Quantcast
Channel: TAHITI INFOS, les informations de Tahiti
Viewing all 46439 articles
Browse latest View live

Rikitea : l'audience du père violent renvoyée au 8 décembre

$
0
0
Rikitea : l'audience du père violent renvoyée au 8 décembre
PAPEETE, le 17 novembre 2016 - Le 13 novembre, à Rikitea, un quadragénaire fortement alcoolisé a été interpellé pour avoir rossé son fils de six ans.

Le père de famille était en état récidive légale pour avoir commis des faits similaires sur un adulte en mai 2013. Présenté à la justice ce jeudi dans le cadre d'une comparution immédiate, l'homme a demandé au président plus de temps pour préparer sa défense. Son avocate a aussi exprimé le souhait d'ordonner une expertise psychiatrique pour son client.

La demande du prévenu et de son avocate a été acceptée. L'affaire est renvoyée au 8 décembre. En revanche, la demande d'expertise n'a pas été jugée nécessaire par le tribunal.

Dans l'attente du jugement, le quadragénaire est maintenu en détention.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Emplois fictifs : le pays attendra pour ses dommages et intérêts

$
0
0
Emplois fictifs : le pays attendra pour ses dommages et intérêts
PAPEETE, le 17 novembre 2016 - Les avocats ont obtenu, ce jeudi, un nouveau renvoi de l'audience d'appel sur les intérêts-civils réclamés par la Polynésie française aux 18 personnalités condamnées dans l'affaire dite des emplois fictifs.

"Ce renvoi sera le dernier", a solennellement averti le président de la cour d'appel de Papeete, ce jeudi après-midi, avant de fixer la date de la prochaine audience. Ce sera le 4 mai 2017. Et la cour promet qu'elle rejettera cette fois quoi qu'il arrive toutes les conclusions d'avocats qui seraient déposées après le 23 mars prochain. "J'ai comme l'impression que personne, à part la cour, n'a vraiment envie d'en finir avec ce dossier", a gentiment ironisé le juge Dominique Pannetier, président de la chambre des appels correctionnels.

Septième renvoi

C'est la septième fois, en un peu plus de deux ans, que cette audience est renvoyée. Elle doit déterminer à quelle hauteur les 18 personnalités définitivement condamnées dans le dossier des emplois fictifs, Gaston Flosse en tête, devront indemniser la collectivité de la Polynésie française. Cette fois, c'est l'avocat du Pays qui a déposé d'ultimes conclusions visant à ramener à 420 millions de francs la somme que la collectivité entend leur réclamer solidairement.

En juin 2015, ce préjudice matériel et moral pour la Polynésie avait été chiffré à 1, 2 milliards de francs, sur la base d'un calcul demandant le remboursement de l'intégralité des salaires perçus par les mis en cause sur toute la période visée. La défense estimait le raisonnement excessif, défendant l'idée que leurs clients avaient malgré tout bien fourni un travail au service du pays à un moment ou à un autre.




Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

SUP « Fiji ISA World Championship » : Georges Cronsteadt sur le podium

$
0
0
Jeudi 17 Novembre 2016 – Les championnats du monde ISA de Stand Up Paddle se déroulent actuellement à Fiji. Seul représentant Tahitien inscrit, Georges Cronsteadt a atteint son objectif en montant sur le podium et en décrochant la médaille de bronze de la « Distance Race » de 17 km. Il se contente de la 19 ème place à la « Technical Race ».
SUP « Fiji ISA World Championship » : Georges Cronsteadt sur le podium
C’est l’Australien Miachel Booth qui s’impose, tandis que le français, Titouan Puyo (qui avait fini 3ème à la Air France Paddle Festival en Mai dernier) prend la seconde place. Georges Cronsteadt était encore à la quatrième place à 3 kilomètres de l’arrivée, mais il a fait une remontée impressionnante pour atteindre la troisième place. C’est un objectif qu’il s’était fixé et qu’on vous évoquait dans son portrait de la semaine dernière.

Une 19ème place au classement final de la « Technical Race ». Après une cinquième place en demie-finale, Georges Cronsteadt n’a pas pu se qualifier pour la dernière partie de la course. Une course qui est très compliquée à cause des passages dans les vagues et des nombreux virages.

Interview :

Quelles sont tes impressions pour cette fin de compétition?
« Très content vu que mon objectif était de faire un podium, même si c’est la première place que je visais. »

Quelles étaient les conditions ?
« Pour ma part, j’espérais avoir du vent pour la descente mais ce n’était pas le cas. Nous avons eu une mer très calme et du courant fort de face durant tout le trajet. »
Quels ont été tes points forts face à des adversaires comme Mickael Booth ou encore Kai Lenny ?
« Mes points forts étaient les petits clapots formés par le courant qui m’ont permis de rester parmi les trois premiers malgré une mer calme. On se chevauchait avec Kai, mais Mickael était largement supérieur à nous tous. »

Comment est l’ambiance ?
« Au sein de l’équipe, il y a une très bonne ambiance on se soutenait les uns les autres pour que tout aille pour le mieux ! Autrement, c’est la fin de la compétition pour moi donc je relâche la pression, mais il reste encore Poenaiki qui part pour re-décrocher son titre de champion du monde en SUP-Surf donc on le soutient jusqu’au bout. »

As-tu hâte de revenir parmis les tiens ?
« Bien-sûr j’ai hâte de retrouver ma petite famille et mes habitudes de tous les jours avec mes potes ! Mais aussi pour le travail, car la population de Mataiea attend sûrement du courrier LOL. »
Doit-on s’attendre à une dernière course avant la fin de l’année ?
« Oui mais sans pression ni objectif. Je souhaite juste profiter d’être là avec tout le monde le 10 décembre pour la course entre Teahupoo et Papara. »

As-tu des remerciements ?
« Merci à ma petite famille qui m’a guidé jusqu’au podium. Merci à mes managers, ma femme Heilani et notre amie Stéphanie Chin Foo qui n’ont rien lâché malgré tous les obstacles et sans qui je ne serais pas là à Fiji. Un grand merci aux sponsors qui ont cru en moi: Air Tahiti Nui, American Express, Roberto Gym, 425pro, Noni Energy, STC nutrition, E.Pugibet, Matarai, Randall, Stanley, Dale, et tous ceux qui souhaitent rester dans l’anonymat. Merci à mes amis et à ceux qui m’ont soutenu, merci pour vos messages, ça m’a beaucoup touché et donné du mana. Voila, j’espère avoir représenté au mieux nos couleurs à l’international. Mauruuru tatou pauroa ! »

Suivez l’actualité sportive de nos Aito à l’international sur www.sportstahiti.com.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

La société néerlandaise Mars One présente un projet de combinaison martienne

$
0
0
La société néerlandaise Mars One présente un projet de combinaison martienne
LA HAYE (AFP) - La société néerlandaise controversée Mars One, qui veut envoyer des pionniers vers Mars en aller-simple d'ici 10 ans, a présenté mardi son premier concept de combinaison martienne qui devra permettre aux colons d'effectuer les tâches nécéssaires à leur survie dans des conditions "extrêmement difficiles".
La combinaison devrait "utiliser au maximum les ressources martiennes" mais a encore besoin de nombreuses heures de travail pour offrir une solution face à la poussière rouge omniprésente sur la planète, a affirmé la société dans un communiqué.
La combinaison devra durer plus longtemps que toutes les combinaisons développées pour l'instant, en tenant compte "de la nature unique du projet".
La combinaison devra de plus être composée d'éléments interchangeables, empêcher les radiations et accommoder de nombreuses tailles pour diminuer les transports jusqu'à la planète rouge. Le but est de diminuer et faciliter toute maintenance.
En embarquant avec eux des imprimantes 3D, les colons pourraient de plus imprimer certaines parties à remplacer, comme des boulons, des écrous ou même certains textiles nécessaires à la composition de la combinaison.
Alors qu'environ 200.000 personnes originaires de 140 pays s'étaient inscrites à ce projet, qui veut notamment se financer par des émissions de télévision, 24 devraient être sélectionnées pour aller s'installer sur Mars, répartis en six groupes de quatre personnes.
Mars One prépare sa première mission non habitée pour 2018, comme le fondateur de la société aérospatiale californienne SpaceX et milliardaire Elon Musk.
Les premiers colons de la société néerlandaise devraient faire leur aller simple pour la planète rouge à partir de 2026, les équipes suivantes partant à 26 mois d'intervalle.
Sans retour possible, ils devront vivre dans de petits habitats, trouver de l'eau, produire leur oxygène et cultiver leur propre nourriture.
Jusqu'à présent, il n'y a eu que des missions robotiques sur Mars, menées avec succès par la Nasa, mais les Etats-Unis veulent envoyer des astronautes sur cette planète d'ici une vingtaine d'années. 

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Climat: les îles Fidji organiseront la COP23 en 2017

$
0
0
Climat: les îles Fidji organiseront la COP23 en 2017
Les îles Fidji seront les organisateurs de la 23e conférence de l'Onu sur le climat, qui devrait exceptionnellement avoir lieu à Bonn (Allemagne) fin 2017, ont annoncé vendredi la présidence marocaine de la COP22 et les autorités fidjiennes.
La COP23 se déroulera en Allemagne pour des raisons logistiques, l'archipel du Pacifique n'étant pas en mesure d'accueillir 15 à 20.000 personnes sur un seul site et de les loger à proximité.
Bonn est le siège du siège de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), sous l'égide de laquelle se déroulent les négociations internationales entre plus de 190 pays. 
"C'est une grande responsabilité pour un petit Etat insulaire", a déclaré à la presse Frank Bainimarama, le Premier ministre fidjien, au dernier jour de la COP22 à Marrakech.
En tant que "petit Etat insulaire du Pacifique, nous avons besoin de montrer au monde les problèmes que nous traversons", a poursuivi le responsable fidjien, en faisant le lien entre "changement climatique et développement".
A ses côtés, Salaheddine Mezouar, le président de la COP22, a souligné que c'était "la première fois qu'un petit Etat insulaire, un Etat du Pacifique organise une COP".
Fidji "trouvera auprès du Maroc toute l'assistance et le soutien nécessaires pour faire en sorte que la COP23 soit à la hauteur de toutes les attentes" et puisse "poursuive la dynamique de Marrakech pour orienter les COP vers l'action et la mise en œuvre concrète de l'accord de Paris", a-t-il assuré.
Les petits Etats insulaires sont particulièrement exposés aux conséquences du changement climatique comme la hausse du niveau des océans et l'accentuation de certains phénomènes météorologiques extrêmes.  
La COP22, qui a tenté de progresser dans l'application de l'accord de Paris scellé il y a moins d'un an, doit clore ses travaux vendredi.
L'aide financière aux pays en développement pour s'orienter vers un modèle sans énergies fossiles, en particulier le charbon, et pour se protéger des impacts du réchauffement (sécheresses, inondations, hausse du niveau des océans, etc.) était encore vendredi au coeur des discussions. 
Dans l'accord de Paris, la communauté internationale s'est fixée comme objectif de contenir la hausse du thermomètre mondial "bien en dessous 2°C" et de revoir à la hausse les engagements des pays, actuellement insuffisants pour respecter cette limite préconisée par les scientifiques.
avec AFP

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Un homme met le feu dans une banque australienne: 26 blessés

$
0
0
Un homme met le feu dans une banque australienne: 26 blessés
Vingt-six personnes ont été blessées, dont certaines grièvement, lorsqu'un homme a mis le feu pour des raisons indéterminées à une agence bancaire australienne.
Selon la police, l'homme est entré dans une succursale de la Commonwealth Bank à Springvale, dans la banlieue de Melbourne, muni d'un liquide inflammable.
D'après les médias, le suspect s'est aspergé avec le liquide avant d'être englouti par les flammes, une version qui n'a toutefois pas été confirmée.
"Il avait un genre de liquide inflammable sur lui. Et d'une manière ou d'une autre, ce liquide a été enflammé à l'intérieur de la banque", a déclaré l'inspectrice Jacqui Poida.
Le mobile n'était pas connu. D'après Mme Poida, il est trop tôt pour évoquer une attaque terroriste.
Selon les services d'urgence, six blessés sont dans un état grave, dont apparemment le suspect qui a été hospitalisé.
Lorsque les pompiers sont arrivés sur les lieux, les portes de la banque étaient fermées. "Vous pouvez voir l'intérieur de la banque, qui est toute noircie", a déclaré un porte-parole des services de secours, Paul Carrig. "Il a dû y avoir beaucoup de flammes au début, et beaucoup de fumée", a-t-il dit.
Un témoin, Ashley Atkin-Fone, a raconté avoir entendu "une forte explosion. Un gosse est sorti en courant, brûlé, il hurlait, il y avait du sang partout", a-t-il raconté au Herald Sun. 
Il a expliqué avoir saisi un extincteur dans un magasin proche et s'être précipité dans la banque pour éteindre l'incendie: "c'est l'instinct qui a parlé".
La Commonwealth Bank, la plus grande banque d'Australie, a annoncé que son agence resterait fermée pour la journée.

avec AFP

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Nickel/Calédonie: le Brésilien Vale voit le prêt de la France comme un répit

$
0
0
Nickel/Calédonie: le Brésilien Vale voit le prêt de la France comme un répit
Le groupe brésilien Vale a estimé vendredi à Nouméa que le prêt de 200 millions d'euros du gouvernement français à son usine métallurgique de nickel en Nouvelle-Calédonie était un répit, qui a diminué le risque de fermeture.      
"S'il n'y avait pas eu ce prêt, il y aurait eu un plus grand risque de fermeture de nos opérations, mais ce risque existe toujours", a déclaré à la presse Darius Khoshnevis, directeur général de Vale Nouvelle-Calédonie. "Cet argent dont nous devrions disposer en fin d'année si le parlement valide le prêt servira à équilibrer notre cash-flow", a-t-il ajouté.       
Début novembre, dans une décision rarissime en faveur d'un groupe étranger, Bercy annoncé l'octroi au géant brésilien d'un prêt de 200 millions d'euros pour l'aider à faire face aux grandes difficultés de son usine à Goro, au sud de l'archipel français, qui emploie directement 1.400 personnes.        
Confronté à des problèmes techniques et à la baisse des prix du nickel, Vale-NC a perdu 39 millions USD au troisième trimestre 2016 et ses pertes annuelles devraient approcher, selon la direction, les 150 millions USD.       Les efforts de réduction de coûts, moins 100 millions USD en 2016, ont toutefois été payants.       
"Notre coût de production est passé entre 2015 et 2016 de 21.000 dollars la tonne de nickel à 12.500 dollars cette année. Nous allons continuer dans cette voie pour arriver à 11.000 dollars en 2017", a déclaré le dirigeant de Vale-NC.        
Le cours du nickel, qui doit sa baisse à des stocks trop volumineux et au repli de l'économie chinoise, se situe actuellement autour de 10.400 dollars la tonne.        
En terme de production, Vale-NC devrait atteindre 37.000 tonnes cette année et vise 43.000 tonnes en 2017. La capacité nominale de 54.000 tonnes annuelles est espérée pour 2019. L'unité hydrométallurgique produit également du cobalt (843 tonnes au 3é trimestre 2016).       
Darius Khoshnevis a également indiqué que Vale-NC avait démarré "la construction de l'usine de démonstration" pour le stockage à sec des résidus du complexe industriel. Evalué à 450 millions USD, le coût de l'usine finale de stockage n'a pas encore été validé par Vale.        
Il a en outre déclaré que Vale était en quête d'un "autre associé pour se substituer" au Japonais Sumic, qui s'est retiré du projet en mars de cette année. Les collectivités calédoniennes détiennent 5% du capital. 

avec AFP

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Vélos volés cherchent propriétaires

$
0
0
Vélos volés cherchent propriétaires
PAPEETE, le 18/11/2016 - La Direction de la sécurité publique (DSP) lance un appel aux personnes qui se sont faites volées leurs vélos entre 2012 et 2016, sur les secteurs allant de Faa'a à Mahina, à se faire connaitre au plus tôt. Les fonctionnaires de police ont en leur possession, une quarantaine de vélos qui ont été volés. Si vous êtes concernés, rendez-vous à la DSP avec un justificatif et demandez Matahi Toofa.

Une quarantaine de vélos volés attendent d'être restitués à leurs propriétaires. Ces vélos auraient été dérobés entre Faa'a et Mahina, de 2012 à 2016.

Aujourd'hui, les fonctionnaires de police lancent un appel aux victimes de vols à se faire connaitre. "Ils doivent présenter un justificatif, une facture avec une pièce d'identité. Ils doivent venir à nos bureaux et je me tiens à leur disposition, du lundi au vendredi de 7h30 à 12 heures et de 13h30 à 17 heures", explique Matahi Toofa, de la DSP. "Nous avons à notre disposition des factures et nous attendons que les propriétaires se manifestent. Dans la plupart des cas, ces vélos ont été volés, mais il arrive aussi que les propriétaires des vélos n'aient pas déposé plainte parce qu'ils se disent, qu'ils ne les retrouveront jamais", poursuit-il.

Si personne ne se manifeste, "nous demanderons au Parquet de les détruire, ce qui serait dommage. L'idée de vendre les vélos aux enchères ou de faire un don aux associations, ce serait préférable plutôt que de les détruire. Mais ce n'est pas à moi à décider."

"Les propriétaires ont un an normalement pour se faire connaitre, mais nous avons des vélos qui sont là depuis 2-3 ans, ainsi que des scooters. Je m'efforce de retrouver les propriétaires parce que je sais qu'ils seront contents de les récupérer", dit Matahi Toofa.

Et si vous n'avez pas de factures, vous avez une autre possibilité : vous pourrez présenter des photos de vous avec votre vélo.

"Depuis décembre 2015, grâce à nos recherches à partir de nos terminaux et de nos réseaux, nous avons pu rendre une soixantaine de vélos à leurs propriétaires. Ils étaient contents, et le fait de les voir heureux c'est une satisfaction personnelle aussi", conclut Matahi Toofa.



Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Papara accueille le 8e Forum du Patrimoine foncier polynésien

$
0
0
Papara accueille le 8e Forum du Patrimoine foncier polynésien
PAPEETE, 18 novembre 2016 - L’association "Terres et générations retrouvées" organise ce samedi le 8e Forum du Patrimoine foncier polynésien, de 8 heures à 16 heures à la mairie de Papara.

Le rendez-vous est donné dans la salle de la Maison pour tous. Huitième du genre depuis 2013, ce forum ambitionne d'offrir à la population confrontée aux difficultés de tous ordres dans les affaires de terres, des informations utiles pour permettre à chacun de comprendre les démarches à entreprendre en vue de résoudre au mieux les problématiques foncières.

Cette question prévoit d'être abordée du point de vue juridique et technique, grâce à la présence d'intervenants à la disposition des auditeurs.

L'entrée du forum est gratuite pour tous les adhérents de l’association "Terres et générations retrouvées" (ATGR). L’adhésion à ATGR coûte 2 000 Fcfp par an et donne droit à l'accès à tous les forums organisés durant l’année. Pour les non adhérents, l’entrée au forum est de 500 Fcfp par personne.

Papara accueille le 8e Forum du Patrimoine foncier polynésien

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Exposition "Carpe Diem" : l'artiste Gaya en mode X

$
0
0
Exposition
PAPEETE, le 18 novembre 2016 - L'artiste, adepte d'extrême, récidive avec sa nouvelle exposition à la thématique inhabituelle : la pornographie. Du 22 au 26 novembre, découvrez une vingtaine d'œuvres pour adultes à la salle Muriavai de la Maison de la culture.


"Âmes sensibles s'abstenir, strictement interdit aux moins de 18 ans", peut-on lire en bas de l'affiche qui annonce la nouvelle exposition d'Anthony Gaya. Le ton est donné. Le visuel est aussi plutôt explicite : quatre jambes féminines, habillées de talons à aiguilles, forment un X… Vous voilà prévenus ! Avec comme fil rouge la philosophie épicurienne "Carpe Diem" ("Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain"), les créations de l'artiste sont clairement à tendance érotique, voire pornographique. Ce qu'il assume totalement : "C'est un thème inédit en Polynésie et graphiquement, c'est très intéressant. Il n'y a pas vraiment d'images crues, ce n'est pas non plus agressif. Ne vous attendez pas à voir un gros plan sur un coït, rassurez-vous ! En fait, c'est simplement suggéré. Je m'amuse."

Dès demain, les visiteurs de la salle Muriavai de la Maison de la culture pourront ainsi découvrir une vingtaine d'œuvres réalisées dans différents formats (jusqu'à deux mètres) et sur plusieurs supports. Gaya rapporte : "Je présenterai des sculptures en nacre, os, bois, résine, silicone… mais aussi des dessins et des peintures, surtout à l'huile. Je n'ai pas de style arrêté. Certaines créations sont des clins d'œil à Paul Gauguin ; d'autres sont inspirées d'Henri Matisse avec des gouaches découpées, etc. Parmi les surprises : une sculpture en bois polychromé et un tifaifai, qui relève de la psychiatrie. (Rire) Mais je ne peux rien révéler de plus, il faut que le public vienne voir de ses propres yeux. Aussi, pour faciliter la compréhension de mon travail et ne pas m'attirer les foudres de certains, j'ai pris le soin d'ajouter des textes explicatifs qui accompagnent mes œuvres les plus décalées."

Exposition
UN ARTISTE AUTODIDACTE ET MULTIDISCIPLINAIRE

Autodidacte et artiste multidisciplinaire, Gaya donne des cours d'arts plastiques à domicile, dans la commune de Pirae, ainsi qu'au Méridien Tahiti, à Punaauia. Une passion qui l'anime depuis sa plus tendre enfance : "Déjà gamin, on me demandait de lâcher mes feutres et ma gouache que je ne quittais plus." Originaire de Versailles, en région parisienne, il a bien roulé sa bosse, en travaillant notamment "huit ans aux États-Unis et trois ans au Japon, sans compter de nombreux voyages ici et là". Arrivé au fenua fin 2003, il s'est fait remarquer dès l'année suivante avec son fameux "Christ bleu". Il se souvient : "Cela a fait pas mal grincer des dents… Mais pour moi, c'est ma Joconde ; après ça, je peux mourir tranquille."

Il a présenté en outre plusieurs expositions personnelles et collectives sur Tahiti, en plus de quelques œuvres qu’il a réalisées et installées à New York en 2011 pour commémorer les dix ans des attentats du World Trade Center. Au cœur de sa démarche artistique, des thèmes toujours très forts : les problèmes de drogue ou d'alcoolisme, les marae, les enfants, etc. D'ailleurs, il prépare d'ores et déjà une exposition à caractère international pour 2017 : "Les sujets seront plus vastes, et ce sera encore plus provocant et extrême. Je parle de ce qui m'entoure, de mon quotidien."

Exposition
UN CONTRÔLE À L'ENTRÉE DE LA SALLE MURIAVAI

Vous l'aurez compris, "Carpe Diem" est donc une exposition artistique pour adultes ; âmes sensibles s’abstenir, esprits curieux et ouverts, venez nombreux. Attention, en raison du thème de l’exposition, un filtrage sera mis en place à l’entrée de la salle Muriavai et les cartes d’identité pourront être demandées afin de ne pas laisser entrer de mineurs. Pour rendre les visites plus fluides et pouvoir bien contrôler qu'il n'y ait pas de photos prises par le public, il n'y aura pas de cocktail offert et des groupes de quinze personnes seront effectués.

Infos pratiques

Du 22 au 26 novembre
De 9 à 17 heures (midi le samedi)
Salle Muriavai
Entrée libre
Interdit aux moins de 18 ans
Contact : 40 544 544 / www.maisondelaculture.pf

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Une nouvelle salle de musculation pour les mūto'i de la DSP

$
0
0
Une nouvelle salle de musculation pour les mūto'i de la DSP
PAPEETE, le 18/11/2016 - Financée à près de 2,6 millions de francs par les policiers eux-mêmes, cette nouvelle salle de musculation leur permettra de maintenir une condition physique adéquate pour l'exercice de leur fonction. Situé à l'arrière des locaux de la Direction de la sécurité publique, ce nouvel espace accueillera l'ensemble du matériel nécessaire à cette pratique sportive. Pour l'heure, seuls quelques appareils ont été livrés.

Situé à l'arrière des locaux de la Direction de la sécurité publique (DSP), ce nouvel espace, qui a été inauguré ce vendredi matin, a été aménagé sur les fonds propres des mūto'i. "On a établi des devis et on a réparti les coûts sur les personnes qui voulaient bien investir", explique Johan Tehihipo, initiateur du projet. "On parle de musculation, bon ce n'est pas forcément pour être musclé et tout, c'est surtout pour se maintenir en bonne santé. Surtout dans les métiers comme le nôtre. Les policiers, pompiers et gendarmes doivent avoir une condition physique parfaite pour pouvoir tenir le rythme", poursuit-il.

Pour aménager et équiper les lieux, chaque agent a dû cotiser 35 000 francs pendant quatre mois. "On a monté le projet d'abord avec un collègue, nous avons eu aussi le soutien de l'association sportive de la Police Nationale. Ensuite, nous avons sondé le personnel, pour voir combien de mūto'i seraient intéressés par ce projet. Nous avons réussi à fédérer plus de 85 personnes", précise Johan Tehihipo.

"Avant, on se débrouillait comme on pouvait. Certains emmenaient les poids qu'ils avaient chez eux. D'autres s'entrainaient déjà en salle, mais il faut payer les abonnements. Donc, ce projet est de rendre accessible ce sport à tous les fonctionnaires et à moindre coût surtout", prévient le mūto'i.

"La DSP ne pouvait pas financer parce que c'est l'Association Sportive de la Police Nationale (ASPN) qui a demandé à bénéficier de cela. Normalement, ce n'est pas une obligation pour les hôtels de police d'avoir une salle de musculation. Par contre, on a une obligation d'avoir une salle de gestes et techniques professionnels d'intervention. Donc, j'ai bien sûr donné mon accord et faciliter la mise en place de la salle de sport. Mais c'est vraiment une initiative des fonctionnaires et c'est très bien comme ça", indique François Perrault, directeur de la DSP.

Pour l'heure, la salle n'est pas complètement aménagée. "Là, on a le strict minimum, mais on attend encore des vélos et des rameurs pour la partie cardio. On devrait encore recevoir trois vélos, deux rameurs et une presse pour faire travailler les jambes. On continuera à économiser pour acquérir d'autres appareils, comme des tapis de course, etc", prévient Johan.

La salle de musculation devrait être ouverte tous les jours de la semaine 24h/24.

Une nouvelle salle de musculation pour les mūto'i de la DSP
La salle de dojo a aussi été inaugurée vendredi

L'ancien local du matériel de la DSP et le réfectoire de la section d'intervention laisse place au nouveau dojo de l'établissement. Les agents pourront s'entrainer sur une superficie de 32 m². "On aura une cinquantaine de personnes chaque semaine, sans compter les heures non ouvrables, où certains mūto'i qui pratiquent du yoga, donneront des formations entre 12 heures et 13h30", explique Aldo Tauihara, formateur.

"Dans la salle de dojo, nous avons des techniques particulières de la police nationale que nous mettons en place et que nous diffusons au sein de nos effectifs, ça n'a rien à voir avec les disciplines que l'on retrouve dans le civil. Tout est mis en œuvre parce que devant nous, il y a des délinquants. Nous devons quand même les respecter et nous devons tout faire pour ne pas les blesser", poursuit-il.

Pour l'inauguration de ce nouveau local, les agents ont fait quelques démonstrations. "Nous avons fait ce matin, une interpellation d'individu", explique Ruben Tehoiri, 29 ans, agent de police de la section d'intervention. Un environnement essentiel pour les mūto'i de la DSP, même si à Tahiti, ils n'ont pas forcément besoin d'utiliser la force. "Personnellement, les interventions ne sont pas trop difficiles, par rapport à la France, parce que les gens sont assez respectueux, même les caïds. Il suffit de bien discuter avec les personnes", commente Ruben.

Le dojo sera ouvert deux à trois fois par semaine, durant deux heures.


Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

22 jeunes des quartiers prioritaires de Papeete récompensés ce vendredi

$
0
0
22 jeunes des quartiers prioritaires de Papeete récompensés ce vendredi
PAPEETE, le 18/11/2016 - Ils ont démarré une formation en chantier de développement local jeune (CDLJ), le 1er août. Divisés en deux groupes, certains étaient sous la houlette d'Api Formation tandis que les autres se trouvaient chez Rima Here à Faa'a. Ce vendredi, l'ensemble des stagiaires ont reçu leurs attestions de fin de formation. Une initiative qui a porté ses fruits puisque quelques jeunes repartent avec des CAE en poche.

L'ambiance était plutôt détendue, ce vendredi matin à Api Formation et à Rima Here, à Faa'a. Depuis le 1er août dernier, 22 stagiaires issus de quartier prioritaires de Papeete ont suivi une formation en chantier de développement local jeune (CDLJ), qui s'est terminée ce vendredi.

Onze jeunes étaient à Api Formation pour tout apprendre sur la transformation et la valorisation des produits locaux, tandis que les autres se trouvaient à Faa'a, chez Rima Here pour apprendre la transformation des bois de palettes.

Après quatre mois de formation, ces jeunes ont acquis une expérience qui pourra les aider dans leurs recherches d'emploi. Pour les féliciter pour leurs investissements, le SEFI et le Pôle emploi formation et insertion de la mairie de Papeete ont procédé à la remise des attestations de fin de formation, ce vendredi.

Selon la municipalité, le bilan est plutôt positif au final puisque "trois démarreront un Contrat d'accès à l'emploi (CAE) Rénové, le 21 novembre au CFPA de Pirae, dans la filière "Installateur en Sanitaire, Climatisation et Energie Renouvelables" (ISCER). Toujours en CAE Rénové, quatre autres stagiaires commenceront dès le 12 décembre, au CFPA de Punaruu, dans la filière maçonnerie. Un jeune a intégré le RSMA le 5 octobre dernier et deux autres suivront une formation de remise à niveau au SEFI. Les autres jeunes restants devront attendre en février pour suivre des formations au sein du CFPA de Pirae".

22 jeunes des quartiers prioritaires de Papeete récompensés ce vendredi

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Débits erronés : la Banque de Tahiti annonce la résolution du problème

$
0
0
Débits erronés : la Banque de Tahiti annonce la résolution du problème
PAPEETE, 18 novembre 2016 - La Banque de Tahiti annonce "la résolution du problème portant sur quelques opérations par carte bancaire de clients de divers établissements" après confirmation auprès des établissements bancaires locaux.

Comme nous l'annoncions mercredi, 321 clients de l'établissement au tiare ont eu la mauvaise surprise, depuis début novembre, de constater des sommes imputées à leur compte courant 100 fois supérieures à l'achat qu'ils avaient payé par carte.

> Lire aussi : Grosse erreur de la banque en votre défaveur

"Il est à préciser que l’ensemble des clients a été remboursé des sommes indûment prélevées", indique un communiqué publié vendredi après-midi par la Banque de Tahiti. "Ce dysfonctionnement, indépendant de la volonté de Banque de Tahiti, a néanmoins occasionné une gêne pour les clients impactés et la Banque de Tahiti tenait à s’en excuser. Pour plus d’informations, chaque client concerné pourra se tourner vers sa banque ou vers son conseiller".

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

L'Asie-Pacifique cherche à endiguer le tsunami protectionniste Trump

$
0
0
L'Asie-Pacifique cherche à endiguer le tsunami protectionniste Trump
Lima, Pérou | AFP | vendredi 18/11/2016 - Les dirigeants de la zone Asie-Pacifique ont été exhortés vendredi à résister à la vague protectionniste qui touche l'Amérique, en particulier avec l'élection de Donald Trump aux États-Unis.

"Aux États-Unis et en Grande-Bretagne (avec la victoire du Brexit, ndlr), le protectionnisme est en train de prendre le dessus. (...) Il est essentiel que le commerce mondial se développe à nouveau et nous devons vaincre le protectionnisme", a lancé le président du Pérou Pedro Pablo Kuczynski en inaugurant à Lima la réunion annuelle de l'Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (Apec).

"Toute personne voulant promouvoir le protectionnisme devrait relire l'histoire économique des années 30", a-t-il souligné.

Donald Trump a su capter la colère d'un électorat populaire laissé sur le banc de touche de la mondialisation en promettant un tour de vis protectionniste censé protéger l'emploi américain de la concurrence low-cost chinoise ou mexicaine.

Le magnat milliardaire de l'immobilier a en particulier fustigé pendant sa campagne le "terrible" Partenariat transpacifique (TPP) conclu en 2015 sous l'impulsion de l'administration Obama, mais dont la ratification par Washington semble désormais hautement compromise.

Barack Obama, qui cèdera le pouvoir le 20 janvier, a fait vendredi ses adieux aux dirigeants européens avant de décoller en début d'après-midi pour participer au sommet de l'Apec.

Mais c'est le grand absent, Donald Trump, qui mobilisait toute l'attention inquiète des dirigeants des 21 économies membres de cette organisation pesant 60% du commerce global pour 40% de la population mondiale.

Les pays d'Asie-Pacifique ont jusqu'à présent été les grands bénéficiaires de la mondialisation et craignent d'être stoppés net dans leur élan.

- Pékin en position de force -

L'atmosphère était sombre au sommet de l'Apec vendredi où les ministres réunis à huis clos ont exprimé leurs préoccupations face à la montée du protectionnisme aux États-Unis, selon un délégué.

Selon cette source ayant demandé à l'AFP à ne pas être citée, le représentant américain du Commerce Michael Froman s'est voulu rassurant en indiquant à ses partenaires que les intérêts fondamentaux des États-Unis ne changeaient pas brutalement d'une administration à l'autre.

Ironie de l'Histoire, l'élection de Trump a érigé la Chine au rang improbable d'unique leader du libre-échange mondial.

Le président chinois Xi Xinping arrive à Lima avec de solides cartes en main pour combler le vide laissé par Washington.

Pékin avait été laissé sur la touche de l'accord de libre-échange TPP signé en 2015 par 12 pays (Australie, Brunei, Canada, Chili, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour, États-Unis et Vietnam).

Désormais, "Il ne fait aucun doute que si le TPP échoue, ce sera une énorme victoire pour la Chine, politiquement et économiquement", déclare à l'AFP Brian Jackson, chef économiste pour la Chine du consultant IHS Global Insight.

"Il est déjà clair que la Chine va oeuvrer vigoureusement à la signature d'accords de commerce régionaux pour s'assurer qu'elle conservera des accès compétitifs aux marchés" de la région, ajoute-t-il.

"Elle l'aurait fait même si le TPP était passé. Mais s'il échoue, cela renforcera considérablement sa position de négociation en tant que principale source alternative de débouchés" commerciaux, conclut cet analyste.

- Guerre commerciale risquée -

Pékin devrait en profiter pour refaçonner le paysage des échanges économiques en Asie en poussant ses propres traités commerciaux, notamment son projet de Zone de libre-échange Asie-Pacifique (FTAAP), qui vise à rassembler les 21 membres de l'Apec.

La Chine portera aussi le RCEP, projet d'accord de libre-échange entre l'Asean (Association des nations du sud-est asiatique), l'Australie, la Chine et l'Inde notamment, mais sans les États-Unis.

"Le projet de RCEP est une possible alternative asiatique au TPP", note Marcel Thieliant, de Capital Economics.

"Pour le moment, c'est l'incertitude qui domine. Il y a plus de questions que de réponses", souligne Carlos Malamud, professeur à l'Institut Elcano de Madrid.

"L'argument anti-libre échange était à usage électoral interne. Or ce qui est certain, c'est que l'économie des États-Unis dépend en grande partie de l'extérieur", souligne-t-il.

"Trump est en train de prendre conscience des risques et coûts qu'il y aurait pour les travailleurs américains si par exemple il augmentait de 25% les impôts à l'importation de certains produits", assure-t-il.

"En cas de guerre commerciale entre deux pays, chacun a beaucoup à perdre. Ce qui est certain, conclut ce spécialiste, c'est que si les États-Unis tournent le dos à l'Amérique latine, c'est la Chine qui en tirera profit".


Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Pharmacies, médecins et vétérinaires de garde du samedi 19 au lundi 21 novembre 2016

$
0
0
Pharmacies de garde : Du samedi 19 et dimanche 20 novembre 2016

- Papeete : Pharmacie PAOFAI. Tél. 40 43 93 93
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 47 01 47

-Faa’a : Pharmacie HEIRI. Tél. 40 82 23 23
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 46 72 00

-Punaauia : Pharmacie MOANA NUI. Tél. 40 43 16 98
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 54 38 60

Médecins de garde : www.ordre-medecins-polynesie.com/accueil/

Du samedi 19 novembre 2016 à partir de 12h30 au lundi 21 novembre 2016 à 06h00

Iles du vent :

-secteur Papeete-Faa’a et Punaauia : Dr BLIN Sébastien Tel. 40 58 45 58

-Secteur Papeete-Pirae-Arue-Mahina : Dr DANIEL Laurent Tel. 40 42 56 67

-Commune de Paea : Dr COVIC Erik Tel. 40 53 27 52

-Commune de Papara : Dr FAYOLLE Florence Tel. 40 43 30 33

-Taravao et la presqu’île : Dr PAPAZIAN Jesse Tel. 40 57 77 18

-Secteur de MOOREA : Dr BUONAMINI Sabrina Tel. 40 56 15 55

Iles sous le Vent :

-Ile de Bora-Bora : Dr SEMERARO Hugo Tel. 40 67 67 37

-Ile de Huahine : Dr MOTYKA Pascal Hervé Tel. 40 68 82 20

-Ile de Raiatea : Dr GRES Thomas Tel. 40 66 28 60

-Ile de Tahaa : Dr ROUVEYROL Régis Tel. 40 65 60 60

TUAMOTU

- Ile de Rangiroa : Dr DUMONT Janick Tel. 87 28 89 86
En semaine de 19h00 à 06h00

MARQUISES

-Ile de Hiva Oa : Dr CHIU Philippe Tel. 87 73 49 55

CLINIQUES DE PAPEETE :

Clinique Cardella : Tél. 40 46 01 25 ou 40 46 04 00
Samedi à partir de 12 h00 au lundi 06h00
Nuits en semaine de 19h00 à 06h00 le lendemain

Polyclinique Paofai : Tél. 40 46 18 18 poste 4114
Samedi à partir de 12 h00 au lundi 06h00
Nuits en semaine de 19h00 à 06h00 le lendemain

SAMU - Tel. 15 ou 40 42 01 01

Vétérinaire de garde : Du Dimanche 20 novembre 2016
Auae Faaa assure également les urgences au 89 36 51 58

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Le trophée perpétuel de la Hawaiki Nui Va'a remis à EDT

$
0
0
Le trophée perpétuel de la Hawaiki Nui Va'a remis à EDT
PAPEETE, 18 novembre 2016 - L'équipe EDT va'a a reçu le trophée perpétuel de la Hawaiki Nui va'a en récompense de sa troisième victoire consécutive, cette année, pour la 25e édition de l'épreuve des Raromatai.

En remportant la Hawaiki Nui va'a pour la 3ème année consécutive, le 4 novembre dernier, l'équipe EDT va'a est entrée dans le club très fermé des détenteurs du trophée perpétuel de cette course hors norme. La distinction vient récompenser les clubs ayant remporté trois fois la course entre Huahine, Raiatea, Taha'a et Bora Bora. Jusqu'à présent, seule l'équipe Shell va'a avait réalisé cet exploit.

Le trophée a été remis aux rameurs d'EDT va'a, vendredi après-midi lors d'une cérémonie organisée au siège de la société à Puurai, en présence du maire de Bora Bora, Gaston Tong Sang.

Egalement présent pour l'occasion, le président Edouard Fritch a décerné la médaille de Chevalier dans l'ordre de Tahiti Nui à Heiarii Mama, l'entraîneur du club champion.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Loi Morin : le projet de nouveau décret d'application transmis au gouvernement Fritch

$
0
0
Loi Morin : le projet de nouveau décret d'application transmis au gouvernement Fritch
PAPEETE, 18 novembre 2016 - Le projet modificatif du décret d'application de la d’indemnisation des victimes des essais nucléaires a été transmis vendredi au président Edouard Fritch, a annoncé dans l'après-midi le haut commissaire René Bidal.

Le gouvernement est saisi pour consultation et dispose d'un mois pour donner son avis. Ce projet de décret d'application, promis par François Hollande lors de sa visite en Polynésie française, au mois de février dernier, vise à "améliorer les conditions de reconnaissance et d’indemnisation des victimes des essais nucléaires", dans le cadre de la loi Morin, du 5 janvier 2010.

Le projet modificatif du décret d'application de la loi Morin prévoit notamment l'abaissement du seuil du risque négligeable de 1 % à 0,3 % et précise que "le risque attribuable aux essais nucléaires ne peut être regardé comme négligeable lorsque, au regard des conditions concrètes d’exposition de la victime, des mesures de surveillance auraient été nécessaires" en accord avec un arrêt de décembre 2015 du Conseil d'Etat.

Autre nouveauté : sous certaines conditions, les demandes d’indemnisation ayant déjà fait l’objet d’un rejet par le comité d’indemnisation des victimes des essais nucléaires (Civen), pourront être réexaminées au regard de ces nouvelles dispositions, dans un délai de 12 mois suivant la publication du décret. Par ailleurs, le Civen peut désormais prendre en compte, dans son expertise, tout autre élément pertinent, notamment la sensibilité de chaque individu aux radiations.

Enfin, les demandeurs pourront désormais s’exprimer devant le Civen par la voie de la visio-conférence afin de faciliter leurs démarches auprès de celui-ci. Ce nouveau procédé met fin au frein important que constituait l’éloignement de la métropole pour le dépôt et la défense des dossiers.

Le gouvernement de la Polynésie française dispose d’un délai d’un mois pour rendre son avis. Le projet de décret sera ensuite examiné par le Conseil d’Etat en vue d’une publication attendue dès le début de l’année 2017.

Pour l'heure, compte tenu des conditions de la loi Morin, seils sept Polynésiens ont indemnisés depuis 2010 sous l’égide de la loi Morin, sur près de 1043 dossiers de demande soumis à l’avis du Civen. Tous sont soit des anciens travailleurs du nucléaire, soit des personnes ayant résidé dans des "zones à risque" lors des campagnes d’essais aériens, entre 1966 et 1974.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

A Madrid, des fans de Justin Bieber attendent leur idole depuis des semaines

$
0
0
A Madrid, des fans de Justin Bieber attendent leur idole depuis des semaines
MADRID, le 18 novembre 2016 - Depuis des jours, des semaines et même plus d'un mois pour certains, des centaines de fans de Justin Bieber campent devant la salle où le chanteur doit se produire le 23 novembre à Madrid, a constaté une journaliste de l'AFP.

Le jour du concert au Palais des sports de Madrid, ces "Beliebers", surnom des fans du Canadien de 22 ans, veulent être le plus près possible de leur idole.

"Le soir, c'est dur à cause du froid, mais petit à petit, je m'habitue", déclare à l'AFP Andrea Gil, 20 ans, venue des îles Canaries, l'archipel situé dans l'Atlantique, au large de l'Afrique, à quelque 2.000 kilomètres de la capitale.

Vêtue d'une veste marron, une couverture sur les jambes, entourée d'une vingtaine de "Beliebers", de valises et de sacs de provisions, cette étudiante en arts graphiques fait partie du "groupe numéro un", composé de 34 fans qui disent être arrivés en premier, le 14 octobre.

Ils se relaient jour et nuit pour ne pas perdre leur précieuse place au profit des 12 autres groupes derrière eux.

Certains résident à Madrid, d'autres à l'hôtel ou dans des appartements loués, d'autres encore comme Andrea Gil campent devant l'entrée du palais, utilisant les bains municipaux et rechargeant leur téléphone en les branchant à une prise du parking.

Tous sont unis par l'amour du chanteur, qui donnera deux concerts en Espagne, le 22 à Barcelone et le 23 à Madrid, dans le cadre de sa tournée de plus d'un an.

Andrea Gil dit que ses chansons l'ont aidée dans des périodes difficiles de sa vie, tout comme Cristina Casas, 19 ans, dont le look rebelle et le piercing au nez reflètent un passé difficile.

"J'ai été victime de harcèlement scolaire, et j'ai souffert d'anorexie pendant six ans", dit-elle.

"Je pesais 32 kilos quand j'ai été hospitalisée, et sa musique a éclairé ma journée. (...) , raconte-t-elle, citant "Down to Earth" et "Be Alright" parmi ses chansons préférées.

Parmi les rares garçons, Cesar Ndong accompagne sa petite soeur Arsenia Belen, venue de Murcie à quelque 400 kilomètres au sud-est de Madrid.

Mais la magie Bieber ne semble pas opérer sur lui. "Je suis là pour elle, parce que c'est une grande fan".

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Les Mers Australes, éditrice de livres pour enfants, fête ses 30 ans

$
0
0
Les Mers Australes, éditrice de livres pour enfants, fête ses 30 ans
PAPEETE, le 18 novembre 2016 - Lancée par Vatiti et Guy Wallart en 1986, la maison d’édition Les Mers Australes publie des ouvrages pour les enfants. Un lectorat gourmand qui fait dire aux fondateurs que la littérature jeunesse se porte bien. De nombreux ouvrages ont été réédités, certains se vendent à plusieurs milliers d’exemplaires, en Polynésie et en Nouvelle-Calédonie. Pour autant, le duo ne se repose pas sur ses lauriers, il continue de créer de nouvelles collection dont une récente pour les adolescents et envisage de relancer la publication de Pai coco.

"Il n’y avait pas de livres pour les enfants il y a 30 ans. Sur le territoire on n’en faisait pas", se rappelle Guy Wallart. "J’ai été longtemps enseignant, à Tahiti et dans les îles et, en1982, j’ai saisi une occasion, celle d’écrire deux livres pour enfants : Honu la Tortue et La Légende du uru. " Ils sont parus chez Haere Pō, en français, en anglais et en tahitien. "Ça a été le début de l’aventure."

Fort de ces deux expériences, Guy Wallart a été invité à intervenir au cours d’un stage organisé par le Centre territorial de recherche et de documentation pédagogique (CRDP). Il devait, y parler de littérature pour enfant. Sont nés, à la suite des échanges et du stage, deux nouveaux ouvrages : Le Petit Nuage rose et Le Cyclone. "Ça a été les deux premiers livres de notre maison d’édition. Les deux premiers livres cousus, avec une couverture rigide, à destination du jeune public."

Un amour de jeunesse

Ainsi est née "Les Mers Australes", une maison d’édition co-fondée par Vatiti Wallart, Guy Wallart, Alain Wallart et Abner Guilloux. En pratique, la maison d’édition est co-gérée aujourd’hui par Vatiti Wallart et Guy Wallart, même si les quatre fondateurs gardent chacun des parts. Vatiti se charge de tout l’aspect pratique, logistique, administratif. Elle fait le lien avec l’imprimeur basé à Hong-Kong. "On a cherché à faire imprimer localement mais ce n’est pas possible pour des raisons techniques et financières." Guy Wallart, lui, raconte et dessine. "J’aime écrire pour les enfants", affirme-t-il. "Mes années d’enseignement, en particulier auprès des élèves en difficultés, m’aident certainement à savoir ce que le jeune public attend." Quant au dessin, c’est un amour de jeunesse. "J’ai fait les beaux-arts de 5 ans à 22 ans. Je passais tout mon temps libre à faire de la peinture, de la sculpture, de la gravure et même des décors de théâtre. J’ai touché à tout."

Si Guy Wallart signe certains ouvrages, il n’est pas le seul auteur et illustrateur de la maison d’éditions. "On reçoit des manuscrits toutes les semaines, avec des textes et/ou des dessins. Les manuscrits viennent de Polynésie, mais aussi de Nouvelle-Calédonie, de France, d’Italie, de Chine même. Notre idéal serait de publier des écrivains et illustrateurs locaux, mais nous n’en avons pas suffisamment. La littérature jeunesse c’est particulier." Quand le duo reçoit ces manuscrits, chacun part de son côté avec un exemplaire. "Puis on se retrouve pour en discuter et là, on se chamaille", plaisante-t-il. Au final, Les Mers Australes publient en moyenne cinq titres par an.

"La littérature jeunesse a un public"

La petite entreprise ne connait pas la crise. "Nos livres se vendent bien, nous sommes même peut-être les seuls éditeurs ici à ne pas nous plaindre. La littérature jeunesse a un public." Les chiffres le prouvent (voir encadré). Entre autres explications, Vatiti et Guy Wallart ajoutent : "Les parents veulent que leurs enfants lisent, car lire c’est réussir. Et puis, en grandissant, les enfants se désintéressent. Ils se contentent de petites phrases sur Facebook ou de Tweet." À entendre le duo, les lecteurs, passé un certain âge, ne tournent plus les pages de romans. Ils ne prennent plus le temps de lire.

Quand ils se retournent, qu’ils regardent leur histoire commune avec Les Mers Australes, ils pensent à leur premier livre. "Aujourd’hui il fait un peu vieux, mais à l’époque on en était très fiers." Ils se souviennent aussi parfaitement de ce jour où, alors qu’ils étaient à Paris pour un salon, ont reçu un appel de leur fille. "Elle nous parlait d’un mail qu’on avait reçu, qui parlait de prix, de sélection de livres de cuisine pour enfant et qui était signé Cointreau. Elle nous l’a présenté comme un spam, tellement ça paraissait louche. Elle nous l’a quand même transféré." Après l’avoir lu et vérifié les informations, Vatiti et Guy Wallart ont découvert que leur livre 20 Recettes à la noix de coco avait remporté un prix, dans sa catégorie, au World Cookbook Awards. "Un plus", assurent-ils. "Car nous publions des livres pour les enfants de Tahiti, si ça plait ailleurs, tant mieux mais ce n’est pas l’objectif premier."

Aujourd’hui ils ont toujours des projets. Ils envisagent de relancer Pai Coco, "un magazine qui a bercé l’enfance d’un grand nombre de Polynésien". Paraissant trois ou quatre fois dans l’année, ce magazine proposait une bande dessinée, des jeux, des histoires, des blagues, des travaux manuels, un dossier sur un thème donné : le nouvel an chinois, le marae, le cacao, le moustique… "On créait tout de A à Z, ce qui nous prenait un temps fou." Et ce qui a été la cause de sa mort, ou plutôt de sa mise en veille. "On était une équipe de quatre enseignants à travailler sur Pai coco, on est à la retraite maintenant, on va peut-être pouvoir le relancer."

En attendant, Les Mers Australes a récemment élargi son offre en créant une collection pour les adolescents. Elle a fait paraître Maui, l’attrapeur du soleil et Ruata’ata et la naissance de l’arbre à pain de Rosalie Cruchet et Guy Wallart lors pour le salon du livre 2016 et promet d’autres sorties dans les semaines à venir.

Les Mers Australes, éditrice de livres pour enfants, fête ses 30 ans
Quelques chiffres…

Les mers Australes ont publié 70 titres.
Ils impriment leurs ouvrages à 3 000 exemplaires, certains sont épuisés, nombreux ont été réimprimés.
La collection "à tue tête" (14 Comptines de Tahiti, Noël sous les étoiles de Tahiti, 14 Nouvelles comptines de Tahiti…) s’est vendue à plus de 20 000 exemplaires.

Contacts

Facebook : Éditions des Mers Australes
http://www.editions-mers-australes.com

Tél. : 87 72 29 94 ou 40 48 13 97
vatiti@editions-mers-autrales.com

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Une Thaïlandaise condamnée à 150 ans de prison, notamment pour lèse-majesté

$
0
0
Une Thaïlandaise condamnée à 150 ans de prison, notamment pour lèse-majesté
Bangkok, Thaïlande, le vendredi 18 novembre 2016 - Une Thaïlandaise a été condamnée à une peine de 150 ans de prison vendredi, notamment pour lèse-majesté, dans une atmosphère de grande tension dans le royaume un mois après la mort du roi.

Kramonthas Thanathornkositcheera, 62 ans, "a été condamnée à 150 ans de prison", a annoncé le Parquet de Bangkok. Mais elle a vu sa peine commuée à 50 ans, la peine maximale en Thaïlande.

Elle a été reconnue coupable d'avoir prétendu avoir des liens avec la famille royale dans le but d'extorquer l'équivalent de 135.000 euros à des imprimeurs entre 2010 et 2014.

Elle avait assuré à ses victimes que, "s'ils faisaient des dons pour la famille royale", cela leur vaudrait des faveurs en retour, a assuré le représentant du Parquet à l'audience.

Pour asseoir sa crédibilité auprès de ses victimes, elle avait mis au point de faux documents de l'administration royale et prétendait que des représentants du palais avaient assisté à son anniversaire.

La famille royale pèse fortement sur l'économie thaïlandaise en contrôlant notamment de grandes entreprises. Elle est protégée par une loi de lèse-majesté, l'une des plus sévères au monde, appliquée avec zèle depuis un coup d'Etat militaire réalisé en 2014 au nom de la protection de la monarchie.

La monarchie thaïlandaise est dans une phase de transition, dans l'attente de la montée sur le trône du prince Maha Vajiralongkorn, qui a demandé un délai avant de prendre ses fonctions.

La loi de lèse-majesté est largement utilisée pour faire taire les opposants au régime, notamment sur internet.

Elle a également été utilisée en 2014 et 2015 dans un série de condamnations de proches du prince, vue comme un "nettoyage" de son entourage avant son accession au trône.

De nombreux membres de la famille de son ex-femme, tombée en disgrâce fin 2014, purgent ainsi de lourdes peines de prison pour lèse-majesté. Il leur est reproché d'avoir abusé de leur position pour s'enrichir.

A la même époque, un influent astrologue thaïlandais a été lui aussi accusé d'avoir mis en avant ses liens avec le prince pour s'enrichir. Il est mort en détention militaire dans des circonstances troubles.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti
Viewing all 46439 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>