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William et Kate, en course l'un contre l'autre dans la baie d'Auckland

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William et Kate, en course l'un contre l'autre dans la baie d'Auckland
WELLINGTON, 11 avril 2014 (AFP) - Le Prince William et son épouse, Kate, vont faire la course l'un contre l'autre dans la baie d'Auckland, chacun à bord d'un bateau de la Coupe de l'America, au cinquième jour de leur voyage en Nouvelle-Zélande.

Le coupe princier doit se rendre vendredi dans le port d'Auckland au quartier général de Team New Zealand, finaliste de la dernière Coupe de l'America, et si le temps le permet, ils iront naviguer.

Lors d'une réception jeudi soir, William a déclaré au Premier ministre, John Key, que lui et sa femme avaient envie de se confronter l'un à l'autre sur les flots.

"Ca sera de la compétition (...), de la saine compétition", a-t-il déclaré.

Le directeur d'exploitation de l'équipe Team NZ, Kevin Shoebridge, a indiqué que la course devrait durer deux heures.

"Ils sont à peu près libres de faire ce qu'ils veulent, on ne nous pas donné de consignes spéciales", a-t-il déclaré à 3News.

"Nous allons démarrer les bateaux, puis on leur donnera la barre, quelques conseils et puis on les laissera faire. je pense que tout le monde va passer un bon moment".

Kate et William espéreront sans doute réaliser une meilleure performance que Team NZ qui a dû s'incliner l'an dernier lors de la finale dans la baie de San Francisco, face au bateau américain, Oracle.

Vendredi, le couple doit également aller à la rencontre du personnel d'une base militaire aérienne, en périphérie d'Auckland, faire une balade dans les rues de la capitale néo-zélandaise et également traverser le port de la ville dans un navire amphibie.

Les partisans de l'instauration d'une république en Nouvelle-Zélande ont promis qu'un petit avion muni d'une banderole "il est temps d'avoir un chef d'Etat néo-zélandais" survolerait le port d'Auckland, lorsque le couple royal sera sur le plan d'eau.

Membre du Commonwealth, la Nouvelle-Zélande a pour chef d'Etat la reine Elisabeth II, aux fonctions seulement honorifiques.

Le Prince George, âgé de 8 mois, est présent au côté de ses parents dans cette tournée de trois semaines en Nouvelle-Zélande et en Australie, mais il passe le plus clair de son temps avec sa nounou espagnole, Maria Teresa Turrion Borrallo.

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Exposition d’œuvres polynésiennes en Australie : deux ti’i de Tahiti et des îles marquises à Canberra

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Exposition d’œuvres polynésiennes en Australie : deux ti’i de Tahiti et des îles marquises à Canberra
PAPEETE. 11 avril 2014 - Le musée de Tahiti et de ses îles participera du 22 mai au 3 août prochaîn, à une exposition australienne laquelle réunira plus de 80 objets anciens polynésiens. Parmi eux, un ti’i de Tautira et un tiki des îles Marquises.

Les deux tiki avaient été choisis par Michael Gunn, spécialiste des arts océaniens lors d’un passage au Musée de Tahiti et des îles en mai 2012. Il sera d’ailleurs le commissaire de cette future exposition intitulée « Atua, sacred gods drom Polynesia » (les dieux sacrés polynésiens) qui se tiendra au National Gallery de Canberra, en Australie. Place sera faite au rôle de ces idoles au sein de l’ancienne société polynésienne.

Les deux objets du Musée de Tahiti figureront aux côtés d’œuvres majeures provenant des plus grands musées du monde, parmi lesquels le British Museum de Londres, le Bishop Museum de Honolulu, le Museo Etnologico Vaticano de la cité du Vatican, Te Papa Tongarewa à Wellington, le Musée du Quai Branly à Paris.

Pour la petite histoire, le ti’i tahitien a été donné au Musée de Tahiti durant les années 80. Il avait retrouvé dans l’embouchure de la rivière Vaitepiha de Tautira. Le second, un tiki du Henua Enana, mesurant 12 centimètres, a été acheté en 1976 par Anne Lavondès, la première directrice du musée tahitien. L’objet avait alors été mis en vente aux enchères à l’Hôtel des ventes de Drouot à Paris.

TP

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150 écoliers attendus à la Journée Polynésienne de la tortue marine

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150 écoliers attendus à la Journée Polynésienne de la tortue marine
BORA BORA, le 10 avril 2014 – Le Bora Bora Turtle Center de l’hôtel Méridien organise la première Journée Polynésienne de la Tortue Marine en Polynésie le jeudi 17 avril. C’est la première édition de cette journée et elle ne concernera cette année que Bora Bora. De nombreuses animations sont prévues, principalement pour éveiller les écoliers de l’île à la protection des espèces marine. Ainsi, 150 élèves de CE2 de Anao et Vaitape sont attendus. Ils auront droit à un pic-nic animé par les parrains de l’événement, Rai et Mana. Les enfants ont aussi envoyé des dessins au Turtle Center pour concourir à l’élection de la mascotte du centre. La responsable de l’événement les qualifie déjà de « chefs d’œuvres ».

L’après-midi, des artisans participeront à un concours de tifaifai sur le thème des animaux marins, avant la remise des prix clôturé par un spectacle de danses tahitiennes. Les élèves sont aussi invités à visiter le centre où quatre ateliers leurs seront destinés : une rencontre avec les tortues du centre, un atelier sur le bouturage du corail, un atelier dans l’aquarium où les enfants pourront toucher les animaux marins et un atelier sur la culture des plantes endémiques. Mais le clou de la journée sera certainement le lâché de quatre tortues vertes, qui étaient en soins à la clinique du centre. Aute, Anei, Heipua et Raihei vont retrouver la liberté après plusieurs années à se faire dorloter par les quatre spécialistes du centre.

Cette Journée Polynésienne de la Tortue Marine en Polynésie est soutenue par la Direction de l’Environnement dans le cadre du programme de sensibilisation aux espèces menacées, et par la direction de l’hôtel Méridien Bora Bora. Le centre hôtelier héberge le Bora Bora Turtle Center et ses 4 spécialistes depuis 10 ans dans le but de sensibiliser la population locale et les touristes du monde entier à préserver la faune et la flore des océans.

En plus de Rai et Mana, le joueur des All Blacks Aaron Cruden est également parrain de cette journée. Il en fait la promotion dans cette jolie vidéo :

http://www.tahiti-infos.com/video/
Portraits de tortues

Aute (identification n°DJ008 / GJ009) et Anei (n°DJ012 / GJ013) :
Nom : En français, Aute signifie Hibiscus et Anei est la tiare endémique de Bora Bora
Âge : estimé entre 3 et 4 ans
Raison de l’hospitalisation : Elles ont été amenées au Bora bora Turtle Center le 28/04/2012, par un particulier de Faanui (Bora Bora). Les 2 tortues étaient gardées en captivité et très mal nourries. Il a fallu du temps avant qu’elles puissent retrouver des forces et un taux de croissance normal, mais actuellement elles mangent très bien et chassent. Aute et Anei sont prêtes à être relâchées.

Heipua (n°DJ014 / GJ015) :
Nom : En français, Heipua signifie couronne de fleurs
Âge : estimé entre 3 et 4 ans
Raison de l’hospitalisation : Heipua vient de Maupiti, elle est arrivée au centre le 23/05/2012. Très jeune elle a eu un problème de croissance dû à un parasite : elle ne grandissait pas et ne grossissait pas. Son taote animara a réussi à trouver un traitement qui a très bien fonctionné. Actuellement elle est très active et bien portante, elle peut donc retrouver son milieu naturel.

Raihei (n°DJ019 / GRI03805) :
Nom : En français, Raihei signifie couronne du ciel
Âge : Elle a un peu plus de 4 ans.
Raison de l’hospitalisation : Raihei est une tortue verte qui a été trouvée sur le motu de l’aéroport à Bora Bora, avec 54 de ses frères et sœurs. Des adolescents se promenaient sur la plage et ils ont vu les bébés tortues se faire manger par des chiens. Ils ont réussi à en sauver 55. Raihei a également eu un problème de croissance, mais maintenant, elle va très bien et surtout elle chasse bien. Elle est donc prête à être relâchée.


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Déménagement du dispensaire des Tuamotu-Gambier vers le Centre 15 (Rotonde du CHPF)

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Déménagement du dispensaire des Tuamotu-Gambier vers le Centre 15 (Rotonde du CHPF)
PAPEETE, le 11 avril 2014 - Dans le cadre de l’amélioration du parcours de soins des patients des Tuamotu-Gambier, une première étape est franchie avec le déménagement du dispensaire des Tuamotu-Gambier, actuellement situé dans les locaux de l’ancien hôpital Vaiami. Il permettra de limiter les déplacements, source de fatigue et de stress, pour les malades évasanés.

Ainsi, à compter du lundi 14 avril, à 7h30, le dispensaire recevra désormais les patients des Tuamotu-Gambier venant en Evasan à Papeete, au rez de chaussée du bâtiment du Centre 15 situé, au niveau de la rotonde à l’entrée du Centre Hospitalier de la Polynésie française, au Taaone.

Le numéro de téléphone est le 460 700. Les heures de réception du public sont maintenus de 7h30 à 12h30 sans rendez-vous et de 12h30 à 15h30 sur rendez-vous.

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Protection des animaux: Une photo sur la page facebook de Ken Cartler fait le buzz

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Protection des animaux: Une photo sur la page facebook de Ken Cartler fait le buzz
PAPEETE, le 11 avril 2014 - Hier, jeudi 10 avril, le chanteur tahitien Ken Carlter a mis une photo sur Facebook afin de pousser un coup de gueule sur la situation des chiens en Polynésie. En effet, sur le tournage du clip Shaka Dance, entre Papeari et Taravao, il a découvert un charnier de chiens morts dans des sacs poubelles, et en a recueillis (photo) en train de mourir au soleil, pour les emmener chez le vétérinaire. Le tournage a été annulé ce jour là, et Ken a voulu témoigner de cet triste événement sur sa page fan facebook. Il ne pensait pas atteindre une telle audience.
Les réactions ont été rapides et massives. Les internautes polynésiens ont manifesté leur soutien au coup de gueule, et ont montré leur désir de porter le sujet pour faire avancer les choses.
La photo a été vu près de 100 000 fois, sans promo payée, avec + de 1900 likes, + de 1600 partages, et + de 230 commentaires. Un véritable raz de marée !
Les associations, dont la présidente de Fenua Animalia, ont ainsi contacté Ken pour le remercier d'avoir témoigné et de vouloir agir. Ainsi que certaines personnalités polynésiennes.


Si vous souhaitez soutenir la cause animalière...
Contact de Sabine Puchon, présidente de Fenua animalia. Tel : 70 30 62
Contact de Gaëlle, Eimeo Animara, 31 88 26

Protection des animaux: Une photo sur la page facebook de Ken Cartler fait le buzz

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Félix Tokoragi élu maire de Makemo

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Félix Tokoragi élu maire de Makemo
MAKEMO (Puheva), 11 avril 2014 - Félix Tokoragi succède à Michel Yip à la mairie de Makemo. Il a été élu par 18 voix sur 19 dont un bulletin nul. L'élection des maires délégués des communes de Katiu, Taenga et Raroia est programmée samedi 12 avril à partir de 8 heures.

La commune de Makemo agglomère autour de l'atoll de 832 habitants les îles voisines de Katiu, Taenga et Raroia. Le nouvel édile de Makemo avait conduit la liste "Makemo a Tika", aux dernières municipales et remporté 10 des 19 sièges du conseil au terme du second tour, le 30 mars dernier.

Ses cinq adjoints sont tous des colistiers, résidents de l'atoll de Makemo : Mme Lydia NOUVEAU (1er) ; M. Tominiko MAIFANO (2e) ; Mme Tuia KAPIKURA (3e) ; Milton MARO (4e) ; M. Tahirivairau KOTE (5e).

Pour l'instant, les trois élus de Katiu, 250 habitants, sont M. Kirianu ANI, M. Michel YIP (maire sortant) et Mme Eliane HARRY.
Quatre conseillers sont issus de Raroia, 233 habitants : M. Ignace HELME-ESTALL, M. Bruno Tehei MAETZ, Mme Ana RUATERORO, Mme Marina TETOKA ÉPOUSE MOEVAI.
Deux conseillers sont élus à Taenga, 113 habitants : M. Jean-Yves MAIROTO, M. Tohitika TEREMIHI.

L'élection des dix élus de Makemo fait l'objet d'un recours devant le tribunal administratif déposé par une liste concurrente.

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IEOM : Le bilan de 2013 laisse un petit espoir de reprise économique

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IEOM : Le bilan de 2013 laisse un petit espoir de reprise économique
PAPEETE, le 11 avril 2014 – L’économie polynésienne n’a toujours pas effectué son virage tant attendu vers la croissance en 2013. C'est la conclusion que l'on peut tirer du bilan 2013 de l’institut d’Emission d’Outre-Mer, notre banque centrale. Mais il reste optimiste dans sa note intitulée « 2013 : Une année de transition en attendant la reprise ? »

L’Institut relève plusieurs chiffres contrastés qui expliquent son ambivalence. D'abord les mauvaises nouvelles : sur le front du travail, le nombre d’emplois salariés a encore baissé de 1% sur l’année. Une baisse moins catastrophique que les -2,7% de 2012, mais qui continue de faire empirer la situation des 25 000 chômeurs du territoire. Les pires secteurs de 2013 ont été le commerce (500 emplois de moins), l’administration (400 emplois supprimés, dont les 171 départs volontaires dans l’administration territoriale) et la construction (qui a détruit 100 emplois). Pas de quoi améliorer notre taux de chômage (déjà à 22% fin 2012). Et d’autres indicateurs sont au rouge : la consommation des ménages est en baisse, le bâtiment est toujours dans la crise, le déficit commercial se creuse toujours plus (à 150 milliards de francs), le financement des entreprises recule (-10% de crédits d’exploitation) alors que le nombre de créances douteuses dans le bilan des banques s’élève à 12,6% (contre 12% fin 2012).

Un retour de la confiance

Mais notre grand argentier semble croire que cette tempête économique pourrait laisser place au beau temps cette année : « En 2014 nous constatons pour l’instant une forme d’attentisme des acteurs économiques, qui attendent le plan de relance. Mais sur 2014 nous avons des perspectives encourageantes comparé aux trois dernières années » explique Pierre-Yves Le Bihan, directeur de l’IEOM.

Il s’appuie sur quelques bons signaux, dont l’arrivée d’une majorité stable au pouvoir. « Cette stabilité retrouvée, nécessaire au retour de la confiance, aura fait naître les espoirs d’une reprise qui tarde à s’amorcer » tempère tout de même l’IEOM. Malgré tout, depuis cette élection le climat des affaires s’est fortement amélioré pour revenir à sa moyenne de long terme : « une forme d’attentisme semble se créer. Mais les intentions d’investir continuent de se manifester, avec quelques reprises d’activité dans certains secteurs » assure Pierre-Yves Le Bihan. Les prix restent stables (l’inflation en 2013 est presque entièrement imputable à la hausse spectaculaire du prix des vols internationaux) et les investissements semblent repartir. Les importations de biens d’équipement augmentent ainsi de 15,4%, en particulier grâce à l’achat d’un nouvel avion par Air Tahiti et l’arrivée de l’Aremiti Ferry 2.

Le tourisme continue sa mue

Le tourisme s’améliore légèrement, avec une baisse du nombre de visiteurs mais une augmentation de leur durée de séjour qui permet au secteur du tourisme d’afficher un chiffre d’affaires en hausse de 4,7% sur l’année. Un chiffre qui cache une mutation importante de notre tourisme en faveur des croisiéristes. « On le voit tous, il y a une redéfinition du tourisme en faveur des croisiéristes. Il y a de plus en plus de bateaux de croisière et ça a un impact positif sur l’économie. Il faut aller les chercher, ils prennent quelques nuits d’hôtel, ils font des excursions… C’est un phénomène qui se développe énormément à travers le monde depuis 5 ou 6 ans et nous arrivons enfin à en profiter. Par exemple à Moorea le nombre de bateaux faisant escale a presque doublé » analyse le directeur de l’Institut.

Et la reprise ?

La note de l’IEOM se conclut sur un commentaire en demi-teinte : « En 2014, des perspectives encourageantes de redressement sont posées pour certains secteurs clés de l’économie, tels le BTP au travers des investissements publics d’envergure, ou encore le tourisme avec la mobilisation des acteurs et le renouveau de la croisière. Toutefois l’incertitude demeure sur leur capacité à rapidement recréer suffisamment d’emplois pour faire refluer le chômage. » Le directeur de l’Institut ajoute aussi que « le redressement des finances publiques reste fondamental. Il faut continuer ces efforts pour libérer des capacités d’investissement. »

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Documentaire : Qui sème le slam récolte les poètes

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Documentaire : Qui sème le slam récolte les poètes
PAPEETE, le 11 avril 2014 – Pourquoi pas un petit documentaire pour le weekend ? La journaliste Odile Dufant a filmé tout le festival "Slam de cocotiers, les mots pour dire" organisé par l’association Polynélivre en mars 2013. Elle en a tiré un documentaire de 25 minutes centré autour de Gérard Mendy. Ce slammeur franco-sénégalais était l’invité d’honneur du festival et il a réussi à allumer la flamme de la poésie chez les adolescents et le public qui ont croisé sa route à Tahiti. Tout en découvrant le ‘orero, l’art oratoire de la Polynésie.

Voici comment la documentariste décrit Gérard Mendy : « Venu de France ce "Griot des temps modernes" a chanté, slamé et animé de nombreux ateliers slam, pendant dix jours de marathon. Tout en nous livrant son propre cheminement de vie, cet artiste, pétillant de joie de vivre communicative, infiniment généreux a guidé des jeunes et des adultes sur le devant de la scène pour slamer, faire "claquer les mots", oser et se révéler. »

Cette rencontre a fortement marqué les esprits, au point qu'après sa clôture les bénévoles avait décidé de créer l’association Slam de Cocotiers, qui organise une scène ouverte tous les mois. La prochaine sera organisée le 30 avril. Marie Kops, présidente de cette jeune association, se souvient bien d’Odile Dufant, une bénévole de Polynélivre qui avait suivi le rythme infernal du festival pendant 10 jours : « Le documentaire reflète bien ce qu’il s’est passé. On voit comment les langues se délient, on voit les jeunes jouer avec les mots. C’était surtout dû à la personnalité de Gérard Mendy, qui arrivait devant des jeunes très timides et commençait à déclamer. Il les entrainait avec lui. »

Le documentaire n'avait pas encore été révélé au grand public. Il est maintenant disponible gratuitement sur YouTube :

http://www.tahiti-infos.com/video/

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Cinematamua : 95ème séance mercredi 16 avril

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Cinematamua : 95ème séance mercredi 16 avril
Te Fare Tauhiti Nui – Maison de la Culture, avec le soutien de Polynésie 1ère, a le plaisir de vous convier à un Cinematamua entièrement destiné à la pêche en Polynésie, le mercredi 16 avril 2014 à 19h00 au Petit Théâtre.

Le premier reportage (en Version française) est signé Henri Rohfritsch et s’intéresse à la SCEP (Société pour la commercialisation et l’exploitation du poisson), une expérience de pêche semi-industrielle menée par Warren Ellacott à partir de 1973. Alors que la croissance économique générée par le CEP semble stagner, les pouvoirs publics cherchent d’autres secteurs d’activités à développer. Une place de choix est réservée au développement de la pêche industrielle et artisanale. Le reportage est tourné en 1978, la SCEP est alors installée à Papeete et Apataki et la pêche se pratique autour des atolls de Arutua, Toau et Kaukura.
Si l’essor de la SCEP sert de fil conducteur au film, Henri Rohfritsch s’intéresse également aux différentes techniques de pêche, la pêche au bonitier, la pêche traditionnelle, la pêche au harpon, et au conditionnement du poisson sous toutes ses formes.
On y découvre également la vie à Apataki : l’atoll est passé de 80 habitants à plus de 200 âmes en l’espace de quelques années… 1978 est l’année phare de la société qui s’équipe de 2 nouveaux bateaux et d’un grand filet piège. Les années suivantes seront plus sombres, si bien que la société dépose le bilan quelques années plus tard.

Le second reportage (en Version tahitienne) a été réalisé par David Marae. Les images sont signées Didier Gaudermen et le son Maurice Hanouzet. Le reportage s’intéresse plus particulièrement à la pêche aux bonites.

Entrée libre

Renseignements : 544 544 ou www.maisondelaculture.pf


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Test devant le jury du Conservatoire Artistique : Une américaine gagne le prix « Louise Kimitete »

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Test devant le jury du Conservatoire Artistique : Une américaine gagne le prix « Louise Kimitete »
PAPEETE. 11 avril 2014 – Ce vendredi matin, les meilleures élèves internationaux du CAPF ont passé l’examen final devant un jury d’experts culturels. A la clé, un prix largement convoité par les professeurs de ‘ori Tahiti, venues de l’étranger.

Ainsi, les « first and six level » (1er et 6ème niveau) correspondant respectivement aux 1ères et 6 ème années, se sont succédés devant des supporters admiratifs face aux prestations de chacune des élèves étrangers du Conservatoire Artistique de la Polynésie Française. Les grandes nations lesquelles comptent le plus grand nombre de pratiquants de ‘ori Tahiti avaient envoyés leurs représentantes pour passer l’examen final, après une semaine de stage intensif avec Vanina Ehu, professeur titulaire de l’établissement.

Mais au Conservatoire polynésien, un stage de ‘ori Tahiti ne serait pas ce qu’il est sans la présence de l’incontournable Louise Kimitete, la doyenne de l’école. A 75 ans, sa vivacité et son énergie n’ont rien à envier aux plus jeunes. « Notre danse doit être représentée d’une manière irréprochable, qu’elle soit exécutée par nos filles ou par des danseuses venues d’ailleurs. C’est ainsi et pas autrement ! » a-t-elle appuyé sur un ton sérieux, mais empreint d’un amour infaillible pour ses élèves. « Oh oui, je les aime toutes et elles me le rendent bien, et je ne compte même plus leur nombre.»

Le stage a démarré ce lundi. Fixé pour une durée de cinq jours, chaque élève a pu parfaire ses connaissances des pas de base. La particularité réside dans l’ensemble des postures adoptées pour chaque style de pas. Comme nous l’a expliqué Louise Kimitete, « Les remarques générales concernent toujours les fesses des danseuses, mais il n’y a pas que cela. Les poses sont tout aussi importantes. Et lorsque je parle de pose, j’entends par là la manière de se tenir, de se pencher, de bouger les mains, le sourire. Ça va jusque dans la chevelure. C’est tout cela le ‘ori Tahiti.»

L’ouverture de l’examen s’est faite en présence de John Mairai, spécialiste de la culture polynésienne et journaliste, Manouche Lehartel et encore Fabien Dinard, le directeur du conservatoire en personne. Un jury qui a du faire un choix pour attribuer le prix « Louise Kimitete » à la meilleure élève. D’autant plus que sur les 10 danseuses, la moitié se retrouve sur la fenua pour la 6ème fois, à raison d’une semaine d’apprentissage par an« et donc, elles repartent un certificat de stage, délivré par le Conservatoire. Cela leur permet de prouver qu’elles sont venues s’initier sur le fenua» nous a expliqué Vanina Ehu.

Après une prestation groupée, chaque élève est passé une à une, accompagnées des musiciens du Conservatoire. D’Australie, au Japon en passant par l’Australie et l’Italie (et une française de Nouvelle-Calédonie), aucune n’a déméritée tant par le style que par la beauté. Et en final, c’est l’américaine Désirée Woodward Lee (de San Francisco) qui est repartie avec le prix tant convoité, une véritable consécration pour ces demoiselles dont la pratique du ‘ori Tahiti relève plus que de la passion, mais pour certaines de l’obsession. Et elles l’assument pleinement « le principal pour moi, c’est de continuer jusqu’au plus haut niveau et de promouvoir le ‘ori Tahiti dans mon pays et ce, tous les jours de l’année, soit 365 jours ! » a livré une danseuse de première année.

Ce stage est un moment privilégié pour chacune des participantes et toutes espèrent revenir pour la prochaîne session programmée en 2015.

TP

Test devant le jury du Conservatoire Artistique : Une américaine gagne le prix « Louise Kimitete »
Liste des participantes :


GRAY Julia Niveau : 6 Australia
WOODWARD LEE Desiree Niveau : 6 USA
NEMENZO Magdalena Niveau : 6 USA
WATANABE Yoshiko Niveau : 6 Japan
YAMANAKA Eriko Niveau : 6 Japan

ONO Kana Niveau : 2 Japan
HINO Manami Niveau : 2 Japan
DELLA VOLPE Daniela Niveau : 2 Italy
KUCHIKI Asami Niveau : 1 Japan
CARIOU Kendy Niveau : 1 France (New Caledonia)

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Un couple de touristes américains victime d’un accident mortel à Moorea

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Un couple de touristes américains victime d’un accident mortel à Moorea
MOOREA (Paopao), 11 avril 2014 – Une touriste américaine de 66 ans est décédée lors d’un accident de scooter peu avant midi à Paopao.

Son époux, 69 ans, qui conduisait le deux-roues est indemne, selon l’information communiquée par la gendarmerie.

Le dépistage d’alcoolémie pratiqué sur le conducteur s’est avéré négatif. L’homme est pris en charge par l’agent consulaire des Etats-Unis.

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Préavis de grève à Carrefour Punaauia

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Préavis de grève à Carrefour Punaauia
PUNAAUIA, 11 avril 2014 - La centrale syndicale O Oe To Oe Rima a déposé dans la matinée un préavis de grève visant l'activité du magasin Carrefour Punaauia. Direction et syndicat ont jusqu'à mercredi pour s'entendre, faute de quoi un débrayage est à craindre dès jeudi.

Les principaux points de revendications des représentants du personnel de l'hypermarché de Punaauia portent sur "l’augmentation des salaires, les reclassements et les éventuelles indemnités de départ".

La direction de l’établissement inciterait plusieurs salariés à quitter l’entreprise afin d’intégrer le nouvel hypermarché du groupe situé face à l’ancien hôtel Hilton de Faa’a et qui devrait ouvrir ses portes dans les prochaines semaines.

En cas d’échec des pourparlers, la grève devrait être effective pour une durée illimitée à partir du jeudi 17 avril 2014.

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Chasse au trésor : la "petite aventure" coûte 14 millions de francs au contribuable

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Chasse au trésor : la
PAPEETE, le 11 avril 2014 – Après la mésaventure de trois aventuriers chasseurs de trésor à Anuanuraro, l’heure est maintenant au bilan. L’opération de secours des services du MRCC Polynésie (le Centre de Surveillance, de Recherche et de Sauvetage en Mer) a mobilisé l’hélicoptère Dauphin interministériel et un Gardian de la flottille 25F prêté par les forces armées. Le tout à un coût pour l’état de 115 000 euros, soit près de 14 millions de francs cfp.

Un porte-parole du Haut-Commissariat explique que l’Etat ne compte pas demander aux naufragés de le rembourser, car « en principe il y a une obligation pour l’Etat de porter secours aux personnes en danger en mer. A chaque fois qu’il y a une action comme ça, on voit ce que ça coûte. J’insiste encore sur le fait qu’il faut être responsable quand on monte ce genre d’opérations. »

Les naufragés sont Albert Tapa accompagné de son neveu Benjamin et de son ami Jerry, un australien. Ils étaient à la recherche d’un trésor de 3 tonnes d’or du XIXème siècle censément caché par des pirates sur l’atoll de Pinaki ou celui d’Anuanuraro aux Tuamotu.

Mais les héritiers de Jim Hawkins (le héros du livre L’Île au trésor de Robert Louis Stevenson) n’ont pas échappé à une très romanesque mésaventure. Tel que le relatent les naufragés dans une interview accordée au journal La Dépêche de Tahiti, l'histoire commence le 17 mars. Après deux jours de mer pour se rendre sur l’atoll, leur catamaran de location les a abandonnés à l’extérieur du récif réputé très dangereux d’Anuanuraro sans même attendre de voir s’ils réussissaient à atteindre la terre sans encombre. Pas de chance, leurs zodiacs sont chahutés par la mer démontée avant d’atteindre le platier et ils y perdent une bonne partie de leurs vivres et de leur eau. Bien sûr leur téléphone satellitaire ne fonctionne pas… Ils passeront trois semaines échoués sur ce paradis devenu leur enfer à survivre de cocos, de riz trouvé dans une cabane sur place et de quelques poissons. Finalement leur catamaran est revenu les chercher le 6 avril. Albert et Jerry sont partis en premier car l’australien s’était sérieusement blessé et les trois comparses pensaient ne pas pouvoir traverser le récif tous ensemble sur leurs frêles zodiacs. Après deux jours de mer pour rentrer à Tahiti, ils ont réussi à contacter les secours pour les avertir que leur cadet était abandonné à son triste sort à Anuanuraro.

Un coût important pour les finances publiques

Le MRCC s’est alors mobilisé. Le Gardian a localisé Benjamin recherchée sur l’atoll et lui a parachuté un conteneur de survie. Le Dauphin est ensuite allé le chercher. Parti de Tahiti mardi après-midi, l’hélicoptère a récupéré Benjamin mercredi 9 avril au matin. Il a été pris en charge à Nukutepipi où il a pu s’entretenir par téléphone avec un médecin avant d’être rapatrié dans l’après-midi vers Tahiti, par vol privé.

« Nous sommes au total sur un budget d’environ 115 000 euros, en additionnant les heures de vol et de personnel. Il se trouve que tous les services d’urgence ont pu suivre leurs missions pendant ce temps-là mais, mécaniquement, ces appareils n’étaient pas disponibles pour d’autres appels s’il y en avait eu besoin. Surtout, ça représente un vrai coût pour les finances publiques. Un conseil que je peux donner c’est que quand on monte ce genre d’expédition, il faut étudier attentivement les conséquences et les moyens mis en œuvre pour assurer sa sécurité. Ce qu’il faut c’est se demander c’est : si les conditions météos se dégradent, comment on est préparé ? » explique le MRCC. Pour le centre, c’était un situation inédite depuis de nombreuses années que d’être obligé de récupérer quelqu’un isolé sur un atoll.

Chasse au trésor : la
Et une autre photo du MRCC :

Chasse au trésor : la

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Le maire de Pirae rencontre l’administrateur d’Etat des Iles du Vent

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Le maire de Pirae rencontre l’administrateur d’Etat des Iles du Vent
PIRAE, le 11 avril 2014 -(COMMUNIQUE) Ce mercredi 9 avril, le Tavana hau d’Etat a été reçu par le maire de Pirae, Edouard Fritch.
Au cours de cette rencontre cordiale, nombreux sont les dossiers qui ont été abordés entre ces deux autorités et leurs collaborateurs.

Parmi ces dossiers figure le dossier du CRSD permettant à la commune de Pirae de pouvoir bénéficier des domaines de l’armée tels que la Cité Grand et le terrain du COMSUP. Le Tavana hau et le maire sont d’accord pour affirmer qu’une solution doit être trouvée le plus rapidement possible. Le 14 mai prochain, le haut-commissaire réunira tous les maires concernés par ce dossier.

Ensuite ils ont évoqué le dossier du Contrat de Ville qui couvrira la période 2015-2020. La signature de ce contrat interviendrait à la fin de cette année et nécessite que les actions qui seront retenues soient cohérentes avec les souhaits du pays.

Le Tavana hau a par ailleurs également évoqué le dossier de la construction des logements sociaux du Domaine Labbé, la situation préoccupante de la Crèche de Pirae et de l’eau potable à Pirae.

Pour terminer cette rencontre, le maire de Pirae et le Tavana hau ont proposé la date de la visite du Haut Commissaire à Pirae.

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Natation – Open Water : Keahi Agnieray et Emmy Lallement gagnent le 2500m

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Natation – Open Water : Keahi Agnieray et Emmy Lallement gagnent le 2500m

PUNAAUIA, le 5 avril 2014. La participation a été timide pour la troisième et dernière étape du challenge Open Water qui s'est déroulé devant la plage publique du PK 17. La compétition s'est bien déroulée, les conditions étant plaisantes.

 

C'est Keahi Agnieray et Emmy Lallement qui se sont imposés en 2500m. Pour le 5000m c'est Solène Bernagout et Moana Chinison qui réalisent le meilleur temps. Trois bouées avaient été disposées et les concurrents ont exécuté un nombre plus ou moins important de boucles de 500m, nageant pendant plus d'une heure pour certains ! Les catégories concernées étaient celles des poussins, benjamins, open sur des nages de 500m, 1000m, 2500m et 5000m, avec ou sans matériel pour les 2500m.


Jean Marc Vermorel de la fédération tahitienne de natation :

 

« Cela change du chlore, il y a des poissons à voir, des coraux, c'est sympa, le site est extra ordinaire et magnifique, c'est assez exceptionnel. On arrive à faire venir des gens qui n'ont rien à voir avec la natation, puisque c'est une compétition qui est ouverte à tous, il suffit de venir avec un certificat médical pour participer. »

 

« On a énormément de triathlètes, des masters de 40-45 ans qui viennent s'essayer sur 2500m ou même 5000m. Cela sert également de préparation pour des triathlètes qui préparent des distances beaucoup plus longues. Globalement, on retrouve sur les podiums les même qu'en piscine. »

 

« C'est plus complexe au niveau organisation. On est pas habitués à sortir de la piscine, on doit placer des bouées, gérer la sécurité puisqu'on est dans le lagon. Il peut arriver plein de choses donc on a mis en place des bénévoles sur des bateaux et sur des kayaks. Les gens du triathlon nous aident également en nous prêtant du matériel. »

 

« C'est compliqué aujourd'hui, c'est au milieu des vacances. Il y a beaucoup de compétions ce week end, on n'a pas beaucoup de monde. On a fait une première et deuxième bonnes étapes, aujourd'hui c'est une petite étape, on va dire. »

 

Emilie Lallement du club IMUA Natation :

 

« Pendant toute la course j'étais avec Arnaud un entraîneur du CNP, on s'est un peu 'tirés' tous les deux puis le dernier 500m j'ai accéléré et il n'est pas resté avec moi. J'aime les longues distances donc en eau libre ou en piscine pour moi c'est pareil. J'ai quand même regardé les poissons mais ça gratte, ça pique, c'est l'inconvénient de nager en mer. »

 

« Mes parents ne me poussent pas du tout à faire de la natation, c'est moi qui décide si je veux continuer ou arrêter mais là je continue. Mon objectif est de faire de bons résultats au championnat de France minime en juillet, on verra pour la suite. Tous les soirs je m'entraîne deux heures et je gère les devoirs en parallèle. »SB



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Surf - Papara Pro 2014 : une journée historique pour le surf polynésien !

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Surf - Papara Pro 2014 : une journée historique pour le surf polynésien !

PAPARA, le 11 avril 2014. C'est une journée historique qui s'est déroulée aujourd'hui sur le spot de Papara, à l'embouchure de la Taharu'u. Les surfeurs locaux auront dû attendre plus de 15 ans pour pouvoir concourir à nouveau dans une compétition comptant pour le circuit WQS (World Qualifying Series), le cran juste en dessous du TOP 32 du WCT (World Championship Tour). Trois compétitions se déroulent actuellement sur le spot : la compétition 'Vahine', la compétition junior et la compétition Open comptant pour le WQS.

 

64 surfeurs étaient en lice pour le premier tour de qualifications de la compétition open, par séries de 4. Le deux premiers de chaque série obtenaient leur qualification pour le round suivant passant donc du 'round of 64' au 'round of 32' puis au 'round of 16' pour enfin avoir la possibilité d'accéder aux quarts de finales. Malheureusement, la houle de 1M50 tant attendue s'est encore faite attendre, la compétition, prévue jusqu'à dimanche, a donc été très difficile, les surfeurs devant se tenir aux aguets à fin d'exploiter la moindre opportunité.

 

Les locaux encore en lice sont Hira Teriinatoofa, Tereva David, Vehiatua 'JB' Prunier, Taumata Puhetini, Steven Pierson, Ariihoe Tefaafana, Heifara Tahutini Jr qui se sont qualifiés pour le 'round of 16'. La fin du 'round of 32' n'est pas encore finie avec de très bons Tahitiens encore en lice comme Mateia Hiquily, Mihimana Braye, Keoni Yan, Teiva Mare, Lorenzo Avvenenti ou encore Kevin Bourez. On note que dans de telles conditions les bons connaisseurs du 'spot' ont pu tirer leur épingle du jeu.

 

 


Tereva David - surfeur de très gros, compétiteur redoutable, 'coach' de la jeune génération et neveu de la légende Vetea 'Poto' David :

 

Enfin une compétition WQS à Tahiti ?

 

« On se rend compte petit à petit qu'il y a des points, de l'argent à gagner. Ceux qui suivent le WQS se rendent plus facilement compte de la chance qu'on a maintenant. Même si c'est une compétition 'autralienne' avec une seule étoile, elle peut devenir à deux étoiles l'année prochaine et ainsi de suite. Le problème est que l'on est loin de tout, le déplacement coûte cher, faire venir du matériel aussi. Ceci dit, c'est plus facile de faire une compet' sur un 'beachbreak' comme Papara parce qu'il n'y a pas besoin de 'scaff'holding' ni de 'water patrol', mais c'est sûr que Tahiti mérite largement d'avoir des compets' autres que celle du WCT à Taapuna ou même à Teahupo'o en format WQS, ce serait le rêve pour la jeune génération et pour le surf tahitien en général. »

 

Qu'as tu pensé de cette journée de compétition ?

 

« Globalement la journée s'est assez bien passée, on a vu la plupart des bons surfeurs tahitiens réussir leur série, pas mal d'Australiens ont perdu, c'est donc une journée positive pour les Tahitiens. Les vagues étaient très petites alors c'était très difficile. Les Tahitiens ont su attendre et prendre les bonnes vagues qu'il y avait dans chaque série. Il y avait des accalmies de 15 minutes donc c'était très très dur. Dans ma dernière série j'étais contre trois Australiens, j'ai bien géré la série. Dans ma première, je me suis retrouvé contre Hira, le local du spot et Enrique qui est arrivé 2ème au pro junior l'année dernière, donc cela n'a pas été facile. Il faut être en forme et avoir le bon 'karma'. Je suis satisfait mais demain est un autre jour, il faudra montrer du niveau. » SB

 

 


Surf - Papara Pro 2014 : une journée historique pour le surf polynésien !

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Concours national pocket film : 1er prix pour le lycée Paul Gauguin

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Concours national pocket film : 1er prix pour le lycée Paul Gauguin
PAPEETE, le 11 avril 2014 - (COMMUNIQUE) Le Ministre en charge de l’Education, Monsieur Michel LEBOUCHER, félicite les élèves du lycée Paul Gauguin et leur professeur qui ont reçu le premier prix du concours national pocket film « Je suis éco-sportif(ve) ».

En effet, le vendredi 4 avril, à Paris, au Ministère national en charge des sports, s’est déroulée la remise des prix de la deuxième édition du concours pocket film "Je suis éco-sportif(ve)" et, à cette occasion, le premier prix a été attribué à "Mario Ecolo", réalisé par quatre jeunes polynésiens, Tahitoa, Heiiti, Jérôme et Tehani, lesquels ont été joints par visio-conférence lors de la remise des prix.
Organisé avec le soutien de la mission Sport et développement durable du ministère national, le concours Pocket Film "Je suis éco-sportif(ve)" a, cette année encore, connu un franc succès. En tout, ce sont 21 vidéos qui ont été mises en concurrence sur la plateforme Dailymotion dédiée, et ce pour un total de plus de 20 000 vues.
L’atelier cinématographique du lycée Paul Gauguin, dirigé par M. SCHMITT, participe à différents concours nationaux chaque année. Il s’agit d’un véritable travail de fond, avec les élèves, sur l’apprentissage de la technique cinématographique, qui mérite d’être encouragé.

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Cinematamua 95: 1973, un reportage sur la pêche en Polynésie signé Henri Rohfritsch

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Cinematamua 95: 1973, un reportage sur la pêche en Polynésie signé Henri Rohfritsch
Le premier reportage (en Version française) est signé Henri Rohfritsch et s’intéresse à la SCEP (Société pour la commercialisation et l’exploitation du poisson), une expérience de pêche semi-industrielle menée par Warren Ellacott à partir de 1973. Alors que la croissance économique générée par le CEP semble stagner, les pouvoirs publics cherchent d’autres secteurs d’activités à développer. Une place de choix est réservée au développement de la pêche industrielle et artisanale. Le reportage est tourné en 1978, la SCEP est alors installée à Papeete et Apataki et la pêche se pratique autour des atolls de Arutua, Toau et Kaukura.

Si l’essor de la SCEP sert de fil conducteur au film, Henri Rohfritsch s’intéresse également aux différentes techniques de pêche, la pêche au bonitier, la pêche traditionnelle, la pêche au harpon, et au conditionnement du poisson sous toutes ses formes.

On y découvre également la vie à Apataki : l’atoll est passé de 80 habitants à plus de 200 âmes en l’espace de quelques années… 1978 est l’année phare de la société qui s’équipe de 2 nouveaux bateaux et d’un grand filet piège. Les années suivantes seront plus sombres, si bien que la société dépose le bilan quelques années plus tard.

Le second reportage (en Version tahitienne) a été réalisé par David Marae. Les images sont signées Didier Gaudermen et le son Maurice Hanouzet. Le reportage s’intéresse plus particulièrement à la pêche aux bonites.

Cinematamua 95

Mercredi 16 mars 2014

Petit Théâtre de la Maison de la Culture

Entrée libre

Renseignements : 544 544 ou www.maisondelaculture.pf

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Une nonagénaire espagnole fait don à la science d'un "joyau" tombé du ciel

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Une nonagénaire espagnole fait don à la science d'un
MADRID, 11 avril 2014 (AFP) - Une Espagnole, âgée de 94 ans, a fait don à la science d'une météorite tombée en 1931 à Ardon, village du nord-ouest de l'Espagne, qu'elle a conservée comme un joyau précieux pendant plus de 82 ans, ignorant sa valeur géologique.

Rosa Gonzalez en avait onze quand elle est sortie faire des courses, ce 9 juillet 1931, et que la météorite "de 5,5 grammes est tombée près d'elle, la manquant de justesse", explique l'astronome Josep Maria Trigo, de l'Institut des Sciences de l'Espace, qui appartient au Centre supérieur de recherches scientifiques (CSIC) espagnol.

La fillette a vu "une grosse boule feu, accompagnée d'un bruit que l'on a entendu dans tous les environs, et que l'on a pu voir dans de nombreux villages de la province de Leon", raconte le scientifique, en rappelant que la presse de l'époque avait relaté l'événement.

C'est de cette boule de feu qu'est tombée la petite météorite, "qui a attiré l'attention" de Rosa "parce que c'était une pierre incandescente". "Pendant plus de 82 ans, elle l'a conservée comme un secret de famille".

"Elle l'a enfermée dans une petite boîte, comme un bijou, et aujourd'hui, elle est intacte comme si elle était tombée hier. Nous avons été surpris par l'état de conservation de cette petite pierre d'environ deux centimètres", ajoute Josep Maria Trigo.

La météorite a fini entre les mains des scientifiques lorsque le neveu de Rosa, José Antonio Gonzalez, amateur d'astronomie, l'a découverte et a pensé qu'elle pouvait avoir de la valeur.

Les analyses ont démontré que la "météorite Ardon" était de type primitif, une chondrite ordinaire, appartenant à la catégorie la plus courante, provenant d'un astéroïde inconnu.

"L'étude de la météorite Ardon nous permet de connaître les processus qui ont accompagné la formation du système solaire, mais aussi celui de la formation de l'astéroïde dont elle est issue", souligne le CSIC dans un communiqué.

La "chondrite ordinaire de Rosa date d'une époque plus ancienne que la Terre, des blocs originels qui se sont entrechoqués et ont formé des embryons de planètes", relève Josep Maria Trigo.

Le scientifique espère que l'annonce de cette découverte le mènera sur la trace d'autres météorites, car dit-il, selon les statistiques, chaque année devrait tomber sur l'Espagne "une météorite d'une masse supérieure à un kilo".

Déjà, depuis cette annonce jeudi, il a reçu des appels. "La plupart devraient être sans objet, mais peut-être aurons-nous une surprise", conclut-il.

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Pacifique: séisme de magnitude 7,6 au large des îles Salomon

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Pacifique: séisme de magnitude 7,6 au large des îles Salomon
SYDNEY, 12 avril 2014 (AFP) - Un séisme de magnitude 7,6 a eu lieu dimanche matin au large des îles Salomon, dans l'océan Pacifique, a annoncé l'institut américain de géophysique (USGS) mais tout risque de tsunami a été écarté pour cet archipel, ainsi que pour le Vanuatu et la Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Le séisme s'est produit à une profondeur d'environ 29 kilomètres et à près de 300 km au sud-est de Honiara, la capitale des îles Salomon, a précisé l'USGS.

L'USGS a émis une alerte "verte" en précisant qu'il y avait peu de probabilité de dégâts.

La Commission océanographique intergouvernementale qui avait initialement lancé une alerte au tsunami pour les îles Salomon, le Vanuatu et la Papouasie-Nouvelle-Guinée, l'a ensuite annulée.

La semaine dernière, les Salomon ont été touchées par des inondations qui ont fait 23 morts.

Une quarantaine de personnes sont toujours portées disparues après de très fortes pluies sur à Honiara au nord-est de l'île transformant la principale rivière de la ville en un torrent balayant des communautés entières.

Les îles Salomon, État membre du Commonwealth, se trouvent sur la "ceinture de feu du Pacifique", une zone de forte activité tectonique où se produisent fréquemment séismes et éruptions volcaniques.

En février 2013, ces îles avaient été frappées par un séisme de magnitude 8 qui avait fait au moins 10 morts et des milliers de sans-abri.

En 2007, un tsunami consécutif à un autre séisme de magnitude 8 avait tué au moins 52 personnes et des milliers de sans-abri dans les îles Salomon.

La secousse tellurique avait entièrement soulevé l'une des îles de l'archipel et repoussé de plusieurs dizaines de mètres sur cette île la limite entre la terre et la mer.

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