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Tihoti Tapare est décédé dans sa 82e année

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Tihoti Tapare est décédé dans sa 82e année
PAPEETE, 4 août 2016 - Georges Tapare est décédé ce mardi après-midi dans sa 82e année. Les funérailles auront lieu lundi 8 août au cimetière de l’Uranie à Papeete.

La famille attend l’arrivée de métropole de Hina et Tehana, la fille aînée et petite fille de Georges Tapare, pour procéder à la cérémonie du dernier hommage. Le corps sera exposé dimanche à partir de 13 heures au domicile familial du PK 10,5 à Punaauia, côté mer. Une veillée est prévue à partir de 19 heures le jour-même, sur place. Elle sera notamment ponctuée par la cérémonie religieuse. La levée du corps aura lieu ce lundi à 14 heures, suivie à 15 heures de l’inhumation au dernier étage du cimetière de l’Uranie à Papeete.

C’est une figure illustre de la belle époque tahitienne qui nous quitte avec Georges Tapare, dit Tihoti. Il est décédé dans sa 82e année, mardi après-midi à 15 h 30 des suites d’une longue maladie.

Homme d’affaires autodidacte il était notamment à l’origine, au milieu des années 80 en association avec Michel Tracqui et Yves Buhagiar, de la création du centre Moana Nui à Punaauia et du premier hypermarché de Tahiti, sous l’enseigne Euromarché.

Issue d’une famille modeste, Tihoti Tapare avait quitté le fenua en 1952 après s’être engagé dans la Marine à l’âge de 18 ans. Il était demeuré 11 ans en France où, musicien à la faveur de ses permissions, il avait fini par se faire un nom dans le domaine de l’animation avec le Trio Kaveka, notamment au Club Med et dans un cabaret parisien qu’il contribuera à rendre notoire dès la fin des années cinquante, le Grenier de Montmartre.

Ses fréquentations dans le monde du show-business parisien le conduiront à être proche de Charles Aznavour, Eddie Barclay ou encore Jean-Paul Belmondo. Belmondo avec lequel il tournera un second rôle dans le film Tendre Voyou, en 1965 à Tahiti.

Tihoti Tapare était un grand amateur de pêche au gros, sport dans lequel il avait remporté plusieurs prix à Tahiti et Hawaii. Il fut président pendant de nombreuses années du Haura Club. Il est également en 1970 à l’origine de la création du premier club nautique de Tahiti avec Michel Tracqui et Gérard Pugin. En 1979, ce club avait été offert à Florent carmin, alors jeune champion du monde de ski nautique.

La rédaction de Tahiti Infos adresse ses condoléances à sa famille, particulièrement à son épouse, Mairie, et à ses enfants, Hina, Teiva et Moea.

Tihoti Tapare est décédé dans sa 82e année

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Va’a V1 – Te Aito : Steeve Teihotaata "J'ai fait une erreur"

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A l’issue du Te Aito, nous avons pu recueillir les impressions des trois rameurs du Top 3, Kévin Céran Jérusalémy, Joann cronsteadt et Steeve Teihotaata. Les 100 premiers du Te Aito sont qualifiés pour le Super Aito, prévu le 20 août prochain qui sera le point d’orgue de la saison de V1. En 2015, Kévin Céran Jérusalémy avait fait le doublé Aito-Super Aito mais Steeve Teihotaata ne compte « rien lâcher », la bataille promet d’être intéressante et les « trouble-fête » risquent d’être nombreux.
Va’a V1 – Te Aito : Steeve Teihotaata
La course du Te Aito nous aura fait vivre encore cette année de belles émotions. Le Te Aito n’est pas seulement la course V1 qui a le plus de participants, presque 400 dans la catégorie reine, elle est aussi une course qualificative pour le Super Aito qui aura lieu le 20 août prochain. Le Super Aito sera le point culminant de la saison V1, il est proposé chaque année par le club Ruahatu, en collaboration avec la fédération tahitienne de va’a.
 
Le rameur de Shell Va’a Kévin Céran-Jérusalemy a marqué l’histoire du Te Aito en étant le deuxième rameur à remporter consécutivement trois éditions du Te Aito. Il était l’un des favoris mais la course n’était pas jouée d’avance car Steeve Teihotaata, ou encore Rete Ebb, finalement 4e, étaient également de très sérieux prétendants à la victoire. Joann Cronsteadt est un des rameurs emblématiques de Shell Va’a, s’est offert une belle 2e place. SB

Va’a V1 – Te Aito : Steeve Teihotaata
Kévin Céran-Jérusalemy le gagnant de la course :
 
Un départ compliqué ?
 
« J’ai compté, après le départ je me suis retrouvé 17e place à l’entrée de la passe. Après à la sortie du Tombeau du Roi, j’ai vu que je revenais assez facilement sur le peloton de tête. Je me sentais plutôt à l’aise. Je pense que mon point fort aujourd’hui cela a été la remontée, vu que tout le monde à bien surfé. J’ai géré dans la descente et dans la remontée, j’ai tout donné. »
 
Tu es bien remonté au 1e tour, tu t’es dit que tu allais faire pareil au 2e ?
 
« Voilà, je n’ai pas réfléchi à l’entrée de passe du 2e tour, j’ai vu Revi à une bonne distance devant moi, je me suis dit « il faut que j’aille le chercher, c’est maintenant ou jamais ». Dès que j’ai passé Revi, cela m’a motivé, cela m’a boosté pour aller chercher cette victoire, merci Seigneur ! »
 
Tu ressens quoi après cette 3e victoire ?
 
« Beaucoup d’émotion, je pense à mon père qui est à la clinique, il n’a pas pu faire la course des vétérans ce matin, je lui dédie cette victoire. Merci à ma famille de Huahine, et à ma petite famille. Maintenant, objectif Super Aito ! »

Va’a V1 – Te Aito : Steeve Teihotaata
Joann Cronsteadt est arrivé 2e :
 
Cette fois-ci tu n’as pas pu dépasser Kévin ?
 
« Il était trop loin pour moi, lors du Mémorial Tainui il y a une semaine, il était plus près. Aujourd’hui il a été très fort, je tiens à le féliciter. Il était plus fort que tout le monde, cela s’est vu au premier tour, il était derrière et il a réussi à reprendre la tête. Je pense qu’il a géré sa deuxième descente. J’ai essayé aussi de limiter la casse dans la descente, en essayant de revenir au maximum lors de la remontée. »
 
Cela reste un excellent résultat pour toi mais aussi pour Shell ?
 
« Oui, j’ai essayé de bien travailler sur mon surf qui est mon point faible. Je pense que cela a porté ses fruits, il faut encore que je travaille plus pour être en tête de course plus souvent. Je suis très content de ma course, merci à mes proches, mes amis et mes sponsors. Cela fait deux ans maintenant qu’on a deux rameurs de Shell en tête, c’est très positif, on espère cartonner lors des dernières courses de l’année en V6, on va tenter le tout pour le tout. On a rien à perdre. »

Va’a V1 – Te Aito : Steeve Teihotaata
Steeve Teihotaata, 3e, le grand rival de Kévin Céran-Jéruslémy :
 
Quelques mots sur ta course ?
 
« J’ai fait une petite erreur aujourd’hui au niveau de mon ravitaillement. Je n’ai pas embarqué assez d’eau avec moi. On a l’habitude de se ravitailler 2 x 1,5L, au lieu de partir avec 3L dans la pirogue, et cette année j’avoue que j’étais un peu perdu au niveau de l’emplacement du ravitaillement à l’issue du premier tour. Ensuite, dès que j’ai essayé d’appuyer un peu, j’avais les bras qui commençaient à chauffer, donc il valait mieux rester tranquille et espérer un podium que d’essayer d’aller chercher la première place. »
 
C’est une course très intense, la question du ravitaillement est importante ?
 
« C’est une course où tu donnes 200% de toi même. On est comme des chevaux avec des œillères, il faut que tout se passe comme prévu, si le bonhomme que tu avais placé là se retrouve à 50 mètres à droite ou placé sur la plage par les organisateurs, ne comptez pas sur nous pour faire marche arrière pour se ravitailler, on préférera continuer même si on sait que l’on va se brûler à la fin. Je ne te cache pas qu’aujourd’hui, c’est un peu un échec pour moi mais félicitations à Kévin ! Comme d’habitude on va pas lâcher le morceau pour le Super Aito ! » Propos recueillis par SB

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Deux semaines d'animations commerciales à Papeete, Punaauia et Uturoa

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Deux semaines d'animations commerciales à Papeete, Punaauia et Uturoa
PAPEETE, le 4 août 2016. Les associations de commerçants Papeete Centre-Ville, Uturoa Centre-Ville et l’association des commerçants de Tamanu mettent en place pour les deux prochaines semaines des animations et des offres promotionnels pour les deux prochaines semaines.

Alors que les élèves vont commencer à reprendre les chemins de l'école la semaine prochaine, les associations de commerçants Papeete Centre-Ville, Uturoa Centre-Ville et l’association des commerçants de Tamanu ont décidé de mettre en place des animations et des offres promotionnelles pour les deux prochaines semaines. "La mise en place des opérations commerciales permet d’animer les grands évènements de l’année, la rentrée étant parmi les plus importants car il met à l’épreuve le porte-monnaie des familles et est porteur de nouvelles espérances (nouvelles classes, nouveaux challenges, nouvelles tendances de mode...)", explique la CCISM.

A Papeete, la 4e édition de l'opération Back to school autour de la cathédrale de Papeete se déroulera le samedi 20 août et une exposition de deux-roues aura lieu au centre Vaima du 9 au 13 août.

A Punaauia, l'opération Vive la Rentrée à Tamanu se déroulera le samedi 13 août.

Uturoa Centre Ville organisera diverses animations sur le parvis du marché du 10 au 13 août. Lors de cette semaine commerciale, plusieurs orchestres se produiront. Les entreprises viendront présenter leurs activités après l’école, il y aura également des manèges pour occuper les enfants.

Jeu Facebook
Un jeu Facebook est organisé du 8 au 21 août sur la page Facebook de la CCISM de Polynésie. Deux billets d’avions Papeete/Île de Pâques seront notamment à gagner

Télécharger le programme et le règlement du jeu concours

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"Le rythme de création d’emploi diminue"

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PAPEETE, le 4 août 2016. Au cours du premier trimestre de l'année, les indicateurs relatifs à l’activité des entreprises continuent de se redresser.

La demande extérieure est aussi bien orientée en ce début d’année. Petit bémol remarqué par l'Institut de la statistique de la Polynésie française dans sa publication Points conjoncture Premier trimestre 2016 : "Fin 2015, le rythme de création d’emplois diminue, limitant une reprise franche de la consommation des ménages", note les spécialistes.

L'ISPF indique que le pouvoir d'achat augmente grâce à la baisse des prix alors que le nombre de demandeurs d’emploi est toujours aussi élevé.

"La hausse des effectifs salariés est nettement plus faible au dernier trimestre 2015, cette période étant pourtant habituellement propice aux surplus d’embauches, même temporaires", analyse l'ISPF. "Cette année, ce sont essentiellement les heures travaillées qui progressent (+ 0,6 % en 2015, première hausse depuis 2007), ainsi que les effectifs en équivalent temps plein (+ 1,5 %, + 800), traduisant une augmentation des heures travaillées par les salariés déjà en poste, et non des créations de postes. Ce phénomène s’observe sur l’ensemble des activités excepté dans la construction et le primaire où nombre de salariés et de postes équivalents temps plein évoluent au même rythme."

Après plusieurs trimestres de hausse du chiffre d’affaires des entreprises, le rythme de progression est moindre. "Les entreprises semblent pour le moment faire le choix d’un renouvellement de leurs équipements, d’une rationalisation de leurs effectifs", décrypte l'ISPF.


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ATN Ambassador - Steven Pierson : Un clip pour dire stop à la pollution

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Steven Pierson a bataillé pendant des années sur le circuit des World Qualifying Series, il fut longtemps le 2e meilleur tahitien au classement mondial, dans l’ombre de Michel Bourez. Désormais père d’un enfant, il voyage un peu moins et a décidé d’ouvrir son école de surf. Il déplore aujourd’hui la pollution dont sont victimes les spots de Mahina, entre autres.
ATN Ambassador - Steven Pierson : Un clip pour dire stop à la pollution
Steven Pierson est le Team Manager de tous les ambassadeurs de la compagnie Air Tahiti Nui pour le surf. Il est connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche et quand quelque chose le choque, il le dit. Lors des sessions de surf avec les jeunes élèves de son école de surf, il a été choqué par la pollution du spot de Orofara ou plus précisément celui de Ahonu, le spot où vont quotidiennement plusieurs écoles de surf.
 
Il a pris l’initiative de faire ce petit clip sans prétention pour apporter sa pierre et alerter la population pour l’inciter à plus de respect envers l’environnement. Le surf vient d’être admis parmi les disciplines olympiques mais « il ne faut pas oublier que le surf c’est avant tout un mode de vie proche de la nature » et les surfeurs de renom comme Steven sont là pour le rappeler.
 
Grâce à ses contacts à l’international il a pu obtenir l’autorisation de l’auteur de la musique Haumoana, un artiste de Rapa Nui qui lui a dit « Mon frère, bien sûr, tu peux utiliser la chanson, je n’ai pas fait cette chanson juste pour chanter, je l’ai faite pour transmettre aux gens les valeurs de la nature et de la famille. Les enfants sont notre futur. Mauruuru mon frère. Merci de prendre soin des enfants et de la nature. » SB

ATN Ambassador - Steven Pierson : Un clip pour dire stop à la pollution
Haumoana Pakarati est un artiste-surfeur originaire de Rapa-Nui vivant à Hawai’i. Il s’exprime ainsi en début de chanson :
 
« La chanson est en langue Rapa Nui, ma langue d’origine. Elle dit que nous, les habitants des îles, avons la responsabilité de prendre soin de notre terre. Il faut répandre cette notion et le dire aux gens qui viennent chez nous. On a besoin aussi de leur montrer comment respecter notre terre. On est les seuls à pouvoir maintenir ces endroits en vie. Ce message est pour tout le peuple Maohi à Hawai’i, à Tahiti, à Rapa Nui… »

http://www.tahiti-infos.com/video/

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Des astuces pour faire des économies sur ses factures

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Des astuces pour faire des économies sur ses factures
PAPEETE, le 4 août 2016. Pendant ces vacances, certains d'entre vous vont se lancer à fond dans les travaux de construction de leur maison. Chaque vendredi, retrouvez nos conseils pour que votre maison soit la plus confortable possible, respectueuse de l'environnement et économique. Zoom sur cette semaine, sur les astuces pour économiser.



Comment bien s'éclairer
Lampe Basse Consommation :
PPN depuis 2008, les LBC consomment 5 fois moins d’énergie et durent 10 fois plus longtemps qu’une ampoule classique. Elles conviennent parfaitement pour les pièces éclairées pendant longtemps.

Les LEDs : diodes électroluminescentes
Durables et consomment très peu : une bonne LED a une efficacité lumineuse supérieure à 70 lumens/watt.

Les néons :
Les néons conviennent pour toutes les pièces de la maison ainsi que pour le garage et la terrasse. Préférer les ballasts électroniques plutôt qu'électromagnétiques.

Des astuces
- Privilégier les couleurs claires sur les murs et plafonds.
- Profiter de la lumière du jour en dégageant les fenêtres.
- Nettoyer régulièrement les ampoules et abat-jours.
- Eteindre la lumière en sortant d’une pièce

Clim' ou ventilateur ?
La climatisation est très gourmande en énergie et peut peser lourd sur notre facture d’électricité.
Il existe des solutions plus économiques et tout aussi efficaces que la climatisation pour rafraîchir.
Dans un logement déjà existant : les ventilateurs d’appoint ou les brasseurs consomment 20 fois moins d’électricité qu’une climatisation !
Si vous choisissez la clim', fermez les portes et fenêtres avant d’allumer la climatisation.
Pensez à régler la température au moins à 25°C, éteindre le climatiseur en sortant de la pièce et nettoyer les filtres tous les mois avec de l’eau savonneuse.
Il est aussi recommandé de nettoyer les unités extérieures, d'isoler et étanchéifier les pièces à climatiser et de choisir un appareil de classe énergétique A+, split et de technologie Inverter

Et du côté de la voiture ?
Voici quelques conseils pour limiter sa consommation de carburant :
- Démarrer en douceur et conduire de manière souple.
- Réduire sa vitesse de 10 km/h en moins peut faire économiser 1 à 2 litres de carburant au 100 km.
- Choisir le régime moteur adapté. 2500 tours/minute pour un véhicule à essence et 2000 tours/minute pour un véhicule diesel.
- Eviter la climatisation : elle augmente la consommation de carburant de 30%.
- Couper le moteur à partir d’un arrêt de 20 secondes.
- Vérifier régulièrement le bon état du véhicule, un véhicule mal entretenu peut entraîner une surconsommation de carburant.
- Vérifier la pression des pneus à froid.









Pour en savoir plus (mettre la photo du guide)
L'espace Info énergie

Cet espace est animé par des conseillers ayant pour mission, de fournir, en toute impartialité, un service gratuit d'informations et de conseils en économie d'énergie.

Sur rendez-vous (du lundi au vendredi, de 8h à 12h et de 13h à 17h), : 77 rue Octave Moreau, Taunoa.
Pour en savoir plus - tél. : 40 500 429 / vini : 87 331 430 / mail : eieconseil.pf@gmail.com / page FB https://www.facebook.com/EspaceInfoEnergie.

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Législatives : le Tapura reporte "sine die" le choix de ses candidats

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Législatives : le Tapura reporte
PAPEETE, 4 juillet 2016 - Le Tapura Huiraatira reporte la réunion du 9 août prochain à l’occasion de laquelle devaient être fixées les investitures du parti pour les législatives de juin 2017.

Le parti d’Edouard Fritch enregistrait huit demandes d’investiture pour les prochaines législatives, le 25 juillet dernier, à la clôture d’une phase de candidatures officiellement ouverte le mois précédent.

Initialement, une réunion des instances dirigeantes du Tapura Huiraatira était programmée mardi prochain, 9 août, pour sélectionner les trois candidats qui défendront les couleurs du parti lors des législatives de juin prochain.

"Aucun problème", assure-t-on du côté du Tapura. "Rien ne presse : les élections ont lieu en 2017". Aussi cette réunion est-elle pour l’instant reportée "sine die", et pourrait se tenir avec au moins deux semaines de décalage. La raison évoquée est l’absence de plusieurs cadres du parti, dont celle de Sylvana Puhetini la présidente du groupe Rassemblement pour une majorité autonomiste (RMA) à l’assemblée. En outre, Edouard Fritch doit s’absenter le 9 pour un déplacement de trois jours à Suva (Fidji) où il est attendu à une réunion du Polynesian leaders group, la semaine prochaine.

Au Tapura, le mode de sélection des futurs candidats avait été arrêté le 26 juin dernier, avec la constitution de trois commissions de circonscription à l'échelle de la collectivité, et l'organisation des relations entre le terrain, à l'échelon communal, au niveau des comités de soutien, des fédérations, et le comité directeur du parti à Papeete. L’appel à candidature avait été ouvert le jour-même.

Sur la première circonscription (Anaa, Arue, Arutua, Fakarava, Fangatau, Fatu HIva, Gambier, Hao, Hikuera, Hiva Oa, Makemo, Manihi, Moorea, Maiao, Napuka, Nuku Hiva, Nukutavake, Papeete, Pirae, Puka Puka, Rangiroa, Reao, Tahuata, Takaroa, Tatakoto, Tureia, Ua Huka et Ua pou), Maina Sage est finalement candidate pour un renouvellement de mandat. Plébiscitée par une majorité de membres du Tapura, lors de sa valse-hésitation devant l’éventualité d’un renouvellement de mandat, l’actuelle députée pose sa candidature face à celles de René Temeharo, très bien implanté politiquement sur Papeete où il est adjoint au maire, et d’Heimana Garbet, candidat sous une étiquette "société civile".

Nicole Sanquer est candidate sur la deuxième circonscription électorale (Hitia O Tera, Mahina, Paea, Papara, Raivavae, Rapa, Rimatara, Rurutu, Taiarapu Ouest, Teva I Uta, Tubuai). L’actuelle ministre de l’Education du gouvernement Fritch présente sa candidature devant les instances du parti face à celle Tepuaraurii Teriitahi, une protégée de Jacqui Graffe, le maire de Paea.

Sur la troisième circonscription (Bora Bora, Faa’a, Huahine, Maupiti, Punaauia, Tahaa, Taputapuateta, Tumaraa et Uturuoa), Teva Rohfritsch est finalement candidat, de même que Patrick Howell, le ministre de la Santé et que Luc Faatau. En cas de succès l’actuel n°4 du gouvernement devrait abandonner son portefeuille de ministre de la relance économique dans l'exécutif local mais pourrait toujours concourir pour un siège de représentant, lors des Territoriales 2018.

Pour l’instant, parmi les grands partis polynésiens, seul le Tahoera’a Huiraatira a officiellement déclaré ses candidats pour les législatives du 11 juin 2017. Il s’agit de Moana Greig, sur la première circonscription électorale, de Teura Iriti sur la seconde et de Vincent Dubois sur la troisième.

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SUP, surf, jiu jitsu, beachsoccer… - Rautirare Festival : Un festival pluridisciplinaire à ne pas rater

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Le Rautirare Festival se déroule ce week end à Mataiea. Après les matchs de poules du beach soccer, l’inauguration aura lieu ce vendredi à 15H en présence de Michel Bourez. Le Festival va proposer cette année une multitude d’activités sportives : Du SUP avec la course « Air Tahiti Nui Spartan Race » mais également du surf, du jiu jitsu, du beach soccer et bien d’autres choses.
SUP, surf, jiu jitsu, beachsoccer… - Rautirare Festival : Un festival pluridisciplinaire à ne pas rater
Après le Heiva Va’a de Mataiea qui a rencontré un beau succès auprès du public pour la deuxième année consécutive, voici que la commune de Mataiea accueille en ce moment même le Rautirare Festival. Teva Zaveroni, qui rappelons-le fait partie de l’équipe municipale de Tearii Alpha, est l’artisan emblématique de l’aventure des Tiki Toa. Plein d’énergie, ce surfeur-footballeur souhaite promouvoir le sport auprès de la jeunesse afin de combattre l’oisiveté et la délinquance.
 
Michel Bourez est issu du Rautirare Surf Club, c’est tout naturellement qu’il parraine l’événement, comme a pu le faire également Bixente Lizarazu en 2015. Malgré la Billabong Pro qui approche à grand pas, Michel a également le souci de montrer l’exemple auprès de notre jeunesse polynésienne. Tahiti Infos a eu l’opportunité cette année d’être partenaire de cet événement riche, se déroulant dans la cadre enchanteur de la plage communale de Oututaihia à Mataiea.
 
Cette année, l’accent est mis par les organisateurs sur la « Air Tahiti Nui Spartan Race », une course de stand up paddle en trois étapes, avec une invitation pour le Waterman Festival en Californie à la clé pour le vainqueur, avec bien d’autres lots. Les organisateurs ont concocté un programme chargé qui se terminera dimanche soir par un concert musical. SB

SUP, surf, jiu jitsu, beachsoccer… - Rautirare Festival : Un festival pluridisciplinaire à ne pas rater

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Rugby : les deux fédérations au sein d'une même commission

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Rugby : les deux fédérations au sein d'une même commission
PAPEETE, le 4 août 2016 - Le Pays vient de créer une commission de rugby de Polynésie française. Les membres des fédérations tahitienne et mā'ohi de rugby s'y retrouvent en attendant que la délégation de service publique soit attribuée à l'une, ou à l'autre…

Fédération tahitienne de rugby ou fédération mā'ohi de rugby ? Les joueurs du ballon ovale ne savent parfois plus sur quel terrain jouer. Aucune des deux fédérations n'a reçu la délégation de service publique délivrée par le pays pour organiser championnats et matchs. "Une seule (NDLR : la fédération tahitienne de rugby) avait demandé le renouvellement de sa délégation de service publique (DSP) mais nous avons considéré qu'elle ne remplissait pas les conditions nécessaires…", explique Gérald Huioutu, adjoint à la direction de la jeunesse et des sports. Quant à la fédération mā'ohi, sa demande est toujours à l'étude.

Pour résoudre ce problème de manière temporaire, le Pays a décidé de rentrer sur le terrain. En juillet dernier, une commission de rugby de Polynésie française est née. "C'est une première pour ce sport", note Cécile Tiatia, conseillère technique au ministère des Sports. "Six membres ont été nommés par le président pour la composer. Le but est de représenter le maximum de personnes possible et du mieux possible. Cette commission va permettre d'assurer la continuité des travaux entrepris pour la promotion du rugby au fenua. Comme aucune des fédérations n'a de DSP, il est nécessaire d'avoir cette commission pour valider les championnats, donner un accord pour les compétitions afin que la Polynésie française soit représentée lors de compétitions nationales et internationales."

ÉVITER DE PERDRE DES JOUEURS
Rugby : les deux fédérations au sein d'une même commission
La commission se compose de six membres : deux personnes de la fédération tahitienne de rugby, deux personnes de la fédération mā'ohi de rugby et deux personnes titulaires du brevet d'Etat d'éducateur sportif du premier degré. Si les fédérations ne s'entendent pas, elles partagent au moins le même avis quant à cette commission.

"Le territoire a voulu rassembler les deux fédérations pour que l'on s'entende par rapport à la compétition. C'est une bonne idée, mais je suis partagé sur son efficacité", explique Apolosi Foliaki, président de fédération mā'ohi de rugby. "Nous avons des avis très contraires les uns des autres."

Même son de cloche du côté du représentant de la fédération tahitienne de rugby à la commission, Loïc Tautu : "Il faut faire quelque chose car sinon nous allons perdre des joueurs ! Mais j'ai le sentiment que pour nous, au sein de cette commission, ça va être difficile de se faire entendre et de travailler correctement…"

La première réunion du groupe s'est tenue vendredi dernier. A l'ordre du jour : la mise en place du règlement intérieur et le vote du président et du secrétaire de la commission. Les votes ont été très serrés. Apolosi Foliaki a finalement été élu président et Ludovic Tardieu, lui aussi de la fédération mā'ohi de rugby, a hérité du siège de secrétaire. "On va réussir à s'adapter et on fera les choses pour que ça avance", assure Loïc Tautu.

Dans les textes, la durée de vie de la commission est prévue pour six mois maximum. Elle pourrait prendre fin avant, si la délégation de service publique était attribuée plus tôt. "Nous espérons bien évidemment que le Pays va trouver une solution rapidement. C'est tout le rugby tahitien qui est en train de souffrir par rapport à ça", souffle Apolosi Foliaki.

Si, dans le cas contraire, aucune solution n'a été trouvée d'ici six mois, la commission pourra être reconduite. Quant à la volonté de permettre le dialogue entre les deux fédérations, le ministère répond: "Ce n'est pas le but premier de la commission mais parfois, en effet, ça peut le permettre. Il n'est pas impossible que les discussions puissent amener à une certaine conciliation."

Un cas similaire dans le milieu de la boxe
Ce n'est pas la première fois que le ministère des Sports s'engage sur le terrain. En 2003/2004, une commission pour rassembler les boxeurs avait été créée. Une autre est toujours en cours pour la boxe anglaise. Le problème est le même que dans le milieu rugbystique.

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À la Une de votre Tahiti Pacifique demain

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À la Une de votre Tahiti Pacifique demain
À la Une de Tahiti Pacifique demain :

NOTRE DOSSIER – Améliorer les transports collectifs, tel est le dernier grand chantier auquel s’attaque le ministère de l’Équipement. Un vaste programme (un de plus !), qui doit faire la part belle aux Bus à haut niveau de service (BHNS), qui pourront emprunter des voies de circulation spécifiques. Si des tronçons dans Papeete seront éligibles rapidement, pour une couverture en continu entre la capitale et Faa’a il faudra attendre… 2030 !

Autre dossier, celui de la surveillance maritime de notre zone économique exclusive critiquée par Nuihau Laurey qui accuse l’État de manquer de moyens. Benjamin Potié du bureau action de l’État en mer explique "on n’envoie plus des moyens au hasard, on les envoie là où il faut".

Dans sa chronique, Alex du Prel nous plonge dans une histoire de tupapa’u. Celle du cinéaste Frédéric Murnau qui fit construire sa maison sur le site d’un ancien mara’e à Punaauia mais qu’il ne vit jamais, victime d’un accident automobile à Los Angeles.

Les archives de Tahiti Pacifique – Retour sur la disparition de Vincent Coutrot, ingénieur au CEA qui participa à la première campagne de tirs atomiques de Moruroa.

Culture – Découvrez les coulisses du tournage long de sept semaines de la série "Al Dorsey", réalisé entre Tahiti et Moorea et auquel ont participé pas moins de 250 résidents.

Vous découvrirez aussi la nouvelle maquette de votre magazine qui tend vers plus de modernité. Si la forme change, rassurez-vous, le fond reste intact.

Bonne lecture et merci de votre fidélité !


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Teiva Jacquelain, un joueur tahitien intègre le Rugby Club Toulonnais

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Teiva Jacquelain, un joueur tahitien intègre le Rugby Club Toulonnais
PAPEETE, le 4 août 2016- L'information a filtré sur le blog officiel du RCT. Ce jeudi, le staff du Rugby Club Toulonnais a dévoilé la composition d’équipe qui défiera le Stade-Français, ce vendredi soir au Stade Mayol, à l’occasion du premier match amical de la pré-saison.

Il est précisé que Teiva Jacquelain, encore inconnu pour un grand nombre de supporters, a été titularisé dans cette nouvelle composition.

Teiva Jacquelain est un jeune joueur Tahitien qui a intégré les Espoirs du Rugby Club Toulonnais en 2015 suite à une convention signée entre le RC Pirae et le RC Toulon.

Après une période d’essai concluante, le jeune ailier a officiellement rejoint l’équipe des Espoirs pour s’affirmer, précise-t-on ur la site. Il a d’ailleurs joué le championnat Espoirs avec le RCT, la saison dernière. Cet été, il a participé au tournoi à 10 organisé à l’île Maurice, où une formation toulonnaise a pu défier les jeunes des Brumbies, des Sharks ou encore des Saracens.

Selon les experts, il y a fort à parier que Teiva Jacquelain fasse partie des neuf joueurs que Diego Dominguez souhaite lancer dans le grand bain, cette saison. Il portera le numéro 14 sur le dos, ce vendredi soir à Mayol.


En savoir plus sur http://www.blog-rct.com/qui-est-teiva-jacquelain-le-jeune-ailier-du-rugby-club-toulonnais/#2Q5K4T6OmQiDwS6D.99

Teiva Jacquelain, un joueur tahitien intègre le Rugby Club Toulonnais

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"Tau Hotu Rau", le parti de Tauhiti Nena

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PAPEETE, le 04/08/2016 - Tauhiti Nena a l’ambition de représenter la troisième voie tant attendue par les élus et la population. Le bureau provisoire du Tau Hotu Rau a été créé en juin dernier à Papeete, tandis que le parti sera officialisé le 1er octobre prochain lors d'un congrès. La jeunesse ou encore les richesses de la Polynésie seront les chevaux de bataille de cette nouvelle équipe.

Il fallait s'y attendre, après sa tentative aux dernières sénatoriales partielles, au côté de Jacky Bryant mais sans l'appui du Tavini Huiraatira. Aujourd'hui, Tauhiti Nena constitue son parti politique, "Tau Hotu Rau". "Il y a les voies du Tahoeraa Huiraatira ou du Tapura Huiraatira. Ensuite il y a la voie bien sûr d'Oscar Temaru avec le Tavini Huiraatira et il y en aura une nouvelle et ce sera la nôtre", assure Tauhiti Nena.

La création du parti a été faite le 18 juin dernier à la mairie de Papeete, mais l'officialisation se fera le 1er octobre lors du grand congrès de ce nouveau parti politique.

Aucune précision pour le moment sur les personnes qui soutiennent ou qui suivent Tauhiti Nena, "cela sera annoncé le 20 août lors d'une conférence de presse à la mairie de Papeete", se contente-t-il de dire, mais il lâche tout de même quelques pistes : "On a beaucoup de personnes issues de la société civile, des personnes aussi du Here Ai'a et d'autres partis qui nous font confiance pour cette nouvelle voie."

L'ancien ministre de la jeunesse et des sports d'Oscar Temaru dresse un bilan sévère des actions menées par les gouvernements successifs ces 30 dernières années. "Il n'y a pas de vision à long terme. Aujourd'hui, le gouvernement parle pour les 20-30 prochaines années. Donc quelque part, il y a un échec sur la politique qui a été menée depuis 30 ans et on en est convaincu, suite à la présentation du ministre des finances, qui parlait de développer les secteurs privés."

Des troisièmes voies, on en a vu ces dernières années, avec notamment l'équipe du To Tatou Ai'a de Gaston Tong Sang ou celle d'A Ti'a Porinetia avec Teva Rohfritsch. Mais Tauhiti Nena estime que ce nouveau parti politique répondra à de nombreuses attentes. "Nous sommes convaincus qu'il faut offrir une nouvelle offre autonomiste ou indépendantiste, pour ma part, la finalité est la même. C'est, ou on veut la départementalisation et à ce moment-là, on fait un retour en arrière et on reste français. Ou on est dans une logique avec plus d'autonomie". Et de poursuivre, "Flosse parle de Pays associés, moi je suis plus pour un Etat associé. Oscar est pour l'indépendance tout de suite, pour ma part, on est dans cette logique et c'est une attente des Polynésiens et surtout il faut arrêter ce système clientéliste. Nous avons vécu ce système clientéliste à l'ère Tahoeraa, et on s'aperçoit qu'aujourd'hui c'est la même chose".

Présent au congrès des communes, à Afaahiti cette semaine, Tauhiti affirme qu'il n’est pas venu "pêcher des voix" : "ce congrès est un bon moyen pour écouter les doléances des maires. Durant nos réunions, beaucoup appelle le Pays et l'Etat à respecter les maires. Rien qu'en écoutant leurs doléances, on peut voir qu'il y a un réel problème pour développer ce pays, il faut que le gouvernement local, l'Etat et les communes travaillent ensemble avec la population. Et je pense que ce sera avec ce nouveau parti que des solutions seront trouvées dans le respect", surenchérit-il.

Tauhiti Nena qui assure aussi que "Tau Hotu Rau" sera présent aux prochaines échéances électorales. "Ce qui est certain, je me représenterai pour les municipales à Papeete, en 2020."

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Natation : Les champions du Aito Swimming 2016

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Pirae, samedi 30 juillet 2016. Il n’y avait pas que du Va’a ce week-end. Près de 300 jeunes de 8 à 16 ans se sont affrontés dans le bassin de Pater pour la 7ème édition du Aito Swimming, organisée par la Fédération Tahitienne de Natation (FTN).
Natation : Les champions du Aito Swimming 2016
C’est sous un magnifique soleil que plus de 300 jeunes des communes de Mahina, Faa’a et Punaauia ont concouru pour décrocher les médailles du Aito Swimming 2016.

Pour Francoise Clairefond, de la Fédération Tahitienne de Natation (FTN) et « Maman » du Pisan « Je veux féliciter tous ceux qui ont participé à ce programme, autant les enfants, que les éducateurs de quartiers, sans oublier les membres de la FTN. L’objectif est vraiment d’impliquer les enfants dans une activité, et leur permettre de s’épanouir à travers le sport. Merci à l’ensemble de nos partenaires comme l’IJSPF, le Syndicats Mixte des communes, les communes de Mahina, Punaauia, Faa’a, Arena, EDT, Olympians sport, le Ministères des Sports et de la Jeunesse, Disfruit, et la compagnie Air Tahiti Nui. Merci à tous pour nos enfants. Et j’aimerais terminer sur une parole que j’aime beaucoup : Le meilleur moyen de voir le futur, c’est de le créer. Et le futur ce sont nos enfants. »

Plus d'actualité sportive sur www.sportstahiti.com.

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Portrait – Michel Folliot de Fierville : « Le massage pour progresser et durer au top niveau »

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Michel Folliot de Fierville est le patron de « J.A.C Pacific Massage » créé en 2013. J.A.C sont les premières lettres des prénoms de ses trois enfants. Ce fervent pratiquant d’arts martiaux de 54 ans, a décidé de se lancer dans le massage pour faire du bien aux gens, en leur permettant de trouver « l’harmonie entre le corps et l’esprit ». Sportstahiti est allé à sa rencontre :
Portrait – Michel Folliot de Fierville : « Le massage pour progresser et durer au top niveau »
Ia ora na Michel, peux-tu nous présenter ton métier ?

Je suis un masseur en bien-être et mieux-être. J’ai pratiqué beaucoup de sport dans ma vie, notamment des arts martiaux comme le Kung Fu et le Tai-chi. Et c’est grâce au Tai-Chi, que j’ai voulu aider les gens à être en bonne santé. C’est à partir de là que j’ai commencé le massage.

Es-tu spécialisé dans le massage pour les sportifs ?

Je me suis orienté vers le public sportif, car je me sens plus réceptif à leurs besoins, ayant moi-même pratiqué des sports comme le rugby, le foot, le tennis de table, le motocross, la planche à voile et bien sûr, les arts martiaux.

Par contre en dehors des sportifs, je masse tout le monde, des ados aux personnes âgées. Et aussi beaucoup de personnes malades, souffrant d’Alzheimer, Parkinson, celles qui ont fait des AVC ou qui suivent des chimio…

Comment se déroule une séance en générale ?

Quand une personne vient me voir, d’abord je lui pose des questions pour savoir où est-ce qu’elle a mal. Je l’analyse, et lui propose ensuite un massage en fonction de ses besoins. Je maîtrise plusieurs techniques comme le « Tui Na » (massage énergétique chinois), le « Abhyanga Maharashtra » (massage indien), le « Samvahan » (massage vibratoire), et je fais aussi beaucoup de réflexologie plantaire… Aussi, avec l’expérience que j’ai acquise, j’arrive à mixer certains massages en me concentrant sur la zone douloureuse pour une efficacité maximum. Et selon le protocole, une séance peut durer entre 50 min et 1h45.

Ce que les gens ignorent, c’est qu’à la fin de la séance, j’invite tout le temps la personne à boire de l’eau ou du thé, pour qu’elle aille le plus vite possible uriner et éliminer les toxines. Car le massage permet un drainage lymphatique.

Et je travaille le corps d’un sportif en parallèle de son kiné, de son ostéopathe ou de son chiropracteur. Nous ne sommes pas concurrents, mais complémentaires. Mon métier n’est peut-être pas du domaine médical mais permet d’offrir un travail parallèle. Je vais permettre une récupération et une préparation optimale pour une performance sportive.

As-tu une technique de massage « préférée » ?

Le massage que je préfère est le « Tui Na Anmo », le massage énergétique chinois. Car je suis sûr que si je le fais sur une personne qui a une compétition dans peu de temps, il sera efficace à 100% tout de suite.

Par exemple, beaucoup de gens pensent qu’il ne faut pas se faire masser avant le sport. C’est vrai, il ne faut jamais pratiquer un massage de détente musculaire trois jours avant une échéance sportive. Sinon la peau et les muscles se relâchent, et le sportif n’aura plus la même énergie ! Par contre moi je propose un massage énergétique avant pour « booster ». Et après la compétition je fais un massage « tahitien » pour détendre.

Il y a-t-il une fréquence de massage à respecter ?

Pour un sportif, la meilleure fréquence serait une fois par semaine, pour éviter la fatigue, être au top de sa forme, et prévenir les blessures.

Et pour ceux qui ne se sont jamais fait masser ?

Maintenant pour une personne qui ne s’est jamais fait masser, les trois premiers massages sont essentiels. Le premier massage est une découverte. Le second, est un rappel pour le corps qui reconnaît le toucher du masseur. Et enfin au troisième, la personne se détend totalement et accepte de se laisser travailler… En général on espace ces 3 séances sur 2 mois, pour habituer le corps à bien se détendre. Après à partir du quatrième massage c’est de l’entretien. Les séances sont plus rapprochées pour prévenir les blessures et assurer les performances sportives.

As-tu un conseil de professionnel pour nos amis sportifs ?

Mon conseil de pro pour nos amis sportifs, c’est vraiment faîtes vous masser au moins une fois toutes les deux semaines ! Je sais que cela a un coût, mais c’est pour entretenir votre corps, prévenir les blessures et surtout vous permettre de vous dépasser dans vos performances sportives ! J’ai eu l’occasion de masser plusieurs sportifs locaux de haut niveau comme Danny Gérard, Raihere Dudes, Michael Ching, Mihimana Braye, Niuhiti Buillard, Cédric Wane, Henri Burns, et bien d’autres… et c’est la meilleure manière de prendre soin de son corps, si vous voulez progresser et durer au top niveau.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur la page Facebook de J.A.C Pacific Massage.

Témoignage de Cédric Wane, champion de triathlon :

Michel me suit depuis Octobre 2015, à raison de deux massages par semaine. J’ai vraiment vu une différence entre mes performances avant J.A.C Pacific Massage, et après. Ça m’a beaucoup aidé. Je suis plus souple au niveau du dos et des hanches. J’ai une meilleure proprioception au niveau des pieds et une meilleure sensation du sol. Après un massage, je retrouve une mobilité optimale. J’ai la chance d’avoir une bonne équipe autour de moi, ce qui me permet d’enchainer les performances sportives.

Témoignage de Henri « the giants killer » Burns, champion d’arts martiaux :

Je viens voir Michel avant et après mes combats ou mes camps d’entrainement sportifs, depuis le début de l’année 2016. Ça me fait beaucoup de bien et c’est vraiment un plus pour assurer la victoire.

Retrouvez toute l’actualité sportive du Fenua sur www.sportstahiti.com.

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Les maires veulent être écoutés

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Les maires veulent être écoutés
TARAVAO, le 04/08/2016 - Le 27ème congrès des communes s'est terminé ce jeudi après-midi. Durant quatre jours, les élus communaux se sont retrouvés à Taravao pour parler de leur développement économique et des compétences qui pourraient leur revenir. Sur l'ensemble des tāvana qui étaient présents, le son de cloche est le même d'un archipel à un autre : "il faut que le pays prenne en compte l'avis des maires et de la population, avant de définir un projet".

Après quatre jours d'échanges, les langues se délient à l'issue du congrès des communes qui s'est tenu à Taravao. Durant ces rencontres, les maires avaient à répondre à cette question, "comment permettre aux communes d’être un atout au développement économique de la Polynésie française ?"

Même si tous les tāvana sont motivés à travailler pour le développement économique de leur commune, un petit bémol se fait tout de même sentir. "On demande à ce que le Pays et l’État nous associe à tous projets de développement parce que c'est important de mettre au centre du système, la famille et le citoyen polynésien. C'est avant tout, pour éviter les clivages et pour que le polynésien soit au cœur du développement", explique Félix Barsinas, maire de Tahuata, aux Marquises. Et de poursuivre, "nous ne sommes même pas consultés dans les projets que mène le Pays. On apprend par le biais des médias qu'un projet de grande envergure comme aquacole, ou le projet du Mahana Beach a été réfléchi en aparté dans des bureaux administratifs, sans pour autant associer les tāvana. Alors que c'est sur sa commune. Ce n'est pas dans une volonté de bloquer, mais d'associer et de faire des propositions".

Un discours, pourtant, qui n'est pas partagé par le tāvana de Bora Bora, Gaston Tong Sang : "je pense que cette époque est révolue. Le président Edouard Fritch, c'est un maire, et il a fait pratiquement toutes les communes. Il n'a pas ce problème de barrière politique. Il faut maintenant se tourner vers l'avenir. J'ai dit aux maires que ce n'était pas la peine de demander au Pays si on n'a rien à proposer."

Le partage des compétences était également au cœur des débats. Un sujet qui intéresse la plupart des maires.

"Dans le secteur de la pêche, on aimerait bien que ce soit nous et non des pêcheurs d'ailleurs. La culture marquisienne on en est fier parce qu'elle est vivante et dynamique. L'agriculture, l'aquaculture, l'artisanat aussi. Mais la règlementation freine tout ça. On s'inscrit dans une démarche participative avec le Pays. Ce n'est pas le transfert général des compétences que nous demandons, mais un transfert ciblé par rapport aux besoins", souligne Félix Barsinas.

À Hao, on parle beaucoup du projet aquacole, un dossier que défend le maire de cette commune, Théodore Tuahine. "Ma politique est de créer de l'activité sur l'atoll". Pour lui, ces questions de compétences ne sont pas sa priorité. "Quelle que soit la compétence que l'on récupère ou pas, on a toutes les compétences et on en assume pleinement".

Et Gaston Tong Sang va encore plus loin, "il ne faut pas rester bloqué sur ses acquis, ou sur cette idée de compétence ou pas. Quand on peut on le fait", explique-t-il, avant de rajouter. "Lorsque j'ai traité le problème de l'eau potable, tout de suite après, s'est posé la question, qu'il faut traiter les eaux usées sinon on va polluer le lagon. Je n'ai pas attendu qu'on me transfère les compétences, je l'ai fait en 1995. Les compétences ont été transférées en 2004, et ça marche tant mieux. Lorsqu'on pense que c'est utile pour ta commune et ta population, donc il faut le faire."

En terme de transfert des compétences, le ministre des finances et du budget, Teva Rohfritsch a donné quelques précisions. "Il faut faire attention car une question de transfert total, c'est définitif. Ensuite, c'est exclusif ça veut dire qu'une fois qu'on exerce une compétence il faut pouvoir la financer et avoir les conditions de l'exercer. A l'échelle d'une commune, on n'a pas les mêmes moyens qu'à l'échelle du Pays."

En clair, avoir les compétences, c'est bien mais encore faut-il être sûre d'avoir les moyens. "Il y a aussi par voie de convention, des possibilités qui nous sont offertes pour faire que les communes puissent être associées davantage au développement économique territorial", prévient le ministre.

Durant ce congrès, chacun a pu s'exprimer sans langue de bois. Ce jeudi, les tāvana ont pris une résolution où ils soulignent d'abord que les communes ont gagné "en maturité et en compétence dans la gestion des affaires de la Cité", que les élus sont "engagés avec leur conviction et leur courage" et reconnaissent "que des marges de progrès sont encore à réaliser dans nos compétences propres".

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Indonésie: une femme en bikini sur un paquet de nouilles fait scandale

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Indonésie: une femme en bikini sur un paquet de nouilles fait scandale
Jakarta, Indonésie | AFP | vendredi 05/08/2016 -L'image d'une femme en bikini avec la mention "serre-moi" sur un paquet de nouilles a choqué une partie de la population en Indonésie, pays à majorité musulmane, dont un groupe de consommateurs qui a réclamé vendredi le retrait du produit.

L'objet du scandale, qui a été baptisé "Bikini" pouvant signifier en argot local "nouilles de riz tendance", peut uniquement être commandé via internet.

Sa vente a provoqué la colère de la frange conservatrice de la société indonésienne, pays qui compte la plus grande population musulmane au monde.

Le nom et l'emballage sont "proches de la pornographie et (le produit) doit en conséquence être retiré du marché", s'est indigné Tulus Abadi, le directeur d'une fondation pour les consommateurs indonésiens.

Ridwan Kamil, le maire de la ville de Bandung, à l'ouest de l'île de Java, où le produit pourrait avoir été fabriqué, a également appelé à son retrait des magasins, estimant qu'il créait "un malaise au sein de la société".

Les autorités locales recherchent activement depuis trois jours le fabriquant à Bandung, mais ce dernier est pour l'heure introuvable.

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Indonésie: 340 euros de prime pour la capture d'un crocodile

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Indonésie: 340 euros de prime pour la capture d'un crocodile
Kupang, Indonésie | AFP | vendredi 04/08/2016 - Une ville indonésienne compte offrir l'équivalent de 340 euros pour tout crocodile marin capturé afin de débarrasser son littoral des dangereux reptiles.

Leur population a augmenté ces dernières années de façon préoccupante près de deux plages de Kupang, localité de l'ouest du Timor, dans l'extrême-est de l'Indonésie. Des cas d'attaque contre des hommes ont également été signalés.

Le responsable de l'office de tourisme local, Marius Ardu Jelamu, a indiqué que la municipalité comptait lancer un concours et verser cinq millions de roupies pour chaque capture d'un crocodile vivant.

"Nous avons demandé aux gens de faire preuve de prudence quand ils vont à la plage, mais ce n'est pas suffisant", a-t-il dit à l'AFP.

"Certains de ces animaux font trois à quatre mètres."

Il a précisé que cet appel ne visait pas le grand public mais les spécialistes des crocodiles. Il a ajouté que les reptiles seraient attrapés au moyen d'armes à fléchettes hypodermiques contenant des tranquillisants, et de cordes.

Une fois capturés, les crocodiles, qui ne peuvent être tués selon le droit indonésien, seraient relâchés loin des plages.

Plus grande espèce de crocodile, le crocodile marin peut mesurer jusqu'à sept mètres.

Un touriste russe qui faisait de la plongée avec masque et tuba près d'une île assez isolée de l'archipel des Raja Ampat, en Papouasie occidentale, avait été tué fin mars par un crocodile.

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Education : accueil des personnels nouvellement arrivés en Polynésie

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Education : accueil des personnels nouvellement arrivés en Polynésie
PUNAAUIA, 5 août 2016 - La ministre de l’Education et de l’enseignement supérieur et le vice-recteur de la Polynésie française, Jean-Louis Baglan, ont animé vendredi matin, un regroupement des personnels enseignants et d’éducation nouvellement arrivés sur le territoire.

Nicole Sanquer a salué les nouveaux arrivants en indiquant que la Polynésie attendait d'eux, du fait de leur parcours et de leurs expériences, une plus-value pédagogique pour la jeunesse polynésienne. Il s’agit d’avoir la capacité à prendre en compte les spécificités de l’école polynésienne pour faire réussir les élèves, y compris les plus fragiles. C’est notamment par la pédagogie et le travail en équipe dans les établissements scolaires que les enseignants contribueront à éviter l’échec scolaire ou même la déscolarisation pour certains élèves, a souligné la ministre.

Education : accueil des personnels nouvellement arrivés en Polynésie
Au sujet de l’absentéisme des personnels et notamment des personnels enseignants, sans remettre en cause les droits des fonctionnaires en la matière, la ministre de l'Education a indiqué que l’administration a été amenée à prendre des décisions de retrait de salaire suite à des cas de départs anticipés, d’absences à des surveillances d’examens ou du baccalauréat.

Cette nouvelle année scolaire sera en outre une année importante puisqu’elle verra la mise en place de la réforme du collège et de nouveaux programmes adaptés à la Polynésie française, à l’école maternelle, élémentaire et au collège, tandis que la collectivité travaille avec l'Etat à la réactualisation de la Charte de l’éducation, et sur le contenu de la convention décennale relative à l’éducation.

Pour conclure, la ministre a insisté sur l’importance du travail en équipe, sur le fait de fédérer les efforts de tous, au sein de l’école et plus largement avec tous les partenaires de l’éducation, dans un objectif de réussite scolaire, pour le bénéfice des élèves et pour celui de la Polynésie dans son ensemble.

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Les danseurs de Tahiti mobilisés pour Handidanse

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Les danseurs de Tahiti mobilisés pour Handidanse
PAPEETE, le 5 août 2016. L'association Heal The World organise le vendredi 2 septembre au petit théâtre de la Maison de la culture le spectacle "With L.O.V.E Show" Spécial #Handidanse.

Les grands danseurs de Tahiti seront sur la scène du petit théâtre à la Maison de la culture le 2 septembre prochain. Le public pourra voir sur la même scène J-Army, l'école de danse Vanessa Roche, les All in One, la Street Dance Academy, Mervin Dance School, l'académie de danse Annie Fayn, les B-Shock… L'objectif est de récolter des fonds pour "Alors on handidanse ". Cette initiative a été lancée par l'association Heal The World Tahiti, présidée par Walid Kourdoughli, danseur connu pour ses imitations de Mickael Jackson.

Ce projet, inspiré du tube du chanteur Stromae, est né en 2015. Le réalisateur Jacques Navarro-Rovira (Marquisien, mon frère, Makatea, l’oubli…) a fait venir à Tahiti une professeure de handidanse. Cathie Léveillé Porché en binôme avec Marine Zegrar a formé deux danseurs du territoire : Marion Fayn, danseuse contemporaine et Tuari'i Tracqui, danseur de ‘ori tahiti.

Avec l’accord de la Fraternité chrétienne, ils ont pu animer des cours de danse pour des personnes handicapées. Ce travail a donné naissance au spectacle Tapa, du mythe à la danse joué en janvier dernier. Jacques Navarro-Rovira en a tiré un documentaire. Celui-ci racontera la genèse, la création, les répétitions du spectacle.

Pour financer le documentaire un appel au financement participatif sur le site Touscoprod.com a été lancé. Le projet a réussi un de ses objectifs en atteignant déjà 5 000 euros (environ 600 000 Fcfp) pour perfectionner le montage du documentaire. L'équipe ambitionne si elle récolte plus de 10 000 euros (environ 1.2 million de Fcfp) de continuer les cours de handidanse. "Qu’il s’agisse d’un nouveau spectacle ou d’autres activités handidanse, ces projets nécessitent énormément de moyens pour se concrétiser : location de lieux, mobilisation de chorégraphes et de danseurs, logistique associée (transports spécialisés, accompagnants…)", peut-on lire sur la plateforme de crowdfunding.
"Ce spectacle à la Maison de la culture représente la volonté des danseurs "valides" de soutenir des danseurs en situations de handicap pour leur projet #Handidanse", explique Walid.



Pratique
Vendredi 2 septembre
Au petit théâtre de la Maison de la culture.
Tarif : 1 500 Fcfp.
Tickets déjà en vente.
Informations : 87 714 000 ou 87 714 050

Une pétition pour l'accessibilité aux handicapés
Heal The World Tahiti a lancé jeudi une pétition pour demander une meilleure accessibilité de la ville de Papeete aux personnes handicapées. Walid Kourdoughli a lancé cette pétition sur le site internet Avaaz.org suite à un reportage de TNTV cette semaine qui dénonçait les difficultés des personnes handicapées pour se déplacer dans la capitale. Une délibération de l'assemblée datée de 1991 donnait 10 ans au Pays pour rendre la ville de Papeete accessible aux handicapés. "En 2016, force est de constater que le travail n'est pas terminé", indique le texte de la pétition. "L'association HTW Tahiti (Heal The World Tahiti) souhaite que la commune de Papeete applique de façon plus active cette délibération de 1991. Ce problème d'accessibilité dans la ville pose problème aux personnes en fauteuil roulant, aux personnes âgées, aux femmes enceintes ou aux personnes mal voyantes..." Vendredi, cette pétition avait recueilli 56 signatures.




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Sonia Aline à la Une du nouveau Hine magazine

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Sonia Aline à la Une du nouveau Hine magazine
Le nouveau Hine magazine est en kiosque. Profitez du week-end pour plonger dans la lecture de l’actualité people avec un portrait de la productrice Sonia Aline à qui le mensuel féminin consacre la Une de son dernier numéro. Cette édition d'août 2016 se penche également sur les tendances du moment de la mode "Enfant" à quelques jours de la rentrée scolaire. Pour les plus grands, un focus ensoleillé est proposé sur la mode "Sea, surf and sun". Le numéro 9 du Hine offre également un dossier Beauté spécial "Ongles" agrémenté d'une foule de conseils pour être belle jusqu’au bout des doigts. Le nouveau Hine s’intéresse également à l’univers si particulier de l’artiste peintre Tehina qui expose ses dernières œuvres à partir du 27 août prochain, galerie Le Chevalet à Papeete.
Retrouvez enfin toutes vos rubriques habituelles. En vous souhaitant bonne lecture. Hine magazine est en vente au prix de 390 Fcfp.

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