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finistère : Il découvre un obus en tondant une pelouse et l'apporte à la mairie

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finistère : Il découvre un obus en tondant une pelouse et l'apporte à la mairie
Rennes, France | AFP | samedi 05/09/2015 - Un agent d'entretien des espaces verts a provoqué l'évacuation de la mairie de Hanvec (Finistère) vendredi, en y apportant un obus qu'il avait découvert en tondant une pelouse communale, a-t-on appris samedi auprès des gendarmes et de la préfecture.

La lame de la tondeuse "a raboté la tête de la fusée" de l'obus, un engin de 20 à 30 centimètres, a indiqué à l'AFP François Adam, chef secrétaire de la compagnie de gendarmerie de Landerneau, confirmant une information du Télégramme.

Le jardinier a pris de "gros risques pour lui-même et les autres", déplore Bernard Guérin, le sous-préfet de Brest: un premier, car il aurait pu ainsi activer involontairement le mécanisme de mise à feu, mais aussi "un deuxième en déterrant l'engin et en le prenant à bras le corps pour l'apporter à la mairie".

En cas de découverte d'un engin explosif, "il ne faut pas y toucher et appeler immédiatement la gendarmerie ou la police", a-t-il insisté.

Les gendarmes qui se sont rendus sur place ont aussitôt évacué quatre employés de mairie et trois usagers, en attendant l'arrivée des militaires du service de déminage de Brest, a précisé M. Guérin. L'obus a ensuite été transporté à Brest pour y être neutralisé.

La commune de Hanvec est située à une trentaine de kilomètres de Brest, une ville sur laquelle les Alliés avaient largué environ 30.000 tonnes d'engins explosifs, dont 10% n'auraient pas explosé, durant l'été 1944 pour déloger les Allemands.

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Fusillade mortelle sur un campus californien : Le tireur décrit comme "originaire d'une île du Pacifique"

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Fusillade mortelle sur un campus californien : Le tireur décrit comme
Los Angeles, Etats-Unis | AFP | vendredi 04/09/2015 - Une bagarre jeudi sur le campus d'une université de Sacramento (Californie), qui a dégénéré en fusillade, faisant un mort et deux blessés, pourrait avoir été liée à des gangs, selon la police qui recherchait toujours le tireur vendredi.

La police décrivait le suspect, activement recherché sur le campus, comme "un Polynésien" ou "provenant d'îles du Pacifique", "torse nu, en shorts", il a fui en voiture le parking du campus où a eu lieu la fusillade, survenue à 16H00 locales (23H00 GMT).

Une altercation verbale entre quatre jeunes hommes a dégénéré en bagarre avant que "des armes soient sorties", un couteau et une arme à feu, ont indiqué la police et un porte-parole du Sacramento City College.

La victime décédée était un étudiant de 25 ans, Roman Gonzalez, a précisé la police qui "n'exclut pas que des gangs soient à l'origine" de l'incident.

L'un des deux blessés, Rico Ridgeway, a été arrêté pour "agression avec une arme létale".

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Le Président Fritch à la réunion du Groupe des dirigeants polynésiens à Auckland

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Le Président Fritch à la réunion du Groupe des dirigeants polynésiens à Auckland
AUCKLAND, le 6 septembre 2015- Le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a participé, samedi, à Auckland, en Nouvelle-Zélande, à la 5ème réunion du Groupe des dirigeants polynésiens (PLG, Polynesian leaders group). Sept des huit membres constituant cette entité régionale (outre la Polynésie française, Tonga, Samoa, îles Cook, Tuvalu, Niue et Tokelau) étaient présents et ont apporté leur soutien aux dossiers évoqués par la Polynésie, le statut de membre à part entière au Forum des îles du Pacifique et la déclaration de Taputapuatea du 16 juillet dernier qui demande aux grandes nations d’agir pour lutter contre les changements climatiques et leurs conséquences pour les îles du Pacifique.


Le Président Fritch à la réunion du Groupe des dirigeants polynésiens à Auckland
Membre à part entière du Forum : soutien de principe des pays Polynésiens

Le Président Fritch a rappelé que la Polynésie française avait fait acte de candidature pour devenir membre à part entière du Forum des îles du Pacifique en août 2014 et que cette demande officielle a été réitérée le 5 décembre dernier auprès du secrétaire général de cette organisation. « Je crois fermement que Tahiti peut devenir un membre du Forum à part entière dès aujourd’hui, et, pour réussir à atteindre cet objectif, je sais que je peux compter sur votre total soutien », a déclaré le Président.

Il a notamment précisé que le statut d’autonomie de la Polynésie française donnait pleinement à la Polynésie française la possibilité d’intégrer de telles organisations régionales en tant que membre à part entière.

Le PLG a fait part de son soutien de principe à la demande d’obtention du statut de membre à part entière du Forum des îles du Pacifique de la Polynésie française, tout en soulignant la nécessité de réunir le consensus de tous les pays membres du Forum. Le premier de Niue, Toke Talagi, a notamment rappelé que le statut de membre associé dont la Polynésie française dispose depuis maintenant près de 10 ans devait logiquement déboucher sur celui de membre à part entière et qu’il revenait au Forum de préciser les conditions d’une telle évolution. Il a souhaité que d’autres pays, de l’arc mélanésien notamment, se joignent également à cette réflexion à l’occasion du prochain Forum des îles du Pacifique, qui va se dérouler du 8 au 10 septembre en Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Changement climatique : consensus pour agir en vue de la COP 21

En ce qui concerne la lutte contre les changements climatiques, le président du PLG a souhaité que la question des ressources financières pour lutter contre les effets du changement climatique puisse désormais avancer rapidement, la Polynésie française, a-t-il estimé, pouvant être la porte d’entrée pour l’accès aux financements que la France s’est engagée à verser aux différents fonds d’adaptation et d’atténuation.
Le Président Fritch s’est exprimé devant le Groupe des dirigeants polynésiens en mettant en avant l’importance de parler d’une voix commune, avec tous les Etats et territoires polynésiens, sur un sujet aussi primordial, se félicitant du succès de la conférence du PLG sur ce thème organisée en Polynésie française les 15 et 16 juillet, comme cela a été souligné par le président de la République, François Hollande.
Des présentations sur la pêche dans le Pacifique, la pêche illégale étant une problématique régionale concernant tous les états et territoires polynésiens, ont suivi. Puis, le PDG d’Air Tahiti Nui, Michel Monvoisin, qui accompagnait la délégation de Polynésie française, a fait le point sur les liaisons aériennes régionales, l’idée de développer la « route du corail », les liaisons aériennes entre les îles polynésiennes du Pacifique, étant de nouveau d’actualité.

A l’issue de la réunion, le président du conseil du gouvernement de Tokelau, Siopili Perez, a été désigné comme nouveau président du PLG pour une année.

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Le Centre des Métiers d'Arts démarre ses activités, ce lundi.

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Le Centre des Métiers d'Arts démarre ses activités, ce lundi.
PAPEETE, le 06/09/2015 - Ils sont plus de 40 élèves à suivre cette année, des formations au sein du Centre des Métiers d'Arts (CMA). Durant trois ans, ils pourront apprendre les techniques adéquates pour devenir un bon artiste. Aujourd'hui, l'établissement dispense de deux filières : la gravure et la sculpture. La direction note un taux de réussite important, à hauteur de 70 %, au bout de trois années d'apprentissage.

Le Centre des Métiers d'Arts démarre officiellement ses formations ce lundi matin. Cet établissement dispose de deux filières : gravure et sculpture, afin de permettre à leurs élèves d'être opérationnels sur le marché du travail au bout de trois années de formation.
Cette année, ils sont 42 élèves à suivre des cours au Centre des métiers d'arts (CMA) : 22 en première année, 10 en deuxième année et 10 également en 3ème année. "Le parcours individuel de ces élèves est différent, il y a certains qui viennent d'universités, qui sont bacheliers, d'autres qui ont juste un CAP et d'autres qui sont demandeurs d'emploi", nous explique Viri Taimana, directeur du CMA.

Vendredi dernier, l'heure était à la préparation des salles de formation avant le démarrage officiel ce lundi. Répartis dans plusieurs ateliers, les élèves de première année sont réunis dans une même salle avec leur professeur d'arts plastiques. "Nous sommes en train de trier et ranger les dessins des anciens élèves pour que nous puissions afficher le travail de ces nouveaux élèves", assure Jessie.

Dans les ateliers de sculpture et de gravure, les 2ème et 3ème années nettoient de fond en comble leurs salles. Pour ces anciens, leur formation au sein de cet établissement leur est bénéfique. "Je travaillais avant dans une station de service, je me suis rendu par la suite à Fakarava pour travailler dans la restauration. Un jour je me suis dit que je voulais faire de la parure et tout ce qui touche à la nacre. J'ai appris les bases et j'ai beaucoup évolué dans le dessin", explique Georges, élève en troisième année. "Je suis intéressée par tous les cours que propose le CMA, culture, dessin, art numérique. Je suis une passionnée de la culture océanienne. Quand on vient au CMA, on appartient à une famille d'artistes et on se complète", confie Heiata, élève en troisième année.

Selon le directeur du CMA, le taux de réussite est de 70 %, au bout des trois années. Mais Viri Taimana voit plus loin et souhaiterait qu'un statut de l'artiste soit mis en place.


UN PROJET DE STATUT POUR LES ARTISTES
Depuis l'année dernière, professionnels et ministère de la culture se penchent sur la mise en place d'un statut de l'artiste. Un texte qui permettra de professionnaliser le secteur mais aussi "pour avoir une reconnaissance au niveau de la société polynésienne et pour que la profession soit garantie. Parce qu'on ne peut pas s'improviser artiste et il ne faut pas que ce secteur soit un secteur de survie. Il faut aussi que la société civile et l'administration reconnaissent ce secteur", s'écrie Viri Taimana.

Le directeur du CMA souhaite également attirer l'attention du gouvernement sur les valeurs de la culture polynésienne en faveur du tourisme. "Lorsque le touriste arrive et voit des bâtiments qui ressemblent à des bâtiments qu'ils ont chez eux, ce n'est pas un dépaysement. Par contre, si l'architecture polynésienne nous ressemble, automatiquement, c'est un dépaysement pour le touriste. Donc il faut un travail en commun. Si en France, les architectes sont reliés au ministère de la culture, c'est qu'il y a une raison. Et ici, nous avons une société où l'architecture ne correspond pas au Pays dans lequel se construit cette architecture. Il faut obligatoirement rassembler les architectures sous la tutelle du ministère de la culture pour qu'ils construisent des bâtiments qui nous ressemblent", remarque Viri Taimana.

Aujourd'hui, le statut de l'artiste est en phase d'être terminé, il devrait d'ailleurs bientôt passer en conseil des ministres. Et Viri Taimana de dire, "nous sommes allés à toutes les réunions mais après on nous a évincés. On nous a dit que maintenant que le statut est terminé, vous êtes plutôt des artisans. Donc on s'est retrouvés sur le côté, mais ce n'est pas grave vu qu'il est terminé. Et on espère qu'il correspondra à nos attentes".

Le Centre des Métiers d'Arts démarre ses activités, ce lundi.

Le Centre des Métiers d'Arts démarre ses activités, ce lundi.

Le Centre des Métiers d'Arts démarre ses activités, ce lundi.

Le Centre des Métiers d'Arts démarre ses activités, ce lundi.

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Va’a - Air Tahiti Nui Race : Une journée récréative réussie…et une victoire pour Air Tahiti Va’a.

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L’association sportive Air Tahiti Nui Va’a a organisé une journée sportive et récréative à Punnauia, toute la journée de samedi. Les activités proposées étaient nombreuses, l’événement central a été la course de pirogue V6 de 30 KM. Les stars du SUP étaient également présentes pour venir soutenir l’association. C’est le club Air Tahiti Va’a qui s’est imposé lors de la course V6, devant Arue Va’a et Te Niu Va’a.
Va’a - Air Tahiti Nui Race : Une journée récréative réussie…et une victoire pour Air Tahiti Va’a.
PUNAAUIA le 6 septembre 2015. Le club Air Tahiti Nui Va’a a organisé une journée sportive et récréative sur le site des trois pontons de Orohiti, à Punaauia. L’événement central a été la course de pirogue V6 qui s’est faite sur un parcours de 30 km Orohiti-Papeete-Sapinus-Orohiti. C’est le club Air Tahiti Va’a qui s’est imposé en bouclant le parcours en 1H59 devant Arue Va’a en 2H01 et Te Niu Va’a en 2H05.
 
Une trentaine de pirogues ont pris le départ, toutes catégories confondues. Chez les femmes c’est Mata Are Va’a qui s’est imposée, chez les vétérans c’est Tohivea Va’a qui s’impose devant team Opt et l’Amicale Toa Tai Va’a. Il n’y avait qu’une pirogue junior : Honoura Va’a. La participation chez les femmes et les juniors a été timide.

Va’a - Air Tahiti Nui Race : Une journée récréative réussie…et une victoire pour Air Tahiti Va’a.
La  journée a été riche en émotions avec une animation de Crossfit, une course de SUP pour les enfants gérée par le champion ambassadeur ATN Georges Cronsteadt, un défilé de mode, une course de SUP pour les débutants et une course en relais prone-SUP-V1 qui s’est déroulée sur le plan d’eau de Orohiti. L’animation musicale a été assurée par Vevo puis Pepena.
 
Un billet d’avion ainsi que de nombreux lots ont été tirés au sort. Divers stands étaient également présents, des stands liés au matériel de SUP, au Noni, avec également un stand de restauration. Les organisateurs se sont montrés satisfaits de la journée qui s’est déroulée en présence de nombreux champions de SUP comme Georges Cronsteadt, Niuhiti Buillard, Lorenzo Bennett ou encore Bruno Tauhiro.
 
La compagnie au Tiare sponsorise des évènements qui sont dans l’air du temps comme le Tahiti Waterman Tour, une variante du triathlon autour du SUP. Elle soutient également des champions de SUP Race pour leur permettre de défendre les chances de Tahiti à l’étranger, comme Gorges Cronsteadt ou tout récemment Niuhiti Buillard.

Va’a - Air Tahiti Nui Race : Une journée récréative réussie…et une victoire pour Air Tahiti Va’a.
Vetea Sanford, commandant de bord, Président de Air Tahiti Nui Va'a :
 
Tu es à l'origine de l'association ?
 
« Tout à fait. On avait crée dans un premier temps l'association Air Tahiti Va’a où j'ai travaillé pendant une dizaine d'année. Quand je suis arrivé à Air Tahiti Nui, j'ai repris la même idée et on a crée Air Tahiti Nui Va'a. Il a donc une filiation entre ces deux clubs. J'ai beaucoup de passion pour ce sport et beaucoup de reconnaissance pour ce club qui a beaucoup évolué. On est pilote quelque part, on continue à piloter en quelque sorte, on essaie d’apporter quelque chose au sport. »
 
Tu étais pratiquant de motocross au départ ?
 
« Oui, j'ai couru à un bon niveau quand même, un jour Roberto Cowan m'a dit que c'était complémentaire, qu'il fallait travailler la souplesse et l'endurance, donc je me suis mis à ramer un peu. Pour l'instant, je pratique surtout la rame mais je participe toujours à des courses de motocross aux Etats Unis en vétéran, le niveau vétéran aux US est au Top. »
 
C'est important le sport dans la vie d'entreprise ?
 
« C'est fédérateur surtout, cela apaise les tensions qui peuvent apparaître dans le stress quotidien et dans une compagnie aérienne c'est un bon moyen de travailler en équipe. Sur une pirogue, tout le monde rame ensemble, c'est un peu le message que j'aimerais passer au travers du va'a. »

Va’a - Air Tahiti Nui Race : Une journée récréative réussie…et une victoire pour Air Tahiti Va’a.
Dans le va’a, le sport d’entreprise produit des champions, comme Shell ou Edt ?
 
« On a pas beaucoup de moyens, on est une petite association loi 1901. On se débrouille avec le concours de nos navigants, de ceux qui travaillent au sol, on essaye de lever des fonds comme on peut, de temps en temps on fait des ventes de plats, on essaye de trouver des sponsors. Air Tahiti Nui nous a beaucoup aidés au travers du service marketing, c'est de bon augure pour la suite, pour tenter de se développer à l’étranger, pourquoi pas. »

Vous avez élargi le champ des activités proposées par rapport à l'édition 2014 ?
 
« On a peu gonflé notre organisation. Il y a eu du paddle, du V1 et du prone, vu que le SUP est un sport à la mode, on essaie d'être à la page et surtout d'attirer du monde pour que cela soit la fête du sport. Le sport c'est difficile, cela demande beaucoup de préparation, il faut donc garder un côté ludique pour pouvoir durer, se remotiver, c'était aussi l'objectif de cette journée. »
 
Un remerciement ?
 
« Un grand merci à nos sponsors, Air Tahiti Nui, la Brasserie de Tahiti, le comité d'entreprise d'ATN, Aremiti, Morinda etc...Merci à tous. Quelle chance d'avoir cette belle journée, je craignais un peu le mauvais temps qu'il y a eu dernièrement. On a toujours le souci de sécurité, pour l'instant tout est comme prévu, on est satisfaits. On s'attendait à plus de participation chez les femmes. Merci à la police municipale de nous avoir accueillis. Je dédie cette journée à Guy Temauri, un grand champion qui a formé beaucoup de champions. »

Va’a - Air Tahiti Nui Race : Une journée récréative réussie…et une victoire pour Air Tahiti Va’a.

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14ème édition du Raid Painapo : les inscriptions s'ouvrent ce lundi

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MOOREA, le 6 septembre 2015. Le Te Moorea Club informe que la 14ème édition du Raid Painapo est organisée le samedi 19 septembre 2015 sur l’île de Moorea. Course par équipe de 2 ouverte aux licenciés et non licenciés en athlétisme. Les inscriptions sont ouvertes du 7 au 16 septembre.


Course Toa (19,5km) : à partir de 18 ans (né en 1997).

Course Arearea (6km) : à partir de 15 ans (né en 2000).

Arrivée à la plage publique de Temae.

Bureau d’inscription du 7 au 16 septembre :
• Papeete : quai des ferries 1er étage (de 08h00 à 17h00).
• Moorea : antenne de la Direction de la Jeunesse et Sports Paopao (de 07h30 à 15h30).
Dernier délai pour les inscriptions : Papeete - 16/09 à 17h00 et Moorea - 16/09 à 15h30. Inscription et paiement possible sur Klikego.com/raid Painapo 2015.

Fournir un certificat médical de non contre-indication à la pratique de la course à pied daté de moins d’un an (sauf licencié athlétisme) et une autorisation parentale pour les mineurs. Les licenciés triathlon devront fournir une copie de leur licence.

Rappel des horaires du raid

05h00 = convocation des athlètes au quai de Papeete
05h20 = briefing de course
05h30 = embarquement Aremiti 5 athlètes course TOA uniquement
05h30 = embarquement Aremiti Ferry athlètes course AREAREA + familles + clients Aremiti
07h30 = départ des deux courses
12h00 = remise des prix
13h00 = concert
14h30 = fin du concert
14h35 = départ des bus vers le quai
15h30 = départ Aremiti Ferry

Attention : Obligation d’avoir 3 litres d’eau/participant au départ et temps limite 3h00.
Tout athlète courant seul sans son coéquipier se verra déclassé automatiquement.

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Ségolène Royal rencontre la fédération culturelle et environnementale des Marquises Motu Haka

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Ségolène Royal rencontre la fédération culturelle et environnementale des Marquises Motu Haka
MOTU HAKA, La fédération culturelle et environnementale des Marquises, porte le projet d’inscription de l’archipel au patrimoine mondial de l’Unesco. Elle a su réunir les îles vers un dessein commun, mais aussi y impliquer les populations et ce, à tous les niveaux.

L'école un cadre évident pour la sensibilisation des enfants à la protection du patrimoine, tant naturel que culturel, mais aussi à la gestion de celui-ci, cv'est pourquoi pour préparer les élèves au travail effectué par les plus grands, Motu Haka développe des outils pour inspirer ces nouvelles générations, c’est le cas des "Aires Marines Educatives". C’est le message qu’a souhaité transmettre Toti Teikiehuupoko, président de Motu Haka, auprès de la ministre de l’écologie française Ségolène Royal lors de la conférence sur la transition écologique pour la croissance bleue et le climat du lundi 31 aout dernier à Paris.

En effet, la Ministre avait souhaité réunir des professionnels de la mer et des ONG (organisations non gouvernementales) pour dresser un plan d’action horizon 2017 pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés pour le bonne gestion de l’océan. Seule ONG d’outre-mer à être présente, Motu Hakaa pu bénéficier d’un temps de parole pour présenter l’initiative polynésienne des aires marines éducatives qui a été initiée aux Marquises avec le soutien de la fédération et de nombreux partenaires. Le concept a été salué par les 200 autres invités, issus exclusivement du privé (entreprises, cluster maritime, armateurs, pêcheurs, ports, etc.) et du monde associatif (WWF, Humanité et biodiversité, Ligue de protection des oiseaux, etc.).

De plus, Toti Teikiehuupoko a pu s’adresser directement à la ministre lors d’un entretien au sein même de son cabinet, où a été rappelée, comme en séance publique, sa volonté nationale d’accompagner le dossier Marquises-Unesco. Elle a aussi félicité le projet polynésien porté par les enfants du Fenua Enata : "Pukatai ou le premier réseau des Aires Marines Educatives au monde".

http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/27-08-15_OBJECTIFS_de_la_CONFERENCEv6.pdf

Ségolène Royal rencontre la fédération culturelle et environnementale des Marquises Motu Haka

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Suicide : en parler pour tenter de désamorcer le passage à l'acte

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Suicide : en parler pour tenter de désamorcer le passage à l'acte
PIRAE, le 6 septembre 2015. Ce Jeudi -le 10 septembre-, la journée mondiale de prévention du suicide se déroulera essentiellement dans les jardins de la mairie de Pirae avec les intervenants de l'association SOS Suicide. Chaque année, environ 25 personnes se suicident en Polynésie française.

"Le suicide : en parler c'est déjà ne plus être seul". Ce slogan de l'association SOS Suicide en dit long sur le moyen le plus efficace pour assurer la prévention et éviter le passage à l'acte, c'est pourquoi depuis 13 ans cette journée mondiale de prévention du suicide est une étape importante pour aborder avec le grand public ce problème de société qui affecte particulièrement en Polynésie française la tranche des 15-44 ans.

Depuis 2006, inlassablement, les bénévoles de l'association assurent une permanence téléphonique via la "ligne de crise". Le lieu d'écoute du centre de prévention du suicide installé au dispensaire de Punaauia est le point névralgique de la stratégie de l'association : près de 400 appels sont traités chaque année sur place, les deux-tiers des appels émanant de personnes en situation de crise avérée. "Les personnes qui appellent sur la ligne de crise veulent une oreille attentive. Ils veulent parler et n'ont pas besoin spécialement que l'on dialogue avec eux. Ils parlent sans discontinuer de ce qui leur arrive, de ce qu'ils ressentent. En général, au bout de 20 minutes d'écoute on sent que la respiration s'apaise, que la voix devient plus claire… Quelques-uns rappellent quelques jours après pour nous dire que ça va mieux".

Pour Annie Meunier, la vice-présidente de l'association SOS Suicide, ce fil tendu entre deux personnes anonymes est essentiel pour chercher à désamorcer des situations de crise d'une personne en détresse. Le fait même qu'ils appellent prouve bien qu'ils ont encore un espoir mais personne autour d'eux pour se confier. "Pour quelqu'un qui est en pleine crise suicidaire, il suffit parfois seulement de pouvoir en parler pour faire cesser l'envie du passage à l'acte. En parler à quelqu'un d'anonyme est souvent une bonne solution" explique le docteur Stéphane Amadeo, président de SOS Suicide.

Après la "ligne de crise" qui a déjà neuf années d'existence, l'association aimerait pouvoir développer un suivi des personnes qui ont déjà fait des tentatives de suicide. "Ce sont en effet les personnes les plus vulnérables pour un passage à l'acte". Dans les pays anglo-saxons des centres de suivi et des méthodes ont été mises en place pour maintenir ce lien avec ces personnes fragiles. Une délégation polynésienne a pu se rendre à Québec et à Montréal en juin dernier suivre quelques-uns de ces centres, ils rendront compte jeudi prochain lors de conférences dans les jardins de la mairie de Pirae des bienfaits de ces expériences.



EN CHIFFRES


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C'est le nombre de suicides recensés officiellement en Polynésie française en 2011 (dernier comptage effectué). On compte en moyenne chaque année 200 à 300 tentatives de suicide sur le territoire. L'âge moyen du passage à l'acte est de 30 ans en Polynésie : les deux tiers des suicidés sont des hommes ayant eu recours à la pendaison (mode opératoire le plus usité) ; les trois quarts des tentatives de suicide concernent des femmes. En Polynésie, les motifs du suicide ou de la tentative de suicide sont le plus souvent liés à des problèmes d'ordre affectif.

Suicide : en parler pour tenter de désamorcer le passage à l'acte
Programme du 10 septembre

A Moorea, au Collège de Paopao

8h00-15h00 : Intervention de sensibilisation, point d’écoute

A Punaauia au Centre de Prévention du Suicide (au 1er étage du dispensaire de Punaauia)

14h00-16h00 : Journée portes ouvertes avec présentation du centre, point d'écoute

A Pirae dans les jardins de la mairie

17h00 : Conférences sur l’expérience canadienne et américaine en matière de prévention du suicide et compte rendu du Congrès mondial de l’Association Internationale de Prévention du Suicide qui se déroulait à Montréal en juin 2015
18h00 : Questions / réponses
18h30 : Clôture des conférences
18h45 : Ouverture du concert, allocutions des officiels, prière et chants
19h00 : Concert de Ukulele
20h00 : Cérémonies des bougies en mémoire des suicidés et suicidants de l’année
20h15 : Clôture

Au CHPF, dans l'amphithéâtre de l'hôpital (2e étage)

20h30 : Visio-conférence de Philippe Carette (Psychologue du Centre de Prévention du Suicide Popincourt, Paris) pour la présentation du projet de centre "Culture et Santé"
21h30 : Clôture

Suicide : en parler pour tenter de désamorcer le passage à l'acte
Contacts

La ligne de crise de l'association SOS Suicide est ouverte 24 h/24 et 7j/7. Cette permanence téléphonique est assurée par des bénévoles. L'appel vers le numéro vert est gratuit depuis un poste fixe au 444 767. On peut aussi appeler le portable de l'association au 87 20 25 23 ou adresser un SMS pour se faire rappeler dans la foulée. Le site Internet : www.sossuicide.pf et encore la page Facebook : Solidaire à SOS Suicide (Polynésie Française)

Une enquête sur la santé mentale et le suicide


En octobre prochain, l'association SOS Suicide mènera une étude sur un échantillon représentatif de la population polynésienne de 900 personnes à Tahiti et Moorea sous la forme d'un questionnaire d'une dizaine de questions qui permettra de mesurer sur le territoire la "tentation suicidaire" de la dépression passagère jusqu'à la tentative réelle de suicide. Cette enquête sur la santé mentale de la population générale répond à des critères internationaux permettra "de mieux connaître la fréquence du risque pathologique associé au suicide, en lien aussi avec les pratiques culturelles" explique le docteur Stéphane Amadeo et fournira de nouvelles données chiffrées alors que la dernière étude générale sur le sujet en Polynésie date de 1999. Une trentaine d'enquêteurs seront sollicités pour cette étude sur le terrain (en lien notamment avec l'institut de soins infirmiers).

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A Moorea, la baignade est interdite passe Taotaha

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A Moorea, la baignade est interdite passe Taotaha
MOOREA, le 6 septembre 2015. Le 16 juin dernier, la municipalité de Moorea signait un arrêté municipal pour interdire la baignade sur près d'un kilomètre de son littoral à Haapiti, entre les pointes Niamuru et Iritau. Depuis, un panneau d'interdiction de baignade a été placé sur la plage. Mais rien n'est dit précisément sur les dangers de la passe. L'arrêté municipal a été publié en fin de semaine dernière dans le Journal officiel de la Polynésie française.


"La passe est dangereuse. Tous les gens qui habitent là, le savent, mais il nous fallait prévenir des dangers les étrangers, ceux qui passent-là en se promenant le long de notre littoral et qui se mettent à l'eau sans savoir". Evans Haumani, le tavana de Moorea qui nous fait cette déclaration a signé un arrêté d'interdiction de baignade quelques jours après que sa commune était condamnée à indemniser de 19,8 millions de Fcfp la famille d'Hugues Fagot, décédé dans la passe de Taotaha.

La décision de la Cour administrative d'appel de Paris dans cette affaire de noyade a été rendue publique le 28 mai, l'arrêté municipal interdisant la baignade "jusqu'en 2020" a été signé le 16 juin 2015. L'arrêt de la cour administrative d'appel pointait que la mairie de Moorea n'avait mis en place à cette époque aucune signalisation "indiquant l'existence d'une passe réputée dangereuse, alors que plusieurs noyades s'étaient précédemment produites au même endroit", mais aussi les dysfonctionnements dans l'organisation des secours vers le paddler en difficulté.

Pour éviter d'engager de nouveau sa responsabilité en cas de nouvel accident -quatre noyades au moins ont été recensées au cours de ces dernières années sur le même site- le maire de Moorea a donc signé un arrêté d'interdiction de baignade. "La zone maritime entre la pointe Niamaru et la pointe Iritau de la commune associée de Haapiti (zone comprenant la passe Taotaha) est déclarée dangereuse en raison des risques de noyades dus aux forts courants et la baignade y est déclarée interdite" jusqu'au 30 octobre 2020.

En arrivant sur le site, les touristes et autres "étrangers" de passage sur le littoral de Moorea, qui auraient envie de se mettre à l'eau sont ainsi prévenus que la baignade est interdite à partir de ce site, sans explications sur les raisons de cette interdiction, à savoir les forts courants dans la passe, ni sur les limites précises à partir desquelles s'appliquent cette interdiction. Pourtant, selon le code général des collectivités territoriales il incombe au maire de signaler aux baigneurs les dangers inhabituels, anormaux ou non apparents qui peuvent surprendre un nageur normalement prudent. Les baigneurs doivent connaître la nature du risque encouru et la limite des zones périlleuses. Enfin selon l'arrêté municipal pris par Moorea, seule la baignade est interdite : il n'est pas fait mention de la pratique d'activités sportives nautiques.


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La police fait la chasse aux runs sauvages et aux scooters volés

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La police fait la chasse aux runs sauvages et aux scooters volés
PAPEETE, le 6 août 2015 - La DSP a organisé une opération ciblée dans la nuit de vendredi à samedi de Pirae à Papeete. Leur objectif : les rassemblements de deux-roues qui se défient dans des courses à risques sur les grands axes. L'occasion, aussi, de contrarier voleurs et receleurs de scooters dont l'activité est en hausse de 30 % depuis le début de l'année.

Le constat est unanime, en zone police comme en zone gendarmerie. L'activité des voleurs de deux-roues repart à la hausse depuis plusieurs mois. Certains n'hésitent plus à s'introduire dans des propriétés fermées pour dérober les engins, même cadenassés. Relativement faciles à faucher, scooters et motos trouvent vite preneurs sur le marché noir. Facilement démontables, les pièces détachées à bon prix sont également très recherchées.

Pour contrecarrer les plans des voleurs, la direction de la sécurité publique (DSP) a déployé une bonne partie de ses effectifs, dans la nuit de vendredi à samedi, sur les spots traditionnellement fréquentés par les amateurs de runs, ces courses sauvages où des dizaines de jeunes se tirent la bourre dans la circulation au mépris de toutes les règles de sécurité. Un nid à deux-roues.

"Depuis le début de l'année, et par rapport à 2013, nous estimons que les vols de deux-roues ont progressé d'environ 30 % sur le secteur police", confie le commandant Tamatea Tuheiava, chef de l'unité de sécurité et de proximité de la DSP. "Nous avons l'instruction de tout mettre en œuvre pour enrayer cette explosion des vols de deux-roues. Ce soir nous allons en contrôler un maximum".

48 engins contrôlés, 2 immobilisations

Comme souvent, c'est du côté du parking des roulottes de la salle Aorai Tini Hau, à Pirae, que les forces de police ont concentré leurs efforts. Le spot est prisé des runners. Point de départ de courses mêlant parfois une dizaine d'engins de front, slalomant entre les voitures, le plus souvent feux éteints, le parking est aussi le lieu de rassemblement de ceux, en règle, qui viennent pour voir.

Il n'est pas loin de minuit, les moteurs pétaradent, les roues arrières et les défis se multiplient sur l'avenue prince Hinoi jusqu'au front de mer. C'est le moment que choisissent les quatre ou cinq fourgons de policiers pour refermer la nasse. Les entrées et sorties du parking sont bouclées, en un peu plus d'une heure, 48 deux-roues sont contrôlés, des papiers jusqu'aux numéros de série des cadres, moteurs et autres pièces mécaniques. Deux engins sont rapidement immobilisés, les numéros de série ne collent pas. On y est.

Le jeu du chat et de la souris

Si le commandant Tuheiava n'est pas dupe et sait que la majeure partie de ceux qui ont quelque chose à se reprocher ont sans doute réussi à s'échapper -et pas question d'engager de courses-poursuite pour des raisons évidentes de sécurité- il compte néanmoins sur l'effet dissuasif de ces opérations à condition qu'elles soient régulières.

Une opération qui a aussi permis de faire d'une pierre deux coups. "Nous en profitons, dans la foulée, pour disperser ces rassemblements de runners qui réunissent certains soirs plusieurs centaines d'engins", poursuit le commandant Tamatea Tuheiava. "Beaucoup de riverains se plaignent des nuisances sonores que génère ces courses. C'est fluctuant mais en ce moment il y en a souvent". Sans compter les risques inconsidérés que prennent ces jeunes au guidon de leurs deux-roues trafiqués pour la plupart, sans éclairage et système de freinage adapté pour beaucoup d'entre-eux.

Le jeu du chat et de la souris entre la police ces amateurs de sensations fortes s'est poursuivi une partie de la nuit. Vers 1 h 30, les uniformes ont quitté le parking Aorai Tini Hau. Dix minutes après, les engins tapis dans l'ombre qui n'attendaient que ça depuis les rues adjacentes étaient déjà de retour.

La gendarmerie aussi tire la sonnette d'alarme
En avril dernier déjà, la gendarmerie appelait elle aussi à la vigilance après avoir constaté dans sa zone de compétence, depuis 3 ans, une augmentation constante des vols de cyclomoteurs et de scooters. 73 deux roues ont ainsi été dérobés en 2013, 103 en 2014, une tendance qui se confirme en 2015 avec déjà 39 vols de ces engins motorisés au cours du premier trimestre de l'année.

30 % seulement des engins sont retrouvés

Les vols ont principalement lieu la nuit, dans l'enceinte de résidence au domicile du propriétaire, et dans 50% des cas les deux roues n'étaient pas cadenassés.
Les engins sont très rapidement repeints, maquillés ou démontés. Les pièces sont remontées sur d'autres cyclomoteurs.

Ainsi seulement 30 % d'entre eux sont retrouvés et restitués à leur propriétaire. 
Des mesures simples dissuadent pourtant la plupart des voleurs : Ne pas laisser la clef sur le Neiman et verrouiller systématiquement le système antivol même à son domicile, ne pas laisser l'engin visible depuis la rue et... cadenasser son véhicule à un élément fixe du lieu de stationnement ( poteau, clôture, etc.)

La police fait la chasse aux runs sauvages et aux scooters volés

La police fait la chasse aux runs sauvages et aux scooters volés

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Les matinées du e-Business commencent demain

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Les matinées du e-Business commencent demain
PAPEETE, le 6 septembre 2015 - À partir de mardi et jusqu'à vendredi, le lycée hôtelier va accueillir une foule de chefs d'entreprises intéressés par les nouvelles technologies et leurs conséquences sur l'avenir de leurs affaires. Ils vont en particulier écouter avec attention les conférences de trois spécialistes, dont un directeur de Facebook France.

Après Google en avril, cette fois c'est au tour de Facebook de venir parler aux dirigeants et cadres d'entreprises polynésiennes. Alexandre Ventadour, directeur Agency Partner chez Facebook France leur parlera de social media, de branding (image de marque) et de performance lors d'une série de conférences payantes de mardi à jeudi, avant de finir sur un atelier de formation le vendredi 11 septembre.

Il ne sera pas seul, puisque deux autres spécialistes vont aborder d'autres aspects de la révolution numérique, lors de conférences cette fois gratuites (les ateliers restent payants).

Mickaël Grain, travaillant pour le spécialiste de la publicité en ligne ultra-ciblée Sociomantic, parlera de "la publicité au service de la marque et du client" lors d'une conférence le 8 septembre, puis lors d'un atelier le jeudi 10 septembre dans la matinée.

Enfin Julie Makhortova de PayZen, une plate-forme de paiement sécurisée en ligne (présente en Polynésie via l'OSB), animera une conférence le mercredi 9 septembre sur le thème "le paiement en ligne, l'aboutissement du tunnel de conversion", et encore une fois un atelier payant le jeudi après-midi.

IL RESTE DES PLACES

Si lors de l'édition d'avril les places s'étaient vite épuisées, le retour des vacances (ou les thèmes tournant autour de la promotion et de l'image de marque sur le net, que les chefs d'entreprises pourraient – à tort – ne pas prendre au sérieux) fait que tout n'est pas encore réservé. Même les conférences gratuites ont encore quelques disponibilités nous confirme Guillaume Proia, l'organisateur.

Toutes les réservations se font sur le site www.matinees-ebusiness.com.

Concernant les tarifs, les conférences de Julie Makhortova et Mickaël Grain sont gratuites. Celles d'Alexandre Ventadour sont proposées à 6 600 Fcfp par matinée. Par contre les ateliers sont tous payants, et ont pour condition d'avoir assisté à la conférence de l'intervenant correspondant. Celui de Facebook est à 89 900 Fcfp, ceux de PayZen et Sociomantic sont à 49 000 Fcfp chaque. Tous les prix sont hors taxes.

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Au garage participatif de Taunoa chacun met les mains dans le cambouis

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Au garage participatif de Taunoa chacun met les mains dans le cambouis
PAPEETE, le 6 septembre 2015. Un nouveau concept communautaire pour réparer voitures, moteurs de bateaux et motos a été lancé il y a un peu plus d'un mois. C'est un garage participatif où chacun peut apporter sa voiture et disposer des outils et des conseils nécessaires pour la réparer soi-même. A Papeete, ce garage différent a pris place dans le quartier de Taunoa

Yves Jeager était professeur à l'Éducation Nationale. Après un passage au Taaone entre 2007 et 2011, il est tombé amoureux de la Polynésie, et il ne pouvait plus supporter la métropole à son retour. Au bout d'un an, il profite du dispositif de départs volontaires créé par Sarkozy, démissionne et vient s'installer au Fenua.

Un changement total de vie, qu'il ne regrette en rien. Enseignant en mécanique, il aurait pu ouvrir son propre garage. Mais l'enseignement, c'est sa vie : "la communication, la pédagogie, l'envie de transmettre. On a ça dans le sang, c'est plus qu'un métier, presque un sacerdoce" explique-t-il. Pas de surprise du coup qu'il se soit lancé dans la formation. D'abord auprès des professionnels, puis avec le Sefi pour les demandeurs d'emplois avec son entreprise Auto Formation Polynésienne.

Sauf que les contrats avec le Sefi ne seront renouvelés qu'en 2016, crédits oblige, et que la formation des professionnels ne lui permet pas d'utiliser pleinement le matériel qu'il a dû acheter pour créer un vrai garage, pour 5 millions Fcfp. Mais dans cette ère où la chasse au gaspillage, le développement durable, l'économie solidaire et le partage des ressources devient primordial, un nouveau concept de garage participatif pouvait l'aider.

IL EXISTE DES GARAGES PARTICIPATIFS EN FRANCE DEPUIS LES ANNEES 60

"J'avais du matériel qui dors et qui s'abime sans être utilisé. Je connaissais le concept des garages participatifs, je me suis renseigné, et j'ai lancé ça en juillet dernier" explique-t-il. Un concept qui a tout de suite séduit sur Facebook, et la communauté comporte déjà 15 "gaspariens" de tous âges (de 25 à 57 ans) et qui inclut tout le monde, en particulier 20% de femmes…

En pratique, le garage participatif permet à la fois de réparer son véhicule à moindre coût, mais aussi d'acquérir des compétences en mécaniques : "le principe, c'est que les personnes payent une cotisation de 10 000 Fcfp à l'année, qui leur donne accès à un atelier équipé avec de l'outillage, de la documentation technique et mes compétences. Des conseils avisés qui peuvent parfois faire économiser pas mal d'argent, parce qu'une malfaçon ou une erreur d'interprétation et les conséquences peuvent être lourdes... Puis quand ils viennent, selon les disponibilités, ils réparent eux-mêmes leurs voitures, et ça ne leur coûte que 1000 Fcfp de l'heure. Juste de quoi payer le savon pour se laver les mains, les graisses et produits, le traitement des déchets dont je me charge…"

Yves ne fait pas de bénéfices sur le garage participatif, mais il évite malgré tout que son matériel s'use sans servir, ce qui coûte de l'argent et gaspille des ressources. Il y a aussi toute une idéologie : "c'est du partage, une prise de conscience sur les comportements irresponsables des politiques et des multinationales, et aussi d'arrêter le gaspillage et de partager toutes les ressources, même humaines. C'est se connecter."

Et l'économie participative ne veut pas dire dormir sous les ponts. Ainsi, malgré les conseils de l'expert les plus novices en mécanique peuvent se sentir perdus devant leur capot ouvert. Pour eux et tous les curieux, il organise des formations les week-ends, nommées "Roule ma poule" (voir encadré).
Jacques Franc de Ferrière
Légende : Yves Jeager et un de ses "gaspariens"


CONTACTS
Un site Internet www.auto-formation-polynesienne.com
ou sur la page Facebook Auto Formation Polynésienne



Au garage participatif de Taunoa chacun met les mains dans le cambouis
Roule ma poule : la mécanique pour les nuls

Un weekend sur deux, Yves Jeager organise aussi des formations destinées aux débutants, sur le "B-A-BA de la mécanique". En quatre demi-journées, les quatre ou cinq élèves apprennent les bases de l'entretien de leur auto (ils sauront changer une batterie ou faire une vidange ce qui ne serait "pas compliqué du tout") et du diagnostic des pannes… Et y gagnent aussi une révision complète de sa voiture, qui sert alors de support de cours.

La formation coûte 17 000 Fcfp, ou 19 000 Fcfp pour ceux qui amènent leur voiture à l'atelier pour une révision.

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Golf : Théo Carlotti termine deuxième à Massane-Montpellier

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Golf : Théo Carlotti termine deuxième à Massane-Montpellier
MASSANE, le 6 septembre 2015. Le golfeur tahitien s’est illustré en rendant une carte de -5 sur les trois journées cumulées sur le golf de Massane-Montpellier. Il fait désormais son entrée au ranking mondial amateur messieurs et poursuit son entraînement dans une sections sports-études.

La machine a eu du mal à se mettre en route pour Théo Carlotti lors de la première journée de ce tournoi de golf, avec un score de +2. Mais par la suite, le jeune golfeur enchaîne avec un -4 le deuxième jour puis un -3 le dernier jour. Il finit donc à seulement un point du leader et son début de compétition lui aura finalement été fatal.


Pour la troisième année consécutive, Théo Carlotti fait sa rentrée au pôle espoir golf du CREPS de Montpellier où Alexandre Bosseray, son coach, continuera de l’entrainer avec rigueur et complicité. Actuellement en terminale, le jeune athlète continue son double projet sport/études.


Crée en 1989, le Grand Prix du Golf de Montpellier Massane est inscrit au calendrier de la Fédération Française de Golf et de la Ligue du Languedoc Roussillon. Il est ouvert aux golfeurs et golfeuses amateurs de classement respectivement inférieur ou égal à 6.5 et 11.5. C'était cette année la 26e édition de cette compétition


Pour consulter les résultats en détails, CLIQUER ICI

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Tennis : Heve Kelley vers une carrière professionnelle

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Tennis : Heve Kelley vers une carrière professionnelle
PAPEETE, le 6 septembre 2015. Heve Kelley, 18 ans, champion de Polynésie senior, s’est envolé vers la Nouvelle-Zélande pendant le week-end dernier afin de suivre une année de sport-étude. Son objectif : devenir le premier professionnel polynésien en tennis.

Le tennis est une histoire de famille chez les Kelley. Hiro, le papa, est un ancien champion de tennis. Hotu, le grand frère, a été plusieurs fois champion de Polynésie dans toutes les catégories de jeunes il y a quelques années. Aujourd’hui, c’est Heve (1m92) qui compte aller plus loin en faisant de son sport son métier.

En attendant, Heve Kelley intègre la Saint Kentigern School en Nouvelle-Zélande, un tremplin dans l’optique de se faire détecter par des universités américaines, considérées comme une porte d'entrée pour une carrière sportive. Le coût d'une année scolaire pour Heve au sein de cette prestigieuse école privée néo-zélandaise s’élève à 50 000 dollars NZ (3,7 millions Fcfp) dont 50 % seront pris en charge par une bourse. Pour cette première année, les parents de Heve ont dû mettre la main à la poche. Air Tahiti Nui a néanmoins officialisé le statut d’ambassadeur du jeune sportif ce qui lui permet de bénéficier de sept voyages à l’année.

"C’est en 2012 que je me suis dit que c’était possible de devenir professionnel" confie Heve. "Je gagnais ici mais je pensais que le niveau ailleurs était très élevé et puis quand j’ai commencé à faire des tournois en Australie et en Nouvelle-Zélande, à atteindre les quarts et les demis, je me suis dit que c’était possible et qu’il fallait que je crois en moi".

Nicolas Guibal, l’entraîneur de Heve Kelley énumère les qualités qu'il a développées pour augmenter encore plus le niveau de jeu du jeune joueur : "J’ai commencé à l’entraîner à l’âge de 7 ans, dans la foulée de son grand frère, lors de petits stages à Moorea, à Pao Pao. Un an et demi après il a commencé à faire de la compétition et il s’est avéré que c’est un gagneur". Heve Kelley a remporté tous les titres de champion de Polynésie de tennis, dans toutes les catégories d’âge depuis ses 11 ans et en juin 2015, il remporte son premier titre de champion de Polynésie Adultes en 2ème série. Il avait déjà été surclassé les deux années précédentes, alors qu’il était encore junior.

La principale force du joueur ? Son coup droit, peut-être le plus rapide en Polynésie, selon son entraîneur. "Sa grande taille aussi lui permet d’avoir un grand abattage. Son revers n’est pas si mal : il a un tennis de fond de court sans réelle faille, le seul défaut qu’on peut lui trouver, c’est dans les montées au filet où il faut qu’il progresse encore. Mais ce qui est bien avec Heve, c’est qu’il a une grosse marge de progression".

A Saint Kentigern School, Heve Kelley ne sera pas le seul à arriver de Tahiti, il rejoint en effet Gilles de Gouy, ancien champion de Polynésie de tennis et responsable de l’école.

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Assises : Il avait tué sa mère et sa sœur dans leur sommeil, et photographié la scène

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Assises : Il avait tué sa mère et sa sœur dans leur sommeil, et photographié la scène
PAPEETE, le 6 août 2015 - La session du troisième trimestre de la cour d'assisses s'ouvre ce lundi matin au palais de justice de Papeete. Les jurés devront trancher dans six affaires, dont le pénible dossier Raiarii Tihupe Faana. Ce jeune homme de 25 ans avait tué sa mère et égorgé sa sœur de 14 ans au couteau de cuisine, en août 2013 à Tubuai dans l'archipel des Australes.


Après la traditionnelle journée d'information et la visite de la maison d'arrêt de Nuutania aujourd'hui, les jurés tirés au sort pour siéger lors de cette troisième session de l'année de la cour d'assises vont entrer dans le vif du sujet mardi. Au programme, six affaires étalées sur deux semaines, dont trois dossiers de viols sur mineurs et deux dossiers de meurtres particulièrement sordides.
Le premier de ces deux procès, qui se tiendra sur deux jours, s'ouvrira jeudi avec dans le box des accusés un jeune homme âgé de 25 aujourd'hui, Raiarii Tihupe-Faana. Renvoyé pour le double meurtre de sa mère, 48 ans, et de sa sœur fa'a'amu, 14 ans, il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

Agé de 22 ans à l'époque des faits, Raiarii avait froidement tué ses deux victimes au couteau de cuisine. Le jeune homme, qui habitait un modeste fare distant d'une cinquantaine de mètres de celui dans lequel dormaient les deux malheureuses, les avaient surprises en plein sommeil, au cœur de la nuit du vendredi 30 au samedi 31 août 2013. Il ne leur avait laissé aucune chance de survie. Le médecin légiste relèvera une dizaine de plaies à l'arme blanche sur la maman, poignardée à mort, et près d'une trentaine sur sa jeune sœur dont une plaie béante à la gorge.

Les mobiles de ce double meurtre restent encore aujourd'hui mystérieux. Toxicomane à ses heures, Raiarii s'était emporté contre sa mère qu'il jugeait trop sévère avec lui peu de temps avant le drame. La malheureuse aurait refusé de lui prêter les clés de sa voiture afin d'éviter qu'il aille s'enivrer avec les copains. Le destin tragique de la plus jeune est lié, Raiarii ayant semble-t-il voulu supprimer le seul témoin de la scène. Une cellule de crise avait été mise en place au collège où la petite victime, très appréciée de ses camarades de classe, était scolarisée.

Le jeune homme n'avait pourtant pas l'intention de s'enfuir. Il s'est présenté dès le lendemain matin à 6 h 30 à la brigade de gendarmerie locale pour se constituer prisonnier, deux couteaux de cuisine à la main. Détail sordide : il avait pris la peine de prendre des photos de la scène de crime, pour prouver aux gendarmes qu'il disait bien la vérité.

Une expertise et une contre-expertise psychiatriques ont abouti aux conclusions que cet homme ne souffrait d'aucune pathologie mentale au moment des faits, rendant ce meurtrier au sang-froid accessible à une sanction pénale.

Pris d'une "soudaine envie de tuer" sa femme

La deuxième affaire de meurtre sera jugée la semaine prochaine, là encore sur deux jours, les jeudi 17 et vendredi 18 septembre. Jacques Krauser, un sans domicile fixe de 61 ans, est accusé du meurtre sauvage de sa compagne, une femme de 48 ans, marginale également. Et là encore à coups de couteau. Le drame s'était déroulé dans la commune Toahotu, sur la presqu'île de Tahiti, dans la nuit du 22 au 23 juin 2013.

Le couple, sans histoire, était hébergé dans un fare dont il assurait le gardiennage. Le soir du drame, sans crier gare, l'accusé a comme été pris d'un coup de folie. Vers 1 h 30 du matin, des témoins abasourdis l'ont aperçu en train de courir après sa femme, un couteau à la main, et lui asséner deux coups mortels au thorax. C'est la malheureuse elle-même qui avait trouvé la force d'extraire la lame plantée dans sa poitrine, jetant l'arme aux pieds des badauds qui assistaient, médusés, à la scène. Les blessures, trop profondes, l'ont emportée quelques dizaines de minutes après son agression.

Interpellé par les gendarmes et placé en garde à vue, Jacques Krauser a d'abord livré une première explication terrifiante à son geste : "J'ai eu l'idée soudaine de tuer ma femme". Il s'est ensuite rétracté.

Jacques Krauser aurait déjà dû être jugé devant la cour d'assises, en novembre 2014, s'il n'avait pas tenté de se suicider à quelques jours de l'ouverture de son procès, par pendaison dans la cellule où il était placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Nuutania. Transféré à l'hôpital du Taaone, il avait été hospitalisé en réanimation puis à l'unité psychiatrique et son procès avait été renvoyé.

Le sexagénaire souffre en effet de troubles bipolaires et son état de santé devrait faire l'objet de débats devant la cour. Cette maladie se caractérise par une variation anormale de l’humeur : alternance de périodes d’excitation et de dépression, voire de mélancolie profonde, entrecoupées de périodes de stabilité. "La survenance du procès a provoqué chez lui une crise d'angoisse", avait précisé son avocat à l'époque, Me Mickaël Fidèle.

Assises : Il avait tué sa mère et sa sœur dans leur sommeil, et photographié la scène

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SUP 11 City Tour : Exceptionnel Steeve Teihotaata

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SUP 11 City Tour : Exceptionnel Steeve Teihotaata
AMSTERDAM, le 7 septembre 2015- 5 étapes sur 5 ! Le rameur d’EDT Steeve Teihotata a écrasé la concurrence en remportant cette semaine toutes les étapes de cette course de Stand Up Paddle organisée aux Pays-Bas. C’est la première fois qu’un athlète réalise une telle performance dans cette compétition. Chez les femmes, Seychelle Hattingh a aussi remporté les cinq étapes !

C’est un sans faute pour l’extra-terrestre Steeve Teihotaata dans cette SUP 11 City Tour ! Lors de la première étape longue de 44 km, le rameur originaire de Bora Bora prend une avance de 42 secondes sur le deuxième. Le lendemain, il s’impose de 15 petites secondes sur une étape de 47 km.

SUP 11 City Tour : Exceptionnel Steeve Teihotaata
Lors de la 3ème journée, il cartonne en terminant le tronçon de 42 km avec 1 minutes 43 secondes d’avance sur Florent Dode, son principal rival. 4ème journée de compétition et sur un parcours de 43 km, « Steevy boy » prend le meilleur dans les derniers instants, au sprint, encore face à Florent Dode notamment. Seulement quelques petites secondes d’avance pour le Tahitien dans cette étape. La 5ème et dernière échappée longue de 27 km permet à Steeve Teihotaata d’établir un nouveau record : le Grand Chelem sur la SUP 11 City Tour. Du jamais vu avant lui !

SUP 11 City Tour : Exceptionnel Steeve Teihotaata
Au classement général, le rameur d’EDT devance le second, Florent Dode d’environ 4 minutes. C’est le seul à avoir titillé le Tahitien tout au long de l ‘événement, le troisième étant à plus de 25 minutes au terme des cinq journées. Les deux stand up paddlers qui se sont partagés la plus haute marche du podium lors des cinq éditions précédentes, Peter Bartl et Bart de Zwart, ont respectivement accroché les 5ème et 6ème places. Félicitations à Steeve et joyeux anniversaire

Retrouvez plus de photos sur www.sportstahiti.com

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Cette semaine, l'artiste japonaise Fu Xiao Lan peint "en live" à la salle Muriavai

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Cette semaine, l'artiste japonaise Fu Xiao Lan peint
Te Fare Tauhiti Nui – Maison de la Culture vous rappelle que l’artiste Fu Xiao Lan, qui expose actuellement en salle Muriavai, proposera au grand public des démonstrations de peinture live de 15h à 16h tous les jours du lundi 07 au samedi 12 septembre inclus.

Afin de répondre à l’attente du public qui vient nombreux chaque jour, les horaires de l’exposition sont modifiés. Elle sera ouverte de 9h à 18h du lundi 07 au samedi 12 septembre inclus.

A la fois historique et artistique, cette exposition met notamment en valeur une quarantaine de toiles de Fu Xiao Lan.
Cette artiste est originaire de la région de Shenzhen, dans le sud de la Chine, d’où sont partis les premiers Chinois pour Tahiti. Spécialiste de la peinture à l’huile, cette jeune femme, qui parle le hakka, manie le pinceau avec une virtuosité et une rapidité étonnante. Pourtant, elle part dans la vie avec un lourd handicap. A l’âge de 4 ans, Fu Xiao Lan est brûlée et perd l’usage de ses mains suite à un incendie accidentel. Un handicap dont elle tire une véritable force et qui lui permet de réaliser des prouesses... avec seulement deux doigts.

Contact : Maison de la Culture : 40 544 546
Exposition : mardi 1er au samedi 12 septembre de 9h à 17h (12h le samedi)

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Maina Sage met sa réserve parlementaire entre vos mains !

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Maina Sage met sa réserve parlementaire entre vos mains !
PAPEETE, le 8 septembre 2015 - La députée Maina Sage fait appel aux internautes pour l'attribution de sa réserve parlementaire. Elle invite les visiteurs de sa page à voter pour leurs trois projets préférés. Vous avez jusqu'au 18 septembre pour vous faire entendre.

Au total pas moins de 34 associations, groupes, fédérations ont sollicité la réserve parlementaire de la députée Maina Sage. Ils sont neuf aux Tuamotu-Gambier, six aux Marquises, 14 à Papeete, Arue et Pirae et cinq à Moorea. Pour les découvrir, rendez-vous sur la page Internet de la députée. Vous aurez ensuite la possibilité de voter pour les trois projets qui vous auront le plus séduit. Le vote est ouvert jusqu'au 18 septembre.

Le projet qui aura retenu le plus grand nombre de votes gagnera trois points, de deuxième deux points et le troisième un point. Ces points viendront s'ajouter à la note attribuée par le jury qui se découpe ainsi : deux points sont attribués à la qualité du dossier, sa présentation, son sérieux, trois points à son originalité, un point à l'action environnement et un point à l'action handicap.

Au total, 15 millions de Fcfp seront attribués, ils correspondent à l'enveloppe de réserve parlementaire allouée chaque année aux députés par l'Assemblée nationale. En 2015, sept demandeurs ont bénéficié de cette réserve, pour un montant global de 14,8 millions fcp (124 263 €). L'appel à candidature s'est achevé le 28 août, la validation des pré-inscriptions et la transmission des projets à l'Assemblée national se feront le 5 octobre. La décision d'acceptation des dossiers par le rapporteur général du budget est prévue en janvier. Suivront les remises des dossiers aux ministères désignés (entre janvier et mars).

Pour qui voter?

Les 34 demandeurs sont : l'association Vaitani, l'association du Festival international du film documentaire océanien (Fifo), la délégation polynésienne de la Croix rouge française, la coopérative scolaire de Tatakoto, Heiva i Tatakoto, le comité des sports et de la jeunesse de Ua pou, l'association Ta'ata ti'a, l'As Aorai, le Te Moorea club, Proscience, Te hina o te motu haka, Tiare Kahaia, la coopérative scolaire de l'école Ahutoru, l'association Kamave, Heiva i Manihi, l'assocaition Team barrière, l'association to tiare, l'association Raunui, l'association de l'école primaire de Manihi, la fédération tahitienne de natation, l'association Fetia muay thai, l'assocaition des hôtels de famille de tahiti et ses îles, la coopérative du collège taaone, la fédération culturelle et environnementale Motu haka o te henua enata, l'assocaition source de vie Puna ora, l'association Tahiti Fa'ahotu, l'As tamarii tapuhute, l'association Te mana o te moana, l'association Va'a motu, l'association Eimeo animara, l'association 193, l'association Aenua 2 Makatea, le Comité eo himene, l'association Haveke teretere.

Pour en savoir plus et voter : http://mainasage.fr/reserve-parlementaire/vote/


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Chasse sous-marine : 5ième manche du championnat à la marina de Arue

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Teva MONTAGNON et Tepou NEHEMIA chez les experts et Tūhei PUTOA et Teehau MAITUI chez les novices gagnent la cinquième manche du championnat de Polynésie
Chasse sous-marine :  5ième manche du championnat à la marina de Arue
ARUE, le 7septembre 2015. (COMMUNIQUE) Le samedi 5 septembre s’est tenue la 5ième manche du championnat à la marina de Arue. 14 équipes dont 9 en experts et 5 chez les novices s’étaient inscrites pour cette manche qui compte aussi en tant que sélectives pour les Océania 2016 qui se tiendront en Nouvelle Zélande. La zone de pêche a été définie entre la pointe vénus et la digue de Papeete. La manche précédente s’était tenue à Faaone et avait vu la victoire de Steeve TETUANUI et Teiva MOU chez les experts et Des frères COWAN chez les novices.

Catégorie novices : première victoire pour le duo du club Marara : Tūhei PUTOA et Teehau MAITUI.

4ième compétition pour ce duo et déjà une première victoire pour le pêcheur de Papara Tūhei et son compagnon Teehau. Fort de leur entraînement régulier, ces 2 jeunes ont vite pris leur marque et ont présenté à la pesée de belles prises calibrées (le seul hoa de toute la compétition). En fin technicien, ils ont opté pour la zone à l’opposé de celle choisie par le gros de la troupe et on pu exploité tranquillement le tombant et la vague et sortir 6 prises valables. Les frères COWAN, victorieux de la manche précédente, ont opté quant à eux pour les hauts fonds de Arue qu’ils connaissent comme leur poche. Guidés par leur père, ils ont sorti 5 prises valables soit une de plus que le duo de l’AS TEFANA, Dadou VERDET et Heiarii AIRIMA, toujours en tête du classement novices provisoire mais en manque de réussite sur les 2 dernières manches.
A noter tout de même que déjà beaucoup d’équipes novices ont lâché prise et ne participent plus aux différentes manches. On l’a déjà dit, on le dira encore, la pêche sous marine de compétition est un sport d’expérience et il faut s’accrocher et « manger » de la compétition pour être au niveau des experts par la suite.

Catégorie experts : Teva MONTAGNON et Tepou se remettent sur les rails.

On les connaît bien et on s’attendait à ce que les sociétaires de l’AS NUUROA fassent un rappel à l’ordre après leurs résultats bien en deça de leurs capacités lors des 2 dernières manches. Parti comme le gros de la troupe en direction des hauts fonds de Arue, ils ont vite rebroussé chemin pour pêcher sur les cailloux décentrés en milieu de zone. Teva et Tepou y sortent de gros pātaitai hors norme, pa’aaihere et ti’atao. Chanceux, ils se permettent aussi de prendre encore 2 prises en fin de pêche à leur retour à la bouée de départ. Au final, ils présentent 12 prises valables à la pesée. Les 2 compères ont rappelé aux autres qu’ils restaient toujours dans la course pour le titre de champion 2015. Vaihoarii TAEATUA et Philippe PIRITUA, deuxième de la journée avec 10 prises et 1 bonification réalisent une belle opération puisqu’ils prennent la 1ère place du classement provisoire au dépend de Steeve TETUANUI et Teiva MOU, auteur d’une pêche moyenne. Rahiti BUCHIN et Dell LAMARTINIERE, qu’on avait annoncé gagnant de la manche ont vu plusieurs de leurs prises ne pas passer la maille et ont du se contenter d’une 3ième place. Ils se maintiennent à la 2ième place au général.

Comme la compétition précédente sur FARATEA, la 5ième manche aura été une journée difficile puisque seules 3 équipes ont sorti plus de 10 prises. même si cela est difficile pour les pêcheurs de devoir se contenter de si peu de prises, heureusement que le règlement drastique de la fédération limite le nombre de prises par espèces et de ce fait contribue à préserver la ressource.

La prochaine manche se tiendra au complexe de l’OPT et sera organisée par l’AS MARARA. Pour plus de renseignements, contacter Maheanuu PIHATARIOE au 87 76 55 10.

Parole à Tuhei PUTOA et Teehau MAITUI : Au départ, on s’est dit que, normalement, la plupart des champions allaient remonter vers les hauts fonds en direction de Māhina. On a décidé, comme 3 autres équipes, de descendre ver la digue. On a commencé à longer le tombant jusqu’à la passe de Taunoa où on a fait un tāpio. Puis on a traversé la passe et on pêcher à la vague où on a sorti un tehu. On a refait le tombant sur la même zone et on a sorti 3 prises dont un pa'ati hōhonu, un ti'amū puis un hoa dans la même zone.

Remerciements : le club Maoti remercie chaleureusement la mairie de Arue ainsi que la coopérative de pêche. un grnd merci aux clubs participants.

Chasse sous-marine :  5ième manche du championnat à la marina de Arue

Chasse sous-marine :  5ième manche du championnat à la marina de Arue


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Le 5ème concours de la Palme Ifrecor vient de démarrer

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Le 5ème concours de la Palme Ifrecor  vient de démarrer
PAPEETE, le 8 septembre 2015 - Tous les ans depuis 2011, l'Initiative française pour les récifs coralliens (Ifrecor) valorise les actions locales menées par des élus pour préserver les écosystèmes coralliens et les écosystèmes associés (herbiers, mangroves). La cérémonie de remise de la palme 2015 est prévue le 16 novembre, à Paris, à la fin de la journée dédiée à l'outremer.

Le concours de l'Initiative française pour les récifs coralliens (Ifrecor) s'adresse aux maires, aux membres de Conseils généraux, régionaux ou territoriaux, aux membres des Assemblées provinciale ou territoriale. Il met en valeur des projets de gestion durable d'activités de pêche, de suivi de l'état de santé des récifs, de restauration écologique de mangrove, de lancement de portail d'information sur les écosystèmes coralliens de votre territoire, d'exposition, d'organisation de formations, de création de parcours de découverte, d'actions d'éducation ou de sensibilisation, etc. le concours invite les élus des collectivités ultra-marines à se mobiliser et à faire connaître leurs projets, actions et politiques exemplaires.

L'objectif de ce concours est de récompenser et de valoriser les actions et politiques exemplaires mises en œuvre à l’initiative des élus d’outre-mer, pour la préservation et la gestion durable des écosystèmes coralliens (récifs coralliens, herbiers et mangroves). Il permet, par la médiatisation de l’évènement, de mettre en lumière les bonnes pratiques.

Remise de la palme en novembre

Le concours se découpe en plusieurs étapes. Ouvert depuis le premier septembre, il dure jusqu'au 25 octobre. Le jury, composé d'experts de la biodiversité, des récifs coralliens et de la communication, se réunira la première semaine de novembre. La cérémonie de remise de la palme aura lieu au ministère des Outre-mer le 16 novembre en présence de la ministre George Pau-Langevin à l'issue de la journée dédiée à l'outremer et durant le congrès annuel des maires de Paris.

La Polynésie représentée en 2011


La Polynésie a participé à la première édition du concours en 2011. Le maire de la commune de Punaauia, Ronald Tumahai a présenté cette année-là son projet : "Réhabilitation d'un espace lagonaire impacté par la prolifération du poisson jardinier Stegastes nigricans". Projet qui a été récompensé dans la catégorie "protection, valorisation et restauration".

Une seule catégorie pour la 5ème édition

Les dernières éditions récompensaient les projets par catégorie. Ainsi, Ary Chalus, député-maire de Baie-Mahault en Guadeloupe, se distinguait dans la catégorie "protection, valorisation, restauration écologique" pour son projet "Koudmen pour la mangrove". Un projet de restauration écologique de la mangrove aux abords de la rivière Salée avec notamment la destruction de cases de pêcheurs insalubres, l'évacuation de 125 tonnes de déchets, le nettoyage des fonds sous-marins, la plantation de jeunes palétuviers, etc. Daniel Chomet, conseiller régional de la Martinique et président du parc naturel régional pour le projet "Création de la réserve naturelle régionale de la baie de Génipa" toujours dans la catégorie "Protection, valorisation et restauration" tandis que Abourahamane Solihi, sénateur-maire de Mamoudzou (Mayotte) était reconnu dans la catégorie "Éducation et sensibilisation" pour un projet pluriannuel de sensibilisation des habitants à la préservation de l'environnement. Pour cette cinquième édition de la palme, les catégories ont disparu.

En pratique

Le dossier est téléchargeable sur le site de l'Ifrecor : www.ifrecor.com. Il est à renvoyer à l'adresse mail suivante : concours2015@ifrecor.com
Pour plus d'informations aurelie.bocquet@uicn.fr


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