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Corée du Nord: les inondations, le "pire désastre" depuis la Seconde guerre

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Corée du Nord: les inondations, le

Les inondations dans le nord-est de la Corée du Nord, qui ont fait des centaines de morts ou de disparus, sont le "pire désastre" survenu dans le pays depuis la Seconde guerre mondiale, a rapporté mercredi la presse officielle.

L'agence KCNA ne donne pas de décompte précis des décès et des disparitions mais selon l'ONU, 138 personnes ont été tuées et 400 autres sont portées disparues le long du fleuve Tumen.

Ce fleuve marque une partie de la frontière entre Corée du Nord sur une rive et Chine et Russie sur l'autre. 

La crue a dévasté des villages et rasé des maisons et des milliers de personnes ont besoin de logements d'urgence et d'aide alimentaire.

"Les inondations provoquées par le typhon qui a touché la province de Hamgyong Nord entre le 29 août et le 2 septembre sont le pire désastre depuis la libération en 1945" après l'occupation coloniale japonaise, a dit KCNA.

Pour la première fois, l'agence fournit des indications chiffrées sur les déplacés, déclarant que 68.900 personnes ont dû fuir leur domicile. L'ONU parle de 107.000 déplacés.

Au moins 29.800 logements et 900 édifices publics ont été détruits tandis que 180 morceaux de route et plus de 60 ponts ont subi de gros dégâts, ajoute KCNA. Des lignes électriques et de communication ont été coupées, d'après la même source.

L'agence vante la réponse apportée par le parti unique au pouvoir à ces inondations, déclarant que tous les efforts étaient fournis pour reconstruire la zone.

Faute d'infrastructures et d'aménagements adéquats, la Corée du Nord est particulièrement vulnérable aux catastrophes naturelles, en particulier aux inondations dues notamment à la déforestation des collines. 

A l'été 2012, des inondations et glissements de terrain causés par des pluies torrentielles avaient fait 169 morts, 400 disparus et 212.200 déplacés, dévastant 650 km2 de terres cultivées, selon les médias officiels nord-coréens.

Inondations et fortes précipitations furent parmi les causes de la grave famine de 1994-1998 qui avait fait des centaines de milliers de morts.

La Corée du Nord consacre toutefois d'énormes ressources à son programme nucléaire et balistique.

Le Conseil de sécurité de l'ONU travaille à une nouvelle résolution, qui pourrait durcir les sanctions contre Pyongyang après son cinquième essai nucléaire.

avec AFP


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Georges Puchon nommé à la tête du Port autonome de Papeete

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Georges Puchon nommé à la tête du Port autonome de Papeete
PAPEETE, 14 septembre 2016 - Le gouvernement a adopté ce mercredi l'arrêté de nomination de Georges Puchon au poste de directeur général du Port autonome de Papeete.

La candidature de l'ancien ministre de l'Economie avait fait l'objet d'un avis favorable de la Commission de contrôle budgétaire et financier de l'Assemblée, mardi 6 septembre. Un arrêté de nomination de Georges Puchon au poste de directeur général du Port autonome de Papeete a été adopté en Conseil des ministres ce mercredi matin. Celui-ci doit encore faire l'objet d'une publication officielle pour devenir applicable.

La direction de l’établissement public à caractère industriel et commercial (Epic) était confiée par intérim à Boris Peytermann depuis fin juillet 2015. Mais, en dépit de multiples demandes de ce dernier, pour en finir avec ce qu’il estimait un "défaut de légitimité", aucun arrêté n’avait été pris pour sa nomination en plein exercice. Boris Peytermann avait officiellement posé sa démission en juin dernier, par lettre adressée à Albert Solia, son ministre de tutelle, et au président Fritch.

Autre nomination attendue de la part du Conseil des ministres, celle de René Caillet pour succéder à James Cowan, en intérim à la direction du centre hospitalier de Polynésie française, depuis le départ de Christophe Bouriat en juillet 2015. "Le dossier n'a pas été transmis à temps par le ministère", nous explique-t-on du côté de la présidence. "Mais il n'y a pas de souci". Selon toute vraisemblance l'arrêté de nomination de René Caillet devrait être pris mercredi prochain, nous assure-t-on.

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Festival Polynesia : plongée au coeur du village des artisans

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Festival Polynesia : plongée au coeur du village des artisans
PAPEETE, le 14 septembre 2016 - Rapa Nui, Nouvelle-Zélande, Hawaii et les cinq archipels de la Polynésie française sont présents au Festival Polynesia, Te Moana Nui Hiva, qui a débuté hier.

En plus de ses artistes, chaque délégation est aussi venue avec ses artisans. Ces denires exposent leurs arts et saoir-faires au village des artisans.


En images...

Rencontre avec Melia Tavita de l'archipel des Australes
Festival Polynesia : plongée au coeur du village des artisans
Melita Tavita fait partie de la délégation venue des Australes. Originaire de Rurutu, cette dame au grand chapeau tresse le pandanus depuis l'âge de cinq ans. Elle a fait de cette passion son quotidien et souhaite la partager avec les visiteurs du village.

Melita nous explique les techniques de tressage


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Marquises : agréments temporaires de bateaux privés pour assurer des transports de passagers en cas d’urgence

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Marquises : agréments temporaires de bateaux privés pour assurer des transports de passagers en cas d’urgence
PAPEETE, 14 septembre 2016 - (COMMUNIQUE) Sensibilisé par les difficultés que rencontrent les habitants des îles pour se déplacer en cas d’urgence, notamment dans l’archipel des Marquises et celui des Tuamotu Gambier, le haut-commissaire a décidé de permettre l’intervention de bonitiers et de poti marara dans le transport de personnes lorsqu’une situation d’urgence le justifie.

Cette démarche dérogatoire, qui a été décidée en étroite concertation avec le Pays, a vocation à adapter la réglementation à une situation et à une pratique qui, de toute façon, sont d’ores et déjà en œuvre puisqu’elles correspondent à des besoins parfaitement identifiés et légitimes auxquels aucun autre moyen est en capacité de répondre.

Plutôt que de feindre d’ignorer que ces pratiques sont quotidiennes (alors qu’elles le sont), le haut-commissaire préfère les reconnaître avec un objectif : celui de renforcer la sécurité des passagers, grâce à un dispositif reposant sur la délivrance d’un agrément temporaire par les services de l’Etat et du Pays.
La mobilisation de ces bateaux qui seront identifiés et référencés sur une liste bien définie, pourra intervenir dans des opérations de transport que l’urgence rendra nécessaires.

Pour l’archipel des Marquises, ce dispositif complétera utilement, dans les situations d’urgence, le navire neuf que le Pays va mettre à disposition de l’archipel, en fin d’année, pour les navettes inter-îles.

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70 ans d'histoires à l'Assemblée : "On a eu des personnalités comme Jean Millaud, Jacques Denis Drollet…"

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70 ans d'histoires à l'Assemblée :
PUNAAUIA, le 14 septembre 2016. L'Université de Polynésie française accueille jusqu'au 14 octobre une exposition retraçant les 70 ans de l'assemblée. Jean-Marc Regnault, historien et chercheur associé à l’UPF, et Sémir Al Wardi, maître de conférences en science politique, reviennent sur les événements qui ont marqué cette institution.

Jean-Marc Regnault vous avez souligné lors de la présentation de cette exposition que celle-ci retrace l'histoire de l'assemblée et le contexte plus vaste dans lequel elle s'est inscrite. Cela signifie-t-il que l'assemblée a été utilisée au gré de leur volonté par les hommes politiques locaux et de métropole ?
Jean-Marc Regnault : "L’autonomie qu’on accorde au Territoire a toujours été une autonomie plutôt contenue. De temps en temps, on lâche la bride. Et de temps, on la resserre. Jusqu’à aujourd’hui le dernier mot appartient pratiquement quand même à l’État.

Le statut d'autonomie de la Polynésie française a été régulièrement changé pour modifier le fonctionnement de l'assemblée. Sommes-nous aujourd'hui sur un modèle "idéal" ?
Jean-Marc Regnault : On n'a jamais un mode de fonctionnement idéal. En 1994, le haut-commissaire qui venait d’arriver (Paul Roncière) a dit : "les hommes politiques locaux ont des pratiques institutionnelles très imaginatives". On l'a bien vu avec les lois pour avoir une majorité stable après les élections on a fait plusieurs lois successives. Immédiatement, les hommes ont trouvé un système pour que cela ne se réalise pas.
Ces pratiques sont un peu moins fortes aujourd’hui du fait que la dernière réforme a été quand même très significative mais il y a toujours ce risque d’un retour à l’instabilité."

Les représentants à l'assemblée font peu de propositions de lois du Pays. Est-ce le signe qu'ils n'utilisent pas pleinement les capacités de leur institution ?
Jean-Marc Regnault : "Quand on regarde l’histoire de l’assemblée, on voit qu’on a eu des personnalités exceptionnelles comme Jean Millaud, qui a été président de l’assemblée, mais on a aussi des gens comme Jacques Denis Drollet, Frantz Vanizette, Henri Bouvier, Daniel Millaud, Gérald Coppenrath. Ce sont des gens qui étudiaient très très bien les dossiers, qui fournissaient des rapports et qui faisaient des propositions bien travaillées.
On a l’impression qu'on n'en trouve plus tellement des grands orateurs et travailleurs,
Parmi les hommes de l'assemblée, il y avait des gens qui avaient une aura, beaucoup de prestance par exemple vis-à-vis de leurs églises, des associations où ils étaient partie prenante. Ce sont des gens qui avaient une assise et qui avaient une curiosité intellectuelle qui était très forte. On n'en trouve plus beaucoup aujourd’hui.
J’ai été frappé lors de certaines séances à l’assemblée de voir que les élus n’avaient pas lu leur dossier et intervenaient à tort et à travers. Cela ne va veut pas dire que l'assemblée ne travaille pas : il y a quand même des commissions. Cette exposition doit apprendre aussi aux élus à connaître leur histoire. Très peu d’élus la connaissent."

Quelle évolution dans son fonctionnement a marqué la vie de l'assemblée ?
Sémir Al Wardi : "L’évolution la plus extraordinaire pour moi est celle de 2011. Avant le président de l’assemblée était élu tous les ans. On avait alors un nomadisme qui commençait en février. Les présidents de l’assemblée étaient choisis par le président du Pays. C’était plus un jeu politique qu’autre chose. L'assemblée était une chambre d’enregistrement. A partir du moment où le président est élu pour cinq ans, cela donne une certaine indépendance à l'assemblée. Cela signifie aussi que l'assemblée peut contrôler les politiques publiques de l’exécutif et mettre en place des commissions d’enquête. C’est intéressant, c’est la première fois que l’assemblée dispose d’une autonomie grâce à cette stabilité de l’institution sur cinq ans.

De l'assemblée représentative à l'autonomie
70 ans d'histoires à l'Assemblée :
Réalisée dans le cadre de la célébration des 70 ans de l’assemblée, l’exposition « 1946-2016 : 70 ans d’assemblées » propose au grand public une vulgarisation des informations concernant l’histoire du Pays et plus particulièrement celle de l’assemblée. Cette exposition, qui s’est initialement tenue dans le hall Leboucher circule aussi dans les écoles, les institutions et dans les archipels.
L’exposition a pour objectif de présenter l’évolution de l’institution depuis sa création en 1946 jusqu’à aujourd’hui. Elle se décompose en huit groupes de trois ou quatre panneaux représentant les trois périodes : de 1946 à 1953 sur l’assemblée représentative ; de 1953 à 1996 sur l’assemblée territoriale et l’évolution du statut d’autonomie depuis 1957 à 1996 ; la troisième période concerne l’assemblée de la Polynésie française et l’autonomie depuis 1996. Pour chaque période, plusieurs panneaux présentent l’ambiance de l’époque, le contexte national et local, le tableau des institutions, des commentaires sur les forces et faiblesses de l’institution ainsi que la chronologie développée et illustrée par des faits marquants.

Pratique
L’exposition est visible dans le bâtiment A (R+3) jusqu'au 14 octobre. Ouverte à tous du lundi au vendredi de 7h à 20h et le samedi de 7h à 12h.
Internet : http://www.upf.pf/expo_assemblee ; http://histoire.assemblee.pf

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Un grand spécialiste de l'archéologie du Pacifique distingué par l'université

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Un grand spécialiste de l'archéologie du Pacifique distingué par l'université
PUNAAUIA, le 14 septembre 2016. A l’occasion de la rentrée solennelle de l’UPF le jeudi 22 septembre, le professeur Patrick Vinton Kirch se verra remettre le titre et les insignes de Docteur Honoris Causa de l’université de la Polynésie française. C'est la troisième personnalité à qui l'université remettra ce titre.

Patrick Kirch est une référence internationale en matière d’archéologie du Pacifique, Patrick V. Kirch est sans aucun doute le chercheur qui a le plus apporté à l’archéologie polynésienne, souligne-t-on à l'université.
Né à Hawai’i, Patrick V. Kirch est particulièrement attaché au monde polynésien auquel il a consacré la plupart de ses recherches. Il poursuit actuellement, en collaboration avec le Centre international de recherche archéologique sur la Polynésie, un programme archéologique sur la préhistoire des îles Gambier, qui fait partie d'un vaste projet comparatif de l'évolution des sociétés et des économies insulaires sur Mo'orea, Maupiti et Mangareva. Il conduit également des recherches archéologiques sur sa terre natale à Hawai'i, et termine un livre sur les temples anciens (Heiau) de l'île de Maui.
Patrick V. Kirch est depuis 20 ans un partenaire fidèle de l’Université de Polynésie. Il a participé à l’encadrement et aux jurys de plusieurs doctorants en anthropologie et en archéologie et animé plusieurs conférences sur le campus. Il contribue activement aux recherches conduites par l’UPF en tant que membre du Centre international de recherche archéologique sur la Polynésie (Cirap).
Il donnera une leçon inaugurale à 16 h 30 le 22 septembre sur le thème de la "contribution de l'archéologie à l'histoire polynésienne".





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Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun

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Raihere Dudes, fondateur du club d’arts martiaux Islander MMA, a proposé samedi matin une matinée « portes ouvertes » à sa salle de sport de Punaauia. Les personnes présentes ont pu bénéficier gratuitement de cours d’initiations de boxe thaï, boxe anglaise, grappling ou encore jiu jitsu, des arts martiaux pouvant être utilisées en MMA (mixed martial arts).
Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun
On ne présente plus Raihere Dudes, il fait partie de ces personnages du sport polynésien qui ont une volonté hors du commun, à l’image d’un Michel Bourez, d’un Dany Gérard ou encore d’une Anne Caroline Graffe. En partant quasiment de rien, il a pu se créer un avenir en suivant sa passion pour les arts du combat. Son club « Islander MMA » est affilié à la fédération polynésienne de lutte, présidée par Hiro Lemaire.
 
Le MMA est interdit en France mais les choses pourraient évoluer. Fin 2015, une première soirée organisée en France avait pu obtenir une autorisation officielle. En avril 2016, une mission parlementaire de six mois renouvelables a été mandatée par le premier ministre Manuel Valls ayant pour objectif la publication d’un compte rendu. De plus en plus de Français s’illustrent à l’international.
 
Raihere Dudes fait partie du programme « Ambassador » d’Air Tahiti Nui et il peut désormais vivre de sa passion grâce à un partenariat avec ses associés. Depuis le début d’année, il a enchainé les victoires puis a procédé à l’ouverture de sa nouvelle salle de sport. Il force l’admiration de nombreux sportifs, notamment grâce à une hygiène de vie sans faille et à la faculté de se tenir à un régime alimentaire digne de la Grèce antique, ce afin de se conformer aux catégories de poids dans lesquelles il doit combattre.

Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun
Raihere Dudes, champion de MMA :
 
L’année 2016 a bien commencé ?
 
« C’est que du positif. Deux victoires, une ceinture, un forfait d’un de mes adversaires, avec également une victoire en muay thaï, avec en plus l’ouverture de la salle. Malgré les vacances, cet été on a tourné en moyenne sur 40-50 personnes. Depuis la rentrée, cela carbure. C’est un rêve qui se réalise après des années d’efforts. Mon rêve était de ramener des ceintures en MMA pour la Polynésie et d’ouvrir un lieu pour former les futurs combattants polynésiens. »
 
Ce matin plusieurs disciplines étaient à l’honneur ?
 
« Le MMA est un mélange d’arts martiaux qui forment un art du combat à part entière. On travaille la boxe anglaise, la boxe thaïlandaise, la lutte, le jiu jitsu sans kimono et on essaye de mixer tout ça pour donner un bon résultat dans les compétitions à l’étranger. J’ai des gars qui ont fait des années de boxe, de taekwondo, de muay thaï, chacun apporte son « background », son expérience. On adapte chaque art. Les portes sont ouvertes à tous les niveaux. »
 
Par rapport à la légalisation du MMA, on ne te sent pas revendicatif ?
 
« Je ne suis pas dans la revendication à 100% mais je soutiens la cause. Le MMA pour moi c’est plus qu’un sport, c’est une passion. Je suis derrière Franck et Karl Amoussou qui essayent de faire légaliser la discipline en France. Cela nous aiderait bien car nous n’avons pas de subvention, on a dû se débrouiller par nos propres moyens. Ce n’est pas évident de se faire une place. »
 
Tu as conscience d’être un ambassadeur de la Polynésie à l’extérieur ?
 
« J’emmène toujours un drapeau avec moi et j’essaye de me comporter de manière exemplaire pour montrer qu’on est des combattants mais surtout des sportifs. On est très appréciés là bas pour notre convivialité et pour le fait de tout donner dans la cage en étant très respectueux jusqu’à la fin. C’est que du bonus pour Tahiti. »
 
Comment tu fais pour tenir au niveau mental, les régimes, les entrainements… ?
 
« Pour l’hygiène de vie, c’est trois mois avant un combat, après tu as droit à du relâchement. En tant que coach, je dois me lever tous les jours à la même heure, motiver mes troupes, me motiver moi-même, c’est pas évident mais je suis passionné, j’ai toujours voulu faire ça. Mais c’est sûr qu’il n’y a pas de fête, pas d’alcool, pas de cigarette, il n’y a rien de tout ça. C’est un choix que j’ai fait de prendre des jeunes et de montrer la voie à suivre. J’en suis fier même si ce n’est pas facile. De temps en temps je vais me vider l’esprit à la plage ou en montagne. »
 
Un dernier mot ?
 
« Un grand merci à Air Tahiti Nui, sans eux je ne pense pas que j’aurais pas pu arriver là où je suis. Merci à Vaihitiarii et à mes associés Tuanoa Degage et Maire Bordes qui m’aident à avancer et à me motiver dans les moments difficiles car gérer les entrainements, les préparations, les déplacements à l’international avec la vie de famille, ce n’est pas évident. Merci à Vodafone, Sparkgreen, les 5 Eléments et Aito Sport ».

Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun
Parole à Maire Bordes de la société Aremiti :
 
Qu’est ce qui vous a poussé à soutenir Raihere Dudes ?
 
« On est là pour soutenir la pratique des arts martiaux. On a permis à Raihere d’ouvrir sa salle pour qu’il puisse partager sa passion. Raihere est jeune, motivé, on a pas hésité à le soutenir. Il avait besoin d’un financement, on s’est donc portés garants pour sa salle. »
 
« On connaît son sérieux, on s’est renseignés. Il a une énergie contagieuse, il émet des ondes positives. On voit bien dans son enseignement que la valeur sûre c’est le respect. C’est quelqu’un de très sociable qui mérite d’évoluer dans sa discipline et à qui on ne peut souhaiter que le meilleur. »
 
Il est également compétent grâce à ses déplacements à l’étranger ?
 
« Malgré les difficultés que ces sportifs rencontrent pour pouvoir se déplacer, il a persévéré, il a été frapper à toutes les portes pour pouvoir trouver des sponsors. Grâce à ça, il a pu, après toutes ces années, acquérir des compétences pour devenir un coach sportif de valeur. » Propos recueillis par SB

Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun

Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun

Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun

Arts Martiaux – Focus sur Raihere Dudes : Un sportif à la volonté hors du commun

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Ces jeunes qui excellent dans leur filière

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Ces jeunes qui excellent dans leur filière
PUNAAUIA, le 14 septembre 2016. Les majors de promotion des 12 licences de l'Université de Polynésie française verront leur travail récompensés le jeudi 22 septembre à l'occasion de la rentrée solennelle. Chacun d'entre eux recevra 100 000 Fcfp par les entreprises qui les parrainent.

Leurs moyennes obtenues en licence vont de 12.43 à 17.46 ! Ce sont les notes des majors de promotion des 12 licences proposées à l'université de Polynésie française. Depuis plusieurs années, l'université travaille étroitement avec les entreprises locales afin de favoriser l'intégration professionnelle des étudiants. Des entreprises attribuent ainsi une aide financière de 100 000 Fcfp aux élèves les plus méritants. Un bon coup de pouce pour continuer ces études ou se lancer dans la vie active. C'est aussi l'occasion de donner envie aux élèves en première ou deuxième année de licence de réussir. "Le dispositif de parrainage est une façon de motiver les élèves de l'UPF. Se dire qu'une entreprise va te parrainer apporte d'autant plus de prestige au fait d'être major de sa promotion", confie Mehani Hart, major de la promotion Environnement océanien. "C'est également un moyen de se faire remarquer par les entreprises donc un premier pas dans le monde du travail."

L'université célébrera la réussite des étudiants le jeudi 22 septembre à l'occasion de la rentrée solennelle, prévue à partir de 14 h 30.
Le diplôme de la licence est un bon sésame pour les jeunes cherchant du travail. 27,4 % des personnes ayant au plus le brevet des collèges sont au chômage contre 3,3 % des diplômés d'un second cycle universitaire, indiquait l'Institut de la statistique de la Polynésie française (ISPF) après le recensement de 2012.

Jeanne Uriot, major de la promotion Droit. Note : 14.72
"Il faut croire en soi"

Quels sont vos projets professionnels ?
"Je vais préparer le concours de l’école nationale de la magistrature dans le but de devenir magistrat. Pour ce faire il faut que j’obtienne un master et que je m’inscrive par la suite à la préparation au concours de l’école nationale de la magistrature."

Quels conseils donneriez-vous aux étudiants?
"Il ne faut jamais baisser les bras, même quand on n’a pas envie de se mettre au travail il faut le faire.
Il faut se dire que si c’est dur pour nous, c’est dur pour tous les autres étudiants.
Et il faut surtout croire en soi, un échec ne veut pas dire qu’on ne réussira pas la prochaine fois."

Que pensez-vous du dispositif du parrainage ?
"Je pense que c’est une bonne façon de motiver les étudiants et de leur donner un petit coup de pouce dans la poursuite de leur parcours professionnel ou universitaire. C’est une excellente initiative."

Melissa Yu Tsuen, major de la promotion Langues étrangères appliquées (LEA) note : 17.46
"Ne séchez pas les cours"

Quels sont vos projets d’études pour 2016/2017 ?
"Après avoir bien réfléchi, j’ai décidé de ne pas continuer mes études car il n’y a pas de Master LEA en Polynésie. De plus, je ne veux absolument pas quitter le territoire. Je désire rester au fenua et rentrer dans la vie active."

Quelles sont, selon vous, les qualités qui vous ont permis de réussir en licence ?
"Pour réussir en licence, il n’y a pas de secret : il faut beaucoup travailler, faire preuve de sérieux, motivation, persévérance, assiduité, mais aussi aimer ce que l’on étudie."

Quels conseils donneriez-vous aux étudiants?
"Travaillez régulièrement, de façon méthodique avec des fiches, cela peut aider. N’ayez pas peur de poser des questions aux professeurs, qui sont là pour vous aider. Enfin, ne séchez pas les cours : il y aura toujours de précieuses informations qui vous échapperont…"

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Compte rendu du Conseil des ministres du 14 septembre

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Financement du dispositif de défiscalisation locale

Le plan massif d’investissement présenté lors de la précédente session administrative prévoyait un soutien renforcé des moyens consentis par la puissance publique à la défiscalisation dès lors où les capacités d’investissement des entreprises, liées directement à leurs positions fiscales, seraient reconstituées.

Ainsi, l’accroissement modéré des recettes fiscales constaté entre 2014 et 2015 à pression fiscale constante, en particulier s’agissant de l’impôt sur les sociétés, permet aujourd’hui d’envisager plus positivement ces mêmes capacités d’investissement dans le cadre de la défiscalisation. Le Vice-président a ainsi présenté au Conseil des ministres une communication l’informant que la collectivité dispose désormais de marges de manœuvre plus favorables pour soutenir l’investissement privé par le biais du dispositif local de défiscalisation.
C’est la raison pour laquelle le vice-président en charge des finances a proposé :
1. d’acter une augmentation des enveloppes budgétaires dédiées aux crédits d’impôt de défiscalisation de + 600 millions Fcfp pour passer de 3 milliards Fcfp inscrits au budget 2016 à 3,6 milliards Fcfp dès le budget primitif 2017 ;
2. que le ministre en charge de la relance économique réunisse d’ici la fin de l’année la commission consultative des agréments fiscaux à l’effet d’agréer à la défiscalisation des projets d’investissement.


Commercialisation de la farine de froment conditionnée

Suite à l’appel d’offres de farine panifiable conditionnée en sacs de plus de 2 kg dépouillé le 18 juillet dernier, le Conseil des ministres a décidé que la commercialisation de la farine s’effectuera sur la base des prix de gros règlementaires suivants :

- 19,30 F/kg pour l’ensemble des boulangers de la Polynésie française
- 19,30 F/kg pour les autres utilisateurs ou revendeurs des îles autres que Tahiti et Moorea
- 19,30 F/kg pour les navires exerçant une activité commerciale dite de « vente à l’aventure »
- 23,30 F/kg pour les reventes « à l’aventure » ou pour les commerces des îles

Il est rappelé que cette farine de froment panifiable d’appel d’offres est destiné uniquement à la fabrication des pains à prix réglementés définis par l’arrêté du 8 juillet 1996.


Le projet de réforme réglementation du secteur de la perliculture présenté prochainement au CESC

La perliculture est un secteur clé de l’économie du Pays. Avec près de 3 000 emplois et 80°% des exportations, il s’agit du premier secteur lié à l’exploitation des ressources marines. Cette filière est cependant en crise depuis plusieurs années. En 25 ans, le cours de la perle a été divisé par 10 tandis que, dans le même temps, la production était multipliée par 25.

Dans ce contexte tendu, un tiers des exploitations ont du cesser leur activité au cours des huit dernières années. Certains lagons des atolls perlicoles les plus exploités ont commencé à montrer des signes de perturbation de leur écosystème qui se caractérisent par une diminution du collectage, des mortalités accrues des nacres et une baisse de la qualité des perles produites. Enfin, la production réelle n’est pas connue et seule les exportations déclarées font l’objet d’un suivi statistique.

Actuellement, le cadre réglementaire du secteur s’articule autour de cinq délibérations qui réglementent les conditions de production et de commercialisation des produits perliers avec notamment la mise en place de critères de qualité minimale assortie d’un contrôle obligatoire réalisé par l’administration. Force est de constater que ce régime n’a pas permis de faire remonter le cours de la perle, ni de préserver l’équilibre naturel des lagons. Ainsi, les parties prenantes, le ministère de l’Economie bleue et les professionnels, ont convenu qu’une réforme était nécessaire.

Le nouveau cadre réglementaire répond à quatre objectifs principaux :

 Créer les outils de régulation de la production pour passer d’une dynamique d’intensification productive mal maitrisée à une logique de production organisée et de qualité ;
 Assurer le retour vers les professionnels du choix de la qualité commerciale ;
 Encadrer les activités de commerçant de nucléus et de détaillant pour renforcer l’organisation de la filière et permettre la traçabilité des produits perliers de la production à la commercialisation ;
 Mettre en place une démarche de développement durable et un nouveau mode de gouvernance avec la création de comités de gestion décentralisé et un conseil de la perliculture.

Le ministre en charge de l’Economie bleue présentera ce projet de réforme réglementaire du secteur de la perliculture devant les élus du CESC avant de le soumettre à l’examen de l’Assemblée de la Polynésie française pour une mise en application prévue début 2017.


Soutien pour la réalisation du film « Gauguin »

Le Conseil des ministres a répondu favorablement à la demande de la SARL Filmin’ Tahiti, chargée de la production exécutive pour le compte de la SARL Move Movie du film « Gauguin », pour la mise à disposition d’aides logistiques et matérielles, au titre des dispositions de la délibération du 8 juin 2000 instituant un régime de soutien en faveur de la production audiovisuelle en Polynésie française.

La réalisation de ce projet audiovisuel génèrera également des retombées économiques, notamment en termes d’hébergement, de restauration, d’achats et de transport terrestre. La réussite de ce projet revêt une importance particulière, tant sur le plan du développement de la filière professionnelle audiovisuelle locale, que sur celui de la promotion de la destination polynésienne.


Acquisition d’un immeuble de transit à Teroma

Le Conseil des ministres a validé l’attribution d’une subvention d’investissement au profit de l’OPH (Office polynésien de l’habitat) afin d’acquérir un immeuble d’habitation existant situé à Teroma, à Faa’a, dans le but de l’utiliser comme « logements de transit ».

Ces logements seront destinés essentiellement à accueillir des familles issues des opérations de Résorption de l’Habitat Insalubre (RHI) des quartiers identifiés et prioritaires. Cet immeuble pourra également apporter une réponse aux familles se trouvant en situation d’extrême urgence.

Pour optimiser la capacité d’accueil de cet immeuble, des travaux de réaménagement seront prévus au terme de l’acquisition et permettront de passer de 12 à 16 logements.
Le coût d’acquisition, d’un montant de 380 millions Fcfp, est pris en charge à 100% par le Pays.


Aménagement des aires de jeux de Puna Nui

Le Pays souhaite apporter son soutien au développement des espaces verts et des aires de jeux dans les lotissements sociaux afin de promouvoir le mieux vivre ensemble et d’améliorer durablement le cadre de vie des locataires du parc ancien de l’OPH. C’est dans cette optique que le Pays a demandé la réalisation d’un espace de vie commun sur les Hauts de Punaauia au niveau des lotissements Puna Nui et Puna Iti.
Le projet comportera les infrastructures suivantes :

- un fare pote’e dont un local de rangement et 2 toilettes ;
- un terrain de sport (basket-ball et volley-ball) ;
- une aire de jeux pour enfants en bas âge ;
- une allée piétonne bétonnée permettant l’accès aux différents espaces de loisirs ;
- l’aménagement des zones libres en espaces verts ;
- la mise en place de clôtures de protection ;
- la mise en place de mobilier urbain (bancs, poubelles) ;
- un poste de relevage des eaux usées des toilettes, pour les acheminer vers la station d'épuration existante.

Ce projet est suivi simultanément par le ministère en charge de la Jeunesse et des sports, via l’IJSPF, et le ministère en charge du Logement et de la rénovation urbaine, de la politique de la ville, via l’OPH, pour la mise en œuvre de l’ensemble du projet. A cet effet, le Conseil des ministres a validé une subvention de 30,6 millions Fcfp pour financer ces aménagements dont les travaux sont prévus sur 3 mois.


Approbation de l’arrêté d’application organisant l’intervention des organismes privés de logement social (OLS privés)

Au mois de juillet dernier, l’Assemblée de la Polynésie française a adopté la proposition du gouvernement de créer un dispositif incitatif pour les opérateurs privés qui souhaitent œuvrer, aux cotés du Pays, à l’augmentation de l’offre de logements sociaux, notamment à destination des jeunes ménages et des demandeurs ayant des revenus ne dépassant pas quatre SMIG.

Les délais de recours de cette loi du Pays étant dorénavant purgés, le Conseil des ministres a approuvé l’arrêté d’application de cette loi, qui est donc désormais opérationnelle. Pour rappel, ce dispositif permet la mise en œuvre de programmes agréés de logements dont le financement pourra faire appel au dispositif national de défiscalisation du logement social outre-mer (LOEDEOM). Ces projets seront en outre aidés également par le Pays à hauteur maximum de 20 % du coût de la construction.

Ces aides du Pays pourront prendre la forme de mise à disposition d’assises foncières, d’instauration d’une fiscalité incitative notamment sous forme d’exonération, ou encore d’une subvention directe sous réserve des disponibilités budgétaires.

A ce jour, deux opérateurs privés ont déjà obtenu leur agrément en tant qu’OLS privé et projettent la construction de près de 330 logements d’ici 3 ans pour un investissement global de 8 milliards Fcfp. Plusieurs autres promoteurs privés ont d’ores et déjà fait part au gouvernement de leur intérêt pour ce dispositif incitatif qui répond à un réel besoin en termes d’offre de logements pour notre population.


Etudes pour un complexe sportif à Hitiaa

Le Conseil des ministres a décidé d’octroyer une subvention d’investissement en faveur de l’Institut de la jeunesse et des sports de la Polynésie française (IJSPF) afin de financer l’opération « Etudes pour la construction d’un complexe sportif polyvalent de Hitia’a », et ce dans le cadre du Contrat de projets numéro 2 (2015-2020).

Le Pays a en effet la volonté de doter la côte Est d’un complexe sportif pouvant accueillir plusieurs disciplines, telles que le football, l’athlétisme, le handball, le basket-ball, le volley-ball, et le futsal. Le complexe sera situé à proximité du collège de Hitia’a, ce qui permettra notamment de développer le sport scolaire. Le coût des études pour cette opération est estimé à 28,4 millions Fcfp TTC, répartis entre deux parts égales de 50% entre le Pays et l’Etat, de 12,6 millions Fcfp, et d’une part complémentaire (TVA 13%) de 3,2 millions Fcfp prise en charge par le Pays.


Convention décennale Etat-Pays relative à l’éducation

La convention décennale Etat-Pays relative à l’éducation arrive à son terme en 2017. Le projet de convention qui a été examiné en Conseil des ministres, prévoit de mettre en place de nouvelles modalités de partenariat centrées sur des relations étroites en termes de dialogue de gestion, de gestion des moyens et d’orientations de l’éducation en Polynésie française.

Conformément à la Charte de l’éducation actualisée au mois de juillet 2016, l’accent sera ainsi mis sur le développement de l’usage du numérique dans les écoles, collèges et lycées, avec notamment la mise en place d’un haut comité du pilotage de l’école numérique présidé par le ministère de l’éducation.

Le partage des compétences Etat-Pays pour les titres et diplômes nationaux, bien que conservant les mêmes principes, s’organisera aussi au regard du protocole signé entre le Vice-recteur et la Polynésie française. S’agissant du pilotage et de l’évaluation du système éducatif, le texte prévoit, entre autres, le recours à un collège des inspecteurs de l’éducation nationale et des inspecteurs académiques, lesquels seront notamment chargés de veiller au respect des programmes au sein du cycle 3 de l’enseignement scolaire de manière plus particulière.

Par ailleurs, en termes de ressources humaines, les modalités de recrutement, de mise à disposition, d’affectation ou de fin de séjour de la convention du 4 avril 2007 sont reprises en grande majorité. Au titre de la participation de l’Etat aux charges supportées par la Polynésie française en matière d’éducation, le projet de convention prévoit qu’en l’absence de la dotation globale de compensation, l’Etat participe à ces dépenses, qu’il s’agisse de dépenses de fonctionnement (rémunération des personnels de l’Etat mis à disposition, transports scolaires…) ou encore de dépenses d’investissement (immobilier principalement).

Le texte prévoit une entrée en vigueur au 1er janvier 2017, avec une durée de vie prévue pour 10 ans. Il prévoit, par ailleurs, la mise en place d’un comité de suivi de la mise en œuvre de la convention. Ce comité, co-présidé par le haut-commissaire de la République en Polynésie française et le président de la Polynésie française, peut notamment être saisi de toute question relative à l’évaluation de la réalisation des objectifs fixés par la Charte de l’éducation du Pays.


Tuaro No te Ora inscrit au calendrier des manifestations sportives

L’événement annuel, créé en 2011 par la Caisse de Prévoyance Sociale, intitulé Tuaro No Te Ora, sera désormais inscrit au calendrier des manifestations sportives de la Polynésie française.
Au cours des 5 premières éditions (2011 – 2015), Tuaro No Te Ora a mobilisé plus de 5 000 visiteurs, hommes et femmes de tous âges. En outre, plus de 15 disciplines sportives leurs ont été proposées au titre de la promotion des activités physiques et sportives, et de la découverte. L’édition 2016 revêtira un caractère innovant en termes de participation, avec notamment la présence de 1000 jeunes des quartiers prioritaires identifiés par le Contrat de Ville. Ainsi, 2000 personnes d’horizon divers se côtoieront au cours de la journée du 1er octobre, sur le domaine public communal de Aorai Tini Hau - Pirae, de 9 à 18 heures.


Jeunesse et sports : attribution de subventions de fonctionnement

La mise en œuvre de la politique sportive du Pays s’appuie, essentiellement, sur un tissu associatif dynamique, regroupé en fédérations qui disposent d’une « délégation de service public » avec 3 missions principales :
- le développement du sport pour tous, ou sport de masse,
- le développement du sport de haut niveau,
- et, enfin, la mise en œuvre de formations des membres et cadres techniques.

Afin d’aider ces fédérations sportives à mener à bien leurs missions de service public, le Pays et l’Etat leur allouent, notamment, chaque année des aides financières, sous forme de subventions de fonctionnement. Une commission du Centre national de développement du sport de Polynésie française, ou CNDS, constituée de représentants du Pays, de l’Etat et du mouvement sportif, est chargé d’émettre un avis, en fonction de critères objectifs, sur les demandes de subventions des fédérations.
La décision finale d’octroi des subventions relève, in fine, du Conseil des ministres, après avis de la Commission de contrôle financier et budgétaire. C’est ainsi que le Conseil des ministres a validé les subventions de fonctionnement en faveur de 6 fédérations sportives (Golf, Handisport, Tennis, Tennis de table, Natation et Karaté) pour un montant global d’environ 20 millions Fcfp. Deux grandes associations de jeunesse (Arii heiva rau et UTFSCF) vont également recevoir une subvention de fonctionnement pour un montant global de 12 millions Fcfp.
Le Gouvernement affirme ici son soutien aux associations sportives et de jeunesse à travers un accompagnement financier permettant de contribuer à la réalisation d’actions diverses auprès des jeunes du Pays.


Déclaration d’utilité publique pour l’aménagement de la rivière Tiapa

Le ministre de l’Equipement a présenté au Conseil des ministres un projet d’arrêté relatif à la déclaration d’utilité publique de l’aménagement de la rivière Tiapa, sise PK 20,22 dans la commune de Paea, et à la cessibilité des parcelles de terres nécessaires à la réalisation des ouvrages.

Cet aménagement qui vise à contenir le cours d’eau dans son lit en cas de crue d’occurrence centennale, et à en stabiliser les berges, impactera 36 parcelles de terre représentant une superficie totale de 4 981m².

L’arrêté soumis au Conseil des ministres s’inscrit dans la procédure d’acquisition par expropriation initiée par un arrêté du Conseil des ministres du 16 novembre dernier modifié, et tient compte de l’avis favorable formulé par le commissaire enquêteur au terme des enquêtes publiques qui se sont déroulées du 18 janvier au 3 février 2016.


Démarrage des travaux pour le pôle de santé mentale

Le Conseil des ministres a approuvé le projet d’avenant 3 à la convention de maîtrise d’ouvrage déléguée à l’établissement Tahiti Nui Aménagement et Développement relative à la construction du pôle de santé mentale. La signature de cet avenant permettra au Pays de démarrer ce chantier dès le mois d’octobre prochain conformément à l’annonce faite par le Président sur le sujet.

Après une première phase intégrant la déconstruction de l’ancien hôpital militaire Jean Prince ainsi que les études préalables au lancement des travaux, financée par le Pays et par l’Etat au titre du Contrat de projets 2008-2014, pour un montant de 440 millions Fcfp TTC, la seconde phase du projet, objet de l’avenant 3, consiste en la construction de l’ouvrage dont le coût est estimé à 3,630 milliards Fcfp. La livraison du bâtiment est prévue pour le mois d’octobre 2019.


Modification de la cotation du dépistage prénatal non invasif de la trisomie 21 dans la nomenclature des actes de biologie médicale

Le dépistage prénatal non invasif de la trisomie 21 représente une avancée majeure dans la prise en charge des femmes enceintes à risque en permettant la détection de cette pathologie par une simple prise de sang. Ce test est remboursé par la Caisse de Prévoyance Sociale depuis août 2015.

Le Conseil des ministres a adopté un arrêté portant modification de la cotation de ce test génétique à la nomenclature des actes de biologie médicale afin de répercuter la baisse de prix effectuée par le laboratoire. L’impact prévisionnel est évalué à près de 11 millions Fcfp d’économies sur un an pour la CPS sur la base d’une estimation de 350 tests réalisés par an.

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Moruroa for ever : l'exposition qui va faire "boom"

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Moruroa for ever : l'exposition qui va faire
PAPEETE, 14 septembre 2016 - La galerie Winkler expose du 29 septembre au 11 octobre le travail de sept artistes autour de la thématique du nucléaire.

Le 2 juillet dernier la Polynésie célébrait les 50 ans du premier essai nucléaire français dans le Pacifique. Un collectif de sept artistes (Abuze, Cronos, Dettloff, NTJ, Kanaky, Komosulo et THS) expose à partir du jeudi 29 septembre ses travaux autour de la question du nucléaire en Polynésie et ses conséquences.

Une exposition à découvrir lors d'un cocktail-vernissage le jeudi 29 septembre à partir de 18 heures. L'exposition se poursuivra jusqu'au 11 octobre.

Galerie Winkler
17 rue Jeanne d'Arc, Papeete, Tahiti.
Tel : 40 42 81 77 / 49 90 81 77
Ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 12 h 30 puis de 13 h 30 à 17 heures et le samedi de 8 h 30 à midi.

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Festival polynesia : Moses Goods et Rangimoana Taylor content leurs légendes

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Festival polynesia : Moses Goods et Rangimoana Taylor content leurs légendes
PAPEETE, le 14 septembre 2016 - Moses Goods et Rangimoana Taylor seront ce jeudi sur le paepae a Hiro de To'ata pour conter les légendes de leurs îles respectives Hawaii et Aotearoa. Regards croisés.

Depuis plus de 20 ans, lMoses Goods et Rangimoana Taylor content les légendes de leurs pays d'origine. L'envie de maintenir leurs langues et leurs histoires en vie est au cœur de leur démarche.

Quelle histoire allez-vous conter au public ce jeudi ?

Moses : Je vais partager avec le public un conte traditionnel qui raconte l'histoire de Kamapua'a, un de nos Dieux, moitié homme moitié cochon. Je vais commencer avec un traditionnel hula, danse ancestrale et un petit discours, tout cela connecté à l'histoire de notre dieu.

Rangimoana : J'ai choisi de raconter une légende qui raconte l'histoire du dieu Maui car c'est une histoire qui concerne chacun de nous.

Pourquoi avez-vous choisi ces histoires à raconter?


Moses : J'ai choisi cette histoire pour plusieurs raisons. Kamapua'a est très spécifique à Hawaii. On ne trouve son nom qu'à Hawaii. Il est le seul dieu à n'être originaire que de cette île là. Aussi, dans cette histoire que je vais raconter, Kamapua'a voyage à Kahiki, qui représente la terre ancestrale, qui peut aussi se traduire par Tahiti.

Rangimoana : J'ai choisi cette histoire car le dieu Maui est connu à travers toute la Polynésie. Elle raconte notre histoire et nos origines.

"Les histoires du passé nous expliquent qui nous sommes aujourd'hui."
Festival polynesia : Moses Goods et Rangimoana Taylor content leurs légendes
Les histoires vont être contées en langue vernaculaire, comment allez-vous faire pour que tout le monde comprenne?

Rangimoana : La légende que je vais conter sera traduite en français. Les gens pourront donc lire l'histoire avant que je ne leur conte. Puis, je la conterai comme j'ai l'habitude de le faire, de manière vivante.

Moses : Mon style de conteur est très physique, animé. Je suis très expressif dans mon style. Donc même si le public ne va pas comprendre tous les mots que je vais prononcer, il va comprendre le plus important, il pourra le sentir. Je vais essayer de faire ressentir les choses le plus possible.

Quelle place prennent les légendes et les contes dans vos cultures?

Moses : Elles ont une place très importante. Les histoires du passé nous expliquent qui nous sommes aujourd'hui. C'est aussi important pour nous, les natifs de ces terres, de raconter notre propre histoire. Car, si quelqu'un d'autre la raconte, il va le faire à sa manière, d'où l'importance pour nous de la raconter. Ainsi, nous pouvons être sûrs que l'information est transmise de génération en génération.

Rangimoana : Nous voulons que nos enfants sachent qu'ils font partie de Polynésie. Ce que je leur dit souvent est de saluer la majesté, qui est cet océan Pacifique.

Quelles sont les ressemblances entre les légendes venues de vos îles et celles de Polynésie française?

Rangimoana: La plupart de nos histoires commencent ici. Dans nos légendes, il est souvent question de canoës, d'étoiles… Nous parlons beaucoup de la nature, de la terre, celle qui appartient à tout le monde

Moses : Il y a beaucoup de ressemblances entre les légendes hawaiiennes et celles polynésiennes! Quelques fois, nous avons les mêmes dieux et les mêmes personnes dans nos histoires. Il y a seulement une petite différence dans le nom. Par exemple, à Hawaii, nous parlons de Kanaloa, dieu de la mer, et ailleurs ils disent Tangaroa. C'est là toute la beauté de notre culture : nous avons des ressemblances mais nous sommes aussi très uniques.

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Te mau Fa’aotira’a a te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau, mahana toru 14 no Tetepa 2016

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Paturu faufa’a monira’a i te fa’anahora’a fa’a’orera’a tute no te Fenua nei

Te hoho’a papa no te fa’ahotura’a o tei vauvauhia i roto i te putuputura’a ha’amanara’a pu’eparau, te fa’ata’a ra ia i te ho’e tauturu fa’arahihia no te mau rave’a fariihia e te mau mana o te hau no ni’a i te fa’a’orera’a tute, i te taime, e te mau rave’a fa’ahotura’a a te mau taiete ‘ohipa, nati ti’ahia i ni’a i to ratou ti’ara’a ‘aufau tute, ua hi’o fa’ahouhia.

No reira, te mara’ara’a tamau o te mau moni tute o mai o tei ‘iteahia i rotopu i te 2014 e 2015, no te tuto tute vai tamau, no te tute ihoa ra i ni’a i te mau totaiete, o tei fa’a’ite mai e, e nehenehe i teie mahana, ia hi’o autanohia te reira noa a mau rave’a fa’ahotura’a na roto i te fa’a’orera’a tute. No reira, ua vauvau mai te Mono-Peretiteni i mua i te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te tahi parau fa’aarara’a no te fa’a’ite mai e te vaira i teie nei ta te Haufenua mau rave’a maitata’i atu a no te tauturu i te fa’ahotura’a unuma na roto i te fa’anahora’a no te fa’a’orera’a tute a te Fenua nei.

No te reira tumu, ua ani mai te Mono-Peretiteni ti’a’au i te mau Faufa’a moni :

1. Ia fariihia te ha’amara’ara’a i te mau vehirata ‘afata terera’a faufa’a fa’ata’ahia no te mau tuha’a faufa’a moni tute no te fa’a’orera’a tute hau atu i te + 600 mirioni toata farane no te ha’amara’a mai te 3 miria toata farane o tei tapa’ohia i roto i te ‘afata terera’a faufa’a no 2016 i ni’a i te 3,6 miria toata i roto noara’a ra i te ‘afata terera’a faufa’a metua no 2017 ;
2. Ia ani i te Fa’aterehau ti’a’au i te Ha’amahutara’a fa’arava’ira’a faufa’a ia ha’aputuputu mai teie nei e tae atu i te hope’a no teie nei matahiti i te tomite tuatapapa i te mau fariira’a tute no te fa’ati’a i te fa’a’orera’a tute a taua mau ‘opuara’a fa’ahotura’a ra.


Tapiho’ora’a i te faraoa ota titona maru paruruhia

Na roto i te piira’a matete no te faraoa ota paruruhia na roto i te pute hau atu i te 2 kiro o tei taratarahia i te 18 no tiurai i ma’iri a’e nei, ua fa’aoti te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau e ia ha’amauhia te tapiho’ora’a o te faraoa ota i ni’a papa no te mau moniho’o fa’aturehia mai teie i muri nei :

- 19,30 toata farane/kg na te ta’ato’ara’a o te feia ‘eu faraoa no Porinetia farani
- 19,30 toata farane/kg na te tahi è atu feia e fa’a’ohipa ra e aore ra o te ho’o fa’ahou atura no te mau motu i rapae è atu ia Tahiti e o Moorea
- 19,30 toata farane/kg na te mau pahi e ha’a ra i te tapura ‘ohipa tapiho’ora’a piihia « ho’ora’a taime vata »
- 23,30 toata farane/kg no te mau ho’o fa’ahoura’a atu « taime vata » e aore ra no te mau tapio’ora’a na roto i te mau motu

Te fa’aha’amana’ohia’tu nei e taua faraoa ota ra titona maru no roto mai i te piira’a matete ua fa’ata’a noahia ia no te hamanira’a i te mau faraoa hopue e mea fa’aturehia to ratou mau moniho’o e te fa’aotira’a mana no te 8 no tiurai 1996.


Te ‘opuara’a no te reforomatio i te fa’aturera’a i te tuha’a no te fa’a’apura’a poe parau o te vauvauhia i mua nei i roto i te AMTM (CESC)

Te fa’a’apura’a poe parau o te ho’e ia tuha’a no te taviri o te fa’arava’ira’a faufa’a a te Fenua nei. Piri i te 3 000mau ti’ara’a ‘ohipa e e 80% no te mau tapiho’ora’a na te ara, te reira te tuha’a punavai faufa’a matamua roa no te mau tapiho’ora’a na te ara i te mau hotu faufa’a moana. Teie ra, ua topa ato’a mai taua punavai faufa’a ra i roto i te tafifi a rave rahi mau matahiti i teie nei. I roto e 25 rahira’a matahiti, ua vavahihia te ho’o o te poe i roto e10 tuha’a are’a i taua noa ato’a ra taime, ua tata’i 25 ia te hotura’a.

I roto i taua ti’ara’a mara’e’e ra, piri i te 1 i ni’a i te 3 o te mau fa’a’apura’a o tei fa’aea i ta ratou mau tareni i roto i na matahiti e 8 i ma’iri. Ua ha’amata mai te tahi mau tairoto no te mau motu aruaru fa’a’apura’a poe parau i te fa’a’aite mai i te mau tapa’o fifi no te iho natura o tei fa’atupu mai i te itira’a te mau haruharura’a, ua rahi te mau parau i te pohepohe e ua topa i raro te faito maita’ira’a o te mau poe. E te hope’a roa ra’a, ‘aita e ‘ite mara’a fa’ahouhia ra te hotura’a e hau atu i te reira, o te mau fa’a’apura’a ana’e o tei fa’a’ite manahia mai, o te tai’o maitehia ra.

I teie nei, ua ha’amauhia te fa’aturera’a no taua faufa’a ra, i ni’a e 5 fa’aotira’a mana o te fa’ature ra i te mau titaura’a no te hotura’a e no te tapiho’ora’a i te mau hotu poe niuhia i ni’a i te mau fa’aturera’a no te maita’ira’a roa fa’a’itehia mai na roto i te hi’opo’ara’a a te hau. Ua ‘itehia mai, e ‘aita te reira fa’anahora’a i riro ei rave’a no te ha’amara’a fa’ahoura’a mai i te hotu poe parau, e ‘aita ato’a ho’i te reira i riro ei parurura’a i te vai naturara’a o te mau tairoto. No reira, ua fa’aoti ‘amui te mau pae ato’a, te Fa’aterera’ahau no te Fa’arava’ira’a faufa’a ninamu e te feia fa’a’apu parau e mea faufa’a ia reforomatiohia.

E pahono te fa’aturera’a ‘api e 4 mau titaura’a tumu :

Ø ha’amaura’a i te mau mauha’a no te fa’atanotanora’a i te hotu no te ha’amara’ara’a na roto atu i te ti’ara’a hotu puai o tei ‘ore i roa’a i te ti’a’au maita’ihia mai i roto i te ho’e fa’anahora’a hotu fa’ata’a maita’ihia e no te faito maita’i ;
Ø te ha’apapura’a i te ho’i fa’ahoura’a i te mau ti’a toro’a ‘aravihi hina’aro maotihia no te maita’i o te tapiho’ora’a ;
Ø te fa’atere’au maita’ira’a i te mau tapura ‘ohipa a te tapiho’o no te « nucléus » e te tapiho’o mauha’a rii no te ha’apuai i te fa’atupura’a i taua tuha’a ra e te fa’atupura’a ia mahere faito maita’i te mau hotu poe i roto i te tapiho’ora’a ;
Ø te ha’amaura’a i te ho’e arata’ira’a no te fa’ahotura’a e ti’a i te vaira’a e i te ho’e huru fa’aterera’a ‘api na roto i te ha’amaura’a mai i te mau tomite no te ti’a’aura’a ‘operepere au maitehia na te mau vahi ato’a e i te ho’e tomite no te fa’a’apura’a poe parau.

E vauvau mai i mua nei te Fa’aterehau no te Fa’arava’ira’a ninamu i taua ‘opuara’a ra no te reforomatiora’a fa’aturehia no te tuha’a no te fa’a’apura’a poe parau i mua i te mau ti’a ma’itihia o te AMTM (CESC) hou a’e a tu’u atu ai i te reira i mua i te hi’opo’ara’a a te ‘Apo’ora’arahi no Porinetia farani no te fa’a’ohipara’a fa’aauhia no te ‘omuara’a no 2017.


Tauturu no te tavirira’a i te hoho’a « Gauguin »

Ua pahono te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te anira’a a te taiete « SARL Filmn’ Tahiti », na’na e fa’atere i te tavirira’a i te hoho’a na ni’a i te i’oa o te « SARL Move Movie » no te hoho’a teata ra « Gauguin », no te fa’anahora’a i te mau mauha’a e te mau materia, na roto i te mau fa’aturera’a a te fa’aotira’a mana no te 8 no tiunu 2000 o te fa’ata’a ra ho’e ‘afata tauturu no te tavirira’a hoho’a teata i Porinetia farani nei.

Efa’atupu ato’a te fa’atupura’a i taua ‘opuara’a ra i te topatopa i roto i te fa’arava’ira’a faufa’a, i te pae ihoa no te nohora’a, no te fare tama’ara’a, no te tapiho’ora’a e no te utara’a na ni’a i te fenua. E faufa’a rahi o te roa’a mai manuia noa’tu te tavirira’a i taua hoho’a teata ra, i te pae no te fa’ahotura’a ti’ara’a toro’a no te tavirira’a hoho’a teata i te fenua nei, e i ni’a ato’a i te hanira’ahia e taviri i te hoho’a i Porinetia farani nei.


Ho’ora’a mai i te ho’e Pu fare puhapara’a tau poto i Teroma

Ua ha’amana te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te horo’ara’a i te ho’e tauturu moni no te fa’ahotura’a na te OPH (Pu Porinetia no te Nohora’a) no te ho’ora’a mai ho’e Pu fare nohora’a e vai i Teroma, i Fa’a’a, no te fa’a’ohipara’a’tu ia’na ei « nohora’a pu’etau poto ».

E fa’ata’ahia taua mau nohora’a ra no te farii atu i te mau ‘utuafare fetii no roto mai i te mau tareni no te Fa’a’apira’a i te mau Nohora’a Reporepo (FNR=RHI) no te mau aroa i tapurahia e te mea ru roa a’e. E riro atoa taua pu fare ra ei pahonora’a no te mau ‘utuafare fetii i roto i te mau ti’ara’a fifi ru rahi roa.

No te fa’atano i te rahira’a tino e nehenehe i taua pu ra e farii mai, e ravehia te tahi mau tapura ‘ohipa tata’ira’a ia roa’a mai ‘oia o te nehenehe e horo’a mai, mai te 12 e tae atu 16 mau nohora’a.

Te moni ho’o, tei ni’a ia i te 380 mirioni toata farane, o te amohia 100% e te Haufenua.


Fa’anahora’a i te mau tahua ha’utira’a i Puna Nui e Puna Iti

Ua hina’aro te Haufenua e horo’a i ta’na turu i roto i te ha’amaita’ira’a i te mau area matie e te mau area no te mau ha’utira’a i roto i te mau pu nohora’a totiare no te fa’ahotu i te i orara’a ‘amui i roto i te ‘oa’oa e no te ha’amaita’i atu a no te pu’etau e ti’a i te vaira’a no te orara’a o te mau fatu nohora’a a te OPH. No te reira hi’ora’a i ani ai te Haufenua e ia fa’atupuhia te tahi area no te orara’a ‘amui i ni’a i te mau ‘Aivi no Punaauia i roto i te Pu Nohora’a Totiare Puna Nui e Puna Iti

E ‘amui teie ‘opuara’a i te mau patura’a i muri nei :

- Ho’e pote’e, oia ho’i, ho’e fare ‘apapara’a e e 2 haumitira’a ;
- Ho’e tahua tu’aro (mao’ara’a popo i roto i te ‘été e pa’ira’a popo) ;
- Ho’e area ha’utira’a na te mau tamarii na’ina’i ;
- Ho’e area hahaerera’a no te haerera’a’tu i roto i te mau area fa’a’ana’anataera’a rau ato’a ;
- Te fa’anahora’a i te mau poro ateatea ei mau area matie ;
- Te hamanira’a i te mau ‘aua parurura’a ;
- Te ha’amaura’a i te mau materia taura ‘oire ( mau parahi roroa, mau vaira’a pehu) ;
- Ho’e pu putura’a i te mau pape viivii o te mau haumitira’a, no te fa’atoro atu i te reira i roto i te pu titi’ara’a pape viivii e vaira.

E fa’atere’au maitehia te reira tapura ‘ohipa e te Fa’aterera’ahau ti’a’au i te Feia ‘Api e te mau Tu’aro, na roto i te IJISPF, e te Fa’aterera’ahau ti’a’au i te Nohora’a e te fa’a’apira’a i te taura ‘Oire, te porotita o te ‘Oire, na roto i te OPH, no te fa’atupura’a i te ta’ato’ara’a no taua ‘opuara’a ra. No te reira, ua ha’amana te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau, i te ho’e tauturu moni i ni’a i te faito e 30,6 mirioni toata farane no te paturu faufa’a monira’a i taua fa’anahora’a ra o tei tohuhia e oti mai i roto e 3 ‘ava’e.


Ha’amanara’a i te fa’aotira’a mana no te fa’a’ohipa i te i te fa’anahora’a no te fa’ao mai i te mau Taiete Unuma no te Nohora’a Totiare (TUNT=OLSP)

I te ‘ava’e tiurai 2016 iho nei, ua ha’amana to te ‘Āpo’ora’arahi no Porinetia farani i te tu’ura’a mana’o a te ‘Āpo’ora’ahau no te ha’amau i te ho’e fa’anahora’a no te fa’aitoito i te fa’anahora’a fa’atiani i te mau ‘ona unuma o te hina’aro ra e tapiri mai i piha’iiho i te Haufenua e ‘ohipa ai, no te ha’amara’ara’a i te faito no te ma nohora’a totiare, no te mau ‘utuafare ihoa ra a tahi ra a fa’aea mai ai e no te mau ‘utuafare e ani ra i te nohora’a e tei raro mai ta rātou mau moni o mai i te faito e 4 a’e moni tahua SMIG.

Te pu’etau hope’a no te ha’apararira’a i taua ture ‘Āi’a ra, ua hope ia, ua ha’amana ia te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i teie iho nei mahana, i te fa’aotira’a mana no te fa’a’ohipara’a i taua ture ra o tei riro i teie nei ei ture mana e au ia fa’a’ōhipahia.

Ei fa’aha’amana’ora’a, e nehenehe teie ture e fa’a’ōhipa i te mau tapura ‘ōhipa fa’ata’ahia no te nohora’a e to ratou mau paturura’a faufa’a moni e nehenehe ia e amohia na roto i te fa’anahora’a a te Haunui no te fa’a’orera’a tute no te nohora’a totiare Aramoana (LOEDEOM). Hau atu i te reira, e tauturu ato’ahia te reira mau ‘ōpuara’a e te Haufenua, i ni’a i te faito raro roa e 20% no te moniho’o o te patura’a.

E riro mai te reira mau tauturu a te Haufenua mai te huru ra no te fa’anahora’a tumu ‘ōhipa fenua, no te ha’amaura’a i te hō’ē tute fa’atianira’a na roto i te fa’a’orera’a tute, e aore a ra, i te ho’e tauturu moni ti’a mai te mea e rava’i i te ‘afata terera’a faufa’a.

I teie mahana, e piti tau ‘ona unuma o tei roa’a ta raua parau fa’ati’a i ni’a i te ti’ara’a OLS unuma e o te ‘ōpua ra e patu e 330 rahira’a nohora’a mai teie nei e tae noa’tu e 3 matahiti no te ho’e ha’amau’ara’a ‘amui e 8 miria toata farane.

E mea rahi atu a te mau ‘ona unuma o tei fa’a’ite a‘e na mai i te ‘Āpo’ora’ahau i to rātou ‘ana’anatae no taua fa’anahora’a fa’atiani ra o te pahono i te hia’aira’a mau i te pae no te horo’ara’a i te mau nohora’a no to tātou huira’atira.


Tuatapapara’a no te ho’e tamaru tu’aro i Hitia’a

Ua fa’aoti te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau e horo’a ho’e tauturu moni no te fa’ahotura’a na te Pu no te Feia ‘Api e no te mau Tu’aro no Porinetia farani (PATPF=IJSPF) no te ‘aufau monira’a i te tapura ‘ohipa « Mau tuatapapara’a no te hamani i te ho’e pu tu’aro rau no Hitia’a », e te reira, na roto i te Fa’aaura’a no te mau ‘Opuara’a numera 2 (2015-2020).

‘Oia ma, te vai maoti mau ra te hina’aro o te Haufenua no te horo’a na te pae’au Hitia’a o te Ra i te ho’e pu tu’aro o te nehenehe e farii e rave rahi mau ha’utira’a tu’aro, mai te tu’era’a popo, te ma’ona, te tirira’a popo, te mao’ara’a popo i roto i te ‘ete, te pa’ira’a popo, e te futsal. E patuhia taua pu tu’aro ra i piha’iiho noa iho i te Fare Ha’apiira’a Pirituarua no Hitia’a, ia nehenehe ato’a ia hotu mai te tu’aro ha’apiira’a. Te ho’o no taua mau tuatapapara’a no taua tapura ‘ohipa ra, ua tohuhia ia i ni’a i te faito e 28,4 mirioni toata farane TTC, tuhahia i roto e piti tuha’a ‘aifaito maita’i e 50% i rotopu i te Haufenua e te Haunui, no te faito 12,6 mirioni toata farane, e te ho’e tuha’a hau (TVA 13%) no te faito e 3,2 mirioni toata farane o te amohia e te Haufenua.


Fa’aaura’a ‘ahuru matahiti Haunui-Haufenua no ni’a i te Ha’apiira’a

Te fa’aaura’a ‘ahuru matahiti Haunui-Haufenua no ni’a i te Ha’apiira’a, e hope ia i teie matahiti 2017. Te fa’ata’a ra te ‘opuara’aa no te fa’aaura’a o tei hi’opo’ahia i roto i te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau, e ha’amau i te mau fa’aturera’a ‘api no te autaipera’a niuhia i ni’a i te mau aura’a piriha’o a’e i te pae no te tau’aparaura’a no te ti’a’aura’a, te ti’a’aura’a i te mau rave’a e te mau arata’ira’a no te ha’apiira’a i Porinetia farani nei.

Ia au i te Ture ‘Arata’i no te Ha’apiira’a o tei fa’a’ohipahia i te ‘ava’e tiurai 2016, e fa’atumuhia te ha’afaufa’ara’a i ni’a i te ha’amaita’ira’a i te fa’a’ohipara’a i te rorouira i roto i te fare ha’apiira’a, te mau fare ha’apiira’a pirituarua e te mau fare ha’apiira’a tuarua, ma te ha’amau ihoa ra i te ho’e tomite teitei no te pairatira’a i te ha’apiira’a peretitenihia e te Fa’aterehau no te Ha’apiira’a.

Te ‘operepere aumaitera’a i te mau mana Haunui-Haufenua no te mau ti’ara’a e te mau parau tu’ite haunui, noa’tu a e tape’a noahia mai te mau arata’ira’a tahito, e fa’atupuhia’tu te reira ia au i te mau fa’aaura’a tu’urimahia i rotopu i te Mono-Fa’atere haunui no te ha’apiira’a e o Porinetia farani. No ni’a i te pairatira’a e te ha’afaufa’ara’a i te fa’anahora’a no te ha’apiira’a, te fa’ata’a ra te ture, i te tahi noa hi’ora’a, te fa’a’ohipara’a i te tahi ‘amuitahira’a no te mau tomitera hi’opo’a no te ha’apiira’a haunui e te mau tomitera hi’opo’a anavaharau, o te fa’ata’ahia no te mataarara’a ia fa’aturahia te mau tapura ‘ohipa i roto i te tuha’a 3 no te mau tumu parau e ha’apiihia ma te arata’ira’a ta’a-è maoti mau.

Hau atu i te reira, i te pae no te mau punavai tino ‘ohipa, te mau fa’aturera’a no te tihepura’a mai, no te fa’ata’ara’a mai, no te tonora’a e aore ra no te hopera’a te manara’a no te fa’aaura’a no te 4 no ‘eperera 2007, ua rave fa’ahouhia mai te rahira’a o ratou. No ni’a i te tuha’a a te Haunui i roto i te mau tuto o tei amo noahia mai na e Porinetia farani i te pae no te ha’apiira’a, te fa’ata’a ra te ‘opuara’a no te fa’aaura’a i te mea e ‘aita e paturura’a tumu, e ‘amui mai te Haunui i roto i te amora’a i taua mau ha’amau’ara’a ra no te terera’a ‘ohipa roto (te ‘aufaura’a i te mau rave ‘ohipa a te Haunui o tei tu’uhia mai e fa’a’ohipa, te mau utara’a i te mau tamarii haere ha’apiira’a…) e aore a ia, te mau ha’amau’ara’a no te fa’ahotura’a (te mau pu rarahi).

Te fa’ata’a ra te ture e ia ha’amanahia te reira i te 1 no tenuare 2017, no te ho’e maorora’a 10 matahiti. Te fa’ata’a ato’a ra ‘oia, e ia ha’amau ato’ahia te ho’e tomite hi’opo’a i te fa’a’ohipara’a i taua fa’aaura’a ra. Taua tomite ra, peretiteni ti’apitihia e te Tomitera Teitei i Porinetia farani e te Peretiteni no Porinetia farani, e nehenehe ‘oia e titauhia no ni’a i te huru parau ato’a no ni’a i te ha’afaufa’ara’a i te fa’atupura’a i te mau fa ha’amauhia e te Ture ‘Arata’i no te Ha’apiira’a a te Fenua.


Tu’aro No te Ora tapurahia i ni’a i te tarena no te mau ta’urua tu’aro

Te ta’urua matahiti, ha’amauhia i te 2011 ra, e te ‘Afata Turu Uta’a, piihia « Tu’aro no te Ora », e tapurahia ‘oia mai teie atu nei i ni’a i te tarena no te mau ta’urua tu’aro no Porinetia farani.
I roto i na fa’anahora’a e 5 i ma’iri a’e nei (2011 – 2015), ua fa’ata’iruru mai te « Tu’aro No Te Ora » hau atu i te 5 000 rahira’a feia mata’ita’i, te mau tane e te mau vahine, no te mau huru faito matahiti ato’a. Hau atu i te reira, hau i te 15 rahira’a tu’aro o tei tu’uhia’tu i mua ia ratou no te fa’atiani ha’afaufa’a i te mau tapura ‘ohipa fa’a’eta’etara’a tino e tu’aro, e no te mau fa’anahora’a ‘api. E ‘ahu mai te fa’anahora’a no 2016 i te tahi fa’anahora’a ‘api i te pae no te fa’aora’a i roto, na roto i te taera’a mai 1 000 feia ‘api no te mau aroa fariiroahia a’e tapa’ohia mai e te Fa’aaura’a no te ‘Oire. No reira, e 2 000 rahira’a ta’ata no te mau tuha’a rau o te farerei i roto i te mahana no te 1 no ‘atopa, i ni’a i te tahua huira’atira no Te Aora’i Tini Hau i Pira’e, mai te hora 9 i te po’ipo’i e tae atu i te hora 6 i te ahiahi.


Feia ‘api e te mau tu’aro : horo’ara’a i te mau tauturu moni no te terera’a ‘ohipa roto

Te fa’a’ohipara’a i te porotita tu’aro a te Fenua nei e turu’i ia i ni’a iho i te huru orara’a ta’atira’a puai, ha’aputuputuhia i roto i te mau ‘amuitahira’a o te fatu ra i te tahi « tomite no te terera’a ‘ohipa na te hau» ma te mau e 3 mau tareni rarahi roa :
- Te fa’ahotura’a i te tu’aro na te ta’ato’ar’a, e aore ra tu’aro ‘amui,
- Te fa’ahotura’a i te tu’aro faito teitei,
- E tae roa mai, i te fa’a’ohipara’a i te mau ha’apiipiira’a na te mau mero e na te feia fa’atere.
No te tauturu i te mau ‘amuitahira’a tu’aro no te fa’atere’au maita’i noara’a i ta ratou mau tapura ‘ohipa ei tareni na te hau, e horo’a te Haufenua e te Haunui, i te mau matahiti ato’a i te mau tauturu faufa’a moni, na roto i te huru no te mau tauturu moni no te terera’a ‘ohipa roto. Ua horo’ahia te mana i roto i te ho’e tomite a te Pu Haunui no te Fa’ahotu i te Tu’aro Porinetia Farani nei, e aore ra PHFT (CNDS), i roto te vaira te mau ti’a no te Fenua, no te Haunui, e no te ‘amuira’a tu’aro, no te horo’ara’a mai i te mana’o, ia au i te mau niu no te mau fa, no ni’a i te mau anira’a tauturu moni a te mau ‘amuitahira’a.
Te fa’aotira’a hope’a no te horo’ara’a i te mau tauturu moni, na te ‘apo’ora’a a te mau Fa’aterehau te reira e horo’a mana, i muri a’e i te horo’ara’a mana’o o te Tomite Hi’opo’a Faufa’a moni e ‘Afata terera’a faufa’a. No reira, ua ha’amana mai nei te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau e horo’a i te mau tauturu moni no te terera’a ‘ohipa roto na e to’oono mau ‘amuitahira’a tu’aro (Huira’a popo, Handisport, Tennis, Tennis i ni’a i te ‘iri ‘amura’a, ‘Aura’a e Karaté) no te ho’e faito ‘amui piri i te 20 mirioni toata farane. E piti na ta’atira’a feia ‘api (Arii heiva rau e UTFSCF) o te farii ato’a atu i te ho’e tauturu moni no te terera’a ‘ohipa roto i ni’a i te faito ‘amui 12 mirioni toata farane.

Te fa’a’ite papu nei te ‘Apo’ora’ahau i ‘o nei i to’na mana’o papu no te turu i te mau ta’atira’a tu’aro e na te feia ‘api na roto i te mape’e faufa’a monira’a no te paturu ia tupu ta ratou mau tapura ‘ohipa rau i piha’iiho i te feia ‘api no te Fenua nei.


Fa’a’itera’a i te fa’a’ohipara’a no te fana’ora’a o te ta’ato’ara’a i te fa’anaho ha’amaita’ira’a i te tahora no Ti’apa

Ua vauvau mai te Fa’aterehau no te Patura’a rarahi i mua i te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te ho’e ‘opuara’a fa’aotira’a mana no ni’a i te fa’a’itera’a i te fa’a’ohipara’a note fana’ora’a o te ta’ato’ara’a i te ha’amaita’ira’a i te tahora no Ti’apa, e vai i te kirometera 20,22, i roto i te ‘Oire no Paea, e te pupura’a i te mau tuha’a fenua e hina’arohia no te fa’atupura’a i taua mau tapura ‘ohipa ra.

Te fa no taua ha’amaita’ira’a ra no te tape’ara’a ia ‘eiaha te pape ia pa’i’uma i rapae’au i to’na ro’i tahera’a ia tupu noa’tu te pape pu’e rarahi, e no te ha’apa’arira’a i te mau hiti tahora, o te nina e 36 mau tapu fenua, no te ho’e ia rahira’a e 4 981 metera tuea.

Te fa’aotira’a mana o tei tu’uhia’tu i mua i te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau, e tapurahia ia i roto i te fa’anahora’a no te fatura’a mai na roto i te fa’a’orera’a i te ti’ara’a fatura’a fenua o tei fa’aotihia na roto i te fa’aotira’a mana a te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau no te 16 no novema i ma’iri a’e nei fa’atauihia, e o te fa’atura ra i te mana’o fa’ati’a o tei tu’uhia mai e te tomitera tuatapapa i te hopera’a te mau tuatapapara’a a te hau o tei ravehia na mai te 18 no tenuare e tae mai i te 3 no fepuare 2016.


Ha’amatara’a i te mau tapura ‘ohipa no te poro ‘ea roro

Ua ha’amana te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te ‘opuara’a (‘afata fa’arava’i 3 no te fa’aaura’a fa’aterera’a ‘ohipa o tei horo’ahia na te Pu Tahiti Nui Ha’amaita’ira’a e Fa’ahotura’a (TNAD) no ni’a i te patura’a i te poro ‘ea roro. Te tu’urimara’a i taua ‘afata fa’arava’ira’a ra, na te reira e horo’a i te mana i roto i te Haufenua no te ha’amata i taua tahua ‘ohipa ra i te ‘ava’e ‘atopa noara’a nei hoa i mua nei ia au i te fa’aarara’a a te Peretiteni no te reira tapura ‘ohipa.

I muri a’e i te ho’e tuha’a o te fa’ao mai i te vavahira’a i te fare utuutura’a ma’i tahito a te nu’u fa’ehau no Jean Prince e tae noa’tu i te mau tuatapapara’a e titauhia no te ha’amata i te mau tapura ‘ohipa, paturu faufa’a monihia e te Haufenua e te Haunui, na roto i te Fa’aaura’a no te mau ‘Opuara’a 2008-2014, no te ho’e faito e 440 mirioni toata farane TTC, te piti o te tuha’a no taua ‘opuara’a ra, te tumu ia no te ‘afata fa’arava’i 3, no ni’a ia i te patura’a i taua tapura ‘ohipa ra o tei matutuhia to’na ho’o i ni’a i te 3,630 miria toata farane. E oti mai i te ‘ava’e ‘atopa 2019.


Fa’atauira’a i te moni huihui no te hi’ora’a i te hapura’a ‘itea ‘orehia no te ma’i ti’atoru 21 i roto i te ‘apapara’a no te mau tapura ‘ohipa hi’opo’ara’a ‘ihi rapa’aura’a ma’i

Te tuatapapara’a ‘itea ‘orehia no te ma’i ti’atoru 21 o te ho’e ia nu’ura’a rahi no te ha’a ‘atu’atura’a i te mau vahine hapu o te nehenehe e ro’ohia e taua huru ma’i ra na roto noa i te ‘iritira’a toto. E fa’aho’ihia taua hi’opo’ara’a ra e te’Afata Turu Uta’a mai te ‘atete 2015 maira.

Ua ha’amana te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te ho’e fa’aotira’a mana no te fa’ataui i te huihuira’a i taua hi’opo’ara’a pape mero ra i roto i te ‘apapara’a no te mau tapura ‘ohipa iho ‘ihi rapa’aura’a ma’i no te fa’atopa i te ho’o o te ravehia e te Pu Hi’opo’ara’a. Ua matutuhia te hopoi’a tohuhia i ni’a i te 11 mirioni toata farane moni e toe mai i te matahiti na te ‘Afata Turu Uta’a (ATU=CPS) i ni’a i te faito e 350 rahira’a hi’opo’ara’a e ravehia i te matahiti.

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Assises : retour à la case prison pour le pêcheur de Taha'a

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Assises :  retour à la case prison pour le pêcheur de Taha'a
PAPEETE, le 14 septembre 2016 - Le pêcheur de 59 ans accusé d'avoir involontairement tué d'un violent coup de poing au menton, en 2013, un autre pêcheur qui voulait ouvrir un parc à poisson concurrent du sien a été condamné ce mercredi.


Cinq ans de prison dont trois avec sursis. C'est la peine prononcée ce mercredi par les jurés de la cour d'assises contre Teriinohoatua Tearoha, dit Michel, cet agriculteur-pêcheur de 59 ans accusé de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Le 6 septembre 2013, ce quinquagénaire sans histoire avait surpris son ami, du même âge que lui, en train de fêter briques de vin à la main, la concrétisation de son projet de parc à poisson à Taha'a. Une nouvelle que l'accusé avait très mal pris.

D'abord parce que son ami s'était bien gardé de lui faire part de ce projet qu'il murissait pourtant depuis des mois, et ensuite quand dans la discussion envenimée qui s'en était suivie, ce futur concurrent l'avait moqué en lui laissant entendre qu'il pourrait bien implanter son installation, moderne et en règle, à la place de la sienne, traditionnelle et non déclarée.

Un coup, un seul

L'accusé, un homme tranquille, loin de la société de consommation, sans autre ambition que de vivre simplement du fruit de sa pêche et qui venait de reconstruire de ses mains, pierre après pierre, le parc à poisson traditionnel hérité de ses aïeuls, semble avoir surréagi par peur de voir son fragile équilibre voler en éclat avec ce concurrent annoncé. La dispute a été brève et le seul coup de poing, sec et violent, porté au menton de la victime aura suffi pour le faire passer de vie à trépas.

L'accusé, habité par des regrets sincères selon les experts, avait lui-même été surpris par la portée de son coup. Ecroué pendant un an en détention provisoire avant d'être remis en liberté contre son gré –il voulait rester en prison jusqu'au procès- il lui reste aujourd'hui une année de prison ferme à effectuer.

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664 plants de pakalolo arrachés dans cinq plantations à Taiarapu-est

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664 plants de pakalolo arrachés dans cinq plantations à Taiarapu-est
TAIARAPU-EST, le 14 septembre 2016 - Opération de lutte contre les stupéfiants mardi dernier à la Presqu'île, cinq plantations découvertes et détruites.

Une vaste opération coordonnée de lutte contre les cultures illicites de cannabis a été mise en œuvre mardi dernier par les militaires de la brigade de gendarmerie de Taravao. Agissant sur renseignement, les dix militaires engagés sur le dispositif ont découvert cinq plantations de cannabis dans des propriétés situées en bordure de la route du plateau à Taravao et en bordure de la route dorsale à Afaahiti.

Au total, 664 plants de pakalolo encore sur pied sont découverts. Les produits stupéfiants ont été saisis et détruits par incinération sur directive du magistrat de permanence au parquet de Papeete. En fonction de leur degré d'implication, les mis en cause, dont quatre ont d'ores et déjà été interpellés, devront répondre des faits de détention, usage et revente de produits stupéfiants.

L'enquête a été diligentée par la brigade territoriale de Taravao.

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Salon de l'auto : La voiture écolo démarre en trombe

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Salon de l'auto : La voiture écolo démarre en trombe
PAPEETE, le 14 septembre 2016 - Tous les concessionnaires proposent désormais un modèle de voiture hybride ou électrique, et le public se montre très curieux envers ces modèles. Ce 40ème Salon de l'automobile se place donc sous le signe de la voiture écologique, d'autant que les aides du Pays incitent les acheteurs à passer à l'acte.

C'est parti pour le 40ème Salon de l'Automobile ! Depuis aujourd'hui mercredi 14 septembre et jusqu'à ce dimanche 18 septembre, des centaines de voitures neuves envahissent la salle Aorai Tini Hau. Le public est également nombreux, avec un certain sentiment nostalgique pour les habitués : la salle mythique de Pirae héberge le salon pour la dernière fois avant sa destruction (il sera remplacé par le village du championnat du monde de va'a).

Pour les concessionnaires c'est une semaine capitale : en cinq jours, ils vont réaliser l'équivalent de deux mois de chiffre d'affaires. D'autant que, cette fois, le marché se réveille : la prime voiture propre instaurée par le gouvernement redonne un peu de souffle aux consommateurs qui veulent changer de véhicule, tandis que la détaxe des voitures électriques et hybride a fait chuter leurs prix au point de devenir comparables à des voitures thermiques normales.

LES VOITURES ÉLECTRIQUES SE FONT UNE PLACE AU SOLEIL

Le public aussi est dans la tendance et les chalands se montrent très intéressés par ces nouveaux modèles propres. Les quatre grands groupes proposent tous plusieurs modèles électriques ou hybrides, et les marques qui n'ont pas leur propre voiture "propre" pour le salon promettent d'en recevoir en 2017…

Car les ventes de ces modèles commencent à compter. En additionnant simplement les chiffres révélés par les deux plus gros importateurs historique de voitures "propres", Renault et Toyota, on arrive déjà à plus de 300 voitures qui devraient être vendues en 2016. En y ajoutant les autres concessionnaires, le total pourrait atteindre les 400 véhicules avant la fin de l'année. Cela représenterait 10% du marché… Autant dire que le vert fait vendre !


Gilles Bonvarlet, P-DG du groupe Sodiva
Salon de l'auto : La voiture écolo démarre en trombe
"Nous pensons vendre 200 voitures électriques d'ici fin 2016, ça va nous permettre de respirer un petit peu"
"Toutes les marques du groupe sont présentes sur le Salon de l'auto 2016. C'est indispensable d'être là, vu le contexte économique avec un premier semestre très difficile. Grâce aux aides du gouvernement, avec la prime à l'environnement, on a réussi à rebondir un petit peu sur le mois d’août, qui a été pas mal. Pour nous, aout a été sauvé grâce à notre gamme complète de véhicules électriques et aux véhicules à faibles émissions de CO², puisque la prime favorise la reprise d'un véhicule ancien pour un véhicule à faibles émissions de CO². Donc nous avons vendu beaucoup de petites voitures, car la prime ne vient pas aider les véhicules à plus de 210 grammes d'émissions, donc tout ce qui est double cabine.

En aout nous avons donc repris des couleurs, et en septembre c'est en général un mois double pour les concessionnaires, il y a une recrudescence des ventes grâce au salon, on peut faire l'équivalent de deux mois de chiffre d'affaires. Et on voit que les acheteurs viennent depuis ce matin. Avec la prime du gouvernement ça les fait sortir, et on voit qu'ils sont plutôt rationnels, ils sont souvent sur le paiement comptant ou sur un petit crédit. On n'est plus beaucoup dans l'achat automobile coup de cœur à 4 ou 5 millions, on est plutôt dans l'investissement pragmatique pour des véhicules fonctionnels, autour de 2 millions ou 2,5 millions de francs."


Lionel Foissac, DG de Nippon Auto-Moto
Salon de l'auto : La voiture écolo démarre en trombe
"On voit que l'hybride prend de l'ampleur, nos chiffres progressent de façon exponentielle"
"C'est indispensable d'être présent sur le Salon, c'est l'événement le plus important de l'année dans le secteur automobile et toutes les marques sont présentes avec ce qu'elles ont de mieux, tous les nouveaux modèles sont là. Particulièrement tout ce qui est modèle hybrides où nous sommes particulièrement bien positionnés. Elles marchent bien parce que les hybrides que nous proposons se rechargent toutes seules en roulant, donc les habitudes de conduite ne sont pas changées pour les utilisateurs.

Et il y a un double intérêt : ils achètent le véhicule au même prix qu'un véhicule conventionnel, mais ils consomment trois fois moins, donc l'un dans l'autre ils font des économies sur l'automobile. Et ils profitent de la prime du gouvernement et des importateurs, puisque nous faisons 50-50. Donc ça fait 500 000 Fcfp sur le tout électrique et 450 000 Fcfp sur l'hybride.

Là on voit que ça prend vraiment de l'ampleur, les gens s'y intéressent sérieusement et nos chiffres progressent de façon exponentielle. L'année dernière on en avait vendu 15, là on va dépasser la centaine d'ici la fin de l'année !"


Jérôme Lety, directeur commercial Peugeot et Mitsubishi
Salon de l'auto : La voiture écolo démarre en trombe
"Je pensais que la clientèle polynésienne n'était pas prête mais finalement il y a une très forte demande en hybrides"
"Nous venons de recevoir l'hybride de Mitsubishi, c'est l'Outlander. C'est une hybride qui se recharge en roulant ou en plug-in à la maison pour un appoint. Et dans les modèles full électrique, nous proposons la Peugeot Partner depuis plusieurs mois, qui se recharge entièrement à la maison.

Aujourd'hui c'est important d'avoir ces modèles sur le marché polynésien, puisque le gouvernement pousse vraiment à l'achat des véhicules propres dans un souci écologique, et ils ont totalement annulé les taxes sur ces modèles, ce qui fait qu'ils sont plus abordables. Et par-dessus, il y a la prime moteurs propres qui baisse encore le prix de 500 000 Fcfp.

Concernant les clients, je suis assez surpris parce que je pensais que la clientèle polynésienne n'était pas prête en dehors de quelques initiés, mais finalement il y a une très forte demande en hybride. Plus que l'électrique, où il faut avoir un chargeur avec soi ou à la maison, alors qu'avec l'hybride c'est plus simple, on ne se pose jamais la question de savoir si on peut rentrer chez soi ou pas."


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Le Tahoeraa souhaite transférer les détenus "fichés S"

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Le Tahoeraa souhaite transférer les détenus
PAPEETE, le 14 septembre 2016. Le Tahoera'a a déposé ce jeudi une proposition de résolution portant sur "l'interdiction d'entrée sur le territoire de la Polynésie française des personnes "fichées S" et sur le transfèrement des individus déjà placés en détention et radicalisés".

Le 2 septembre, suite à un article de Tahiti Infos sur un détenu polynésien fiché S, le haut-commissaire précisait dans un communiqué que trois détenus faisaient l'objet de fiches "S". Le groupe Tahoera'a Huira'atira a déposé ce jeudi une proposition de résolution portant sur "l'interdiction d'entrée sur le territoire de la Polynésie française des personnes 'fichées S' et sur le transfèrement des individus déjà placés en détention et radicalisés".
"Force est de constater que la Polynésie française est exposée sur son Territoire, au même moment que la métropole et les départements d'outre-mer, à des phénomènes de radicalisation fulgurante et non décelables à un stade précoce, qui pourraient entraîner la perpétration d'actes terroristes", indique le groupe orange dans l'exposé des motifs.
"Il convient de réévaluer le niveau de menace en considération des détenus 'fichés S' récemment recensés", souligne l'exposé des motifs. Le groupe Tahoera'a à l'assemblée souhaite donc "l'élargissement de l'état d'urgence" à la Polynésie française.

Les élus orange demandent la mise en œuvre d'un "plan de formation à destination des personnels pénitentiaires, afin que ceux-ci puissent mieux déceler les individus à risques dans l'environnement carcéral".
Pour justifier ses propositions, le groupe Tahoeraa met aussi en avant les conséquences que pourraient avoir "des actes terroristes" sur l'activité touristique. "Si des actes terroristes étaient perpétrés en Polynésie française en raison de la radicalisation brutale de certains individus aujourd'hui identifiés, il en résulterait une désaffection immédiate de la destination auprès des touristes de toutes nationalités, et un effondrement économique majeur face auquel la collectivité pourrait difficilement réagir."


Télécharger la proposition de résolution

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Suivez en direct la séance d’ouverture de la session budgétaire

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Suivez en direct la séance d’ouverture de la session budgétaire
PAPEETE, le 15 septembre 2016. Suivez en direct ce matin la séance d’ouverture de la session budgétaire à partir de 9 heures. Le président du Pays et le président de l'assemblée prononceront chacun un discours

Comme les textes le prévoient, les élus territoriaux se réunissent à l’Assemblée de Polynésie française à compter du 3e jeudi de septembre, ce qui correspond cette année au jeudi 15 septembre, pour la session budgétaire annuelle. Cette session doit durer 90 jours. Elle doit permettre aux représentants de l'assemblée d'adopter d'ici la mi-décembre le budget primitif 2015 du Pays.


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Annulation d'un contrôle aux frontières car effectué ... 10 cm en Espagne

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Annulation d'un contrôle aux frontières car effectué ... 10 cm en Espagne

Un ressortissant marocain, intercepté à la frontière franco-espagnole, a été remis en liberté par le tribunal de Perpignan, car son avocat a démontré que le contrôle avait été effectué 10 cm en territoire espagnol, a indiqué jeudi ce dernier, Me Christopher Poloni.

Fin août, ce Marocain, qui voyageait dans un autocar d'Eurolines, a été intercepté au Perthus (Pyrénées-Orientales) par la police aux frontières (PAF) sans autorisation de séjour en France. Il a donc été placé en centre de rétention.

Mercredi, devant le tribunal, son défenseur s'est appuyé sur des plans et des données historiques pour démontrer que l'endroit où avait été effectué le contrôle, l'arrêt habituel du bus, ne se trouvait pas en France mais en Espagne. 

"L'article 42 du traité des Pyrénées signé par le cardinal Mazarin et Don Luis Mendez de Haro, le 7 novembre 1659, détermine la frontière entre la France et l'Espagne mais ne le matérialise pas sur le terrain", a expliqué à l'AFP Me Poloni.

"Ce sont plusieurs traités, le 12 novembre 1764, puis le 2 décembre 1856, le 14 avril 1862 et le 26 mai 1866 qui le déterminent par 602 bornes implantées sur le terrain", a-t-il ajouté, constatant que l'endroit où s'arrête le bus se situe en Espagne, environ dix centimètres derrière la ligne marquant la frontière.

La justice a donc annulé le contrôle et remis le ressortissant en liberté.

Le 27 novembre 2010, le même tribunal de Perpignan avait déjà annulé un contrôle à un autre endroit pour une raison similaire, selon Me Poloni.

Dans son jugement en 2010, le tribunal avait estimé qu'il ne pouvait "être exclu que les fonctionnaires aient quitté le territoire français pour effectuer le contrôle" car si leur voiture était garée côté français, celle des personnes contrôlées se trouvait de l'autre côté de la rue, côté espagnol.

Avec AFP


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Le Royaume-Uni renforce la protection des océans dans ses territoires d'outre-mer

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Le Royaume-Uni renforce la protection des océans dans ses territoires d'outre-mer

Le Royaume-Uni a annoncé jeudi son intention de "doubler" dans ses territoires d'outre-mer la superficie des aires marines protégées (AMP) destinées à préserver la faune et la flore des océans.

Après cette extension, les AMP dans ces territoires totaliseront "environ quatre millions de km2", a précisé le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

Cela se traduira par la fermeture à la pêche industrielle d'une zone d'un million de km2, afin de "préserver la vie marine", a-t-il ajouté, promettant de débloquer 20 millions de livres (23 millions d'euros) pour aménager et surveiller ces nouvelles AMP.

Le projet, qui s'étalera jusqu'en 2020, devait être officiellement présenté jeudi à Washington par le secrétaire d'Etat britannique à l'Europe et aux Amériques, Alan Duncan, à l'occasion d'une conférence internationale sur la protection des océans.

Parmi les territoires concernés figurent notamment les îles de Pitcairn (Pacifique), Sainte-Hélène (Atlantique sud) et de l'Ascension (Atlantique).

Selon l'organisation WWF, les aires marines protégées peuvent constituer un "outil à la fois essentiel pour restaurer, protéger et renforcer la biodiversité, la productivité et la résilience des océans, mais aussi pour permettre aux générations présentes et futures de continuer à jouir de ces ressources et services".

avec AFP


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Sécheresse: le feu à usage non domestique interdit partout en Nouvelle-Calédonie

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Sécheresse: le feu à usage non domestique interdit partout en Nouvelle-Calédonie

La sécurité civile de Nouvelle-Calédonie a interdit jeudi tout usage du feu non domestique sur l'ensemble du territoire, où sévissent sécheresse et chaleur exceptionnelles, a-t-elle indiqué. 

Cette interdiction générale, prise au premier jour de la saison administrative des feux, a été décidée en raison du placement en "risque extrême" de la commune de Belep (nord), conformément aux dispositions du plan ORSEC de Nouvelle-Calédonie. Elle ne concerne pas l'utilisation du feu pour la cuisine, encore fréquente dans les zones rurales et tribales.      

Environ 80% de la Nouvelle-Calédonie est par ailleurs en "risque élevé" d'incendie, selon la carte "Prévi-feux" publiée par les autorités.        

"Il fait très chaud et très sec, avec beaucoup de vent. A cause de l'imprudence voire de la malveillance des gens, ça va brûler et ça brûle déjà", a indiqué à l'AFP Olivier Ciry, responsable de la communication à la direction de la sécurité civile.

Depuis le début du mois, des feux ont eu lieu sur les communes de Kaala-Gomen (nord), Poum (extrême nord) et Houaïlou (est).

En pleine saison fraîche, un incendie majeur a en outre eu lieu fin août à Belep, archipel à l'extrême nord de la Grande terre, ravageant plus de 1.000 hectares de végétation.

"Quatre espèces de plantes menacées d'extinction auraient été touchées par ce feu", ont indiqué dans un communiqué commun le WWF (Fonds mondial pour la Nature) et l'association Endémia.

Rappelant que la Nouvelle-Calédonie possède le plus fort taux d'endémisme au monde, les organisations écologiques ont demandé "l'intégration dans le système d'information de la sécurité civile et des centres de secours, de la catographie des aires protégées (..) et des cartes des espèces rares ou menacées".

Dans son bulletin de juillet 2016, Météo France NC indique que "le bilan pluviométrique est déficitaire partout en Nouvelle-Calédonie, avec un déficit global d'environ 70 %." 

La situation est particulièrement critique sur la côte Est, alors que cette région est d'ordinaire plus arrosée.

"Pour le 7e mois consécutif, le constat reste le même : les journées sont bien plus chaudes qu'habituellement.(...) En terme de température maximale, c'est la période la plus chaude de ces 47 dernières années", peut-on également lire.  

avec AFP


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