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Journée portes ouvertes vendredi au jardin potager de Vaitavere

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Journée portes ouvertes vendredi au jardin potager de Vaitavere
PUNAAUIA, le 20/11/2017 - Dans le cadre de son événement annuel baptisé les Green days, qui a pour objectif de sensibiliser le grand public à la protection de l’environnement et au développement durable, la commune organise sa première journée porte ouverte au jardin Potager de Vaitavere, le vendredi 24 novembre de 9 heures à 16 heures.

Plusieurs activités de sensibilisation et d’animation sont prévues : conseils et démonstrations des techniques agricoles naturelles, distribution de graines, transformation culinaire, vente de légumes bios, visite guidée de la plateforme de broyage de Technival à la Punaru’u et parcours sportif pour tous.

Les objectifs de cette journée sont d’inciter le grand public à faire son « fa’a’apu » personnel, mettre en relation les producteurs bios et les consommateurs, et sensibiliser à une alimentation et une hygiène de vie saine.

Le maire et son conseil vous invitent à participer à cette journée en famille, entre amis dans une ambiance vertueuse et festive.

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Air Tahiti Nui propose des nouveaux services "À la carte" en Eco

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Air Tahiti Nui propose des nouveaux services
PAPEETE, le 20/11/2017 - La compagnie Air Tahiti Nui propose depuis quelques jours de nouvelles options payantes afin d'améliorer ses services au sol ou en vol. Ces offres le lounge pass, le priority pass, le web check-in et le délices et champagne sont disponibles pour les passagers de la classe éco sur le site internet de la compagnie au tiare.

Vous êtes fui de faire la queue, vous avez envie de plus de confort et d'une bonne coupe de champagne, dorénavant les passagers en classe éco voyageant avec Air Tahiti Nui (ATN) pourront acheter sur le site internet de la compagnie aérienne ces services, à condition précise le site internet de la compagnie "de disposer d'un billet sous numéro de vol TN". Les passagers disposant de billets en code share achetés auprès d'une autre compagnie ne peuvent donc pas accéder à ces nouvelles offres.

Si vous optez pour le Lounge pass, il vous permettra d'accéder au tout nouveau salon de l'aéroport de Faa'a bien sûr, mais également dans tous les autres aéroports desservis par ATN. Pour cela, il vous faudra débourser 5000 frs pour profiter du lounge de l'aéroport de Faa'a, mais environ 7200 frs pour se relaxer dans le luxueux lounge de Roissy ou encore environ 4200 frs pour celui d'Auckland, le moins onéreux.

Quant au Priority pass, il donne un accès prioritaire à l'aéroport, notamment à un enregistrement et un embarquement prioritaires. Les tarifs varient également selon les escales, il faudra compter environ 4200 frs pour Auckland et 7200 frs pour Paris.

La compagnie propose une formule Délices et champagne, composée d'une demie bouteille de champagne et de friandises autour de 7000 frs à Papeete ou 7159 frs dans les autres escales et toujours un peu moins cher pour Auckland. Cette offre s'adresse à tous, mais vise notamment les passagers venant passer leur honey moon en Polynésie, le voyage de noces commençant dès l'accès à bord !
Enfin, la compagnie vient de mettre en place un web check-in, avec la possibilité de s’enregistrer de 36 heures jusqu’à 5h avant le départ.

DES AIRS DE DÉJÀ-VU


En lançant ses nouveaux services, la compagnie au tiare est dans une logique de poursuivre son développement et d'anticiper la restructuration qu'entraine le renouvellement de sa flotte avec l'arrivée, progressivement d'ici fin 2019, de ses nouveaux Boeing 787-9 dreamliner. Pour cela, ATN vient de rejoindre Amadeus, le principal fournisseur de solutions informatiques à l'industrie mondiale du tourisme et du voyage. Cette société offre à la compagnie locale l'opportunité de de diversifier son panel de prestations et de services.

Les offres à la carte d'ATN ont des airs de déjà-vu, puisqu'elles sont déjà proposées par de nombreuses compagnies dont les compagnies low cost. En effet, French blue, qui desservira la Polynésie à partir du 11 mai 2018, vend déjà ce genre de prestations sur son site internet. La compagnie Air New Zealand, mise, elle aussi sur le voyage à la carte, en proposant des formules seat+bag ou seat+bag+meal...

La compagnie au tiare réfléchit déjà sur de nouvelles offres inspirées de la culture polynésienne.

Le voyage à la carte semble donc être dans l'air du temps…

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Le responsable de la Délégation à l’Habitat et à la Ville fait chevalier de la Légion d’honneur

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Le responsable de la Délégation à l’Habitat et à la Ville  fait chevalier de la Légion d’honneur
PAPEETE, le 20 novembre 2017 - Vendredi, Maina Sage, députée de la Polynésie française, son assistante parlementaire France Durocher et Caroline Tang déléguée de la Polynésie française à Paris ont assisté à la remise des insignes de chevalier dans l'ordre nation de la Légion d'Honneur à Mahieddine Hedli, directeur de la Délégation à l’Habitat et à la Ville.


La remise des insignes de chevalier dans l’Ordre national de la Légion d’Honneur par l’Officier de la légion d’honneur, président d’Habitat Réuni, Pierre Quercy, au directeur de la Délégation à l’Habitat et à la Ville (DHV), Mahieddine Hedli, a eu lieu, vendredi, au siège de l’Union Sociale pour l’Habitat, à Paris.

Une cérémonie dans l’intimité qui a réuni notamment des responsables nationaux de l’habitat, de l’aménagement urbain et de la politique de la ville, des cadres de différentes institutions et organisations nationales dans le domaine du logement social, des représentants des partenaires sociaux, des correspondants des ministères et des universitaires.

On notera en particulier la présence du président de l’Union Sociale pour l’Habitat, de Jean-Louis Dumont, conseiller outre-mer à l’Elysée, Stanislas Cazelles, de la députée de la Polynésie française, Maina Sage, de son assistante parlementaire, France Durocher, ainsi que de la déléguée de la Polynésie française à Paris, Caroline Tang.

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Boxe thaï – Focus Eddy Bellais : Interview exclusive du kid de Tipaerui

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Eddy Bellais n’a que 20 ans mais il a déjà un beau palmarès. Champion de Polynésie de boxe anglaise, il est devenu également champion de Polynésie et champion d’Océanie de boxe thaï. Il s’est imposé ce week end en Australie face à Tom Wilkins lors de la soirée « Knees of Fury ». Interview exclusive du « kid de Tipaerui », promis à un bel avenir sportif.
Boxe thaï – Focus Eddy Bellais : Interview exclusive du kid de Tipaerui
Parole à Eddy Bellais :
 
Quelques mots de présentation ?
 
« Eddy Bellais, 20 ans, je suis originaire de Takapoto du côté de ma mère Erena Bellais. Je vis à Tipaerui depuis mon enfance, chez mon tonton Roland. Pour l'instant, je suis sans emploi, je suis toujours à la recherche. »
 
Pourquoi la boxe thaï plutôt qu’autre chose ?
 
« Le muay thaï c’est de famille, on a grandi dedans et c’est notre passion. Mon tonton Roland Tiaipoi qui aujourd'hui est mon coach, pratiquait ce sport depuis sa jeunesse. Puis il a entraîné son fils Tinitua Tiaipoi qui est devenu champion et aujourd'hui je prends la relève. On a ça dans le sang. »
 
Ton parcours dans ce sport ?
 
« Quand j’ai débuté le muay thaï, j’ai commencé par du « light contact » puis j’ai persévéré et je suis passé en professionnel en 2015, lors de mon premier combat PRO en Nouvelle Zélande. Par la suite, j’ai pu me mesurer à différents adversaires néo-zélandais et j’ai gagné ma première ceinture de champion d'Océanie. »
 
« En juin 2017, lors d'une soirée que nous avons organisé à Tahiti, j’ai gagné le titre de champion du Pacifique Sud, avec la ceinture WKA (world kick boxing). Puis au Aito Nui, le championnat de Polynésie, j’ai gagné ma troisième ceinture. Au total, j’ai trois ceintures dont deux à l’international. »
 
«  En octobre, j’ai participé aux Asian Games au Turkménistan où j’ai combattu contre le numéro 1 mondial, un Thaïlandais. Je n'ai pas ramené de victoire mais ça a été une belle expérience pour moi. Je reviens d'Australie où j’ai gagné le trophée « Knees of Fury » contre Tom Wilkins, un grand champion. A présent, je me prépare pour mon prochain combat au Vanuatu le mois prochain. »

Boxe thaï – Focus Eddy Bellais : Interview exclusive du kid de Tipaerui
Quelques mots sur le combat de ce week end ?
 
« Au début du combat de 3 x 3 minutes, j'étais pas trop à l’aise, ce n’est qu’au deuxième round que je me suis senti mieux, j’ai alors pu travailler toutes les techniques de muay thaï avec les poings, les pieds, les genoux, les coudes, les saisies-projection, j’ai pu sortir toute mon artillerie. Le moment fort a été lors de la deuxième reprise, j'ai pu travailler pour une fois avec mes coudes, il a saigné du visage, cela a contribué à ma victoire aux points. »
 
Beaucoup s’intéressent au MMA, pas toi ?
 
« La boxe thaï, c’est de famille, on a ça dans le sang. Je pratique ce sport depuis mes 13 ans. Le MMA ce n’est pas trop mon sport. Cela ne me plait pas d’aller combattre au sol, je préfère de loin le pieds-poings. »
 
Tes objectifs pour 2018 ?
 
« L'année prochaine, je compte partir en Thaïlande pour un prochain combat. J'aimerais m'entraîner quelques temps là-bas pour acquérir plus de techniques et devenir plus professionnel. Mon objectif est de pousser les jeunes à pratiquer ce sport, de leur montrer que l'on peut se battre dignement et avec du respect plutôt que de se faire mal bêtement comme ça dans la rue et ne rien gagner en retour. J'aimerais aussi faire connaître le muay thaï partout en Polynésie. »
 
Dernier mot, remerciement ?
 
« Je voudrais remercier mon tonton et coach Roland Tiaipoi de m'avoir mis dans ce sport, le président de la fédération Roland Darrouzes pour son aide, ma mère, mes sœurs et mon petit frère pour être toujours là pour moi, ma famille, mes amis et tout Tipaerui pour être toujours derrière moi pour me soutenir, pour leur confiance en moi. Un grand merci aussi a mes sponsors. »

Boxe thaï – Focus Eddy Bellais : Interview exclusive du kid de Tipaerui

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Un tourisme durable et responsable en question à la Présidence

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Un tourisme durable et responsable en question à la Présidence
PAPEETE, 20 novembre 2017 - Le Conseil de coopération économique du Pacifique (PECC) organise cette semaine à Tahiti, un séminaire sur le thème du tourisme durable et responsable.

Organisé durant deux jours, les 20 et 21 novembre à la Présidence, sous l’égide du Pays, à travers notamment le ministère du Tourisme, ce séminaire doit aborder la question des opportunités et des contraintes auxquelles peuvent être confrontées les différentes initiatives régionales en matière de développement touristique durable et responsable.

Durant ce séminaire, les participants doivent aborder de manière transversale, à travers plusieurs ateliers de réflexion, les enjeux de la protection de l'environnement et de la préservation des sites culturels dans un secteur du monde où le tourisme prévoit de connaître un essor considérable au cours de 15 prochaines années. A l’horizon de 2030, la zone Asie-Pacifique-Océanie devrait être la deuxième destination touristique au monde derrière l’Europe, et accueillir un tiers du trafic touristique mondial.

Les pays du Pacifique présentent des spécificités propres mais sont confrontés aux mêmes problématiques, notamment en ce qui concerne la préservation et la valorisation des sites, des espaces ou des modes de vies traditionnels. Dans son discours d’ouverture, le président Fritch a insisté sur l’importance d’un travail de coopération pour construire et développer des synergies afin de renforcer de manière durable et exemplaire le tourisme océanien, tout en favorisant le développement économique et social.

Ce séminaire organisé cette semaine en Polynésie par le Conseil de coopération économique du Pacifique, est le 2e d’une série de trois organisés sur le thème de l’économie circulaire comme facteur de croissance économique. Le dernier des trois rendez-vous sera axé sur la croissance économique durable et responsable des villes. Il doit se tenir à Singapour, en 2018.

Composé de 25 pays riverains et insulaires du Pacifique, le PECC accueille les trois territoires insulaires français du Pacifique en tant que membres associés. Cette organisation non gouvernementale regroupe tous les pays du Pacifique, et propose un forum de concertation permanent réunissant des universitaires, des chefs d'entreprises, des représentants des administrations et autorités publiques, de manière à améliorer la compréhension régionale et internationale et à favoriser les échanges dans le bassin Pacifique. Les membres du PECC proposent des politiques régionales avec l’objectif de contribuer à un développement économique stable de la région et à faire face aux défis majeurs qu’elle concentre sur la scène internationale.

"L’essentiel est que nous continuions à maîtriser ce développement" (Edouard Fritch)

Comment accueillez-vous ce séminaire du PECC ?

Edouard Fritch : En tant que président, bien sûr qu’une telle conférence, avec des sommités qui ont fait le déplacement, ne peut être qu’intéressante pour l’activité touristique de notre pays. On parle beaucoup d’activité circulaire, d’exploitation du tourisme dans le temps… Cela va tout à fait avec les préoccupations qu’ont les gouvernements actuels, face au réchauffement climatique. En d’autres termes, nous devons gérer notre héritage parce que nous devons préparer le terrain pour nos enfants. Il en va de même de l’activité économique et de l’activité touristique. Cette conférence va situer le cadre de cette activité : Qui sont les touristes ? Quelles sont les obligations des uns et des autres ? Comment doit se développer le tourisme pour intégrer les réalités de demain ? Comment se mettre en garde contre les dérives de cette industrie ? Nous devons être vigilant pour que le développement soit durable et qu’il bénéficie à nos enfants, demain. Nous avons besoin de travailler dans le temps et d’avoir une visibilité qui nous soit commune dans ce bassin océanien.

Pour l’instant, chacun adopte sa stratégie pour le développement de cette industrie. Les fidjiens, ont la leur.

Edouard Fritch : Nous n’avons pas le même environnement, ni la même gestion de cet environnement. Mais il est certain que la place de l’homme dans cette activité touristique est importante. Il en va de responsabilité de chacun, face à la nécessité d’offrir ce qu’on a de plus beau. (…) Le développement durable, c’est le souci de préparer l’héritage que nous laisserons demain à nos enfants, au travers de la première activité économique de ce pays qu’est le tourisme.

Quelle est la problématique qui intéresse le plus la Polynésie, justement ?

Edouard Fritch : C’est la problématique de l’environnement. Sur le plan culturel, je pense que nous sommes prêts. Nous avons la chance d’avoir un ministre qui soit branché, entre guillemets, sur cette transmission. Au plan environnemental, il nous faut être très prudent. Nous ne sommes pas à l’origine du réchauffement planétaire ; mais à notre échelle aussi nous devons montrer l’exemple. D’où ces efforts que nous faisons au niveau de la transition énergétique (…).

Pensez-vous que l’augmentation de la capacité de transport aérien dès l’année prochaine sera compatible avec ces notions d’économie durable et responsable du secteur touristique ?

Edouard Fritch : Oui. Nous nous sommes fixé comme objectif d’atteindre les 350 000 touristes à brève échéance, parce que nous sommes certains qu’à ce niveau-là l’impact du tourisme sur la vie des Polynésiens ne sera pas catastrophique. Au-delà, il nous faudra regarder les équilibres. La Polynésie continue à marquer son intérêt pour un tourisme haut-de-gamme. (…) Nous saurons être vigilants sur ces équilibres environnementaux, sociaux.

Comment percevez-vous dans ce contexte l’arrivée possible de United Airlines, sur le territoire ?

Edouard Fritch : United a exprimé sa volonté de venir en Polynésie française. Pour l’heure je n’ai pas encore reçu de demande officielle. Il faut prendre cela avec beaucoup de précaution. (…) Aujourd’hui, je peux difficilement me positionner pour ou contre. Il nous faudra regarder les éléments. Nous avons besoin de tourisme pour développer ce pays. Ça fait 7 ans que nous plafonnons en-dessous des 200 000 visiteurs par an. Il nous faut développer l’offre. Cela passe par un accroissement du transport aérien ; mais aussi par des constructions hôtelières nouvelles. On sait que la petite hôtellerie fonctionne avec 30 à 40 % de taux de remplissage, aujourd’hui. On sait aussi que l’offre Airbnb est terriblement présente dans le Pays. Il y a un potentiel de chambres à offrir à ces touristes. Maintenant, il nous faut les transporter.

On semble être à l’aube de profonds changements dans le secteur du tourisme.

Edouard Fritch : On est surtout en train de devenir une destination qui intéresse de nouveau les opérateurs, qu’ils soient aériens ou touristiques. Il y a des projets de constructions hôtelières qui vont voir le jour. La reprise est là. Il faut s’en féliciter. Il nous importe de nous organiser face à cette demande forte qui nous est faite. L’essentiel, dans tout cela, est que nous continuions à maîtriser ce développement.

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Surf Pro – World Tour : Billabong ne sponsorisera plus l’épreuve de Teahupo’o

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Un vent de changement souffle sur le circuit mondial. Parmi les nouveautés, l'apparition d'une épreuve du WCT sur la vague artificielle de Kelly Slater, un tournant dans l'histoire du surf de compétition. Autre annonce qui concerne directement Tahiti, le retrait de Billabong du sponsoring de l'épreuve de Teahupo'o.
Surf Pro – World Tour : Billabong ne sponsorisera plus l’épreuve de Teahupo’o
Un vent de changement souffle sur le championnat du monde de surf professionnel proposé par la World Surf League. Précédemment nommée ASP (association des surfeurs professionnels), l’organisme qui gérait le circuit mondial de surf professionnel avait été racheté en 2013 par le groupe ZoSea devenant ainsi la world surf league. Le groupe ZoSea est une holding américaine issue du football US.
 
Le groupe a tout d’abord laissé les choses en état avant de procéder à divers changements. Les primes des surfeurs ont augmenté, le surf féminin a été revalorisé également. Le groupe a également racheté les Billabong XXL Awards puis le Big Wave World Tour (surf de gros).
 
Une autre étape a été franchie en mai 2016 lorsque la WSL a racheté également la vague artificielle de Kelly Slater. En dehors du retrait de Billabong du sponsoring de l’épreuve de Teahupo’o, l’annonce de la tenue d’une des épreuves du circuit sur la vague artificielle de Kelly Slater est sans doute la plus grande nouveauté, elle pourrait annoncer un tournant dans le monde du surf de compétition.
 
Le calendrier a changé. Le Fidji Pro et l’épreuve californienne de Trestles disparaissent, Bali et le Surf Ranch Lemoore font leur apparition. Certains autres changements ont également été annoncés pour 2019, la circuit mondial commencerait à Hawai’i à Pipeline en février et se terminerait à Teahupo’o en septembre, il serait ensuite suivi de « Play Off » à Bali où se jouerait le titre de champion du monde. SB / WSL
 
World Tour Championship 2018
 
Quiksilver Pro Gold Coast, Australia – March 11 – 22, 2018
Rip Curl Pro Bells Beach, Australia – March 28 – April 8, 2018
Margaret River Pro, Australia – April 11 – 22, 2018
Oi Rio Pro, Brazil – May 10 – 19, 2018
Bali Pro, Indonesia – May 27 – June 9, 2018
Corona Open J-Bay, South Africa – July 2 – 13, 2018
Tahiti Pro Teahupo’o, Tahiti – August 10 – 21, 2018
Surf Ranch Lemoore, California/USA. September 5 – 9, 2018
Quiksilver Pro France, France – October 3 – 14, 2018
Meo Rip Curl Pro Portugal, Portugal – October 16 – 27, 2018
Billabong Pipe Masters, Hawaii/USA – December 8 – 20, 2018

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Opération "Mon repas malin" du 20 au 24 novembre

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Opération
PAPEETE, le 20 novembre 2017 - A partir de ce lundi et jusqu'au 24 novembre, la CCISM, en collaboration avec l'Ademe et le club Eper, organise l'opération "Mon repas malin". A l'occasion de la Semaine européenne de la réduction des déchets, l'objectif est de sensibiliser la population à l'environnement.

Terminé les fourchettes, barquettes et autres sacs plastiques. A partir de ce lundi et jusqu'au 24 novembre, place à "Mon repas malin". L'opération, organisée par la CCISM en collaboration avec l'Ademe, le Club Eper et le collectif Nana sac plastique, a pour objectif "de sensibiliser la population à l'environnement par la pratique de gestes simples et booster le secteur de la restauration par une action commerciale", indique le site internet de la CCISM.
Pour y participer, c'est très simple : il suffit de se rendre le midi dans un des snacks participants avec ses propres couverts (boîte hermétique, assiettes, fourchettes/couteau) pour récupérer son plat à emporter.

"Ainsi, les snacks réduiront les coûts liés à l'utilisation de vaisselle jetable, d'emballage et la population diminue le volume de déchets produits quotidiennement."

Le client participant pourra se prendre en photo avec son plat et la poster en commentaire pour tenter de gagner de nombreux lots offerts. La remise des prix aura lieu le jeudi 7 décembre. La date et le lieu n'ont pas encore été communiqués.

Le règlement et la liste des cadeaux à gagner
Opération

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Projet Voltaire : les salariés d'ATN deviennent des pros en orthographe

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Projet Voltaire : les salariés d'ATN deviennent des pros en orthographe
PAPEETE, le 20 novembre 2017 - Près de 60 salariés de la compagnie aérienne Air tahiti Nui se sont formés à la grammaire et à l'orthographe française grâce au Projet Voltaire. Une formation sur internet, validée par un certificat national et récompensée en interne par une remise de prix aux meilleurs grammairiens de l'entreprise.

C'est une initiative originale qui a été mise en place par le service des ressources humaines de la compagnie Air Tahiti Nui. En collaboration avec la CCISM, le service a proposé de participer au Projet Voltaire à tous leurs collègues intéressés. Le Projet Voltaire est une plateforme de cours de grammaire et d'orthographe en ligne, qui se termine après un an de formation et d'entrainement par un examen de trois heures pour valider son niveau.

Projet Voltaire : les salariés d'ATN deviennent des pros en orthographe
On pourrait penser qu'un tel projet, très intellectuel, n'aurait pas mobilisé les foules… Pourtant ce sont finalement près de 60 volontaires qui se sont inscrits, dont 56 ont passé l'accréditation. Pour Mélanie Chable, chargée du recrutement et de la formation des salariés dans le service des ressources humaines d'ATN qui a suivi le projet dès le début (et qui a terminé 4ème de l'entreprise après l'examen), c'était une bonne surprise. "Pour motiver les participants nous avons organisé un challenge avec des lots à gagner, comme des bons repas ou des goodies. Le plus gros lot à gagner était un week-end de deux nuits à Moorea. Nous avons récompensé les 15 premiers, ceux qui ont eu les meilleures notes à la certification Voltaire, et les 15 personnes qui ont atteint plus de 90 % d’entraînement sur la plate-forme. Au niveau pratique, au lieu de faire un an d'apprentissage nous avons décidé de limiter les cours à trois ou quatre mois, puis nous avons ouvert des dates pour la certification où les gens pouvaient s'inscrire selon leurs disponibilités."

"Il y a beaucoup de documents qui partent en interne comme en externe avec des fautes"

Mélanie nous explique que la motivation derrière ce challenge est surtout professionnelle : "comme dans toutes les entreprises nous constatons qu'il y a des problèmes d'orthographe, il y a beaucoup de documents qui partent en interne comme en externe avec des fautes… Donc l'intérêt d'améliorer l'orthographe de chacun est évident. Il y a ceux qui avaient déjà une bonne orthographe mais souhaitaient participer quand même, et d'autres qui avaient plus de lacunes et qui souhaitaient avoir accès à cette plate-forme d’entraînement pour améliorer leur niveau."

Et tous les salariés présents ont confirmé avoir fait d'énormes progrès en quelques mois. Il faut dire que le Projet Voltaire est particulièrement bien conçu. Accessible sur un PC, tablette ou smartphone, la plate-forme de cours adapte automatiquement sa difficulté au niveau de l'élève. Ce service de e-learning a même été élu "meilleur service d’apprentissage en ligne toutes disciplines confondues" en 2016 par l'EFFEP (European foundation for e-learning projects).


Guillaume Tougeron, responsable sûreté et plan de crise à ATN
Projet Voltaire : les salariés d'ATN deviennent des pros en orthographe
Guillaume a obtenu la meilleure note de l'entreprise au Projet Voltaire avec 898/1000
"Ça tire toute l'entreprise vers le haut et ça sert vraiment en milieu professionnel"


"Mon travail à ATN c'est beaucoup de communication interne et de la rédaction de procédures, en français ou en anglais. Donc je ne communique pas forcément beaucoup avec l'extérieur, mais j'ai une vraie passion pour la littérature, j'ai même écrit des livres… Donc c'était l'opportunité de me remettre un peu dans la grammaire, on oublie les règles. J'ai beaucoup progressé avec les cours en ligne et les entraînements.
Je trouve que tout le site du Projet Voltaire est très bien fait, surtout la plateforme de cours. J'ai suivi la préparation où nous étions inscrits, mais je suis aussi allé plus loin, en allant fouiner sur le site récupérer les règles de grammaires, sur les forums quand j'avais une question… Je me suis vraiment passionné pour ça et je me suis vraiment rendu compte que j'avais oublié beaucoup de choses ! Ce que j'ai appris dépasse très largement ce dont j'aurai besoin dans le milieu professionnel. Finalement le français que l'on utilise au travail est assez pauvre, parce qu'on a besoin d'efficacité et de simplicité, que ce soit compréhensible par tout le monde. Donc je suis allé largement au-delà de ce dont j'aurai besoin, mais c'est aussi pour mon plaisir personnel.
Par contre ça a commencé ce matin avec l'annonce des résultats, un collègue qui écrivait un mail me posait une question de grammaire ou d'orthographe à chaque phrase ! Donc on me considère un peu comme l'expert… Alors que clairement il y aura toujours un moment où je ne serai pas capable de répondre. Quand on met le nez dans la grammaire française, c'est très compliqué, donc je n'aurai pas réponse à tout !
Mais je voulais surtout dire que je trouve cette initiative de l'entreprise vraiment excellente. J'ai été surpris qu'il y ait autant de participants pour une première édition, 60 volontaires sur 750 salariés c'est pas mal. Et c'est un défi intellectuel, pas du tout sportif, donc un tel engouement c'est vraiment très bien. Ça tire toute l'entreprise vers le haut et ça sert vraiment en milieu professionnel. Je pense qu'il y aura encore plus de participants l'année prochaine !"


Audrey Lhies, responsable de la promotion et de la relation entreprise en formation professionnelle continue à la CCISM
Projet Voltaire : les salariés d'ATN deviennent des pros en orthographe
"Vodafone prépare aussi sa propre accréditation"

"Le Projet Voltaire a été créé en 2008 en métropole et nous sommes le centre agréé en Polynésie. Jusqu'à présent c'était surtout l'université et quelques établissements scolaires qui connaissaient ce programme, ATN est la première entreprise à participer. Nous sommes allé voir plusieurs entreprises pour leur proposer. Une autre entreprise a également décidé de participer, c'est Vodafone qui prépare sa propre accréditation au Projet Voltaire.
Il faut savoir que le Projet Voltaire est d'abord une plate-forme de cours sur internet où les gens travaillent de manière individuelle, avec un logiciel très bien fait qui s'adapte au niveau du participant. Et à la fin de la formation qui dure un an pour apprendre et s’entraîner, on passe à la CCISM un examen de trois heure qui octroie un certificat avec un score sur 1000 points. Comme le TOIC en anglais, ça permet de mettre son niveau en français sur son CV, donc tout le monde gagne quelque chose à la fin ! Pour une entreprise, le coût dépend du nombre de participants, c'est dégressif.
Toutes les entreprises qui souhaitent participer peuvent venir me voir à la CCISM ou me contacter à audrey@ccism.pf, au 40 47 27 08 ou au 87 78 79 98."

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Bora Bora : quatre obus ont déjà été détruits au large

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Bora Bora : quatre obus ont déjà été détruits au large
BORA BORA, le 20/11/2017 - Les opérations de destruction des neuf obus américains trouvés dans la passe de Bora Bora ont démarré dimanche. D'importants moyens ont été déployés et quatre obus ont d'ores et déjà été détruits au large. La mission de déminage continuera cette semaine.

Plusieurs militaires de la Marine nationale et de la gendarmerie sont en mission à Bora Bora, afin de détruire les neuf obus découverts il y a quelques jours, dans la passe.

Deux patrouilleurs, Arago (Marine nationale) et Jasmin (Gendarmerie) ont été envoyés sur place. Des plongeurs démineurs sont également de la partie.

L'objectif étant de détruire ces obus au large. Les opérations de récupération et de destruction ont démarré dimanche, où "quatre obus, dont les deux dotés de la plus forte charge explosive, ont d’ores et déjà été détruits au large de Bora Bora, en plein eau", indique le communiqué du Haut-commissariat.

Le travail des militaires continue pour en faire autant avec les cinq derniers obus.

Ces obus datant de la seconde guerre mondiale ne présenteraient pas de danger immédiat, mais comme le dirait le vieux dicton : mieux vaut prévenir que guérir. D'ailleurs, le Directeur de cabinet du Haut-commissariat, Frédéric Poisot s'est rendu sur place, dimanche. "Il a pu apprécier l’efficacité des mesures de sécurité mise en place pour protéger les usagers de la mer", poursuit le communiqué.

Une attention particulière est portée à la protection de la faune marine, dans le cadre de ces opérations.

Et "en fonction des conditions météorologiques, la mission devrait s’achever en milieu de semaine", conclut le communiqué du Haut-commissariat.


Bora Bora : quatre obus ont déjà été détruits au large





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Le nouvel administrateur d’État des Australes reçu à la Présidence

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Le nouvel administrateur d’État des Australes reçu à la Présidence
PAPEETE, le 20/11/2017 - Arrivé il y a quinze jours en Polynésie française, le nouvel administrateur d’État des Australes, secrétaire général adjoint du Haut-commissariat, Patrick Naudin, a été reçu, lundi après-midi, par le président Edouard Fritch.

Pour cette visite de courtoisie qui s’est déroulée dans une ambiance très cordiale, le président et le chef de subdivision administrative ont échangé sur les différents sujets économiques et sociaux qui concernent les Australes, mais aussi l’ensemble de la Polynésie française.

Durant ces quinze premiers jours en Polynésie, l’administrateur a saisi l’occasion des réunions destinées aux Assises des Outre-mer pour se rendre à Rurutu et à Tubuai.

À cet égard, il a apprécié la participation et l’implication des populations à ces journées d’Assises.

Patrick Naudin a une bonne expérience des outre-mer puisqu’il a déjà exercé dans quatre collectivités d’outre-mer, à Saint-Pierre et Miquelon, en Guyane, à la Martinique et en Guadeloupe.

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Jeu Shell Pacific : la chance sourit à Hinatea

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Jeu Shell Pacific : la chance sourit à Hinatea
PAPEETE- le 20 novembre 2017 - Il reste quatre billets d'avion à gagner dans le cadre du jeu organisé pour les 30 ans de Pacific Energy. Hinatea Carpentier, 23 ans est l'heureuse gagnante de deux billets d'avion Papeete/Los Angeles/Papeete. Elle est allée récupérer son prix lundi à la station Shell de Prince Hinoi.

Venredi était une journée comme les autres pour Hinatea Carpentier jusqu'à ce qu'elle reçoive un appel lui annonçant qu'elle venait de remporter deux billets d'avions pour Los Angeles. Cette jeune femme de 23 ans a reçu un appel qu'elle n'attendait pas. "je gardais ma nièce. J'ai même failli rater l'appel. J'ai décroché parce que la petite insistait pour que je réponde", explique-t-elle, "Au début je n'y croyais pas du tout, je pensais qu'on était en train de me faire une mauvaise blague. La première personne que j'ai appelé c'était mon père. Lui non plus ne m'a pas cru. Il a aussi pensé que je lui faisais une blague. Après j'ai appelé ma maman."
Lundi après-midi, elle est allée récupérer son prix à la Station Shell de Prince Hinoi. C'est une jeune femme ravie qui s'est présentée en compagnie de sa mère. Vendredi, au moment de l'annonce, Hinatea était d'autant plus surprise qu'elle joue "souvent à ces jeux, sans jamais rien gagner", assure la jeune femme.

Hinatea partira partir donc à Los Angeles, elle ne sait pas encore qui l'accompagnera, "je ne suis pas sûre de qui va m'accompagner, mais peut être que j'irai avec ma maman", indique –t-elle un sourire en coin en la regardant, "en tout cas, elle est plus prête que moi!"
Si la jeune femme a un an pour utiliser ses billets d'avion, elle compte y aller "à la meilleures période pour faire du shopping" c’est-à-dire environ mars-avril. "C'est une grande surprise, ça me fait un beau cadeau de Noël avant l'heure. C'est trop top.", se réjouit la jeune femme, elle ajoute "je suis déjà allée à Los Angeles, et à Las Vegas l'année dernière et justement je voulais y retourner. L'an dernier c'était plutôt de la visite et de la découverte, ce voyage ce sera shopping, shopping, shopping. J'ai vraiment hâte", raconte-t-elle des étoiles pleines les yeux.

La jeune femme qui réside à Punaauia avait rempli son bulletin chez Shell à Outoumaoro à Punaauia. Si vous souhaitez également remporter un séjour à Los Angeles, rendez-vous dans toutes les stations Shell ou Pacific. Un bulletin de jeu vous sera remis. Il ne vous restera plus qu'à le remplir et à le mettre dans l'urne prévue à cet effet.

Deux autres tirages au sort seront prévus, avec à la clé pour chacun d'eux, deux billets d'avion Papeete/Los Angeles/Papeete, en classe économique, d'une valeur de plus de 168 000 francs. Quatre billets d'avion sont encore en jeu.

Jeu Shell Pacific : la chance sourit à Hinatea

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Il écope de 4 ans ferme pour avoir frappé sa femme avec un casque

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Il écope de 4 ans ferme pour avoir frappé sa femme avec un casque
Ce lundi après-midi, un individu de 34 ans était jugé en comparution immédiate pour des faits de violences conjugales commises avec un casque. Le prévenu était en état de récidive légale. Le tribunal l’a condamné à 4 ans de prison ferme.

Le 16 novembre dernier, les gendarmes sont appelés pour une dispute conjugale à Paea. Sur place, les forces de l’ordre aperçoivent un couple qui se baigne et qui leur indique qu’ils ne sont pas les individus signalés pour les violences. Mais l’homme et la femme tentent de fuir et les gendarmes décident alors de les interroger. Avec difficulté, ils finissent par recueillir le témoignage de la jeune femme âgée de 22 ans. Apeurée, elle explique aux gendarmes que son époux vient de la frapper à coup de poing puis avec un casque de deux-roues. La victime présente de nombreuses blessures. Entendu, l’homme justifie son acte par le fait que sa femme ne l’accompagne pas dans les démarches qu’il effectue auprès des services sociaux pour récupérer leur petite fille placée quelques mois après sa naissance. Il semble plutôt que ce soit sa violence physique qui soit à l’origine de cette décision.


L’emblème d’un échec
Ce lundi, lors de l’audience, la victime s’est présentée avec le visage tuméfié. Le prévenu, en état de récidive légale pour avoir commis des faits similaires en 2015, avait demandé le huis-clos. Après avoir refusé cette demande, le tribunal a tenté de comprendre ce qui avait déclenché cette violence le jour des faits. En vain. Le prévenu a dit ne pas s’être « contrôlé ». La présidente du tribunal a ajouté : « Aujourd’hui, nous avons eu l’occasion d’entendre la victime. Mais peut-être qu’elle ne sera plus là la prochaine fois. « 

L’avocat de la jeune femme a évoqué le risque de réitération : « aujourd’hui, ça suffit ! (…) Il y a déjà une condamnation et l’on revient à nouveau devant le tribunal pour des violences (…) Vous demandez le huis-clos car vous n’assumez pas Monsieur mais aujourd’hui, votre femme veut divorcer et je l’aiderai. »

Requérant une peine de cinq ans de prison ferme, le procureur de la République a souligné une suite d’échecs : « ce dossier est emblématique d’un échec général : l’échec d’un couple qui a dysfonctionné dès le départ, l’échec du parquet car nous n’avons pas pris la mesure de la dangerosité de cet homme alors que la lutte contre les violences conjugales est l’une de nos priorités. C’est aussi l’échec du SPIP qui, au regard du dossier, évoque toujours la clémence. Mais, l’échec est surtout celui du prévenu auquel la justice a donné toutes les chances imaginables pour s’en sortir. »

L’avocate du prévenu a invoqué les regrets de son client : « il est conscient de son acte (…) Il a demandé un huis-clos afin de pouvoir exprimer ce qu’il ressentait. »

Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné l’homme à 5 ans de prison dont un an avec sursis mise à l’épreuve.

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Le salon du livre 2017 : "une réussite"

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Le salon du livre 2017 :
PAPEETE, le 20 novembre 2017 - L’événement littéraire 2017 a fermé ses portes dimanche soir. Pour les organisateurs et les contributeurs tout s’est bien déroulé. Plus de 5 000 personnes (hors scolaires) y sont passés et, pour certains, y sont repassés. Le spectacle Pina’ina’i a été joué devant 450 personnes. Les chiffres des ventes sont bons.

"C’est une réussite", assure Christian Robert, le président de l’Association des éditeurs de Tahiti et des îles (AETI) qui énumère ses points de satisfaction. "Nous sommes passés entre les gouttes", lance-t-il en préambule. Cela n’a l’air de rien mais "c’une préoccupation de tous les instants pour les organisateurs, car la fréquentation dépend de la météorologie".

La fréquentation de l’édition 2017, justement, n’a pas à rougir des fréquentations des éditions précédentes. "Nous avons eu un flux constant de 5 000 personnes. " Ce chiffre ne comprend pas en compte les scolaires venus en nombre jeudi et vendredi. Le spectacle Pina’ina’i 7.17 qui a été donné pour la seconde fois samedi 18 novembre en fin de journée a rassemblé par moins de 450 personnes.

Au passage, les visiteurs ont succombé. La plupart d’entre eux ne sont pas repartis les mains vides. "L’un des éditeurs nous a indiqué que c’était son meilleur salon, un autre nous a rapporté qu’il avait agréablement surpris et que c’était une très belle surprise", confie Christian Robert. Lui-même semble satisfait de l’intérêt porté aux ouvrages de sa maison d’édition Au Vent des îles.

Le thème choisi explique en partie le succès rencontré. Peu ordinaire, il a été bien reçu à la fois par les auteurs et les illustrateurs que par les visiteurs qui se sont impliqués. Pour preuve, le jeu qui consistait à rédiger un mot sur un post-it avec le son [VER] a été recouvert !

La fête est terminée sous le banian de la Maison de la culture. C’est désormais l’after qui se joue hors les murs. Des auteurs se rendent à présent dans les établissements scolaires pour aller à la rencontre des élèves. Les organisateurs eux songent déjà au rendez-vous 2018 dont le thème n’est pas encore arrêté. Mais déjà des pistes se dessinent.

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Les sculpteurs Gilles Naras et Stéphane Motard proposent une expo en duo

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Les sculpteurs Gilles Naras et Stéphane Motard proposent une expo en duo
PAPEETE, le 20 novembre 2017 - Ouverte ce mardi, l’exposition de Gilles Naras et Stéphane Motard comprend une trentaine de pièces. Des pierres sculptées pour les amoureux de la matière. Le premier découpe, assemble, marie la pierre au bois, à l’aluminium ou encore au plexiglas pour donner des naissances à des lampes design, le second travaille ses blocs de manière à faire apparaître des yeux.

Gilles Naras et Stéphane Motard ont éprouvé leur duo au salon Made in fenua en début d’année. "Il fonctionnait plutôt bien. On est complémentaire sans être concurrent", résument-ils. "On s'est lancé dans le montage d'une exposition."

L’un, Gilles Naras, propose des luminaires design. Il découpe des pierres qu’il remodèle ensuite en "essayant de respecter les formes". Il marie ses pierres avec du bois, de l’aluminium, du plexiglas. Cette exposition est une première pour lui, pour ce travail précisément "et me demande vraiment quel impact cela va avoir sur le public".

Il découvre la pierre en 2011

Ébéniste de formation, Gilles est installé à Tahiti depuis 1992. Destination finale d’un tour du monde. Depuis 1999 il réalise des demi-coques de pirogues. Une activité artisanale inspirée d’une tradition bretonne qu’il a adaptée aux embarcations locales. Il a découvert la pierre en 2011 et, sur invitation de Teva Victor en 2014, a mis au jour sa passion en exposant pour la 1ère fois certaines de ses créations.

"Mais l’art pour l’art ne me suffisait pas, très vite, j’ai modelé la pierre pour réaliser des objets luminaires. Et en particulier des luminaires." Ses œuvres, depuis, a évolué. Il revient avec "des grosses pièces" d’où sortent "de grosses ampoules" annonce-t-il.

À ses côtés Stéphane Motard, "sculpteur autodidacte à temps complet" depuis 2013. Ses œuvres sont rondes, de différentes tailles et aux différentes facettes. Elles laissent apparaître des yeux, "mata en tahitien", précise-t-il. Ses yeux s’inspirent de ceux des tiki sans tout à fait leur ressembler. Ils s’adressent aux amoureux de la pierre invités à s’en emparer avec tous leurs sens. "Je fait de la pierre hyper-polie pour qu’elle puisse être touchée", indique-t-il.

Une histoire de passion

Le duo, qui se retrouve sur la matière, s’entend aussi sur le processus créatif. Un processus long, fatiguant "car physiquement c’est difficile et on y perd des plumes", mais dont ils ne peuvent pas se passer. De la recherche de la matière premier dans le fond des vallées aux étincelles dans les yeux des curieux que leurs œuvres provoquent en passant par la construction, tout est une histoire de passion.

Les sculpteurs Gilles Naras et Stéphane Motard proposent une expo en duo
Pratique

L’exposition a lieu du mardi 21 au samedi 25 novembre à la salle Muriavai de la Maison de la culture.
Ouvert de 9 heures à 18 heures.
Contact : www.maisondelaculture.pf
Tél. : 40 54 45 44


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A Hong Kong, un chez soi pour 71 millions de dollars

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A Hong Kong, un chez soi pour 71 millions de dollars
Hong Kong, Chine | AFP | mardi 21/11/2017 - On est jamais mieux que chez soi mais à Hong Kong il en coûte souvent plus qu'ailleurs. Un anonyme aux poches profondes s'est offert un appartement pour plus de 71 millions de dollars, un record.

L'acquéreur a déboursé un total de 149,1 millions de dollars pour deux luxueux appartements perchés sur la montagne de plus de 370 mètres carrés chacun.
Le plus petit des deux biens est parti pour 71,1 millions de dollars, établissant un record du mètre carré, selon l'agence Bloomberg.
En novembre, un gratte-ciel avait été vendu pour un montant record de plus de cinq milliards de dollars tandis qu'en juin la métropole avait battu le record mondial de la place de parking la plus chère. Celle-ci avait trouvé preneur pour 664.200 dollars.
Le coût astronomique de l'immobilier à Hong Kong est devenu un sujet politique dans l'ancienne colonie revenue en 1997 dans le giron de la Chine.
Les petites entreprises ferment leurs portes, incapables de faire face au coût du loyer, tandis que de très nombreux habitants ne peuvent louer des appartements décents, sans parler d'acheter un logement.
Près de 20% des sept millions d'habitants vivent sous le seuil de pauvreté, selon une étude officielle publiée la semaine dernière.
Les prix se sont envolés ces dernières années, à cause entre autres de l'afflux d'argent injecté par de riches investisseurs venus du continent.
Les opposants au gouvernement l'accusent aussi de marcher main dans la main avec les promoteurs immobiliers.

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Raccordement de Wallis et Futuna au haut débit

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Raccordement de Wallis et Futuna au haut débit
Paris, France | AFP | lundi 20/11/2017 - L'archipel de Wallis et Futuna va pouvoir bénéficier d'un réseau internet haut débit à partir du printemps prochain, grâce à la mise en place d'un câble sous-marin de 1.600 km, reliant plusieurs archipels du Pacifique, s'est félicité lundi le ministère des Outre-mer.

Le premier raccordement physique de ce câble sous-marin aux infrastructures terrestres de transport de données numériques de Wallis, a eu lieu dimanche. Une opération similaire de raccordement est annoncée à Futuna dans quelques jours, précise le ministère dans un communiqué. 
Ce câble qui relie Fidji à Samoa et les îles de Wallis et Futuna, va permettre "un réel désenclavement numérique pour les citoyens de Wallis et Futuna, avec des conséquences directes sur le développement de l'archipel, en matière de télémédecine, de formation à distance, d'administration en ligne et d'économie locale", salue le ministère.
Selon le média Wallis et Futuna 1ère, ce câble offrira "un débit de 50 gigabits par seconde", soit "100.000 fois le débit actuel offert par la liaison satellite".
Il est financé en partie par l'État, l'Union Européenne et l'Agence Française de Développement.

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Canberra salue l'abandon d'un projet d'éoliennes sur un site de 1914-1918

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Canberra salue l'abandon d'un projet d'éoliennes sur un site de 1914-1918
Sydney, Australie | AFP | mardi 21/11/2017 - L'Australie est soulagée: l'électricien français Engie a renoncé à un projet d'éoliennes sur un champ de bataille de 1914-1918, où des milliers d'Australiens ont péri, une décision "très touchante" pour Canberra.

Engie Green prévoyait d'ériger six éoliennes sur ce site de la Première Guerre mondiale, à Bullecourt, dans le nord de la France. Mais le projet avait suscité une vive émotion parmi les Australiens. 
Maria Cameron, une Australienne de 70 ans venue dans ce village où périt son grand-oncle, le jugeait "barbare": "C'est notre sang qui repose dans ces champs", avait-elle lancé avec émotion à une journaliste de l'AFP la semaine dernière.
"C'était un long périple pour une vieille femme", avait souligné la septuagénaire de Port Fairy (sud de l'Australie) qui a affronté 24 heures de voyage pour se rendre sur les lieux où est tombé son parent, Simon Fraser, comme environ 2.000 autres soldats australiens. 
Dans ce secteur, plusieurs divisions britanniques et australiennes avaient tenté en avril et mai 1917 de briser la ligne allemande Hindenburg, entre Arras et Soissons. 
Environ 10.000 soldats australiens y avaient été tués ou blessés, mais aussi 7.000 Britanniques et 10.000 Allemands.
Des milliers d'entre eux reposent pour toujours dans la boue et l'anonymat sur les 200 hectares de cette nécropole naturelle où poussent aujourd'hui pommes de terre et blé.
Encore aujourd'hui, des Australiens se rendent régulièrement à Bullecourt pour rendre hommage à leurs morts. 
 

- 'Empathie' -

 
Et leur émotion à l'annonce du projet initial d'Engie était partagée par de nombreux habitants locaux. Beaucoup ont en effet noué des liens d'amitié avec des Australiens venus se recueillir ces dernières décennies au mémorial de Bullecourt.
"Quand on voit le sacrifice de ces milliers de soldats, cette terre peut être considérée comme un cimetière", expliquait Géraldine Alisse, opposante locale au plan d'Engie Green.
L'affaire était montée jusqu'au niveau des gouvernements des deux pays.
Le gouvernement australien avait demandé des "clarifications" à la France au sujet de ce projet dont la mise en service était prévu au mieux en 2020.
La semaine dernière, la secrétaire d'État française auprès de la ministre des armées, Geneviève Darrieussecq, avait promis de "trouver une issue" qui respecte la mémoire de ces soldats, lors d'un entretien avec le ministre australien des Anciens combattants, Dan Tehan.
"C'est une nouvelle merveilleuse pour tous les Australiens, en particulier ceux dont la famille est liée à la bataille de Bullecourt", a déclaré ce dernier mardi dans un communiqué.
"Le groupe Engie a entendu les inquiétudes des Australiens et il a montré de l'empathie en annulant ce projet", a ajouté Dan Tehan.
Le ministre a par ailleurs dit sur Sky News sa reconnaissance envers le gouvernement français, en affirmant que cela montrait combien "les Français, 100 ans après, continuent d'estimer ce que les Australiens furent prêts à faire pour eux".
"C'est très touchant pour tous les Australiens", a-t-il dit.
Dans un communiqué reçu par l'AFP, Engie se dit "particulièrement sensible à l'émoi suscité en Australie" par son projet d'éoliennes soulignant que les réactions "ont souligné le caractère symbolique et sacré" du site.
"Respectueux de la mémoire des soldats australiens morts sur le sol français, Engie fait le choix de renoncer à ce projet", a écrit le groupe.

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Les étudiants et routards étrangers sous-payés en Australie

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Les étudiants et routards étrangers sous-payés en Australie
Sydney, Australie | AFP | mardi 20/11/2017 - Un tiers des étudiants et routards étrangers qui travaillent en Australie ne sont rémunérés que la moité du minimum légal, selon une étude universitaire sur "Le vol de salaire" dans le vaste pays continent.

Plus 900.000 migrants se trouvent en Australie avec des visas temporaires et représentent environ 11% du marché du travail.
L'étude publiée mardi porte sur 4.322 migrants de 107 nationalités différentes, interviewés de façon anonyme entre septembre et décembre 2016 via internet en 13 langues. Quelque 55% ont déclarés être des étudiants et 33% des routards.
Environ 30% d'entre eux ont affirmé n'être payés que la moitié du salaire minimum légal prévu pour le travail occasionnel (22,13 dollars australiens, 14 euros). Près de la moitié touchaient moins de 15 dollars.
"L'une des découvertes les plus frappantes c'est que 86% des routards ou étudiants internationaux ont l'impression que tout le monde est sous-payé avec ce type de visa", a dit à l'AFP Bassina Farbenblum, de l'Université de Nouvelle-Galles du Sud, co-auteur de l'étude avec l'Université technologique de Sydney. "Ce n'est donc pas la peine de quitter leur boulot car ils pensent avoir très peu de chance de trouver mieux".
"Le vol de salaire est endémique" et est "largement répandu à travers de nombreux secteurs d'activité" selon l'étude. Mais la pratique est particulièrement prévalente dans la restauration et "très grave" dans le ramassage saisonnier de fruits et légumes.
Laurent Van Eesbeeck, un Belge de 25 ans titulaire d'un visa "vacances-travail", a déclaré au groupe Fairfax Media qu'il n'avait été payé cette année que cinq dollars australiens de l'heure pour cueillir des tomates cerise dans l'Etat du Queensland. 
"J'ai eu une ou deux déceptions avec les fermes australiennes", a-t-il dit. "Pour moi, c'est de exploitation, je ne veux pas en faire partie".
Les migrants originaires d'Asie sont particulièrement touchés. 
Les trois quarts des Chinois, Taïwanais et Vietnamiens ayant répondu à l'enquête touchaient 17 dollars australiens ou moins contre 35 à 41% des Américains, des Irlandais et des Britanniques.
"Il est plus fréquent que les travailleurs chinois soient payés en liquide", souligne aussi l'étude.
Mme Farbenblum a appelé le gouvernement et les entreprises à prendre des mesures pour lutter contre le phénomène.
La ministre de l'Emploi Michaelia Cash a réagi en demandant aux jeunes gens se sentant exploités de contacter le médiateur du gouvernement chargé des conditions de travail. 
"Le gouvernement a entrepris plusieurs réformes importantes pour protéger ces travailleurs depuis que l'étude a été menée", a-t-elle déclaré dans un communiqué. Par exemple, le médiateur bénéficie de fonds supplémentaires pour traiter les affaires d'exploitation.

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Page enfant : Le "slime" vole la vedette au "hand spinner"

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Page enfant : Le
PAPEETE, le 21 novembre 2017 - Le "hand spinner", cette toupie en forme d'étoile, a fait son temps. Dans les cours de récréation, il est de plus en plus délaissé au profit du "slime", une pâte visqueuse à malaxer et… à faire tout seul à la maison.

L'avantage, pour une fois, c'est que vous n'aurez pas à arpenter les rues de la ville et entrer dans tous les magasins pour trouver le nouveau jeu à la mode. Le slime, cette pâte gluante à malaxer peut se faire à la maison à partir d'ingrédients simples ! Les recettes, tutos, idées affolent la toile. Aux États-Unis, l'entreprise qui commercialise la colle transparente utilisée comme ingrédient de base de la recette, a annoncé avoir doublé sa production.

Le phénomène serait né il y a déjà plusieurs mois aux États-Unis. Depuis, tout le monde s'y met. Il y a les puristes qui fabriquent et malaxent un slime à la texture translucide et verte fluo (hommage à Ghost busters, le film des années 1980). D'autres imaginent des slime toujours plus originaux : paillettes, perles…

Comment faire son propre slime

S'il existe des slime "prêt à l'emploi", la plupart des adeptes fabriquent leur propre slime. Si toi aussi tu veux faire ton propre slime il te faut : de la colle transparente (20cl), de la lessive liquide (20 cl), de l'eau (10 cl) et du gel pailleté (facultatif). Tu auras aussi besoin d'un récipient (un bol par exemple, d'une spatule pour mélanger puis d'une boîte hermétique pour ranger ton œuvre.

Mélange la colle transparente et l'eau puis ajoute le gel pailleté (ou bien de la peinture à l'eau ou quelques gouttes de colorant alimentaire).

Verse la lessive dans le mélange coloré et remue tout doucement. Le slime va devenir de plus en plus solide. Prend le dans tes mains et continue à le malaxer. Ensuite, pour le conserver, mets-le dans une boîte hermétique et, dans l'idéal, au frigo. En surfant sur internet tu pourras trouver d'autres recettes de slime.


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Le marae Taputapuatea tombe en ruine

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Le marae Taputapuatea tombe en ruine
PAPEETE, 21 novembre 2017 - Des photos relayées sur les réseaux sociaux montrent plusieurs éboulements des structures du site culturel de Taputapuatea à Raiatea.

Ces éboulements pourraient s'être produits durant le week-end dernier, sur au moins deux des structures du marae de Taputapuatea et seraient de cause naturelle, alors que le site culturel a été inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco en juillet dernier.

Des photos et vidéos ont été postées ce lundi sur les réseaux sociaux.

Le marae Taputapuatea tombe en ruine

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