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Au Vent des îles s’installe à l’aéroport

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Au Vent des îles s’installe à l’aéroport
PAPEETE, le 2 août 2016 - La maison d’édition locale Au vent des îles va poser ses ouvrages dans la boutique éphémère de l’aéroport. Au total, 150 titres sur les 200 inscrits au catalogue seront présentés dans cinq collections : beau-livre, littérature, sciences humaines, guide pratique et ouvrage et enfin album jeunesse.

Cette initiative vise à toucher un public toujours plus large, des visiteurs de la Polynésie française qui n’ont pas toujours l’occasion de se rendre dans les librairies du territoire ou bien encore les îliens qui ont fait savoir leur intérêt pour la littérature à l’occasion des derniers salons : Raivavae, Huahine…

Rendez-vous du jeudi 4 au dimanche 7 août, de 8h30 à 18h30. Des bonbons littéraires seront distribués aux visiteurs.


Au Vent des îles s’installe à l’aéroport

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Voile – Tour de France : L’heure du bilan pour Trésors de Tahiti

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C’est fini ! Le clap de fin a retenti en baie de Nice, dimanche 31 juillet, après une ultime journée d’exhibition pour les 24 équipages du Tour de France à la Voile. Tandis que le team Trésors de Tahiti effectuait un dernier tour d’honneur devant la Promenade des Anglais, Emmanuel Versace, le team manager du projet tahitien, resté à terre, dressait un bilan de ces trois intenses semaines.
Voile – Tour de France : L’heure du bilan pour Trésors de Tahiti
Partis de Dunkerque le 8 juillet dernier pour se terminer à Nice ce dimanche 31 juillet, les 24 équipages du Tour de France à la Voile auront disputé à un rythme effréné 18 raids côtiers, 18 stades nautiques et deux régates d'exhibition tout au long des 9 actes ponctuant les trois façades maritimes françaises : Manche, Atlantique et Méditerranée. Trésors de Tahiti, unique équipage ultra-marin du Tour, aura été l’un des acteurs incontournables de cette 39e édition du rendez-vous estival des amoureux de la voile. Après un début en douceur en Manche, Teva Plichart, Pierre « Petero » Pennec, Manutea Mahai et Dimitri Deruelle sont progressivement montés en puissance sur les actes de Baden, Roses et Gruissan, faisant oublier leur accident de flotteur à Roscoff.

Jouant les trouble-fêtes et taquinant les leaders au classement général, ceux qui se sont surnommés les Moana Hiva (« Guerriers de l'Océan ») ont longtemps occupé la 5e place du classement général. Un fait de course à Hyères (collision) les aura cruellement rétrogradés à la 8e place et rater la sélection pour la Super Finale Or à Nice. Déçus mais loin d’être abattus et surtout soucieux de faire honneur à la Polynésie Française, l’équipage Trésors de Tahiti remportera la Finale Argent et terminera 7e au classement général. Une place très satisfaisante pour la première participation du projet tahitien sur le Tour de France version Diam 24.
 
Trois faits à noter : ils auront été parmi les cinq seuls teams à avoir détrôné l’équipage Lorina Limonade – Golfe du Morbihan, magnifique vainqueur de l'édition 2016, lors d'une Super Finale (à Roses) ; ils ont terminé à quatre reprises à la deuxième place sur les raids côtiers ; les Tahitiens ont remporté le prix Finagaz de la compétitivité sur l’acte de Baden où ils ont signé deux 2e places, sur le côtier et le stadium.
 
Fier de son équipe, en mer comme à terre, Emmanuel Versace, team manager, dresse un bilan plus que prometteur pour la suite du projet Trésors de Tahiti.
 

Voile – Tour de France : L’heure du bilan pour Trésors de Tahiti
Emmanuel, quel regard portez-vous sur la prestation de Trésors de Tahiti ?
 
« Le bilan global de ce Tour de France à la Voile pour Trésors de Tahiti est très positif. L’équipe dans son ensemble a fait un très bon résultat sportif. Le plus important pour nous était d’avoir une bonne cohésion de groupe sur un mois, ce que nous avons réussi en mer comme à terre. Tout le monde est ravi de ce mois de compétition, l’équipe comme le public qui nous a suivi de près dans les médias et les réseaux sociaux. Ce qui était un challenge, car la voile est un sport mineur en Polynésie française. Nous avions à cœur de les convaincre et de partager notre passion et nos aventures qui continuera encore deux ans. C’était nos principaux objectifs.
 
Et d’un point de vue sportif ?
 
« Le bilan sportif et notre place de 7e sont particulièrement extraordinaires en comparaison du nombre de jour d’entrainement, de la formation de Manutea et de la découverte d’un nouveau support pour Teva. Nous faisons 7e devant de grosses équipes qui avaient souvent le double de notre budget et d'entrainement. Nous sommes donc contents et très fiers d’avoir porté les couleurs de la Polynésie à ce stade de la compétition. Il est vrai que nous avons manqué d’un peu de chance sur certains actes, notamment à Hyères avec ce fait de course (l’accident avec Helvetia Blue) qui nous pénalise fortement. Nous aurions bien entendu aimé terminer dans les cinq et avoir cette petite cerise sur le gâteau. Mais n’ayons pas de regrets, nous avons navigué avec les armes dont nous disposions et avons su élever notre niveau de jeu tout au long du Tour de France.
 
Un projet Tour de France à la Voile comprend une partie sportive et également un gros travail de gestion de projet. Quel bilan faites-vous de l’équipe à terre?
 
« Il est vrai qu’en parallèle du sportif, il ne faut pas oublier l’équipe à terre qui a fait un super travail de logistique et de management. La logistique a été un travail très lourd. En amont il a fallu réserver des appartements pour 9 personnes dans 9 villes étapes très éloignées les unes des autres. Puis gérer le quotidien, les transports et répartir les rôles pour tout un groupe de sportifs. C'était notre première expérience mais nous nous sommes obligés à être professionnels dans l’approche de l’organisation.
Pendant toute la compétition, nous avons également accueilli la Députée Maina Sage, la délégation de la Polynésie Française avec Caroline Tang, à Dunkerque et à Roscoff, accompagnée de Marc Hélias, des membres de Air Tahiti Nui et du GIE Tahiti Tourisme, plus des partenaires ou des fournisseurs de nos partenaires. Même s'ils connaissaient peu ou pas la voile, ils n'oublieront jamais leur expérience à bord de Trésors de Tahiti, des bateaux accompagnateurs ou au carré VIP du Yacht Club.

Voile – Tour de France : L’heure du bilan pour Trésors de Tahiti
D’un point de vue communication, êtes-vous satisfait des retombées ?
 
« Bien sûr ! La couverture de l’évènement a été à la hauteur de notre souhait voir au-dessus. Nos partenariats avec Polynésie 1ere et Tahiti Pacifique Hebdo ont très bien fonctionné. Notre travail avec l’agence de communication Effetsmer a porté ses fruits puisqu’on peut déjà comptabiliser entre 150 et 200 belles retombées presse sur un peu moins d’un mois en France et en Polynésie, sans compter les nombreux reportages dont nous avons fait l'objet à la télévision sur TNTV, Canal+, L'Equipe 21 et France 3, et à la radio en France et au Fenua. A mon avis, cette couverture est bien au-dessus de celle de la majorité des teams. De notre estimation, seul l’équipage vainqueur Lorina Limonade a été autant cité. Il n'y a qu'à comparer les réactions sur les réseaux sociaux. En France, nous sommes passés du cliché de Tahiti faire-valoir de l’exotisme français à une équipe sportive performante avec un projet social et économique derrière. Nous en sommes très satisfaits pour nous comme pour nos partenaires qui nous suivent depuis le début. Notamment le gouvernement de la Polynésie Française, qui a eu raison de nous faire confiance au vu de la belle couverture média dont il a bénéficié. »
 
Quelle est la suite du programme pour Trésors de Tahiti ?
 
« La suite du programme se déroulera en plusieurs étapes. La première est de ramener rapidement les deux bateaux en Polynésie Française pour avoir des outils de formation à la navigation pour des jeunes comme Manutea et aussi des jeunes comme Manuarii Poulain (préparateur technique du bateau). Nous avons à cœur de former les Polynésiens à la voile sportive sur des bateaux performants et de créer un vivier de compétiteurs afin que le fenua soit encore mieux représenter sur l’édition 2017. Le deuxième volet sera logiquement de préparer le Tour 2017. Pour cela, nous espérons convaincre de nouveaux partenaires à nous suivre et bien sûr nous comptons sur l’appui et la fidélité du gouvernement de la Polynésie Française. Notamment à travers la Présidence, le Ministère de la Relance Economique et de l’Economie Bleu, la Jeunesse et les Sports, et le Tourisme, qui depuis le début ont cru en notre professionnalisme. »
 

Voile – Tour de France : L’heure du bilan pour Trésors de Tahiti

Voile – Tour de France : L’heure du bilan pour Trésors de Tahiti

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27e congrès : l’Etat et le Pays invitent les maires polynésiens à travailler dans l’intérêt général

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27e congrès : l’Etat et le Pays invitent les maires polynésiens à travailler dans l’intérêt général
PAPEETE, 2 août 2016 - Le haut-commissaire a incité les maires de Polynésie française à œuvrer dans un souci de "stabilité politique" lundi à Taravao, à l’occasion de l’allocution prononcée en ouverture du 27e congrès des communes. Edouard Fritch les invitent à participer au développement du Pays en assumant pleinement leurs compétences et annonce l'ébauche d'une fiscalité communale.

La thématique retenue cette année pour guider les débats lors du congrès des maires de Polynésie française est celle du rôle que doivent jouer les communes pour accompagner le développement de la collectivité.

René Bidal a beaucoup insisté sur la notion de "stabilité politique" lors du discours prononcé lundi à Taravao à l’ouverture du 27e congrès des communes de Polynésie française. Un principe de gouvernance avancé comme une vertu qui, si elle ne "crée pas directement le développement économique, en revanche, elle le permet et le favorise".

"Or l’Histoire récente du Pays n’a pas démontré que cette stabilité politique fait partie des gènes naturels les plus communément rencontrés ici, il faut donc la préserver avec une attention renforcée dans le respect, cela va sans dire, de l’expression démocratique qu’a traduit et traduira le vote des Polynésiens", a rappelé le haut-commissaire. "Certes, cette stabilité politique est aussi liée à votre mode de gouvernance, monsieur le président de la Polynésie française, et permettez-moi de trouver aujourd’hui l’occasion publique de vous dire que je vous en sais gré, car c’est de l’intérêt général des Polynésiens dont il s’agit. Mais cette stabilité politique est aussi, mesdames et messieurs les maires, l’œuvre de chacun et de vous-même au premier chef. Rien ne doit l’affaiblir car elle est vitale pour l’économie polynésienne".

Et d’insister : "Oui, les communes doivent se demander comment leurs projets peuvent s’intégrer dans une politique globale d’aménagement propre à créer un développement économique ; non elles ne doivent pas imaginer le faire en totale souveraineté de compétence car parfois le « local » est l’ennemi du « global »".

Premiers pas vers une fiscalité communale

En résonance avec ce propos, Edouard Fritch a rappelé aux élus municipaux les actions mises en œuvre sous sa présidence en faveur des finances communales, depuis septembre 2014 : promesse d’apurement en quatre ans de la dette de 4 milliards Fcfp au Fonds intercommunal de péréquation (FIP) dans un contexte où le Pays verse 14 milliards Fcfp aux communes au titre du FIP en 2016 ; dotation de la Délégation au développement des communes (DDC) portée à 2,3 milliards Fcfp dont "près de 900 millions Fcfp" pour le second semestre 2016 ; mise en place d’un volet communal au Contrat de projets 2015-2020 pour une enveloppe prévisionnelle de 12 milliards Fcfp.

Le chef du gouvernement a également souligné l’incapacité du Pays à répondre favorablement à la volonté des maires de Polynésie de voir évoluer l’assiette du FIP de 17 à 25 % du total des prélèvements fiscaux annuels tout comme de percevoir près du cinquième (17 %) du montant de la Dotation globale d’autonomie (DGA) au lieu des 6 % versés actuellement. "C’est irréaliste en l’état actuel de notre économie et de notre situation financière", a insisté Edouard Fritch : "Si je fais le total de ce que vous réclamez, ce seraient 26 milliards de francs à verser aux communes au lieu des 15,5 milliards actuels. Soit 10,5 milliards de francs nouveaux pour les communes à retirer du budget du pays ou à prélever dans les poches des contribuables".

Et d’inviter les maires à participer au développement du Pays en privilégiant quatre axes : maintenir le niveau d’investissement en équipements structurants locaux ; inciter les projets à caractère économique sur les fonciers municipaux ; soutenir les grands projets impulsés par le Pays ; assumer pleinement leurs missions auprès des administrés.

Edouard Fritch a par ailleurs confirmé, lundi, la présentation d’un projet de loi du Pays relatif à la fiscalité communale dès la prochaine session budgétaire qui débute en septembre. Ce texte devrait prévoir la création de deux taxes communales, l’une sur l’hydroélectricité, intéressant particulièrement les communes de Papenoo et de Teva I Uta, et l’autre sur l’extraction des agrégats. Si les communes polynésiennes peuvent aujourd'hui percevoir des redevances, elles n'ont toujours pas de compétence en matière fiscale bien qu'elles la demande soit régulière. "C’est une première étape significative", a souligné Edouard Fritch. "Elle nous permettra d’affiner notre fiscalité communale et ensuite de poursuivre le travail, avec notamment la question du transfert de l’impôt foncier aux communes".

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Ils ont marqué le début d'année

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Ils ont marqué le début d'année
PAPEETE, le 2 août 2016. Les vacances sont souvent l'heure des bilans. Prenons le temps de nous poser quelques minutes. Depuis le début de l'année, des personnalités nous ont marqué. Certaines par leurs paroles, d'autres par leurs histoires.

Heimanu Taiarui, coach de la sélection des Bahamas
Ils ont marqué le début d'année
La carrière du Tahitien, Heimanu Taiarui, n’a pas fini d’évoluer au sein du beachsoccer international. Après avoir été vice-champion du monde au Portugal en 2015, puis élu meilleur joueur, une des pièces maîtresses des Tiki toa et figure emblématique du beachsoccer tahitien vient d’être nommé entraîneur sélectionneur de l’équipe nationale des Bahamas. Détenteur de tous les diplômes lui permettant d’exercer, le Papara boy a choisi de relever le défi sans pour autant dire adieu à sa carrière de joueur…

Gill Handerson, Mister Tahiti 2016
Ils ont marqué le début d'année
Gill Handerson est devenu Mister Tahiti 2016 en avril dernier. Cet amateur de sports extrêmes aura réussi à séduire le jury, composé entre autres des Miss Vaitiare Tribondeau et Hinarere Taputu.
Gill Handerson, dont la prestation personnelle a été un strip-tease bien maîtrisé qu’il a enchaîné sur une prestation de danse polynésienne réussie, a bien géré ses prestations lors de la soirée d'élection. C'est Rangitea Bennett, Mister Tahiti 2014, qui a lui a remis son écharpe.

Ugo a signé pour quatre albums avec la Warner !
Ils ont marqué le début d'année
Le jeune talent révélé par le concours Guitare Club en 2015 a signé avec la maison de disque Warner Music France. En mai, il a obtenu un contrat avec le major pour quatre albums. "C'est une chance de signer avec une société de ce calibre", confiait-il début juin. "Je pense que je vais pouvoir m'épanouir avec mes propres productions et conserver ma liberté artistique. Cependant, je ne veux pas m'enflammer, le premier album doit marcher pour que je puisse continuer l'aventure… Je remercie mes parents qui m'ont poussé à me présenter au concours de guitare et également le Collectif Tahiti Rock."
Le jeune artiste a publié sur Facebook un extrait de son premier opus, intitulé "Idylle", en version acoustique.

Tumata Robinson, chevalier de l'ordre national du Mérite
Ils ont marqué le début d'année
Tumata Robinson, née à Hawaii, a fait ses premiers pas de danse à l'âge de 7 ans. Passionnée, elle est rapidement devenue une chorégraphe reconnue, une créatrice de costumes et de bijoux, et a même ouvert une école de danse. Cofondatrice des Grands Ballets de Tahiti en 1998, elle a ensuite créé sa propre troupe Tahiti Ora en 2008, qui sillonne le globe et dont la renommée est internationale. Dans son roman "Comme deux navires qui se croisent dans la nuit", dans lequel elle évoque une période douloureuse de sa vie, elle montre qu'elle est également douée pour l'écriture. Après ses deux victoires au Heiva i Tahiti, avec les spectacles "Marukoa" en 2011 et "Pifa’o la malédiction" en 2014, Tumata Robinson s'est définitivement imposée comme une ambassadrice incontournable de notre fenua, qui fait rayonner la culture polynésienne aux quatre coins du monde. Nous retrouverons ses 40 danseurs et musiciens ce samedi 6 août, lors du Mini-Heiva à l'Intercontinental Tahiti, avec sa nouvelle création, "Mare’are’a", un fabuleux voyage depuis les origines du monde polynésien à nos jours.

Vahine Fierro, un espoir du surf
Ils ont marqué le début d'année
Alors que la WSL a décidé depuis 2015 de revaloriser le surf féminin, Vahine Fierro se positionne comme un nouvel espoir pour le surf Polynésien féminin. Elle poursuit ses études tout en rêvant de faire une carrière de surfeuse professionnelle en tentant de mettre toutes les chances de son côté.
Originaire de l’île de Huahine, Vahine Fierro est née d’un père américano-mexicain de San Diego et d’une mère polynésienne de Huahine. Elle est donc trilingue et se sent privilégiée de pouvoir bénéficier de cette richesse culturelle exceptionnelle. Elle a 16 ans et demi et est passionnée de surf. Elle pratique ce sport depuis l’âge de 5 ans, en le vivant quotidiennement avec ses parents et ses deux petites sœurs de 9 et 12 ans qui partagent toutes la même passion.

Vahine attache beaucoup d’importance à la vie de famille, car pour elle, un entourage familial harmonieux est la clé de la réussite dans tous les domaines. Elle a de la chance d’avoir un père « shaper », ce qui lui permet d’avoir des planches personnalisées. Elle pratique également la danse tahitienne depuis petite et elle est fière de préserver ce patrimoine culturel.

Selon ses parents, « Elle est très proche de la nature et adore faire des randonnées pour s’évader et se ressourcer. Elle mène un mode de vie très sain, ne boit pas, ne fume pas et pratique le yoga à la maison, qui est un bon complément pour le surf. »
Elle s'est fait remarquer en mars lors du Pro junior de Papara.

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Stage de hip-hop break avec une vice-championne de France

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Stage de hip-hop break avec une vice-championne de France
PAPEETE, le 2 août 2016 - Avis aux amateurs de hip-hop break : un stage est organisé du 3 au 5 août par Tea et Frédo, à l'école de danse André Tschan. Pendant trois jours, la vice-championne de France 2009 de la discipline et sa mère enseigneront leur art aux enfants de 8 à 12 ans, aux ados à partir de 13 ans, ainsi qu'aux adultes.


La vice-championne de France au Battle of the Year 2009 en binôme avec B-girl Soso est de passage en Polynésie afin d'offrir aux adeptes de hip-hop break un stage de trois jours, du 3 au 5 août. Petits et grands pourront ainsi profiter de la venue d'une professionnelle pour apprendre la discipline. Originaire du fenua, Hinatea Penilla-Y-Perella Marere, 29 ans, a grandi entre Moorea et Tahiti, et revient souvent ici. Après avoir pris des cours de danse avec sa mère Frédérique Marere (Frédo), notamment de jazz et de hip-hop, elle est partie en métropole, à Nice, pour suivre des études de Sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps), en se spécialisant de plus en plus en hip-hop. Finalement, elle a décidé de se consacrer entièrement à sa passion et, depuis, elle multiplie les titres.



Stage de hip-hop break avec une vice-championne de France
En breakdance, elle est parvenue à se faire sa place au niveau national en tant que B-girl, et fait partie aujourd'hui des meilleures de France. Après avoir été donc vice-championne de France, elle a remporté de nombreux prix : Winner seven to smoke Battle internationale humanitaire de Massy en 2010 en solo ; Winner Battle of the Year Sud 2012 avec B-girl Clé ; Winner B-girl France Sud en 2011 et 2013 en solo ; finaliste B-girl France national en 2013 en solo… En hip-hop debout, elle a gagné également plusieurs concours chorégraphiques avec ses groupes (Rhapsolady, X-HybriD). Par ailleurs, elle participe régulièrement à différents battles en France, mais aussi en Hollande (IBE), au Portugal (Eurobattle), etc.

Depuis, Hinatea a développé sa structure à Nice, Monaco et ses environs avec son association X-HybriD avec plus de 200 élèves. Très actif, le groupe est présent sur la plupart des événements urbains. Les jeunes du groupe X-HybriD se sont classés en 2e position au tournoi "Junior Breakin challenge tour" de la région Paca mis en place par Maurin Bretagne en 2016.

Stage de hip-hop break avec une vice-championne de France
Infos pratiques

Du mercredi 3 au vendredi 5 août
15h30-17 heures : hip-hop / break enfants
17-18 heures : hip-hop ados / adultes
18 heures-19h30 : break ados/ adultes niveau intermédiaire
Tarifs pour les 3 jours :
- Enfants : 4 000 Fcfp
- Ados / Adultes : hip-hop = 4 500 Fcfp
- Ados / Adultes : break = 5 500 Fcfp
- Ados / Adultes : hip-hop + break = 8 500 Fcfp

Contact et pré-inscription (obligatoire) au 87 73 44 53

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L'indicateur du climat des affaires poursuit sa hausse au second trimestre 2016

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L'indicateur du climat des affaires poursuit sa hausse au second trimestre 2016
PAPEETE, 2 août 2016 – L’indicateur du climat des affaires affiche une nouvelle hausse de +1,9 point au second trimestre de 2016, selon une information publiée mardi par l’institut d’émission d’outre-mer.

Supérieur à sa moyenne de longue période depuis fin 2013, en progression continue depuis le deuxième trimestre 2015 et en hausse au second trimestre 2016, l’indicateur du climat des affaires (ICA) semble indiquer les prémices d’une reprise pour l’économie polynésienne, qui paraissait encore hésitante en 2014 et en 2015.

L’ICA mesure la perception qu’ont les chefs d’entreprise de la conjoncture économique. Cet indicateur est établi à partir des résultats de l’enquête trimestrielle de conjoncture menée par l’IEOM. Il est centré sur sa moyenne de longue période, normée à 100.

Les premiers résultats de l’enquête de conjoncture du deuxième trimestre 2016 montrent que le dynamisme du courant d’affaires est surtout perçu par les chefs d’entreprise des secteurs du commerce, des services et de l’industrie, précise la Note expresse mise en ligne mardi par l’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM). À l’inverse, ceux du secteur primaire et du BTP voient leur activité décliner. Pour le trimestre écoulé, les chefs d’entreprise interrogés soulignent une amélioration de leurs charges d’exploitation, malgré un renforcement de leurs effectifs. Ils estiment en revanche que leur trésorerie est restée inchangée, sans tirer parti de la revalorisation de leurs prix de vente et de délais de paiement relativement satisfaisants. Pour le trimestre suivant, à l’exception notable du secteur du commerce et du BTP, les chefs d’entreprise anticipent une expansion de leur activité, avec de possibles recrutements à la clé. Ils escomptent aussi une embellie sur leur trésorerie, grâce à des prix de vente en hausse et un meilleur recouvrement des paiements de la clientèle.

Bien orienté sur les trois premiers mois de l’année, l’indicateur du climat des affaires (ICA) affiche une nouvelle hausse au deuxième trimestre 2016 (+1,9 point) pour s’établir à 111,9 points. Cette progression traduit ainsi l’amélioration de l’activité économique ressentie par les professionnels par rapport au trimestre précédent.

L’appréciation favorable portée par les chefs d’entreprise sur les trois prochains mois, en particulier sur les délais de paiement et la trésorerie, explique la hausse de l’indicateur.

En revanche, les prévisions d’investissement à un an sont moins unanimes au deuxième trimestre 2016, et contribuent à modérer la hausse de l’ICA.

L'indicateur du climat des affaires poursuit sa hausse au second trimestre 2016

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Surf Pro – Billabong Pro Tahiti : Kévin Bourez s’est inscrit pour les pré-Trials

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La conférence de presse de la Billabong Pro Tahiti a eu lieu ce mardi matin dans les locaux de l’OPT. La 7e étape du championnat du monde est la plus attendue du circuit. Michel Bourez, actuellement 8e au classement, devrait cette année encore faire le show dans la vague mythique de Teahupo’o, pour tenter de se rapprocher du Top 5. Son frère Kévin va faire son grand retour dans les pré-Trials.
Surf Pro – Billabong Pro Tahiti : Kévin Bourez s’est inscrit pour les pré-Trials
La conférence de presse de la Billabong Pro Tahiti 2016, la 7e épreuve du championnat du monde organisé par la World Surf League, s’est déroulée ce mardi matin dans la salle de réunion de l’OPT, partenaire privilégié de l’événement. On peut dire que la Billabong Pro Tahiti, prévue sur 4-5 jours de compétition entre le 19 et le 30 août, est l’évènement sportif de l’année sous divers points de vue. Il est inscrit au calendrier des grandes manifestations soutenues par le Pays.
 
L’événement est important pour la Polynésie notamment grâce à des retombées médiatiques internationales très importantes, à travers le site internet de la WSL et à travers les médias du monde entier qui reprennent les contenus mis à disposition par la WSL : vidéos, photos ou contenus écrits en anglais. Quelques médias locaux et internationaux ont tout de même l’opportunité de produire leurs propres contenus, en fonction de divers critères.
 
Les retombées financières directes ou induites sont très importantes également. Selon Pascal Luciani il s’agirait de plus de 110 Mcp qui sont dépensés en frais d’hébergement, de transport, de nourriture avec des retombées indirectes liées à la présence dans la commune et dans l’île de nombreuses personnes qui sont là pour la compétition, sans parler des surfeurs qui viennent hors période de compétition, attirés par la vague mythique.

Surf Pro – Billabong Pro Tahiti : Kévin Bourez s’est inscrit pour les pré-Trials
Pas de Billabong Pro Tahiti en direct sur les chaînes locales
 
La conférence a été menée par Pascal Luciani, directeur de l’événement, avec sa société privée TOP. Il est l’interlocuteur privilégié de la WSL et collabore étroitement avec la fédération tahitienne de surf et son nouveau président Lionel Teihotu. Ensemble, ils proposent leur expertise et font ce qu’ils peuvent pour protéger les intérêts de la Polynésie face à la grosse machine financières qu’est la WSL, notamment depuis son rachat en 2013 par la holding américaine ZoSea.
 
Le public polynésien ne pourra pas suivre la compétition en direct à la télévision, contrairement à 2015. Les droits ont été acquis par la chaîne câblée française SFR 3 mais  Tntv pourra diffuser en direct les Trials. Tahiti Infos, qui depuis 2012 fait la part belle au surf dans ses pages sportives, est également partenaire de la fédération tahitienne de surf pour les Trials, et pourra couvrir comme chaque année la Billabong Pro Tahiti.

Surf Pro – Billabong Pro Tahiti : Kévin Bourez s’est inscrit pour les pré-Trials
Les Trials, une vitrine pour le surf local
 
Les Trials, une vitrine pour les surfeurs locaux, se dérouleront le 14, 15 ou 16 août sur une journée de compétition, en fonction des conditions proposées par le spot de Teahupo’o. Les pré-trials, nommés cette année « Titiaraa Fa’ahee i Teahupo’o », permettront à 8 surfeurs locaux de rejoindre les 8 Tahitiens qualifiés d’office face aux 16 surfeurs étrangers. Il est toujours possible de s’inscrire pour ces pré-Trials, les frais d’inscription sont passés de 15 à 12 000 fcp. Le gagnant des Trials et le meilleur Tahitien seront qualifiés pour le « Main Event » avec les pros. Si le gagnant est un local, le finaliste sera qualifié, qu’il soit local ou étranger, comme en 2015.
 
Certaines pointures du surf local qui ont plus à gagner sur les compétitions WQS en Europe, ne seront pas présentes, notamment Taumata Puhetini, qui a gagné déjà deux fois ces Trials, ou encore Mihimana Braye et Mateia Hiquily. Parmi les inscrits d’office, on retrouvera Heiarii Williams, Tereva David, Steven Pierson, Hira Teriinatoofa, Lorenzo Avvenenti et quelques autres surfeurs de talent, qui tenteront leur chance face aux surfeurs étrangers.

Surf Pro – Billabong Pro Tahiti : Kévin Bourez s’est inscrit pour les pré-Trials
Michel Bourez n’a jamais atteint les quarts de finale
 
L’enjeu pour Michel Bourez est plus important que jamais, dans cette compétition où il n’a jamais eu trop de chance, n’arrivant jamais à dépasser le stade du round 5. Après une année 2014 qu’il terminée à la 5e position mondiale et une année 2015 marquée par une blessure à Teahupo’o en session libre, il a fait un excellent début de saison 2016. Michel est connu pour « charger » la vague, cette fois-ci réussira-t-il à obtenir le résultat qui va avec, en accédant aux quarts de finale ?
 
Actuellement 8e au classement mondial, Michel est encore en course pour le titre de champion du monde 2016 et peut en tous cas espérer faire aussi bien, voire mieux qu’en 2014, sa meilleure année sur le circuit, en 8 années de participation. Rappelons que Michel surfe en « backside », dos à la vague. Une vague particulière pour lui, qui l’a cruellement blessé au dos et à la main en 2015 et qui a blessé gravement son jeune frère Kevin en 2014. Kévin, qui lui y surfe « frontside », est un des meilleurs au monde à Teahupo’o, il fera son grand retour lors de ces Trials. SB

Surf Pro – Billabong Pro Tahiti : Kévin Bourez s’est inscrit pour les pré-Trials
Les 8 qualifiés d’office pour les Trials :
 
Heirarii Williams
Steven Pierson
Tereva David
Lorenzo Avvenenti
Hira Teriinatoofa
Teiki Charles
Jocelyn Poulou
Enrique Ariitu
 
Pré-Trials
 
Tikanui Smith
Kévin Bourez…

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Teiki Pambrun installe sa pirogue Hitiura 2 à Huahine

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Teiki Pambrun installe sa pirogue Hitiura 2 à Huahine
PAPEETE, 2 août 2016 - La pirogue Hitiura 2 est entrée dans le lagon de Huahine dimanche en fin d’après-midi après une traversée de 24 heures en provenance de l’atoll de Tetiaroa.

Le navigateur a ancré sa maison flottante dans la baie de Fare à Huahine, "devant un terrain familial", nous a-t-il indiqué mardi. Hitiura 2 devrait y rester au mouillage pour l’année scolaire à venir avant de déménager courant juillet 2017 vers Raiatea.

Un arrangement conclu avec les propriétaires de l’hôtel Le Brando a contraint Teiki Pambrun à quitter l’atoll de Tetiaroa, où il séjournait depuis plusieurs années. Il a levé l’ancre samedi en fin d’après-midi. Hitiura 2 a réalisé la traversée des 90 nautiques jusqu’à Huahine en 24 heures pour parvenir à destination dimanche à 17 heures. Sur place le navigateur polynésien annonce qu’il effectuera prochainement une visite de courtoisie au maire de l’île.

Teiki Pambrun installe sa pirogue Hitiura 2 à Huahine

Teiki Pambrun installe sa pirogue Hitiura 2 à Huahine

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Tipaerui : fermeture de la salle omnisport du 4 au 17 août

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Tipaerui : fermeture de la salle omnisport  du 4 au 17 août
La salle omnisport Maco Nena de Tipaerui sera fermée au public du jeudi 4 au mercredi 17 août en raison de travaux de peinture.

Sa réouverture est prévue le jeudi 18 août 2016, aux horaires habituels.

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Un projet de loi pour réduire les écarts entre outre-mer et métropole

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Un projet de loi pour réduire les écarts entre outre-mer et métropole
Paris, France | AFP | mercredi 03/08/2016 - Un projet de loi sur l'égalité réelle outre-mer, présenté mercredi en conseil des ministres, met en place de nouveaux dispositifs pour réduire, à un horizon de 10 ou 20 ans, les écarts de développement entre les populations d'outre-mer et de métropole.

Ce projet de loi de programmation, présenté par la ministre des Outre-mer George Pau-Langevin et Ericka Bareigts, secrétaire d’État chargée de l’Égalité réelle, affirme que la réduction de ces écarts, en matière économique ou sociale, est une "priorité de la Nation". Il devrait être présenté au parlement début octobre.

En parallèle, Mme Pau-Langevin a lancé une consultation qui permettra -- jusqu'au 9 septembre -- à qui le désire des 2,7 millions d'ultra-marins, de définir et avancer des propositions sur l'égalité réelle permettant éventuellement, une fois que la synthèse en sera faite, d'enrichir le texte de loi.

C'est "la première fois que l'ensemble des concitoyens ultramarins seront consultés au même moment, autrement que pour une élection", a insisté le ministère. Elle est accessible sur https://egalite-reelle-outre-mer.fr

Le projet de loi s'appuie sur le constat d'un niveau de vie qui, en terme de richesse, se situe selon les territoires entre 30% et 80% du PIB par habitant hexagonal.

Il prévoit la création, dans chacune des onze collectivités d'outre-mer habitées, d'un "plan de convergence", un contrat entre Etat et collectivités pour parvenir à réduire cet écart à l'horizon de 10 à 20 ans et révisable régulièrement.

Ce plan comprend une "stratégie de développement" pour fixer un horizon commun aux politiques publiques et un "suivi rigoureux" qui mesurera la contribution de chaque intervention.

Il s'agira ainsi de faire d'abord un diagnostic, en définissant des indicateurs spécifiques à chaque territoire (décrochage scolaire, chômage, mortalité infantile, illettrisme, empreinte carbone, etc) puis en définissant localement les mesures à mettre en place et les réévaluant quand nécessaire.

C'est le "caractère méthodique de cette quête d'égalité, avec la recherche d'indicateurs permettant de vérifier si on est sur la bonne voie, qui fait de ce projet de loi quelque chose de plus révolutionnaire que ce qui a été fait auparavant" , a indiqué à l'AFP Mme Pau-Langevin.

Une partie du projet de loi concerne spécifiquement Mayotte, le plus jeune département français où existent les écarts de développement les plus importants avec la métropole. Des mesures sont ainsi prévues pour y "consolider la mise en place d'un système complet d'assurance vieillesse" . Un article prévoit aussi d'accélérer le rythme d’augmentation des allocations familiales pour atteindre, dès 2021 au lieu de 2026, les montants en vigueur au niveau national.

La Fédération des entreprises d'outre-mer (Fedom), tout en saluant "l'attention particulière" du gouvernement aux outre-mer, s'est déclarée "extrêmement déçue par le contenu du texte proposé" qui "ne répond pas aux attentes des milieux économiques".

Le Conseil Représentatif des Français d'outre-mer (CREFOM) relève des "éléments positifs mais aussi des carences, des incertitudes et des flous qui doivent être impérativement levés".

Le projet de loi fait suite au rapport présenté en mars par le député PS de Guadeloupe Victorin Lurel, qui préconisait "un big-bang économique" dans les Outre-mer pour réduire d'ici à 25 ans les inégalités avec l'Hexagone.

ff/dch/fm

© 1994-2016 Agence France-Presse

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Manifestation dans Nouméa contre la discrimination des jeunes Kanak à l’emploi

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Manifestation dans Nouméa contre la discrimination des jeunes Kanak à l’emploi
Nouméa, France | AFP | mercredi 03/08/2016 - Plus d’un millier de personnes sont descendues mercredi dans les rues de Nouméa pour dénoncer l’insuffisant accès selon elles des jeunes Kanak à l’emploi et aux postes à responsabilités, a constaté une correspondante de l’AFP.

L’Union syndicale des travailleurs Kanak et des exploités (USTKE), à l’origine de la manifestation, avait également appelé à une journée de grève générale.

"A deux ans de la sortie de l’accord de Nouméa, les résultats ne sont pas au rendez-vous", a déclaré le président du syndicat indépendantiste, André Forest.

"Si elle n’est pas prise en compte, cette problématique fait courir au pays des risques sociaux et pourrait conduire à déséquilibrer gravement les rapports au niveau du pays", a-t-il ajouté.

Les manifestants, 1.500 selon la police, 3.000 selon le syndicat, se sont rendus au siège du Medef, du Congrès, du gouvernement et au haut-commissariat de la République, où ils ont déposé un "mémorandum pour le rééquilibrage".

Leurs revendications ont reçu un accueil plutôt bienveillant de la part des différents interlocuteurs, conscients des difficultés des jeunes à trouver un emploi dans un contexte de grave crise économique.

Le président (anti-indépendantiste) du gouvernement, Philippe Germain, a souligné qu’il "ne fallait pas stigmatiser la jeunesse kanak".

Le conseil du dialogue social, instance qui regroupent les partenaires sociaux, organise le 19 août prochain un colloque consacré à l’accès des jeunes Calédoniens à l’emploi.

Depuis 1989, les programmes de formation "400 cadres" et "Cadres avenir", ont permis à 1.584 personnes, dont 71% de Kanak, de reprendre une formation et d’accéder à des postes de cadres moyens ou supérieurs.

Mais l’USTKE juge ces résultats décevants et estime qu’encore trop peu de Kanak parviennent à des postes de responsabilité. "La jeunesse kanak a de plus en plus de mal à trouver sa place dans la société et vit dans un désenchantement qui la conduit dans la délinquance et la prison. Il faut impérativement lui proposer d’autres horizons qui passent par la formation et l’insertion professionnelle par l’emploi", expliquait le bureau fédéral du syndicat dans un communiqué publié fin juillet.

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Cuisine: Un chef américain offre un menu tout cannabis

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Cuisine: Un chef américain offre un menu tout cannabis
Los Angeles, Etats-Unis | AFP | mercredi 20/07/2016 - Depuis deux ans, Christopher Sayegh a trouvé comment pimenter ses recettes et élever son art culinaire: ce chef californien de 24 ans sert des menus entièrement cuisinés au cannabis.

Surfant sur la vague de la légalisation de l'usage récréatif du cannabis, le jeune chef veut démocratiser l'art culinaire à la marijuana, qu'il intègre à la cuisine gastronomique qu'il a apprise dans des restaurants étoilés de New York et de Californie.

"J'essaye de donner une expérience cérébrale aux gens", explique Sayegh à l'AFP, depuis son entreprise The Herbal Chef, basée à Los Angeles.

"Mais je suis aussi prudent dans la façon dont je les accompagne dans ce voyage", assure-t-il.

Il s'est lancé dans l'univers du cannabis comestible alors que beaucoup d'entrepreneurs cherchent à capitaliser sur la marijuana en Californie. Une aubaine dans un Etat appelé à voter en novembre sur la légalisation du cannabis récréatif pour les 21 ans et plus.

Ce rêve culinaire de Christopher Sayegh date de l'université, où il a d'abord étudié la biologie moléculaire avant de renoncer pour poursuivre son véritable projet.

Sa persévérance a fini par payer: il a créé son entreprise de cuisine cannabique à Los Angeles en 2014, et depuis, l'activité de The Herbal Chef n'a cessé de croître, assure-t-il, sans divulguer ses résultats.

- Immersion -
Pour l'instant, Sayegh ne peut servir ses plats qu'aux détenteurs d'une carte de marijuana médicale. Il espère que cela changera en novembre.

En attendant, ses onéreux menus, allant de 300 à 500 dollars par tête, sont exclusivement créés pour faire vivre aux clients une expérience garantie 100% "immersive", pas seulement pour "être stone", insiste le jeune chef.

"Je change littéralement la chimie du cerveau à mesure que les gens mangent mes plats", s'enthousiasme le cuisinier en manipulant des seringues garnies d'extrait de cannabis qu'il incorpore ensuite dans sa cuisine.

"Au bout du troisième plat on sent un peu, au quatrième un peu plus et au bout du cinquième, on est au bout du voyage". "C'est comme une symphonie", dit-il, "je dois faire attention à ce que les plats correspondent à la montée, et inversement pour la descente".

Cinq Etats américains ont déjà admis l'usage du cannabis à des fins non médicales et d'autres pourraient rapidement suivre, le mouvement suscitant l'engouement d'un grand nombre d'Américains.

Quant à l'usage médical de la marijuana, il est déjà autorisé dans 23 Etats américains, dont la Californie.

Selon un rapport de l'Arcview Group, une entreprise d'investissement et de recherche spécialisée dans le cannabis, la vente légale de marijuana aux Etats-Unis a atteint 1,2 milliard de dollars en 2015, soit une augmentation de 232% en un an.

D'ici 2020, les ventes devraient même dépasser 22 milliards de dollars, dont 6,4 milliards pour la seule Californie.

De telles projections suffisent à faire saliver les entrepreneurs. Comme Sayegh, beaucoup veulent se lancer dans le florissant business de la gastronomie au cannabis.

- Pas à la légère -
Fini les "spacecake" (les gâteaux qui font planer) grossiers, Sayegh propose une cuisine sophistiquée à base de boeuf wagyu japonais, de sorbet au pamplemousse ou encore d'huîtres "médicales".

Influencé par ses origines jordaniennes, Sayegh s'est même essayé au cannabis incorporé dans les feuilles de vigne, dans les falafels, les beignets de pois chiche et autres déclinaisons de délices orientaux.

Sa famille, d'abord consternée par sa nouvelle entreprise, se plaît aujourd'hui à goûter ses dernières créations.

Pourtant, même si l'incorporation de cannabis dans la nourriture connaît un franc succès dans son pays, Sayegh préfère rester prudent. Les consommateurs de cette nourriture d'un nouveau genre ne doivent pas prendre l'expérience à la légère.

"Ce n'est pas une science exacte à maints égards car beaucoup de facteurs rentrent en jeu lorsqu'on cuisine avec du cannabis", analyse Robyn Griggs Lawrence, auteur de "The Cannabis Kitchen Cookbook". "Ce n'est pas comme commander un verre de whisky. Nous en sommes encore au stade de la découverte".

Le patron de The Herbal Chef, soucieux de l'impact que peuvent avoir ses plats, s'attelle à préparer soigneusement chacun d'entre eux.

"Le cannabis n'est pas comme les autres ingrédients", précise-t-il. "Il faut être extrêmement prudent car non seulement la chaleur joue un rôle très important dans la cuisson du cannabis, mais aussi car on emmène littéralement les gens dans un voyage. On a la responsabilité de faire ça dans les règles".

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Missile nord-coréen tombé au large du Japon: Tokyo condamne "une menace sérieuse"

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Missile nord-coréen tombé au large du Japon: Tokyo condamne
Tokyo, Japon | AFP | mercredi 03/08/2016 - Le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, a condamné mercredi un tir de missile balistique nord-coréen tombé à 250 km des côtes du Japon, jugeant qu'il représentait "une menace sérieuse envers la sécurité du pays".

"C'est un acte scandaleux qui ne saurait être toléré", a déclaré à la presse le chef du gouvernement.

Le ministre de la Défense, Gen Nakatani, avait auparavant indiqué que le missile était tombé en mer du Japon, dans la Zone économique exclusive (ZEE) de l'archipel, ce qui n'était pas survenu depuis 1998. A l'époque, un missile nord-coréen avait atterri dans la ZEE du pays se situant dans l'océan Pacifique après avoir survolé le territoire.

"Il n'y a pas eu de signaux d'alerte, c'est un geste extrêmement problématique et dangereux, du point de vue de la sécurité des avions et bateaux", a souligné le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga. "Nous avons aussitôt protesté fermement auprès de la Corée du Nord", a-t-il dit.

Le missile a été tiré depuis une zone proche de la ville d'Unyul (ouest) vers 07H50 locales (22H50 GMT mardi), selon le ministère sud-coréen de la Défense.

Depuis le quatrième essai nucléaire nord-coréen du 6 janvier, suivi le 7 février par un tir de fusée généralement considéré comme un essai de missile balistique déguisé, les tensions ne cessent de s'aggraver dans la péninsule coréenne.

Après ce nouveau tir, les Etats-Unis ont averti qu'ils étaient prêts à se défendre et à protéger leurs alliés.

Le Japon avait fait part dans un livre blanc publié mardi de ses inquiétudes concernant le programme nucléaire nord-coréen, jugeant possible que Pyongyang soit parvenu, comme il l'affirme, "à miniaturiser des charges nucléaires et à développer des têtes nucléaires".

nf-anb/kap/gkg

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Sauvetage en mer : une nouvelle balise pour plus de sécurité

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Sauvetage en mer : une nouvelle balise pour plus de sécurité
PAPEETE, le 3 août 2016 - La fédération d'entraide polynésienne et de sauvetage en mer (FEPSM) et le MRCC se sont réunis mardi pour évoquer la mise en place et la commercialisation d'une balise de détresse personnelle.

"Aujourd'hui, sur 10 personnes qui vont en mer, deux partent encore sans rien", regrette Claude Davio, vice-président de la fédération d'entraide polynésienne de sauvetage en mer (FEPSM).

Tous les ans, de nombreux navigateurs, professionnels ou amateurs, se retrouvent en mer en situation de détresse. "En 2014, à Makemo, trois personnes ont navigué pour aller sur une autre île. Mais ils ont eu une panne de moteur. Ils n'avaient ni radio ni balise. Nous ne les avons retrouvés qu'au bout de trois jours… Ils ont eu de la chance!", explique Alain Côme, secrétaire général de la FEPSM. Mais la fin n'est pas toujours heureuse comme dans ce cas.

Le but de la FEPSM, en partenariat avec le MRCC est de faire évoluer les mentalités pour qu'un jour, chaque personne prenant la mer soit équipée et assurée.

DES BALISES POUR TOUS
Depuis deux ans, professionnels et bénévoles du secours en mer, travaillent à la mise en place de balise de détresse personnelle plus performante que celles qui existent déjà. Ce mardi, ils ont finalisé leur volonté.

Des balises, de marque américaine, ont été achetées par la FEPSM. Elles seront revendues aux personnes souhaitant s'équiper d'une sécurité de plus lorsqu'ils partent en mer. "Ces balises sont destinés à tous les usagers de la mer. Elles sont complètement flottantes, un plus par rapport à ce qui se fait déjà, et permettent l'émission d'ondes qui sont réceptionnées par le MRCC. Ainsi, on sait au bout de quelques minutes seulement où se trouve la personne en détresse", détaille Alain Côme. Grâce à une loi de Pays de décembre 2015, ces balises peuvent être acquises par tout le monde sans payer de taxe. Ainsi, la FEPSM les revend au prix coûtant, soit 27 000 francs.

"Plus de gens l'auront, plus les moyens de sécurité seront faciles à mettre en place…"
, insiste les membres de le FEPSM. L'objectif de la fédération est d'équiper environ 500 personnes en un an. Les appareils pourraient permettre une intervention plus rapide et plus précise des secours. "Pour un territoire comme la Polynésie française, ces balises sont des outils très efficaces."

Comment ça marche?

La balise PLB, comprendre Personal locator beacon, est un transmetteur qui émet un signal dans la bande de fréquence 406 MHz en cas de détresse d'urgence pour donner l'emplacement d'une personne et/ou d'un navire. Le signal est ensuite reçu par un ou des satellites du réseau Cospas-Sarsat qui déterminent la localisation et transmettent les coordonnées au MRCC.
Chaque balise soit être enregistrée pour que les autorités puissent retrouver les informations concernant le propriétaire de la balise, ses connaissances, le navire ou l'aéronef.
Ceux qui veulent se procurer cette balise peuvent se rendre au bureau de la FEPSM situé au rez-de-chaussée du bâtiment du port autonome, zone Papeava, Papeete.
Plus d'informations au 87 33 16 16.

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Du surf aux Jeux Olympiques de 2020, c’est officiel

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L’international surfing association militait depuis un moment pour que le surf devienne une discipline Olympique. C’est désormais chose faite, les instances olympiques ont intégré cinq nouvelles disciplines olympiques, dont le surf, pour les JO de 2020 à Tokyo. Michel Bourez, né en 1985, aura 35 ans. Kelly Slater en aura 48. C’est une nouvelle importante pour la Polynésie française où le surf est le sport-roi, avec le va’a.
Du surf aux Jeux Olympiques de 2020, c’est officiel
La nouvelle vient de tomber, le surf est intégré parmi les disciplines olympiques par le Comité international olympique (CIO). L'annonce a été faite lors de la 129e session retransmise en direct. L’international surfing fédération (ISA) militait depuis un moment auprès du CIO pour que le surf devienne une discipline olympique, c’est désormais chose faite. La fédération française de surf allait également dans ce sens.
 
Plusieurs stars du surf avaient également fait part de leur volonté de voir le surf devenir discipline olympique, notamment l’Australien Mick Fanning, le Brésilien Adriano De Souza ou encore l’Américain Kelly Slater.
 
Les cinq nouvelles disciplines sont le surf, le skateboard, le karaté, l’escalade et le baseball. Le vote a été adopté à l’unanimité. La décision a été prise par la commission du programme olympique en se basant sur un rapport rendu public par le CIO le 28 juillet dernier.

Il est toutefois à noter que Tahiti et Hawaii, considérés comme des « nations » lors des Mondiaux de l’ISA et sur les circuits professionnels de la World Surf League (WSL) ne sont pas reconnus comme telles par le CIO. Les surfeurs de Tahiti seront intégrés à l’équipe de France comme ceux de Hawaii le seront à la sélection américaine.
 
 

Du surf aux Jeux Olympiques de 2020, c’est officiel
Les critères qui ont pesé dans la balance
 
Parmi les critères de sélection : l'impact sur la parité hommes/femmes, l'attrait dudit sport auprès des jeunes et l'importance en termes d'héritage que constituerait l'ajout du sport concerné aux Jeux de Tokyo. Le rugby à 7 et le golf sont les derniers arrivés dans la grande famille des sports olympiques, ils seront présents pour la première fois aux  Jeux de Rio.
 
On se souvient du « big wave rider » brésilien Carlos Burle qui avait eu le privilège, en juin dernier, de porter la célèbre flamme olympique sur la plage de Maracaipe, une flamme qui était en route pour le stade Maracana, au Brésil. Un honneur pour le surfeur brésilien de 49 ans connu pour avoir sauvé de la noyade sa compatriote Maya Gabeira en 2013.
 
Cette décision n’est pas anodine pour la Polynésie et pourrait avoir d’importantes retombées puisque le surf est le sport-roi en Polynésie, avec le va’a. Michel Bourez avait obtenu une 5e place lors du championnat du monde 2014. Il aura 35 ans en 2012 et pourrait donc prétendre à une participation olympique, et donc pourquoi pas à une médaille.
 
Après Anne Caroline Graffe et sa médaille d’argent en 2012 à Londres, un Tahitien ou une Tahitienne pourrait ainsi obtenir une médaille olympique à Tokyo en 2020. La WSL, la ligue de surf professionnelle qui organise le circuit mondial, s’est félicitée de cette décision.
 
Il avait été question un moment que le concours se déroule en piscine sur une vague artificielle, ce ne sera pas le cas, la compétition se déroulera en océan, sur deux semaines. SB

Du surf aux Jeux Olympiques de 2020, c’est officiel
Ce qu’il faut savoir :
 
– Le format pour le surf aux JO de Tokyo 2020 sera de 40 surfeurs (20 hommes et 20 femmes).
– La compétition olympique se fera dans les vagues de l'océan, pas dans une piscine à vagues.
– Les spots éventuels ont déjà été étudiés et sélectionnés
– La compétition se disputera sur deux semaines lors d’un Festival du surf
– Les procédures de sélection seront officialisées d’ici la fin 2016 ou en cours d’année 2017.
– Les qualifications pour les JO 2020 ne se feront pas avant 2018 ou 2019.
– Les 3 nations fortes du surf (USA, Australie et Brésil) pourraient avoir plus d’athlètes aux JO que les autres pays.
– Le CIO a déjà décidé d’un maximum d’athlètes par pays.
– La WSL soutient l’ISA et le projet olympique. Elle a d’ores et déjà assuré de la participation de ses meilleurs surfeurs.
– La culture surf sera mise à l’honneur au cours de ce Festival avec une partie artistique (musique, peinture…) et une partie sportive où seront incluent les autres disciplines de la famille du surf comme le longboard, le bodyboard…Source FFS

http://www.tahiti-infos.com/video/

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Vous voulez travailler à l'assemblée ?

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Vous voulez travailler à l'assemblée ?
PAPEETE, le 3 août 2016. L'assemblée de Polynésie française a lancé un appel à candidature pour le recrutement d’un webmestre au service de la communication. Ce poste est en catégorie B.

L'assemblée de la Polynésie française informe qu’un appel à candidature aux agents de la fonction publique de la Polynésie française est lancé pour le recrutement par voie de détachement d’un webmestre (catégorie B) au service de la communication, de l'information multimédia et de l'accueil.

Les personnes intéressées devront adresser leur candidature accompagnée d’une lettre de motivation, d’un curriculum vitae et d'une photo d'identité avant le vendredi 12 août 2016 au plus tard au secrétariat de l' assemblée de la Polynésie française - Appel à candidature 2016, B.P. 28 - 98713 PAPEETE.

Pour de plus amples renseignements, les candidats pourront prendre contact directement avec le chef de service concerné, à savoir : Madame Rumia ATAI, chef du service de la communication, de l'information multimédia et de l'accueil de l'assemblée de la Polynésie française, dont les coordonnées sont les suivantes : tél : 40 41 63 77 - courriel : rumia.atai@assemblée.pf


Descriptif du poste :
Intitulé de la fonction : Webmestre
Environnement : service : communication, information multimédia et accueil
Hiérarchie : responsable direct : Chef de service
Effectif encadré : 0
Classification : catégorie B

Missions :
- concevoir, animer et développer les sites internet de l'assemblée de la Polynésie française (définition d'un cahier des charges, développement, hébergement, graphisme, référencement, animation éditoriale, etc.) ;
- gérer le contenu éditorial et assurer l'alimentation et la mise à jour quotidiennes des sites internet de l'assemblée en lien étroit avec les services administratifs de l'assemblée ;
- développer la présence de l'institution sur les réseaux sociaux ;
- participer à la mise en place de tout support de communication papier, informatique et multimédia ;
- participer au fonctionnement de la régie vidéo de l'institution.

Activités principales :
- concevoir et gérer, en collaboration avec le service de la communication et le service de l'informatique les différents sites internet de l'assemblée (www.assemblee.pf ; histoire.assemblee.pf), en lien avec la stratégie de communication de l'institution ;
- recueillir toutes informations susceptibles d'être intégrées aux sites internet de l'assemblée ;
- réaliser et assurer le tri et l'archivage des données collectées ;
- mettre à jour et intégrer quotidiennement tous les contenus sur les plateformes web et se porter garant de ce qui est publié ;
développer la présence de l'institution sur les réseaux sociaux : facebook, twitter, youtube, instagram, etc.. ;
- organiser des évènements ponctuels (ex : jeux concours, tchats ou toute autre action visant à fidéliser les utilisateur) ;
- créer des outils de communication (affiches, flyers, brochures, newsletters, bandeaux web, etc.) ;
- concevoir des vidéos institutionnelles ;
- proposer et participer au choix de l'évolution graphique des sites internets ;
- recueillir et analyser les remarques des utilisateurs ;
- établir une veille technologique ;
- proposer et participer au développement de la communication dans le cadre de la mise en place des outils, procédés, supports ou technique informatique ;
- collaborer étroitement avec le service informatique (infrastructure, outils, réseaux,...) ;
- participer aux activités du service ;
- rendre compte de ses activités et de toue anomalie.

Compétences requises :
- avoir une maîtrise avancée des logiciels et des techniques de programmation (HTML5, Bootstrap, CSS3, jQuery, Angular, ASP.NET, MVC, Dotnet Framework, C#, Linq, SQL Server, MySQL, etc.) ;
- être à l'écoute des internautes en analysant l'audience afin de proposer des améliorations sur le développement du site ;
- bonne maîtrise des logiciels de traitement de l'image : Adobe Illustrator, Photoshop, Flash, In design, after effects, première pro ;
- maîtriser l'outil, les procédés informatiques et les outils multimédia ;
- maîtrise du pack office ;
- créativité et sens artistique affirmés ;
- hautes compétences en graphisme voire en animation ;
- de bonnes connaissances en référencement ;
- compétence en animation de communautés ;
- intégrer les techniques nouvelles pour faire évoluer la créativité ;
- capacités rédactionnelles ;
- polyvalence requise ;
- bon niveau technique ;
- esprit d'initiative ;
- autonomie, capacité d'écoute, capacité à travailler en équipe ;
- résistance au stress ;
- capacité d'analyse, de rédaction et de synthèse ;
- rigueur et méthodologie dans l'exécution des mises à jour et archivage des contenus ;
- organiser son travail avec rigueur ;
- savoir s'adapter aux imprévus ;
- communiquer avec tout public ;
- disponibilité et sens du service public ;
- respect de la confidentialité.

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Le "Tahitian Treat" revient en force grâce à Drake

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PAPEETE, le 03 aout 2016 - Une boisson portant le nom du fenua, le Tahitian Treat, emblématique des années 1990 revient sur le devant de la scène grâce au chanteur Drake.

Le Tahitian Treat vous n'en avez jamais entendu parler ? C'est normal, c'est une boisson rose fluo, au goût chimique très sucré, elle était commercialisée aux États-Unis et au Canada, dans les années 1990. Cette boisson emblématique de cette génération était tombée dans l'oubli, c'était sans compter sur le chanteur Drake et la nostalgie de ses anciens consommateurs. Cette boisson qui porte le nom du fenua se veut être un soda au gout "fruits tropicaux", cependant il ne porte de Tahiti que le nom.


Le

Les adolescents de l'époque sont aujourd'hui adultes et le chanteur américain Drake fait partie de ceux-là. Alors quand dans une de ses chansons, il parle de ce fameux nectar des dieux (Nectar of the gods), c'est avec les paroles suivantes : "I used to hit the corner store to get to Tahiti Treat/Now the talk of the corner store is that I'm TBE" qu'il fait vibrer quelque chose chez les ados de cette époque. L'effet a été immédiat et la course au Tahitian treat n'a pas tardé. Sur Twitter et Facebook, ils sont nombreux à remercier le chanteur de leur avoir rappelé l'existence de la boisson, mais aussi à se remémorer leur enfance.



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Raiatea : le voleur écumait les bateaux de plaisance

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Raiatea : le voleur écumait les bateaux de plaisance
Raiatea, le 3 août 2016 - Un homme d'une trentaine d'années a été placé en garde à vue ce mercredi pour une série de cambriolages commis depuis des mois à Raiatea, en particulier au préjudice de plaisanciers en voilier.


Un casier judiciaire long comme le bras, et les deux cambriolages de trop. Un homme âgé d'une trentaine d'années, connu comme le loup blanc par la justice, a été placé en garde à vue chez les gendarmes ce mercredi matin à Raiatea pour toute une série de vols et tentatives de vols commis depuis le mois de mai dernier sur l'île sacrée.

Il devrait être déféré demain jeudi au parquet en vue d'un probable jugement en comparution immédiate. Le voleur a reconnu deux cambriolages perpétrés sur deux voiliers de plaisance au cours du mois de juillet, ainsi que des vols dans une habitation et dans un commerce.

Dans le viseur depuis mai

Le trentenaire aurait déjà dû être présenté à la justice à Papeete en juin dernier pour des faits identiques commis depuis le mois de mai mais avait bénéficié… de la grève des avions d'Air Tahiti. Loin d'avoir mis à profit ce contretemps pour se racheter une conduite, le monte-en-l'air a continué à écumer les voiliers de passage à Raiatea à la recherche de biens à voler, essentiellement du matériel multimédia.

La justice a finalement décidé de mettre un coup d'arrêt aux agissements de ce voleur multirécidiviste qui nuit à l'image d'une île dont la plaisance représente une part non négligeable de l'activité.



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Le déplacement au fenua d'Alain Juppé va-t-il lui faire du tort ?

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Le déplacement au fenua d'Alain Juppé va-t-il lui faire du tort ?
PAPEETE, le 3 août 2016. De nombreux médias en métropole reprochent à Alain Juppé d'avoir rappelé ses propositions en matière d’antiterrorisme qu'en fin de semaine dernière et de ne pas l'avoir fait quelques heures après l'assassinat du père Hamel. Le candidat à la primaire était en effet au fenua.

Depuis son retour de Polynésie, les médias métropolitains ne sont pas tendres avec Alain Juppé et beaucoup ont parlé autant de son absence que de ses propositions pour lutter contre les attentats. Ce mercredi, c'est Le Canard Enchaîné qui titre une de ses brèves "Juppé à contretemps". "Pas de chance pour Juppé, occupé à faire campagne en Polynésie et Wallis-et-Futuna, quand est survenu l'assassinat du père Hamel, à Saint-Etienne-du-Rouvray. Et comble de déveine, il n'avait pas jugé bon d'emmener avec lui une équipe de télévision. Résultat : faute de réseaux satellitaires corrects, ses réactions sont plus ou moins passées à la trappe, et "le meilleur d'entre nous" est resté inaudible."

Ceux qui ont suivi l'actualité pendant les deux dernières semaines auront relevé au passage une coquille du Canard enchaîné. C'est en effet en Nouvelle-Calédonie qu'est allé Alain Juppé avant d'atterrir au fenua.

Vu de métropole, les 2 134 kilomètres qui séparent les deux collectivités sont difficiles à voir. Pour comparaison, entre Paris et Kiev, capitale de l'Ukraine, il y a 2 400 kilomètres… Et puis, certes, le débit internet a beaucoup à envier à celui de Paris, les sites internet des médias polynésiens sont accessibles tout de même depuis la métropole.

Samedi, le journal Le Monde titrait un de ses articles "Alain Juppé, en retard d’une polémique". Un article paru au lendemain de la conférence de presse du candidat à la primaire de la droite. Celui-ci tenait à rappeler ses idées en matière d’antiterrorisme alors que son adversaire Nicolas Sarkozy avait occupé le terrain médiatique les jours précédents.

Le Journal du dimanche soulignait en fin de semaine : "En campagne en Polynésie, Alain Juppé n’a pas su, depuis là-bas, se faire entendre au moment de l’assassinat du père Hamel. Dans une ambiance tendue, le candidat à la primaire de la droite amorce une opération rattrapage depuis son retour à Paris."


Le déplacement au fenua d'Alain Juppé va-t-il lui faire du tort ?
BFM TV a même posé ce mercredi la question "Après un passage à vide estival, Alain Juppé peut-il se relancer?"

Pour rappel, Alain Juppé avait bouleversé son programme mardi après-midi après avoir appris l'attentat à l’église de St-Etienne-du-Rouvray. Les médias avaient été conviés à le rencontrer à la descente de son avion en provenance de Raiatea avant la messe en hommage au père Hamel.

Le candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2017 avait réagi à l'attentat qu'il qualifiait d’ "acte inacceptable" et présenté les propositions qu’il défend pour renforcer le système judiciaire et carcéral en France et lutter contre le phénomène de radicalisation islamique. Une info relayée dans les médias polynésiens le jour même.

Alain Juppé était en Polynésie française du 20 au 24 juillet après un déplacement en Nouvelle-Calédonie.

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Ouverture du séminaire d’accueil des personnels stagiaires de l’ESPé

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Ouverture du séminaire d’accueil des personnels stagiaires de l’ESPé
PUNAAUIA, 3 août 2016 - La ministre de l’Education et de l’Enseignement supérieur a participé mercredi matin à l’ouverture du séminaire d’accueil des personnels stagiaires de l’Ecole supérieure du professorat et de l’éducation (ESPé). La ministre a tenu à exprimer à féliciter les personnels stagiaires de l’ESPé, admis à un concours national d’enseignant ou de conseiller principal d’éducation, représentant une étape fondamentale dans leur parcours universitaire.

Ouverture du séminaire d’accueil des personnels stagiaires de l’ESPé
Nicole Sanquer-Fareata a souligné les progrès réalisés par le système éducatif polynésien, en citant notamment l’harmonisation des parcours avec la suppression du palier 5ème et la réforme du CETAD qui porte le recrutement après la 3ème, mais aussi la reprise des constructions et des rénovations pour améliorer l’accueil des élèves et favoriser les apprentissages. La ministre a également mis en exergue la mise en place de la continuité du 1er/2nd degré de l’enseignement des langues polynésiennes, qui doit aussi être un atout pour l’apprentissage de la langue française, la progression des résultats aux baccalauréats général et technologique, et enfin le développement du numérique dans les établissements scolaires et dans les pratiques pédagogiques des enseignants.

Elle a néanmoins indiqué que de nombreux défis restaient à relever, le climat scolaire dans certains établissements pouvant s’avérer précaire et la prise en charge d’élèves nécessitant une pédagogie adaptée et individualisée. La lutte contre le décrochage scolaire et l’absentéisme par la promotion de la persévérance scolaire, et l’amélioration des résultats au Diplôme national du brevet (DNB) et aux examens de la filière professionnelle sont aussi, a-t-elle souligné, des objectifs prioritaires.

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