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Les équipes du Brando répondent à Teiki Pambrun

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Les équipes du Brando répondent à Teiki Pambrun
PAPEETE, le 30 novembre 2015 - Bien que l'hôtel de luxe installé à Tetiaroa enchaine les victoires judiciaires contre le désormais célèbre "squatteur de lagon" Teiki Pambrun, le militant semble remporter la bataille de la communication. Les héritiers de Marlon Brando, les responsables du Brando et l'équipe derrière la Tetiaroa Society ont décidé de s'exprimer en réponse à toutes ces polémiques.

Teiki Pambrun est en croisade contre l'hôtel The Brando, et difficile de savoir qui est en train de gagner cette guerre, qui inclut des batailles au tribunal et des affrontements sur Facebook pour l'opinion publique. Pour l'instant, l'entrepreneur célèbre pour habiter toute l'année sur une pirogue de loisir avec sa famille bénéficie du soutien d'une partie de l'opinion grâce à son image de Petit Poucet écologiste seul contre une multinationale avide de subventions. L'hôtel, lui, est présenté comme l'un des meilleurs exemples de développement durable dans le secteur touristique mondial et a le soutien de superstars hollywoodiennes et des autorités polynésiennes… Mais son image en Polynésie est écornée.

Face à ce constat, la direction de l'hôtel nous a invités, avec nos confrères de Tahiti Pacifique Hebdo, à venir rencontrer différents acteurs du projet de Tetiaroa. Le magazine publiera tout un dossier dans son journal de vendredi sur les problèmes fonciers qui touchent l'île de Tetiaroa. Nous avons décidé de plutôt les faire répondre point par point aux polémiques déclenchées par Teiki Pambrun.


The Brando ne serait pas assez écolo ?
Les équipes du Brando répondent à Teiki Pambrun
Tahiti Infos : The Brando se présente comme un exemple en matière d'éco-tourisme, et pourtant certaines associations et activistes écologiques en Polynésie dénoncent ce qu'ils présentent comme des abus sur place. Par exemple cette image d'un tractopelle dans le lagon qui a fait le tour de la toile locale…

Laurent Darcy (représentant les exploitants de l'hôtel) : Alors d'abord il n'y a pas plein d'associations qui décrient ou remettent en cause la démarche de développement durable, ici en Polynésie, uniquement Teiki Pambrun. L'autre chose que l'on peut dire est que tous nos investissements ont été faits dans les règles, avec plutôt deux ou trois contrôles et des niveaux de contraintes supplémentaires qui nous ont été imposés tout au long du projet. Et nous avons tenus tous nos engagements. Je vous engage à aller voir les autorités administratives et la mairie de Arue qui nous a soutenus et nous a fait confiance dès le départ. Là-dessus on est tout à fait irréprochables.
« Notre groupe est investi en Polynésie depuis plus de 30 ans et ces démarches que nous avons fait à Tetiaroa nous les menons en Polynésie depuis des décennies, où nous visons l'excellence et une démarche la plus poussée possible en matière d'environnement et de bonnes pratiques.
« Ensuite on nous ressort effectivement toujours la même photo ou séquence d'images, d'un des aspects du chantier. C'est très facile de prendre des photos qui sont sorties de leur contexte et ne reflètent pas la réalité. Néanmoins il est clair qu'on ne fait pas l'ensemble des investissements que nous avons fait, on ne met un SWAC – qui aujourd'hui ne se voit plus et n'a aucun impact sur l'environnement – sans mobiliser des engins et des moyens lourds.
« C'était une phase du chantier, mais aujourd'hui dans notre projet on est uniques au monde : on est autonomes en énergies renouvelables, on retraite et recycle tous nos déchets… Voilà, on a fait du développement, donc dès qu'on construit il y a des pelleteuses et des engins, mais aujourd'hui le site ne porte aucune trace du chantier et son fonctionnement est exemplaire, avec un impact ultra-minimum sur l'environnement.

Tahiti Infos : Il resterait une grue sur le motu Honuea, partira-t-elle bientôt ?

Laurent Darcy : Tout à fait. Elle partira quand on aura les moyens de la faire partir… Cette grue appartient à une entreprise qui était mobilisée sur Tetiaroa. Elle était tombée à l'eau par l'accident, en a été ressortie, dépolluée et stockée là. Donc c'est une carcasse métallique cachée dans la végétation, on ne peut pas la voir sauf à entrer illégalement sur la propriété... Tout ça a pris un peu de temps, il y a des enjeux d'assurance, et pour la découper et la ramener à Tahiti il faudra des moyens que nous n'avons pas, mais qui seront amenés à être reprogrammés dans le futur. Il faut notamment un Taporo.

Maitre Jourdainne (représantant les héritiers Brando) : Quand vous faites part d'associations qui viennent signaler ces faits, vous songez à qui ? C'est uniquement monsieur Teiki Pambrun. Alors monsieur Teiki Pambrun serait un défenseur de l'environnement ? Je ne le connaissais pas sous cet angle. Moi je le connais en tant que squatteur professionnel du lagon, mais pas en tant que défenseur du lagon, parce qu'il a été lourdement condamné par les juridictions polynésiennes par rapport à une présence sur l'atoll qui est quand même plus qu'illégale, et il est vrai que la société Frangipani n'a fait que répondre à de multiples agressions à sa propriété privée. La Polynésie a également engagé des actions pour faire respecter son domaine public.

Les héritiers de Marlon Brando se font-ils avoir ?
Les équipes du Brando répondent à Teiki Pambrun
Tahiti Infos : Une polémique surprenante est l'affirmation de Teiki Pambrun selon laquelle les héritiers Brando se font avoir puisqu'ils se partageraient 800 000 Fcfp de loyer par mois, à huit, pour tout l'atoll… Est-ce vrai ?

Maitre Jourdainne : Là je n'ai pas de réponse… Moi j'interviens en qualité d'avocat sur les dossiers qui sont en cours devant le tribunal, donc les violations de la propriété de la SA Frangipani [qui possède l'atoll de Tetiaroa pour les héritiers Brando]…

Tumi Brando (petite-fille de Marlon Brando) : Je ne savais pas qu'on allait parler de ça, et je n'ai pas trop envie d'en parler…

Laurent Darcy : Je ne parle pas en leur nom, mais ce que l'on peut simplement dire c'est que les héritiers directs ou indirect de monsieur Brando comme Tumi, je dirais, travaillent à Tetiaroa, ont des activités de salariés et gagnent leurs vies raisonnablement, modestement, honnêtement, sans être des riches rentiers. Après, les accords financiers qu'il peut y avoir entre notre groupe, la succession Brando et la SA Frangipani, notamment sur les conditions de location, ne sont pas publiques d'une part, et d'autre part ils sont en place et ont été conclus d'accord-parties.

Un lagon privé ou un espace protégé ?
Tahiti Infos : Les avis sont partagés sur lagon du Brando. Certains pêcheurs, ou des sociétés d'excursions, dénoncent ce qu'ils appellent une privatisation du lagon de l'île. La société Frangipani peut-il leur répondre ?

Maitre Jourdainne : Il n'y a aucune privatisation du lagon de Tetiaroa. Il y a une zone de pêche réglementée qui a été instaurée, c'est une zone protégée. Je veux dire que quand vous allez en Corse il y a des réserves naturelles où vous ne pouvez pas aller plonger, pêcher, sans demander une autorisation. Mais il reste des sociétés de charters qui amènent des touristes.

Laurent Darcy : Cette Zone de Pêche Réglementée (ZPR) a été mise en place par le Pays, en concertation avec The Brando, la Tetiaroa Society, la commune, le Pays, les pêcheurs, un certain nombre d'association qui font tous partie du comité de gestion… Elle a été contestée au tribunal administratif mais les demandeurs ont été déboutés…

Tahiarii Yoram Pariente (directeur de la Tetiaroa Society) : Vous veniez de parler de la défense de l'environnement. Tout ça ce sont des efforts pour défendre l'environnement : une ZPR c'est fait pour protéger les poissons dans leur habitat. Les chartes avec les charters, c'est pour protéger les oiseaux qui nichent dans l'Île aux oiseaux… Tout ça c'est pour protéger l'environnement et défendre la faune et la flore de Tetiaroa, donc on ne peut pas demander et critiquer en même temps la protection du lagon ! On a constaté sur des décennies des pêches au filet, des pêches de nuit au projecteur… Tout ça a abouti à un relatif dépeuplement du lagon. Nous avons un projet scientifique de repeuplement du lagon mis en place depuis quelques années avec le Criobe, et en ce moment-même nous mettons en place des captures de larve pour les faire grandir en captivité et les relâcher dans la zone protégée. Mais les relâcher dans une zone surpêchée ne servirait à rien !

Tahiti Infos : Concernant Teiki Pambrun, les gens ont du mal à comprendre pourquoi il serait illégal de vivre sur un bateau…

Maitre Jourdainne : La société Frangipani n'a fait que répondre à des incursions sur son domaine privé, et c'est pour ça qu'elle a été contrainte de mener des actions. Après il y a d'autres actions, engagées par le procureur qui vise des infractions au droit maritime, ou par le Pays sur le domaine public maritime, et là c'est complètement différent.
« Pour nous, il a été constaté des intrusions, des dégradations sur les panneaux installés, des menaces contre les employés de la société, tout ce qui constitue un trouble manifestement illicite.

Tumi Brando : Il y a aussi des dégradations de l'environnement. Il a abandonné ses déchets sur les motu, il a réparé son moteur dans la lagune de l'île aux oiseaux, donc il y avait de l'huile qui coulait… Ce genre de choses.

Laurent Darcy : Teiki Pambrun ne mène pas une campagne de communication contre le Brando, mais une campagne de désinformation. Il se fait passer pour une victime alors que c'est lui qui agresse les propriétaires de l'île, qui agresse les acteurs comme Tetiaroa Society dans leurs démarches de protection de l'environnement, et qui porte atteinte à l'image de l'hôtel ! Donc les victimes ce sont les personnes autour de cette table et pas lui.

Des développements immobiliers ?
Tahiti Infos : Une dernière polémique déclenchée par Teiki Pambrun. Le projet a été vendu comme un projet éco-hôtelier, mais aujourd'hui on dit qu'il y aurait une soixantaine de logements en construction dont une vingtaine sur Honuea, pour être vendus à des milliardaires… On parle même d'une marina sur Honuea.

Laurent Darcy : On ne commente pas les rumeurs. Les informations de M. Pambrun sont de la désinformation et à chaque fois on a pu en apporter la preuve. (...) Maintenant, pour revenir à la question, nous avons dans notre projet un certain nombre de villas complémentaires qui sont destinées à être développées. Elles ont toujours été sur les cartes, ont été annoncées à de nombreuses reprises, mais il faut écouter et avoir les bons chiffres. Ça reste un projet qui est à l'étude, pour lesquelles les infrastructures nécessaires sont déjà en place pour l'énergie, l'eau, les déchets. Donc ce ne sera que de la construction. Rien ne nous empêchera de le faire mais on le fera dans les règles. (...)
« Il n'y aura pas de marina, c'est n'importe quoi. Ce ne sera pas soixante villas non plus ! Mais pour le chiffre, c'est un projet qui est en cours, donc ce sera peut-être 15, 20, peut-être 25, ou 28, je ne sais pas. Ce sera sur Onetahi, on n'a pas de projet sur Honuea au jour d'aujourd'hui.

La Tetiaroa Society mène des actions scientifiques et environnementales
Tahiti Infos : Si un domaine échappe à la polémique, c'est bien la Tetiaroa Society. Pouvez-vous nous présenter vos actions ?

Tahiarii Yoram Pariente : La Tetiaroa Society c'est cinq personnes sur place et un organisme international installé aux États-Unis. Il y a beaucoup de chercheurs du monde entier qui viennent à l'éco-station pour mener leurs recherches, prélever des échantillons… Il y a beaucoup de monde. Nous commençons à avoir un bon historique sur les tortues avec les actions menées par Te Mana o te Moana depuis 10 ans, ou sur les oiseaux avec l'association Manu. Et il faut comprendre que pour avoir des données utiles, il faut beaucoup de recherche et de recul. Il y a aussi un volet éducatif, avec la visite d'une classe de 5ème de La Mennais et de Tiarava en janvier par exemple, et un volet culturel. Il y a énormément de sites archéologiques à explorer, mais ça coûte très cher. On dépend surtout de dons privés, principalement américains. Par exemple Leonardo di Caprio nous a offert 10 000 dollars. Mais il y a beaucoup de donateurs, on vient de faire une levée de fonds aux Etats-Unis…

Tumi Brando : Au niveau scientifique nous avons cinq projets en cours, par exemple un projet de l'Université de Washington sur les effets de l'acidification de l'océan sur les coraux, plus de 10 ans de recherches sur les tortues, la repopulation du lagon avec le Criobe, un projet de contrôle des populations de moustiques avec Malardé…


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Nicolas, voyageur-blogueur : "On a qu'une envie c'est de revenir"

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Nicolas, voyageur-blogueur :
PAPEETE, le 1er décembre 2015. Pendant une dizaine de jours, Sylvain Nicolier, qui se définit comme un "Vloggeur voyageur, un freerideur du voyage" a réalisé les activités proposées par les internautes polynésiens.

"Nous sommes tristes de partir", confiait ce mardi matin le voyageur d'origine suisse. "Nous avons eu un super accueil de la part des Polynésiens. Nous avons envie de revenir très rapidement."
De son séjour au fenua, Sylvain retiendra notamment "le fafaru", "c'est vraiment quelque chose de particulier" mais aussi la "chasse-sous marine". Lundi soir, Nicolas a revêtu les habits d'un chef cuisinier avec qui il a concocté des plats locaux.
Le jeune voyageur quitte la Polynésie ce mardi soir pour atteindre sa prochaine destination; la Colombie.

Retrouvez ci-dessous les vidéos qu'il a réalisées lors de son séjour.





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Un homme évacué de force du Palais de justice de Papeete

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Un homme évacué de force du Palais de justice de Papeete
PAPEETE, 1er décembre 2015 – Un individu vraisemblablement soûl a été évacué du Palais de justice par les forces de l’ordre, en milieu de matinée.

L’homme d’une vingtaine d’années venait d’être présenté au parquet. Il a été extrait en vociférant du Palais de justice, encadré de policiers, vers 9h15. L’esclandre a provoqué la curiosité d’une foule importante alors que les tribunaux de Papeete connaissent une grosse activité, ce mardi, en correctionnelle et aux assises.

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Tikehau: Toujours sans nouvelles des personnes disparues en mer, les recherches continuent

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Tikehau: Toujours sans nouvelles des personnes disparues en mer, les recherches continuent
TIKEHAU, le 1er décembre 2015- Les recherches entamées hier, lundi 30 novembre, dans le secteur de Tikehau (archipel des Tuamotu), pour retrouver un poti marara avec 3 personnes à son bord, sont toujours en cours.
Selon nos informations, il s'agirait de trois personnes d'une même famille qui s'étaient rendues aux obsèques de leur grand mère décédée à Tikehau.

Ce matin, le MRCC a de nouveau engagé sur zone l’avion Gardian des forces armées en Polynésie française et l’hélicoptère inter-administrations Dauphin pour effectuer ces recherches.
Les conditions météorologiques toujours très mauvaises, susceptibles de se dégrader encore au cours de la journée, empêchent l’intervention de moyens nautiques légers. Toutefois, le MRCC a demandé à la goélette ST XAVIER MARIS STELLA IV de se dérouter sur la zone pour participer aux recherches.

Les recherches sont rendues très difficiles en raison du phénomène météorologique en cours . Météo France annonce ce matin, à 11 heures que la mer devient forte et chaotique avec des creux de 3 à 4 mètres.

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Faaa : Plus de cinquante voitures seront vendues aux enchères, samedi

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Faaa : Plus de cinquante voitures seront vendues aux enchères, samedi
FAAA, le 01/12/2015 - Cette vente a été ordonnée par le tribunal, après la liquidation judiciaire d'un parking à Faaa. L'ensemble des véhicules seront donc vendus aux plus offrants. Le public pourra repérer son futur bien lors d'une visite programmée à vendredi, de 8 heures à 14 heures.

Tout devra partir, samedi, véhicules, lot de pièces détachées mécaniques et carrosseries ou encore armoires métalliques et bureaux. Actuellement en liquidation judiciaire, le parking de Faaa situé à Puurai compte une cinquantaine de véhicules, allant des berlines jusqu'aux familiales. Samedi matin à partir de 8 heures, le public pourra s'offrir une voiture d'occasion pour ces fêtes de Noël. "Elles seront vendues aux plus offrants", explique Serge Léontieff, commissaire-priseur, "les ventes se feront à partir de 50 000 Fcfp".

Les futurs acheteurs pourront néanmoins faire un tour sur le site, la veille, pour repérer les véhicules qui pourraient les intéresser. Une visite est organisée vendredi de 8 heures à 14 heures.

Pour de plus amples informations, vous pouvez contacter le commissaire-priseur, Serge Léontieff au 87 77 07 18 ou au 40 42 02 37.

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Strongest Man – Le ‘Géant de Tubuai’ reste l’homme le plus fort.

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La 4e édition du Strongest Man s’est déroulée à Arue samedi. Le ‘Geant de Tubuai’, par ailleurs grand champion du lever de pierre, a conservé son titre de l’homme le plus fort face à une concurrence qui se fait de plus en plus pressante. Le spectacle a été au rendez vous avec des épreuves nouvelles qui ont ravi le public présent.
Strongest Man – Le ‘Géant de Tubuai’ reste l’homme le plus fort.
ARUE, le 1er décembre 2015. La 4e édition du Strongest Man, organisé par le club Nahiti et son président Ludovic Tufaaimea, s’est déroulée samedi au complexe sportif d’Arue. Le public a répondu présent pour venir admirer les exploits des sept ‘colosses’ amateurs d’efforts extrêmes. Eriatara Ratia alias ‘Géant’ a réussi à conserver son titre, même si la concurrence s’organise, remportant certaines des épreuves. Kevin Purou est 2e, Heifara Tauma complète le podium.
 
La dizaine d’épreuves qui étaient au programme étaient plus difficiles les unes que les autres. On a pu retrouver quelques épreuves classiques mais également beaucoup d’innovations même si le principe reste le même, soulever, déplacer, tirer des charges totalement inaccessibles au citoyen lambda. Le clou du spectacle : tirer un camion de 17 tonnes.
 
Pour y parvenir, ces ‘beaux bébés’ ont un patrimoine génétique bien polynésien et beaucoup d’heures d’entrainement au compteur. Les hommes du club organisateur de Nahiti de Arue sont également des passionnés, ils touchent à diverses disciplines comme la force athlétique, l’haltérophilie ou encore le lever de pierre pour le grand champion Eriatara, qui est le n°1 de la discipline depuis deux ‘Heiva’.
 
Membre du club de Nahiti et initiateur de l’événement Eriatara Ratia a tenu à remercier ‘La Commune de Arue, le Maire et son équipe, Aito Sport, Chevrolet, la société de Van Bastolaer pour le camion. Bravo à tous les concurrents, ils m’ont surpris, ils avaient bien caché leur talent à l’entrainement, merci encore à tous.’

Strongest Man – Le ‘Géant de Tubuai’ reste l’homme le plus fort.
La parole à Heifara Tauma, 3e :
 
Ton analyse de la journée ?
 
« Une bonne journée, on se retrouve avec les copains chaque année pour ce Strongest Man. Je visais la première place. Cela fait 3-4 ans que je pratique cette discipline, ma meilleure place a été celle de 2e en 2014. J’espérais cette année être premier grâce à de bonnes performances, je suis satisfait quand même.  »
 
Quel a été ton parcours pour arriver au Strongest Man ?
 
« Je faisais du lancer de poids et de disque, c’est ce qui m’a amené à faire de la musculation, en complément de l’athlétisme. Après j’ai arrêté l’athlétisme en continuant la musculation, avec des marathons d’une heure, et pour finir je suis passé à la force athlétique. Il y a 3-4 ans, notre collègue ‘Géant’ a mis en place le ‘Strongest’. »
 
Au niveau entrainement ?
 
« Au niveau du Strongest Man, l’entrainement est différent par rapport à la force athlétique. Chaque année on se retrouve 2-3 mois avant le jour J et on prépare les épreuves spécifiques au Strongest. On sort tous les appareils, les objets, et on s’entraine avec. »
 
Pas de lever de caillou pour toi ?
 
« Non, pas de lever de caillou. C’est dur le lever de caillou. J’ai beau soulever de grosses charges, le lever de caillou c’est très technique ! »
 
Cela attire du monde apparemment ?
 
« Voilà, c’est l’ambiance à l’américaine…Pouvoir déplacer de grosses charges sur des distances, cela attire du monde car ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir faire ce type d’épreuves. Même nous qui faisons de la musculation à la base, on est obligés de s’entrainer sur ces exercices spécifiques. »
 
Un remerciement ?
 
« Merci à mon sponsor Teva Import, à ma famille qui supporte mes entrainements toute la semaine, même le samedi. Bonnes fêtes à tous les copains et bonne année 2016. » SB

Strongest Man – Le ‘Géant de Tubuai’ reste l’homme le plus fort.

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Les États-Unis sacrés champions du monde de 'ori tahiti !

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Les États-Unis sacrés champions du monde de 'ori tahiti !
PUNAAUIA, le 1er décembre 2015 - Le premier championnat du monde de 'ori tahiti s'est tenu lundi soir au Méridien Tahiti devant un public conquis. Lors de cet événement inédit, les États-Unis ont créé la surprise en remportant le trophée suprême. Tahiti et Hawaii montent respectivement sur les deuxième et troisième marches du podium.


And the winner is… Melanie Amen from USA ! L'Américaine a séduit le jury et réussi à faire la différence parmi les 16 autres candidates en lice, toutes dotées d'un talent remarquable. Après la 'Ori Tahiti Nui Solo Compétition, qui a eu lieu les 28 et 29 novembre, le premier 'Ori Tahiti Nui World Championship s'est tenu lundi soir, dans la salle Matisse du Méridien Tahiti, devant une audience toute conquise.

Cet événement inédit s'adressait, cette année, uniquement aux danseuses âgées de 18 à 35 ans, lauréates d'un concours ou Heiva local ou international. Les gagnantes 2015 des Heiva i Tokyo, Heiva i Paris, San José Tahiti Fête, Heiva i Honolulu, Heiva i Mexico et 'Arioi Competition de Guadalajara ont ainsi rivalisé face à cinq vahine polynésiennes. Le jury, composé de Tumata Robinson, Jean-Marie Biret, Coco Tirao, Makau Foster, Teraurii, Hirohiti et Riki, a eu la lourde tâche de départager ces reines du 'ori tahiti, qui nous ont offert de superbes prestations.

"MELANIE MÉRITE SON TITRE"

Melanie Amen, originaire des États-Unis, remporte donc ce premier championnat du monde ; la Tahitienne Poemoana Teriinohorai (O Tahiti E) prend la deuxième place ; et Chelsea Clement de Hawaii monte sur la troisième marche du podium.

Interrogée à la fin de la soirée, Manouche Lehartel déclare, soulagée : "Ce rendez-vous a été un franc succès, nous avons passé des moments intenses. Tumata et moi sommes ravies d'être allées au bout de ce projet qui a nécessité une organisation lourde. La compétition a été de très haut niveau, grâce aux danseuses polynésiennes qui se sont investies totalement. Melanie mérite son titre qu'elle a remporté haut la main." Elle tient à souligner par ailleurs : "Les sept membres du jury sont tous des grands chefs de troupe et ils parlent en connaissance de cause. Le vote a été fait en toute objectivité, il n'y a pas eu de débat entre eux, ils ont jugé les filles sur des critères techniques avant tout, mais aussi sur la grâce."

Les États-Unis sacrés champions du monde de 'ori tahiti !

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Beach soccer –Taiarui et Torohia au Brésil pour le ’Mundialito’.

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Les deux Tiki Toa Jonathan Torohia et Heimanu Taiarui se sont envolés pour le Brésil où ils participeront au ‘Mundialito de Clubes’, une compétition de beach soccer internationale où s’affronteront 8 clubs prestigieux du Brésil, d’Espagne, de Russie ou du Portugal. C’est grâce aux performances réalisées lors de la dernière coupe du monde et au soutien d’Air Tahiti Nui que les deux Polynésiens ont pu participer à ce tournoi.
Beach soccer –Taiarui et Torohia au Brésil pour le ’Mundialito’.
Rio de Janeiro, le 1 décembre 2015. Heimanu Taiarui et Jonathan Torohia ont marqué les esprits lors de la dernière coupe du monde de beach soccer organisée au Portugal. Heimanu Taiarui avait reçu le ballon d’or du meilleur joueur de la compétition et Jonathan Torohia le gant d’or du meilleur gardien de la coupe du monde.
 
Après ce titre de vice-champion du monde, les Tiki Toa avaient pu participer au tournoi international de Dubaï, un grand rendez-vous annuel de la discipline. Ils avaient pu, là aussi, tirer leur épingle du jeu en se hissant jusqu’en finale, s’inclinant face à la Russie, une des meilleures équipes au monde. 8 nations, issues des différentes confédérations, étaient représentées.
 
A l’issue du tournoi, les deux joueurs avaient été élus dans le Top 5 ‘Best Stars’ de l’année et Jonathan Torohia avait été élu meilleur gardien de l’année.
 
Grâce à leurs performances et à leur comportement exemplaire, on leur avait proposé d’intégrer le FC Barcelone Beach Soccer, le club prestigieux, pour participer à un tournoi international à Tobago. Là encore, ils se hissent jusqu’en finale avant de s’incliner 0-2 contre les Chargers Suisses, un club avec qui Teva Zaveroni et Heimanu Taiarui avaient joué à ce même tournoi en 2014.

Beach soccer –Taiarui et Torohia au Brésil pour le ’Mundialito’.
Cette fois-ci, Jonathan Torohia et Heimanu Taiarui se sont envolés vers Rio de Janeiro dimanche dernier pour participer au 4e ‘Mundialito des clubs’, prévu du 9 au 13 décembre. Rappelons que le Brésil a joué un rôle prépondérant dans l’essor du beach soccer et que, comme à Tahiti, le beach soccer plait beaucoup au public. Ils porteront les couleurs ‘blaugrana’ du FC Barcelone.
 
Pour faire un parallèle avec le foot à 11, Heimanu joue à Pirae même s’il a raté plusieurs matchs importants dont celui de coupe de France perdu contre Pontivy. Jonathan reste fidèle à Manu Ura, 5e au classement de ligue 1 juste derrière Pirae, les deux équipes devront d’ailleurs s’affronter en leur absence samedi prochain. Quand au célèbre ‘Barça’, il vient d’écraser le Réal de Madrid 4-0.
 
8 clubs sont présents dans la compétition : Valencia, Flamengo, Barcelona, Bate Borisov, Levante, Sporting Lisbon, Lokomotiv et Boca Junior. SB

Beach soccer –Taiarui et Torohia au Brésil pour le ’Mundialito’.

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COP 21- Edouard Fritch invité du Journal International sur TV5

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COP 21- Edouard Fritch invité du Journal International sur TV5
PARIS, le 1er décembre 2015- Le Président polynésien Edouard Fritch était l'invité du Journal télévisé de TV5 ce mardi soir.
150 chefs d 'Etat et de gouvernement sont invités à l'occasion du rassemblement COP 21 à Paris. L'Afrique et la Pacifique sont au coeur des préoccupations.
Edouard Fritch fait entendre la voix du Pacifique "Les peuples sont des peuples qui se battent et qui s'adaptent. Mais certains, comme à Tuvalu, ont les pieds dans l'eau. Nous construisons des abris de survie, nous cherchons à mettre en place une économie plus durable. Avec ces grandes perturbations nous recevons le contrecoup de ce réchauffement climatique. Nous réclamons des fonds pour venir en aide à nos population et investir dans une économie qui va se -transformer au fur et à mesure. " a-t-il évoqué.

Retrouver le replay du plateau


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Tikehau : les trois personnes disparues avec leur potimarara ont été retrouvées

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Tikehau : les trois personnes disparues avec leur potimarara ont été retrouvées
TIKEHAU, le 1er décembre 2015- Les recherches entamées, lundi 30 novembre, dans le secteur de Tikehau (archipel des Tuamotu) après la disparition de trois personnes et de leur embarcation ont permis de retrouver les naufragés sains et saufs, mardi en milieu de journée.

Les trois personnes disparues à bord de leur poti marara sont "vivantes et conscientes" mais en "état de choc avec quelques blessures", selon les informations communiquées par le Centre de sauvetage en mer (MRCC). L’embarcation chavirée depuis lundi matin a été repérée par l’hélicoptère inter-administrations Dauphin, mardi peu avant midi au sud-ouest de Matahiva. Aucune présence humaine n'était à bord ou à proximité. L’avion Gardian a ensuite retrouvé les trois naufragés à plusieurs kilomètres de l’embarcation. Ils ont pu être rapidement treuillés à bord de l'hélicoptère Dauphin. Les 3 naufragés ont ensuite été déposés à Rangiroa et pris en charge par les pompiers.

Selon nos informations, il s'agirait de trois personnes d'une même famille (deux hommes et une femme) qui s'étaient rendues aux obsèques de leur grand mère décédée à Tikehau. Elles ont attendu le passage du mauvais temps pour retourner chez elles, à Mataiva. Mais les conditions météorologiques restées très mauvaises ont empêché l’intervention de moyens nautiques légers. Pour aider les recherches, le MRCC avait demandé à la goélette ST XAVIER MARIS STELLA IV de se dérouter sur la zone pour participer aux recherches.

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Commission d’enquête : la justice rejette le référé suspension du Pays

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Commission d’enquête : la justice rejette le référé suspension du Pays
PAPEETE, 1er décembre 2015 - La justice administrative a rendu une ordonnance de rejet du référé suspension de la délibération portant création d’une commission de l'Assemblée chargée d’enquêter sur des réformes en cours. Il s'agit de la troisième action lancée en urgence à l'initiative des pro-Fritch et retoquée par la justice administrative, depuis le 16 octobre dernier.

La délibération contestée a été adoptée le 1er octobre dernier par l’Assemblée. Elle porte sur la création au sein de la 3e institution de Polynésie française, d'une commission d'enquête chargée de "recueillir tous les éléments d’information sur la réforme fiscale y compris l’évolution de la fiscalité communale et le financement de la Protection sociale généralisée".

Le président du tribunal administratif, Jean-Yves Tallec, a audiencé mardi matin un recours en référé engagé par la Polynésie française et demandant la suspension de l’exécution de cette délibération, la 2015-69 APF. Une ordonnance de rejet a été rendue en début d'après-midi.

Le Pays soutenait que l’objet et le pouvoir de cette commission sont excessifs et que cela porte atteinte à l’équilibre institutionnel.

L’ordonnance rendue en début d’après-midi, mardi, considère "qu’en l’état de l’instruction devant le juge des référés, juge des évidences, aucun des moyens invoqués par la Polynésie française (…) n’est de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de la délibération" contestée. Et "que les conclusions de la requérante tendant à la suspension de l’exécution de cette délibération ne peuvent par suite qu’être rejetées".

La commission d’enquête avait été créée début octobre par 33 voix contre 24. Elle a initié ses travaux d’audition depuis le 16 octobre.

Les membres des groupes autonomistes pro-Fritch avaient de suite annoncé qu’ils ne souhaitaient pas joindre leurs efforts à ceux de cette instance d’investigation créée au sein de l’Assemblée. Une première action en référé liberté avait été rejetée le 17 octobre.

Le Pays a pris le relais le 17 novembre avec un recours en annulation, rejeté pour irrecevabilité. La procédure administrative stipule en effet qu’une telle demande ne peut intervenir qu’après que la justice se soit prononcée sur la suspension de l’exécution provisoire du texte contesté. Et c’est dans cet appareil, que le président Tallec était saisi d’un recours en référé demandant la suspension de la délibération du 1er octobre, mardi matin.

Rapport d’enquête, le 16 avril 2016

"Ca ne fait que confirmer les décisions de justice antérieures", s’est félicité Marcel Tuihani, le président de l’Assemblée contacté en début d’après-midi après avoir pris connaissance de l'ordonnance du juge des référés. "Je suis satisfait que le juge reconnaisse la légalité de la création d’une telle commission (…). Et je le répète : il ne s’agit aucunement d’une démarche inquisitoire. Les personnes auditionnées sont invitées à répondre aux interrogations de la commission ou à établir en quoi, le cas échéant, certaines informations peuvent présenter un caractère confidentiel".

Reste, pour solder ce contentieux institutionnel, les recours pour excès de pouvoir engagées au fond par le Pays et les représentants pro-Fritch de l'Assemblée, parallèlement à ces actions en référé. Procédures pour lesquelles la justice ne se prononcera pas avant plusieurs mois. Et vraisemblablement après que la commission d’enquête ait achevé le planning de travail qu’elle s’est fixée.

Cette commission, chargée de recueillir tous les éléments d’information sur la réforme fiscale y compris l’évolution de la fiscalité communale et le financement de la Protection sociale généralisée, envisage de préparer en trois temps le rapport qu’elle présentera courant avril prochain aux élus de l’Assemblée. D’abord, pendant un mois elle a auditionné les membres du gouvernement. Ensuite, de novembre à décembre, ses investigations l’ont porté à enquêter dans les services de l’administration. Mais elle a buté sur le principe du devoir de réserve. Le 4 novembre, le ministre des Finances a motivé dans un courrier adressé à la présidente de la commission, les réserves justifiant que la directrice du service des impôts et contributions refuse de renseigner totalement la commission d’enquête.
La quatrième phase de son action, pendant quatre mois, sera consacrée à la rédaction du rapport d’enquête qui doit être déposé au plus tard le 16 avril sur le bureau du président de l’Assemblée.

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Westcoast Diner, ambiance 66’s à Punaauia

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Westcoast Diner, ambiance 66’s à Punaauia
PUNAAUIA, le 1er décembre 2015- Musique 100% rock’n’roll, néons colorés, plaques publicitaires 50’s, vieille pompe à essence de la route 66... Le concept de restauration rapide est présent mais ici vous êtes dans un vrai restaurant, les plats sont servis à table par une serveuse en tenue américaine des années 1950.


Westcoast Diner, ambiance 66’s à Punaauia
La carte propose une cuisine typiquement américaine avec hamburgers, sandwiches, Tex-Mex, salades repas, hot-dogs, grill, milk-shakes, glaces et pâtisseries et la star : Le PRIME RIB (spécialité de côte de boeuf cuite au four en train entier).
Des téléviseurs écrans plats diffusent des DVD’s de concerts ou des retransmissions sportives afin de compléter le décor venu tout droit des USA. En se rendant dans un «Westcoast Diner», on pourrait très bien y croiser Elvis et Marylin Monroe accoudés au bar.



Westcoast Diner, ambiance 66’s à Punaauia
Déco interieure

Sol en carrelage version damier noir, blanc, et turquoise, alumimnium polymiroir, néons colorés, objets de décoration américains, pompe à essence vintage de la route 66, ambiance musicale 50’s et 60’s... vous êtes chez «Westcoast Diner» et nulle par ailleurs.


Westcoast Diner, ambiance 66’s à Punaauia
Déco extérieure ( loundge, tiki garden)

Dans un beau jardin arboré, une ambiance polynésienne d’autrefois. Vous pourrez y deguster Mai-tai et Pina colada sous les étoiles, au son d’une douce musique hawaiienne.



Westcoast Diner, ambiance 66’s à Punaauia
Force du concept

Westcoast Diner est un concept de restaurants américains, inspirés des authentiques «Diners» des années 50. C’est un thème fort, à l’ambiance colorée, avec ses néons, ses banquettes, ses serveuses en tenue d’époque qui servent les clients en soda sur fond de musique rock’n’roll.
Ce concept déjà très présent aux USA se développe très rapidement en métropole avec des Enseignes telles que «Memphis coffee», «Johnny Rocket», « Tommy’s ». A savoir également que le hamburger, devient le produit phare du moment, dès l’instant où il est servi avec une viande fraiche et un pain de qualité.

WESTCOAST DINER (ANCIEN WESTERN GRILL)

OUVERT TOUS LES JOURS MIDI ET SOIR SAUF LE MARDI
BREAKFAST AMERICAIN LES SAMEDI ET DIMANCHE MATIN

PUNAAUIA PK 12,8 - TÉL : 40 41 30 56

Website : www.westcoastdiner.com

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Le cinéaste Jacques Dorfmann veut porter Tavae à l'écran

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Le cinéaste Jacques Dorfmann veut porter Tavae à l'écran
PARIS, le 1er décembre 2015. Le président Edouard Fritch et le ministre de la Culture Heremoana Maamaatuaiahutapu ont reçu, lundi, à la Délégation de la Polynésie à Paris, le cinéaste Jacques Dorfmann ("Le Palanquin des larmes" (1987), "Agaguk" (1992) et "Vercingétorix" (2001)) qui souhaite adapter à l’écran l’aventure de Tavae retracée dans le livre « Si loin du monde ».

Le cinéaste s'est dit impressionné par le récit de la dérive solitaire du pêcheur Tavae Raioaoa qui, parti de Tahiti, a dérivé pendant 118 jours à la suite d’une panne de moteur pour s’échouer à Aitutaki aux îles Cook.
Ce projet est aujourd’hui assez ancien et avait fait l’objet d’une subvention de la part de la Polynésie française inscrite au budget 2006. Il n’a toutefois jamais pu se réaliser jusqu’alors pour des raisons administratives.
Le président Edouard Fritch s’est montré très intéressé par la reprise du projet auquel il a affirmé vouloir donner tout son soutien. "Le président et Jacques Dorfmann devraient se revoir dans les semaines à venir à Tahiti pour faire avancer ce dossier", annonce la présidence dans un communiqué.

Le cinéaste Jacques Dorfmann veut porter Tavae à l'écran

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Repérages en cours pour l'adaptation des romans de Guirao à la télévision

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Repérages en cours pour l'adaptation des romans de Guirao à la télévision
PAPEETE, le 1er décembre 2015. L'adaptation des polars de Patrice Guirao continue à se préparer. Les producteurs sont actuellement en repérage au fenua. L'objectif : une diffusion en 2017.

Depuis vendredi, Mehdi Sabbar de Big Band Story et Thierry Bruant de Merapi Production sont en Polynésie. Les deux hommes coproduiront avec Les Films du Pacifique la série adaptée des romans de Patrice Guirao.
Al Dorsey, le jeune détective tahitien, devrait en effet évoluer sur les écrans de métropole en 2017. Mais avant cela, il reste à "faire des repérages et évaluer les moyens techniques et financiers qu'on a sur place", explique Mehdi Sabbar.
Les deux personnages principaux, Al Dorsey et Sando, devraient être incarnés par des acteurs métropolitains même si Patrice Guirao est "convaincu qu'on a sur place des personnes qui pourraient le faire". Du côté de la production, on souligne que "les chaînes de métropole vont demander des acteurs qui ont une certaine notoriété pour que la série trouve des échos dans la presse". En février, un casting sur place sera réalisé afin de recruter 50 comédiens et figurants polynésiens. Trente techniciens seront également embauchés à Tahiti.

Les équipes seront présentes sur place trois mois d'avril à juin pour préparer et tourner la série de 6 épisodes de 52 minutes. Viendront ensuite le travail de postproduction avec le montage mais aussi le travail sur l'image et le son. "L'objectif est que ce soit prêt à la fin de l'année 2016 pour que les chaînes puissent diffuser en 2017", explique Mehdi Sabbar. Outre-mer 1ère a déjà exprimé son intérêt. Les discussions sont encore en cours avec d'autres chaînes de la TNT.
Ce tournage apparaît comme une aubaine pour la Polynésie. Les producteurs estiment le budget global à "329 millions de Fcfp", dont un impact économique direct au fenua de 146 millions de Fcfp.

Si l'audimat est au rendez-vous, les producteurs sont prêts pour la suite. "On a construit ces six épisodes comme une première saison mais qui ouvre des pistes pour une seconde", souligne Mehdi Sabbar.
En attendant, Patrice Guirao peaufine l'écriture de son quatrième tome qui devrait sortir en 2016.


Lire aussi:
Les polars de Patrice Guirao passent à l'écran
Patrice Guirao à la rencontre de ses lecteurs polynésiens
La trilogie Guirao sort de son format

La trilogie est publiée au "vent des îles" et disponible dans toutes les bonnes librairies

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Nlle calédonie: Colis suspect à l'aéroport de la Tontouta

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Nlle calédonie: Colis suspect à l'aéroport de la Tontouta
NOUMES, le 1er décembre 2015- La zone de fret de l'aéroport de la Tontouta a été évacuée de 8h30 à 11 heures, ce mardi matin, ont révélé nos confrères des Nouvelles Calédoniennes.

En cause, un colis suspect aurait été repéré sur le vol en partance pour Paris, qui décolle la nuit prochaine.. La suspicion portait sur un « engin explosif improvisé ».

Lors du passage au scanner des colis en partance, un opérateur a repéré des composants suspects pouvant être interprétés comme étant un « engin explosif improvisé »

Les gendarmes ont été immédiatement avisés, le haussariat a activité les services de Nedex (Neutralisation, enlèvement, destruction des explosifs).
Deux démineurs se sont rendus sur place et ont étudié le colis suspect. Suite à l'examen, il s'avère que le colis renfermait un appareil de contrôle de fuites.

L'alerte est à présent levée, la zone de fret de l'aéroport est de nouveau accessible.

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L'audiovisuel polynésien veut passer à la vitesse supérieure

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L'audiovisuel polynésien veut passer à la vitesse supérieure
PAPEETE, le 1er décembre 2015 - Une journée rassemblant les professionnels de l'audiovisuel était organisée ce mardi à la Présidence pour faire le point sur le secteur. Des états généraux qui ont débouché sur un document censé représenter le consensus du secteur, ce qui est contesté.

Ce mardi 1er décembre ont eu lieu les premiers états généraux de l'audiovisuel à la Présidence. Organisées par deux associations de producteurs, l'ATPA et le SPAPF (qui regroupent une trentaine de professionnels), elles ont pour but de faire le point sur l'état du secteur audiovisuel en Polynésie et de décider de propositions à adresser au gouvernement.

EN POLYNESIE "LA FICTION VA POUVOIR COMMENCER"

Christine Tisseau Giraudel, membre du SPAPF, organisatrice du Vini Film Festival on TNTV, co-fondatrice de la boite de prod Creative.TV (qui a créé les Hiro's) et à l'origine de ces états généraux, explique que "aujourd'hui c'est la restitution des premiers états généraux de la production audiovisuelle en Polynésie française. Donc les deux associations de producteur historiques ont décidé de concevoir ces états généraux pour y faire un état des lieux – la production audiovisuelle est née ici en 2007, donc 8 ans plus tard il était temps de le faire – et sur cette base de déterminer les enjeux dans nos marchés ici et ailleurs, quels sont les objectifs qu'on doit se fixer et surtout quelles sont les propositions d'action à mettre en place."

Pour la première partie, l'état des lieux, le bilan est très positif. "Pour l'instant les consultations ne sont pas terminées, donc on n'a pas encore de conclusions à présenter, mais ce qu'on peut se dire c'est qu'aujourd'hui la production audiovisuelle fonctionne plutôt bien en Polynésie française. On est partis de un documentaire par an en 2007 à vingt aujourd'hui. De 15 techniciens en 2000 à 100 aujourd'hui. On a maintenant deux présences sur des salons à l'extérieur, donc on a de vrais succès. Ça reste sur du documentaire, mais tous les autres pays ont commencé par des documentaires parce que ça nécessite des budgets moins conséquents que pour les fictions par exemple. Mais là aujourd'hui, le documentaire est un vrai succès, on est tous "Fifo-addicts". Et on voit émerger depuis quelques années de premières fictions sur TNTV et Polynésie Première. Un premier court-métrage cinématographique a été produit en 2013 qui a été au Short Film Corner de Cannes… La fiction va pouvoir commencer."

DES IDÉES POUR FAVORISER DE PLUS GROSSES PRODUCTIONS

Au niveau des demandes, surtout après que le ministre ait entamé la journée en assurant que les professionnels ne devaient pas tomber dans la recherche de la subvention à tout prix, la productrice assure que ce dont le secteur a besoin est surtout "plus d'accompagnement. Aujourd'hui on est en train d'apercevoir notre futur en se disant "on va se développer, on va aller sur des gros projets de documentaires et de la fiction". Alors pas du cinéma tout de suite, mais des séries plus conséquentes, peut-être de l'unitaire ou des collections, et du coup on se demande qu'est-ce qui pourrait nous empêcher de le faire."

Là, elle cite quelques exemples, comme l'absence d'un bureau d'accueil des tournages, des problèmes réglementaires comme l'interdiction pour le SCAN de financer les longs métrages de cinéma, et des propositions comme exonérer les films de cinéma de la TVA comme c'est déjà le cas pour les grands événements…

PREMIERS ÉTATS GÉNÉRAUX, PREMIÈRE POLÉMIQUE

Une quarantaine de participants étaient présents pour discuter de la proposition de rapport préparée par un comité de pilotage qui s'est réuni toutes les semaines depuis septembre. Sur la composition de ce comité, une polémique agite le petit monde de l'audiovisuel local (voir encadrés) au point que certains professionnels aient boycotté les états généraux.

Christine Tisseau Giraudel leur répond que "d'abord les conclusions ne sont pas décidées, aujourd'hui on continue les consultations et on inclura les pistes proposées dans le rapport. Bien sûr les deux associations ne représentent pas tout le secteur, comme Force Ouvrière ne représente pas tous les ouvriers. Mais on a invité tout le monde à participer, c'était porte-ouverte, on invitait toutes les bonnes âmes. Le rapport a été écrit de façon collégiale avec les deux associations de producteur et plusieurs techniciens de l'APTAC, dont Teva Juventin qui a participé au comité de pilotage. Pour hier on a lancé 100 invitations pour la validation de l'ensemble des travaux, et 96 ne sont pas venus... Et puis il y a un moment, au lieu de se plaindre et de ne pas avancer, on se dit 'si on se posait, si on faisait un bilan et faisions des propositions ?' Le ministre l'a dit ce matin dans son discours, il était assez touché que les professionnels prennent le problème à bras le corps. Et aujourd'hui, la moitié de la salle n'était adhérente d'aucune de nos associations."


L'APAC devenue le SCAN

Les aides publiques polynésiennes pour la production audiovisuelle sont attribuées via le SCAN (Soutien à la création audiovisuelle et numérique). Les aides sont attribuées à travers une commission qui se réunit trois fois par an pour examiner les dossiers déposés. Le SCAN a attribué pour 53,3 millions de francs d'aides publiques cette année, ce qui selon le gouvernement générera plus de 200 millions de francs de dépenses locales.

Le prédécesseur du SCAN était l'Apac créé en 2007. Il a été réformé et a changé de nom début 2015. Le principal reproche qui lui était fait : "un dispositif vieillissant, inadapté et qui, contrairement aux objectifs initiaux, avait laissé place au financement majoritaire de documentaires qui certes contribuent à la visibilité de notre Pays mais qui emploient peu de personnels." Malgré tout, le SCAN ne finance pas les projets de long métrage, se concentrant sur les clips, courts métrages et documentaires. Une consultation aurait été entamée depuis janvier pour trouver un autre dispositif pour les gros projets, mais il n'aura pas été dévoilé lors de ces états généraux.


Si les professionnels apprécient le SCAN, plusieurs critiques ont été entendues lors des états généraux : le fait que les projets numériques et audiovisuels passent devant la même commission alourdit les dossiers et les processus ; il faut deux fois plus de temps qu'avant pour traiter les dossiers ; les longs métrages ne peuvent pas être financés ; des problèmes législatifs subsistent, comme le fait que les rushes doivent être livrés alors que les producteurs assurent ne pas les posséder…


Teva Rohfritsch, ministre de la relance économique

"Je veux, à l'occasion de ces états généraux, rappeler à tous ces professionnels réunis que l'argent public est rare aujourd'hui. Nous souhaitons, au gouvernement, positionner l'argent public là où c'est utile et là où ça permet de déclencher des productions.

J'ai aussi rappelle le bilan, depuis la création de l'APAC pour en avoir été avec d'autres à l'origine, depuis 2007 il y a plus de 654 productions qui ont été soutenues, 421 millions de francs investis, il y a eu une vraie création d'expertise localement puisqu'on est passé de 15 à une centaine de technicien, ce qui nous permet aujourd'hui de dire qu'on pourrait se positionner sur l'accueil de tournages internationaux. Par contre, voilà, ma mise en garde est 'attention de ne pas tomber dans cet écueil' comme on a pu le voir dans d'autres secteurs, parce qu'on a été habitué en Polynésie à faire ne sorte que ce soit du 'tout subvention'.

C'est néanmoins un secteur qui nécessite du soutien, mais il y a aussi des dispositifs nationaux qui doivent être utilisés, je pense notamment aux aides du CNC, il y a eu un gros travail de fait ces dernières années. Je souhaite rencontrer à nouveau les équipes du CNC lors d'un prochain voyage à Paris, et souhaite maintenant voir comment avancer. Parce que pour le coup il y a des dispositifs nationaux qui ne sont pas assez utilisés alors que la Polynésie n'a pas les moyens seule de soutenir cette filière qui a mon avis a le mérite d'exister et qui doit être soutenue."


Ces invités qui ont boycotté les états généraux
L'audiovisuel polynésien veut passer à la vitesse supérieure
Marie Eve Tefaatau, de Pacific Production

Marie Eve Tefaatau, connue pour produire Rai et Mana, ne cache pas son opposition à ces états généraux. Selon elle, ils "pourraient induire le ministre en erreur" et elle conteste la légitimité du comité qui a rédigé le texte :

"Cette restitution des états généraux en l'état n'est pas fiable et pourraient induire le ministre Teva Rohfritsch en erreur dut à la non représentativité des personnes ayant porté le projet, apparemment au nom de la filière audiovisuelle entière. Nous sommes approximativement plus de 123 personnes travaillant dans l'industrie audiovisuelle Polynésienne. Il n'y a que 4 personnes qui ont travaillé sur ce projet. Cherchez l'erreur ?

Beaucoup des professionnels de la place ont boycotté ses états généraux, d'autres ont été zappés ou pas invités à participer. La raison ? La non-légitimité de certaines personnes portant le projet. Je pense que leur action "états généraux" est plus du lobbying auprès du ministre de leur part, qu'un travail de construction de la filière elle-même. Globalement faire un point sur la filière est intéressant mais ce n'est pas à 4 personnes de le faire au nom des autres. C'est au Pays de s'atteler à cette tâche avec le concours de tous les acteurs référencés de l'industrie audiovisuelle locale."


Bref, il y a de l'eau dans le gaz de la grande famille de l'audiovisuelle. Mais la productrice se garde bien de s'attaquer au gouvernement, puisqu'elle ajoute même dans son communiqué que Teva Rohfritsch "a tenu sa parole" sur l'attribution des subventions publiques. Elle salue ainsi le fait qu'en 2015 "trois commissions ont bien été organisées et tout le budget dédié au développement de la filière a été distribué sans saupoudrage, ni influence quelconque. Les meilleurs projets ont été sélectionnés et aidés, les moins sérieux ont été refoulés. Lors de ces commissions, nous avons enfin, en face, des personnes qui savent de quoi elles parlent et peuvent voir un intérêt aux films ou projets présentés et c'est peut être cette raison qui inquiète les personnes ayant organisé ces états généraux en comité réduit..."


Une membre de l'Association polynésienne des techniciens de l'audiovisuel et du cinéma (APTAC)

"Le président de l'APTAC a participé à une réunion c'est vrai, mais finalement notre association a décidé de ne pas participer aux états généraux, et on ne valide donc pas les conclusions qui sont rendues aujourd'hui. On n'en voit pas l'intérêt dans la mesure où il y a deux ans un audit a été fait. Tout a été dit, une grande majorité des acteurs de l'audiovisuel a été rencontrée pour faire leurs propositions et tout était dans cet audit. Autre chose, ces états généraux nous ont été vendus comme une initiative du ministère, mais en fait c'était fait "sous l'égide" du ministère, mais lui ne les avait jamais commandés, donc on s'est sentis trahis. On s'est aussi rendu compte après que tous les acteurs de la filière, gros ou petits, n'avaient pas été invités. Ce sont toujours les mêmes personnes qui font du lobbying pour ne jamais apporter de solutions au final. Et pour nous en tant que techniciens, on ne va pas dénoncer les problèmes du milieu à des gens qui au final nous embauchent. Et ça prenait sur notre temps de travail, donc voilà, on n'y est pas allés."


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Le développement touristique en Polynésie vu par un spécialiste

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Le développement touristique en Polynésie vu par un spécialiste
PAPEETE, le 02/12/2015 - Le Canadien Paul Arsenault donne une conférence ce soir sur l'importance d'une stratégie de développement touristique pour la Polynésie française et les perspectives d'avenir qui s'offre à elle. Cette rencontre a été programmée dans le cadre de la formation en gestion de projet de la CCISM, en partenariat avec l'école des sciences de la gestion de l'Université du Québec à Montréal (ESG UQAM).

"Quelles orientations possibles pour le tourisme polynésien de demain ?" C'est la question posée pour la conférence de Paul Arsenault, directeur du réseau de veille en tourisme à Montréal. "On constate, dans la dernière décennie, un déclin de la visite touristique en Polynésie, de 264 000 visiteurs à environ 150 000". Un peu plus du tiers des touristes en Polynésie française sont Américains, ensuite les Français sont présents à hauteur de 20 % et les Européens hors France, 15 %. "On voit qu'il y a un essoufflement du tourisme", constate-t-il.

Une compétition "extrêmement féroce en matière de tourisme insulaire" s'exerce entre Hawaï, Fidji, et les Maldives. "Chacune des îles a eu des stratégies différentes", continue Paul Arsenault. Pour lui, Hawaï s'en sort mieux d'un point de vue touristique car "la clientèle américaine se retrouve chez elle avec sa monnaie." " C'est un facteur non négligeable pour la sécurisation du touriste. Ça lui permet de voyager très loin dans un milieu exotique. Les standards sanitaires et de salubrité sont les mêmes ", explique-t-il.

En Polynésie, il préconise un positionnement sur le luxe : " Les nouveaux critères du luxe ont évolué, l'exclusivité, la solitude ont une valeur ajoutée. Si on regarde la faible densité d'habitation sur le territoire, je pense qu'on peut trouver des développements stimulants à ce niveau-là."

Mahana Beach

Paul Arsenault a également étudié le projet de Mahana Beach dans le cadre du programme de gestion de projet dispensé à la CCISM. Il s'est penché sur la question du développement durable : " toutes les certifications sont extrêmement exigeantes en matière d'impact sur l'activité locale : la diminution de la pauvreté, la préservation de l'environnement, l'utilisation de ressources renouvelable en terme d'énergie, la réhabilitation des eaux usées, le recyclage… Un projet comme peut être un puissant catalyseur en matière de politique publique", indique le spécialiste. Pour lui, l'erreur serait de laisser le promoteur ne prendre que les avantages du foncier. "L'arrivée de capitaux étrangers est un puissant catalyseur pour le développement du territoire", assure-t-il.

Conférence ce soir
Ce mercredi 02 décembre à 18h00, dans l’amphithéâtre de la CCISM Formation.

Modalité d’inscription : Conférence gratuite et ouverte au public.

• Places limitées

• Merci de confirmer votre présence à : philippe.martin@ccism.pf, Tel : 40.54.88.94 / 40.54.88.88

En savoir plus sur le programme gestion de projet

Une nouvelle session du programme gestion de projet débutera en mars 2016, les inscriptions sont déjà ouvertes. La CCISM, au travers de son service Executive Premium, donne depuis 3 ans, l’opportunité aux dirigeants, cadres, futurs cadres ou salariés d’élargir leur horizon en s’appropriant des méthodes et des outils. En relation avec des partenaires comme l’ESSEC (2e École de commerce de France) ou l’Université de Québec Montréal (UQAM : 1re université mondiale dans le domaine de la gestion de projet), ce service développe des programmes de formations diplômantes et reconnues. Un MBA proposé en partenariat avec l'UQAM débutera également en mars 2016.

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Sensibiliser les jeunes au sport avec la "marche pour ta santé"

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Sensibiliser les jeunes au sport avec la
MAKEMO, le 02/12/2015 - Tous les ans, l'association sportive du collège de Makemo organise sa "marche pour ta santé", qui s'inscrit dans le cadre du projet d'AS soutenu par l'union scolaire du sport polynésien (USSP).

Ce projet a été réalisé par les professeurs d'EPS, Daniel Brasier et Brigitte Berne, en collaboration avec l'infirmière du collège, les professeurs d’Arts Plastiques, les professeurs de Langue, de SVT et le Principal. La Mairie comme chaque année, apporte également son soutien par la présence de la police municipale pour la sécurité routière ainsi que l’apport de glace en paillette pour rafraîchir nos cocos et le stockage au hangar.

Cette "marche pour ta Santé" a regroupé 220 personnes dont 170 élèves du Collège et le public. Chaque participant recevait un tricot offert par l’AS.

La voiture d'une professeure a été décorée de dessins sur la santé réalisés par les élèves du collège.

L'évènement s'est tenu le 25 novembre dernier et les élèves ont eu 7 kms à parcourir. Le départ a été donné à partir du collège avec une arrivée au hangar de la Mairie.

Chaque participant ont reçu, à leur arrivée, des cocos à boire "viavia" ainsi que du "avaro" à manger (pain paumotu).

Le thème pour cette Marche était "ma santé avant tout", l'idée est de lutter contre le surpoids, l’obésité et le diabète. L'occasion aussi pour les élèves de retrouver l’importance d’une alimentation saine et équilibrée.

L’association sportive du collège continue tout au long de l’année ces actions sport-santé à travers d’autres manifestations sportives comme le triathlon, les sports traditionnels, le va’a, les sports collectifs, les activités aquatiques, etc.


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L’État à la rencontre des maires

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L’État à la rencontre des maires
RAIATEA, le 02/12/2015 - Monsieur Christophe Lotigié, Chef des Subdivisions administratives des Iles du Vent et des Iles Sous Le Vent, a visité lundi dernier, la commune de Taputapuatea sous la conduite du maire, Monsieur Thomas Moutame et de ses adjoints.

Avec le nouveau statut des communes, le soutien de l’État est primordial. Et pour les maires, il est important que l’administration se rende compte des réalités auxquelles sont confrontées les maires et ce qu’ils réussissent malgré tout à réaliser dans leurs communes.

Thomas Moutame tenait donc à faire visiter à la délégation quelques unes de ces réalisations. Et avant tout, le C.J.A. de Faaroa. Avec une vue magnifique sur la baie, le C.J.A accueille une vingtaine d’adolescents pour leur donner les outils nécessaires à une vie simple mais digne. Une section "Agriculture maraichère et vivrière", leur donne les bases d’un "fa’apu" inventif et sans pesticides. La section "Menuiserie d’ameublement" leur permet au bout des deux années d’étude, de connaître les principes du travail du bois et d’être capables soit de trouver un premier travail, soit fabriquer et vendre leurs réalisations. La section "Métallerie, ferronnerie et soudure", complète ce dispositif parfaitement adapté à la réalité de la vie à Raiatea.

En bord de baie, l’école primaire de Fa'aroa a été récemment rénovée. La directrice, Madame Hinano Faahu a fait visiter son établissement qui accueille 40 petits élèves. Les bâtiments ont été repeints de couleurs claires et le matériel éducatif est gai et coloré. La délégation a pu assister au déjeuner des enfants. Là aussi, de gros efforts sont faits au quotidien, pour habituer les enfants à une cuisine saine.
La visite de la commune s’est poursuivie avec Puohine et Opoa où un repas a été préparé sur la plage du marae Taputapuatea.


POUR L’ÉTAT COMME POUR LES MAIRES, UN MAITRE-MOT : MUTUALISATION
Ces visites, pleines de sourires d’enfants, ont cependant un but très sérieux : étudier toutes les possibilités de mutualisation des moyens et des compétences !

Les coûts générés par les nouvelles compétences des communes ne peuvent être absorbés par des communes isolées. L'administrateur de l’État s’est montré très attentif aux explications du maire de Taputapuatea. Les problèmes sont en effet multiples et l’étude des solutions possibles prend du temps. Le problème du traitement des déchets hospitaliers de la commune d’Uturoa en est un.

Thomas Moutame, le maire de Taputapuatea en est très conscient, lui qui fait partie de la Communauté de Communes Havai’i créée en 2011 qui regroupe les communes de Taputapuatea et de Tumaraa. Une délégation s’est rendue en Corée, pays connu pour ses innovations en matière de traitement des déchets. Il souhaiterait que les ingénieurs de l’État étudient d’autres possibilités que l’éternel C.E.T. à la durée de vie limitée à quelques années. Car, pour lui, la priorité reste l’avenir des enfants de Raiatea et cela veut forcément dire : Protection de notre environnement si fragile.

Malheureusement, le pari est loin d’être gagné !

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Les demi-finales des "Tu'aro 'arearea" se tiennent jusqu'à demain soir

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Les demi-finales des
PIRAE, le 02/12/2015 - Depuis le début de la semaine, les équipes qui ont été qualifiées durant les sélectives, dans leurs communes respectives durant ces derniers mois, s'affrontent, sur le stade de la Fautau'a à partir de 18h30. Elles sont vingt-et-une équipes à avoir été sélectionnées depuis le mois d'avril.

Lundi soir, elles étaient cinq à avoir tenté de décrocher la première place et au bout de plusieurs heures d'affrontement, l'équipe de Papeari a su tirer son épingle du jeu. Mardi soir, Tiarei est arrivé sur la plus haute marche du podium devant quatre autres communes. Ce soir, les équipes de la presqu'île s'affronteront. Demain, place à la dernière demi-finale, avec les grandes communes allant de Papeete jusqu'à Mahina.

La grande finale de "Tu'aro 'arearea 2015" se tiendra vendredi soir à partir de 18h30, sur le stade de la Fautau'a. L'entrée est gratuite.

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