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Australie: pêche fantastique dans les abysses

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Australie: pêche fantastique dans les abysses
Sydney, Australie | AFP | mercredi 31/05/2017 - Un poisson dénué de visage, des créatures effrayantes ou monstrueuses... Voilà ce que recèle la pêche fantastique d'une expédition scientifique dans les abysses au large de l'Est de l'Australie.

Partie mi-mai, l'expédition explore pendant un mois avec des caméras, des sonars et des filets la noirceur totale des fonds marins d'une zone qui va de la Tasmanie aux côtes du Queensland, jusqu'à 4.000 mètres de profondeur.

Le tout est opéré par 27 scientifiques à bord d'un navire de recherches "The Investigator", sous la direction de Tim O'Hara, un responsable de Museums Victoria, l'organisation gérant plusieurs musées du sud de l'Australie.

Chimères, araignées aveugles, poissons abyssaux de la famille des Chaunacidae, l'expédition a croisé le chemin de créatures extraordinaires.

La rencontre la plus impressionnante a été celle d'un poisson donnant l'impression d'être dénué de visage qui n'avait plus été observé depuis 1873, quand l'expédition scientifique du HMS Challenger l'avait remonté près de l'actuelle Papouasie-Nouvelle-Guinée.

"Il n'a pas de yeux, et sa bouche est située en dessous", a déclaré à l'AFP M. O'Hara depuis le navire au sujet de ce poisson dont un spécimen a été remonté à la surface.

A de telles profondeurs, l'obscurité est totale et les créatures sont souvent dénuées d'yeux ou produisent leur propre lumière, a-t-il expliqué.

Travailler dans un tel environnement est un défi technique et technologique, explique le scientifique. Il faut sept heures pour mettre en place et remonter l'équipement envoyé au fond de l'eau, et relié à "The Investigator" par huit kilomètres de cables.

Les données collectées devront permettre d'améliorer la connaissance et la compréhension des habitats abyssaux, leur biodiversité et la pression écologique qui s'exerce sur eux.


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France: un robot-tondeuse parti à l'aventure, c'était un vol!

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France: un robot-tondeuse parti à l'aventure, c'était un vol!
TOURS - Un robot-tondeuse a signalé à son propriétaire qu'il était parti sur la route départementale: il ne s'agissait pas d'une escapade mais du vol de l'engin, en route vers la Nièvre, a annoncé mardi la gendarmerie d'Indre-et-Loire sur sa page Facebook.

Dimanche vers 20H00, un quadragénaire résidant dans la Nièvre avait aperçu ce robot-tondeuse, d'une valeur de 5.000 euros, en action dans l'enceinte d'une société de Pernay (Indre-et-Loire), expliquent les gendarmes.

Après avoir découpé le grillage, l'homme s'empare de l'appareil et le met dans son véhicule. Ce que le voleur ne savait pas, c'est que ce robot-tondeuse haut de gamme est muni d'un GPS. L'engin signale aussitôt qu'il a quitté sa zone d'action et qu'il circule à 90 km/h sur la départementale.

Avertie, "la victime suit donc son bien à la trace et alerte les gendarmes", qui ont appréhendé le voleur.

"Ce jardinier amateur a reçu une convocation devant le tribunal correctionnel de Tours. Peut-être sera-t-il condamné à un travail d'intérêt général dans les espaces verts?" suggèrent les gendarmes sur leur page Facebook.

dro/hdu/er/dar

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Alerte à la bombe: un vol de Malaysia Airlines contraint d'atterrir à Merlbourne (ministre)

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Alerte à la bombe: un vol de Malaysia Airlines contraint d'atterrir à Merlbourne (ministre)
Kuala Lumpur, Malaisie | AFP | mercredi 31/05/2017 - Un vol de Malaysia Airlines à destination de Kuala Lumpur a été contraint de revenir atterrir à Melbourne mercredi soir après qu'un passager "perturbateur" eut affirmé qu'il transportait une bombe, a déclaré le ministre adjoint des Transports de Malaisie.

"Ce n'est pas un détournement. Un passager perturbateur a essayé de rentrer dans la cabine de pilotage", a indiqué Abdul Aziz bin Kaprawi. "Le passager, de nationalité srilankaise, a affirmé qu'il détenait une bombe. Ce n'était pas une bombe, mais un rechargeur de batteries".

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La Corée du Nord se dit prête à tirer des missiles intercontinentaux

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La Corée du Nord se dit prête à tirer des missiles intercontinentaux
Séoul, Corée du Sud | AFP | mercredi 30/05/2017 - La Corée du Nord a averti mercredi qu'elle était prête à tirer des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), après que Washington eut annoncé un test réussi d'interception d'un tel engin.

Les Etats-Unis ont affirmé mardi qu'un missile tiré depuis la base Vandenberg de l'US Air Force en Californie avait "intercepté avec succès un missile balistique intercontinental cible", sans charge nucléaire parce qu'il s'agissait d'un essai, lancé depuis le Reagan Test Site dans les îles Marshall, dans le Pacifique.

De son côté, Pyongyang multiplie les tirs de missiles dans le cadre de programmes qui visent à doter la Corée du Nord de missiles balistiques intercontinentaux susceptibles de porter le feu nucléaire sur le sol continental américain, et d'accroître ainsi sa dissuasion.

"Nous sommes prêts à tirer des ICBM, n'importe où, n'importe quand, sur ordre du commandant suprême (Kim Jong-Un)", affirme le Rodong Sinmun, organe officiel du parti unique au pouvoir à Pyongyang.

"Les Etats-Unis doivent savoir que notre affirmation selon laquelle nous pouvons réduire en cendres l'antre du diable avec nos armes nucléaires n'est pas une parole en l'air", ajoute le journal.

Pyongyang a confirmé mardi avoir procédé la veille à un nouveau tir de missile qui s'est abattu en mer dans la zone économique exclusive du Japon, suscitant des condamnations des capitales étrangères dans un contexte de tensions sur la péninsule.

Il s'agissait du troisième tir nord-coréen en trois semaines et du 12e depuis le début de l'année, alors que de nombreuses résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU interdisent à Pyongyang de poursuivre ses programmes balistique et nucléaire, et que Washington menace le pays d'une intervention militaire.

Le porte-parole du Pentagone Jeff Davis a affirmé mardi que le test américain d'interception d'ICBM n'avait pas été mené en réponse aux récents essais de la Corée du Nord mais que, "d'une manière générale, la Corée du Nord est une des raisons pour lesquelles nous avons cette capacité".

"Ils continuent à faire des essais, comme ce week-end, et à utiliser un discours dangereux qui laisse entendre qu'ils pourraient frapper le territoire américain", a rappelé le représentant du département américain de la Défense.

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Cyclisme – Grand prix de Arue : Terii Teihotaata fait honneur à sa commune

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C’est devant le stade de la commune de Arue que s’est déroulé le grand prix de Arue ce samedi 27 mai. Plusieurs courses de vélo sur route étaient au programme, réalisées sur une boucle de 2 km. Sur la course principale, c’est Terii Teihotaata qui s’impose.
Cyclisme – Grand prix de Arue : Terii Teihotaata fait honneur à sa commune
C’est sous une chaleur intense que le départ de la course pass’cyclisme a été donné, vers 13h45. Ils étaient une quarantaine de cyclistes à prendre le départ pour parcourir 30 km sur un circuit de 2 km. Après plusieurs attaques, c’est le champion, Thierry Tonnelier qui s’impose après une bonne relance. À la 2e place, on retrouve Paul Schoepps du Papeete Cycling Club tandis que Johann Handerson complète le podium.
 
Chez les Minimes, qui ont participé pour la seconde fois à un Grand Prix cette année, c’est Mickael Tcheou de Riding Team Tahiti qui prend la première place, suivi de son coéquipier Ethan Chonfont. Maxence Tonnelier termine sur la 3e place du podium.
 
Les féminines étaient aussi présentes sur ce parcours. En tête du classement, on retrouve Teanavai Ti-paon de Fei-Pi. En seconde position, c’est Ranitea Manuel qui s’impose devant Mei-Lin Lou.
 
Sur la course phare, longue de 50 km soit 25 tours, c’est finalement Terii Teihotaata, sociétaire de l’As Arue qui l’emporte, après une belle bataille avec Olivier Goulard qui termine deuxième. Sur la 3e marche du podium, on retrouve le waterman Teva Poulain qui a réussi à se détacher du peloton juste avant l’arrivée.
 
La saison est riche et bien lancée et la fédération de cyclisme vous donne rendez-vous le 4 Juin pour le grand Riding Team Tahiti. Sport Tahiti
 
Thierry tonnelier, Vainqueur Pass’cyclisme
 
« J’ai attaqué dans le virage et j’ai relancé fort dès le 7e tour. Les gars ont tardé à réagir et j’ai continué sur ma lancée. Le peloton n’a pas réussi à bien s’organiser alors qu’ils avaient les moyens de revenir sur moi. »
 
Terii Teihotaata, Vainqueur du GP Arue.
 
« Je suis vraiment très content de gagner enfin le prix de mon club ! Je me suis très bien entendu avec Olivier. On a pris de bons relais et ça s’est joué au sprint sur la fin ».
 
Olivier Goulard, 2e du GP Arue
 
« J’ai attaqué à 16 tours de l’arrivée, Terii a pris ma roue et on s’est très bien entendu jusqu’à la fin. Mais Terii est maillot vert du tour donc je n’avais aucune de chance de le battre. »

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Muay Thai – Taravao : Soirée réussie pour la Team Black Devil MMA

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Muay Thai – Taravao : Soirée réussie pour la Team Black Devil MMA
La Team Black Devil MMA a organisé ce samedi 27 mai au Lycée polyvalent de Taravao une nouvelle soirée de boxe thaï avec le soutien de Roland Darrouzes, président de la Fédération Tahitienne de Muay Thaï. Au total, ce sont 7 clubs qui ont participé avec le Tini Thaï Boxing, le Team Arupa, le Team 12, le Team Spirit Fight, le Team 7 legends, et Haoa Thaï Boxing qui n’ont pas hésité à faire monter leurs élèves sur le ring.
 
Au total, c’est une quinzaine de combats qui se sont enchaînés et qui ont ravi les spectateurs. Les organisateurs étaient satisfaits de la soirée. La prochaine soirée de Muay Thai est une soirée organisée le 24 juin par le club Tini Thaï Boxing, elle se déroulera à Fautaua avec la participation de boxeurs Néozélandais et Australiens. Sport Tahiti.
 
Résultats des combats :
 
  1. TEITI Tehaurai (AS Haoa Thai Boxing) bat Tauraatua Tehau ( Team Black Devil)
  2. CALLE Raphael (AS Team Arupa) bat RIVALDO Tirao (AS Haoa Thai Boxing)
  3. O’connor Huirai (AS Seven Legends) bat CHIN-KEE SING Jeyffrey (AS Spririt Fight)
  4. PIRATO Heremoana (AS Seven Legends) bat MARAETAATA Marc ( As Haoa Thai Boxing)
  5. SCHOLERMANN Tereva (AS Team Arupa) bat Lequerre Teiki (AS Seven Legends)
  6. Mahaga Teahi (AS Seven Legends) bat ITCHNER Temoe (AS Team Arupa)
  7. MOE Hiroarii (AS Seven Legends) bat PAITIA Mauri (AS Team Black Devil)
  8. TINOMOE Eugène (AS Team Arupa) bat HUTIA Maurice ( Team Black Devil)
  9. KAVERA Kalani (Tini Thai Boxing) bat Benoit Raja (AS Spirit Fight)
  10. BELLAIS Eddy ( Tini Thai Boxing) bat PAPIN Manuarii (AS Seven Legends)
  11. UURA Taitorai (AS Team Arupa) bat TAURAATUA Tinihau (AS Team 12) par KO
 

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Football – Focus Tefana : Pour Sébastien Labayen « Il faut rester humble »

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en demi finale des Play Off. Il ne participera pas à la prochaine Ligue des Champions OFC. Il reste au club de Faa’a la Coupe de Tahiti Nui. Le gagnant de la finale, qui opposera le samedi 3 juin à 20H Tefana à Temanava, participera à la prochaine Coupe de France.
Football – Focus Tefana : Pour Sébastien Labayen « Il faut rester humble »
L’as Tefana est le leader incontesté du championnat de Ligue 1 Vini depuis plusieurs années. Le club s’illustre sur plusieurs niveaux : formation des jeunes, développement du sport-étude, échanges avec d’autres clubs en métropole…Ses résultats en Ligue 1, Ligue 2 ou chez les jeunes sont remarquables. Pascal Vahirua avait choisi Tefana à son retour de métropole pour œuvrer en tant qu’encadrant.
 
Tefana a fait de bonne performances à l’extérieur en 2015 comme en 2016, deux demi finales en Ligue des champions OFC, une bonne performance en 2015 en Coupe de France où elle ne s’était inclinée que d’un but contre Noisy-le-Sec mais voilà, Tefana ne participera pas à la Ligue des champions OFC 2018, la compétition qui réunit les meilleurs clubs du Pacifique.
 
Pas de Ligue des champions en 2018
 
Le nouveau format proposé par la fédération française de football et accepté par la fédération tahitienne, a consisté cette année à jouer la qualification pour la Ligue des champions en faisant se rencontrer les quatre premières équipes du championnat en format demi finale/finale et en ne qualifiant que les deux finalistes, le but étant de faire monter le niveau général.
 
Dragon et Vénus, respectivement 2e et 4e du championnat, auront donc l’opportunité de participer à la Ligue des champions OFC en 2018. La perspective de cette participation pourrait booster ces deux équipes et rendre le championnat 2017-2018 un peu moins facile pour Tefana.
 
Mais la saison 2016-2017 n’est pas finie. Tefana, après avoir perdu 3-2 en play off le 17 mai dernier, a « pris sa revanche » le 21 mai en Coupe en battant Vénus en demi finale 4-0. Tefana devra affronter le club de Moorea Temanava samedi 3 juin à 20H au stade Pater lors de la finale de la Coupe de Tahiti Nui. SB / FTF

Football – Focus Tefana : Pour Sébastien Labayen « Il faut rester humble »
Sébastien Labayen, coach de Tefana
 
Quelques mots sur « votre revanche » sur Vénus ?
 
« On sait faire la différence par rapport aux différentes compétitions. On respecte nos adversaires, on sait reconnaître sur un match lorsqu’ils sont plus forts que nous. Ce qui nous intéresse c’est d’être à notre meilleur niveau. Donc on fait en sorte d’être le plus impeccable possible sur le plan défensif, on ne prends pas de but et on arrive à scorer 4 buts sur ce dernier match contre Vénus, ça c’est intéressant. »
 
Le carton rouge pour Vénus en début de match a faussé la donne ?
 
« Je ne commente pas les décisions des arbitres, dans un sens ou dans un autre. C’est le fait d’être dangereux, de se créer des occasions, qui pousse nos adversaires à la faute, qu’elles soient sanctionnées d’un rouge ou pas, cela ne nous regarde pas. Ce que l’on veut, c’est être le plus dangereux possible, le plus efficace possible sur le plan défensif. »
 
La non participation à la prochaine Champions League OFC ?
 
« Il faut rester humble. La formule est ainsi faite, elle ne récompense pas la régularité sur le plan du championnat car cela se joue sur un match. La régularité en sport est importante, surtout sur le plan de la performance. Cela fait deux années d’affilée que l’on termine parmi les quatre meilleures équipes océaniennes. Sur les phases de championnat, on a fait en sorte de respecter tous nos adversaires et d’être à fond sur chaque match, cela n’a pas été récompensé par une place en Ligue des champions OFC, c’est au instances dirigeantes de poser la réflexion et de voir ce qu’ils veulent. »
 
Il reste la Coupe de Tahiti Nui pour réaffirmer votre statut de leader ?
 
« Les matchs s’enchainent et il va falloir gérer la récupération. On a rien à prouver si ce n’est d’être les plus performants possible à chaque fois que l’on monte sur le terrain. On est pas là pour être en démonstration ou revendiquer quoi que ce soit. Il faut rester humble et être à son meilleur niveau à chaque match. »
 
Sylvain Graglia n’est plus dans l’effectif ?
 
« Effectivement. C’est un choix personnel. »
 
Un dernier mot, un remerciement ?
 
« Merci aux joueurs et aux dirigeants » Propos recueillis par SB / FTF

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Congrès MRH : concilier numérique et bonheur au travail

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Les 7, 8 et 9 juin prochains au Méridien Tahiti, le Congrès propose de mettre le développement durable au cœur de la réflexion des dirigeants de notre pays : “Comment construire un futur durable pour les organisations et épanouissant pour les équipes”. Tahiti Congrès affirme qu’il n’y aura pas de développement durable possible sans développement des talents des personnes.

Chaque jour jusqu’au Congrès nous vous proposerons ainsi de découvrir les différentes activités proposées, nos conférenciers et nos partenaires sur l’événement à travers une série de portraits.

M. Jean-François Bonnes, "Le numérique contribue-t-il finalement au bonheur et à notre épanouissement ?", after-work du 08 juin 2017 :
Congrès MRH : concilier numérique et bonheur au travail
Le numérique est partout et son impact sur notre vie quotidienne ne fait que commencer : courriels, smartphones, tablettes, logiciels et désormais les objets connectés, nous utilisons sans cesse les ressources offertes par le numérique Pour autant, est-ce que cet accroissement de ressources nous rend plus heureux ? Est-ce que le temps gagné, nous permet de réduire notre stress et contribue à notre épanouissement ? Tout au long de son intervention, qui sera marquée par l'innovation et les disruptions que nous amènent le numérique, Jean-François Bonnes, Directeur Groupe au bureau de Montréal de la Stratégie Numérique de Publicis, le 3ème groupe mondial en communication, nous apportera des exemples concrets de situations où le numérique impacte positivement la vie des personnes, des employés, des clients et des organisations
Un after-work d'où vous sortirez avec une vision différente du numérique ! Un format d’intervention plus interactif et participatif suivi d’un cocktail qui permettra d’approfondir les échanges en petits groupes et de manière ludique !
Le Congrès Management et Ressources Humaines 2017 offre la possibilité à des entreprises du fenua de montrer leur engagement en matière de développement durable et de valorisation des talents. IDT a ainsi souhaité être partenaire de l'after-work du Congrès et s'y associer.

D'après un communiqué de Tahiti-congrès

Pourquoi IDT a-t-elle choisie d'être le partenaire de l'after-work du Congrès ? La parole à M. Olivier Kressmann, directeur général de l'entreprise :

Depuis maintenant plus de 30 ans, IDT est reconnue par ses clients du Pacifique francophone comme une entreprise leader sur son marché de l'informatique de gestion, avec une gamme de services et de logiciels à la pertinence et à la fiabilité éprouvées. Maintenant dans un monde numérique en mutation perpétuelle et accentué par son fort engagement dans la construction du nouvel écosystème digital souhaité par le Pays, IDT doit aussi veiller à être toujours à la pointe de la technologie pour mieux servir ses clients et les accompagner dans leur transformation numérique. Outre les aspects techniques qui font notre quotidien, nous avons aussi pour cela un travail permanent à effectuer auprès de nos équipes pour renforcer la qualité de la relation client et mieux servir ces derniers.
En parallèle, nous nous devons aussi de créer les conditions d'un environnement de travail stimulant et épanouissant, d'où nos nouveaux locaux pensés en conséquence. Voilà pourquoi, avec ce contexte et cet environnement, avec ces thèmes du Management et du développement durable abordés par le Congrès, il me paraissait évident que Informatique De Tahiti soit présent sur cet after-work en dehors des sentiers battus, mais au cœur de notre métier et des relations avec nos clients.

Contact et information : contact@tahiticongres.com ; 87 74 40 03 ; www.tahiticongres.com


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«Gauguin. L’alchimiste» au Grand Palais à Paris du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018

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«Gauguin. L’alchimiste» au Grand Palais à Paris du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018
PAPEETE, le 31 mai 2017- Les Polynésiens de métropole, comme ceux du Fenua qui se rendront à Paris prochainement, ne manqueront pas une exposition qui s’annonce exceptionnelle, consacrée au peintre Paul Gauguin, dont on a peu parlé depuis les grandes manifestations organisées en 2003, à l’occasion de la commémoration du centième anniversaire de sa mort à Atuona (Hiva Oa).

Gauguin fait donc cette année son grand retour sur la scène artistique française, à travers une exposition intitulée « Gauguin. L’alchimiste » qui lui sera consacrée en plein cœur de Paris, au Grand Palais, du mercredi 11 octobre au lundi 22 janvier 2018. Un trimestre entier, voilà qui va laisser le temps aux visiteurs, toujours nombreux dès lors qu’il s’agit du peintre dont les œuvres sont aujourd’hui les plus cotées de la planète, d’apprécier ces toiles et sculptures de «notre» peintre des tropiques.

Paul Gauguin (1848-1903), peintre postimpressionniste, est considéré comme le chef de file de l’École de Pont-Aven, l’inspirateur des nabis et l’un des artistes français majeurs du XIXe siècle.

L’exposition du Grand Palais retrace l’ensemble de sa carrière et son travail révolutionnaire sur la matière, quelle qu’elle soit : peinture, dessin, gravure, sculpture sur bois, céramique, etc. Le parcours met en lumière son intérêt obsessionnel pour les arts appliqués, qui occupe un rôle central dans son processus de création et va l’amener à défier la tradition. C’est à la fois une grande rétrospective et un regard entièrement nouveau qu’offrira cette exposition.

L’exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, le musée d’Orsay et The Art Institute of Chicago.





Pratique
«Gauguin. L’alchimiste» au Grand Palais à Paris du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018
Gauguin, l’alchimiste, du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018, au Grand Palais, avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris. Métro Franklin-D.-Roosevelt, ou Champs-Élysées-Clemenceau.
Du jeudi au lundi de 10 à 20h. Nocturne le mercredi de 10 à 22h. Fermeture le mardi. Mardi : visites groupées et privatisations possibles sur inscriptions. 13 ou 9€. Gratuité selon conditions habituelles du Grand Palais. Prévente sur www.grandpalais.fr. Visites guidées prévues pour les individuels et les groupes (informations disponibles sur le site du Grand Palais).




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Victime de violences, Sylvana Estall se bat pour mettre fin à ce fléau

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Victime de violences, Sylvana Estall se bat pour mettre fin à ce fléau
BORA BORA, le 31/05/2017 - Élue au sein du conseil municipal de la commune de Bora Bora, Sylvana Estall s'est faite agresser samedi dernier, à la sortie de leur réunion, par un homme. Heureusement, qu'un autre élu est intervenu pour mettre fin à cette agression. Aujourd'hui, cette affaire est entre les mains de la justice. Et Sylvana a choisi de se lever pour que ces violences envers les femmes cessent.

Le 27 mai dernier, Sylvana Estall, élue de l'opposition au sein du conseil municipal de Bora Bora, s'est faite agresser verbalement et physiquement, à la sortie de leur réunion à la mairie de Vaitape.

"Après avoir retrouvé ses esprits, Mme Estall a couru se réfugier dans la salle du conseil, poursuivie par son agresseur. Heureusement pour elle, un collègue déjeunait dans la salle. Il l’a protégée de l’homme qui, selon Sylvana, ne voulait pas en rester là : "Jordan Fabrice est mon sauveur" dira-telle. C’est avec l’aide de deux autres personnes que l’homme a pu être calmé et que Sylvana a pu s’en éloigner. Elle a immédiatement posé une main courante auprès de la Police Municipale", indique un communiqué.

"J'étais en train de prendre mon repas dans la salle du conseil municipal, lorsque Sylvana arrive traumatisée, en courant. Elle m’a expliqué qu'elle venait de se faire frapper à la tête par son agresseur. Effectivement, elle était poursuivie par l’homme qui a fait irruption dans la salle. Il m'a même affirmé l’avoir frappée, en insistant qu'il voulait encore la frapper. Je suis arrivé à le calmer, mais il a fallu que d’autres personnes interviennent pour qu’il s’en aille", raconte Fabrice Jordan dans un communiqué.

Lundi matin, Sylvana et ses collègues de la Bora Bora Team ont rencontré le maire Gaston Tong Sang.

"Le maire est tenu informé de la situation. Une plainte a été déposée auprès de la gendarmerie. Leur avocat engagera toute action utile auprès de la justice et des autorités concernées. Pour Sylvana, cet incident n'est que le reflet de la situation de violence existant actuellement sur l'île de Bora Bora", constate le communiqué de la Bora Bora Team.

"Cette agression est grave, car elle s’est déroulée dans le cadre de ses fonctions d’élue et, qui plus est, dans l’enceinte de la mairie. Mais quelle qu’en soit la cause, où que cela se passe, ce que dénonce aujourd’hui Sylvana Estall c’est l’acte d’agression en lui-même. Trop souvent, ces passages à l’acte sont une réponse, et cela doit s’arrêter. Elle souhaite que toute violence cesse, et que le dialogue devienne le moyen de résoudre les différends", poursuit le communiqué.

De son côté, le maire de Bora Bora condamne toutes sortes de violences. "Mais je laisse la justice faire son travail."

Dans le certificat médical qui nous a été transmis, le médecin, qui a reçu l'élue lundi, reconnait que Sylvana a été victime d'une agression physique avec "coups de poing sur le crâne et la région occipitale assénée par derrière alors que la victime marchait, et poursuite de la victime par son agresseur." Plus loin, on peut lire : "À signaler également le site de l'ecchymose siégeant au niveau d'une ancienne cicatrice".

Des faits qui ont entrainé une incapacité au sens pénal de cinq jours, et une incapacité physique de dix jours.

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Le Service du développement rural réformé

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Le Service du développement rural réformé
PAPEETE, le 31 mai 2017 - Le 1er juin 2017, le service du développement rural, créé en 1994, laissera la place à une direction de l’agriculture et à une direction de la biosécurité.

La réforme du cadre institutionnel de l’agriculture s’inscrit dans la démarche de modernisation du service public et d’amélioration de la qualité de l’action publique que conduit le gouvernement.

La mise en œuvre de cette réforme va permettre une meilleure lisibilité des missions jusque-là exercées par le SDR, en distinguant clairement les missions de développement et les missions de biosécurité qui touchent aux risques qui pèsent sur la sécurité sanitaire des aliments, la santé des animaux ou des végétaux. Elle facilitera également le pilotage des projets et le management des équipes de travail dans les nouveaux services dont l’organisation interne est allégée.

Ainsi, les usagers pourront identifier facilement le guichet administratif correspondant à leur démarches, y être mieux accueillis, mieux écoutés, mieux informés et orientés. Une direction de l’agriculture, resserrée dans son périmètre d’organisation, améliorera encore les avantages offerts par le guichet unique SDR/CAPL/EPIC Vanille mis en place en 2014 à Pirae, en facilitant l’accès des agriculteurs aux interlocuteurs les plus proches de leurs préoccupations. Le service de proximité dans les archipels éloignés sera assuré par les subdivisions administrativres dans les mêmes conditions que celles assurées aujourd’hui par les secteurs agricoles.

Philippe Couraud et Hervé Bichet ont été nommés en conseil des ministres, le 24 mai dernier, respectivement directeur de l’agriculture et directeur de la biosécurité.

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Compte rendu du Conseil des ministres du 31 mai 2017

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Contrat de redynamisation des sites de défense : subvention du Pays pour la commune de Arue

Dans le cadre du Contrat de redynamisation des sites de défense (CRSD), le Conseil des ministres a adopté un arrêté d’octroi de financement en faveur de la commune de Arue pour la réalisation d’études relatives à son projet d’aménagement du camp de Arue, représentant une participation du Pays à hauteur de 11 618 000 Fcfp sur un total d’investissement de 35 482 000 Fcfp, ce qui fait suite à la programmation de cette opération par le comité de pilotage du CRSD, le 15 septembre 2016.

Cette opération constitue une première étape du projet communal d’extension d’une zone d’activité économique à vocation généraliste sur ce site militaire où la commune espère accueillir une dizaine d’entreprises pourvoyeuses d’emplois, pour compenser la perte économique générée par les forces armées. Le Pays contribue, par son soutien financier et son accompagnement aux communes, à l’esprit du Contrat de redynamisation des sites de défense.


Attribution d’aides financières pour les entreprises

Dans le cadre de son plan de relance de l’économie, le Pays a instauré deux dispositifs d’aides. Le premier porte sur une aide à l’équipement des petites entreprises (AEPE) afin de les accompagner dans leur projet de création ou de développement d’activité. Le second instaure une aide pour la revitalisation des commerces de proximité et des restaurants (ACPR) afin de les accompagner dans leur projet d’amélioration de l’attractivité de leurs points de vente ou de restauration en Polynésie française.
Afin d’accompagner deux sociétés sollicitant l’une de ces deux aides, le Conseil des ministres a autorisé l’attribution d’aides financières pour un montant s’élevant à 1 898 000 Fcfp.
Depuis le début de l’année,
- 128 857 590 Fcfp ont été attribués à 98 entreprises au titre de l’AEPE et
- 89 071 500 Fcfp ont été attribués à 57 entreprises au titre de l’ACPR
Soit un montant global de 217 929 090 Fcfp attribués au profit de 155 entreprises.
Communication sur le recensement de la population : exonération des taxes sur la publicité

Le Conseil des ministres a approuvé la proposition d’admettre en exonération des taxes sur la publicité les opérations de communication relatives à l’enquête « Recensement de la Population 2017 ». Menées par l’Institut de la statistique de la Polynésie française (ISPF), ces opérations ont un intérêt général évident puisqu’elles représentent le seul moyen d’obtenir des informations actualisées permettant d’étudier les évolutions de la société polynésienne en termes de démographie ou d’emploi (structure de la population par sexe et âge, statut d’activité et catégorie socio-professionnelle, etc). Par suite, et conformément à plusieurs articles du code des impôts, elles vont donc être exonérées de taxes.


Subvention à l’OPH pour des travaux relatifs aux voiries, à l’eau et l’assainissement

Dans le cadre de son budget annuel, l’Office Polynésien de l’Habitat (OPH) bénéficie d’une subvention d’investissement destinée à financer les études et les travaux des Voiries et Réseaux Divers (VRD) de certains de ses lotissements situés dans les communes de Papeete, Pirae, Punaauia, Paea, Hitiaa o te ra, Papeari et sur l’île de Moorea.

Ce programme comprend trois axes principaux qui sont : les rénovations des routes, parkings et accès les plus dégradés qui représentent un risque pour leurs utilisateurs, une meilleure gestion de l’eau, et un troisième axe qui concerne l’hygiène et la salubrité des locataires de l’Office avec des travaux sur le réseau d’eaux usées pour pallier les remontées et débordements d’eaux usées.

Le coût total de ces opérations est estimé à 200 millions Fcfp, financé à 100% par le Pays, avec un démarrage des travaux prévu au cours du second semestre 2017.


Soutien à la création audiovisuelle et numérique

Le Conseil des ministres a approuvé en juin dernier l’octroi d’une aide financière (SCAN) à la SARL Les Studios Hashtag. Cette aide est d’un montant de 2 500 000 Fcfp pour la production d’un court-métrage de fiction de 4 minutes, intitulé « Parmi eux ».
La production ayant subi des retards, notamment dans la définition et l’utilisation d’une certaine technique, le montage du film a été retardé de trois mois. En conséquence un report au 31 octobre 2017 du délai de finalisation du projet a été sollicité.

Attribution d’aides à la relance de l’agriculture aux Tuamotu et aux Marquises

Le dispositif des aides à la relance de l’agriculture (ARA), objet de la loi du Pays du 6 mai 2013 permet d’attribuer des aides aux agriculteurs et aux groupements agricoles pour soutenir le financement de projets variés visant au développement de leurs activités agricoles : acquisitions de matériel et équipements agricoles, réalisation de travaux d’aménagements agricoles, construction/modernisation de bâtiments d’élevage, plantation de nouvelles parcelles de cocotiers et pandanus, réalisation de projet qualité, d’analyse technico-économiques de l’exploitation.
En application de ce dispositif, le Conseil des ministres a accordé une aide à la plantation de cocotiers, dans le cadre du programme de soutien à la régénération des cocoteraies, à l’association des propriétaires et copropriétaires Teonemahina de Puka Puka et deux aides à l’acquisition de petits matériels agricoles aux associations Te Hakari no Kauehi de Kauehi et Haamanava de Hiva Oa. Le montant total des aides s’élève à 451 481 Fcfp.

Etat d’avancement de la mise en application du Schéma d’Organisation Sanitaire (SOS)
Le SOS constitue le socle de l’action du ministère en charge de la Santé dans le domaine sanitaire. Tous les axes qu’il pose sont d’égale importance et il est important de les mener de front sans en négliger aucun. Néanmoins, l’action du ministère porte d’abord sur la réorganisation du système et en particulier sur la création de « l’Agence de régulation sanitaire et sociale » qui devrait voir le jour durant le 3ème trimestre de cette année. La communication faite en Conseil des ministres a été l’occasion de faire le point sur l’avancée des travaux. Parmi ceux-ci :
• L’appel à candidatures pour un pôle de santé privé unique a été lancé dans le cadre de la révision de la carte sanitaire.
• Deux textes importants sont aboutis. Les instances concernées ont été saisies (Conseil d’administration des régimes, conseil territorial de la santé publique, etc). Il s’agit des textes sur le médecin traitant et celui sur la télémédecine.
• La rédaction du « Plan cancer 2018 – 2023 » est terminée. Le texte est en cours de validation.
• Dans la même optique d’organiser et de rationnaliser l’offre de soins, les travaux portant sur trois schémas sanitaires ont été lancés : ceux concernant la périnatalité, la santé mentale et le secteur médico-social.

Un bilan de l’avancée des travaux sera fait régulièrement auprès du gouvernement.

Mise en œuvre de la gouvernance pour la mise en place de l’Espace numérique de santé

La santé compte parmi les secteurs pour lesquels le numérique constitue un levier majeur de transformation. Le numérique est une opportunité pour rationaliser et diminuer les dépenses de santé tout en améliorant la prévention et la qualité des soins. Le numérique permet une évolution du modèle vers une médecine préventive et prédictive, des patients mieux informés acteurs de leur santé, et des professionnels de santé connectés, co-acteurs d'un collectif de soins.
Le numérique permet également une révolution des pratiques médicales grâce aux nouvelles technologies (en particulier l'internet des objets, les nanotechnologies et la domotique) et au final un système de santé plus efficace.
Ainsi, l’axe 6 du nouveau Schéma d’Organisation Sanitaire (SOS) de la Polynésie française pour les cinq prochaines années (2016-2021), validé par l’Assemblée de Polynésie française en février 2016, donne pour objectif l’instauration d’un espace numérique de santé polynésien en explicitant trois objectifs de cet axe :
- Créer une gouvernance forte des Systèmes d’Information de santé en Polynésie,
- Prioriser les moyens et les énergies sur le dossier médical partagé (DMP),
- Mettre en place une télémédecine au service des soins primaires dans les archipels.
De ce fait, un séminaire stratégique « E-Santé - Télémédecine » a été organisé sur 4 jours du 2 au 5 mai 2017 à Papeete. Ce séminaire a réuni deux experts, le professeur Marius Fieschi et Madame Martine Labrousse, et des responsables polynésiens ayant à jouer un rôle dans la mise en place de cet espace numérique de santé.
Un plan d’action pragmatique et aligné stratégiquement sur le SOS a été défini à l’issue de ce séminaire dont le premier objectif est la mise en œuvre d’une gouvernance forte des systèmes d’information.
Il a été proposé que cette gouvernance soit constituée du ministre de la Santé, du Centre hospitalier de la Polynésie française, de la Direction de la santé, et de la Caisse de Prévoyance Sociale.
Les missions principales de cette gouvernance seront :
- D’assurer la maîtrise d’ouvrage de l’Espace numérique de santé de la Polynésie française
- D’assurer la congruence des systèmes d’information des différentes structures et établir toutes les règles régissant le partage des données de santé en Polynésie française
- De communiquer les règles établies et l’agenda de leur application à tous les acteurs, et
- De veiller à l’application de ces règles.

Convention entre l’Etat et la Polynésie française relative au service militaire adapté

La ministre du Travail et de la formation professionnelle, en charge de la fonction publique et de la recherche, a présenté au Conseil des ministres un projet de délibération portant approbation de la convention entre l’Etat et la Polynésie française relative au service militaire adapté de Polynésie française. En effet, en application du statut de la Polynésie française, le projet de convention doit être soumis préalablement à l’avis de l’Assemblée de la Polynésie française.

La dernière convention, datant du 19 février 2014, est arrivée à échéance et il convient d’en renouveller les termes. La Polynésie française intervient, en effet, à chaque phase du parcours du jeune volontaire stagiaire au SMA-Pf, de la phase d’information et de recrutement à la phase de l’insertion professionnelle, en passant par celle relative à la formation. La Polynésie française facilite également l’acquisition de moyens matériels par le RSMA-Pf, en l’exonérant de droits et taxes pour les matériels importés dans l’exercice de ses missions de formation, dans le respect de la réglementation en vigueur.
Le projet de convention reprend l’essentiel des clauses de la convention de 2014. Toutefois, des modifications ont été effectuées et portent sur :
- le soutien apporté par le personnel de santé à la mission de recrutement du SMA-Pf, notamment dans les archipels éloignés ;
- et l’ouverture possible aux mesures d’aides à l’emploi, à la formation et à l’insertion professionnelles mises en œuvre par le SEFI et les établissements de formation tels que le CFPA et le CMMPf, en cours ou à l’issue du volontariat.
Ainsi, en moyenne entre 2013 et 2015, le SMA-Pf a procédé au recrutement de près de 506 volontaires stagiaires et de près de 126 volontaires techniciens. L’âge moyen des stagiaires est de 21 ans. Le taux moyen de féminisation du corps est de 28%. Chaque année, à l’incorporation, 32% des jeunes volontaires stagiaires sont détectés en situation d’illettrisme. Ces derniers sont pris en charge par les cinq professeurs mis à disposition par le ministère de l’Education afin de les préparer au CFG (certificat de formation générale). Le taux d’attrition moyen est de 14%, dont deux tiers liés à des inaptitudes médicales. Le taux de réussite, toutes formations confondues, s’élève à 90%, et le taux d’insertion professionnelle est de 70%.


Réglementation relative à l’amiante

Le Conseil des ministres a approuvé un projet d’arrêté présenté par la ministre en charge du travail, tendant à consolider la réglementation relative à l’amiante. L’interdiction d’importation, de vente et d’utilisation de toute variété de fibre d’amiante ou de produit en contenant, a été introduite par arrêté du Conseil des ministres du 22 décembre 2008.
La Polynésie française a ensuite édicté une réglementation dans le domaine du travail afin de protéger les travailleurs contre les risques d’exposition liés à l’amiante, par un arrêté du Conseil des ministres du 27 septembre 2011, dont les dispositions ont été codifiées aux articles A. 4414-1 et suivants du code du travail.
Les dispositions s’appliquent à deux types d’activités :
- le confinement et le retrait de l’amiante à l’occasion notamment de travaux de démolition ou de réhabilitation (sous-section 3 de la section 2 du chapitre IV du titre I du livre IV de la partie IV du code du travail) ;
- et les activités et interventions sur des matériaux ou appareils susceptibles de libérer des fibres d’amiante à l’occasion de travaux de maintenance ou d’entretien (sous-section 4 de la section 2 du chapitre IV du titre I du livre IV de la partie IV du code du travail).
Les activités opérées dans le cadre prévu à la sous-section 3 sont satisfaisantes car elles sont réalisées par des entreprises qui sont agréées par la Direction du travail pour réaliser les travaux de retrait d’amiante, après obtention d’une certification délivrée par la métropole suivant des normes spécifiques contraignantes.
En matière d’interventions réalisées selon le cadre réglementaire prévu en sous-section 4, il est constaté un manque de formation des salariés. Or, de nombreux travaux de second œuvre sont concernés, tels que la dépose de carrelage avec colle amiantée, la dépose de dalles de gerflex amiantées ou encore la dépose de porte et fenêtre vitrés avec joint amianté.
Après cinq ans de mise en œuvre de la réglementation, il est apparu nécessaire de mieux encadrer essentiellement les activités et interventions relevant de la sous-section 4, avec pour objectif une meilleure protection des salariés et aussi pour permettre un développement de leurs compétences.
L’arrêté présenté en Conseil des ministres vise à compléter l’arsenal juridique existant en :
- introduisant une obligation de formation auprès d’organismes de formation agréés par la Direction du travail, à condition de disposer a minima d’une plate-forme pédagogique et d’un formateur compétent.
Le contenu de la formation est fixé de manière plus précise que les dispositions actuelles, suivant des prescriptions minimales déterminées pour chaque catégorie de travailleurs (encadrant technique, encadrant de chantier, opérateur de chantier). La durée et la périodicité du renouvellement de la formation (recyclage) sont également précisées.
Une période transitoire est fixée au 1er juillet 2018 afin de permettre aux intervenants de se mettre en règle. Aussi, les travaux démarrant après cette date devront être réalisés avec du personnel formé par un organisme agréé.
Ceux formés par un organisme, antérieurement à la publication du présent arrêté, doivent, au plus tard le 1er janvier 2020, se mettre en conformité avec les nouvelles dispositions.
Par la même occasion, la formation des opérateurs intervenant dans le cadre des travaux de confinement et de retrait de l’amiante à l’occasion notamment de travaux de démolition ou de réhabilitation, déjà bien encadrée dans le code du travail polynésien, est complétée pour être en corrélation avec les exigences des formations dispensées par les organimes de métropole, du fait de la certification :
- en imposant une méthodologie à travers la description écrite d’un mode opératoire (méthodes de travail, moyens techniques mis en œuvre, contrôle du niveau d’empoussièrement, équipements de travail utilisés, décontamination des travailleurs et des équipemets, gestion des déchets). Ce document est mis à disposition des agents de contrôle compétents.
De même, l’obligation du mode opératoire, dont l’apprentissage de sa rédaction fait partie du module de formation à mettre en place, est exigée à compter du 1er juillet 2018 ;
- en permettant le recours à l’encapsulage qui est défini comme : « tous les procédés mis en œuvre, en vue de conserver, de manière étanche, l'amiante en place et les matériaux en contenant afin d'éviter la dispersion de fibres d'amiante dans l'atmosphère ».
L’encapsulage ne sera possible qu’en cas de travaux portant sur des revêtements de sol. Il est réalisé par défaut en sous-section 3 mais l’étendre aux travaux de la sous-section 4 ne présente pas de risques lorsque le revêtement du sol est en bon état. Il est toutefois exigé une traçabilité de l’opération. Cette obligation pèse à la fois sur l’entreprise intervenante et l’entreprise où l’intervention a eu lieu.
Le projet de texte prévoit également quelques adaptations :
- une modification de la valeur limite d’exposition à 10 fibres par litre sur une heure de travail au lieu de 0,1 fibre par centimètre cube. Ce changement est justifié par le fait que la méthode de comptage des fibres ne repose plus sur la même norme française. Les entreprises polynésiennes sont en effet amenées à sous-traiter avec des laboratoires métropolitains pour évaluer l’exposition. Ces derniers utilisent désormais la méthode de microscopie électronique à transmission analytique (META), méthode plus efficace que celle utilisée auparavant (MOCP, pour microscopie optique à contraste de phase).
Cette valeur limite sera applicable dès adoption de l’arrêté aux activités relevant de la sous-section 3 puisqu’elle sert déjà de référence, du fait de la certification métropolitaine. Elle sera étendue aux activités relevant de la sous-section 4 à compter du 1er janvier 2021.
- une obligation de recourir à des diagnostiqueurs indépendants, agréés par le Directeur du travail, après avis du comité technique consultatif ainsi qu’à des préleveurs indépendants. Ces experts sont chargés, les premiers à repérer la présence ou non d’amiante avant le démarrage des travaux et les seconds à vérifier, pendant et après travaux, que la valeur limite d’exposition n’est pas dépassée.
- les prescriptions relatives à la gestion des déchets qui imposent la transmission d’un bordereau de suivi des déchets sont complétées afin d’assurer une meilleure prise en charge et une coordination avec les textes pris par la Direction de l’environnement.

Soumis pour avis aux membres du comité technique consultatif le 2 mars dernier, le projet de texte a été approuvé à l’unanimité.

Présentation de l’édition 2017 du Heiva i Tahiti
Le ministre de la Culture a présenté une communication en Conseil des ministres relative au concours de chants et danses du Heiva i Tahiti. L’édition 2017 débutera par six soirées de concours, du 6 au 15 juillet. Le mercredi 19 juillet, la soirée de remise des prix rendra hommage au groupe Temaeva et à son mythique chef, Coco Hotahota. Enfin, le Heiva s’achèvera par deux soirées :
- le 21 juillet : soirée des lauréats, toutes catégories
- le 22 juillet : revue des prestations des 2ème et 3ème prix en danse.

Cette année, ce sont 12 groupes de danses et 16 groupes de chants qui s’affronteront amicalement sur l’aire de spectacle de To’ata. Ils seront jugés par un jury composé de neuf professionnels, réunis pour la deuxième année consécutive sous la présidence de Matani Kainuku, membre du jury spécialisé en danse.

Grâce à un partenariat fructueux avec la CCISM (Chambre de commerce, d’industrie, des services et des métiers), chaque soirée de spectacle permettra au public de découvrir un village du Heiva, installé sur l’esplanade basse, où exposants et animations ont été choisis pour leur qualité et leur diversité. La billetterie est améliorée, avec en complément de la vente sur place, l’ouverture « full web » pour laquelle toutes les places seront accessibles en ligne cette année, et non plus seulement par quota. Toutes les informations sur cet évènement sont consultables en ligne sur le site www.heiva.org.






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"Tara, l’odyssée du corail" : suivez l'expédition dans le Pacifique le 5 juin sur Polynésie 1ère

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PAPEETE, le 31 mai 2017 - À l’occasion de la Journée mondiale de l’océan qui se tiendra le 8 juin, Polynésie 1ère propose un documentaire inédit, "Tara, l’odyssée du corail", lundi 5 juin, à 19h30. Réalisé par Pierre de Parscau et raconté par Jacques Gamblin, ce magnifique film retrace l'expédition scientifique dans le Pacifique qui a tenté de percer le mystère du corail et dont la mission a débuté en Polynésie.


Dix ans après sa première dérive arctique, la mythique goélette Tara se lance dans une nouvelle grande expédition baptisée "Tara Pacific 2016-2018". Son objectif : étudier le corail du plus grand océan du monde pour percer le mystère de cet animal encore méconnu dont la vie n’a jamais été autant menacée. Face aux phénomènes climatiques et humains, le corail voit en effet son équilibre largement bouleversé et fragilisé. Il devient urgent d’en apprendre davantage sur cette véritable forêt tropicale sous-marine qui abrite des milliers d’espèces, et de trouver les moyens de mieux préserver cet environnement apparu il y a plus de 250 millions d’années.

Dans l’exploration de ce monde invisible, Tara s’apprête à plonger au cœur de la vie. Une mission qui débute en Polynésie et qui, des récifs de Moorea jusqu’aux atolls du Tuamotu, dans le sillage des marins et des scientifiques, nous entraîne au contact des populations insulaires directement touchées par la disparition du corail. Ce documentaire de 52 minutes, écrit et réalisé Pierre de Parscau, retrace la première étape de cette aventure humaine et scientifique. Sensible à la cause, Jacques Gamblin raconte ce périple extraordinaire, après avoir assuré en 2016 la narration sur un autre documentaire nécessaire, Le Plastique vagabond, produit également par la Fondation Tara Expéditions.

"Aux Tuamotu, 5 % de coraux vivants !"
Pierre de Parscau confie son inquiétude : "Malgré les alertes de la communauté scientifique sur l’état des récifs à travers le globe, nous espérions découvrir des sites encore assez épargnés par le réchauffement climatique. Dans l’archipel des Tuamotu, nous avons plongé dans des atolls très éloignés des populations humaines en espérant observer des coraux en bonne santé. Dans certaines zones, il n’en reste que 5 % de vivants ! L’augmentation de la température de l’océan, due notamment au phénomène El Niño, a causé un épisode de blanchissement sans précédent sur les récifs. Cette situation entraîne un véritable bouleversement de l’écosystème corallien, et il est difficile aujourd’hui d’en mesurer les conséquences à la fois pour la biodiversité et les populations insulaires."

Le réalisateur explique quels sont les objectifs atteints : "Tara s’est constituée une immense bibliothèque d’échantillons. Ces prélèvements vont permettre d’en apprendre davantage sur les micro-organismes qui vivent autour des coraux et de mieux comprendre les échanges qui ont lieu sur les récifs. Même si le corail fait partie des plus anciens organismes vivant de la planète, il recèle encore beaucoup de secrets pour les chercheurs. Il va falloir attendre plusieurs années avant que les résultats scientifiques soient mis à jour. C’est un processus d’analyse très long qui fait intervenir des laboratoires de pointe partout dans le monde et mobilise des dizaines de scientifiques." Et de conclure : "Nous avons eu la chance d’observer des récifs qui demain auront peut-être totalement disparu, j’espère que ces images, parfois choquantes, feront réagir."

"Nous sommes tous concernés par ce qui touche à la mer"
Interview de Jean-Philippe Lemée, directeur de l'antenne TV de Polynésie 1ère


Comment avez-vous acquis ce film documentaire et pourquoi ?

"France Télévisions, par l’intermédiaire de France Ô et son réseau Outre-mer 1ère, a souhaité activement participer à cette belle aventure humaine et scientifique. Il ne faut pas oublier que la France est le deuxième littoral au monde grâce à ses territoires d’outre-mer. La goélette Tara, pour cette nouvelle expédition "Tara Pacific 2016-2018", navigue dans les eaux du Pacifique en faisant notamment escale en Polynésie française, à Wallis-et-Futuna et en Nouvelle-Calédonie. L’escale en Polynésie française a eu lieu en octobre 2016. Un passage dans nos eaux qui a permis aux scientifiques d’explorer notamment les récifs des Tuamotu. Ce documentaire nous offre la possibilité incroyable de suivre cette expédition scientifique et d’être les témoins de cette aventure où nous tenterons de comprendre les mystères du récif corallien. Cette expédition, nous le verrons dans le documentaire écrit et réalisé par Pierre de Parscau, nous permettra également d’apprendre davantage en particulier sur les micro-organismes qui vivent sur nos coraux."

La nouvelle expédition de Tara dans le Pacifique débute en Polynésie. C'était une opportunité de sensibiliser la population locale à l'environnement ?

"Le documentaire sera diffusé sur Polynésie 1ère le lundi 5 juin, à 19h30, soit trois jours avant la Journée mondiale de l’océan. Une opportunité réelle de toucher le plus grand nombre, et en particulier les jeunes. Nous sommes tous concernés par ce qui touche à la mer qui nous apporte beaucoup dans notre vie. Il permettra également de sensibiliser nos téléspectateurs aux effets du réchauffement climatique sur les océans et l’importance de les préserver. De magnifiques images, des plongées de nuit éblouissantes pour mieux nous rappeler la beauté mais aussi la fragilité de nos récifs."

Avez-vous prévu d'autres programmes spéciaux à l'occasion de la Journée mondiale de l’océan ?

"L’ensemble de nos médias vont couvrir la Journée mondiale de l’océan le 8 juin. Sur internet, par exemple, nous proposons des extraits du documentaire "Tara, l’odyssée du corail" ; notre rédaction télé et radio se fera sans doute l’écho de cette journée spéciale. Et pour tous ceux que cela intéresse, enseignants, chercheurs… le documentaire sera disponible en replay sur notre site internet."



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Le nombre de sans-abris à Los Angeles monte en flèche

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Le nombre de sans-abris à Los Angeles monte en flèche
Los Angeles, Etats-Unis | AFP | mercredi 31/05/2017 - Le nombre de sans-abri dans le comté de Los Angeles a bondi de 23% au cours de l'année écoulée, en dépit des efforts pour enrayer cette crise, selon de nouvelles statistiques publiées mercredi pour l'année 2017.

Au total, 57.794 personnes dorment toutes les nuits dans la rue dans les 88 localités de ce comté, le plus peuplé des Etats-Unis, contre 46.874 en 2016, selon l'Autorité des services pour les sans-abris de Los Angeles (LAHSA).

L'augmentation est tout aussi significative dans la ville de Los Angeles avec 34.189 sans-abris. Un chiffre en hausse de 20%, selon cette étude.

Ce décompte est effectué chaque année pendant trois nuits au mois de janvier. Un autre recensement par les autorités fédérales a lieu tous les deux ans.

"Il n'y a pas de moyen d'adoucir cette mauvaise nouvelle. Il est impossible d'accepter la réalité de ces chiffres", a réagi le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, devant les journalistes, ajoutant qu'une méthode de recensement plus efficace pourrait expliquer une partie de cette hausse.

Les loyers très élevés et le coût de la vie sont selon lui en grande partie responsables de cette crise chronique dont souffre Los Angeles et qui lui a valu le titre peu enviable de "capitale américaine des sans-abris".

"Nous ne pouvons pas laisser les loyers doubler chaque année", a ajouté M. Garcetti, ajoutant qu'il était déçu de voir augmenter le nombre d'anciens combattants sans domicile fixe.

L'augmentation du nombre d'anciens combattants atteint 57% (4.828 personnes), dans le comté de Los Angeles, selon ce recensement de LAHSA.

Ces mauvais chiffres sont dévoilés alors que Los Angeles envisage d'investir plusieurs milliards de dollars pour lutter contre le mal logement par le biais de deux mesures récemment approuvées par les électeurs.

La première, baptisée proposition "HHH", doit générer 1,2 milliard de dollars en obligations pour la construction de 10.000 logements à destination des sans-abris.

La seconde, "H", doit consacrer 3,5 milliards de dollars sur 10 ans à divers programmes en faveur des sans-abris.

"Je ne suis pas découragé par ces chiffres. Nous savions très bien que cette hausse pouvait se produire", a déclaré Mark Ridley-Thomas, le superviseur du comté.

"La bonne nouvelle est que pour la première fois nous avons la capacité de nous y opposer. Imaginez comment nous nous sentirions s'il n'y avait pas eu de mesure HHH (...), s'il n'y avait pas de mesure H. Ce serait une conversation très différente", a-t-il ajouté.

jz/kal/sha

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Climat: des artistes nagent dans un aquarium géant à Times Square

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Climat: des artistes nagent dans un aquarium géant à Times Square
New York, Etats-Unis | AFP | mercredi 31/05/2017 - Des artistes en mouvement dans un aquarium géant: l'arrivée à Times Square de ce "happening" dédié au changement climatique tombe à pic, alors que les Américains attendent d'un jour à l'autre de savoir si Donald Trump va retirer ou non les Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat.

Cet aquarium de 12 tonnes, dans lequel des artistes-nageurs se succèdent et virevoltent dans l'eau dans le cadre d'un projet baptisé Holoscenes, avait déjà été exposé à Londres, puis en Floride et à Toronto (Canada).

Il a pris ses quartiers jeudi et restera jusqu'à samedi sur la célèbre place new-yorkaise, au coeur de Manhattan.

Pour son concepteur, Lars Jan, basé à Los Angeles, Times Square, où passent chaque jour des centaines de milliers de personnes, est l'endroit idéal pour son projet qui vise à sensibiliser le plus de monde possible au réchauffement.

"Je voulais faire bouger 3.500 gallons d'eau le plus possible avec un corps humain parce que je pense que ça remue vraiment les gens", a indiqué l'artiste, soulignant avoir été inspiré par les inondations récurrentes dans le monde.

"Quelles que soient nos convictions politiques, nous devons réfléchir à changer fondamentalement nos habitudes et nous adapter aux réalités de la science du climat", a-t-il ajouté, soucieux de relativiser l'impact de l'administration Trump.

L'installation de l'aquarium s'inscrit dans le cadre du World Science festival, un évènement new-yorkais qui fête cette année son 10e anniversaire avec le climat pour thème principal.

"La science, c'est quelque chose qui devrait unir le monde", a souligné le co-fondateur du festival, Brian Greene, se disant "très perturbé" par la possibilité que les Etats-Unis se retirent de l'accord de Paris.

"Si les gens ne se sentent pas liés par ces idées essentielles, c'est désastreux pour notre avenir".

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Sondage Tahiti Infos: selon vous, qui sera la Miss tahiti 2017?

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Sondage Tahiti Infos: selon vous, qui sera la Miss tahiti 2017?
À ce jour, vous êtes plus de 1 400 à avoir voté pour votre ou vos candidates préférées sur le site Internet de Tahiti Infos. C’est la belle Tehani blanc qui arrive en tête de notre sondage Miss Tahiti (28,3 %). Leslie Timau, Marquises 2017, est deuxième (22,18 %), Tuehu Brothers, Miss Arue 2017, troisième (15,58) et Turouru Temorere arrive en quatrième position (9,18 %). Mais bien sûr, rien n'est joué, tout peut encore changer, et ce sondage ne donne qu'une tendance de l'avis des internautes... La soirée de gala du 10 juin peut encore tout faire basculer et surtout, c'est le 24 juin que se jouera l'élection officielle. En attendant, pour soutenir votre candidate préférée, venez voter pour elle sur le site www.tahiti-infos.com

Pour vous aider à choisir, Tahiti Infos vous propose, dès demain et jusqu’à l’élection, le portrait de chaque candidate.

Ils seront publiés dans notre édition papier aux dates suivantes :
Mareva Domby : jeudi 1er juin
Hina Natua : vendredi 2 juin
Hinatea Blais : mardi 6 juin
Tuehu Brothers : mercredi 7 juin
Kalani Salmon : vendredi 9 juin
Turouru Temorere : mardi 13 juin
Herenui Denouel : jeudi 15 juin
Leslie Timau : vendredi 16 juin
Tehani Blanc : mardi 20 juin
Hania Dinard : mercredi 21 juin

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Le SDR n'est plus, place à la direction de l'Agriculture et à la direction de la Biosécurité

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Le SDR n'est plus, place à la direction de l'Agriculture et à la direction de la Biosécurité
PAPEETE, le 31 mai 2017 - À partir d'aujourd'hui le service de Développement rural n'est plus, il est remplacé par la direction de l'Agriculture et par la direction de la Biosécurité.

À partir d'aujourd'hui, le service du Développement durable (SDR) laisse place à la direction de l'Agriculture et à la direction de la Biosécurité. Mélanie Fourmanoir, directrice du SDR a quitté ses fonctions hier. Elle ne sera pas remplacée, car le SDR disparaît. Le ministère de l'Agriculture a décidé de restructurer son administration et de scinder le service en deux directions : la direction de l'Agriculture et la direction de la Biosécurité avec à leur tête respective Philippe Couraud et Hervé Bichet.

L'arrêté organisant la direction de l'Agriculture stipule que la direction a pour missions de "concevoir, mettre en œuvre, contrôler et évaluer les programmes, les actions, les dispositions réglementaires et les mesures de soutien budgétaire qui : favorisent le développement économique de l’agriculture et de la forêt en contribuant au renforcement des capacités de production durable, de valorisation et d’innovation des filières de production ; contribuent à renforcer l’organisation économique des filières et leur adaptation aux marchés locaux et extérieurs ; participent au développement des archipels en favorisant la mise en valeur des ressources agricoles et forestières de ces territoires."

"La réforme du cadre institutionnel de l’agriculture s’inscrit dans la démarche de modernisation du service public et d’amélioration de la qualité de l’action publique que conduit le gouvernement", explique la présidence, dans un communiqué de presse. Selon nos informations, environ 20 % du personnel du SDR sera rattaché à la direction de la Biosécurité, ils seront localisés au port, à l'aéroport et dans une partie des locaux de la direction de l'Agriculture à Pirae.
Philippe Couraud, le nouveau directeur de l'Agriculture, évoque cette nouvelle direction et les projets qui l'attendent. "C'est le ministère qui détermine les axes directeurs et les lignes de conduite. Cela dit, nous allons renforcer les actions sur le terrain. Il y a vraiment un souci partagé d'être beaucoup plus présents, efficaces et performants sur le terrain parce que c'est là où on nous attend et c'est là où on a été critiqué sur le passé."

L'homme est connu pour son action dans le secteur de l'agriculture biologique, d'aucuns espèrent que cette nomination est le signe d'une meilleure mise en avant du secteur. "L'orientation vers l'agriculture biologique est une tendance, ce n'est pas cela qui a joué. Dans ma carrière, j'ai eu cette période où j'étais responsable de la filière agriculture biologique. J'ai un regard particulier parce que je connais le secteur. C'est une priorité du gouvernement et elle en restera une", explique le directeur de l'Agriculture.

Enfin, le plus gros défi selon Philippe Couraud sera de lancer et mettre en route cette nouvelle direction de l'Agriculture : "Il y a un premier chantier conséquent qui est de mettre en route une nouvelle organisation administrative. Ce sera mon premier chantier, tout en poursuivant les actions c’est-à-dire, mettre en place une nouvelle structure, une nouvelle organisation. Ça va être un travail prenant, après c'est poursuivre les programmes et être plus performant et présents sur le terrain. Il faut que nous soyons efficaces dès mardi, le plus rapidement possible. Comme toujours, nous allons essayer de progresser, de capitaliser sur nos points forts et d'améliorer les points qui étaient à revoir."

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Conférence économique : le privé présente ses doléances au gouvernement

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Conférence économique : le privé présente ses doléances au gouvernement
PAPEETE, le 31 mai 2017 - Les ateliers de la troisième Conférence économique organisée par le gouvernement ont rendu leurs conclusions hier. Les intervenants offrent des conseils pratiques venus du terrain et des propositions de réformes en profondeur. Tous attendent maintenant des actions concrètes.

Certains rapporteurs des ateliers de travail de la troisième Conférence économique organisée par le gouvernement cette semaine ne cachaient pas leur impatience. "Nous avions organisé le même atelier à la deuxième conférence, et les conclusions sont très similaires" explique le rapporteur de l'atelier sur l'entrepreneuriat. "On a beaucoup fait de propositions, on attend maintenant de passer à l'action", assurait le représentant des petits commerces, qui a participé à plusieurs ateliers.

Malgré tout, ces discutions ont engagé les chefs d'entreprise, l'administration, les syndicats, des représentants des secteurs concernés et la société civile dans des conversations en profondeur sur les structures de notre économie. Leurs conclusions ont été rendues hier devant une salle comble à la présidence. Des applaudissements encourageaient les propositions qui font consensus, alors que d'autres rencontraient des rires quand l'audience s'attend déjà à une fin de non-recevoir du gouvernement (comme la proposition de supprimer la taxe sur les surfaces commerciales).

Une mine d'idées

Certains ateliers se contredisaient également. Pour les experts qui ont planché sur la création d'entreprise, l'impôt sur les transactions serait mauvais car déconnecté de la rentabilité d'une entreprise, alors que selon l'atelier sur la compétitivité, c'est un système simple adapté aux entreprises individuelles. Un autre exemple concerne les réformes à effectuer sur le régime de protection sociale des non-salariés : l'atelier sur l'entrepreneuriat préconise de rester au régime de solidarité tant que les revenus sont inférieurs au salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig) alors que l'atelier sur le financement de la protection sociale généralisée (PSG) préconise de faire cotiser tout le monde dès le premier franc.

Dans toutes ces présentations, beaucoup de propositions n'étaient pas nouvelles. De quoi désespérer de la lenteur de l'administration à régler des problèmes qui semblent évidents pour les concernés. Mais, et les participants l'ont noté avec bonne grâce, certains conseils sont parfois suivis d'effets. Suite aux nombreuses plaintes du secteur du bâtiment, des recrutements au service de l'Urbanisme ont permis de réduire le temps d'obtention des permis de construire, validant 150 projets pour 28 milliards de francs. Des fonds importants ont été alloués aux porteurs de projets et des structures d'accompagnement se mettent en place. La création du statut des très petites entreprises fait l'unanimité. Et l'ouverture, très partielle et conditionnelle, du parc foncier du Pays à des projets privés est également une réclamation de longue date des forces vives du Pays. Et si nos ministres cherchaient de nouvelles idées de réformes à faire, ils sont maintenant servis.



Les 5 ateliers

1. Services à la personne : la réflexion a porté sur la réglementation à créer pour établir les responsabilités de chacun et les procédures de formation et d'agrément. Une adaptation du code du travail sera nécessaire (s'occuper d'enfant handicapé dans un centre spécialisé s'accommode mal des règles sur le travail du dimanche, etc). Pour financer l'accompagnement de la fin de vie, l'atelier propose une solidarité territoriale selon les revenus, des participations de la famille et même le prélèvement d'un avoir successoral.

2. Valorisation économique du foncier du Pays : l'atelier est resté sous le choc de "la qualité et de la diversité des avoirs fonciers du Territoire. Pour la première fois on a vu le matelas du Pays." Sa première préconisation : faire une liste publique de ces biens (publics), régler le problème des biens achetés au-delà de leur valeur en les décotant dans les comptes du Pays, et établir une procédure équitable et transparente pour les mettre à disposition de projets privés dans des secteurs biens définis.

3. Cadre de l'entreprenariat individuel : la création d'entreprise reste un parcours du combattant, sauf le régime des très petites entreprises. L'atelier propose de porter à 5 ans l'exonération d'impôt à la création d'entreprise (au lieu de 3 ans dont l'année civile en cours actuellement). Le cadre social du RNS doit aussi être clarifié et simplifié, ainsi que certaines aberrations fiscales, comme sur les plafonds de déclaration à la TVA qui sont différents des autres plafonds. La question des retraités ou salariés qui exercent une activité patentée a aussi été abordée.

4. Fiscalité et compétitivité des entreprises : cet atelier a fait une longue liste à la Prévert des contradictions dans notre fiscalité. On incite les patrons à transmettre leurs entreprises à leurs enfants, et on taxe à 7% cette transmission. On prélève de la TVA sur des biens qui ne sont même pas sortis de douanes. On taxe plusieurs fois les mêmes bénéfices dans une holding (donc il n'y a aucune holding en Polynésie). Les exemptions de TVA sont légions et certaines inexplicables, les PPN n'ont plus aucun lien avec les produits de première nécessité…

5. Fiscalité et financement de la PSG : le gouvernement cherchait des pistes pour financer notre régime de santé. Les intervenants ont proposé une TVA sociale, l'affiliation des expatriés à la CSP, l'élargissement de la CST…


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Le violeur présumé chassait ses proies en van aux arrêts de bus

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Le violeur présumé chassait ses proies en van aux arrêts de bus
PAPEETE, le 31 mai 2017 - Un chauffeur-coursier de 37 ans natif de Huahine est jugé jusqu'à vendredi par la cour d'assises, accusé d'avoir violé ou agressé sexuellement, à Tahiti entre 2011 et 2014, cinq jeunes femmes rencontrées au bord de la route et qu'il avait convaincues de monter à l'arrière de son véhicule professionnel pour les conduire à destination. Il encourt 20 ans de réclusion criminelle.

Les viols dénoncés par les victimes avaient lieu à l'abri des regards, sur la banquette arrière, derrière les vitres teintées du van Suzuki gris mis à disposition de l'accusé par son employeur. Au lieu de transporter comme promis les jeunes femmes jusqu'à leur destination, la course se finissait le plus souvent et de façon plutôt glauque sur le parking du centre hospitalier de Taaone, à Pirae. Certaines jeunes femmes avaient aussi été embarquées par leur agresseur présumé du côté du parc Bougainville à Papeete, à Faa'a et même jusqu'à Tiarei.

Des traces de sperme de l'accusé, mêlées à plusieurs ADN féminins différents, avaient été retrouvées sur des morceaux de tissus prélevés par les enquêteurs dans le véhicule de ce chauffeur-livreur de 37 ans. Les cinq victimes ont réitéré leurs accusations ce mercredi à la barre de la cour d'assises, en ouverture de ce procès qui s'étalera sur trois jours. Non, elles n'étaient pas consentantes, contrairement à ce que suggère maladroitement il faut bien le dire leur agresseur.

Car s'il admet les relations sexuelles, ce trentenaire aux allures de monsieur tout-le-monde, père de famille, en couple depuis 17 ans et inséré socialement, a du mal avec les accusations dont il fait l'objet : "En fait, oui j'ai eu des rapports avec elles", concède-t-il. "Mais sans forcer". "Si elles m'avaient dit non, j'aurai pas fait", ajoute encore ce chauffeur-coursier, 1 m 90 et 155 kilos à l'époque, qui reconnait qu'il draguait ses victimes présumées sitôt qu'elles étaient montées en voiture et tentait même de forcer le destin avec la promesse d'un Mc Do ou quelques billets à la clé. "Si elles refusaient l'argent que je leur proposait, je les déposaient et puis c'est tout".

Des victimes non identifiées ?

Et puis c'est tout ? Pas vraiment, si l'on en croit les déclarations de la première des jeunes femmes à avoir déposé plainte contre lui à la gendarmerie, en octobre 2014 : "Il m'a proposé de me ramener chez moi avant de se dérouter vers le parking du CHPF. Je ne voulais pas. Il m'a imposé un rapport sexuel, il me tenait par les poignets".

Placé en garde à vue, l'accusé alors suspect avait rapidement reconnu les faits, déclarant d'emblée aux enquêteurs "souffrir de pulsions sexuelles". Dans la foulée, il révèle avoir imposé à "11 ou 12 jeunes femmes" des relations sexuelles dans son van depuis 2011. La gendarmerie s'était même fendue quelques mois plus tard d'un appel à témoin dans la presse pour retrouver toutes ces victimes potentielles.

Des jeunes femmes qui, pour certaines, s'étaient faites aborder sans pour autant monter en voiture. Toutes se souviennent d'un homme qui "leur a fait peur" : "Il m'a abordé dans une file d'attente à Bougainville, il m'a suivi jusqu'à la mairie de Papeete, il a disparu et il est revenu en voiture à l'arrêt de bus. Il était obsédé par moi, il voulait absolument m'emmener, j'ai appelé mon père et il a filé quand il est arrivé".

"Il m'a demandé où j'allais, s'il pouvait me ramener, de façon de plus en plus insistante malgré mes refus", se souvient une autre. "Il a commencé à devenir neveux et il a ouvert la porte arrière pour m'inciter à monter, j'ai eu peur". Confrontée à ces deux jeunes femmes, qui l'ont formellement reconnu, l'accusé botte en touche et jure ne pas se souvenir d'elles.

Derrière le mari idéal, un malaise

La femme du coursier, elle, a dressé un portrait idyllique de son tane, "mon gros nounours", "un père aimant et un époux merveilleux" qui "fait tout pour sa petite famille". Elle va le visiter aussi souvent que possible en prison, où il effectue une détention "modèle" selon l'administration pénitentiaire : "Il n'a jamais levé la main sur moi, jamais désagréable, je le connais bien, c'est l'homme qu'une femme voudrait avoir dans sa vie. Tout ce que je demande, c'est qu'il revienne à la maison. Je ne suis pas contre ces demoiselles, mais en l'état actuel je lui pardonne".

Une déclaration d'amour immédiatement contrée par l'accusation : "Madame, vous comprenez que nous ne sommes pas face à un mari infidèle, qui serait juste allé voir des prostituées. On parle de viols ! De quelqu'un qui cherchaient ses proies ! Il y a cinq victimes. Je ne dis pas cela pour vous torturer, mais pour que vous ouvriez les yeux sur la réalité. Je ne suis pas certain que vous ayez perçu toutes les subtilités du personnage".

A l'époque des faits, le couple traversait une période de fortes turbulences. L'accusé, seul garçon d'une fratrie de huit enfants et qui s'était mis en ménage il y a 17 ans avec sa femme et première compagne, s'était mis à boire et à fréquenter des prostituées. "Je commençais à être un peu dragueur", a-t-il reconnu. Le procès s'achèvera vendredi avec une peine maximale encourue de 20 ans de prison.


Le violeur présumé chassait ses proies en van aux arrêts de bus

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Congrès MRH : des ateliers ludiques !

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Les 7, 8 et 9 juin prochains au Méridien Tahiti, le Congrès propose de mettre le développement durable au coeur de la réflexion des managers/dirigeants de notre pays : “Comment construire un futur durable pour les organisations et épanouissant pour les équipes”. Tahiti Congrès affirme qu’il n’y aura pas de développement durable possible sans développement des talents des personnes.

Des tables de discussion
Congrès MRH : des ateliers ludiques !
Le 9 juin les congressistes participeront à un atelier “Tables de discussion”, cette activité permettra aux participants du Congrès de commencer la journée de façon stimulante. Le format : 15 tables aux thèmes différents, 1 animateur/trice par table et 10 à 12 personnes par table. Un principe : il n'y a pas de réservation à l’avance, il suffit de se présenter et de se rendre à la table qui intéresse. Le nombre de places étant limité, le principe du premier arrivé, premier servi sera appliqué.
Ce format permet ainsi de cultiver son réseau tout en échangeant avec des pairs qui partagent les mêmes intérêts et défis.

D'après un communiqué de Tahiti-congrès.

Congrès MRH : des ateliers ludiques !
Voici les thèmes qui vont être abordés et les intervenants qui animeront chacune des tables :

1. Mme Geneviève FORTIER, Fellow CRHA, Vice-Présidente Ressources Humaines, communication corporative et affaires gouvernementales chez Mc Kesson Canada ; thème abordé : "Le leadership au féminin, une composante essentielle du développement durable"
2. M. Sylvain TOUTANT, Président de David's Tea ; thème abordé : "Le développement durable composante intégrée de la gouvernance d'entreprise"
3. M. Yvon CHOUINARD, Coach exécutif et chef de pratique pour le Groupe Pauzé de Montréal; thème abordé : " Le leadership collaboratif pour une relation de travail durable "
4. M. Serge PANCZUK, DRH Edwards Lifesciences, Californie ; thème abordé : " Le rôle de la DRH au service du développement durable "
5. Pr. Jacques FOREST, Ph. D, psychologue et CRHA, professeur à l’École des Sciences de Gestion de l’UQAM, Montréal ; thème abordé : "Manager par les forces, un must du développement durable ?"
6. Jean-François BONNES, Directeur Groupe, Numérique, Publicis, Montréal ; thème abordé : "Le digital dans la communication d'une entreprise responsable"
7. Mme Marielle THOMAS, conteuse d'histoire et tricoteuse de relation client chez IMA Technologies, France : "Comment le rôle de l'encadrement évolue pour construire et entretenir la confiance dans l'entreprise libérée ?"
8. Mme Valentine URVOY, Directrice des Richesses Humaines chez IMA Technologies, France ; thème abordé : "Le rôle de la DRH pour construire et entretenir la confiance chez les équipes"
9. M. Christian VANIZETTE, Co-fondateur de MakeSense, connecteur d'entrepreneurs sociaux; thème abordé à préciser : " L'économie collaborative au service des objectifs du développement durable "
10. M. Olivier SCHMOUKER, Journaliste, Magazine "Les Affaires", Montréal ; thème abordé : "Regards croisés sur l'entreprise et le développement durable au Québec et à Tahiti"
11. Mme Manihi LE FOC, Dirigeante d'Asaé Conseil ; thème abordé : "Santé et bien-être dans une perspective durable"
12. Pr. Geneviève MAGEAU, PH. D, psychologie, Professeur à l'Université de Montréal ; thème abordé : "L'équilibre travail / famille pour une société durable"
13. Mme Hinatea COLOMBANI, Directrice chez Centre culturel et artistique 'Arioi' à Papara ; thème abordé : "La tradition et la culture au service de l'expérience durable"
14. Mme Nathalie de HEAULME, directrice d'Intérieur Design Tahiti ; thème abordé : "Design et aménagement des locaux et impact sur le bien-être et la performance durable"
15. M. Olivier TOUBOUL, Directeur du Laboratoire de Cosmétologie du Pacifique Sud, EPER ; thème abordé à préciser : " Le club des entreprises polynésiennes eco-responsables (EPER) au service du développement durable "

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