termes d’hébergement, de conseils, d’appui administratif durant la phase de lancement des entreprises.

Mesure 39
Création d’un cadre réglementaire destiné à favoriser la production audiovisuelle et cinématographique (APC) et à soutenir la création et le développement numérique.


ENTREPRISES, COMMERCE ET CONSOMMATION

Mesure 40
Instauration d’un droit de la concurrence (dispositions générales, phénomènes d’ententes, mécanismes de contrôle de la concentration économique, accords d’exclusivité) et création d’une autorité administrative indépendante (AAI) chargée d’en assurer la régulation. Instauration des dispositions réglementaires relatives à la transparence des relations commerciales entre les entreprises (obligations de transparence, réglementation des accords commerciaux et remises, dispositions relatives aux abus de position dominante).

Mesure 41
Elaboration d’une loi de pays relative à la protection des consommateurs (transparence des contrats, modalités sur la tacite reconduction des contrats, procédures collectives, lisibilité des clauses commerciales).
Ce texte permettra de renforcer les droits des consommateurs dans un contexte de plus grande concurrence des entreprises.


Mesure 42
Instauration de mesures facilitant l’initiative privée. L’objectif visé est d’améliorer significativement l’indice de facilité à entreprendre de la Polynésie (indice établi par la Banque Mondiale). Les critères déterminants de la fixation de l’indice comprennent la création d’entreprise, l’obtention d’un permis de construire, le raccordement à l’électricité, le transfert de propriété, l’obtention de prêts, la protection des investisseurs, le paiement des taxes, le commerce transfrontalier, l’exécution des contrats et la résolution de l’insolvabilité)

Mesure 43
Faciliter et soutenir le financement des TPE et des PME au travers de prêts à taux bonifiés sans garantie destiné à financer le développement des petites entreprises qui ont le plus de difficulté dans l’accès aux financements bancaires. Cette opération sera effectuée dans le cadre d’un partenariat BPI – AFD – SOFIDEP.

Mesure 44
Abaisser à 20.000 Fcfp le niveau de la franchise dont bénéficie à l’entrée des colis postaux afin de dynamiser le commerce de détail et de renforcer la capacité d’emplois dans ce secteur.

Mesure 45
Remplacement de l’impôt sur les transactions par un impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux, les bénéfices non commerciaux, les revenus fonciers et les autres revenus professionnels. Cette réforme n’impactera pas le régime actuel des TPE soumises à une imposition forfaitaire dès lors que le chiffre d’affaires n’excède pas 5 millions Fcfp.

Mesure 46
Mise en place d’un cadre réglementaire pour la création des fonds de dotation destinés à favoriser le financement par les entreprises d’actions d’intérêt général dans le domaine de la culture, de l’environnement, etc. couplé à un dispositif d’incitations fiscales.

Mesure 47
Modernisation du dispositif de contrôle des prix des produits de première nécessité (PPN) et des produits de grande consommation (PGC) par une redéfinition de la liste des PPN au travers de critères multiples (caractère essentiel du produit, problématiques de santé publique, fixation des marges autorisées). Accroissement des effectifs de la cellule de contrôle des prix (par redéploiement de personnels administratifs et formation professionnelle théorique et pratique sur le contrôle des prix).

Mesure 48
Mise en œuvre d’un processus de réduction progressive des droits et des taxes à l’importation de certains produits. Simplification des modalités de taxation des produits importés (harmonisation et suppression/ substitution de certaines taxes).


PROCEDURES ADMINISTRATIVES

Mesure 49
Simplification (suppression de la commission consultative relative à la TDL,…) et mise en cohérence du cadre réglementaire fixant les droits spécifiques à l’importation de produits en concurrence avec des productions locales (Taxe de Développement Locale) de façon à assurer une plus grande efficacité en matière de protection des productions locales et une baisse progressive des droits à l’importation dès lors que cette taxation à l’importation ne répond pas à un tel besoin de protection.

Mesure 50
Modernisation, simplification et harmonisation des différents textes réglementaires relatifs à l’environnement, l’aménagement et l’urbanisme (installations classées, notices et études d’impact, aménagements, construction,...) et au travail afin de parvenir à une plus grande efficacité économique.

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Pharmacies de garde: Du Vendredi 18 avril 2014

-PAPEETE : Pharmacie du PACIFIQUE, rue Javouhey. Tél : 43 81 97 - Ouvert de 7h30 à 18h30
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 47 01 47

-FAA'A : Pharmacie TAUTIARE, pk 2 c/mont Auae. Tél : 80 04 25 - Ouvert de 8h00 à 11h00
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la gendarmerie de Faa'a au 46 72 00.

-PUNAAUIA : Pharmacie OTEANIA, pk 12,580 c/mer. Tél : 85 59 00 – Ouvert de 8h00 à 12h00
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la police municipale de Punaauia au 54 38 60.

Pharmacies de garde: Du Samedi 19 avril au Dimanche 20 avril 2014

-PAPEETE : Pharmacie PAOFAI, rue Varney. Tél : 43 93 93 - Ouvert le samedi de 7h00 à 18h00 - Dimanche de 7h00 à 12h00 / 14h00 à 18h00

-FAA'A : Pharmacie TIARE TAHITI, route de Pamatai. Tél : 83 29 44 - Ouvert le samedi de 7h00 à 12h30 / 14h00 à 19h00 - Dimanche de 8h00 à 11h00

-PUNAAUIA : Pharmacie AITO, pk 11 c/montagne. Tél : 45 57 70 – Ouvert le samedi de 8h00 à 14h00 / 14h30 à 17h00 - Dimanche de 8h00 à 11h00

Pharmacies de garde: Du Lundi 21 avril 2014

-PAPEETE : Pharmacie MAMAO, avenue G.Clémenceau. Tél : 43 16 51 - Ouvert de 7h00 à 19h00

-FAA'A : Pharmacie HEIRI, pk 6,4 côté montagne. Tél : 82 23 23 - Ouvert de 8h00 à 11h00

-PUNAAUIA : Pharmacie TAMANU, centre commercial Tamanu. Tél : 58 45 17 – Ouvert de 8h00 à 11h00

Médecins de garde : www.ordre-medecins-polynesie.com/accueil/
Tour de garde officiel des médecins du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du samedi 19 avril 2014à partir de 12h30 au mardi 22 avril 2014 à 06h00

Iles Du Vent

Secteur Papeete-Faa’a et Punaauia :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du Samedi 19 avril à 12h30 au dimanche 20 avril 2014 à 06h00 : Dr HEITZ Claire Marie Tél. 83 22 22 ou 89 82 50 50
du dimanche 20 avril à 06h00 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr HELLEC Christian Tél. 46 04 01

Secteur Papeete-Pirae-Arue-Mahina :
Du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du Samedi 19 avril à 12h30 au dimanche 20 avril 2014 à 06h00 : Dr PETIT Michel Tél. 43 50 68 ou 78 53 48
du dimanche 20 avril à 06h00 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr BERTRAND Serge Tél. 48 03 43

Commune de Paea :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du samedi 19 avril à partir de 12h30 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr COVIC Erik Tél. 53 27 52

Commune de Papara :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 : Dr BEAUCOUSIN Laurent Tél. 57 40 90
du samedi 19 avril à partir de 12h30 au lundi 21 avril 2014 à 06h00 : Dr PROYART Denis tél. 57 35 88
du lundi 21 avril 2014 à 06h00 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr FAYOLLE Florence Tél. 43 30 33

Secteur Taravao et presqu’île :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 : Dr MARCET Yves Tél. 57 10 20
du samedi 19 avril à partir de 12h30 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr LOQUET Henri Tél. 57 21 88

Secteur de MOOREA :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du Samedi 19 avril à 12h30 au dimanche 20 avril 2014 à 06h00 : Dr GAUDARD Franck Tél. 56 44 63
du dimanche 20 avril à 06h00 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr GEVOLDE Marie Pierre Tél. 56 18 18 ou 23 83 94

Iles Sous Le Vent

Ile de Bora-Bora :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du Samedi 19 avril à 12h30 au dimanche 20 avril 2014 à 06h00 : Dr ROUSSANALY Azad Tél. 67 77 95 ou 78 27 80
du dimanche 20 avril à 06h00 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr SEMERARO Hugo Tél. 67 70 62

Ile de Huahine :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 : Dr MOTYKA Pascal Tél. 68 82 20
du samedi 19 avril à partir de 12h30 au lundi 21 avril 2014 à 06h00 : Dr CARBONNIER Hervé 68 82 20
du lundi 21 avril 2014 à 06h00 au mardi 22 avril 2014 à 06h00 : Dr TROUCHE Heimana Tél. 68 70 70

Ile de Raiatea :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du samedi 19 avril à partir de 12h30 au mardi 22 avril 2014 à 06h00: Dr DIOCHIN Pascal Tél 66 23 01

Ile de Tahaa :
du vendredi 18 avril à 06h00 au samedi 19 avril 2014 à 06h00 et du samedi 19 avril à partir de 12h30 au mardi 22 avril 2014 à 06h00: Dr DANA Raphaël Tél. 65 65 67 ou 76 12 76

CLINIQUES DE PAPEETE

- Cardella : Tél. 46.01. 00 (à partir de 12h00)
- Paofai : Tél. 46.18.18 poste 4114 (à partir de 13h00)

SOS MEDECINS : 7/7 jours et 24/24heures Tél. 42.34.56

Vétérinaire de garde: Du Vendredi 18 au Lundi 21 avril 2014
Clinique vétérinaire de PAOFAI-VONSY (Papeete). Tél: 42 55 00

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PAPEETE, le 16 avril 2014. Alors que le président du Pays présentait, ce mercredi, le plan de relance du Pays décliné en 50 mesures, les micro-entrepreneurs déjà en place ou en devenir se pressaient dans le hall de l’assemblée de Polynésie pour le 4e forum de la micro-entreprise. A suivre encore ce jeudi de 8h à 15h. Pour cette première journée, environ 600 visiteurs sont venus fréquentés les stands et les ateliers ce mercredi: un public de jeunes adultes, qui arrive le plus souvent avec des idées déjà bien formulées.

Dans le hall de l'assemblée de Polynésie, le parcours est fléché littéralement, étape par étape. D’abord préparer son projet, puis passer par les différentes formalités administratives et enfin, se concentrer sur le démarrage de l’activité avec comme objectif : «gagner de l’argent». Des étapes qu’il faut suivre dans l’ordre et sans vouloir précipiter les choses. «Nous offrons ici des renseignements très concrets destinés à un public qui est en demande, qui a envie de gagner sa vie mais qui bute sur des questions et la crainte de la paperasserie et des obligations légales». Armelle Merceron, représentante d’opposition du groupe A Ti’a Porinetia à l’assemblée de Polynésie parvient depuis quatre ans à organiser ce forum qui est un condensé de tout ce qu’il faut savoir et faire avant de se lancer dans l’entreprenariat, avec le soutien appuyé des ministères et des administrations concernées.

Tout ce qu'il faut faire et savoir avant de créer son propre emploi ou monter sa petite entreprise se trouve au forum. «Nous avons même des contrôleurs de la DICP qui sont là pour fournir les informations fiables sur le régime fiscal des très petites entreprises» poursuit la représentante ATP. Le premier objectif de ce forum est d’informer aussi bien ceux dont le projet d’entreprise est déjà savamment mûri que ceux qui hésitent encore à se lancer. «Nous voulons leur faire comprendre avant tout qu’il y a un parcours du créateur d’entreprise à suivre pour ne pas trébucher. Nous l’éditons chaque année dans notre petit guide pratique» détaille encore Armelle Merceron. 3000 exemplaires de ce fascicule ont été imprimés pour le forum. «Small is beautiful» conclut la représentante, sûre de son fait qu’en temps de crise ce sont les TPE qui offrent le plus d’opportunités d’activités.

Les ateliers du jeudi 17 avril

8h-9h : les étapes clés pour créer mon activité
8h-8h30 : la comptabilité comme outil de gestion
8h45- 9h45 : la perliculture, présentation du secteur d’activité et des métiers qui s’y rattachent
9h15 -10h15 : Faire mon budget, combien ça coûte ?
10h -11h : artisanat traditionnel, du statut associatif à la patente
10h30-11h30 : Financer mon projet, comment je paye ?
11h15-12h15 : transformer les produits agricoles et de la mer. Comment en vivre ?
12h30-14h : Formalités administratives (prendre une patente, contrôles hygiène, déclarations CPS, autorisations administratives….)
14h-15h : mes obligations sociales (j’embauche un salarié)

Toutes les 30’, de 9h à 12h : coaching en développement personnel
De 8h à 15 h : bilan individuel de compétences

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FAA'A, le 16 avril 2014. Le maire de Faa’a a reçu le consul de Chine en Polynésie, Wu Dong, ce mercredi pour parler des investissements chinois sur le territoire. L’entretien a duré environ une heure à la mairie de Faa’a. «Nous avons voulu rencontrer le consul de Chine pour avoir des informations plus précises, par exemple sur le projet d’aquaculture. Pourquoi ce projet qui était à l’origine prévu du côté de Hao a été déplacé. Du jour au lendemain, on a appris que Hao était mis de côté et on n’a pas d’information de la part du Pays. Ce matin, le consul nous a donné les informations qu’on souhaitait avoir. Du côté de Hao, il y a des problèmes de pollution» indiquait Oscar Temaru à l’issue de cette rencontre.

Sur les projets hôteliers qui n’ont pas encore été confiés à des investisseurs chinois, l’ex président du Pays a fait connaître sa vision politique. «Tahiti c’est vraiment l’île d’accueil, sa beauté naturelle, ses belles plages qu’il faut laisser libre à l’accès de tout le monde. Je ne vois pas mon Pays dans 30 ans où les jeunes ne pourront plus aller à la plage d’Atimaono, parce que je le sais bien, quand ils vont investir là dedans avec des projets d’hôtels grandioses, et bien c’est fini, ce bord de mer sera fini pour la population (…) Pareil pour le projet de Mahana Beach, nous disons que nous devons laisser le bord de mer pour la population, pour les touristes qui viennent chez nous et construire des hôtels à l’intérieur de l’île».

La pique du jour

A l'occasion de ses commentaires avec la presse après sa rencontre avec le consul de Chine, Oscar Temaru a jeté une petite phrase à l’encontre de son adversaire politique. «M. Flosse aujourd’hui demande de nouvelles compétences et même des compétences régaliennes. Je suis un peu étonné car, il y a quelques années il disait nous sommes allés au bout : aller plus loin ça serait l’indépendance. Alors je me pose la question : quelle compétence M. Flosse souhaite-t-il avoir ? La défense ? Je ne crois pas. Peut-être la justice ? Il serait lui-même ministre de la justice et donc on ne pourra plus le juger et il pourra continuer à voler ce pays comme il veut. Et je le dis tout haut et tout fort».

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PARIS, le 16 avril 2014. Le financement du RSPF (régime de solidarité de la Polynésie française) constamment en déficit depuis plusieurs années, depuis que l’Etat ne verse plus sa quote-part solidaire, reste un problème entier pour le gouvernement polynésien. En décembre 2013, une mission de l’inspection générale des affaires sociales (Igas), de l’inspection générale des finances et de l’administration est venue enquêter sur place et devait, à l'origine, rendre son rapport fin janvier. Plus de trois mois plus tard, ne voyant toujours rien venir, ni le rapport final de l'Igas, ni a fortiori les financements de l'Etat au RSPF, Edouard Fritch le député polynésien a interrogé directement le gouvernement français à ce sujet. Tout en rappelant le contexte local : «Les Polynésiens qui ont tant contribué à la sécurité de la France doivent pouvoir continuer à bénéficier de la solidarité nationale» a-t-il rappelé.

Finalement, ce rapport de l’Igas ne sera remis à Marisol Touraine, le ministre des affaires sociales seulement le 15 mai prochain. La ministre s’est exprimée hier à ce sujet, interrogée par le député Edouard Fritch. «Les Polynésiens doivent évidemment pouvoir compter sur la solidarité» a déclaré la ministre, mais elle a souligné que le rapport de l’Igas, devrait répondre à plusieurs questions centrales. Notamment déterminer les conditions du retour à l’équilibre financier du Centre hospitalier de Polynésie et plus largement de la branche maladie de la Polynésie française ; trouver des solutions pour améliorer la gouvernance du système de santé ; enfin, comment par une meilleure offre de soins et de proximité on peut développer la prévention et mieux répondre aux besoins de la population.

La solution de l’Etat pour faire face durablement aux déficits chroniques du RSPF ne se contentera pas de signer un chèque en blanc à la Polynésie, mais passera par une réforme en profondeur du système de santé polynésien, de son système de solidarité et de répartition. Ce qui avait déjà été largement exposé au sein du rapport Bolliet de l'inspection générale en 2010 après une mission d'assistance à la Polynésie française dont les préconisations ont été très peu suivies d'effets jusqu'ici. «Ensuite nous pourrons dialoguer et échanger autour des conclusions du rapport» annonçait Marisol Touraine ce mercredi en réponse à Edouard Fricth. Le retour de l'Etat dans les partenaires du RSPF qui est nécessaire à la Polynésie pour convaincre notamment l'agence de notation Standard and Poor's de sa santé financière rétablie. Mais la route promet d'être longue et rude.

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PAPEETE, le 16 avril - L’association Te mana o te moana, encourage les polynésiens à observer les cétacés et récolter des données. Un site internet a tout particulièrement été créé à cette occasion et permet au grand public de rentrer ses observations en ligne.

La mégafaune Polynésienne reste assez peu étudiée, ce qui constitue un obstacle pour la bonne conservation de ces espèces. Pour protéger les cétacés présents dans ses eaux territoriales, le Ministère polynésien en charge de l’Environnement a mis en place, en 2002, le Sanctuaire des cétacés de Polynésie française, d’une superficie de 5.5 millions de km², soit l’équivalent de l’Europe !

La Polynésie française est une zone d’observation idéale. En effet, de nombreux cétacés vivent très proches de nos côtes. Il suffit d’ouvrir grand les yeux et de noter cette observation. Nous pouvons tous faire de parfaits observateurs et ainsi collecter des informations très utiles.
Pour cela rien de plus simple, que tu sois sur la côte, en bateau ou en kayak prends le temps de noter la date, l’heure, le lieu et l’espèce rencontrée puis enregistres ton observation sur le site internet de l’Observatoire des cétacés en Polynésie française.

http://observatoirepolynesie.org/cetaces/

Le site de l’observatoire, c’est aussi toute l’actualité cétacés, des fiches pour identifier les 16 espèces de cétacés les plus fréquentes en Polynésie, un guide d’approche, des publications, les évènements à suivre… Alors n’attends plus et aides nous à enrichir nos connaissances !
Actuellement un suivi de la population des dauphins à long bec autour de l’île de Moorea est mené depuis la côte. Le grand public peut se joindre à ces observations, pour cela n’hésites pas à nous contacter.


Evènement
Bientôt une galerie photo créer en collaboration avec de nombreux photographes locaux tels que Rodolphe Holler, Tim McKena, Thierry Zysman et Renaud Fayada sera accessible sur notre site

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PAPEETE, le 16 avril 2014. (COMMUNIQUE) Le GIE Tahiti Tourisme, avec le soutien de ses représentants sur les marchés Japon et Chine et d’Air Tahiti Nui organise le roadshow Tahiti Japon – Chine qui se tient actuellement du 13 au 19 avril 2014.

Les participants visiteront les villes de Tokyo, Pékin et Shanghai à l’occasion de cette mission afin de présenter la destination Tahiti Et Ses Îles aux partenaires asiatiques d’une seule et même voix. Cet événement rassemble 300 agents de voyage et tour opérateurs qui auront l’opportunité de rencontrer les partenaires locaux et d’assister aux présentations prévues pendant ce roadshow afin d’améliorer leur connaissance de la destination.

Ainsi, ce sera l’occasion pour le GIE Tahiti Tourisme de présenter les actions prévues sur ces marchés jusqu’à la fin de l’année et de présenter la nouvelle marque de destination qui sera lancée en juin prochain.

Les partenaires locaux qui accompagnent le GIE Tahiti Tourisme dans cette mission de développement du marché asiatique sont : les hôtels InterContinental, Paradise Tours, Kia Ora Resort & Spa, Dream Yacht Charter, Sofitel Polynésie française, St Régis Bora Bora, Le Taha’a Island Resort, South Pacific Management, South Pacific Tours, Tahiti Tours, Hilton Polynésie française, Polynesie Voyages, Le Méridien, Tahiti Nui Travel, Air Tahiti Nui.

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PARIS, le 16 avril 2014. Si la création du tribunal foncier de Polynésie est actée avec l’adoption ce mercredi par l’Assemblée nationale de la loi de modernisation et de simplification du droit, le sujet de l’indivision qui mine les affaires de successions en Polynésie reste entier pour le moment. La garde des Sceaux a néanmoins accepté le principe d’une mission de la Chancellerie sur le territoire.

Quatre amendements proposés par les députés polynésiens n’ont pas été acceptés lors de la discussion générale à l’Assemblée nationale ce mercredi : ils devaient permettre de sortir de certaines situations inextricables d’indivision et de recherche de la généalogie complète des familles avec des «biens indivis qui datent du 19e siècle et des successions qui ne sont toujours pas réglées» insistait Edouard Fritch. La Commission des lois les avait déjà rejetés en février dernier mais les députés polynésiens ont insisté pour les défendre quand même devant leurs collègues députés et la ministre Christiane Taubira, pour forcer la main des autorités de l'Etat à se pencher sur une problématique très particulière du territoire.

Devant Edouard Fritch, avec lequel elle admet avoir eu des relations de travail fructueuses, la rapporteur de la commission des lois de l'Assemblée nationale, Colette Capdevielle est néanmoins inflexible. «Les demandes que vous formulez tiennent aux particularités de votre territoire, vous nous demandez une adaptation du Code civil qui est applicable chez vous, à vos particularités locales. Vous nous avez bien expliqué des difficultés de succession, des indivisions qui durent depuis des décennies sans règlement possible ; vous nous avez également expliqué que cela créait des désordres sociaux, des difficultés familiales, que cela entraînait sur le territoire des difficultés d’ordre économique, tout ça bien évidemment est entendu. Ceci dit, certaines des questions que vous posez ne peuvent pas être résolues en droit et posent des questions d’ordre constitutionnel».

La Garde des Sceaux, Christiane Taubira propose alors une sortie plus productive, «nous travaillons sur un texte de loi de simplification or ce que vous proposez est une réforme de fond avec des conséquences extrêmement importantes. L’indivision est un vrai sujet dans nos territoires qu’il s’agisse de la Polynésie où c’est particulier, en Guyane où c’est encore particulier, en Corse ça l’est. Tout ça est lié à l’Histoire. Nous avons aujourd’hui une situation qui est extrêmement préjudiciable aux héritiers mais aussi au dynamisme de ces territoires. Du coup, ça fige toute une série de biens fonciers, patrimoniaux et il y a moins de fluidité dans l’activité économique. Moi, ce que vous propose, c’est le retrait de ces amendements au bénéfice de séances de travail qui nous permettent de voir la situation très précisément».

Cette sortie peut apparaître comme un moyen de botter en touche, mais finalement, Christiane Taubira va plus loin et a annoncé aux députés polynésiens qu’une mission de la Chancellerie serait dépêchée sur place, ce qui répond à une sollicitation du député Edouard Fritch. «Parfois il vaut mieux que ceux qui vont contribuer à la rédaction des dispositions se rendent compte sur place, donc je vous confirme que je ferai composer rapidement une mission que j’enverrai en Polynésie pour voir sur place les parlementaires, les élus locaux et aussi les professionnels, les usagers les praticiens». La ministre a promis de faire connaître rapidement la composition et la date de cette mission.

Pour lire le communiqué des députés polynésiens, CLIQUER ICI

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PAPEETE, le 16 avril 2014. Ce week-end de Pâques, Papeete va accueillir quatre paquebots de croisière les 18, 19 et 20 avril 2014. Durant leurs parcours en Polynésie française, ils visiteront principalement les îles de Tahiti, Moorea et Bora Bora. Au total, ce sont 13 532 croisiéristes dont 9 499 passagers et 4 033 membres d’équipage en provenance des paquebots suivants qui débarqueront à terre.

Vendredi, le 18 avril, le Golden Princess de la compagnie Princess Cruises arrivera dès 7 h à l’épi ES3. 2 600 passagers et 1 123 membres d’équipage descendront du paquebot. Le
Golden Princess quittera le port de Papeete samedi à 4 h puis se dirigera vers l’île soeur Moorea pour une arrivée prévue à 8 h. Le jour même à 17 h, il rejoindra Bora Bora pour une escale d’une journée, le dimanche 20 avril de 7 h à 17 h.

Samedi 19 avril, deux paquebots sont attendus. Le Solsticede la compagnie Celebrity Cruises accostera le samedi 19 avril 2014 à 10 h à l’épi ES3. Le paquebot compte 3 145 passagers et 1 253 membres d’équipage à son bord. Après une courte escale d’une journée à Tahiti, il prendra la direction de l’île de Moorea à 23 h 59. Les croisiéristes visiteront l’île toute la journée de dimanche de 7 h à 18 h avant de naviguer vers Bora Bora pour une escale prévue le lundi 21 avril de 7 h à 18 h. Le même jour, le Marina de la compagnie Oceania Cruises sera en "turn around" à Papeete de 4 h à 23 h à l’épi EN1. Avec ses 1 258 passagers et 793 membres d’équipage, le navire enchaînera les croisières vers les îles de Moorea, Bora Bora, Raiatea, Nuku Hiva, Hiva Oa et Rangiroa.

Enfin, dimanche le 20 avril, Le Radiance of the Sea de la compagnie Royal Carribean Cruise Line fera à Papeete à partir de 7 h à l’épi ES3. Le navire compte à son bord 2 496
passagers et 864 membres d’équipage. Après sa visite sur l’île de Moorea le vendredi 18 avril de 9 h à 18 h et l’île de Bora Bora le samedi 19 avril de 7 h à 18 h, le navire de croisière fera donc une courte escale à Tahiti, sa dernière destination dans les eaux polynésiennes, le
dimanche 20 avril. Il repartira à 22 heures. Un accueil organisé et offert par le GIE Tahiti Tourisme sera réservé à tous les croisiéristes qui seront reçus avec une fleur de tiare tahiti dès leur descente à terre. Une animation musicale et des démonstrations culturelles se tiendront également au Fare Manihini. Les comités du tourisme des îles assureront l’organisation de l’accueil des passagers avec le soutien du GIE Tahiti Tourisme.

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TAHA'A, le 16 avril 2014 - Dans la nuit du 7 au 8 mars 2014 à Potoru sur l'île de Tahaa, un vol par effraction est commis à l'entrepôt de la Maison de la Vanille. Trois sacs de 30 kg chacun contenant de la vanille sont dérobés. Le préjudice est estimé à 1 800 000 Fcfp (15 084 €).

Les enquêteurs de la brigade de Tahaa au cours de leurs investigations récupèrent 25 kg de vanille au domicile d'un homme âgé de 19 ans. L'enquête permet de mettre en cause un second auteur âgé de 18 ans. La vanille est revendue par un homme de 21 ans à un revendeur de vanille, qui se doutait de la provenance frauduleuse de cette marchandise.

Chez cette dernière personne, les enquêteurs retrouvent 63 kg de vanille.

L'auteur principal des faits, lors de son arrestation, se rebelle et blesse un des gendarmes venu l'interpeller.

L'enquête permet également d'élucider trois autres vols, sur l'île de Tahaa, en 2013 dans un restaurant et en 2014 dans deux magasins, pour un préjudice total de plus de 1 050 000 Fcfp (8 750€).

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RIO DE JANEIRO, 17 avril 2014 (AFP) - Le football de clubs brésilien présente deux caractéristiques insolites: il regorge de surnoms cocasses ou homonymes prestigieux, et représente un eldorado pour les trentenaires frisant la quarantaine. Petit florilège non exhaustif.

. Des noms, des noms !

L'identité des joueurs des championnats brésiliens n'est pas toujours celle de l'état-civil. Un simple prénom, un diminutif voire un surnom font souvent l'affaire.

Dans le registre animalier, il y a Ganso: le milieu dégingandé était perçu comme une "oie" à 15 ans par le magasinier de Santos. Son coéquipier au Sao Paulo FC, l'attaquant Pato, tient son nom de sa ville, Pato Branco, et non du "canard". Eduardo Ratinho (Operario) a été surnommé "petite souris" parce qu'il est petit et rapide.

Si plusieurs joueurs partagent le même prénom ou sobriquet (Alex, Juninho, etc.), d'autres ont des noms ou surnoms lourds à porter dans le foot: Diego Maradona (défenseur d'Horizonte), Patrick Vieira (Palmeiras), Balotelli (Audax Rio), plusieurs Romario...

Il y a aussi les inclassables, comme Alan Kardec (Palmeiras), qui renvoie à ce Français du XIXe siècle, chantre du spiritisme, ou encore deux joueurs dont on a perdu la trace, l'un au nom d'acteur français, l'autre de groupe américain: Allan Delon et Creedence Clearwater Couto !

. L'âge ne fait rien à l'affaire...

Au Brésil, on peut largement jouer après 30 ans et même 35, les exemples fourmillent. Il y a d'abord les gardiens, notamment Rogerio Ceni, capitaine-buteur de Sao Paulo, qui dispute en 2014 sa dernière saison, à 41 ans, ou encore Dida (Internacional), ancien portier de la Seleçao, qui aura le même âge en octobre.

Mais les joueurs de champ ne manquent pas: le Néerlandais Clarence Seedorf a achevé sa glorieuse carrière en décembre au bout d'un an et demi à Botafogo, à 37 ans, remplacé par Jorge Wagner (35 ans). L'ancien Lyonnais Juninho a raccroché le jour de ses 39 ans, à Vasco de Gama. Et le milieu Zé Roberto, qui aura 40 printemps en juillet, cavale toujours du côté du Grêmio !

Et l'âge ne réfrène pas l'ambition. Témoin cet attaquant nommé Somalia (36 ans), qui posait le 1er février lors de sa présentation au club de Bonsucesso avec ce message: "Somalia, futur meilleur buteur du Carioca 2014". Résultat ? Trois petits buts.

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La 2ème édition des GREEN DAYS se déroulera du mardi 22 au samedi 26 avril dans le hall de la mairie de Punaauia..
L’ouverture de cet évènement est prévue le MARDI 22 AVRIL, « Journée mondiale de la Terre ».
Cet évènement a pour thème « la biodiversité». Fort de son succès l’année dernière, la Commune a souhaité renouveler cette opération, en la dissociant de la Fête de l’Orange, tout en impliquant toujours les écoles et les associations.
A cette occasion, durant toute la semaine, une douzaine de stands exposeront les travaux des élèves et seront commentés par les partenaires ayant contribué à la mise en place de cet évènement. 900 élèves sont attendus pour visiter les stands et échanger avec les professionnels de la place. A noter que sur les 12 stands, 9 représenteront les 8 écoles de la Commune et le CJA, et les 3 autres seront réservés à « L’eau », les « Déchets » et la « Petite Fourmi de Feu ».

Pour clôturer cet évènement, une remise de prix est prévue le Samedi 26 avril à 13h30 pour récompenser le plus beau stand et la plus belle création.

Rappel des horaires d’ouverture :
- Mardi 22 et jeudi 24 avril : De 08h30 à 15h30
- Mercredi 23 et vendredi 25 avril : De 08h30 à 12h00
- Samedi 26 avril : De 08h30 à 14h00

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PAPEETE, le 17 avril 2014- A peine descendu de l’avion qui le ramenait de Los Angeles où il prépare une tournée de galas, Gabilou est venu rendre visite à la rédaction de Tahiti Infos. Le 3 mai, il sera en concert à Taravao avec Teiva L.C.
Lancé en 1981 par une troisième place au concours de l’Eurovision, Gabilou avait fait ses classes en première partie des plus grands chanteurs de l’époque. Clo-clo, Sacha Distel, Nana Mouskouri, Enrico Macias, Hugues Auffray, Charles Aznavour… Il a côtoyé les stars, citant entre autre Johnny Halliday, et le regretté Carlos. Aujourd’hui ses concerts attirent toujours les foules et alors qu’il prépare une tournée de gala aux Etats-unis, le chanteur partagera la scène le 3 mai à Taravao avec les grands noms de la musique polynésienne actuelle.

Gabilou, qui avait fait salle comble lors d’un concert exceptionnel au grand théâtre de Papeete en février dernier, entouré de Nohoarii, Sabrina, Patrick Noble, Andy Tupaia, Yvon Arai et bien entendu des danseuses et danseurs de l’école de danse de sa femme Moeata, s’apprête à renouveler l’opération, mais à Taravao, cette fois. «Ce sera un concert unique, dans la salle de l’école de danse de Moeata, et nous partagerons la scène avec Teiva LC, également» explique Gabilou qui retrouve chez le jeune chanteur quelques similitudes avec lui. «Il a une voix, il s’implique beaucoup dans son interprétation, Teiva a vraiment tout pour faire une belle carrière, il s’est fait remarquer pour The Voice » continue-t-il. Mais il s’interroge sur la volonté du jeune talent. « Il a son restaurant, il est bien, je ne sais pas si il fera ce que j’ai fait, aller chercher des galas, des concerts, organiser des tournées… c’est beaucoup de travail !»

Lorsqu’on l’interroge sur le plus beau moment de sa carrière, Gabilou évoque L’Eurovision : « C’était en 1981, à Dublin. Le concert avait fait 600 000 téléspectateurs, autant que le nombre de spectateurs que réunissait Elvis Presley pour une tournée » commente-t-il. « A l’époque, cette comparaison m’avait impressionné, et c’est vrai que ça a lancé ma carrière. Mais j’étais malade, j’avais attrapé une angine, un coup de froid, j’aurais pu gagner, je pense, si j’avais eu toute ma voix » estime-t-il.

Son plus grand regret, n’avoir pas trouvé le bon manager. « Il fallait que je fasse tout, trouver les contrats, organiser les tournées, les galas ». Pour Gabilou cette contrainte l’a freiné un peu dans l’évolution de sa carrière.

Ses conseils à la jeune génération : composer et se produire sur scène, le plus possible. « Les CD, c’est fini, avec les nouveaux médias…Il faut que les jeunes se produisent un maximum, galas, concerts, anniversaires, soirées privées …et puis composer, écrire de nouvelles chansons. » conseille le chanteur. « Je pense que les chanteurs ne devraient pas accepter d’animer des bringues gratuitement, il faudrait demander une petite participation aux gens dès qu’on se produit, même lors d’une bringue… »

Ses projets d’avenir concernent surtout la scène américaine. « Localement, je veux me produire essentiellement à Taravao, à la maison » précise-t-il affectueusement, faisant référence à l’école de danse de son épouse Moeata. « Pour ce qui est de Toa’ta, Papeete, je ferais un grand gala, le 8 août, qui s’appellera « the last one ».

Aujourd’hui, Gabilou a trouvé son manager en la personne de Hianau, sa fille. Elle gère ses tournées et organise ses contacts.

Concert de Gabilou à Taravao le 3 mai à l’école de danse de Moeata avec
Teiva LC, Andy Tupaia, Yvon Arai, Patrick Noble et bien d’autres…
Billet en vente chez Carrefour Taravao, magasin Ace Taravao, Magasin Eliane ou en appelant Hianau au 78 69 67

Exclusivité ! Revivez le grand concert de Gabilou sur Polynésie 1ère vendredi 18 avril à 19h35

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