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L'hommage à Nelson Mandela sur Polynésie 1ère

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L'hommage à Nelson Mandela sur Polynésie 1ère
Les chaînes, sites internet et radios 1ère rendent hommage à l'ancien président sud-africain et prix Nobel de la Paix, Nelson Mandela.
RADIO
Les 9 radios d’Outre-mer 1ère accordent une large place à l’événement en ouvrant leur antenne aux réactions des auditeurs et en bouleversant leur programmation musicale.
WEB
Les 10 sites 1ère mettent en place un livre d’or proposant aux internautes de déposer commentaires et réactions sur la disparition de "Madiba".
TV
Modification du programme le dimanche 8 décembre

GOODBYE BAFANA à 19h40

Un film sur la vie de James Gregory, un Sud-Africain blanc, gardien de prison en charge de Nelson Mandela, Durant 25 ans, Gregory a été son géôlier, son censeur mais aussi son confident,
ONE MAN NELSON MANDELA à 21h35 ce documentaire explore toutes les facettes du parcours d’un homme dont la stature, l’intelligence et le charisme le portent parmi les légendes du vingtième siècle.

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Epidémies de dengue et de zika: à la demande du Pays, l’Etat mandate une mission d’évaluation

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Epidémies de dengue et de zika: à la demande du Pays, l’Etat mandate une mission d’évaluation
Communiqué: Dans le contexte de propagation des épidémies de dengue et de zika, le Président de la Polynésie française, Monsieur Gaston FLOSSE, a sollicité le Haut-Commissaire de la République en Polynésie française, Monsieur Lionel BEFFRE, afin de bénéficier d’une expertise scientifique renforcée avec une aide de l’Etat pour appuyer les équipes soignantes.

Après un travail en partenariat avec les services de la Ministre de la Santé, Madame Béatrice CHANSIN, le Haut-Commissaire de la République a sollicité, auprès de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, Madame Marisol TOURAINE, et du Ministre des Outre-Mer, Monsieur Victorin LUREL, l’envoi, dans les plus brefs délais, d’une mission d’évaluation par l’Etablissement de Préparation et de Réponse aux Urgences Sanitaires (EPRUS). Cette mission, composée d’un médecin infectiologue, d’un médecin réanimateur et d’un directeur d’hôpital, arrivera ce dimanche matin en Polynésie française avec du matériel adéquat fourni par le Ministère de la Santé, pour répondre à une demande du Pays. Elle restera sur le territoire pendant une semaine. Sa mission porte sur l’évaluation et l’appui de l’offre locale de soins.

Une présentation à la presse de cette mission sera organisée conjointement par le Haut-Commissariat de la République et le Ministère de la Santé de Polynésie française en début de semaine.

Enfin, pour suivre la situation sanitaire actuelle du territoire et adapter le plan de lutte contre la multiplication des moustiques, dit plan de lutte antivectorielle, les services du Ministère de la Santé et du Haut-Commissariat de la République se rencontrent désormais chaque après-midi.

Un point de la situation sera établi, notamment l’intention des Maires dans le cadre d’une réunion qui sera organisé la semaine prochaine.

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Communiqué Pacific Film: Hollywood Premium fermée à compter de ce jour , vendredi 6 décembre

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Communiqué Pacific Film: Hollywood Premium fermée à compter de ce jour , vendredi 6 décembre
"Nous informons notre aimable clientèle que la salle du HOLLYWOOD PREMIUM est fermée à compter de ce jour, vendredi 6 décembre 2013, en raison de problèmes techniques. "

Merci de votre compréhension.

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Transports aériens : négociations avec Hawaiian Airlines; Joël Allain P-dg d'Air Tahiti pour un an

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Transports aériens : négociations avec Hawaiian Airlines; Joël Allain P-dg d'Air Tahiti pour un an
PAPEETE, vendredi 6 décembre 2013. Le président de Polynésie française, Gaston Flosse accompagnera son ministre du tourisme et des transports aériens, Geffry Salmon, à Los Angeles pour poursuivre des discussions entamées avec Hawaain Airlines. Les dirigeants politiques du Pays feront également le voyage avec les P-dg d’Air Tahiti Nui (Michel Monvoisin) et d’Air Tahiti (Joël Allain). Le départ de cette délégation polynésienne est programmé pour le mardi 10 décembre.

Il sera question de poursuivre avec les dirigeants de la compagnie américaine des négociations en cours depuis quelques mois pour l’ouverture d’une ligne aérienne entre les Etats-Unis et Tahiti et d’imaginer également en amont les correspondances locales possibles, d’où la participation d’Air Tahiti. La fréquence de cette nouvelle desserte n’est pas encore précisée ; actuellement Hawaain Airlines assure un vol hebdomadaire, le samedi entre Honululu et Tahiti Faa’a. Geffry Salmon a, en revanche, annoncé que la compagnie Air Tahiti Nui avait signé un partage de code avec deux nouvelles compagnies : Emirates Airlines et Korean Airlines. Des codeshares qui s’ajoutent à ceux existants déjà -avec Air France, Qantas Airways, American Airlines, Japan Airlines et Air New Zealand- qui permettent à ATN de desservir de grandes capitales mondiales depuis Tahiti. Après cette négociation avec Hawaiian Airlines, le P-dg d’Air Tahiti Nui Michel Monvoisin présentera la stratégie de la compagnie devant le conseil des ministres.

Toujours dans le domaine du transport aérien, le ministre Geffry Salmon a annoncé que Joël Allain, élu la semaine dernière (vendredi 29 novembre) président directeur général de la compagnie locale Air Tahiti ne pourrait rester à son poste que durant une année seulement, «après il sera atteint par la limite d’âge». Le nouveau P-dg au cours de cette année d’exercice apportera «sa compétence en terme de gestion dans le cadre de la délégation de service public» a détaillé le ministre des transports aériens. Joël Allain devra enfin aborder une nouvelle stratégie «pour le modèle économique d’Air Tahiti» après que la compagnie se soit heurtée, il y a quelques semaines à peine, au «mur de Bercy». Air Tahiti n’a pas obtenu l’agrément du ministère national des finances pour pouvoir bénéficier de la défiscalisation en vue du renouvellement de sa flotte. S’il n’a pas été choisi par le gouvernement pour prendre la tête d’Air Tahiti, car le Pays n’est qu’un actionnaire minoritaire au sein de la compagnie aérienne locale -alors que son nom avait été évoqué en août dernier pour présider au destin d’Air Tahiti Nui-, Joël Allain a les faveurs du gouvernement polynésien. «C’est exactement l’homme qu’il faut à cette place-là» concluait le président Gaston Flosse.

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Remplir un chèque: conseils et recommandations

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Remplir un chèque: conseils et recommandations
« Remplir un chèque est chose courante dans la vie de tous les jours." Patrice TEPELIAN, Président de la Fédération Bancaire Française de Polynésie Française.
La Communauté Bancaire de Polynésie Française a souhaité se mobiliser pour sensibiliser l’ensemble des utilisateurs de ce moyen de paiement encore très répandu sur le Fenua.
Voici quelques conseils et recommandations pour bien remplir un chèque : ces règles de base devraient permettre d’écarter les fraudes, les erreurs encore très fréquentes, afin d’éviter encore de voir un chèque refoulé.

"A vos chéquiers !»


Remplir un chèque: conseils et recommandations

Remplir un chèque: conseils et recommandations

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Perturbation dans la distribution en eau à Pamatai et Puurai, le mercredi 11 décembre

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Perturbation dans la distribution en eau à Pamatai et Puurai, le mercredi 11 décembre
En raison de travaux de rénovation de conduites et de raccordement au circuit de distribution, ce mercredi 11 décembre 2013, l’alimentation en eau potable sera interrompue sur les secteurs de :

-PAMATAI de 8h à 12h, les quartiers concernés sont les résidences The Palms et Diadème, quartiers Juventin, Tetuanui, Arbelot, Eglise Christ-Roi, Tiarii, Radford, Salmon, Legayic, Secteur Roberto Cowan.

-PUURAI de 8h à 16h

Merci de votre compréhension, et pour tout renseignement supplémentaire, veuillez contacter le service EAU au 83.35.33 ou la Police Municipale au 50.22.00.

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Relèves des compteurs d’eau sur Faa'a du 9 au 13 décembre

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Relèves des compteurs d’eau sur Faa'a du 9 au 13 décembre
Les agents releveurs du service « Facturation, Taxes et Recouvrement » se rendront dans les quartiers en vue de procéder à la lecture des compteurs d’eau Du lundi 09 au vendredi 13 décembre Sur tout le territoire de la commune.

Afin d’assurer la sécurité des agents releveurs, le Maire invite les résidents à attacher leurs chiens.

Service « Taxes et Facturations »
N° Tél : 80 09 54

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Natation: Nouvelle médaille d’or pour Rahiti DE VOS lors de la 2ème journée des championnats de France.

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Natation: Nouvelle médaille d’or pour Rahiti DE VOS lors de la 2ème journée des championnats de France.
Les championnats de France de natation se poursuivent à Dijon.
Au cours des séries du matin, Stéphane DEBAERE se qualifie en finale A du 100m Nage libre en réalisant le 7ème temps (48’’83), Hugo LAMBERT réalise le 16ème temps (49’’86) du 100m Nage libre, il se qualifie pour la finale B.

Rahiti DE VOS réalise le 6ème temps du 800m Nage libre, il termine sa course en 7’53’’53, il termine 1er « jeune » (18 ans et moins) et obtient la médaille d’or.

En plus d'accrocher le titre de champion de France, Rahiti a battu la « Meilleure Performance Française des 17 ans » sur cette même nage.

Dans une finale du 100m Nage Libre d’un niveau très relevé, Stéphane se classe 7ème en réalisant son meilleur temps personnel (48’’66).

Hugo termine 5ème de la finale B du 100m Nage libre en 49’’78 (meilleur temps personnel).

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Visite de l'administrateur général LE PULOC'H au Centre du Service National de la Polynésie française

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Visite de l'administrateur général LE PULOC'H au Centre du Service National de la Polynésie française
La direction du service national (DSN), au travers ses missions et notamment l’organisation de la « journée défense et citoyenneté » (JDC, ex-JAPD), est impliquée dans la promotion de l’esprit de défense auprès de la jeunesse française. Elle participe concrètement au renforcement du lien Armée-Nation et se met au service d’une politique globale en faveur de la jeunesse.
Depuis le mois d’octobre 1998, la DSN est responsable de l’organisation de la JDC qui constitue, après l’enseignement de défense en collège et lycée puis le recensement en mairie, la dernière étape du parcours de citoyenneté. Articulée autour du rappel des principes de citoyenneté et de la présentation des principaux enjeux de la défense de la Nation, cette journée est complétée par la détection des jeunes en difficulté socio-éducative et par une formation élémentaire au secourisme.

Dans ce cadre général, le centre du service national (CSN) de la Polynésie française convoque annuellement 4 500 jeunes filles et garçon, dont 75% sur l’île de Tahiti. Ainsi, environ 130 JDC sont organisées par an dont 100 sur l’île de Tahiti, principalement sur les trois sites militaires de Faa’a (groupement aéronautique militaire), Papeete (base navale) et Arue (quartier lieutenant-colonel Broche).

Dans ce contexte, l’administrateur général François LE PULOC’H, Directeur du Service National, effectuera une visite de commandement au Centre du Service National de la Polynésie française, du 8 au 14 décembre 2013.

Plusieurs activités centrées sur la promotion de l’esprit de défense auprès de la jeunesse sont organisées à cette occasion :


-lundi 9 décembre : accueil au Centre du Service National (Arue – Quartier Broche/zone interservices) ;
-mardi 10 décembre : JDC à l’espace culturel de Paea, derrière la mairie (arrivée prévue à 13H30) ;
-mercredi 11 décembre : JDC à Arue (quartier Broche/zone interservices) avec une action d’information vers le monde de l’enseignement dans le cadre des actions du Polynôme académique (accueil à partir de 8H00) ;
-jeudi 12 décembre : JDC à la mairie de Taravao (arrivée prévue à 10H30 puis remise des certificats de participation aux jeunes vers 14H30) ;
-jeudi 12 décembre (à partir de 18H00) au cercle mixte de garnison de Tahiti (Papeete-Pirae/Taone) : conférence sur le thème « Le Service national, composante essentielle du lien Armées – Nation »;
-vendredi 13 décembre : visites d’autorités (ministre de l’Education – président de l’Assemblée de Polynésie française – Vice-Recteur - Haut-Commissaire).

L'ENSEIGNEMENT DE DÉFENSE

Cet enseignement obligatoire s’inscrit dans les programmes des établissements d’enseignement du second degré.
Dispensé au collège et au lycée, il est l’un des éléments du socle commun de connaissances et de compétences que tout élève doit avoir acquis à la fin de la scolarité obligatoire.

Il renforce le lien Armée-Nation tout en sensibilisant la jeunesse à son devoir de défense.

Il s’effectue de deux manières :
-des enseignements particuliers, dans le cadre notamment des programmes d'éducation civique, qui répondent au besoin d'information et d'expression des élèves en donnant du sens au « devoir de défense » ;
-des enseignements généraux qui permettent de comprendre les enjeux comme l'évolution du contexte de la politique de défense et de donner un contenu à « l'esprit de défense ».

LE RECENSEMENT

Il intervient à l’âge de 16 ans et dans les 3 mois qui suivent. Acte volontaire, il concerne tous les jeunes Français, filles et garçons.

« UN ACTE VOLONTAIRE POUR TOUS »

Cette démarche s’effectue dans la mairie du lieu de résidence. Les listes de recensement préparent et facilitent l’inscription des jeunes sur les listes électorales ; elles sont transmises à la DSN qui établit les convocations pour la « Journée défense et citoyenneté » (JDC).
Jusqu’à 18 ans, l’attestation de recensement est indispensable pour s’inscrire à tout examen placé sous le contrôle de l’autorité publique (BEP, CAP, baccalauréat, conduite accompagnée…)
Entre 18 et 25 ans, c’est le certificat de participation à la JDC qui est exigé pour s’inscrire à tout examen ou concours soumis au contrôle de l'autorité publique, y compris le permis de conduire.

LE RECENSEMENT EN LIGNE

Dans le cadre de la modernisation de l’Etat, le Secrétariat général pour la modernisation de l’action publique (SGMAP, ex.DGME) met à la disposition des communes, le recensement en ligne via le site mon.service-public.fr.

Ce service innovant simplifie la vie des usagers et offre de nombreux avantages:

Un service rendu aux usagers :
-une démarche plus simple, plus rapide, sans perte de temps
-l’opportunité pour les administrés de créer leur compte personnel en ligne pour gérer facilement toutes les démarches administratives sur internet grâce à mon.service-public.fr.

Un service gratuit, sécurisé et facile à mettre en place :
-la démarche en ligne est respectueuse des dispositions prises par la CNIL. Elle est donc aussi sécurisée que la procédure papier
-les services sont livrés clés en main.

LA JOURNÉE DÉFENSE ET CITOYENNETÉ (JDC)

La JDC (ex-JAPD, réformée en 2011) a pour vocation première de convaincre et d’expliquer aux jeunes citoyens la légitimité de notre défense et de les sensibiliser aux possibilités de volontariat et d'engagement qui leurs sont proposées.

« CONVAINCRE DE LA LÉGITIMITE DE NOTRE DÉFENSE »

La JDC est une occasion unique de rencontre de l’ensemble d’une classe d’âge (750 000 jeunes par an) avec son Armée. Seul lien institutionnel qui subsiste aujourd’hui entre les jeunes et les armées, la JDC est le complément indispensable à une armée professionnelle pour permettre l’adhésion du citoyen aux objectifs de défense.

« FAVORISER LA COMPRÉHENSION DES ENJEUX DE DÉFENSE »

Menée en collaboration avec les armées et la gendarmerie, elle permet d’améliorer la compréhension des enjeux de défense et de sécurité de notre pays. Ainsi permet-elle de mieux faire comprendre la vocation et l’engagement des militaires au service de leurs concitoyens.

Selon un sondage DICoD réalisé en 2012 , 55% des jeunes Français ayant effectué leur JDC ont une meilleure image des armées suite à leur participation.
Premier vecteur d’information de la Défense et des armées auprès des jeunes, la JDC permet de renforcer l’esprit de défense. En privilégiant un binômage actif des animateurs (un militaire d’active et un réserviste), elle contribue également à mieux faire connaître la réserve et son rôle complémentaire aux côtés des militaires d’active.

« OFFRIR DES MOYENS D’ENGAGEMENTS AU SERVICE DE LA DÉFENSE »

La JDC a un impact non négligeable sur l’engagement au profit des armées, puisque près de 20% des jeunes en JDC se montrent désireux d’obtenir un complément d’information sur les métiers des armes.

Elle est l’occasion pour le ministère de la Défense de présenter aux jeunes les métiers qu’il est susceptible de leur offrir ainsi que les engagements auxquels ils peuvent souscrire par le biais de la réserve, du volontariat, des stages ou des préparations militaires.

Ainsi, en 2012, 19% des jeunes métropolitains et 32% des jeunes ultramarins ont manifesté leur intérêt pour avoir des informations sur ces différents engagements à l’issue de leur JDC. La JDC s’avère donc être un outil non négligeable pour les armées dans leur processus de recrutement. Enfin, en 2012, 86,5% des jeunes (habitant la métropole et les DOM) estiment avoir une meilleure image de la défense et des armées et 86,2% des jeunes sont satisfaits de leur JDC.

« PRÉPARER LES JEUNES À DEVENIR CITOYEN ACTEUR »

Par son caractère universel, la JDC rappelle à chaque jeune Français ses devoirs et responsabilités dans la société et le prépare à devenir un « citoyen acteur ».

Ce moment d’unité, certes bref, constitue pour l’ensemble d’une classe d’âge une nouvelle affirmation d’appartenance à la collectivité nationale.
Cette journée est l’occasion d’aborder les différentes obligations, formes de solidarité (don du sang, sécurité routière…) ou les différentes menaces pesant sur notre collectivité.
Par ailleurs, en apprenant aux jeunes les gestes de premiers secours, la JDC apporte ainsi une réponse concrète à un enjeu de santé publique. Cette initiation est avant tout une incitation pour les jeunes à aller plus loin dans la connaissance du secourisme (les jeunes Français sont aujourd’hui encore moins informés que les jeunes Européens en matière de secourisme).

« DÉTECTER ET ORIENTER LES JEUNES EN DIFFICULTÉ »

En liaison avec l’Éducation nationale, les missions locales et les dispositifs d’insertion, la JDC est l’outil national de détection des jeunes en difficulté, véritable enjeu de cohésion sociale. En 2012, 8,7% des jeunes Français en métropole et 35% des jeunes vivant dans les DOM ont été identifiés en difficulté de lecture .
Les tests de maîtrise de la langue française dits « tests d’évaluation des acquis fondamentaux de la langue française » réalisés au cours de la JDC sont conçus par la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) du ministère de l’Éducation nationale, et participent au dépistage des jeunes en difficulté scolaire.

La DSN poursuit les entretiens personnalisés auprès des jeunes sortis du système scolaire et détectés en difficulté de lecture (18 324 jeunes reçus en 2012).
Elle est par ailleurs engagée dans la lutte contre le décrochage scolaire et l’insertion professionnelle des jeunes, priorités nationales pour l’actuel gouvernement.
Ainsi, au cours de l’année 2012, les centres du service national (CSN) ont transmis aux plateformes d’appui et de suivi des décrocheurs, les coordonnées de 33 700 jeunes déscolarisés lors de la JDC soit 4,5% des présents.
En outre, les dispositifs comme « Défense 2ème chance » font l’objet d’une promotion affirmée (13 879 dossiers de candidats potentiels transmis à l’EPIDe en 2012).

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Le gouvernement Flosse satisfait de son budget 2014 et le fait savoir

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Le gouvernement Flosse satisfait de son budget 2014 et le fait savoir
PAPEETE, vendredi 6 décembre 2013. Le gouvernement de Polynésie française presque au complet (ne manquait que Tearii Alpha, le ministre des ressources marines) participait ce vendredi midi à la conférence de presse hebdomadaire qui suit le Conseil des ministres. Un déploiement d’énergie qui n’avait d’autre but que de revenir sur l’adoption, dans la soirée de mercredi du budget primitif 2014 du Pays. Un budget adopté «en 12 heures et à l’unanimité» martelait plusieurs fois Gaston Flosse, le président du Pays. «Quand on s’abstient, on ne vote pas contre» précisait-il. Mercredi (le 4 décembre) le budget primitif de Polynésie française a été adopté un peu avant minuit avec les 38 voix de la majorité. Les 19 élus d’opposition (UPLD et A Ti’a Porinetia) avaient choisi de s’abstenir. «Aucun amendement n’a été proposé. Ça veut dire que le budget était parfait, qu’il n’y avait rien à redire», poursuivait Gaston Flosse. Il félicitait alors son vice-président et ministre des finances, Nuihau Laurey d’avoir réussi la prouesse «de dégager suffisamment de crédits pour payer une partie de la dette non seulement en remboursement des intérêts mais aussi du capital. C’est la première fois aussi depuis des années que nous dégageons, certes pas une grosse somme, mais 2 milliards et demi d’autofinancement pour assurer une partie de nos investissements. Moi, je considère l’exercice extraordinaire, considérable, et nous y sommes arrivés».

Un exercice budgétaire réalisé, en outre, sans les appuis financiers supplémentaires demandés à l’Etat. Au contraire, il a fallu durant l’examen du budget à l’assemblée mercredi, enlever du budget prévisionnel les crédits inscrits (pour 1,2 milliards de Fcfp) pour financer les départs volontaires des fonctionnaires de l’administration. Pour rester équilibré, la soustraction de ce coup de pouce prévu et attendu de l’Etat, entraine la diminution de moitié de l’objectif prévu en 2014 de réduction des effectifs. Sans l’accompagnement de l’Etat pour assurer le paiement de la moitié des primes au départ, le gouvernement polynésien a réduit ses prétentions à 150 départs en 2014 au lieu des 300 envisagés.

De son côté, le vice-président a tenu à souligner quelques chiffres phares de ce budget 2014 du Pays. Il dégage 10 milliards de Fcfp d’excédent sur le fonctionnement dont la plus grosse partie servira à rembourser la dette et deux milliards seront affectés aux investissements. «Il n’y aucun impôt nouveau dans ce budget primitif mais une maîtrise réelle de la dette», toutefois les mesures de réforme fiscale prises en juillet dernier donneront leur plein effet à compter du second semestre 2014 et au total près de 9 milliards de Fcfp de recettes fiscales supplémentaires sont espérées dans les caisses du Pays. Conséquence de ces capacités financières retrouvées, les investissements font un bond avec 18 milliards de Fcfp de crédits nouveaux. Enfin et surtout note Nuihau Laurey, «c’est la première fois qu’un budget primitif est voté aussi rapidement, en moins de 12 heures» ce qui porte un message positif vers l’extérieur et notamment les entrepreneurs et investisseurs. «Cette rapidité d’approbation va donner de la confiance» a-t-il prophétisé.

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Compte-rendu du Conseil des ministres du 06 décembre 2013

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Un Conseil des Ministres s’est tenu ce jour à la Présidence de la Polynésie française. Plusieurs dossiers ont été évoqués à cette occasion.

Vers un classement du Ori Tahiti au patrimoine culturel mondial

Le conservatoire artistique de la Polynésie française (CAPF) accueille un cycle de concertations consacré aux pas de base du 'ori tahiti, considéré comme une manifestation première de la culture et de l’identité polynésiennes. Cette démarche est menée de concert par l’équipe pédagogique de la section des arts traditionnels de l’établissement public, dirigée par Fabien Dinard, et la fédération tahitienne de 'ori tahiti, présidée par Manouche Lehartel. Cette approche théorique et pratique est un premier « pas » nécessaire à la défense de la danse traditionnelle polynésienne, mais également à sa consolidation en vue de son développement et de sa valorisation. Le rayonnement mondial de cette discipline appelle par ailleurs le classement du ‘ori tahiti au patrimoine culturel mondial. Une telle procédure, dont les différentes étapes ont été présentées par le conservatoire lors d’un séminaire s’étant déroulé lors des journées du patrimoine, nécessite si ce n’est une unanimité des partenaires, du moins l’accord le plus large sur les fondamentaux de la danse. Il est donc question de définir les pas de base, d’identifier leurs variantes et leurs différentes appellations sans pour autant imposer une quelconque atteinte à la liberté artistique et à la création chorégraphique. La première séance de travail s‘est tenue le lundi 18 novembre et a réuni plusieurs grands noms de la danse mais également des chorégraphes, responsables et dirigeants de nombreuses écoles et groupes de danse (les écoles Manahere, Tahiti Ora, 'Ori Hei, Nonahere, Matehaunui, Aratoa, Aruhoia, Heiva, Vaheana, Tamariki Poerani, A 'Ori Mai, 'Oihanu, ainsi que les groupes et pupuhura tau Tahiti Ora, Kei Tawhiti, Nonahere, Hanatika, Hitireva, Manahau, Tamariki Poerani, ToaReva, Ori i Tahiti et O Tahiti E). Plusieurs réunions supplémentaires sont prévues au conservatoire, afin de définir et de poser, clairement, les fameux pas de base du ‘ori tahiti. Une formation de formateurs est également prévue, dans ce cadre, à partir de janvier 2014.

Du théâtre aussi au Conservatoire artistique de Polynésie française

Le conservatoire artistique de Polynésie française a pour missions essentielles l’enseignement théorique et pratique de la musique, du chant, de la danse et des arts plastiques. Il a été proposé d’intégrer dans ses missions un nouvel enseignement, le théâtre, déjà enseigné dans de nombreux conservatoires. Cette discipline dénommée « section d’arts dramatiques » trouvera l’occasion de démontrer son rôle éducatif et pédagogique, tout en assurant une formation complète en matière d’apprentissage dans le domaine des arts vivants. Cela impliquera la mise en place d’un cursus propre à l’art dramatique calqué sur les deux grandes étapes du parcours scolaire (primaire et secondaire) et une formation touchant les adultes désirant se former ou se perfectionner. Le Conservatoire présentera donc l’enseignement théâtral tout en respectant ses particularités et ses qualités propres. La vie théâtrale polynésienne est riche et diversifiée. Le Conservatoire se donne pour mission d’éveiller les jeunes à cette richesse et de les sensibiliser à cette diversité. L’objectif est de former le public de demain, d’offrir une formation de qualité à des acteurs amateurs, de favoriser le développement personnel des élèves et de préparer les plus talentueux à une formation professionnelle. Quant aux adultes, le CAPF leur offre une formation solide qui leur permettra ensuite d’intégrer diverses compagnies de théâtre locales et d’être en mesure de participer aux productions de films ou spectacles qui se font en Polynésie française ou ailleurs. Le Conservatoire proposera, en outre, l’extension de cette formation au théâtre ma’ohi.

Règlement intérieur pour le site « Les jardins d’eau » à Mataiea

Le nombre grandissant d’usagers des domaines affectés au service Tahiti Tourism Authority oblige aujourd’hui à mettre en place des règlements propres à chacun pour permettre une gestion rationnelle et une meilleure préservation de ces espaces. Sur le site appelé « Les jardins d’eau de Vaipahi », à Mataiea, de nombreuses activités de loisirs et de détentes, voire sportives, y sont organisées et peuvent dans certains cas importuner le voisinage. Il y a par conséquent obligation de veiller à ce que ces activités puissent se pratiquer sans pour autant gêner autrui, sans porter atteinte à la sécurité des personnes et sans dégrader les lieux. En suivant cette logique, des règles simples ont été établies afin d’encadrer au mieux l’utilisation de ces espaces verts, lieux de promenade, de détente et de rencontre. Après consultation de la commune concernée, le service Tahiti Tourism Authority a fait la synthèse des travaux de réflexion. Les règles instituées participent notamment à la protection de l’environnement et à la prévention des conflits de voisinage.

Mise en place de potagers pédagogiques

L’amélioration de l’offre alimentaire, et plus particulièrement, la valorisation des produits agricoles locaux, est un enjeu majeur pour le Pays. Toute action menée dans ce sens doit également être accompagnée de mesures visant à corriger les mauvaises habitudes alimentaires pour être pleinement efficace. Trois ministères sont principalement concernés : l’agriculture, pour la mise sur le marché de produits locaux de qualité et le développement de pratiques agricoles respectueuses de la santé des individus et de l’environnement ; la santé, pour la prévention des facteurs de risques liés à l’excès de poids, aux modes de vie et à l’alimentation, et l’éducation, qui joue, elle, un rôle central dans la modification des comportements. Dans un cadre consistant à mutualiser les ressources et à assurer la cohérence des actions du Pays auprès de la population, est né le projet des potagers scolaires.
L’objectif est de valoriser la pratique d’une agriculture naturelle en favorisant l’installation au sein d’écoles pilotes de supports pédagogiques. Ces unités leur permettront d’illustrer de manière concrète des notions essentielles des programmes scolaires et de promouvoir par la même occasion la consommation de fruits et de légumes de qualité dès le plus jeune âge. Une démarche proactive est menée dans ce sens auprès de l’ensemble des établissements scolaires du 1er degré de Tahiti et Moorea, avec la mise en place de bacs de culture réalisés par des Centres de Jeunes Adolescents (CJA). Le démarrage de cette opération est prévu dès la rentrée prochaine, avec 4 écoles pilotes: Arue 1 Ahutoru, Tuterai Tane maternelle et élémentaire, ainsi que la Mission. Des professionnels de l’agriculture assureront la formation préalable des enseignants, de même que l’accompagnement et le suivi de la vingtaine de classes pilotes tout au long du projet. Les associations de parents d’élèves prendront totalement à leur charge les kits de culture. Le bilan de l’opération, prévue au mois de mai 2014, réunira des professionnels des trois secteurs concernés et devra aboutir à l’élaboration du guide pratique pour la mise en place de potagers scolaires, destiné aux enseignants du premier degré. Cet outil, qui sera diffusé dès la rentrée scolaire d’août 2014, devrait faciliter l’expansion du dispositif à l’ensemble des écoles primaires de Polynésie française qui souhaiteront y adhérer.



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PSG : l’équation impossible sans réforme du système

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PSG : l’équation impossible sans réforme du système
PAPEETE, vendredi 6 décembre 2013 – A la veille de l’arrivée en Polynésie d’une mission de l’Inspection générale des affaires sociales, l’IGAS, la Caisse de prévoyance sociale constate l’urgence de réformes structurelles du système de la Protection sociale généralisée (PSG), du calcul de la retraite par répartition au mode de financement du système d’assurance maladie : une refonte législative ; une profonde réflexion politique sur les enjeux et le financement de la PSG, faute de quoi le système est condamné à court terme.

"Si on ne fait rien, que l’on laisse dérouler le système actuel, voilà où l’on va", commente Régis Chang, directeur général de la Caisse de prévoyance sociale devant une diapositive montrant une projection de l’évolution des dépenses de santé de la PSG de 2014 à 2016, sur la base des risques couverts en 2013 et sans aucune réforme. "Il nous faut trouver 20 milliards !"

Quoique spectaculaire, ce constat est presque un poncif. En 2010 déjà, la mission de l’Inspection générale des affaires sociales constatait "l’urgence d’une réforme profonde de la PSG", système de couverture instauré en 1995 en Polynésie française et dont la branche maladie présentait déjà un déficit cumulé de 15,4 milliards Fcfp. Le constat était alors posé sur la base des évolutions constatées sur la période 2005-2009.

Depuis, pour le Régime général des salariés, navire amiral de la PSG, la conjoncture économique a été adverse avec une baisse annuelle moyenne de 2,4% du nombre de cotisants et une masse salariale qui s’est affaissée de 12 milliards Fcfp en trois ans pour atteindre 194 milliards en 2013. La PSG étant financée à 74% par les cotisations patronales et salariales.

Les tentatives de réforme législatives du Pays ont systématiquement été attaquées devant le conseil d’Etat. Celle de juillet 2012 qui tentait de réformer le mode de calcul du système de retraite a été retoquée en juin dernier, pour vice de forme lors des débats.

"On racle les fonds de tiroirs"

La CPS tente de faire face, mais le système touche à sa limite.

> Lire aussi : Assurance maladie et retraite : les cotisations augmentent en 2014

"On est engagé aujourd’hui dans une démarche prospective. La Caisse de protection sociale a besoin de se projeter, non seulement en termes de prise en charge, mais aussi en tant qu’organisme de gestion. S’interroger sur les volumes que nous aurons à traiter dans les prochaines années, sur les risques nouveaux pour que l’on puisse s’adapter", ajoute Régis Chang. "Face à ça, nous avons des propositions de réforme, sur l’assurance maladie, sur la retraite".

"Le budget 2014 a été difficile mais à l’équilibre ; le budget 2015 est impossible", résume gravement de son côté Luc Tapeta, alors que l'équation aura demandé cinq conseils d’administration pour le seul budget du Régime général des salariés, adopté fin novembre, à l'équilibre. Et il prévient à l'adresse du Pays : "On a entre aujourd’hui et juin 2015 pour, ensemble, apporter les premiers correctifs pour que l’on soit dans des dépenses soutenables par les recettes. On ne peut pas rajouter des charges supplémentaires et alourdir le coût du travail. Et puis il y a des vraies questions de fond que l’on doit se poser : celle de l’assiette : ce qui relève de la solidarité, c’est la fiscalité qui doit s’en charger ; ce qui relève de l’assurance, c’est les cotisations".
Il ajoute : "Nous sommes dans un processus budgétaire de recherche de l’équilibre depuis l’année 2011. Et nous préconisons un certain nombre de réformes structurelles, de fond. Elles ne sont toujours pas mises en application, ce qui veut dire que l’on est constamment dans une logique de recherche de financements mais avec une population active qui baisse alors que la demande de soins augmente sans cesse tout comme les niveaux de couverture retraite. L’équilibre est toujours plus difficile à trouver. Aujourd’hui – passez-moi l’expression – on racle les fonds de tiroirs. On a fait des économies partout où cela était possible et recherché des financements. Le budget 2015 est impossible, si on ne change rien, si on ne fait rien. Vous avez vu la projection : on passera de 104 milliards pour la PSG en 2013 à quasiment 126 milliards en 2016".

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Pepena, un premier album et une tournée à l’export

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Pepena, un premier album et une tournée à l’export
PUNAAUIA, vendredi 6 décembre 2013. L’histoire de quatre musiciens dans le vent, ça vous dit quelque chose? Le groupe Pepena est composé, justement de quatre garçons des Iles du vent, âgés de 23 à 28 ans, dont le talent n’a plus besoin d’être démontré localement. En 250 concerts (depuis 2010) un peut partout en Polynésie, ils ont su fédérer autour de leur musique suffisamment de fans. Mais Pepena (qui signifie création en Marquisien) avait besoin également de partir à la conquête d’un nouveau public et de faire rayonner les rythmes tahitiens hors du triangle polynésien. Alors quoi de mieux quand on est musicien qu’un CD pour se faire connaître ? En avril 2013, un premier opus sous la forme d’un EP de 5 titres avait été un amuse bouche, mais le plat de résistance n’était pas loin.

Unu, ce premier véritable album de 12 titres dont 11 compositions originales, a été le fruit d’un long travail de maturation. Les créations de Raimana Bareille, le chanteur guitariste du groupe ont été reprises et réarrangées par l’ensemble des musiciens pour que la marque collective de Pepena s’y imprime durablement lors de l’enregistrement dans un studio de Punaauia. Un sens du détail exigeant dans la musique que l’on retrouve également sur la jaquette du CD en trois volets, sur une création de l’illustrateur François Pommier.

Le style Pepena reste inclassable et les musiciens eux-mêmes cherchent encore la définition de leur genre. Les influences caribéennes d’Henri Salvador sont encore palpables dans cet album, mais on y sent aussi quelques ambiances reggae, un soupçon de bossa nova, de blues et de jazz avec des chansons en français, en tahitien, en espagnol et en anglais. Dans l’ensemble, l’album est d’une grande douceur insulaire, invite à la rêverie tout en frappant le sol du pied pour marquer le rythme. Les 7 000 fans du groupe sur la page Facebook ne s’y sont pas trompés. En attendant que l’album soit disponible à la vente dans les bacs d’Odyssey ou de Carrefour, le seul moyen de se procurer l’album jusqu’au début de l’année 2014 sera d’aller l’acheter lors des dates de concert prévues.

Pour faire connaître cet album, les quatre musiciens de Pepena,Raimana Bareille (chanteur guitariste), Teiki Curet (percussionniste), Jean-Charles Amiot (bassiste) et Ruahere Chebret (guitariste) se produisent en concert. Après une première date ce vendredi à Taravao au Red Wok, le groupe Pepena se produira le vendredi 13 décembre à la Casa Mahina et le samedi 28 décembre au Méridien. Des concerts qui sont de véritables événements : une première partie avec deux groupes invités et Pepena durant deux heures : de quoi apprécier pleinement, découvrir ou redécouvrir. L’année 2014 sera pour Pepena celle de l’envol : après des dates aux Marquises, le groupe se produira en France et en Nouvelle Zélande.

Pour écouter, Unu, l'album de Pepena, voici des liens disponibles sur Internet
Sur I-tunes, CLIQUER ICI
Sur Deezer, CLIQUER ICI

Pour tout savoir sur le groupe, Pepena a un site internet : www.EnjoyPepena.com




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Échanges universitaires : signature d’un accord franco-néo-zélandais

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Échanges universitaires : signature d’un accord franco-néo-zélandais
WELLINGTON, vendredi 6 décembre 2013 (Flash d’Océanie) – Les autorités universitaires françaises et néo-zélandaises ont signé, fin novembre 2013, un nouvel accord visant à encourager et renforcer la coopération et les échanges dans les secteurs de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’octroi de bourses, a annoncé vendredi l’ambassade de France à Wellington.

Cet accord-cadre a été signé le 28 novembre 2013 entre le groupement « Universities New Zealand – Te Pokai Tara » (qui rassemble la plupart des établissements d’enseignement supérieur de ce pays) et la Conférence des Présidents d’Universités françaises (CPU).
La CPU, côté français, était représentée par Gaël Lagadec, Président de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, toute proche de la Nouvelle-Zélande.
« L’accord offre de nombreux avantages pour les établissements d’enseignement supérieur français et néo-zélandais. Il permet notamment de faciliter la mobilité des étudiants et des boursiers entre la France et la Nouvelle-Zélande, via la mise en place de niveaux comparatifs des diplômes entre les universités des deux pays », a précisé l’ambassade de France en Nouvelle-Zélande, qui déclare avoir « appuyé » cette signature.

Cette convention couvre notamment de nombreux aspects de la vie des échanges interuniversitaires franco-néo-zélandais, y compris pour les étudiants français et néo-zélandais de premier, deuxième et troisième cycles, les stages et échanges d’étudiants et de chercheurs, l’élaboration et le développement de projets conjoints de recherche, la participation aux symposiums et autres événements académiques ainsi que la publication, l’échange d’informations et l’établissement de contacts.
Du point de vue néo-zélandais, « avec environ 55 liens formels déjà établis entre des universités françaises et néo-zélandaises, cet accord formalise et complète des liens de longue date entre nos deux pays en matière éducative », a commenté le professeur Roy Crawford, Président de Universities NZ, qui évoque aussi une plus grande « souplesse » de la coopération universitaire, notamment au plan des équivalences entre les deux systèmes.

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USA: la petite monnaie oubliée aux contrôles dans les aéroports s'amoncelle

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USA: la petite monnaie oubliée aux contrôles dans les aéroports s'amoncelle
WASHINGTON, 6 décembre 2013 (AFP) - Les voyageurs oublient régulièrement les pièces qu'ils vident de leurs poches en passant les contrôles de sécurité dans les aéroports américains, une accumulation de menue monnaie qui a représenté un pactole de 500.000 dollars l'an dernier, selon les autorités vendredi.

L'Agence de sécurité des transports (TSA) a indiqué avoir récupéré 531.395,22 dollars aux points de sécurité des aéroports américains pour l'exercice budgétaire 2012.

Dans un rapport du Congrès consulté par le Washington Post, la TSA a noté que plus de 10.000 dollars de petite monnaie avaient été oubliés dans chacun des 13 plus grands aéroports des Etats-Unis, comme Atlanta, New York, Dallas ou San Francisco.

Les passagers de l'aéroport international de Miami semblent les plus distraits: cette plateforme privilégiée de transit vers les pays d'Amérique du Sud a récupéré à elle seule 39.613 dollars, un record.

Et sur les plus d'un demi-million de dollars récoltés, la TSA va devoir trier environ 32.000 dollars en monnaie étrangère, selon le Washington Post vendredi.

Selon la loi, l'argent récupéré par la TSA, dont le budget total était de 7,6 milliards de dollars pour l'exercice 2012 achevé le 30 septembre, doit servir à améliorer la sécurité de l'aviation civile.

Mais la Chambre des représentants a adopté mardi une résolution demandant que cet argent soit alloué à des associations à but non lucratif qui aident les militaires et leurs familles dans leurs déplacements.

Les agents américains des contrôles de sécurité n'ont cependant pas trouvé que des petites pièces de monnaie: la semaine dernière seulement, ils ont par exemple découvert 34 armes à feu, dont 27 étaient chargées, dans les bagages à main de voyageurs.

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Premiers mariages gays en Australie, même si la loi risque d'être annulée

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Premiers mariages gays en Australie, même si la loi risque d'être annulée
CANBERRA, 7 décembre 2013 (AFP) - Les premiers mariages gays d'Australie ont été célébrés samedi à Canberra, même si la loi qui autorise le mariage entre personnes du même sexe dans la capitale australienne risque d'être annulée la semaine prochaine par la justice fédérale.

La loi votée en octobre par l'assemblée législative du Territoire de la capitale australienne permettait le mariage des couples homosexuels à partir de ce samedi, et dès la fin des 12 coups de minuit, plusieurs couples se mariaient en divers endroits de la capitale.

Parmi eux Stephen Dawson, un député travailliste du parlement régional, qui a épousé son compagnon lors d'une cérémonie sur la pelouse du Parlement fédéral.

Le territoire de Canberra est le seul du pays (qui compte six Etats et deux territoires) à autoriser les mariages gays, et la loi, qui permet de marier également des personnes non résidentes du territoire, a été immédiatement contestée.

En effet, si les unions civiles entre personnes de même sexe sont autorisées dans la plupart des Etats australiens, le mariage, lui, demeure régi par la loi fédérale qui le limite à l'union d'un homme et d'une femme.

Le gouvernement fédéral a donc saisi la justice, et la Haute Cour devrait rendre son verdict le 12 décembre.

Le gouvernement de Canberra a reconnu qu'en cas de défaite, les mariages prononcés pendant ces quelques jours risquaient d'être annulés.

"Mais quoi qu'il se passe en justice, la signification de ce moment restera, et montrera à quoi devrait ressembler l'Australie du 21e siècle", a déclaré le ministre de la Justice du territoire, Simon Corbell.

Ivan Hinton, l'un des mariés de samedi, voyait lui aussi avant tout l'importance du symbole.

"Je comprends le problème de la procédure devant la Haute Cour, et on verra bien ce qui se passera jeudi, mais tout cela n'empêchera pas que Chris et moi, ce matin, nous sommes réveillés avec le sentiment que la société ici nous respecte tels que nous sommes, et a le même respect pour notre relation et les mêmes espoirs que nous pour notre avenir".

En avril, la Nouvelle-Zélande est devenue le premier Etat d'Asie-Pacifique et le 14e au monde à légaliser le mariage homosexuel.

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Trente-trois prétendantes en compétition pour devenir Miss France 2014

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Trente-trois prétendantes en compétition pour devenir Miss France 2014
DIJON, 7 décembre 2013 (AFP) - Trente-trois prétendantes s'affrontent en ce moment pour le titre de Miss France 2014, une compétition à forte audience diffusée en direct sur TF1, arbitrée par les téléspectateurs et le jury du chanteur Garou.

33 jeunes femmes de 18 à 24 ans, mesurant entre 1,70 et 1,82 mètre, défilent sur la scène du Zénith de Dijon (centre) pour une émission à grand spectacle sur le thème de "l'univers féérique des contes et des princesses".

A l'issue de la compétition, la gagnante devait accéder au titre de Miss France 2014, succédant à la Bourguignonne Marine Lorphelin, Miss France 2013 et première dauphine de Miss Monde.

Dans les files d'attente devant le Zénith, les petites et les jeunes filles ont revêtu leurs plus belles robes.

D'après Léane, 9 ans, il faut pour être Miss France "avoir de l'élégance, savoir bien se tenir et ne pas être trop timide".

Tandis qu'il regarde chaque année l'élection des miss à la télévision, Alain Descourvières, 67 ans, habitant à Saint-Jean-de-Losne (Côte-d'Or), juge qu'une miss régionale élue Miss France "c'est le prestige d'une région de France".

La mère de Miss Normandie, Marie-Josée, 49 ans, est venue accompagnée de ses trois autres filles, qui portent des diadèmes argentés. "On se rend compte que ce n'est pas seulement le spectacle, c'est une belle expérience de vie", dit-elle.

Après une semaine au Sri Lanka, les 33 candidates sont arrivées le 23 novembre à Dijon.

"L'an dernier, Miss Tahiti et Miss Bourgogne s'étaient détachées assez tôt. La promotion est plus homogène avec des filles très belles, curieuses et sympathiques", a confié mercredi à l'AFP Sylvie Tellier, directrice de la société Miss France. "La compétition sera de toute évidence bien plus serrée".

Sur les 33 miss régionales, 21 ont cependant déjà été éliminées dans le plus grand secret par le comité de sélection, composé de représentants de TF1, de la ville de Dijon et des "partenaires beauté" de l'élection (stylistes, coiffeurs, maquilleurs).

Les téléspectateurs vont découvrir les douze miss pré-finalistes et étaient invités à désigner les cinq finalistes, à égalité avec le grand jury.

Lors du vote final, seuls les téléspectateurs devront choisir la lauréate et ses deux dauphines.

Le grand jury était présidé cette année par le chanteur Garou. Après la démission d'Alain Delon, auparavant président à vie du jury, qui n'avait pas apprécié de se faire recadrer après ses propos favorables au Front national, la société Miss France a décidé de revenir à une présidence annuelle.

'Quand on dort à Dijon'...

Les jurés étaient les chanteuses Sylvie Vartan et Elodie Frégé, l'humoriste Titoff, le présentateur du journal télévisé de 13 heures de TF1 Jean-Pierre Pernaut, sa femme l'ex-Miss France Nathalie Marquay et le ténor Vincent Niclo.

Depuis leur arrivée à Dijon, les candidates ont multiplié les apparitions publiques dans la ville, ainsi que les répétitions pour le spectacle de samedi soir présenté par Jean-Pierre Foucault.

C'est d'ailleurs du présentateur vedette de TF1 qu'est venue cette année la polémique. Invité sur Canal+, il a déclaré : "Si j'étais désagréable, je dirais que je ne dors pas à Dijon, car quand on dort à Dijon, on se réveille à Dijon !".

Suscitant de nombreuses critiques localement, Jean-Pierre Foucault a dû présenter de plates excuses.

L'élection de Miss France 2014 aurait pourtant dû se dérouler dans un climat apaisé. Endemol, propriétaire de la société Miss France, et Geneviève de Fontenay, 81 ans, ex-présidente du comité Miss France, avaient récemment mis fin aux procédures judiciaires qui les opposaient. Le concours de Mme de Fontenay, Miss Prestige national, se déroulera le 12 janvier.

L'an dernier, le concours de beauté Miss France figurait parmi les meilleurs audiences de l'année pour TF1 avec 9,6 millions de téléspectateurs.

Trente-trois prétendantes en compétition pour devenir Miss France 2014

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Flora Coquerel, Miss Orléanais, élue Miss France 2014

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Flora Coquerel, Miss Orléanais, élue Miss France 2014
DIJON, 8 décembre 2013 (AFP) - Flora Coquerel, franco-béninoise âgée de 19 ans, a été élue Miss France 2014 dans la nuit de samedi à dimanche à Dijon, et s'est dite "fière de représenter une France cosmopolite", après sa victoire.

La jeune fille, qui était Miss Orléanais, a devancé Miss Tahiti, 1ère dauphine, puis Miss Provence, Miss Côte d'Azur et Miss Guadeloupe, respectivement 2è, 3è, et 4è dauphines.

Flora Coquerel, brune de 1,82 mètre, franco-béninoise, est étudiante en deuxième année de BTS commerce international et voudrait travailler dans le marketing de luxe, a-t-elle déclaré au cours de la cérémonie retransmise sur TF1. Elle pratique la danse et le badminton, aime le cinéma, la mode et les voyages.

Elle succède à la Bourguignonne Marine Lorphelin. "Je vais lui conseiller d'en profiter dès le début", a préconisé devant la presse Miss France 2013.

Lors de sa première conférence de presse en tant que Miss France, Flora Coquerel s'est dite "très fière de représenter une France cosmopolite".

Parmi les causes qui lui tiennent à coeur, elle cite notamment "l'alphabétisation" et "l'insertion des femmes dans le monde du travail".

Sylvie Tellier, directrice de la société Miss France, a souligné que la jeune femme, "pétillante", faisait partie "des favorites" et qu'elle était arrivée en tête des votes avec 27,81% des voix mais que "quatre jeunes femmes étaient dans un mouchoir de poche" dans les votes des téléspectateurs.

Trente-trois jeunes femmes de 18 à 24 ans, mesurant entre 1,70 et 1,82 mètre, se sont affrontées sur la scène du Zénith de Dijon pour une soirée à grand spectacle sur le thème de "l'univers féérique des contes et des princesses".

Sur les 33 miss régionales, 21 ont été éliminées dans le plus grand secret par le comité de sélection, composé de représentants de TF1, de la ville de Dijon et des "partenaires beauté" de l'élection (stylistes, coiffeurs, maquilleurs).

Les téléspectateurs étaient invités à désigner les cinq finalistes, à égalité avec le grand jury.

Lors du vote final, seuls les téléspectateurs devaient choisir la lauréate et ses deux dauphines.

Le grand jury était présidé cette année par le chanteur Garou. Après la démission d'Alain Delon, auparavant président à vie du jury, qui n'avait pas apprécié de se faire recadrer après ses propos favorables au Front national, la société Miss France a décidé de revenir à une présidence annuelle.

'Quand on dort à Dijon'...

Les jurés étaient les chanteuses Sylvie Vartan et Elodie Frégé, l'humoriste Titoff, le présentateur du journal télévisé de 13 heures de TF1 Jean-Pierre Pernaut, sa femme l'ex-Miss France Nathalie Marquay et le ténor Vincent Niclo.

Depuis leur arrivée à Dijon, les candidates avaient multiplié les apparitions publiques dans la ville, ainsi que les répétitions pour le spectacle de samedi soir présenté par Jean-Pierre Foucault.

C'est d'ailleurs du présentateur vedette de TF1 qu'est venue cette année la polémique. Invité sur Canal+, il a déclaré : "Si j'étais désagréable, je dirais que je ne dors pas à Dijon, car quand on dort à Dijon, on se réveille à Dijon !".

Suscitant de nombreuses critiques localement, Jean-Pierre Foucault a dû présenter des excuses.

Lors de la cérémonie, le maire (PS) de Dijon François Rebsamen a fait allusion à la polémique en soulignant que "pendant 15 jours", les Miss avaient "illuminé Dijon où elles ont dormi et où elles se sont réveillées".

L'élection de Miss France 2014 aurait pourtant dû se dérouler dans un climat apaisé. Endemol, propriétaire de la société Miss France, et Geneviève de Fontenay, 81 ans, ex-présidente du comité Miss France, avaient récemment mis fin aux procédures judiciaires qui les opposaient. Le concours de Mme de Fontenay, Miss Prestige national, se déroulera le 12 janvier.

L'an dernier, le concours de beauté Miss France figurait parmi les meilleurs audiences de l'année pour TF1 avec 9,6 millions de téléspectateurs.

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Les primés du 9ème Hura tapairu

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Les primés du 9ème Hura tapairu
Te Fare Tauhiti Nui - Maison de la Culture a organisé au Grand théâtre la 9ème édition du Hura Tapairu, concours de danse traditionnelle, du 28 novembre au 07 décembre 2013. Vingt-cinq formations étaient en compétition au total et ont offert au jury ainsi qu’au public six magnifiques soirées de concours, dont cinq étaient à guichet fermé. Un cahier des prix de deux millions cinq cent mille Fcfp offert par le Ministère du Tourisme et de la Culture a été attribué sous le contrôle de Maître Elie, huissier de justice.

Par ailleurs, plusieurs partenaires ont contribué au cahier des prix : Air France a ainsi offert au chef du groupe gagnant du Hura tapairu un aller – retour pour Los Angeles ; Magic city a offert une guitare au 1er prix en aparima et un ukulele au 1er prix en mehura ; l’équipe de Matareva a quant à elle offert ses ouvrage de photos du Heiva 2013 à tous les primés et les 1er prix en Mehura et en Hura tapairu ont également reçu un coffret Heiva 2010/2011/2012.

La soirée de finale du Mehura et du Hura tapairu a consacré les groupes suivants :

Prix Hura tapairu :

1er : HEI RURUTU de Titaina Tunutu Contios (prix de de 400 000 Fcfp et un aller – retour Los Angeles offert par Air France)

2ème : HITIREVA de Kehaulani Chanquy (prix de 300 000 fcfp)

3ème : 'O RAINEARII de Heirani Salmon (prix de 200 000 Fcfp)

Prix Mehura :

1er : HITIREVA POE de Kehaulani Chanquy (prix de 200 000 Fcfp et un ukulele offert par Magic City)

2ème : 'ORI I TAHITI de Teraurii Piritua (prix de 150 000 fcfp)

3ème : MATARUFAU de Heimoana Metua (prix de 100 000 fcfp)

4ème : PUROTU HAUHERE de Claudia Joussin (prix de 50 000 Fcfp)


Les primés du 9ème Hura tapairu
Vendredi 06 décembre, la cérémonie de remises des prix avait permis de récompenser les groupes suivants :

Catégorie Aparima :

1er : HEI RURUTU de Titaina Tunutu Contios (prix de 200 000 Fcfp et une guitare offerte par Magic City)

2ème : 'ORI NOA de Engalie Tanseau (prix de 150 000 fcfp)

3ème : HITIREVA de Kehaulani Chanquy (prix de 100 000 Fcfp)

Catégorie Otea :

1er : HEI RURUTU de Titaina Tunutu Contios (prix de 200 000 Fcfp)

2ème : HITIREVA de Kehaulani Chanquy (prix de 150 000 fcfp)

3ème : 'O RAINEARII de Heirani Salmon (prix de 100 000 Fcfp)

Les gagnants des Ori Tahito ont remporté chacun un prix de 50 000 Fcfp :

'Ori Tahito Vahine : Heiana Virideau du groupe Hei Rurutu

'Ori Tahito Tane : Taero Jamet du groupe Hitireva


Les prix spéciaux ont également remporté chacun un prix de 50 000 Fcfp :

Le groupe Hitireva remporte un prix spécial pour la qualité de ses textes.

Le groupe 'Ori noa remporte un prix spécial pour la qualité de ses compositions et son interprétation.

Tous les primés ont reçu un magazine Heiva 2013 réalisé par l’équipe de Matareva.

Le jury était composé cette année de Fabien Dinard, Président du Jury du 9ème Hura tapairu, Directeur du Conservatoire Artistique de Polynésie française, membre du jury au Heiva i Tahiti et meilleur danseur au Heiva ; Moanaura Teheiura, chorégraphe, membre du jury d’examens au Conservatoire, à l’International ainsi qu’au Heiva ; Matani Kainuku, chorégraphe, chef du groupe Nonahere de Mahina triple vainqueur du Heiva i Tahiti, 1er Vice-président de la Fédération tahitienne de Ori Tahiti, membre du jury dans des concours internationaux ; Vanina Ehu, enseignante au Conservatoire Artistique de Polynésie française, membre du jury au Heiva i Tahiti, chorégraphe ; Heifara Morienne, élue avec son partenaire « meilleur couple » en 2005, danseuse depuis plusieurs années dans le Groupe Hei Tahiti pour qui elle a incarné le personnage central de ses dernières créations et notamment « Tahiri Vahine », spectacle gagnant en Hura tau au Heiva i Tahiti 2013 et Goenda Reea, professeur de Tahitien à l’IUFM et enseignante en licence à l’UPF, elle remporte le prix du meilleur auteur au Heiva en 2012, et est l’auteur du thème de Hei Tahiti au Heiva 2013, qui remporte le 1er prix en Hura tau.



Enfin, sous l’égide du ministère du Tourisme et de la Culture, Te Fare Tauhiti Nui - Maison de la Culture remercie chaleureusement ses partenaires pour leur confiance, leur soutien, et leur implication : American Express, Eau Royale, Air France, l’hôtel Radisson, le Service de l'Artisanat Traditionnel, le GIE Tourisme, TNTV, Radio 1 et Tiare FM, Les Nouvelles de Tahiti, le Tiki Mag, Magic City et le magazine Matareva.


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Surfer Poll Award - Didier Tinhin, le ‘chargeur de l’ombre’ sort du tube

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Mardi 10 décembre 2013. Depuis 44 années, ‘Surfer Magazine’ récompense les meilleurs surfeurs et les meilleures vidéos de surf lors d’une soirée de gala qui se déroule chaque fin d’année à Hawaii sur le North Shore d’Oahu. Cette cérémonie permet au monde du surf de s’auto-congratuler une fois par an.

Le 4 décembre dernier, le Top 10 des meilleurs surfeurs a été divulgué ainsi qu’un Top 5 pour les surfeuses, grâce aux votes des internautes. Il y a également les catégories ‘film de l’année’, ‘meilleur tube’, ‘plus grosse chute’, ‘plus grosse vague’ ou encore ‘meilleure performance’.

Les ‘Billabong XXL Award’, une autre manifestation qui met également à l’honneur les surfeurs, se déroulent sur le continent américain et récompensent des surfeurs de l’extrême en dehors du circuit de surf professionnel mais les ‘Surfer Poll’ Award’ sont la référence historique en la matière et récompensent les surfeurs en général.

Pour 2013, c’est encore Kelly Slater l’Américain qui remporte le premier prix, suivi de John John Florence le Hawaiien et Mick Fanning l’Australien. A noter la 10ème place d’Andy Irons, à titre posthume. Chez les femmes, c’est Alana Blanchard qui se hisse à la première place.

Un hommage a été rendu à Kaluhiokalani Buttons, la légende du surf hawaiien récemment disparue des suites d’un cancer du poumon.


Surfer Poll Award - Didier Tinhin, le ‘chargeur de l’ombre’ sort du tube
En ce qui concerne Tahiti, nous avions Tereva David et Alain Riou tous deux nominés dans la catégorie ‘wipe out’ -plus grosse chute-, mais c’est Peter Craig qui gagne la récompense. La ‘surprise’, qui en fait n’en est pas une, vient du côté de Didier Tinhin qui remporte la récompense du meilleur tube.

Didier Tinhin est un surfeur de grosses vagues aussi talentueux que discret. Depuis plus de deux décennies, il ‘charge’ les vagues de récif les plus dangereuses du monde, avec ses amis Arsène Harehoe ou Vetea David. Il fait également partie des ‘Water Patrol’ engagés par Billabong pour la compétition annuelle qui se déroule à Teahupo’o et est considéré comme un des meilleurs sauveteurs à Teahupo’o dans les grosses conditions, sinon le meilleur, avec un certain Vetea ‘Poto’ David.

Didier est connu pour ne pas avoir froid aux yeux et pour être un excellent surfeur de récif dans les grosses conditions, en planche classique, en Stand Up Paddle ou encore en surf tracté. Quand Teahupo’o se transforme en ‘cirque’, il préfère se rabattre sur des vagues moins connues. Il est pourtant un des meilleurs spécialistes tahitiens du surf de gros. Il bien est connu de tous les surfeurs étrangers.

Il remporte donc cette récompense internationale prestigieuse pour un tube impressionnant exécuté sur une vague tahitienne. Un titre qui ne surprend pas les connaisseurs qui savent ce dont est capable Didier. On pourrait regretter que de telles légendes vivantes du surf polynésien ne soient pas plus mises en valeur au niveau local, même si comme il le dit lui même, il ‘préfère l’ombre’. SB

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