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RIPD et Moi, moche et méchant 2 au Majestic: 2 places de cinéma pour le prix d'une ce mardi 10 septembre

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RIPD et Moi, moche et méchant 2 au Majestic: 2 places de cinéma pour le prix d'une ce mardi 10 septembre
Mardi 10 septembre, venez voir RIPD et Moi, moche et méchant et profitez de l’offre 2 places pour le prix d’une au cinéma Majestic.


RIPD (2D) en SALLE 4 à 12h et 14h

Synopsis : Dans le film d’aventures surnaturelles, R.I.P.D. Brigade Fantôme, Jeff Bridges et Ryan Reynolds jouent un tandem de flics d’un genre très spécial, puisque défunts, et envoyés par leur unitéde police, le R.I.P.D. (Rest in Peace Department), pour protéger notre planète d’une recrudescence de créatures néfastes qui refusent de passer tranquillement dans l’autre monde. Le shérif Roy Pulsifer est un vétéran de cette brigade dédiée à la traque d’âmes belliqueuses se faisant passer pour des citoyens ordinaires. Sa mission : appréhender les criminels qui tentent d’échapper au Jugement Dernier en se dissimulant parmi les vivants. L’irascible et indiscipliné Roy se voit assigner comme nouveau coéquipier feu Nick Walker, un jeune policier de Boston récemment défunt. Les deux «hommes» vont devoir ravaler leur antipathie respective pour mener à bien leur mission. Quand ils découvrent un complot susceptible de mettre fin à la vie telle que nous l’avons toujours connue, les deux cracks du R.I.P.D. n’ont qu’une option : rétablir l’équilibre cosmique pour que le tunnel qui mène vers l’au-delà ne remplisse pas soudain la fonction inverse et ne précipite pas l’avènement des morts.

Moi, moche et méchant 2 (2D) en SALLE 4 à 16h

Synopsis : Ayant abandonné la super-criminalité et mis de côté ses activités funestes pour se consacrer à la paternité et élever Margo, Édith et Agnès, Gru, et avec lui, le Professeur Néfario et les Minions, doivent se trouver de nouvelles occupations. Alors qu’il commence à peine à s’adapter à sa nouvelle vie tranquille de père de famille, une organisation ultrasecrète, menant une lutte acharnée contre le Mal à l’échelle planétaire, vient frapper à sa porte. Soudain, c’est à Gru, et à sa nouvelle coéquipière Lucy, que revient la responsabilité de résoudre une série de méfaits spectaculaires. Après tout, qui mieux que l’ex plus méchant méchant de tous les temps, pourrait attraper celui qui rivalise pour lui voler la place qu’il occupait encore récemment.

Renseignements au 42 54 69

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Matinée santé spéciale prévention du suicide à l'UPF mardi 10 septembre

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Matinée santé spéciale prévention du suicide à l'UPF mardi 10 septembre
L’UPF organise, une fois par mois, des « matinées de la santé » pour sensibiliser les étudiants aux questions qui peuvent les
concerner, grâce à l’infirmier du campus, Jérôme Fernandez.

Toute l’année sont ainsi organisés des ateliers sur les problèmes de nutrition (diabète, obésité, « malbouffe », etc), les addictions sous toutes leurs formes (alcool, tabac, drogues…), les maladies sexuellement transmissibles, les maladies tropicales (filariose…), mais aussi la sécurité routière. Bref, tous les risques auxquels ces jeunes adultes sont confrontés et
pour lesquels ils ont besoin de clés ! A chaque fois, des spécialistes viennent sur le campus pour partager avec les étudiants sur ces questions.

Cette année, la première matinée de la santé aura lieu sur le campus mardi 10 septembre, soit la journée mondiale de prévention du suicide.

Aussi, l’UPF recevra mardi l’équipe de l’association SOS suicide, qui informera les étudiants et sera à leur écoute sur toutes ces questions.
Une salle sera également réservée pour ceux qui souhaitent discuter plus avant de leurs problèmes avec un médecin, le Dr. Amadéo, présent pour l’occasion.

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Commune de Faa'a: Inscriptions sur les listes électorales

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Commune de Faa'a: Inscriptions sur les listes électorales
Le Maire de la Commune de Faa’a et son conseil municipal informent les administrés que la clôture des inscriptions sur la liste électorale, ceci afin de pouvoir voter le 1er mars 2014, est arrêtée au 31 décembre 2013.

Les inscriptions sur la liste électorale sont une obligation légale et concerne tous les jeunes majeurs jouissant de leurs droits civils et politiques. Tous ceux qui auront 18 ans au plus tard le 28 février 2014 doivent contacter le service des élections au 800 960 poste 833.

Pour vous inscrire, il faut vous rendre au « Pu ihira’a – Haere Mai ra » (Fare Ihi du centre administratif) muni d’une pièce d’identité en cours de validité et d’un document d’attache à la commune (justifiant du domicile réel, ou de six mois minimum de résidence dans la commune, comme exigés par la loi).

A noter que les électeurs ayant changé de domicile à l’intérieur de la commune doivent informer les services de la mairie afin de mettre à jour les listes de chaque bureau de vote.

Pour plus de renseignements, veuillez contacter le service des élections au 800 960 poste 833.

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Faa'a: Ouvertures d’inscriptions pour les formations diplômantes à destination de l’encadrement de la jeunesse

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Faa'a: Ouvertures d’inscriptions pour les formations diplômantes  à destination de l’encadrement de la jeunesse
Le Maire de la commune de Faa’a et son conseil municipal informent les administrés de Faa’a que le Service Animation de la Ville met en place en partenariat avec le Syndicat d’Initiative TAARETU :

Des sessions de formation (diplômant) pour l’encadrement des jeunes, comme :
-La Prévention et Secours Civiques (PSC) ;
-Le Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur (BAFA) ;
-Le diplôme d’Assistance Sanitaire (AS) ;
-Le Brevet de Surveillant Aquatique (BSA) ;
-Le Brevet d’Aptitude aux Fonctions de Directeur (BAFD).

Ces formations sont ouvertes et exclusivement réservées aux administrés de la commune de Faa’a. Les places pour chaque formation sont limitées aussi il est conseillé de s’inscrire au plus tôt.

Pour tout renseignement complémentaire et/ou pour inscriptions, contacter Anna-Maria SOMMERS au 77.11.39 ou rendez vous sur la page facebook : Ville de Faa’a.

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Punaruu : écologistes et habitants inquiets pour leur rivière

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Punaruu : écologistes et habitants inquiets pour leur rivière
Les riverains, et notamment ceux qui habitent au fond de la Punaruu s’inquiètent de plus en plus sur le sort de leur vallée. Selon certains, il semblerait que des extractions aient lieu à l’endroit où, chaque année, les cueilleurs d’oranges entament la montée vers le plateau de Tamanu. Pour la STT (Subdivision Territoriale de Tahiti), il s’agit seulement d’une opération de curage, ce qui ne constituerait pas une infraction, mais une nécessité.

Les riverains du fond de la vallée de la Punaruu ont dénoncé la présence de camions et dragg dans le lit même de la rivière. L’un d’eux, possédant un terrain situé en bordure, n’ a pas caché son désarroi : « Ils sont en train de dénaturer le milieu naturel. En creusant dans la rivière, l’eau va s’infiltrer, ce qui peut causer une totale désorientation environnementale». Renseignements pris sur place, il semblerait que les camions présents dans la rivière procèdent à une opération de curage. Les conducteurs d’engins ont indiqué qu’ils étaient là pour déniveler le lit de la rivière, mais également pour consolider les berges « Avec le temps, le lit de la rivière s’est épaissi, obligeant ainsi l’eau à contourner son tracé naturel. Ce qui a pour effet de causer des débordements et donc des inondations en cas de fortes pluies. » Un argument qui ne convainc personne.

La STT a tenu à replacer les événements dans leur contexte : « Attention à ne pas se tromper sur ce qui se passe. Par méconnaissance, les riverains croient qu’il s’agit d’extraction. Or nous procédons régulièrement à ce genre d’opération, sinon ce sont des sous-traitants qui travaillent à notre demande. Et là, il ne s’agit absolument pas d’une extraction mais d’un nettoyage en profondeur de la rivière. De toute manière, les rivières ne sont pas des zones d’extraction ! »

En effet, l’article 2 de la délibération n° 2004-34 de l’assemblée de la Polynésie française du 12 février 2004 portant composition et administration du domaine public en Polynésie française précise que : «Le domaine public naturel comprend : (…) le domaine public fluvial qui se compose de l’ensemble des cours d’eau, avec leurs dépendances, des lacs, de toutes les eaux souterraines et sources (…)» ; il est stipulé aux termes de l’article 6 de la même délibération, que «Nul ne peut sans autorisation préalable délivrée par l'autorité compétente, effectuer aucun remblaiement, travaux, extraction, installation et aménagement quelconque sur le domaine public, occuper une dépendance dudit domaine ou l'utiliser dans les limites excédant le droit d'usage qui appartient à tous…»

Les demandes d’autorisation d’extraction sont instruites par le GEGDP, le Groupement d’Etudes et de Gestion du Domaine Public du Service de l’Equipement, lequel est rattaché au ministère de tutelle. Après une étude d’impact et de faisabilité qui peut prendre un certain délai, le ministre décide alors d’attribuer ou non l’autorisation demandée.

Malgré tout, la cinquantaine d’habitants de la vallée reste inquiète quant à l’avenir de leur vallée. « Je me souviens, il y a plus de 30 ans, on avait tout fait pour qu’il n’y ait pas de dépotoirs et d’usines industrielles. Le gouvernement nous avait promis qu’il y aurait seulement quelques entreprises. Pourtant, ils sont arrivés en masse et ont tout saccagé. Aujourd’hui, on nous dit qu’il s’agit juste d’un nettoyage. On s’attend à tout. C’est pour cela que nous sommes méfiants au plus haut point. » nous livrait un des premiers habitants des lieux. Ceci étant, la STT avouait toute de même qu’ « il arrive qu’il y ait des extractions sauvages. »

TP

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Le patrimoine à l’honneur jusqu’au 15 septembre

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Le patrimoine à  l’honneur jusqu’au 15 septembre
PAPEETE, lundi 9 septembre 2013 – La Polynésie française s’associe pour la deuxième année aux Journées européennes du patrimoine, avec la collaboration de l’Assemblée de Polynésie française, du ministère de la Culture, du service du Patrimoine archivistique et audiovisuel et du musée de Tahiti et des îles, à travers plusieurs événements portes ouvertes jusqu’au dimanche 15 septembre.

Le programme ICI

En Polynésie française, la notion de protection des monuments historiques est apparue il y a une soixantaine d'années avec les premiers classements formalisés dès 1952 et concernant plus d'une centaine de sites majeurs, représentatifs du patrimoine culturel propre à chaque archipel.
Ce n'est qu'en 1961 que la Polynésie française se dote véritablement d'un cadre juridique en matière de protection des monuments historiques avec l’adoption d’une réglementation constituant le chapitre 1 du Livre I, Titre 5 du Code de l’aménagement de la Polynésie française (articles D.151-1 à D.151-14).

Cette réglementation est, aujourd'hui encore, au coeur de la politique culturelle du Pays. Toutefois, la volonté d’inscrire les sites majeurs au patrimoine mondial de l'humanité, conduit le ministère de la culture à proposer, dans un futur proche, sa mise en adéquation avec les recommandations de l'UNESCO. Un projet de loi du Pays sur la protection du patrimoine est en cours de rédaction et pourrait être soumis à l'avis des représentants de l'Assemblée en fin d'année.

"Cette année sera l'an zéro d'une nouvelle vision de notre culture", a estimé Edouard Fritch. "J'espère que l'an prochain, à la faveur de cette nouvelle loi, on fêtera les journées polynésiennes du patrimoine".

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Visite de courtoisie de Michel Rousseau, Conseiller Pacifique Sud à la présidence de la MGEN

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Visite de courtoisie de Michel Rousseau, Conseiller Pacifique Sud à la présidence de la MGEN
Le Président Jean TAMA a reçu ce lundi 9 septembre 2013 monsieur Michel ROUSSEAU, Conseiller Pacifique Sud à la présidence du groupe Mutuelle Générale de l’Éducation Nationale (MGEN), accompagné de madame Diana YIENG KOW, membre du CESC au titre du Syndicat Territorial des Instituteurs, Professeurs et Agents de l’Éducation Publique (STIP-AEP).

En sa qualité de vice-président de la MGEN et de président de la Section Extra-Métropolitaine (SEM), monsieur Michel ROUSSEAU avait déjà effectué en novembre 2012 une mission d’information visant à présenter les services de protection sociale aux mutualistes polynésiens. Lors de ce précédent déplacement, monsieur ROUSSEAU était accompagné de monsieur Thierry BEAUDET, président de la MGEN, et de monsieur Philippe CORE, directeur de la Section Extra-Métropolitaine.

Fort de plus de 3 millions d’adhérents dans le monde, la MGEN est la première mutuelle de santé française et le seul organisme de protection sociale complémentaire référencé pour les agents des ministères de l’Éducation Nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Jeunesse et des Sports, de la Culture et de la Communication. La Polynésie française compte aujourd’hui plus de 10.000 adhérents à la MGEN.

Pendant sa mission en Polynésie programmée jusqu’au 27 septembre, monsieur ROUSSEAU s’attachera à formaliser et à renforcer le partenariat entre la MGEN et le Pays. Ainsi, la CPS envisage de mettre à la disposition de la Mutuelle un local d’accueil. La MGEN envisage également de mettre en œuvre une couverture sociale pour les étudiants de moins de 21 ans qui font leurs études en France ou à l’étranger (Australie, Canada, Japon, etc.). Contrairement aux autres organismes, la MGEN étendra la protection sociale des étudiants pendant leurs vacances au Pays.

D’autres projets seront évoqués avec le Ministre Michel LEBOUCHER et le Président Gaston FLOSSE que monsieur ROUSSEAU doit rencontrer ces jours prochains, notamment la création d’un centre d’optique disposant de médecins ophtalmologues, et le volet prévention relatif à la lutte contre l’absentéisme des enseignants, ou encore la prévention contre les maladies graves (diabète, obésité, etc.).

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Polémique : J-M Régnault veut porter plainte contre G.Flosse

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Polémique : J-M Régnault veut porter plainte contre G.Flosse
PAPEETE, lundi 9 septembre 2013. Dimanche soir, invité du journal sur Polynésie 1re, le président du Pays a déclaré que l’historien chercheur est un salarié d’Oscar Temaru. Pour Jean-Marc Régnault, la coupe est pleine. L’historien-chercheur associé de l’Université de Polynésie française a accepté -par deux fois- d’effectuer des missions de recherche, financées par l’assemblée de Polynésie lorsqu’elle était dirigée par des élus UPLD. Le résultat de ces recherches, notamment au sein des archives du ministère des affaires étrangères, a donné lieu à des rapports remis à l’assemblée territoriale polynésienne et se trouve également utilisé dans le dernier ouvrage de l’historien.

Ces missions de recherche financées par l’assemblée de Polynésie, Jean-Marc Régnault ne s’en cache pas, mais se défend d’une inféodation aux idées politiques du parti qui l’a engagé. Son analyse historique d’une décolonisation inachevée en Polynésie n’est pas une conviction personnelle mais ce qu’il ressort des documents qu’il a eus en mains et déchiffrés. Dimanche soir, sur le plateau de Polynésie 1ere, après un reportage où il est question du dernier livre de l’historien, Gaston Flosse s’exprime sur un futur référendum d’autodétermination et réitère son «M. Régnault, c’est normal, c’est un salarié d’Oscar Temaru. Il ne va pas dire le contraire de ce que lui demande son patron ! Nous, nous sommes contre un référendum organisé par l’ONU». Après cette phrase, la réaction de Jean-Marc Régnault n’a pas tardé et il a aussitôt annoncé son intention de porter plainte pour diffamation, il a désormais trois mois pour le faire.

Dans un communiqué adressé aux rédactions, il explique «Il est scandaleux que le Président du pays cautionne ainsi des rumeurs qui ne reposent sur aucun fondement. Lorsqu’à deux reprises M. Régnault a obtenu un contrat d’un mois (et un mois seulement) c’était pour faire un travail historique au service de tous les Polynésiens. Dans le premier cas c’était pour répondre à la promesse du Président Sarkozy qui ouvrait les archives jusque-là fermées aux chercheurs. Son travail a débouché sur une résolution de l’APF votée à l’unanimité et Monsieur Fritch est allé récemment rencontrer la Ministre de la Justice pour que ce travail débouche sur la révision du procès (de Pouvanaa a Oopa NDLR). La seconde fois, c’était également pour mettre à jour une histoire méconnue des Polynésiens : les relations avec l’ONU. Le livre qui a été tiré de ce travail est critiqué par ceux qui ne l’ont pas lu. Il apporterait pourtant beaucoup de sérénité dans le débat politique si les éléments qu’il contient étaient portés à la connaissance des responsables politiques». L’historien poursuit, les propos du président de la Polynésie bafouent son «honnêteté intellectuelle». «Depuis 20 ans, je m’évertue à faire comprendre la différence qu’il y a entre un enseignant en histoire et un chercheur en histoire. Le premier fait son cours sur des chapitres qui ne posent plus de contestation. Mais, en tant que chercheur on peut parfois heurter les gens. Mais, qu’ils fassent eux-mêmes les recherches…».

Enfin, l’historien pointe une erreur dans les propos des élus du Tahoeraa qui appellent au boycott en cas de «référendum organisé par l’ONU» sur le territoire. Or, tout référendum d’autodétermination est organisé directement par le territoire concerné avec la participation de l’autorité administrante, de l’Etat concerné. L’ONU, comme organisation internationale n’intervenant, éventuellement, que pour le contrôle du caractère démocratique des consultations lancées et non comme organisateur de cette consultation populaire.

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Cannabis : saisie de près de 2 400 plants sur Tahiti et Taha’a

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Cannabis : saisie de près de 2 400 plants sur Tahiti et Taha’a
PAPEETE, lundi 9 septembre 2013 – Les services de la gendarmerie ont procédé à plusieurs saisies et destructions de plants de cannabis au cours de la journée.

Sur renseignements, les gendarmes et policiers municipaux de Papara ont découvert au domicile de trois individus âgés de 63, 33 et 22 ans, respectivement 160, 256 et 172 pieds de cannabis. Les mis en cause ont été entendus, et sur instructions du Parquet de Papeete, font l'objet d'une convocation en justice ultérieure.

Sur Taha’a, dans l’archipel des îles-sous-le-vent, la Bta locale a mis à jour deux plantations totalisant 1 800 plants de cannabis. Les stupéfiants ont été détruits par incinération et l'identification du ou des propriétaires des cultures illicites est en cours.

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Ils plongent dans le port pour échapper à la police

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Ils plongent dans le port pour échapper à la police
PAPEETE, lundi 9 septembre 2013. Pour échapper à une interpellation d'une patrouille de la brigade anti-criminalité (Bac), deux jeunes majeurs ont sauté dans les eaux du port de Papeete espérant ainsi échapper à leurs poursuivants. Les deux jeunes circulaient dans la nuit de vendredi à samedi (6-7 septembre) sur le boulevard Pomaré en front de mer, à bord d'un scooter volé lorsqu'ils ont été pris en chasse par des policiers de la Bac.

Sentant l'écart entre la voiture de police et le deux-roues se réduire dangereusement, les deux jeunes ont sauté du scooter pour fuir à pied, avant de se retrouver face à la mer. Sans hésiter, ils se sont mis à l'eau pour continuer à fuir mais à la nage. Les policiers de la Bac ont alors demandé l'assistance d'un bateau du port autonome et ont rapidement retrouvé un des fuyards qui a été placé en garde à vue, au sec, dans les locaux de la DSP. Quant à son complice, il a été interpellé chez lui le lendemain matin. La procédure a été transmise au Parquet pour les suites judiciaires et le scooter volé remis à son légitime propriétaire.

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SEM port de pêche : un nouveau délai accordé

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SEM port de pêche : un nouveau délai accordé
PAPEETE, lundi 9 septembre 2013. Un mois après leur arrivée aux affaires, les ministres du gouvernement de Gaston Flosse avaient suffisamment analysé les chiffres des établissements publics sous leur responsabilité pour avoir une idée des difficultés de certains d’entre eux. Ainsi en juin 2013, il était précisé à l’issue d’un conseil des ministres que la SEM S3P (port de pêche de Papeete) présentait un montant de factures impayées de l’ordre de 13 millions de Fcfp. Mais pas question pour autant pour le gouvernement de remettre la main à la poche.

Toutefois pour ne pas mettre cet établissement face à de nouvelles difficultés financières plus lourdes encore à gérer pour son avenir, l’avance de trésorerie de 50 millions de Fcfp accordée en 2009 est finalement transformée en prêt remboursable sur 10 ans, la dernière échéance étant fixée pour le 15 août 2023. Une nouvelle échéance donc pour la S3P et une bouffée d’argent frais. En effet, à l’origine cette avance de trésorerie devait être remboursée en deux ans, ce qui n’avait pas été fait. Au début du mois de mai dernier, l’ex gouvernement Temaru avait déjà consenti à le transformer en prêt remboursable d’ici 2017. Finalement la S3P vient de gagner encore quelques années de répit sur cette avance de trésorerie. Ce qui en dit toujours long sur cette société d’économie mixte au sujet de laquelle la Chambre territoriale des comptes écrivait en septembre 2012 qu’il s’agissait d’un établissement structurellement déficitaire.

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Tapage nocturne : il blesse deux gendarmes avant d’être interpellé

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Tapage nocturne : il blesse deux gendarmes avant d’être interpellé
TARAVAO, dimanche 8 septembre 2013 – Dès 6 heures du matin, sur instruction du Centre d'Opérations et de Renseignement de la Gendarmerie de Papeete, une patrouille de la Brigade de Taravao se présente sur le lieu d’un tapage nocturne, route du plateau.

À leur arrivée, les militaires constatent les nuisances et font cesser l'infraction. Le contrevenant fortement alcoolisé et très agressif. Il tente à plusieurs reprises de frapper un gendarme de la patrouille.

Un des coups portés atteint le gendarme à la nuque. Au cours de son interpellation, l'homme se rebelle et mord à la main gauche le second gendarme de la patrouille. Une patrouille intervient en renfort et permet un retour au calme.

Les gendarmes déposent plainte pour les violences dont ils ont été victimes. Tous deux bénéficient d’une journée d’incapacité totale de travail (ITT). Le mis en cause fait l'objet d'une COPJ à une date encore indéterminée.

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Mini jeux du Pacifique à Wallis : Tahiti 3ème pour l’instant

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Mini jeux du Pacifique à Wallis : Tahiti 3ème pour l’instant
Le 9 septembre 2013. Les Mini-jeux du Pacifique se déroulent actuellement du 2 au 12 septembre. Tahiti est actuellement troisième au total des médailles derrière la Papouasie Nouvelle Guinée et la Nouvelle Calédonie.

La Polynésie Française totalise 29 médailles au total dont 17 en or, 8 en argent et 4 en bronze. Les disciplines ou Tahiti a obtenu des médailles sont l’athlétisme, le va’a ainsi que le taekwondo.
La Nouvelle Calédonie n’a que cinq médailles d’avance avec un total de 34 alors que la Papouasie a ‘pris le large’ avec pas moins de 73 médailles au total dont 28 en or, 21 en argent et 24 en bronze.

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Fermeture d’urgence de l’eau sur OREMU 2 ce mardi 10 septembre

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Fermeture d’urgence de l’eau sur OREMU 2 ce mardi 10 septembre
Une casse est survenue ce jour, mardi 10 septembre 2013 à 8h sur le réseau de refoulement et d’alimentation en eau potable dans le secteur de OREMU 2.

Ainsi, le Maire de la commune de Faa’a et son conseil municipal informent la population de OREMU 2 qu’elle subira une coupure d’eau potable imprévue effective ce :

MARDI 10 SEPTEMBRE 2013 dès 8h30.

L’alimentation en eau sera rétablie dès la fin des travaux de réparation.

Merci de votre compréhension, et pour tout renseignement supplémentaire, veuillez contacter le service EAU de la commune au 83.35.33.

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Spectaculaire accident matériel à Punaauia

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Spectaculaire accident matériel à Punaauia
PUNAAUIA, mardi 10 septembre 2013. Deux voitures et un poids-lourd ont été impliqués ce mardi matin vers 10h15 dans un accident de la circulation sur la RT1 dans le sens Punaauia-Papeete, à Outumaoro, précisément au PK 8 côté montagne. Heureusement, il ne s’agit que d’un accident matériel qui a causé environ 1h de ralentissement du trafic routier en direction de Papeete, mais aucun blessé n’a finalement été transporté vers l’hôpital du Taaone.

Les circonstances de cet accident devront encore être éclaircies. Selon les premiers constats, un automobiliste âgé de 68 ans circulant dans le sens Papeete Punaauia aurait tout d’abord percuté une voiture roulant dans la même direction avant de traverser le terre plein central de la chaussée et percuter un poids lourd qui lui circulait dans le sens Punaauia Papeete. Les trois conducteurs âgés de 68 ans, de 23 ans et de 49 ans n’étaient pas sous l’emprise de l’alcool. Sur place gendarmes et pompiers sont intervenus. Il a fallu une heure pour dégager les véhicules de la chaussée et pour que la circulation puisse reprendre normalement dans le sens Paea/Papeete.

Spectaculaire accident matériel à Punaauia

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Macédoine: il nage 2 kilomètres enfermé dans un sac pour entrer dans le Guiness des records

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Macédoine: il nage 2 kilomètres enfermé dans un sac pour entrer dans le Guiness des records
SKOPJE, 10 septembre 2013 (AFP) - Un ressortissant bulgare âgé de 59 ans a nagé mardi, enfermé dans un sac, plus de deux kilomètres dans le lac d'Ohrid, dans le sud de la Macédoine, dans l'espoir de voir son nom figurer dans le livre Guiness des records.

Jane Petkov a nagé le long de la rive de la ville d'Ohrid complètement enfermé, de pieds et jusqu'au dessus de sa tête, dans un sac orange en tissu poreux, avec ses bras et ses jambes attachés à son corps.

"En nageant sur le dos, comme un dauphin, il a franchi la distance de 2.388 mètres, ce qui lui a pris 2 heures et 55 minutes, avec une vitesse moyenne de 0,7km/h", a déclaré à l'AFP l'un des organisateurs de cet exploit, Saso Tockov.

M. Petkov, qui habite à Sandanski, ville dans le sud-ouest de la Bulgarie voisine de la Macédoine, espère par cet exploit entrer dans le Guiness Book des records.

Les représentants du livre Guiness n'ont pas assisté à l'événement, mais les organisateurs assurent qu'ils ont respecté toutes les conditions pour déposer la candidature de cette performance insolite.

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13 et 14 septembre : 2ème salon des associations au centre Vaima

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13 et 14 septembre : 2ème salon des associations au centre Vaima
Après la réussite, l’an dernier, de la première édition, la Jeune Chambre Economique de Tahiti a décidé de reconduire l’évènement. Cette année, le centre Vaima est le lieu qui a été choisi pour recevoir 44 associations de divers milieux.

La JCET (Jeune Chambre Economique de Tahiti) encourage les initiatives et projets émanant des associations du fenua. D’ailleurs, elle œuvre dans le milieu associatif depuis plus de 47 années. Rappelons qu’elle est reconnue d’utilité publique par l’O.N.U.

Après une première édition réussie en l’an dernier, les membres de la commission ont voulu réitérer ce Salon des associations, où l’entraide et le partage avaient fortement marqué les visiteurs. Un aspect qui a été relevé par Sylvain Lamaud, directeur de cette même commission : « Ce salon sera un lieu de rencontre avec la population polynésienne, mais aussi une opportunité de rencontre entre les différentes associations présentes. »

Le président de la chambre, Thierry Leou est convaincu de l’intérêt de regrouper ces entités aussi régulièrement que possible et cela, dans l’intérêt de la population polynésienne : « les associations représentent un outil majeur de développement personnel. Elles permettent aux membres de mettre leurs compétences au service d’une cause mais aussi d’en acquérir de nouvelles. ».Cela se traduit donc par la mise en place d’actions réalisés à tous les niveaux, et tous les domaines. « Des passions se forment et des causes sont défendues » précise le dossier de présentation de ce second salon.

Cette année, les exposant recevront le public au centre Vaima, au dessus de l’ EDT, les vendredi 13 et samedi 14 septembre prochain.Quant aux horaires, elles seront les suivantes : vendredi 13 septembre de 9h00 à 18h00, puis le samedi de 9h00 à 15h00. Le mot de la fin vient du président « Venez découvrir ou redécouvrir le tissus associatif polynésien avec l’équipe dynamique et volontaire des membres de la Jeune Chambre Economique de Tahiti, participez aux conférences proposées par les associations. »

TP

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Commerces et logements sociaux en attente de terrains militaires en Polynésie

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Commerces et logements sociaux en attente de terrains militaires en Polynésie
PARIS, 10 septembre 2013 (AFP) - Des projets commerciaux et de logements sociaux en Polynésie française sont suspendus au feu vert de Bercy sur la cession de terrains militaires désaffectés, un dossier que le ministère des Outre-mer aimerait voir résolu "d'ici la fin de l'année".

Dans l'archipel du Pacifique sud, les réductions drastiques d'effectifs de l'armée a des conséquences importantes sur l'économie locale où les militaires habitaient avec leur famille. Plus de 1.000 postes --sur les 2.100 présents en 2009-- doivent disparaître d'ici 2016 et les deux tiers ont déjà été supprimés, essentiellement sur l'île de Tahiti (200.000 habitants).

Comme ailleurs sur le territoire français, la Polynésie bénéficie de mesures d'accompagnement de l'État pour aider les communes concernées à redynamiser et diversifier leur tissu économique.

Un contrat de redynamisation des sites de défense (CRSD) a été monté entre l'État, les communes (13 sont concernées) et le gouvernement de la collectivité, et adopté à l'unanimité des assemblées délibérantes fin 2011. Il prévoit notamment pour huit communes la cession à un euro symbolique des terrains militaires.

C'est justement cette cession à l'euro symbolique qui est bloquée par Bercy, au grand dam des élus locaux qui dénoncent un "deux poids, deux mesures" à leur détriment et se demandent quelles sont les véritables intentions du ministère des finances.

"La loi n'est pas la même pour toutes les collectivités de la République", s'est insurgé Philip Schyle, maire d'Arue, à la pointe sur ce dossier. "Aujourd'hui, sur les 58 CRSD prévus, 47 ont été signés, dont celui de la Martinique, de la Guadeloupe, et de la Réunion. La Polynésie française est la seule collectivité française d'outre-mer à ne pas avoir bénéficié de son CRSD, alors que les sites militaires ont déjà été libérés pour une bonne partie", a déclaré l'édile à l'AFP. Il y a quelques semaines les maires ou leur représentants de Mahina, Pirae et Arue avaient tenu une conférence de presse au sujet de cette rétrocession attendue (jusqu'ici sans succès) des terrains militaires à leurs communes.

"Il y a des projets à caractères économiques, industriels et commerciaux, comme dans ma commune, Arue. Il y a aussi des projets de logements à Pirae et Taiarapu-Est ; mais aussi agricoles, à Faa'a, ou d'équipements collectifs comme des terrains de sports, un caserne de pompiers ou un établissement scolaire à Mahina", a détaillé M. Schyle.

A Bercy, on dément à l'AFP toute "volonté de blocage", mettant en avant une "difficulté juridique" levée par la commission de la transparence: la cession à l'euro symbolique est possible "pour un projet d'aménagement de la commune or, en Polynésie, la compétence appartient à la collectivité et non à la commune".

"On ne va pas céder des terrains dans un cadre juridique non stabilisé", a-ton ajouté de même source, assurant "continuer de travailler avec le ministère des Outre-mer".

Dans ce ministère, où tout projet de développement est encouragé pour tenter de juguler la grave crise économique et sociale qui sévit en Polynésie, on travaille à "trouver une solution, c'est notre objectif, et il la faudrait avant la fin de l'année".

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L’uniforme au collège apporte «un sentiment d’appartenance»

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L’uniforme au collège apporte «un sentiment d’appartenance»
PAPEETE, mardi 10 septembre 2013. Le tribunal administratif de Papeete rendra sa décision le mardi 24 septembre sur la requête présentée par l’association des parents d’élèves du collège Fare de Huahine d’annuler le règlement intérieur de l’établissement au sujet de la tenue vestimentaire obligatoire. La requête des parents d’élèves avait été déposée le 11 février 2013 devant le tribunal administratif. Dans sa présentation du dossier ce mardi matin lors de l’audience, le rapporteur public a demandé le rejet de cette requête selon les motifs invoqués par l’association.

Ainsi, il explique que les dispositions concernant la tenue vestimentaire des élèves inscrites dans le règlement intérieur du collège de Fare à Huahine ne peuvent être annulées car ce règlement intérieur n’est pas entaché d’illégalité. Par ailleurs, l’annulation de l’instruction du 17 octobre 2012 de la directrice des enseignements secondaires demandant aux chefs d’établissement d’inscrire la tenue vestimentaire obligatoire au collège, ne peut pas être réclamée au motif que cette instruction n’a aucune valeur réglementaire. Il ne s’agit que d’une suggestion. Cette instruction étant, non réglementaire au regard du droit, n’est donc pas susceptible de recours.

Ce mardi matin, à l’audience du tribunal administratif de Papeete, aucun membre de l’association des parents d’élèves du collège de Fare de Huahine n’était présent ni représenté par un avocat. Seul le principal de l’établissement est venu assister à l’audience. Pour Philippe Ducamp, la question de la tenue vestimentaire «obligatoire» des élèves du collège ne fait finalement plus vraiment débat après une année scolaire de mise en pratique. Selon lui, les collégiens de l’établissement portent leur uniforme chaque jour de classe en très grande majorité : entre 90 et 100% et le font d’autant plus volontiers depuis la rentrée scolaire 2013-2014, que la couleur de la tenue a changé pour être plus conforme au choix qui avait été formulé par le Conseil d’administration de l’établissement courant 2012.

Après une année scolaire de la mise en service des uniformes au collège, le principal du collège Fare de Huahine estime que cela «amène une certaine sérénité, un sentiment d’appartenance et d’adhésion». Il constate, forcément, qu’il y a eu dans son établissement moins d’incidents de vol de T-Shirts dans les vestiaires des équipements sportifs, et moins d’incivilités commises sur les vêtements portés par les élèves. L’application du règlement intérieur au sujet de la tenue vestimentaire obligatoire reste néanmoins empreinte «de bon sens». Ainsi, il n’y a jamais eu ni sanction, ni exclusion d’élève ne portant pas son uniforme : un élève qui arrive sans sa tenue est rappelé à l’ordre ou un polo leur est prêté. «On discute avec l’élève concerné et à chaque fois on trouve une solution» développe encore Philippe Ducamp.

La décision de rendre le port des uniformes obligatoire dans tous les collèges de Polynésie avait été prise en mai 2012 par une circulaire du ministre de l’éducation du Pays, Tauhiti Nena (UPLD). Cette circulaire ministérielle avait été annulée par une décision du tribunal administratif de Papeete le 25 septembre 2012 (sur une requête des parents d’élèves du collège de Tipaerui), indiquant que cette décision n’entrait pas dans les compétences du ministre. Toutefois en août 2012, le même ministre de l’éducation avait adressé une note aux principaux des collèges leur demandant de modifier le règlement intérieur de leur établissement afin d’y introduire cette disposition sur l’uniforme. Après l’annulation de la circulaire ministérielle, la directrice des enseignements secondaires de Polynésie française avait, elle-même, adressé un courrier aux chefs d’établissement le 17 octobre 2012, donnant des instructions pour qu’ils introduisent les dispositions de la tenue vestimentaire obligatoire par une modification du règlement intérieur, adoptée lors d’un Conseil d’administration de l’établissement.

Le tribunal administratif de Papeete rendra sa décision sur ce dossier le 24 septembre prochain. Si le tribunal suit les conclusions du rapporteur public et rejette les demandes de l’association des parents d’élèves du collège de Fare de Huahine, cela signifiera que le règlement intérieur de l’établissement s’applique. Et aussi longtemps que les dispositions sur la tenue vestimentaire obligatoire y sont inscrites, elles devront être suivies par les élèves. Ou bien le règlement intérieur du collège de Huahine est annulé, dans ce cas il n’existe plus en l’état et nécessite d’être présenté à nouveau à l’approbation du Conseil d’administration du collège. Quelle que soit la décision qui sera prise par le tribunal administratif, elle ne concernera néanmoins que le seul collège de Fare de Huahine…

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Te Ha'apūra'a : un centre de nuit pour les SDF de Papeete

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Te Ha'apūra'a : un centre de nuit pour les SDF de Papeete
PAPEETE, mardi 10 septembre 2013 – Le centre d’hébergement de nuit "Te Ha’apūra’a" accueille 38 "sans domicile fixe" (SDF) volontaires et offre d’une capacité d’une centaine de places. Géré par l’association Te Torea, il est destiné à agir en complément de l’offre du centre de jour de Vaininiore.

La structure a été inaugurée dans la matinée en présence d’une partie du gouvernement dont le président de la Polynésie française. Gaston Flosse qui avait fait l’annonce de la création de ce centre d’accueil le 27 mai dernier, 10 jours après l’installation de son gouvernement puis le 3 juin, sur place pour annoncer le lancement des travaux, prévus initialement pour durer un mois. "On a mis un tout petit peu plus de temps, mais aujourd’hui c’est fin prêt et disponible pour accueillir tout ce beau monde", a-t-il lancé à l’assistance devant un parterre d’officiels et de sans-domicile.

> Lire aussi : Pauvreté : un refuge d’urgence dans un hangar de Tipaerui

Le centre d’accueil de nuit est aménagé dans le fond de la vallée de Tipaerui à 2,5 km de la route de ceinture, dans un ancien entrepôt du service de l’Equipement.
Le bâtiment de 700 m2 a fait l’objet d’importants travaux d’aménagement, au cours des trois derniers mois, pour l’installation de trois dortoirs, d’un réfectoire, d’un bloc sanitaire comptant vingt postes et d’une cuisine.

L’association polynésienne de prévention spécialisée Te Torea mobilise sept éducateurs pour encadrer les pensionnaires du centre alors que cinq personnes de service sont affectées à son fonctionnement, dont Bill Lowgreen un des cuisiniers de la Présidence.

Le comité de gestion du RSPF a validé pour cette année l’octroi d’une subvention de 21,2 millions Fcfp pour le fonctionnement de cette structure d’accueil d’urgence.

Un système de navettes quotidiennes est aménagé pour transporter les pensionnaires vers le centre, après ramassage sur divers sites de Papeete à partir de 17 heures. Puis le matin, au départ de Tipaerui vers Papeete à partir de 7 heures.

Dans son rapport d’activité de 2012, le Club de prévention spécialisé Te Torea a recensé 403 personnes sans domicile, dont 322 squattant les rues de Papeete. Le centre de jour de Vaininiore, géré par Te Torea en partenariat avec la ville de Papeete, a accueilli en 2012 plus de 280 personnes dont 34 mineurs, 119 jeunes adultes, 114 adultes et 16 personnes âgées.

"C’est le premier centre du genre", a également constaté Gaston Flosse à propos du centre de nuit inauguré mardi, "mais il ne faudrait pas que ce soit le dernier, pas plus qu’une fin en soi : ce qui est important ensuite c’est de s’occuper de l’accompagnement des pensionnaires pour une réinsertion rapide dans la société".

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