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Air Tahiti : un accord signé avec les cadres de l'entreprise et les mécaniciens du centre industriel

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Air Tahiti : un accord signé avec les cadres de l'entreprise et les mécaniciens du centre industriel
FAAA, 20 mai 2016 - La compagnie Air Tahiti informe par communiqué de la signature, vendredi après-midi, d'un protocole d'accord avec les cadres de l'entreprise, ainsi qu'avec les mécaniciens du Centre Industriel.

Toujours aucun accord en revanche du côté des personnels navigants. Compte tenu d'un mouvement de grève qui s'est généralisé depuis lundi dans l'entreprise, l'ensemble des services au sol continue de fonctionner, avec des effectifs réduits.

Air Tahiti a également mis en place des moyens de transport de substitution : les appareils des compagnies Pol Air et Air Archipels ont été affrétés sur certaines destinations, ainsi que le catamaran Aremiti V pour certaines Iles-sous-le-vent.

Les difficultés rencontrés par la compagnie aérienne pour assurer ses vols a pour cause le nombre de grévistes dans la corporation des Personnels Navigants Commerciaux (PNC : hôtesses et stewards). Les PNC non grévistes permettent la réalisation d’un programme de vols qui est redéfini tous les jours pour le lendemain ; ces personnels qui permettent d’assurer les vols sont programmés conformément à la réglementation, en tenant compte notamment du repos réglementaire.

Malgré le conflit social actuellement en cours, Air Tahiti assure avoir transporté 75% des passagers prévus pour les journées du 17 et du 18 mai et presque 80% pour le jeudi 19 mai. Les chiffres communiqués font état de 1420 passagers transportés mardi sur les 1905 prévus avant la grève, 1214 sur 1627 mercredi et 1440 sur 1813 jeudi.

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La conjonctive en baisse mais des cas de bronchiolites graves

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La conjonctive en baisse mais des cas de bronchiolites graves
PAPEETE, le 20 mai 2016. Le bureau de veille sanitaire a publié ce vendredi son bulletin de surveillance sanitaire.

Concernant la dengue, le bulletin précise que la circulation est "persistante, en particulier aux îles du Vent, îles sous-le-Vent et aux Marquises". entre le 2 et le 8 mai, 48 cas ont été confirmés (14 type 1 de dengue). Sept hospitalisations ont été recensées.

L'épidémie de conjonctivite qui a touché le territoire ces derniers mois est en phase décroissante, assure le bureau de veille sanitaire. "Quelques foyers subsistent dans certaines îles", précise le bulletin.

Le bulletin note aussi que des cas de bronchiolite graves ont été signalés par les service de pédiatrie du CHPF.

La bronchiolite est une infection virale aiguë qui touche les bronchioles (petites bronches) des nourrissons et des jeunes enfants.
Malgré des symptômes impressionnants : toux, respiration rapide et sifflante, la bronchiolite est le plus souvent une affection bénigne.

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Travaux : la prison de Papeari prend du retard

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Travaux : la prison de Papeari prend du retard
PAPEETE, le 20 mai 2016 - Les travaux de la prison de Papeari ont pris du retard. Le centre pénitentiaire devrait finalement être mis en service courant mars 2017, cependant ces délais impactent fortement les prisonniers mais aussi les élèves pénitentiaires polynésiens en formation en métropole qui ne rentreront pas en octobre prochain comme prévu.

La livraison de la prison de Papeari n'aura pas lieu courant novembre 2016, comme cela était prévu au départ, mais plutôt courant mars 2017, soit avec quatre mois de retard.

Ces nouveaux délais sont dus à des problèmes de gestion du chantier, mais surtout au placement en liquidation judiciaire de deux entreprises sous-traitantes et aux intempéries qui se sont abattues sur le Pays ces derniers mois. En effet, le chantier a dû être arrêté à cause des fortes pluies.

Ainsi, la prison de Papeari ne pourra être mise en service aux dates programmées. "Les retards sont de l'ordre de quatre mois puisqu'il y a eu deux entreprises en liquidation judiciaire et des intempéries. L'ouverture officielle du site aura lieu courant mai 2017" indique Barbara Lambert, directrice adjointe à la prison.

Ces retards ont des conséquences sur les prisonniers qui devront attendre encore avant de découvrir les nouveaux locaux et quitter les espaces saturés de Nuutania, mais aussi sur les élèves surveillants pénitentiaires polynésiens actuellement en métropole.


Travaux : la prison de Papeari prend du retard
En effet, ils ont été informés ce vendredi soir (heure métropolitaine, soit vendredi matin heure locale) que leur retour prévu en octobre serait reporté à mi-décembre 2016. "La direction fait tout son possible pour venir en aide à nos élèves polynésiens qui se retrouvent dans une situation inattendue en France. Je sais que la direction a réussi à dégager 37 postes sur Nuutania à partir d'octobre prochain, des postes vacants puisque ceux qui les occupaient ont réussi les concours pour devenir cadre, il y a aussi les départs à la retraite", indique Karl Matuhi, délégué régional de Polynésie.

Ainsi, sur les 200 élèves pénitentiaires partis pour une formation de huit mois en métropole seuls 37 rentreront à la date prévue, "l'administration travaille sur les critères à mettre en place pour la sélection des 37 élèves qui pourront revenir en octobre. Il faudra prendre en compte la situation de chacun au cas par cas", précise le délégué régional des surveillants pénitentiaires. Cette décision a provoqué de vives réactions chez les élèves, mais aussi chez leurs familles, Barbara Lambert a, de son côté, indiqué comprendre les réactions "l'inquiétude est compréhensible. Nous les entendons et pouvons les rassurer et leur assurer qu'il n'y aura pas de nouveau report. À l'ENAP (École nationale d'administration publique) ils font le point sur la situation familiale de chacun afin de répondre au mieux aux problématiques des élèves et de décider qui rentrera en octobre." Il est vrai que nombre d'entre eux ont des épouses, des enfants qui les attendent sur le fenua, d'ailleurs Karl Manutahi indique "certains nous ont dit qu'ils veulent revenir même s'ils ne sont pas payés, et on comprend ce qu'ils ressentent, mais l'administration met tout en œuvre pour qu'ils puissent revenir au fenua. L'objectif est que les 200 élèves reviennent avant les fêtes de fin d'année."


Travaux : la prison de Papeari prend du retard
L'un de ces élèves en formation nous parle de l'état d'esprit en métropole "ce n'est pas ce qui était initialement prévu et c'est difficile pour nous tous...On a reçu un coup au cœur. L'éloignement avec nos familles est dur à supporter."

Les déclarations de la directrice adjointe de la prison de Papeari vont dans ce sens, "nous les ferons rentrer mi-décembre pour les fêtes de fin d'année, afin qu'ils puissent réveillonner en famille. Puis nous les mettrons en congé pendant environ un mois et demi pour une prise de fonction effective au 30 janvier 2017."

En attendant, ceux qui resteront en métropole seront affectés en stage dans des centres pénitentiaires métropolitains, "ils sont en France pour suivre une scolarité de huit mois, où ils apprennent la théorie et la pratique du métier. Ensuite, ils doivent suivre un stage d'un an dans un établissement pénitentiaire et enfin ils doivent faire valider leurs compétences. Il faut deux ans avant d'être titulaire."

SI la prise de fonction se fait au 30 janvier, la prison ne devrait être mise en service véritablement qu'en mai 2017, en attendant, la direction a concocté aux élèves surveillants pénitentiaires un emploi du temps qui les maintiendra occupés, "nous avons beaucoup de choses à leur faire faire, explique Barbara Lambert, nous allons commencer avec un programme de formation, puis ils auront la garde des murs, ainsi que la sécurisation du site et enfin la phase de marche à blanc, c’est-à-dire une batterie de tests grandeur nature, cette dernière phase devrait se tenir entre les mois de mars et mai. "

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Le sémaphore et les bénévoles de la FEPSM de Hiva Oa à l'initiative d'une assistance maritime

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Le sémaphore et les bénévoles de la FEPSM de Hiva Oa à l'initiative d'une assistance maritime
HIVA OA, le 21 mai 2016- Une opération d’assistance maritime s’est déroulée jeudi 19 mai dans la matinée à Hiva Oa dans l’archipel des Marquises.
En effet ce jeudi à 8h45, une bénévole de la FEPSM présente au sémaphore d'Atuona reçoit par radio VHF, une demande de suivi d'arrivée d'un voilier tchèque signalant un problème sur son mat à l'est de Hiva Oa, à environ 30 nautiques.

Immédiatement, les bénévoles de la FEPSM contactent le MRCC Papeete qui active la chaîne de secours maritime. Durant plusieurs heures, le voilier reste en contact radio avec le sémaphore d'Atuona et par téléphone satellite avec le MRCC Papeete car la situation est stable et le voilier fait route au moteur vers Hiva Oa.

A 15h45, le MRCC Papeete demande aux bénévoles de la Station de Sauvetage en Mer 01 d'engager une opération d'assistance maritime suite à une avarie moteur du voilier tchèque, encore distant de 10 nautiques du port de Tahauku.
Le patron de station, Lucien, et un autre bénévole, Paul, arment le navire « SAS Marquises » et quittent le port à 17h, juste avant la tombée de la nuit. Au sémaphore, Bryan assure en anglais l'interface radio avec le voilier. Le navire en avarie est pris en remorque à 17h51 et est ramené en sécurité au port deux heures plus tard avec ses 2 occupants sains et saufs.

La Fédération adresse un grand merci à l'équipe de bénévoles de la SSM 01 qui s'est relayée pour le suivi par radio et à Lucien et Paul pour leur intervention toujours très professionnelle.
Une fois de plus cette opération d’assistance maritime démontre au combien les bénévoles de la FEPSM font partis intégrantes du dispositif d’alerte et de sécurité maritime mis en place par le MRCC Papeete dans les iles et atolls les plus éloignés de Polynésie Français


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USA: le métro de Los Angeles va enfin jusqu'à la plage

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USA: le métro de Los Angeles va enfin jusqu'à la plage
Los Angeles, Etats-Unis | AFP | vendredi 20/05/2016 - La prolongation tant attendue du métro de Los Angeles pour relier le centre-ville à la plage de Santa Monica, pour la première fois par rails en soixante ans, a été inaugurée vendredi en grande pompe.

Cette nouvelle portion de la ligne Expo, d'une longueur de 6,6 miles (10,6 km) et qui a coûté 1,5 milliard de dollars, permet de se rendre du centre de Los Angeles à la plage en une cinquantaine de minutes. Ce qui n'était plus possible par réseau ferroviaire depuis la disparition des tramways électriques dans les années 1950.

"Nous avons une densité de population très élevée et cela nous aidera en matière de circulation routière", a déclaré Nanette Sanchez, une habitante venue assister comme des centaines de personnes à la cérémonie d'inauguration.

"Nos autoroutes sont tout simplement bondées et les gens passent beaucoup trop de temps dans leurs voitures", a-t-elle ajouté.

Le maire de Los Angeles Eric Garcetti s'attend à ce que cette ligne soit l'une des plus fréquentées, et qu'elle dépasse même les attentes de 30.000 passagers quotidiens.

"Ma prévision est que ça dépassera largement 50.000" par jour, avait-il estimé il y a quelques jours, précisant que la fréquence serait de 12 minutes mais que la cadence pourrait être accélérée si besoin.

D'après la société d'informations routières Inrix, la ville de Los Angeles est la plus congestionnée des Etats-Unis. Selon elle, les conducteurs ont passé en moyenne 81 heures à patienter dans des embouteillages en 2015.

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Cannes: Nellie, la chienne de "Paterson", reçoit la Palm Dog... à titre posthume

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Cannes: Nellie, la chienne de
Cannes, France | AFP | vendredi 20/05/2016 - La très convoitée Palm Dog du meilleur interprète canin dans un film projeté à Cannes, a été attribuée vendredi à titre posthume à Nellie, la chienne du film "Paterson", de l'Américain Jim Jarmusch,

Troisième personnage du film, la chienne - morte il y a quelques mois - a convaincu le jury des critiques anglosaxons par ses mimiques particulièrement expressives.

"Le chien était très doué pour l'improvisation. En fait, c'est une chienne et elle a été brillante pour écrire son propre texte", a plaisanté Jim Jarmusch, lors de la conférence de presse de son film.

L'assistance a été émue en apprenant que Nellie - qui s'appelle Marvin dans le film - n'était plus de ce monde. C'est donc une doublure qui a posé pour les photographes et reçu la Palm Dog en lieu et place de la regrettée Nellie.

Un prix spécial du jury a été attribué à un Dalmatien, répondant au nom de Jack, témoin d'un procès dans le film "Victoria", de Justine Triet, avec Virginie Efira dans le rôle titre.

Créée par des critiques de cinéma anglo-saxons, la Palm Dog est remise tous les ans à Cannes depuis 2001.

Elle récompense la meilleure interprétation canine dans un film de la sélection officielle, qu'il soit de chair (..et d'os) ou dans un film d'animation.

fio/jfg/DS

© 1994-2016 Agence France-Presse

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Algues toxiques au Chili: le gouvernement annonce la fin du conflit avec les pêcheurs de Chiloé

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Algues toxiques au Chili: le gouvernement annonce la fin du conflit avec les pêcheurs de Chiloé
Santiago du Chili, Chili | AFP | vendredi 20/05/2016 - Le gouvernement chilien vient d'annoncer la fin du conflit avec les pêcheurs artisanaux de Chiloé, qui protestaient depuis plusieurs semaines contre la prolifération d'algues toxiques qui les a mis au chômage forcé.

"Les pêcheurs d'Ancud (commune de l'île) parviennent à un accord avec le gouvernement et mettent fin aux manifestations à Chiloé", a écrit jeudi soir sur son compte Twitter le ministre de l'économie chilien, Luis Felipe Cespedes.

Le gouvernement a interdit l'extraction de fruits de mer dans la région à cause de l'apparition massive d'algues.

Il s’agissait de la dernière commune mobilisée sur cette île de 170.000 habitants, à quelque 1.000 km au sud de la capitale, Santiago, les autres étant déjà parvenues à un accord avec les autorités.

Etals de poissons vides, pénuries de produits de bases, barrages de pneus enflammés et touristes bloqués : ces pêcheurs réclamaient une plus grande compensation de l'Etat.

Outre un premier versement aux familles de plus de 5.000 pêcheurs de 300.000 pesos chiliens (380 euros) chacune, une aide supplémentaire de près de 200 euros sera distribuée, a annoncé le gouvernement.

Les travailleurs de la mer ont demandé des solutions pour mieux contrôler la pollution de l'océan pacifique.

Cette "marée rouge", qui consomme l'oxygène disponible et génère des toxines vénéneuse dans les mollusques, est un phénomène habituel qui connaît une forte intensité cette année.

Les côtes chiliennes ont récemment été le théâtre d'épisodes alarmants, avec la mort de milliers de saumons, de sardines, de baleines et de machas, un coquillage typique de la région.

Certains scientifiques relient ces événements au phénomène climatique El Niño, qui réchauffe la mer et entraîne notamment une multiplication d'algues.

Mais les pêcheurs affirment que, si cette "marée rouge" est si virulente, c'est en raison des tonnes de saumons contaminés par ces algues déversés en mer en début d'année par l'industrie du saumon. Ce secteur, puissant dans ce pays, deuxième producteur mondial, derrière la Norvège, réfute ces accusations.

Le gouvernement chilien a fait appel à un groupe de scientifiques indépendants pour analyser le phénomène.

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Grève Air Tahiti : Reprise des négociations

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Grève Air Tahiti : Reprise des négociations
PAPEETE, le 21 mai 2016 - Les négociations entre les représentants syndicaux et la direction d'Air Tahiti ont repris ce matin à 10h.

C'est une longue journée qui attend les représentants syndicaux et la direction d'Air Tahiti, les négociations ont repris ce matin à 10h entre les parties.
Vendredi, la compagnie Air Tahiti annonçait la signature d'un protocole d'accord avec les cadres de l'entreprise, ainsi qu'avec les mécaniciens du Centre Industriel.

Toujours aucun accord n'avait, en revanche, été trouvé du côté des personnels navigants. Compte tenu d'un mouvement de grève qui s'est généralisé depuis lundi dans l'entreprise, l'ensemble des services au sol continue de fonctionner, avec des effectifs réduits.

La compagnie aérienne a également mis en place des moyens de transport de substitution : les appareils des compagnies Pol Air et Air Archipels ont été affrétés sur certaines destinations, ainsi que le catamaran Aremiti V pour certaines Iles-sous-le-vent.

Les difficultés rencontrés par la compagnie pour assurer ses vols a pour cause le nombre de grévistes dans la corporation des Personnels Navigants Commerciaux (PNC : hôtesses et stewards). Les PNC non grévistes permettent la réalisation d’un programme de vols qui est redéfini tous les jours pour le lendemain ; ces personnels qui permettent d’assurer les vols sont programmés conformément à la réglementation, en tenant compte notamment du repos réglementaire.

Malgré le conflit social actuellement en cours, Air Tahiti assure avoir transporté 75% des passagers prévus pour les journées du 17 et du 18 mai et presque 80% pour le jeudi 19 mai. Les chiffres communiqués font état de 1420 passagers transportés mardi sur les 1905 prévus avant la grève, 1214 sur 1627 mercredi et 1440 sur 1813 jeudi.

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Rugby à VII: les Fidji conservent leur titre sur le circuit mondial

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Londres, Royaume-Uni | AFP | samedi 21/05/2016 - Les Fidji sont assurés de conserver leur titre sur le circuit mondial de rugby à VII grâce à leur qualification samedi pour les quarts de finale du Tournoi de Londres, avec dans le viseur les jeux Olympiques de Rio dans moins de trois mois.

Les Fidjiens affronteront la France dimanche en quarts et ne peuvent plus être rattrapés au classement général du circuit qu'ils remportent pour la deuxième année consécutive.

La journée était pourtant mal partie avec une défaite d'entrée contre l'Angleterre 10-31 à Twickenham, mais les Fidjiens ont fait le nécessaire par la suite en surclassant le pays de Galles 42-5 et l'Australie 26-0.

Les autres quarts de finale opposeront l'Afrique du Sud à l'Argentine, la Nouvelle-Zélande aux Etats-Unis et l'Angleterre à l'Ecosse.

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Grève Air Tahiti : le point de la journée de Samedi

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Grève Air Tahiti : le point de la journée de Samedi
PAPEETE, le 21 mai 2016 - Le personnel d'Air Tahiti est toujours en grève. Samedi en fin d'après-midi, les représentants syndicaux et la direction étaient toujours en cours de négociations au siège de la compagnie aérienne. Aucun accord n'avait été trouvé.

Samedi matin, la compagnie Air Tahiti avait affrété le bateau Aremiti V afin de permettre aux passagers bloqués à cause des grèves du personnel de se rendre à Huahine et Raiatea. Les passagers ont donc pu embarquer tôt ce matin et son arrivés à bon bord.

Du côté des négociations en revanche la situation n'a pas évolué. "Nous sommes dans la continuité de ce qu'il s'est passé hier" indique un représentant du personnel pendant la pause déjeuner. "Nous sommes au point mort" regrette un représentant de l'intersyndicale Charles Lagarde, délégué syndical pour O oe to oe rima, "nous sommes prêts à négocier toute la nuit si cela nous permet de trouver un accord avec la direction", poursuit-il.

Pendant cette journée les points dits "bloquants" des négociations c'est à dire le plan social, entre autres, n'ont pas été évoqué, "nous souhaitons faire avancer les négociations avant d'aborder les sujets sensibles", expliquent les représentants syndicaux.
"nous voulons trouver une porte de sortie, nous avons l'impression de tourner autour du pot" déclarent les représentants syndicaux qui participent aux négociations.

Le mouvement social, ne devrait pas impacter les vols internationaux à l’arrivée et au départ du Fenua prévus dans la soirée de samedi et dans la journée de dimanche.

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MMA – Furyfight Championship : Encore une ceinture pour Raihere Dudes

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L’ambassadeur ATN Raihere Dudes était en Californie cette semaine pour un nouveau combat de MMA qui s’est déroulé vendredi soir. Il a pu s’imposer par décision après un combat difficile contre un adversaire coriace. Il obtient ainsi une nouvelle ceinture, sa quatrième, grâce à cette nouvelle victoire. Une ceinture qui fera certainement plaisir à ses nombreux fans et aux adhérents de son club « Islander MMA ».
MMA – Furyfight Championship : Encore une ceinture pour Raihere Dudes
CALIFORNIE, le 21 mai 2016. Raihere Dudes, pour ceux qui ne le connaitraient pas encore, est un des précurseurs du MMA tahitien. Le MMA est cette discipline qui mélange les arts martiaux. Après une première expérience néozélandaise en 2012, Here Dudes est parti s’entrainer au Canada où il a perdu 20 kilos, revenant ensuite à Tahiti où il a mis à profit l’expérience acquise pour s’entrainer du mieux possible, malgré des moyens limités.
 
Au fur et à mesure de ses déplacements, en Europe ou en Californie, il a connu la défaite, les blessures mais il a persévéré pour remporter une première ceinture, puis une deuxième, puis une troisième face à des combattants chevronnés. Le mois dernier, il a pu franchir un nouveau cap au niveau entrainement en changeant de salle, il peut désormais bénéficier d’équipements modernes. Son club Islander MMA est passé d’une quarantaine d’adhérents à plus de 110.
 
Raihere Dudes, qui est ambassadeur Air Tahiti Nui, s’est rendu en milieu de semaine à Torrance, une ville du comté de Los Angeles en Californie, pour un nouveau combat qui s’est déroulé vendredi soir, le combat « Main Event » de la soirée « Fury Championship » où il a pu s’imposer aux points après un combat « difficile ». SB

MMA – Furyfight Championship : Encore une ceinture pour Raihere Dudes
Raihere Dudes depuis la Californie :
 
Comment ce combat a pu se faire ?
 
« J’ai été contacté il y a un mois après mon combat contre Alvarez, il y avait une ceinture à la clé, j’ai donc signé. Pour la pesée, j’étais au poids mais mon adversaire avait 4 kilos de trop, j’ai quand même accepté le combat. On peut dire que le niveau était supérieur à ce que j’ai connu. Le combattant était très complet, il était bon en combat debout ainsi qu’en lutte. On a pas trop été au sol, le combat s’est déroulé plutôt en corps à corps et en « striking ». »
 
Quelques mots sur le combat ?
 
« On a fait 3 rounds de 5 minutes, en MMA c’est assez interminable. C’était très serré. Je m’attendais à ce qu’il soit plus « boxe » et « lutte » mais au final il était complet. Il m’a collé et mis la pression. Au premier round, on s’est jaugé, on a pas trop osé se jeter dessus et tout le combat s’est fait dans cette perspective. On ne voulait pas « rentrer bêtement » mais on s’est quand même tapés. Moi qui vient du « strike » (ndlr combat debout), il était au niveau. Je sors du combat avec une victoire par décision deux juges à un. »
 
Comment as-tu pu faire la différence ?
 
« A ma salle, j’ai pris l’habitude de « tourner » avec certains poids lourds. J’ai fait aussi une préparation de crossfitt basée sur la puissance car je savais que c’était un lutteur. J’ai travaillé aussi les techniques de lutte et de « striking », je pense que cela m’a aidé pour contenir sa puissance à lui, pour pouvoir ensuite poser mon jeu pendant le combat. Je pense malgré tout que cela a été un de mes combats les plus difficiles. »
 
Pas trop de blessures ?
 
« J’ai l’arcade droite qui a été touchée sur un « overhand » du gauche. J’ai reçu aussi un bon coup dans la nuque, cela m’a sonné pendant le combat, j’ai une bosse dans le cou, mon poignet gauche aussi a été touché mais ca va, pas de gros bobo, pas de fracture. (…) Cette victoire fait plaisir, cela va nous donner un coup de « peps » à la salle. Cela va nous motiver. Après ma victoire du mois de mars, enchainer avec une autre victoire c’est satisfaisant. »
 
Un dernier mot, un remerciement ?
 
« C’est sûr que vu de l’extérieur, l’aire de combat, la cage, paraît impressionnante mais c’est juste un espace adapté au MMA. Le MMA c’est juste un mélange de plusieurs arts martiaux qui inculque des valeurs comme le respect de l’autre, de soi même. Les adhérents sont formés comme dans les autres disciplines, que ce soit la boxe anglaise, le jiu jitsu ou autre. »
 
« Les Américains privilégient l’aspect « show » et donc c’est ce que tout le monde retient. C’est violent, certes, on ne fait pas de la danse, mais je défends mon sport car c’est un sport qui m’a permis de m’épanouir dans ma vie professionnelle et dans ma vie tout court. Je pense qu’il pourra y avoir des débouchés professionnels pour d’autres sportifs polynésiens à l’avenir. »
 
« Je remercie mes sponsors Air Tahiti Nui, Vodafone, Aito Sport, Sparkgreen, Les 5 éléments, thanks aussi à Islander MMA et Team Arena, merci au public qui me soutient et merci à Tahiti Infos qui me suit depuis les débuts. »

MMA – Furyfight Championship : Encore une ceinture pour Raihere Dudes

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Un expert en gestion des ressources marines défend l'AMP des Australes

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Un expert en gestion des ressources marines défend l'AMP des Australes
PAPEETE, le 22 mai 2016 - Philippe Cury, un scientifique au CV impressionnant, expert en biologie marine, prend position en faveur des aires marines protégées. Le principal projet polynésien dans le domaine, le Rāhui Nui nō Tuha’a Pae est pour l'instant suspendu par manque de soutien politique.

Un grand projet d'Aire marine protégée (AMP), porté par l'association internationale Pew et par quatre des cinq maires des Australes, a été présenté au gouvernement en avril dernier. Nommé Rāhui Nui nō Tuha’a Pae, il visait à interdire 1 million de kilomètre carré d'océan (à l'exception d'une large zone près des côtes des îles de l'archipel) à la pêche et à l'exploitation minière. Mais, face à l'opposition du gouvernement, le projet a peu de chances de se réaliser un jour.

Le ministre de l'environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a expliqué que le Pays n'a "pas de leçon à recevoir de Pew" et soutient à la place un projet d'Aire marine gérée à l'échelle de toute la Polynésie. Même le président Fritch a signalé son opposition, car "on est en train de s’enfermer. On ne peut pas interdire aux Polynésiens d’accéder à la zone économique de notre pays. On va commencer par les Australes, puis ce sera les Marquises, les Tuamotu, et on ne pourra plus pêcher nulle part alors que notre flottille de pêche participe au développement et à l’emploi."

Pourtant la fondation Pew, dont la principale mission est de promouvoir la création de ces AMP dans tous les océans du monde, n'abandonne pas son effort pour convaincre la Polynésie de créer la plus grande réserve au monde. Le directeur de la Pew Charitable Trusts en Polynésie, Jérôme Petit, a décidé de répondre aux arguments avancés par les opposants au projet grâce à l'appui scientifique de Philippe Cury, expert internationalement reconnu sur les écosystèmes marins exploités. Il a un CV particulièrement spectaculaire : il est directeur de recherche à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), directeur de l’UMR-Marbec (laboratoire de recherche sur les écosystèmes marins exploités) et directeur du Centre de recherche halieutique méditerranéenne et tropicale de Sète.

Militant pour une exploitation plus responsable des ressources marines, le scientifique est proche de certaines ONG écologistes. Philippe Cury a ainsi participé au Grenelle de la Mer pour la Fondation Nicolas Hulot. Il a également participé en tant qu'expert au Lenfest Forage fish study, une étude sur le rôle des poissons fourrage financée par la fondation Pew. Mais le directeur de trois laboratoires français nous précise : "je n'ai jamais reçu de financements propres pour mes recherches, ni de la Pew ni d'une autre ONG."


>>> "La séquence est toujours la même, on exploite les ressources sans y voir aucune limite, en accroissant continuellement le nombre de bateaux" Philippe Cury (Directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le Développement)

Philippe Cury, directeur de recherche à l'IRD, interviewé par Jérôme Petit
Un expert en gestion des ressources marines défend l'AMP des Australes
"Il faut gérer les ressources quand elles sont encore bien portantes, c’est le seul moment"


Quelle est votre expérience en matière de gestion des ressources halieutiques ?
Directeur de recherche à l’IRD (institut de Recherche pour le Développement) où j’ai fait l’ensemble de ma carrière, j’ai travaillé en Afrique du Sud, en Californie, en Côte d’Ivoire, en Afrique de l’Ouest pendant de nombreuses années sur la gestion des ressources halieutiques. Pendant onze ans jusqu’en 2015 j’ai dirigé un Centre de Recherche Halieutique basé à Sète. J’ai étudié les ressources marines mondiales, notamment des thons et des ressources hauturières ainsi que leur exploitation. J’ai aussi travaillé sur la dynamique des populations de poissons, sur les écosystèmes marins côtiers et hauturiers et leur gestion. Le centre de recherche halieutique que j’ai dirigé, structuré autour de l’approche écosystémique des pêches, est un des plus importants au niveau mondial.

Quel est l’état des stocks halieutiques dans le Pacifique ?
L’état des stocks de thons dans le Pacifique est meilleur que celui de l’Atlantique où les ressources sont surexploitées et meilleur que dans l’Océan Indien où l’essor du nombre de bateaux de pêche est considérable. Mais le Pacifique fournit environ 60% du thon mondial, et plusieurs espèces commerciales sont déjà menacées dans cette région. Par exemple, le thon rouge du Pacifique (Thunnus orientalis) a connu une réduction de 97% de sa population par rapport à son niveau naturel. Le thon obèse (Thunnus obesus) a également dépassé le rendement maximal durable, le point de non-retour ! Cette situation est inquiétante, car l’économie de nombreux pays du Pacifique dépend directement des ressources halieutiques. La pêche vivrière est bien souvent la première source de protéine pour les populations locales. Mais malgré cette importance économique et sociale, les gouvernements de la région n’accordent généralement guère d'attention à la pêche côtière. Les initiatives de développement et les efforts gouvernementaux tendent à être orientés vers le secteur des pêches hauturières commerciales.

Quelles sont les mesures possibles pour lutter contre le déclin des stocks ?
Il faut gérer les ressources quand elles sont encore bien portantes, c’est le seul moment où l’on peut contrôler les prélèvements efficacement et sur le long terme. Il faut négocier les accès aux ressources qui sont des biens communs. Le poisson appartient généralement à celui qui le pêche alors qu’en réalité, il devrait appartenir à tous. C’est un bien commun et sa gestion doit être discutée avec toutes les parties prenantes – populations riveraines, pêcheurs, industriels, société civile, ONGs, scientifiques, etc. Parmi les outils de gestion, le contrôle de la pêche doit être une priorité. Il ne faut pas prélever plus que ce que nous donne la nature. C’est une règle élémentaire mais qui est bafouée la plupart du temps par l’avidité des capitaux et la tragédie des communs - une situation de compétition entre les pêcheurs pour l'accès à une ressource limitée créant un conflit entre l'intérêt individuel et le bien commun et qui aboutit à un résultat perdant-perdant. Aujourd’hui certaines espèces de requins, de tortues marines, de mammifères marins, mais aussi de thons, de marlins, et d’espadons, sont en danger. Il faut donc non seulement limiter la pression de la pêche sur ces espèces, mais aussi développer des espaces pour les préserver, c’est le but de la création d’Aires Marines Protégées (AMP).

Qu’est-ce qu’une AMP ? À quoi ça sert ?
En quelques décennies le nombre de pêcheurs a augmenté considérablement ce qui fait que presque tous les océans sont aujourd’hui exploités, que ce soit en profondeur ou en surface, et de nombreuses espèces sont menacées. Devant ce phénomène global il est important de laisser à la nature des espaces pour se reconstruire, sinon nous risquons de vider les océans rapidement. Selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), une AMP est une zone pour laquelle la première vocation est la conservation des écosystèmes naturels. Il y a un grand intérêt pour toutes les pêcheries du monde, et les stocks de poissons en particulier, à préserver des zones d’abondances, fermées à la pêche, qui peuvent aider à la reconstitution des stocks. En effet, les poissons qui se reproduisent et grossissent dans les zones protégées débordent dans les zones de pêche adjacentes et profitent aux pêcheries. C’est ce que l’on appelle l’effet « spill-over ». Les activités industrielles, comme la pêche industrielle et l’extraction minière, ne sont pas possibles au sein des AMP, car elles ne sont pas compatibles avec la protection des écosystèmes. Des activités de pêches traditionnelles sont permises, mais il faut alors les contrôler, les gérer tout en respectant les ressources et les savoirs locaux. D’un point de vue économique, un milieu marin en bonne santé peut être une source incroyable de développement vers une autre forme d’économie : la préservation de la pêche côtière, le tourisme, mais aussi la sauvegarde (ou la constitution) d’un réservoir de nouvelles molécules issues des espèces à des usages de santé humaine et pour le développement de nouvelles technologies.

Est-ce que les AMP fonctionnent pour les espèces pélagiques ?
Les réserves marines sont efficaces pour préserver les stocks halieutiques, aussi bien pour les ressources côtières qu’hauturières. On s’aperçoit avec les nombreux marquages faits dans différentes régions que les poissons pélagiques ont, comme les humains, leurs habitudes : ils fréquentent souvent les mêmes lieux et reviennent dans des lieux de ponte bien précis, d’une année sur l’autre. De grandes réserves marines sont donc utiles pour la protection des espèces pélagiques menacées. Mais pour qu’elles soient efficaces, elles doivent couvrir une grande partie du bassin de vie des espèces pélagiques. Par ailleurs, les AMP du large permettent aussi de lutter contre toutes sortes d’incertitudes et de changements globaux qui affectent aujourd’hui les ressources marines, comme le changement climatique ou la pollution. Si aujourd’hui un certain nombre de grandes réserves marines ont été créées dans le monde, et en particulier dans le Pacifique, leur nombre s’avère toujours insuffisant. Il faudrait protéger entre 20 et 30% de nos espaces marins si nous voulons vraiment que les ressources ne fondent pas en quelques décennies à des niveaux dérisoires. L’avenir de notre sécurité alimentaire, de nos pêcheurs artisans et de leur savoir traditionnel est en jeu. Pourtant, actuellement, seulement trois pourcent de nos océans sont protégés! Nous devons radicalement changer nos façons d’exploiter le monde marin qui nous apporte bien plus que des tonnes de protéines.

Pourquoi créer une réserve dans une zone qui est déjà préservée avec des pressions humaines limitées ?
Ce que j’ai appris avec toutes ces années de recherche et de partenariat autour de la gestion des ressources marines est simple : il faut gérer les ressources quand elles sont encore peu exploitées, si l’on veut éviter la surexploitation ! La séquence est toujours la même : on exploite les ressources sans y voir aucune limite, en accroissant continuellement le nombre de bateaux et en améliorant la technologie et les méthodes de pêches. Par conséquent on se retrouve bien souvent dans des situations de surpêche qui deviennent ingérables d’un point de vue social, économique et bien évidemment écologique. L’absence de gestion écosystémique entraîne inéluctablement la disparition des ressources et in fine, des pêcheurs. Alors, protégeons les océans avant qu’il ne soit trop tard !

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Grève à Air Tahiti : modifications prévues pour les vols de ce dimanche

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Grève à Air Tahiti : modifications prévues pour les vols de ce dimanche
FAA'A le 22 mai 2016. Air Tahiti informe sa clientèle des modifications prévues pour son programme des vols pour la journée du dimanche 22 mai 2016 :

Maintien de certains vols vers les Iles-sous-le-vent, Tikehau, Rangiroa, Tubuai et Rurutu, avec des modifications d'horaires voire d'itinéraires.

Annulation des vols Marquises (y compris les inter-îles Marquises), Hao, Makemo, Ahe, Manihi, Arutua, Niau, Fakarava, Mataiva.

Réalisation d'un vol Iles-sous-le-vent par Air Archipels.

Air Tahiti ou l'agence de voyages intermédiaire contactera uniquement les passagers dont les vols sont maintenus, sous réserve de disposer des contacts téléphoniques. Pour les clients qui n'auraient pas été appelés, nous regrettons de vous informer que votre vol est annulé. Une solution de réacheminement sera proposée ultérieurement.

Si vous n'avez pas précisé vos coordonnées téléphoniques lors de la réservation, nous vous remercions de prendre contact avec nos services au 40 86 42 42.

Afin d'éviter les situations d'incertitude et d'attente à l'aéroport, la compagnie invite de nouveau les personnes qui devaient voyager les jours prochains à reporter leur déplacement à une date ultérieure.

Pour mieux répondre à la clientèle, le service de Vente A Distance Air Tahiti (tél. 40 86 42 42) sera exceptionnellement ouvert samedi 21 et dimanche 22 mai, de 8h à 12h et de 13h à 16h.

Air Tahiti remercie par avance sa clientèle pour sa compréhension et renouvelle toutes ses excuses pour les désagréments qu'occasionne ce mouvement social.

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Air Tahiti : cinq jours de grève générale et pas d'issue en vue

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Air Tahiti : cinq jours de grève générale et pas d'issue en vue
FAA'A, le 22 mai 2016. Les mouvements sociaux en cours au sein de la compagnie locale depuis mercredi dernier ralentissent nécessairement l'activité des vols vers les îles, mais des rotations peuvent encore fonctionner. La semaine à venir pourrait être décisive, puisque d'autres sociétés ont prévu de débrayer elles aussi.

"En dépit du mouvement de grève qui affecte la compagnie, l'ensemble des services Air Tahiti continue de fonctionner, avec des effectifs réduits et une activité sensiblement ralentie" indique dans un communiqué de presse, ce dimanche, la compagnie locale. Air Tahiti a fait des efforts pour proposer à ses clients des solutions alternatives : sur certaines destinations, les appareils des compagnies Pol Air et Air Archipels ont été affrétés et samedi, des passagers pour Huahine et Raiatea sont arrivés à leur destination en voyageant par mer plutôt que par air, à bord du catamaran Aremiti 5. Sur cette rotation par mer, 633 personnes étaient prévues et finalement 540 ont opté pour cette solution de substitution, soit 85 % des passagers prévus.

Le communiqué de presse de la compagnie insiste sur le fait que la grève ne grippe pas l'ensemble de ses rotations, chiffres à l'appui. Entre le mardi 17 mai et le samedi 21 mai, 8802 passagers étaient prévus sur les vols de la compagnie. Parmi ceux-ci, 6708 soit 76% ont pu être transportés jusqu'à leur destination souhaitée. Toutefois, le mouvement de grève contraint la compagnie à revoir son programme de vol jour après jour, au regard des effectifs des personnels effectivement présents : il est donc absolument recommandé à ceux qui doivent voyager de prendre contact avec la compagnie ou son agence de voyage pour savoir si le vol prévu est maintenu en l'état ou si d'autres solutions sont proposées.

Air Tahiti est touchée par une grève générale, affectant l'ensemble du personnel (navigant ou au sol) depuis mercredi dernier, sans que ce mouvement social ne paralyse complètement jusqu'à présent les liaisons aériennes entre Tahiti et les îles. Le plan des vols maintenu depuis ces derniers jours favorise particulièrement les vols à destination ou de retour de Bora Bora, relativement épargnée par les annulations pour impacter le moins possible l'activité touristique de la Polynésie française. D'autres destinations, en revanche, se retrouvent plus régulièrement touchées par les modifications du programme de vols. Aussi, à l'issue d'une semaine de vacances scolaires pour les élèves de maternelle ou de primaire, des passagers partis en vacances dans les îles se sont vus contraints hier de prolonger leur séjour, leur vol de retour ayant été annulé.

PAS D'AVANCÉE NOTABLE DANS LES NÉGOCIATIONS

Aucune solution ne semble se présenter après cinq jours complets de grève : les premières réunions de négociations engagées au cours des derniers jours n'ont abouti pour l'instant à aucun accord : syndicats et direction campant chacun sur leurs positions au sujet notamment du plan social programmé au sein de la compagnie. Réputé "non négociable" de façon ferme et définitive pour la direction d'Air Tahiti, ce plan social est aussi un élément déterminant que les centrales syndicales veulent pouvoir modifier. Mais, pour l'instant dans les discussions qui ont eu lieu, tout a été fait pour éviter ce point central du conflit.

Enfin, la grève entamée la semaine dernière à Air Tahiti a fait aussi monter la pression auprès d'autres compagnies en lien avec l'activité portuaire. Jeudi dernier, trois préavis ont été déposés dans les sociétés prestataires de service (Somstat pour les carburants, Newrest pour les plateaux repas) et chez Air Archipel. La grève dans ces sociétés pourrait être effective ce mercredi à minuit.




Air Tahiti : cinq jours de grève générale et pas d'issue en vue
Programme des vols pour ce lundi

• Maintien de certains vols Iles-sous-le-vent, Tikehau, Rangiroa, Fakarava, avec des modifications d'horaires voire d'itinéraires
• Maintien d'un vol Marquises (Hiva Oa et Nuku Hiva)

• Réalisation d'un vol Gambier


• Annulation des vols Australes, Faaite, Fangatau, Napuka, Puka Puka et des vols inter-îles Marquises sauf ceux réalisés en ATR

Air Tahiti ou l'agence de voyages intermédiaire contactera uniquement les passagers dont le voyage est maintenu, sous réserve de disposer des contacts téléphoniques. Pour les clients qui n'auraient pas été appelés, cela signifie que ce déplacement est annulé ; le billet reste valable pour la solution de réacheminement qui sera proposée ultérieurement. Renseignements au Tél. 40 86 42 42.

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Vélo sur route – Ronde Tahitienne 2016 : Liam Aitcheson 1e, Laurent Jalabert 4e

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La Ronde Tahitienne, un événement cycliste proposé par Benoit Rivals du Vélo Club de Tahiti inscrit au calendrier des grands évènements du pays, s’est déroulé dimanche matin. C'est le Néozélandais Liam Acheson qui s'est imposé, devant le triathlète Christophe Betard.
Vélo sur route – Ronde Tahitienne 2016 : Liam Aitcheson 1e, Laurent Jalabert 4e
PAPEETE, le 22 mai 2016. C’est le Néozélandais Liam Aitcheson qui s’est imposé dans le parcours de 110 km devant le triathlète métropolitain Christophe Betard. Un autre Néozélandais, Fraser Gough, arrive 3e devant le parrain de l’édition 2016 Laurent Jalabert, 4e. Après avoir participé au Xterra Tahiti la semaine précédente, la star du cyclisme s’est montrée satisfaite de sa participation et a déclaré qu’il « n’avait pas trop souffert de la chaleur. »
 
Contrairement à l’édition 2016, le départ a été donné au parc Bougainville. L’évènement, qui était associé au Xterra Tahiti qui s’est déroulé le samedi 14 mai sous la pluie, a pu se faire dans de bonnes conditions climatiques.
 
On retiendra l’excellente performance du métropolitain Christophe Betard. En effet, le triathlète passé professionnel cette année avait obtenu une belle deuxième place lors du Xterra, il réussit à nouveau à se hisser sur la deuxième marche du podium. Sur le total des deux épreuves, il est donc premier.
 
Belle course également pour Laurent Jalabert qui termine 4e. Laurent Jalabert s’est montré satisfait de cette 4e place et ravi d'avoir pu découvrir ainsi la Polynésie. Comme le VSOP pour le Xterra, le Vélo Club de Tahiti a pu proposer un événement riche et une organisation sans faille, permettant à cet évènement de devenir un de soments forts de l’année cycliste voire de l’année sportive en Polynésie.
 
Plus de 500 coureurs étaient engagés sur le total des trois parcours (15, 55 et 110 km) qu’il était possible de faire. Nous reviendrons plus en détail sur La Ronde Tahitienne ce lundi sur Tahiti Infos Web ainsi que dans notre édition de mardi du Tahiti Infos papier. SB
 

Vélo sur route – Ronde Tahitienne 2016 : Liam Aitcheson 1e, Laurent Jalabert 4e

Vélo sur route – Ronde Tahitienne 2016 : Liam Aitcheson 1e, Laurent Jalabert 4e

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Surf/Bodyboard –Taapuna Master 2016 : David Dandois s’impose en surf, Maronui Richmond en bodyboard

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Surf/Bodyboard –Taapuna Master 2016 : David Dandois s’impose en surf, Maronui Richmond en bodyboard
Après le forfait de trois quarts de finalistes de talent Tereva David, Enrique Ariitu et Taumata Puhetini qui ont pris l’avion samedi soir pour Hawai’i afin de participer à la Ala Moana Bowls, c’est finalement David Dandois qui a pu s’imposer dimanche face au gagnant de l’édition 2014, Lorenzo Avvenenti. En bodyboard, après un bon parcours lors de la dernière Sparkgreen à Teahupo’o, Maronui Richmond a fait encore parler de lui en s’imposant en finale face à l’expérimenté Nicolas Richard. Teihoarii Tapatoa s’impose en Dropknee et Steven Pahape en kneeboard.

Surf/Bodyboard –Taapuna Master 2016 : David Dandois s’impose en surf, Maronui Richmond en bodyboard

Surf/Bodyboard –Taapuna Master 2016 : David Dandois s’impose en surf, Maronui Richmond en bodyboard

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Expulsion délicate de deux familles à Vaiare

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Expulsion délicate de deux familles à Vaiare
MOOREA, le 22 mai 2016. Deux familles qui occupaient illégalement un terrain à Vaiare ont été expulsées vendredi. Des gendarmes et des policiers municipaux étaient présents pour encadrer l’huissier de justice chargé de mener l’opération. Apres quelques contestations, les occupants ont fini par partir.

Vendredi dernier à 9 heures, la gendarmerie nationale accompagnée par des policiers municipaux de Moorea ont procédé à l’expulsion de deux familles installées à Vaiare, sur un terrain situé non loin du supermarché en bord de mer. Un huissier de justice était présent pour faire appliquer la loi et pour veiller au bon déroulement de l’opération d’expulsion.

Deux frères, leurs compagnes et leurs enfants vivaient ici depuis des années sur ce terrain appartenant à une famille de Tahiti. Les occupants ont été priés de quitter les lieux à la suite d'une décision de justice. Des engins de chantier (camions et case) et des employés de la mairie ont été mobilisés pour faciliter le nettoyage du lieu.

Mais tout ne s'est pas déroulé sans difficulté selon des témoignages requis sur place. En effet, une trentaine des membres de la famille des propriétaires du terrain se seraient rendus sur place, avant l’arrivée des policiers, pour "tenter de récupérer leur terre" alors que de l'autre côté, un groupe d’occupants les attendaient de pied ferme, prêts à en découdre.

Finalement, les occupants du terrain ont finalement coopéré avec les forces de l’ordre et ont démonté leurs maisons dans le calme.

Selon les propos d’un agent communal, ces deux familles se seraient installées sur place sur proposition d'un ancien maire de Moorea pour qu’ils puissent pratiquer de pêche et subvenir à leurs besoins. Mais par la suite, les deux familles ont décidé de rester définitivement et même de s'installer.

"Depuis des années, les policiers municipaux viennent les voir pour leur rappeler qu’ils sont en situation d’illégalité. Ils n’ont pas eu de permis de construire pour leurs habitations et ils vivent dans des conditions d'insalubrité qui ne sont pas acceptables" explique l’agent.


Expulsion délicate de deux familles à Vaiare

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Hao : le magazine "Te Reo" a repris ses parutions

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Hao : le magazine
HAO, le 22 mai 2016. Interrompue depuis décembre 2013, la publication de la lettre d'information sur les travaux de dépollution menés par l'État sur l'atoll de Hao vient de reprendre. Le N°14 de cette revue vient juste de sortir.

En novembre 2009, le haut-commissariat polynésien lançait la publication d'une lettre d'information spécifique à Hao. Ce magazine intitulé "Te Reo o Te Tagata Henua" (La voix de l'homme de la terre). Cette publication "a pour objet d'informer la population de l'atoll, les institutions et le grand public de l'état d'avancement des travaux de déconstruction, des projets, ainsi que des actions de reconversion économique et de développement social et humain de cette ancienne base avancée du CEP (Centre d'essai du Pacifique)".

La revue avait donc l'ambition de faire suivre à la population les différentes étapes "des travaux de déconstruction et de dépollution qui permettront aux habitants de Hao de recouvrer leur île dans son état originel et de se réapproprier pleinement leur territoire" selon la formule d'Adolphe Colrat, haut-commissaire de l'époque. Il était prévu, en même temps que ce grand nettoyage des anciens sites militaires de l'atoll d'aider sa population à travailler sur son développement endogène. On sait, sept ans plus tard, que ce retour à un "état originel" de l'atoll est impossible, puisque du plutonium reste captif d'anciennes dalles de béton et que des terres chargées de polluants industriels seront traitées sur place.

Quant au développement endogène de Hao, il n'a rien donné, et ce sont les investisseurs chinois de Tahiti Nui Ocean Foods avec leur projet de complexe aquacole qui ont offert une ouverture de développement économique considérable, tout en faisant naître aussi d'autres sources d'inquiétude pour l'avenir (voir en encadré).

Les travaux de dépollution du site du complexe aquacole seront achevés "au tout début du mois de juin prochain" promet Lionel Beffre, le haut-commissaire. De son point de vue, l'État a facilité le projet aquacole "dans le cadre de la dépollution plus générale de Hao, on a accéléré les choses pour pouvoir permettre que le permis de construire soit délivré" précise-t-il.


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Interpellé dans la "zone interdite" un kitesurfeur de Moorea ira au tribunal

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Interpellé dans la
MOOREA, le 22 mai 2016. En début de semaine dernière, alors qu'il pratiquait son sport favori sur le spot interdi de Tiahura, un kitesurfeur a été interpellé par la brigade nautique. Suivant les instructions du procureur de la République à ce sujet, le kitesurfeur sera convoqué dans les prochains mois au tribunal.

Le lundi 16 mai 2016, la brigade nautique de Moorea a interpellé un kitesurfeur à Tiahura, dans l’une des trois zones interdites à la pratique de cette discipline, par un arrêté municipal depuis juillet dernier. C’est en effectuant leur surveillance du lagon que les mutoi ont aperçu ce quinquagénaire en pleine action et l'ont fait revenir, sans difficulté ni opposition de sa part jusqu'au rivage. "Il connaissait la règlementation municipale en vigueur concernant les zones interdites au kitesurf et a reconnu être en infraction. Il a tenté de nous expliquer que c’est le vent qui l’a poussé dans la zone interdite. On ne l’a pas cru du tout. Après la constatation des faits, il est sorti de la zone, comme on le lui avait demandé. Il sera convoqué prochainement au tribunal" explique Men Turi, le chef de la brigade nautique qui a transmis le procès-verbal effectué directement à la gendarmerie en informant le kitesurfeur en infraction que des poursuites judiciaires seraient engagées.

Car, une nouvelle étape vient d'être franchie. Jusqu'ici, les kitesurfeurs pris en flagrant délit à Moorea risquaient essentiellement une amende. Mais, le procureur de la République a donné des instructions pour interpeller ceux qui bravent la réglementation municipale. "S'ils pratiquent leur sport dans les zones interdites, ils commettent un délit de mise en danger d'autrui par la violation de l'arrêté municipal. J'ai pris cette décision pour sauver la vie des baigneurs et de ceux qui se trouvent sur la plage. Pour ne pas qu'on ait à dire le jour où une planche tombe sur la tête d'un enfant, mais que faisait la police ?" indique José Thorel. Pour le procureur de la République, "le maire a fait son boulot : il a délimité des zones qui étaient interdites pour que les touristes, les riverains puissent profiter de la plage tranquillement. Le danger du kite au milieu des baigneurs n'est pas une vue de l'esprit. Il faut que les pratiquants de ce sport comprennent que nous vivons dans une société policée".

MISE EN DANGER D'AUTRUI


On ne sait pas comment sera rédigée cette convocation au tribunal. Deux solutions peuvent être envisagées : une convocation simple devant le délégué du procureur ou bien, s'il y a récidive, une audience devant le tribunal correctionnel. Ce rendez-vous au tribunal devrait se formaliser dans les prochains mois dans un délai de deux à quatre mois maximum. Mais pour le contrevenant la sanction pénale maximale encourue est la même. Une mise en danger d'autrui "par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende" (1,7 million de Fcfp NDLR) précise le code pénal.

Rappelons que l'arrêté municipal d'interdiction, pris le 23 juillet 2015, "interdit la pratique libre de l’activité de glisse, aérotractée ou kitesurf dans les zones de Tiahura, Temae et Tahiamanu". Une décision de la mairie qui est loin de faire l'unanimité, surtout parmi les passionnés de sports de glisse, qui estiment que ces trois zones sont les seules véritablement praticables. "Il y a encore des gens qui ne veulent pas respecter la règlementation. Or les trois zones interdites représentent seulement 10 % de la superficie du lagon de Moorea. Ils peuvent très bien pratiquer le kitesurf dans les 90 % de la superficie restante. Je vous assure qu’il y a du vent contrairement à ce qui se dit. Mais nous sommes là pour faire respecter cet arrêté car en cas d’accident, le maire de Moorea serait responsable" commente encore Men Turi le chef de la brigade de la brigade nautique.


Article 223-1 du code pénal

"Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende".

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Karaté « Oceania Cup » : Une revanche en Or pour Honoiti Lien

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Le week end dernier en Nouvelle Calédonie s’est déroulée l’Oceania Cup, une compétition de karaté qui a réuni plus de 146 compétiteurs venant d’Australie, de la Nouvelle-Zélande, de la Nouvelle-Calédonie, de Salomon et de Tahiti dans la salle Jean-Robert Monnier à Dumbea. La délégation était composée de cinq combattants accompagnés du président de la Fédération Tahitienne Michel Mutlu. Cette manifestation s’est déroulée sur deux jours, une partie était réservée au kata, et l’autre au combat. La délégation tahitienne a récolté cinq médailles dont une en or glanée par Honoiti Lien.
Karaté « Oceania Cup » : Une revanche en Or pour Honoiti Lien
En kata, Jilliane Orts et Lilou Lecottier gagnent toutes les deux une médaille de bronze. Dans l’épreuve du kumite, Honoiti Lien décroche une médaille d’or. Après deux défaites consécutives au Open de Nouvelle-Zélande et championnat de France, le tahitien renoue avec la victoire. Jilliane Orts prend la deuxième marche du podium et Lilou Lecottier s’offre une deuxième médaille de bronze

Composition de l’équipe :

Jilliane Orts
Lilou Lecottier
Thomas Saphar
Nemo Picard
Honoiti Lien

Honoiti Lien s’est confié au micro de sportstahiti.com :

Comment tu te sens après cette victoire ?

« C’est vrai que cette victoire me fait beaucoup de bien. Après mes deux défaites au championnat de France et à l’open de Nouvelle-Zélande, je me suis beaucoup remis en question, et là, le fait de renouer avec la victoire c’est un peu comme une revanche. »

Pas trop stressé avant le combat ?

« Non, ni trop stressé ni trop zen, j’étais vraiment concentré sur mes combats. Il fallait juste bien analyser mes adversaires avec qui je n’avais jamais encore combattu. »

Quelles sont les prochaines échéances ?

« Je vais participer au Océanias qui auront lieu en septembre prochain à l’Arène du Sud de Païta. »

Suivez tous nos aito à l’international sur www.sportstahiti.com.

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