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Pharmacies, médecins et vétérinaires de garde du samedi 7 au dimanche 8 mai 2016

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www.ordre-pharmaciens-polynesie.com/index.php/pharmacies-de-garde

Pharmacies de garde : Du samedi 7et dimanche 8 mai 2016

- Papeete : Pharmacie MAEVA. Tél. 40 50 88 99
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 47 01 47

-Faa’a : Pharmacie TAHITI-FAA'A. Tél. 40 82 79 79
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 46 72 00

-Punaauia : Pharmacie AITO. Tél. 40 45 57 70
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 54 38 60

Médecins de garde : www.ordre-medecins-polynesie.com/accueil/
Du samedi 07 mai 2016 à partir de 12h30 au lundi 09 mai 2016 à 06h00

Iles du vent :

-secteur Papeete-Faa’a et Punaauia : Dr DEMIRTAS Huseyin Tel. 40 82 80 13

-Secteur Papeete-Pirae-Arue-Mahina : Dr OTT Raymond Tel. 40 42 09 58 – 40 42 23 28

-Commune de Paea : Dr REDOUTE Rémi Tel. 40 53 35 12

-Commune de Papara : Dr MORIN Eric Tel. 40 57 39 99

-Taravao et la presqu’île : Dr RICHARD Ronan Tel. 40 57 77 18

-Secteur de MOOREA : Dr BARRAILLE Dominique Tel. 40 56 27 07

Iles sous le Vent :

-Ile de Bora-Bora : Dr ROUSSANALY Azad Tel. 40 67 77 95 – 87 78 27 27

-Ile de Huahine : Dr LABIT Christophe Tel. 40 68 81 81

-Ile de Raiatea : Dr GRES Thomas Tel. 40 66 28 60

-Ile de Tahaa : Dr DANA Raphaël Tel 40 65 65 67 – 87 76 12 76

TUAMOTU

- Ile de Rangiroa : Dr DUMONT Janick Tel. 87 28 89 86

MARQUISES

-Ile de Hiva Oa : Dr CHIU Philippe Tel. 87 73 49 55

CLINIQUES DE PAPEETE :

Clinique Cardella : Tél. 40 46 01 25 ou 40 46 04 00
Samedi à partir de 12 h00 au lundi 06h00
Nuits en semaine de 19h00 à 06h00 le lendemain

Polyclinique Paofai : Tél. 40 46 18 18 poste 4114
Samedi à partir de 12 h00 au lundi 06h00
Nuits en semaine de 19h00 à 06h00 le lendemain

SAMU - Tel. 15 ou 40 42 01 01

Vétérinaire de garde : Du Dimanche 8 mai 2016
Clinique vétérinaire deTAMANU (Punaauia) . Tél : 40 58 45 14

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Réunion du Conseil pour les anciens combattants et victimes de guerre

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Réunion du Conseil pour les anciens combattants et victimes de guerre
PAPEETE, le 4 mai 2016. (COMMUNIQUE) M. Lionel Beffre, Haut-Commissaire de la République, a présidé, vendredi dernier 29 avril 2016, le premier conseil de l’année 2016, pour les anciens combattants et victimes de guerre et la mémoire de la Nation et de ses commissions afférentes en Polynésie.

Ce conseil réunit, deux fois l'an, tous les acteurs du monde combattant, qu’ils soient institutionnels ou associatifs. Il associe le service de l'Office National des anciens combattants de Polynésie française (ONAC-PF), les forces armées et les associations combattantes et patriotiques. Il a pour principale mission d’œuvrer dans le domaine de la Mémoire de la Nation (cérémonies, porte drapeaux, oeuvre du Bleuet de France, politique de mémoire au niveau local etc..) de veiller à ce que la solidarité nationale bénéficie aux ressortissants de l'ONAC-PF en difficulté.

Sont concernés les anciens combattants, les invalides pensionnés de guerre, les veuves pensionnées ou qui auraient bénéficié d'une pension militaire, les veuves de titulaires de la carte du combattant, les veuves de bénéficiaires du Code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre, les prisonniers de guerre, les titulaires du titre de reconnaissance de la Nation, les prisonniers du Viet-minh, les victimes de la captivité en Algérie, les ascendants de militaires ou civils morts pour la France, les pupilles de la Nation, les fils de harkis ainsi que les victimes civiles d’attentats.

Depuis février 2008, le service de l'ONAC-PF, tout comme celui de Nouvelle Calédonie, a été fusionné avec l'ONAC national.

M. Philippe LEYDET, directeur du service, veille à mettre en œuvre en Polynésie française la politique nationale envers le monde combattant en les adaptant aux spécificités de la Polynésie française. Il informe toutes les personnes potentiellement ressortissantes de l'ONAC de l'importance de se faire inscrire sur les registres du Service des anciens combattants et victimes de guerre de Polynésie française. Ces personnes peuvent bénéficier de l'aide, sous toutes ses formes, apportée par l’Etat aux familles les plus démunies de ceux qui ont généreusement assumé leur devoir de citoyen envers la Patrie.

Depuis le 1er janvier 2009, 5420 ressortissants ont été reçus ou visités au titre de la solidarité, 566 ressortissants de l’ONAC- PF, en situation de précarité, ont reçu des aides qui s’élèvent, au total, à plus de 17,6 millions de Fcfp.

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Deux conférences en mai à la Délégation de la Polynésie française à Paris

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Deux conférences en mai à la Délégation de la Polynésie française à Paris
PARIS, le 4 mai 2016. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) La première conférence sera donnée le jeudi 19 par Pascal Erhel et Sophie-Dorothée Duron sur l’archipel des Marquises. Puis, le jeudi 26, l’ethnolinguiste Alexandre Juster interviendra sur le thème de « l’écrit face à l’oralité » dans le cadre de l’événement « Quartier du livre » organisé par la mairie du Ve arrondissement de Paris et dont la représentation du gouvernement polynésien est partenaire.

Un mois après l’inauguration de la très belle exposition Mata Hoata au musée du Quai Branly, la Délégation de la Polynésie française proposera une conférence, animée par Pascal Ehrel et intitulée « Motu Haka : une petite histoire des îles Marquises... ». Il s’agira d'une découverte chronologique historique de Te Fenua Enata, la Terre des hommes. Mais « de façon marquisienne et non académique. On ne s'ennuiera pas. Un voyage passionnant, de la création de l’archipel au Fenua Enata 3.0 », assure Pascal Ehrel, chef du projet Marquises-UNESCO.

Cette très belle soirée culturelle sera aussi l’occasion d’écouter Sophie-Dorothée Duron, du Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’énergie, évoquer les campagnes océanographiques (biodiversité et patrimoine culturel) aux Marquises. Sophie-Dorothée Duron a précédemment occupé la fonction de chef de l’antenne polynésienne de l’Agence des Aires Marines Protégées.

L’oralité dans l’écriture tahitienne

Une semaine plus tard l’ethnolinguiste Alexandre Juster présentera, en premier lieu, la place qu’occupent actuellement la tradition orale et le livre en Polynésie française, pour ensuite exposer l’empreinte de l’oralité dans l’écriture tahitienne contemporaine et la création artistique.

Dans l’esprit de ce jeune et talentueux universitaire, « la société tahitienne est une société à tradition orale où la parole est moins un élément acoustique qu’une composante du tissu social. Dans la première moitié du XIXème siècle, l’écriture a été transplantée dans la culture tahitienne lorsque les missionnaires, aidés par des érudits Tahitiens, ont traduit la Bible. Depuis, le débat oppose écriture et oralité, une discussion déjà en vogue sous Platon ! ».


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Le casting des modèles pour la Tahiti Fashion Week est lancé

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Le casting des modèles pour la Tahiti Fashion Week est lancé
PAPEETE, le 4 mai 2016 - Chaque jour, des apprentis mannequins sont reçus à Papeete pour intégrer l’équipe qui défilera lors de la Tahiti Fashion Week. Le casting est en cours, il durera jusqu’à mi-mai. Un appel est aussi lancé aux créateurs qui souhaitent participer à l’événement.

"Nous retiendrons entre dix et quinze candidates", annonce Laurence Joutain, organisatrice de la Tahiti Fashion Week. "La sélection est en cours, les prétendantes peuvent nous contacter et sont reçues dans nos bureaux jusqu’à mi-mai". Aucune condition n’est imposée à l’inscription. "Elles peuvent être de toute origine, ce qui compte c’est la beauté mais aussi la personnalité, l’intelligence, le courage", indique Alberto Vivian, le directeur artistique de l’événement.

Avant de monter sur les podiums, les candidates retenues bénéficieront de coaching et conseils professionnels personnalisés. Une première étape, pour celles qui souhaitent s’orienter dans le milieu. Entre le 8 au 10 juin, elles défileront sous l’œil attentif de Bruno Pauletta, directeur de Brave Model Management, une agence de mannequins basée à Milan. À l’issue de de la Tahiti Fashion Week, la gagnante repartira avec un billet professionnel pour Milan et un test photos en agence.

Les organisateurs profitent de l’appel passés aux modèles en herbe pour faire savoir aux créateurs qu’il reste de la place. L’inscription à l’événement "passe par le paiement d’une somme modique pour confirmer l’engagement. Sont retenus ensuite tous ceux qui créent des pièces à l’âme polynésienne. Il n’y a pas d’obligation de production 100% made in fenua", précise Laurence Joutain qui ajoute : "Nous savons qu’il est difficile de trouver certaines matières premières sur le territoire".

La Tahiti Fashion Week est née lorsque le concours Marilyn s’est arrêté. La première édition a eu lieu en 2014. "Pour le secteur de la mode et de la création c’est une opportunité en local et à l’international". En local car la création de vêtement (il n’y a pas de haute couture sur le territoire) a des retombées financières non négligeables. La publicité dont bénéficient les créateurs grâce à la mise en lumière de leurs pièces lors des défilés déclenche des ventes. "Cela signifie ensuite que les fournisseurs de matières premières voient eux aussi leurs commandes grimper."

Il y a aussi des retombées à l’international. "Par exemple", témoigne Alberto Vivian "l’an passé Anna Sui, une styliste américaine de renom est venue à la Tahiti Fashion Week avec, à ses frais, un groupe de 24 personnes. Elle a acheté beaucoup de choses sur le territoire et s’est inspirée de ce qu’elle avait vu chez nous pour créer des modèles. Ces modèles ont été présentés lors du défilé de prêt à porter printemps-été 2016 à New-York en septembre dernier." Au menu : palmiers sur le podium, colliers de fleurs autour du cou et motifs polynésiens disséminés çà et là sur les ensembles portés.

Autre exemple poursuit Alberto Vivan, "à l’époque du concours Marylin, Jean-Paul Gaultier était venu à Tahiti. Il avait réalisé un défilé rétrospectif en ajoutant à chaque tenue une touche polynésienne. De retour en France il avait organisé ce même défilé. Ce qui avait fait de la publicité pour le fenua."

L’équipe de la Tahiti fashion Week s’est fixé comme mission de donner à voir du beau mais aussi de dynamiser et professionnaliser le secteur. "On aimerait rassembler tous les défilés sur une même période, un peu comme dans les autres grandes capitales du monde." Londres, Paris, New-York, Milan ou bien encore Sydney ont leurs semaines de la mode. Tahiti aussi.

Le casting des modèles pour la Tahiti Fashion Week est lancé
Programme


8 juin : fashion shows, Day 1 à partir de 17h30 dans les jardins de l’assemblée. Entrée libre
9 juin : fashion shows, Day 2 à partir de 17h30 dans les jardins de l’assemblée. Entrée libre
10 juin : soirée prestige à partir de 19 heures à l’hôtel le Méridien

Le casting des modèles pour la Tahiti Fashion Week est lancé
Contact


tahitifashionweek@gmail.com
casting.tahiti@gmail.com
Facebook : Tahiti Fashion Week
Laurence : 87 28 65 98

http://www.tahiti-infos.com/video/

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Plainte contre la décharge de Faa'a : le juge place la commune, à sa demande, sous le statut de témoin assisté

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Plainte contre la décharge de Faa'a : le juge place la commune, à sa demande, sous le statut de témoin assisté
PAPEETE, le 4 mai 2016 - Oscar Temaru a été entendu en sa qualité de maire de Faa'a, ce mercredi matin, par le juge d'instruction Thierry Fragnoli chargé de l'épineux dossier de la décharge de Faa'a. Le magistrat a placé la commune sous le statut de témoin assisté, à la demande du maire, lui permettant ainsi d'avoir accès au dossier.

Les effets de l'action entreprise par les consorts Mai et Salmon contre l'exploitation de la décharge de Faa'a et ses conséquences sur les parcelles de la terre de Mumuvai dont ils revendiquent la propriété suivent leur cours. Ce mercredi matin, le maire de la commune Oscar Temaru avait en effet rendez-vous dans le bureau du juge d'instruction qui a récupéré le dossier, Thierry Fragnoli.

A l'issue d'un entretien d'une heure, sans avocats, le magistrat a signifié au tavana et à sa demande le placement de la commune de Faa'a, en tant que personne morale, sous le statut de témoin assisté. Statut intermédiaire entre celui de témoin et de mis en examen, le statut de témoin assisté présente cet avantage d'ouvrir un droit d'accès au dossier pour la personne attaquée. Oscar Temaru a donc pu quitter le palais de justice avec l'assurance de prendre connaissance dans le détail des griefs des plaignants. La suite au prochain épisode.

Mai et consorts réclament 2 milliards Fcfp en compensation du préjudice moral et financier


Les propriétaires de l’emprise foncière de Mumuvai, un talweg naturel sur les hauteurs du quartier Saint Hilaire à Faa’a, sont formellement identifiés depuis février 1995, par un jugement du tribunal civil de première instance. Il s’agit de membres des familles Mai et Salmon. Dans les années 70, alors en situation d’indivision, cette terre avait été mise à la disposition de la municipalité pour servir de dépotoir.

Depuis quelques années les consorts Mai et Salmon, réunis dans le Comité des propriétaires de la terre Mumuvai, demandent à ce que la municipalité acquière les terres utilisées par la décharge de Faa’a. En juin 2015, le maire de Faa’a promettaient aux ayant-droits des parcelles occupées par la décharge de Saint Hilaire de faire "le nécessaire pour que le dossier de DUP (déclaration d’utilité publique, ndlr) soit complet pour fin 2015 et que l’enquête publique soit lancée dès 2016 pour aboutir à une juste indemnisation dès 2018".

Les propriétaires de la terre Mumuvai réclament aujourd’hui deux milliards Fcfp pour prix des parcelles occupées et en compensation du préjudice moral et financier.

Plainte contre la décharge de Faa'a : le juge place la commune, à sa demande, sous le statut de témoin assisté

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SUP – Kai Lenny : La révolution du foil est en marche ?

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Cela a été annoncé comme une première mondiale, le Hawaiien Kai Lenny a publié une vidéo dans laquelle il évolue en SUP Hydrofoil. On connaissait déjà le kitefoil, le windfoil, le surf tracté en foil… Le foil vient d’être expérimenté également sur le SUP. Certains watermen Tahitiens ont déjà commencé à s’y intéresser.
SUP – Kai Lenny : La révolution du foil est en marche ?
Le 4 mai 2016. Tahiti Infos avait eu la chance de côtoyer Kai Lenny en 2015 lors du Ultimate Waterman en Nouvelle Zélande. Cet événement exceptionnel, qui met en avant le surf et ses variantes, est parrainé depuis deux ans par Laird Hamilton, le légendaire waterman hawaiien. Nous avions pu également interviewer Laird, le côtoyer et il n’avait qu’un seul mot à la bouche : Hydrofoil. Il venait d’ailleurs de produire une vidéo magnifique de surf tracté avec foil à Raglan.
 
Le jeune Kai Lenny s’est d’abord fait un nom en devenant multiple champion du monde de stand up paddle surfing. Coïncidence ou déclic, après sa deuxième place à l’Ultimate Waterman en mars 2015, il commence à gagner de nombreuses courses du championnat du monde de Sup race, devenant ainsi le champion 2015 devant plus de 160 compétiteurs du monde entier.
 
Cela ne lui suffit apparemment pas puisque lors de la dernière saison hivernale hawaiienne, qui va être une des meilleures depuis dix ans en terme de taille et de fréquence de gros swells, Kai va s’illustrer en prenant plusieurs bombes. Il va même participer au Pe’ahi Challenge, une épreuve du Big Wave World Tour proposé par la World Surf League, et s’offrir une belle 11e place avec les ténors de la discipline comme Shane Dorian.

SUP – Kai Lenny : La révolution du foil est en marche ?
Kai Lenny a grandi près de Laird Hamilton et Robby Naish
 
Kai Lenny a grandi à Maui, l’île où se trouve Pe’ahi, l’île où se trouve également Ho’okipa le célèbre spot de windsurf. Il a pu côtoyer dans son enfance deux watermen d’exception que sont Robby Naish et Laird Hamilton qui sont devenus ses mentors. Il a donc pu développer son rapport à l’océan de manière pluridisciplinaire, excellant en surf, en windsurf, en kite surf, en Sup surf, en Sup race, en surf de gros…
 
Laird Hamilton nous avait expliqué que « L’hydrofoil, cela reste du surf avec une quille, c’est juste l’évolution ultime du surf. Si on parle de surf, de bodysurf, de bodyboard, de shortboard, de longboard et de toutes ces choses, le summum c’est l’hydrofoil. Ce que l’on a fait à Raglan n’est qu’un aperçu de ce qui pourra être fait dans les prochaines années, c’est une forme de surf qui nous emmènera au 22ème siècle. »
 
« Les foils sont partout, dans l’America’s Cup, dans les cargo géants, c’est la manière la plus efficace de glisser sur l’eau. En tant que ‘wave rider’, quand tu ressens cette sensation de prendre une vague en foil, c’est le top, et tu en veux encore…C’est tout ce que tu aimes dans le surf et plus encore… »

SUP – Kai Lenny : La révolution du foil est en marche ?
Une première mondiale : le Sup Hydrofoil
 
C’est dans cette logique que Kai Lenny a publié il y a quelques jours une vidéo où il pratique non pas du surf, du windsurf ou du kitesurf avec foil mais du Sup, le Sup hydrofoil. C’est apparemment une première mondiale pour le rider de Naish sponsorisé par Red Bull. Ce prototype a été conçu par Alex Aguera pour la marque Go Foils.
 
Il a déclaré « aller à plus de 30 km/h, une vitesse qu’il n’avait jamais atteinte en downwind ». Le gain de vitesse est dû à la quasi inexistence de frottement avec l’eau lorsque la planche s’élève au dessus du niveau de la mer avec le « Naish Malolo » ou « Flying Downwind », qu’il considère comme l’avenir du SUP.
 
Certains riders locaux comme le waterman Thierry Tching, sponsorisé par Quickblade, Sic et Lahuikai, se sont rapidement intéressés au système et ont immédiatement commencé à fabriquer leur propre prototype. SB

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SUP – Kai Lenny : La révolution du foil est en marche ?

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Les sénateurs de la délégation outre-mer au travail sur le foncier

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Les sénateurs de la délégation outre-mer au travail sur le foncier
PARIS, le 4 mai 2016. Les sénateurs de Polynésie française ont convié, ce mardi, un an après leur élection en qualité de parlementaires de la République française, leurs collègues sénateurs issus de la délégation Outre-mer du Sénat, qui s’étaient rendus en Polynésie en mars dernier, avec pour mission d’examiner la problématique du foncier, le rapport sur cette thématique étant attendu fin juin 2016.

Michel Magras, président de la délégation sénatoriale Outre-mer et sénateur de Saint Barthélemy était présent ainsi que Mathieu Darnaud, sénateur de l’Ardèche, Thani Mohamed Soilihi, sénateur de Mayotte, et Pierre Michel Vauthelin, administrateur du Sénat. La députée Maina Sage, a également répondu favorablement à l’invitation de cette rencontre, tout comme le préfet, Gilles Cantal, ancien secrétaire général du Haut-commissariat, aujourd’hui en fonction au cabinet de la ministre de l’Outre-mer.

Cette réunion de travail a permis d’une part de faire le point des travaux en cours des deux sénateurs de Polynésie française et des projets à venir et de partager un moment convivial grâce à l’accueil réservé par Caroline Tang, déléguée de la Polynésie française, et de son personnel dans les locaux du Pays situés Boulevard Saint Germain.

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Faa'a se mobilise pour le concours "j'embellis ma commune"

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Faa'a se mobilise pour le concours
FAA'A, le 4 mai 2016. Le 16 mai prochain, un jury composé de professionnels sillonnera l’ensemble des communes participantes au concours "j'embellis ma commune" pour déterminer qui sera la plus belle commune du fenua. A Faa'a, la mobilisation est forte.

Deux associations, No Oe au Faa’a et Te Ui Rau  ont joint leurs efforts à ceux de la mairie de Faa’a pour participer de façon plus dynamique encore au concours. Ensemble, ils travaillent depuis quelques semaines à nettoyer et décorer le bas-côté de la route Nelson Mandela (RT1), les entrées de la Ville à l’Est et à l’Ouest, la place Outuaraea et le terre-plein devant l’aéroport.

Les thèmes de l’artisanat local et de la pêche ont été retenus pour la décoration prévue sur différents lieux de la commune. L’adjointe au maire en charge de la conservation et de la valorisation du patrimoine, Laurence Zima était sur place à Outuaraea : "Aujourd’hui, le comité d’embellissement de Faa’a, en partenariat avec les services de la commune et les riverains, sont en train de nettoyer et réaménager la source de Outuaraea. L’objectif est de rendre cet endroit beaucoup plus agréable, car nous avons des touristes qui le visitent ainsi que toutes les personnes qui s’arrêtent pour admirer les avions s’envoler. Et il ne faut pas oublier la population de Faa’a qui vient se détendre dans cette source. Et là c’est beau et c’est propre ! Nous voulons que cela reste comme tel et que ce genre d’opération se pérennise". 

Au-delà de cet engouement pour ce concours particulier, la municipalité rappelle que les agents du service d'aménagement urbain (SAU) de Faa’a nettoient la ville chaque jour. Participer à ce concours, permet de fédérer la population afin qu’elle respecte et apprécie le travail effectué au quotidien pour son bien-être. Rendez-vous à la fin du mois de mai pour les résultats.

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Compte rendu du Conseil des ministres du 4 mai 2016

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Projet de loi du pays portant code polynésien des marchés publics


Le Conseil des ministres a examiné un projet de loi du pays portant code polynésien des marchés publics. La réforme poursuit les objectifs suivants :

- Répondre à une obligation légale
En vertu du statut d’autonomie de 2004, la Polynésie française est tenue d’élaborer une réglementation garantissant que ses marchés publics, ceux des communes ainsi que ceux de leurs établissements publics respectifs sont attribués au terme d’une procédure de publicité et de mise en concurrence transparente organisée dans des conditions permettant un libre et un égal accès des entreprises.

Le respect de cette exigence se traduit notamment par un renforcement des obligations de publicité et de mise en concurrence pour tous les achats publics des collectivités quel que soit leur montant. Les contraintes imposées devant toutefois être en adéquation avec l’enjeu économique de l’achat, les exigences seront variables en fonction du montant envisagé des commandes.

Si les procédures formalisées, comme l’appel d’offres, dont l’organisation est entièrement régie par le code, conservent une place privilégiée, cette réforme est marquée par l’émergence d’une nouvelle procédure : la procédure adaptée. Bénéficiant d’un formalisme allégé, cette procédure laisse l’acheteur public libre d’apprécier les modalités de publicité et de mise en concurrence adaptées à son achat. Cette procédure s’appliquera entre 3 et 20 millions Fcfp hors taxes pour les communes et entre 3 et 35 millions Fcfp hors taxes pour le Pays.

Une certaine souplesse est conservée pour les achats de faible montant (inférieurs à 3 millions Fcfp) dispensés de publicité et de mise en concurrence avec toutefois l’obligation pour la collectivité concernée de se comporter en gestionnaire responsable des deniers publics dont elle a la charge en veillant à ne pas s’adresser systématiquement à la même entreprise.

La généralisation des obligations en matière d’information des candidats dans l’organisation et le déroulement de toutes les procédures formalisées de leur lancement jusqu’à leur terme participe du même objectif.

Au stade du jugement des offres, les candidats sont informés des critères de jugement des offres et de l’influence de chacun de ces critères sur la notation.

Au stade de l’attribution du marché, les candidats bénéficient d’une information suffisante sur les motifs de rejet de leurs candidatures ou offres afin de pouvoir les contester utilement le cas échéant.

Au stade de l’achèvement de la procédure, la publication d’un avis d’attribution porte à la connaissance de tous le nom de l’attributaire du marché.

Enfin, le renforcement de la composition et du rôle des commissions s’inscrit dans la même dynamique. Dotées d’attributions consultatives, ces commissions ont vocation à intervenir dans toutes les procédures formalisées. Elles permettent de garantir une certaine collégialité dans l’adoption des décisions prises par les collectivités (élimination des candidatures et des offres, classement des offres régulières présentées par les entreprises, choix de l’offre …).

- Moderniser et unifier les règles applicables à la passation et à l’exécution des marchés publics de la Polynésie française, des communes ainsi que leurs établissements publics afin de simplifier les rapports avec les entreprises qui se verront désormais appliquer un corps de règles identiques pour l’accès et l’attribution des marchés publics de ces mêmes collectivités.

Le nouveau texte promeut la prise en compte du développement durable dans tous les achats publics. Cette nouvelle obligation introduite en 2015 pour la Polynésie française est confirmée et étendue aux communes polynésiennes. Désormais pour chacun de ses achats, la collectivité concernée devra rechercher s'il est possible d'intégrer dans la définition des prestations attendues (référence à des écolabels), dans les modalités d’exécution des prestations ou pour l’attribution d’un marché (critères de jugement des offres) des exigences sociales ou environnementales.

Longtemps réclamée par les communes polynésiennes en vue de faciliter leurs achats publics, le seuil de procédure formalisée des communes est multiplié par quatre et porté à 20 millions Fcfp. Jusqu’à ce montant, les communes seront seulement tenues de mettre en œuvre une procédure adaptée au montant de l’achat envisagé telle qu’évoquée précédemment.

Parallèlement, de nouvelles procédures font leur entrée dans le code comme le dialogue compétitif et le concours. Des procédures spécifiques dérivées des procédures formalisées adaptées à la commande de certaines prestations sont également introduites comme la procédure de conception-réalisation.

Le nouveau texte offre enfin un cadre plus favorable pour l’accès des petites entreprises aux marchés publics.

L’allotissement c’est-à-dire le découpage des marchés publics en lots accessibles devient ainsi la règle pour tous les acheteurs.

La régularisation des dossiers de candidatures en cas d’oubli dans la production de certaines pièces exigées pour candidater est autorisée dans toutes les procédures formalisées.

Le formalisme de la double enveloppe source d’erreurs pour les entreprises peu aguerris aux procédures formalisées est supprimé.

Le régime des avances destiné à faciliter le démarrage des prestations est pérennisé et simplifié, les entreprises pourront bénéficier à certaines conditions d’une avance de 10 % du montant de leurs achats dans la limite de 60 %.

Le régime des garanties d’exécution destiné à couvrir les risques de mauvaise exécution du marché est également rénové avec la possibilité pour le titulaire d’un marché public de proposer une garantie à première demande sans impact sur sa trésorerie.


Réglementation sanitaire des aéronefs

Afin de protéger le fenua de l’introduction accidentelle de pestes agricoles, la réglementation phytosanitaire impose que tout avion arrivant en Polynésie française soit désinsectisé. Les modalités de cette opération sont précisées dans un arrêté datant de 1985 :
- parties et accessoires des avions à désinsectiser selon la provenance de l’appareil : soutes à bagages, cabines passagers, poste de pilotage…;
- procédés de traitement : à l’aide d’aérosols insecticides lors de chaque vol ou par traitement rémanent ;
- informations à faire figurer sur le certificat de désinsectisation à présenter à la police phytosanitaire en cas de traitement rémanent de l’avion.

Les méthodes de traitement préconisées dans l’arrêté (produit à utiliser, dose à appliquer) respectent les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La modification apportée à l’arrêté vise à aligner également la durée de validité du traitement rémanent aux recommandations de l’OMS qui est passée de un mois à huit semaines, ce qui n’avait pas encore été intégré dans la réglementation polynésienne.


Ouverture de la 7ème édition des Floralies

Pour la 7ème année consécutive, les Floralies vont être organisées. Il s’agit d’un véritable moment de fête pour les professionnels de la filière horticole. Sous le haut patronage de la Présidence de la Polynésie française, son organisation est confiée à la Chambre de l’agriculture et de la pêche lagonaire en partenariat étroit avec le Service du développement rural et la fédération horticole Hei Tini Rau de Polynésie française.

Pour l’édition 2016, le thème retenu est : « L’environnement et ses merveilles – Te ‘una rau o te Arutaimareva ».

A cette occasion, près de 115 professionnels sont attendus, dont plus de 100 horticulteurs, 5 agriculteurs, 2 pêcheurs, 2 éleveurs, 2 artisans, 1 transformateur de produits agricoles, 1 commerce spécialisé en agriculture et 1 stand de restauration. Les professionnels exposeront le fruit d’une année de travail en partageant leurs nouvelles collections, leur savoir-faire et leur passion de l’horticulture.

Cette opération revêt un rôle majeur pour la promotion et la valorisation de nos ressources propres et participe de ce fait à marquer une plus grande présence de l’agriculture au cœur de la Polynésie française.

Le recensement général de l’agriculture a répertorié, pour l’année 2012, 701 exploitations pour un total de 156,4 hectares de cultures florales sur l’ensemble de la Polynésie française. Ces cultures représentent une niche d’emplois de 3 000 personnes.

La production florale est principalement concentrée aux îles du Vent et aux îles Sous le Vent pour une surface agricole utilisée respective de 94 hectares et 31 hectares. Les fleurs exotiques, notamment les alpinias ainsi que la tiare tahiti, sont les principales cultures exploitées en Polynésie française, liées en partie à son climat tropical. La culture florale est également orientée vers la fourniture de feuillages et de fleurs coupées, de plantes en pots et de fleurs destinées aux événements. C’est une activité qui compte dans le tissu économique local car elle est une source de revenus d’appoint pour les familles modestes, notamment lors des Fêtes des mères et de la Toussaint, à l’occasion d’expositions horticoles, ou à l’exportation.

Les Floralies se dérouleront du 26 mai au 5 juin 2016 sur le site de Vaitupa à Motu Ovini, Faa’a.


Poursuite de la construction du droit du travail de Polynésie française sur la base du dialogue social

Le Conseil des ministres a pris acte d’une communication se rapportant au renforcement du dialogue social convenu avec les partenaires sociaux pour la poursuite de la construction du droit du travail.
Lors des récentes réunions de concertation globale tripartite des 5 et 12 avril derniers, ceux-ci ont en effet fait part de leur souhait d’être associés le plus en amont possible à l’élaboration des évolutions du code du travail.
La poursuite de la construction du droit du travail polynésien passe effectivement par la recherche de convergences et d’équilibres entre les intérêts des entreprises et ceux des salariés.
La ministre du Travail, des solidarités et de la condition féminine a donc proposé aux partenaires sociaux de poursuivre, dans le cadre de réunions bipartites présidées par le directeur du travail, le dialogue entre organisations d’employeurs et syndicats de salariés sur les évolutions du code du travail.
La première de ces réunions s’est tenue le vendredi 22 avril, en présence de représentants de six organisations d’employeurs, dont le MEDEF et la CGPME, et des cinq confédérations représentatives de syndicats de salariés (CSTP-FO, CSIP, A Tia I Mua, OTAHI, O Oe To Oe Rima).
Les participants se sont mis d’accord sur une méthode de travail reposant sur des rencontres mensuelles. Ils ont également défini les thèmes sur lesquels les travaux seront initiés lors des trois premières réunions :
• La lutte contre le travail illégal,
• L’aménagement du temps de travail et le recours aux contrats à durée déterminée,
• La garantie des salaires en cas de liquidation d’entreprise,
• La prévention des risques liés aux addictions (alcool et cannabis),
• Le développement du dialogue social.
L’objectif est de contribuer, par le dialogue social, à l’élaboration des projets de lois du pays relatifs au droit du travail afin que celui-ci prenne pleinement en compte les besoins et réalités du monde du travail polynésien.


Subvention pour l’Association des Editeurs de Tahiti et des Iles

Depuis 2001, l’Association des Editeurs de Tahiti et des Iles (AETI) a pour mission de promouvoir, développer et défendre les droits et libertés de l’édition et des éditeurs de Polynésie française qui sont ses membres.
Le salon du livre « lire en Polynésie », organisé par l’AETI, est non seulement devenu un évènement culturel régional important rassemblant tous les acteurs du monde du livre mais il est également devenu une belle opportunité de sensibiliser la jeunesse à l’écrit et à la lecture.
A travers différentes manifestations littéraires, l’AETI soutient activement l’action culturelle pour offrir, aux petits comme aux grands, un grand choix d’animations et d’évènements autour du livre et de l’écriture tout au long de l’année, avec notamment les grandes orientations suivantes :
- Créer une dynamique dans le secteur des métiers du livre
- Encourager les auteurs locaux
- Diffuser le livre à un plus large public
- Créer l’occasion de rencontres et d’échanges
- Représenter le secteur de l’édition de la Polynésie française lors de rencontres internationales
L’AETI participe à de nombreux évènements littéraires et culturels tout au long de l’année : notamment le salon du livre de Paris, rendez-vous important des Polynésiens installés en région parisienne (représentation du livre polynésien au pavillon Océanien, co-financé par la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française), le festival international du film d’Océanie, le festival du uru et les salons du livre de Raiatea, Papara, Taravao ainsi que dans les archipels polynésiens.


Commission du Centre national pour le développement du sport

Présidée par la ministre en charge des sports, une commission du CNDS (Centre national pour le développement du sport) s’est tenue le 22 mars dernier.
La commission du CNDS de Polynésie française est chargée, d’une part, de définir les priorités et critères concernant la répartition des subventions, d’autre part d’émettre un avis sur l’attribution de subventions de fonctionnement destinées aux groupements sportifs de Polynésie française.
Sont étudiés lors de cette commission les crédits d’intervention de l’Etat qui sont affectés sous forme de dotation globale à la Polynésie française, et les crédits du Pays.
Cette année, une révision des critères a été proposée aux membres de la commission qui ont validé, à l’unanimité, les différentes modifications apportées. L’objectif recherché était de clarifier et de rendre plus objectif l’instruction des demandes, et d’être ainsi au plus proche de la réalité lors du calcul du montant de la subvention proposée au fonctionnement d’une fédération.
Cette année encore, un abattement de 46% a dû être effectué sur les subventions par manque de crédits disponibles. En effet, sur un total de 309 627 835 Fcfp de demandes de subvention, le ministère en charge des sports disposait d’une enveloppe de 100 948 137 Fcfp dont 37 800 000 Fcfp pour le financement de l’emploi sportif. Douze fédérations sur 36 bénéficient d’une aide au financement de l’emploi d’un cadre technique fédéral et six fédérations bénéficient d’une aide pour un emploi administratif.
Les fédérations sportives sont délégataires de service public et interviennent auprès de 70 000 licenciés tout au long de l’année. Le sport favorise l’apprentissage de la vie en société, permet l’acquisition de savoirs, du goût de l’effort, du travail en équipe et il peut jouer également un rôle important dans la réussite scolaire. Il participe également à la lutte contre les problèmes majeurs de santé publique que sont l’obésité, les maladies cardio-vasculaires ou encore le diabète.
La ministre entend ainsi d’augmenter le taux de financement des fédérations qui font un travail remarquable auprès de notre jeunesse, et ce dans l’intérêt de la population dans son ensemble.


Service minimum en cas de cessation concertée d’activité des pompiers sur les aérodromes exploités par la Polynésie française

Conformément à la délibération du 18 février 2016 portant statut particulier des pompiers d'aérodromes de la fonction publique de la Polynésie française un service minimum en cas de cessation concertée de travail a été négocié dans le cadre d'un protocole d'accord. Il permet la réalisation de services aériens minimum de continuité territoriale et d'intérêt général par aérodrome.


Exposition Matahoata au Musée du Quai Branly et accord avec le Musée de Tahiti et des Iles

A la veille du 10ème anniversaire de l’ouverture du Musée du Quai Branly (MQB) , celui-ci consacre du 12 avril 2016 au 24 juillet 2016, une exposition majeure sur les Marquises :
Matahoata, Arts et Société aux îles Marquises
Carol S. Ivory, professeur émérite à la Washington State University, spécialiste des îles Marquises est le commissaire de l’exposition et Véronique Mu-Liepmann, conservateur du musée de Tahiti et des îles de 1982 à 2011, en est le conseiller scientifique.
Depuis les premières explorations au 18ème siècle, les îles Marquises, au cœur de l’océan Pacifique, fascinent les voyageurs occidentaux et les plus grands artistes. Robert Louis Stevenson, Hermann Melville, Paul Gauguin ou Jacques Brel s’y aventurèrent, attirés par l’exotisme et la riche culture de cet archipel.
Pour la première fois en France depuis 20 ans, le Musée du Quai Branly rend hommage à la culture marquisienne à travers un ensemble de plus de 300 œuvres issues de ses collections et de celles de prestigieux musées français et étrangers dont le Musée de Tahiti et des Iles. La créativité des artistes des Marquises, visible dans les objets les plus anciens, se lit également dans les productions qui ont suivi le contact avec l’Occident.
Aussi l’exposition Matahoata, Arts et société aux îles Marquises, présente l’évolution et la profondeur historique des arts marquisiens de la fin du 18ème siècle à nos jours. Elle montre l’ingéniosité et le talent d’adaptation des artistes des îles Marquises ainsi que la transformation de leur art au cours du temps.
Avec cet ensemble de dessins, sculptures, instruments de musique, peintures - dont des chefs-d’œuvre de Paul Gauguin (peinture, dessins) réalisés dans l’archipel - le Musée du Quai Branly dresse un vaste panorama artistique des îles Marquises.
Le Musée de Tahiti et des Iles (MTI) a prêté 19 objets, qui ont été présentés sur socles en vitrine lors de cette exposition prestigieuse.
Au-delà de l’exposition, le ministre en charge de la culture, Heremoana Maamaatuaiahutapu a pu rencontrer le président du Musée du Quai Branly, Stéphane Martinet son collaborateur, Emmanuel Khazarerou, le lundi 10 avril.
Un accord a été pris pour permettre au Musée de Tahiti et des Iles d’avoir accès à toutes les expositions montées par le Musée du Quai Branly sans contrepartie financière. Le MTI prendra à sa charge le transport des expositions grâce à son partenariat avec Air Tahiti Nui.
Deux projets ont d’ores et déjà été validés :
- L’exposition « Un Artiste flottant » de Paul Jacoulet, qui présente une sélection de 160 dessins, croquis, aquarelles et estampes majoritairement exécutés en Micronésie mais aussi en Corée (avant le partage entre Nord et Sud) et au Japon entre les années 1920 et 1950. Toutes ces œuvres sont issues de la très généreuse donation de Mme Thérèse Jacoulet, fille adoptive de l’artiste, au MQB.
- L’exposition « Tiki Pop » : L’Amérique rêve son paradis polynésien ». Emblématique de la culture populaire américaine des années 50/60, le style Tiki décline une image onirique des mers du sud. Le style Tiki influence dès les années 30, l’architecture, la décoration des bars et restaurants américains. Près de 450 œuvres, photos, films, enregistrements musicaux et documents d’archives, témoignent de cet engouement devenu un art de vivre. Une sélection d’objets étonnants – qu’ils soient usuels (verres, boîtes d’allumettes, cendriers…), accessoires POP (flacons de parfum, bouteilles de ketchup…), éléments de décoration d’intérieur – est présentée aux côtés d’œuvres océaniennes authentiques.
Lors de cette rencontre, il a été aussi question :
 de bénéficier des épreuves numériques du tirage du catalogue Matahoata afin d’en pouvoir réimprimer localement tout ou partie si besoin. Ce qui représente de subtancielles économies pour le MTI.
 de la convention de coopération muséographique et de la formation des personnels, convention à préparer par le MTI.
 du projet d’inventaire des objets polynésiens et notamment de la possibilité de récupérer les premières données recueillies par Véronique Mu dans le cadre de la préparation de l’exposition Matahoata. Le partenariat du Musée du quai Branly dans ce projet est essentiel pour faciliter l’accès aux collections des autres musées français, le Pays souhaitant pouvoir disposer d’une copie des objets faisant partie de ces collections.

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Faa’a s’apprête à lancer plusieurs opérations pour 700 millions de francs

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Faa’a s’apprête à lancer plusieurs opérations pour 700 millions de francs
FAA'A, le 4 mai 2016. Le conseil municipal de Faa'a s'est réuni ce mardi en séance plénière. Six opérations d'investissement de la commune viennent d'être validées.

Après des mois de préparation, le Fonds intercommunal de péréquation (FIP) a validé six des neuf dossiers présentés par la commune de Faa'a. Le montant total de ces opérations s’élève à 700 millions de francs. Maurea Maamaatuaiahutapu, conseillère
municipale a présenté la liste des projets pour lesquels le financement est accepté. Il s'agit de la mise en conformité de l’école Pamatai primaire, de l’acquisition d’un véhicule léger tout terrain, de l’acquisition d’un camion-citerne rural (CCR), de la fourniture et la pose d’une centrale de production photovoltaïque connectée aux réseaux de l’école Piafau élémentaire, de la mise à jour du Schéma Directeur d’Adduction d’Eau Potable 2 (SDAEP 2) et enfin du plan de communication sur le service public de l’eau.

Les élus ont adopté les dossiers techniques ainsi que les plans de financement afin de commencer les travaux rapidement.

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Papeete : commerçants et artisans ouverts pour le "Sea Princess"

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Papeete : commerçants et artisans ouverts pour le
PAPEETE, le 4 mai 2016. Les 1950 passagers et 850 membres d'équipage du paquebot de croisière Sea Princess seront à quai dans la capitale polynésienne à partir de 20 heures ce mercredi soir. Pour le jeudi de l'ascension, férié, un accueil et des animations sont mises en place.

Ce jeudi 5 mai 2016, jour férié, les croisiéristes du Sea Princess pourront apprécier les animations mises en place à leur attention. En centre-ville, une animation musicale est prévue au Quartier du commerce, au Centre Vaima et au Fare Tony. Une décoration particulière sera apportée au Front de mer. Une quarantaine de commerçants ayant pour cible les croisiéristes seront ouverts pour la journée.

Du côté de la mairie de Papeete, les visiteurs pourront apprécier les créations du salon du tifaifai. A l’assemblée de la Polynésie française, de nombreux artisans seront également présents. Une animation est prévue aussi du côté du Parc Bougainville. Une équipe de la Ville de Papeete et de Papeete centre-ville seront présents dans la ville afin d’accueillir et d’orienter au mieux les visiteurs.

A l’épi et au Fare Manihini, au programme : ambiance musicale et distribution de tiare pour nos visiteurs ainsi qu’un show de danse du groupe Huriama sans oublier la traditionnelle démonstration nouage de paréo, animation autour du coco (décorticage, râpage, lait de coco et dégustation).
Dans le centre-ville, de 8h à14h : Animation musicale
Mairie de Papeete, de 9h à 17h: Salon du Tifaifai
Assemblée de la Polynésie française, de 8h à 17h : Te rima veavea Faaa (exposition et artisanat)

Au Fare Manihini
8h : Prestation de danse du groupe Huriama
8h à 13h : Démonstration nouage de paréo, animation autour du coco (décorticage, râpage, lait de coco et dégustation)
8h à 16h30 : Parc BougainvilleExposition et démonstration d’artisanat

Le Sea Princess quittera le port de Papeete à 16h, ce jeudi 5 mai.

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L’exposition Tiki Pop du Quai Branly bientôt à Tahiti

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L’exposition Tiki Pop du Quai Branly bientôt à Tahiti
PAPEETE, 4 mai 2016 - Le Musée de Tahiti et des îles bénéficie d’un accord de partenariat avec celui du quai Branly afin de permettre la tenue à Tahiti de toutes les expositions organisées au musée des arts premiers. L’exposition "Tiki Pop : l’Amérique rêve son paradis polynésien" doit être présentée bientôt à Tahiti dans ce cadre.

En marge de l’exposition Matahoata, Arts et Société aux îles Marquises qui se tient actuellement au musée du Quai Branly à Paris jusqu'au 24 juillet prochain, un accord a été conclu entre le ministre polynésien de la Culture et Stéphane Martinet, président du Musée du Quai Branly afin de permettre l’exposition au musée de Tahiti et des îles de toutes les manifestations organisées au Quai Branly. Le musée de Tahiti prendra à sa charge le transport des expositions grâce à son partenariat avec Air Tahiti Nui.

Deux projets ont d’ores et déjà été validés. L’exposition "Un Artiste flottant" de Paul Jacoulet, qui présente une sélection de 160 dessins, croquis, aquarelles et estampes majoritairement exécutés en Micronésie mais aussi en Corée (avant le partage entre Nord et Sud) et au Japon entre les années 1920 et 1950. Toutes ces œuvres sont issues de la très généreuse donation de Mme Thérèse Jacoulet, fille adoptive de l’artiste, au MQB. Ainsi que l’exposition "Tiki Pop : l’Amérique rêve son paradis polynésien". Emblématique de la culture populaire américaine des années 50/60, le style Tiki décline une image onirique des mers du sud. Le style Tiki influence dès les années 30, l’architecture, la décoration des bars et restaurants américains. Près de 450 œuvres, photos, films, enregistrements musicaux et documents d’archives, témoignent de cet engouement devenu un art de vivre. Une sélection d’objets étonnants – qu’ils soient usuels (verres, boîtes d’allumettes, cendriers…), accessoires POP (flacons de parfum, bouteilles de ketchup…), éléments de décoration d’intérieur – est présentée aux côtés d’œuvres océaniennes authentiques.

Lors de cette rencontre entre Heremoana Maamaatuaiahutapu et Stéphane Martinet, le 10 avril dernier, il a aussi été question de bénéficier des épreuves numériques du tirage du catalogue Matahoata afin de le réimprimer localement, au besoin et d’une convention de coopération muséographique et de la formation des personnels, que doit préparer par le musée de Tahiti et des îles dans le cadre d’une collaboration avec le Quai Branly.

Un projet d’inventaire des objets polynésiens a notamment été évoqué, également, ainsi que la possibilité de récupérer les premières données recueillies par Véronique Mu dans le cadre de la préparation de l’exposition Matahoata. Le partenariat du Musée du quai Branly dans ce projet est essentiel pour faciliter l’accès aux collections des autres musées français, le Pays souhaitant pouvoir disposer d’une copie des objets faisant partie de ces collections.

L’exposition Tiki Pop du Quai Branly bientôt à Tahiti

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Départ annoncé du haussaire : le gouvernement reçoit Lionel Beffre à la Présidence

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Départ annoncé du haussaire : le gouvernement reçoit Lionel Beffre à la Présidence
PAPEETE, le 4 mai 2016. Edouard Fritch, le Président de la Polynésie française et l’ensemble du gouvernement, ont reçu, ce mercredi à déjeuner, le haut-commissaire Lionel Beffre qui vient d'être nommé, en Conseil des ministres, à Paris, préfet de de l'Isère.

Le Président a tenu remercier le haut-commissaire qui est resté en poste en Polynésie, depuis près de trois ans. "Nous avons tissé de vrais liens d’estime et d’amitiés avec vous. Nous nous sommes sentis en confiance avec vous. Une confiance sans compromission, une confiance avec un esprit bâtisseur", a déclaré Edouard Fritch.

Il a notamment évoqué les relations entre le Pays et l’Etat, qui est un véritable partenaire de développement. Ce partenariat fort s’exprime notamment, a indiqué le Président, par les Contrats de projet avec le Pays et les communes, par la dotation de l’Etat au Régime de Solidarité de la Polynésie Française (RSPF), la finalisation du contrat de redynamisation des sites de Défense (CRSD), le suivi de Moruroa et la dépollution de Hao, la prolongation de la défiscalisation ou encore la visite en Polynésie française, au mois de février, du Président de la République, François Hollande.

Lionel Beffre devrait quitter son poste à la fin du mois, son successeur, René Bidal, préfet de l'Eure, devant lui arriver sur le territoire d’ici quelques semaines.

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Triathlon : Le trio Keahi Agnieray, Cédric Wane, Teiva Izal vainqueurs au scratch

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Dimanche 1er mai 2016, pas moins de 600 athlètes étaient présents pour cette 26ème édition du triathlon des entreprises à Pirae. Plus de 200 équipes de trois compétiteurs devaient se relayer sur 500 m de natation, 20 km de vélo et 5 km de course à pied soit un parcours total de 25km500m.
Triathlon : Le trio Keahi Agnieray, Cédric Wane, Teiva Izal vainqueurs au scratch
En Open, c’est l’équipe Aito Sport composée de Keahi Agnieray, Cédric Wane et Teiva Izal qui s’est octroyé la victoire avec un chrono de 42’51s. Quant au trio de la mairie de Faa’a composé de Clayton Ellis, Toanui Gobrait et Tutea Degage, il prend la première place de la catégorie « entreprise Hommes », en 44mn44.

Dans la catégorie jeune ce sont les représentants du lycée Paul-Gauguin avec Nicolas Vermorel, Bastien Deux et Etienne Fleure qui décrochent la victoire. Enfin dans la catégorie féminine, ce sont les dames d’Air Tahiti Nui avec Hina Argous, Fareura Moana et Marie Schildknecht qui ont été les plus rapides.

Les réactions des participants :

Tri des entreprises 2016-397

Jean-Marie Guyvet de Body Action Club(nageur) :

« On va dire que les 150 m sur la plage étaient assez difficiles parce que la fréquence cardiaque est montée très rapidement. Arrivé dans l’eau, il y avait beaucoup qui étaient déjà fatigués. Au niveau des conditions, c’était plutôt bien, il faisait beau et la mer était calme … bon elle n’était pas très claire mais ça allait. Sur les 150 derniers mètres, avant de passer le relais, c’était pas évident non plus parce qu’il ne fallait rien lâcher. Mais dans l’ensemble c’était plutôt bien. »

Dan Pihaatae, coureur de ATN, nous livrait ses impressions :

« Chaque année nous faisons en sorte d’être présent pour représenter ATN. L’an dernier nous étions 17 équipes et cette année nous ne sommes que 7, à cause du désistement de certaines personnes, dû aux charters et également à cause de la mauvaise qualité de l’eau. Habituellement nous sommes toujours sur le podium alors on espère avoir encore la bonne surprise cette année parce qu’il y avait pas mal d’équipes bien entrainés et il faut dire que ce n’est pas évident pour nous de s’entrainer régulièrement du fait de notre métier (PNC). »

Tepehu Rafael, cycliste de Sunzil :

« Ca c’est bien passé mais c’était vraiment dur de courir dans le sable avec le vélo. Chaque année nous sommes là pour représenter Sunzil, c’est d’ailleur pour ça qu’il y a du soleil aujourd’hui (rire). Par rapport à l’an dernier nous avons moins d’équipes car certains sont en chantier dans les îles et d’autres n’étaient pas vraiment en forme mais Sunzil reste toujours fidèle à l’évènement. »

Nicolas Vermorel « 1er en Natation »

« Après les 150m de course je suis entré 3ème dans l’eau . Je suis rentré assez tard dans l’eau vers la droite, ce qui m’a paru être un bon choix tactique car au bout de 15 m de nage je me suis retrouvé 1er et j’ai augmenté l’écart petit à petit . J’ai trouvé la transition course à pied /natation /course a pied assez difficile parce qu’on y est pas habitué et c’est vraiment ça qui nous a mis dans le rouge »

Les résultats dans le document ci dessous :

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Judo « championnat de Polynésie » : L’E.J.J.P. se taille la part du lion

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Le week end dernier, les randoris ont fusé sur les tatamis du gymnase d’Arue lors du championnat de Polynésie par équipe. Comme d’habitude, ce sont les plus jeunes qui ont lancé les hostilités, les plus grands ont pris le relais plus tard dans l’après-midi. A l’issue de la journée, c’est l’E.J.J.P. qui s’est taillé la part du lion avec un total de quinze médailles dont cinq en or, cinq en argent et cinq de bronze.
Judo « championnat de Polynésie » : L’E.J.J.P. se taille la part du lion
Ce samedi 30 avril à Arue ont eu lieu les championnats de Polynésie par équipe. Ce sont 178 compétiteurs, toutes catégories d’âge confondues, qui se sont engagés durant toute la journée. La compétition a démarré vers dix heures, les équipes masculines et féminines se succédaient l’une après l’autre.

Dans la division masculine, les poussins comptaient douze équipes de cinq soit 52 combattants alignés sur les tapis. Sur cinq clubs représentés, trois de l’EJJP ont raflé la première place. La section de Saint Hilaire a pris la tête du podium suivit de celle d’Arue 1, l’EJJP d’Arue 2 et le Budokan 1 ont pris la troisième place.

A peu près les mêmes résultats se répétaient dans les tableaux des benjamins et des minimes. Chez les cadets, c’est le club de Paea qui prend l’ascendant sur trois équipes en lice. L’E.J.J.P. 1 s’offre la deuxième place et l’A.S. Venus complète le podium. Le club de Paea a réitéré sa première place chez les séniors, il est suivit de Venus 1 et l’EJJP aux deuxième et troisième places respectives.

Dans la division féminine, la participation était moins importante que celle des garçons avec 14 combattantes seulement chez les poussines. Les équipes de l’E.J.J.P. prennent la première et troisième place, le Budokan de Pirae s’offre la deuxième place. Seules deux équipes de l’E.J.J.P. animaient la catégorie des benjamines.

Chez les minimes c’est l’A.S. Venus qui prend le meilleur sur l’E.J.J.P. Le club de Mahina a fait le doublé chez les séniors tandis que l’E.J.J.P. et le Judo Club Taravao prennent la deuxième et troisième places.

Découvrez tous les résultats dans le document ci dessous.

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Les doctoriales : la pointe de la recherche universitaire présentée au public

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Les doctoriales : la pointe de la recherche universitaire présentée au public
PAPEETE, le 4 mai 2016 - La semaine prochaine, de lundi à mercredi, l'Université de la Polynésie française va vibrer au rythme des Doctoriales. 38 thésards vont présenter, de façon vulgarisée, leurs recherches au grand public. Tous les domaines sont concernés, biologie, mathématiques, physique, sociologie, droit, archéologie, anthropologie, économie, science politique… Rendez-vous dès le lundi 9 mai à 8h30 à l'Amphi A3.

Cette année, l'Université de la Polynésie française (UPF) organise la huitième édition de ses Doctoriales, un rendez-vous désormais incontournable de la vie académique en Polynésie. Pendant trois jours, les doctorants vont présenter leurs travaux au grand public, avec pour consigne d'être aussi pédagogique que possible afin de mettre leurs recherches de pointe à notre portée. "On demande aux étudiants de vulgariser, mais c'est vrai que, parfois, même le jury ne comprend pas toutes présentations, ça dépend du sujet et de la qualité de l'orateur. Mais tout le monde devrait pouvoir en tirer une bonne idée de ce qu'il se passe à l'Université" explique Éric Conte, président de l'UPF.

Au programme, 38 doctorants, dont deux venus de l'Université de Nouvelle-Calédonie, qui aborderont une vaste variété de sujets. Par exemple la première présentation est intitulée "Influence de paramètres environnementaux sur les processus de minéralisation des perles de culture produites par l’huître perlière Pinctada margaritifera" (voir interview), alors que la dernière portera sur "Traditions Ma’ohi (autochtones) et culture catholique aux îles de la Société de Polynésie". Entre temps, on nous aura parlé développement économique, droit de l'environnement ou droit constitutionnel, énergies renouvelables, éco-construction, formation des tourbillons aux Marquises, management du Tahiti Mahana Beach, de la souveraineté dans le Pacifique sud…

"Pour nous, c'est l'occasion de mettre en évidence notre École doctorale du Pacifique, que nous avons en commun avec Nouméa, la diversité de nos thèses et le dynamisme de la recherche en Polynésie" résume le président de l'UPF. Le directeur de cette École doctorale, Alban Gabillon, précise que c'est aussi un très bon exercice pour ses thésards, qui peuvent ainsi "s'entrainer aux présentations, car ils vont devoir en faire souvent, pour obtenir des crédits, pour présenter leurs résultats aux conférences internationales, pour leurs post-docs et jusqu'à obtenir leurs postes."

370 000 FCFP DE PRIX

Selon le niveau d'avancement des thèses, le format sera différent. Ainsi, les premières années, qui posent encore les bases de leurs recherches, se limiteront à un poster et une présentation de 5 minutes. À partir de la deuxième année par contre, il y aura 20 minutes de présentation, suivis de 10 minutes de questions réponses avec le public.

La participation est obligatoire pour les doctorants, mais elle ne sera pas forcément à fonds perdus. Trois sponsors offrent ainsi des prix aux meilleurs d'entre eux :
- 200 000 Fcfp de premier prix pour la meilleure présentation orale, offerts par Engie ;
- 100 000 Fcfp pour la thèse offrant la meilleure perspective de valorisation économique ou culturelle, offerts par Tahiti Faahotu ;
- 70 000 Fcfp pour le meilleur poster, offerts par Robert Wan.

Le programme est disponible en entier sur le site www.upf.pf.



Les doctoriales : la pointe de la recherche universitaire présentée au public
Oihana Latchere, doctorante en biologie marine : "il semblerait qu'une température faible de l'eau favoriserait une meilleure qualité du lustre des perles"
"Alors je travaille sur l'influence de paramètres environnementaux sur la minéralisation des perles de culture qui sont produites par l'huitre perlière Pinctada margaritifera. C'est très intéressant, personnellement je travaille plus particulièrement sur l'influence de la température de l'eau et de la nourriture, et on a de premiers éléments de réponse.

En fait, la perle fait suite à une greffe : on insère un petit morceau de manteau venant d'une huitre donneuse dans une huitre receveuse. Le manteau minéralise la coquille au départ. On y ajoute aussi une petite bille de bicarbonate de calcium, qu'on appelle un nucléus, qui sert de support à la perle, et la minéralisation est le processus création de la perle.

Donc on ne peut pas dire directement quelle serait la température idéale pour faire de belles perles, mais visiblement la température a une influence, sur le lustre par exemple. Dans mes expériences je teste deux températures, une faible et une élevée, et dans la température faible il semblerait que la qualité du lustre est meilleure. Mais maintenant je ne peux pas donner de conseils "il faut mettre vos nacres à telle température pour avoir de belles perles." On travaille aussi sur les formes et les défauts, qui dépendent des premiers évènements de minéralisation. Mais là, les résultats sont en cours d'analyse…"



Les doctoriales : la pointe de la recherche universitaire présentée au public
Xavier Talarmain, doctorant en génie civil et génie environnemental : "L'idée c'est de trouver des solutions concrètes pour les économies d'énergie et l'éco-conception des fare"
"Je travaille sur les économies d'énergies et l'éco-conception des bâtiments en Polynésie. J'ai démarré fin janvier. L'idée est de développer les méthodologies, les outils en fait, spécifiques et nécessaires aux acteurs de la région. Par exemple il y a la climatisation, et donc l'intérêt de développer la ventilation naturelle. Il faut donc avoir une bonne conception éco-climatique à la base, avoir une bonne isolation des toits, s'axer sur les vents dominants… Notre laboratoire travaille aussi sur ces parties météorologiques. Moi j'interviens sur l'éco-conception, donc la modélisation et le développement de solutions. On se rend compte qu'il n'y a pas vraiment de meilleurs matériaux, ce sera vraiment une approche projet par projet.

L'idée pour moi c'est vraiment de trouver, avec mes recherches, des solutions concrètes, de replacer l'usager au sein du projet. Il faut que le fare soit confortable, et donc éviter la climatisation autant que possible. Il y a aussi d'autres aspects, types éco-matériaux, matériaux locaux, autant d'axes de travail. Et je pense que la culture polynésienne a une vrai culture de l'éco-conception : les matériaux coûtent chers et les gens ont l'habitude de construire, au moins en partie, leurs fare eux-mêmes."

Les doctoriales : la pointe de la recherche universitaire présentée au public

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Johnny Hallyday se confie avant de monter sur scène

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Johnny Hallyday se confie avant de monter sur scène
FAA'A, le 4 mai 2016 - Juste avant de se produire en "live" devant le public polynésien, Johnny Hallyday a accordé une conférence de presse aux médias locaux. Son principal souhait : "J'aimerais garder le même souvenir ce soir que lors de mon précédent concert !"


Une heure avant de monter sur la scène de To'ata, la star du rock s'est confiée à la presse locale. Johnny Hallyday dit "espérer passer une bonne soirée et que le public polynésien participe au concert". Entouré de musiciens professionnels de haut niveau, "parmi les meilleurs" de sa carrière, il donnera tout pour offrir le plus grand spectacle possible. Son secret : "Jouer la musique qu'il aime et vivre avec son temps".

Sa tournée "Mort vivant" évoque le fait qu'il a "failli mourir", mais il en est "revenu, car l'autre côté ne lui a pas plu". Convivial, il est impatient de retrouver ses fans ce soir. Tombé sous le charme du fenua depuis son premier séjour en 1972, il a déjà hâte de revenir en Polynésie. Il s'envolera demain soir pour Los Angeles. Avec un seul regret, celui de n'avoir "pas eu le temps de se faire tatouer ici."

Il vous attend place To'ata. En première partie, c'est le groupe local Tikahiri qui assurera le show ! Grosse ambiance en perspective.

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Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien

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La star de la chanson française Johnny Halliday aura « mis le feu » à To’ata ce mercredi soir. Avec une voix plus puissante que jamais il aura enchainé ses tubes devant un public aux anges. Accompagné de nombreux musiciens de diverses origines, son show a été largement à la hauteur des attentes du public tahitien qui ne l’avait pas vu depuis 1972. Il a promis de revenir.
Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien
PAPEETE, le 5 mai 2016. Le concert de Johnny Halliday a tenu toutes ses promesses. To’ata était pleine à craquer pour ce concert que les fans tahitiens de Johnny ont attendu depuis 1972, date de son dernier concert à Tahiti. 4 ou 5 000 personnes ? Les vaines polémiques que l’on a pu voir sur internet, depuis l’accueil traditionnel quelque peu boudé par le chanteur à l’aéroport de Faa’a, n’ont pas fait le poids contre l’énergie qu’il a pu mettre dans son grand retour sur la scène tahitienne.
 
En premier lieu, sa voix exceptionnelle était bien au rendez vous. La star du rock, le chouchou des français, aime chanter, aime la fête, et cela se ressent. Après une première partie de qualité assurée par le groupe de hard rock paumotu Tikahiri, son concert a duré deux heures et demi environ, pour le plus grand bonheur de ses fans.
 
Ses musiciens étaient 17 sur scène, fait plutôt rare en Polynésie pour les groupes visiteurs. Des musiciens professionnels de haut vol de différentes origines qui ont fait eux aussi fait chanter leurs instruments : Solo de harmonica, solos de guitare, basse millimétrée, batterie au top, cuivres dignes de la Nouvelle Orléans, choristes hommes et femmes bien calibrés… Le public en a pris plein les oreilles. On est bien loin de la prestation de Maitre Gims d’il y a quelques mois, pas mauvaise, mais bien moins riche.
 

Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien
Johnny Halliday a du cœur et ce soir il a beaucoup donné. On était pas à Bercy, au stade de France ni à l’Olympia, il a pourtant offert au public tahitien un show exceptionnel. Le registre musical a été celui qui colle à la peau de l’artiste : le blues, le rock, la country, la variété, une incursion dans le yéyé des années soixante, terminant en beauté avec « toute la musique que j’aime, elle vient du blues… »
 
Jean Philippe Smet, alias Johnny Halliday, est avant tout un show man, un interprète. Il nous a interprété « Quelque chose de Tenessee » composée par le regretté Michel Berger, « Ma gueule », « Allumer le feu », « Le pénitencier », « Je te promets », « Noir c’est noir », « Gabrielle », « Ma jolie Sarah », et bien sûr une des préférées du public « Que je t’aime »,  et bien d’autres…Il avait le choix, en 50 ans de carrière et plus de 1 000 chansons. Il ne manquait que "Oh Marie", pourtant un de ses titres le plus vendus.
 
Il a également finalement remercié les bikers, la productrice Sonia Aline - qui s’éclatait dans la zone VIP/Médias - et le public tahitien pour son accueil. Sa femme Laeticia était également là avec ses deux filles, immortalisant quelques instants de performance de son mari avec son téléphone, le sourire aux lèvres. Même les Tikahiri sont restés jusqu’au bout pour regarder la prestation du rocker de légende.

Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien
Johnny est ses musiciens ont arboré un collier de fleurs pendant le dernier quart du concert, le public Tahitien était de toute façon déjà séduit. Merci l’artiste. SB

Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien

Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien

Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien

Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien

Johnny Halliday – Des retrouvailles réussies avec le public tahitien

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Les négociations entre le gouvernement et l'intersyndicale sont sur la bonne voie

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Les négociations entre le gouvernement et l'intersyndicale sont sur la bonne voie
PAPEETE, le 5/05/2016 - Mercredi en fin de journée, syndicalistes et gouvernement se sont retrouvés afin de trouver des solutions dans le cadre du préavis de grève général qui a été déposé mardi dernier dans plusieurs entreprises du fenua. Pour cette première rencontre, aucun accord n'a été conclu, cependant, selon les deux partis, les négociations avancent bien. Ils se reverront ce vendredi après-midi.

Les rencontres au sujet du préavis de grève général qui a été déposé mardi dernier par l'intersyndicale ont démarré mercredi en fin de journée. Le président du Pays et plusieurs de ses ministres ont reçu la trentaine de membres issus des différentes organisations syndicales ayant signé ce préavis.

Ils se retrouveront ce vendredi après-midi à 14 heures à la Présidence. Et selon les deux parties, les négociations de ce mercredi soir se sont déroulées dans le calme.

Durant plus de trois heures, chacun a pu exprimer son opinion. "Il y a une proposition par rapport au fond de solidarité exceptionnel (FSE), ils veulent vraiment que les salariés participent pour qu'ils puissent avoir une aide par rapport à leur logement. Ils vont essayer de mettre un fond à part, pour faire quelque chose pour les salariés, c'est une bonne idée, pour le moment. Concernant le fond pour l'amortissement du déficit social (FADES), l'allocation complémentaire de retraite (ACR) ou la Contribution de solidarité territoriale (CST), pour le moment ils sont bloqués là-dessus. Ils nous ont dit qu'ils n'ont pas les fonds. Donc, ils ne peuvent pas satisfaire nos demandes", confie Atonia Teriinohorai, secrétaire général de O Oe To Oe Rima. "Nous nous reverrons ce vendredi pour aller plus en détail sur ce dossier de la PSG II. Ils ont remarqué aussi que nous sommes motivés pour trouver des solutions afin d'éviter le rapport de force", précise Mahinui Temarii de la CSTP-FO.

Le son de cloche est le même du côté du gouvernement. "On peut dire qu'il y a une volonté de discuter et d'aboutir sur plusieurs points", explique Jean-Christophe Bouissou, porte-parole du gouvernement. "Nous avons parlé de la retraite, la maladie, la pérennité de nos systèmes de comptes sociaux. Je crois que les syndicats ont besoin de s'exprimer, si on ne les entend pas, cela peut créer des difficultés."

Le dossier de la PSG II, un sujet épineux qui prendra du temps aux deux parties avant de trouver un accord. Ils ont jusqu'à dimanche soir pour trouver une issue sinon la grève sera effective lundi à 00 heures.

De son côté le MEDEF a invité l'intersyndicale ce vendredi matin à 9 heures. Les syndicats des salariés ont affirmé, à la sortie de la rencontre avec le gouvernement mercredi soir, qu'ils ne répondront pas à cette sollicitation. Affaire à suivre…

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Tahiti Pearl Regatta : place à la course !

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Tahiti Pearl Regatta : place à la course !
RAIATEA, le 5 mai 2016, Le Village de la Tahiti Pearl Regatta (TPR) a fermé ses portes ce mercredi, après deux jours d’animations sur le parvis du marché d’Uturoa. Les régatiers engagés vont maintenant entrer dans le vif du sujet, puisque le départ de la course sera donné ce jeudi matin.

Il y avait foule sur le parvis du marché d’Uturoa ce matin. Les derniers régatiers fraîchement arrivés à Raiatea ont pu profiter des animations du Village TPR, avant de se rendre au briefing des équipages, donné à 11h par le président du comité de course, M. Georges Kohrel.

L’après-midi a été consacré à la régate d’entraînement, pour permettre aux compétiteurs de se mettre en forme avant le coup d’envoi de la course, programmé ce jeudi à 8h30. C’est sous un grain et un vent favorable que les voiliers ont pris le départ de ce tour de chauffe devant le port d’Uturoa, avant de partir au portant vers le soleil et l’île de Taha’a. Après avoir virer aux abords de l’île Vanille, les équipages ont remonté au près vers Raiatea, fendant les eaux cristallines du lagon à une allure soutenue.

Le retour des voiliers au port a sonné la fin du Village TPR, après deux journées de belle affluence. La maire d’Uturoa s’est félicité de la tenue de cet événement. « On est heureux d’accueillir ce Village et d’apporter notre partenariat à cette course internationale, qui est devenue incontournable pour la commune » a ainsi témoigné l’élue.

Pour clôturer ces deux journées de festivités à Raiatea, une Parade Nautique était organisé dans le port d’Uturoa à la nuit tombée. La population et les régatiers ont pu assister depuis le quai aux défilés aquatiques de la Marine nationale, des professionnels nautiques de l’île (va’a, wind surf, stand up paddle, hobie cat…) avant de voir défiler les miss en jet ski et les pirogues fleuries. Un spectacle de danseurs de feu et une animation musicale « by DJ Parrain » ont prolongé la soirée.

Ce jeudi, les régatiers de la TPR entameront la course proprement dite avec un parcours « banane » dans le lagon de Raiatea - Taha’a, avant de s’affronter lors de la première étape hauturière de la course entre Raiatea et Bora Bora. Les internautes pourront suivre les temps forts de la course et encourager les coureurs sur la Page Facebook Tahiti Pearl Regatta.

Tahiti Pearl Regatta : place à la course !

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