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COPF – Gérald Huioutu : « Pas de politique dans le sport ! »

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Un collectif de plusieurs fédérations sportives de Polynésie a organisé une conférence de presse vendredi suite à la décision de justice ayant mis un terme la veille aux fonctions de président du comité olympique de Polynésie française de M. Tauhiti Nena. Pour le porte parole Gérald Huioutu « Pas de politique dans le sport ! »
COPF – Gérald Huioutu : « Pas de politique dans le sport ! »
Un collectif de fédérations sportives a organisé une conférence de presse vendredi, suite à la décision du tribunal de mettre un terme aux fonctions de président du comité olympique de Polynésie française de Tauhiti Nena. Pour le porte parole Gérald Huioutu, « Tauhiti Nena n’a qu’à aller faire sa politique place Tarahoi » faisant référence à la position de chef du parti « Tau Hotu Rau » de Tauhiti Nena, l’ancien président du COPF.
 
Le président de la fédération de tennis de table n’a pas mâché ses mots. « Nous ne sommes pas des voleurs, des tricheurs, au contraire, c’est lui qui n’a pas respecté les règles lors de l’élection de la présidence du COPF. » faisant référence à une première décision de justice favorable à Tauhiti Nena. Pour le collectif, il aura fallu aller en appel pour que finalement Tauhiti Nena perde sa place de président du COPF.
 
Selon certains observateurs, le système en place aurait tout fait pour écarter Tauhiti Nena du monde sportif. Mais selon Gérald Huioutu « Nena ne respecte pas les règles, et qu’a-t-il fait depuis deux ans pour le sport ? ». Le sport polynésien a été spectateur de cette « guerre des chefs », avec un ministère des sports et un comité olympique de Polynésie française sur des longueurs d’onde différentes.
 
Le Pays tape finalement sur la table
 
Le pays a donc finalement imposé au COPF d’adopter les statuts type « par respect règlementaire et pour donner un cadre d’action au COPF en conformité avec les orientations du Pays » avait dit à Tntv le directeur de la jeunesse et des sports Antony Pheu, début août. La réélection du président du COPF, elle devra se faire « avant 4 mois, durant lesquels le COPF sera administré par M. Ancel, nommé par le tribunal. »
 
Concernant l’éventualité d’une assemblée générale convoquée par Tauhiti Nena cette semaine, Gérald Huioutu a déclaré « D'après mon avocat, une décision en appel ne doit pas être signifiée pour être effective, M. Nena n’est plus président du COPF, il ne peut donc pas y avoir une nouvelle assemblée générale, sauf si elle est convoquée par l’administrateur judiciaire. »
 
La fédération de tir, de ping pong, de cyclisme, d’athlétisme, de volley, de handball étaient représentées lors de cette conférence. Selon Gérald Huioutu, une vingtaine de fédérations sur environ trente cinq seraient désormais alliées à leur cause. Pour l’instant « Plusieurs nouveaux candidats pourraient se présenter, Abel Temarii, Titaua Maurin…on ne sait pas encore qui, mais pourvu qu’il ou elle œuvre dans l’intérêt du sport polynésien. » SB
 

COPF – Gérald Huioutu : « Pas de politique dans le sport ! »
Parole à Gérald Huioutu :
 
Le tribunal a finalement tranché ?
 
« Nous sommes très satisfaits suite à ce recours fait par six présidents de fédérations sportives auprès de la cour d’appel qui a finalement rendu sa décision. Lors de l’élection, le règlement figurant dans les statuts n’avait pas été respecté. Faire voter des fédérations qui n’ont pas le droit de vote, intégrer dans le conseil du COPF des membres qui ne peuvent pas l’être car il ne sont pas membres de leur bureau fédéral…Diverses choses qui vont à l’encontre du règlement. »
 
Quelques mots sur ce collectif ?
 
« On a créé ce collectif parce que nous voulons que les règles soient respectées. Nous allons nous réunir pour voir qui pourra se présenter, nous souhaitons donner une nouvelle dynamique au COPF. Les élections seront organisées par l’administrateur judiciaire. Il faudra en tous cas quelqu’un qui puisse faire la part des choses, si vous êtes politicien, faites votre politique ailleurs que dans le sport. »
 
La participation aux Jeux d’Asie ?
 
« On souhaite que nos jeunes puissent partir car ces Jeux d’Asie sont une bonne préparation pour les Jeux de Pacifique prévus aux Samoa en 2019. Mais vu la situation compliquée du COPF, le déplacement pourrait être remise en cause. »

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Amputé dans l'accident, il demande 174 millions à la commune de Hiti'a O Te Ra

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Amputé dans l'accident, il demande 174 millions à la commune de Hiti'a O Te Ra
PAPEETE, le 5 septembre 2017 - La victime, sollicitée par la municipalité en manque de personnel après de fortes pluies, avait été ensevelie par une coulée de boue au volant de son tractopelle. Un accident professionnel selon le conducteur d'engin qui n'avait pourtant aucun contrat le liant à la mairie. L'affaire a été plaidée ce mardi devant le tribunal administratif.I


Le malheureux, 53 ans à l'époque en avril 2012, avait miraculeusement survécu à ses graves blessures mais avait dû être amputé d'une jambe. Sans contrat de travail avec la commune de Hiti'a O Te Ra, la municipalité avait pourtant fait appel à lui dans l'urgence pour une opération de déblaiement après de fortes intempéries, comme elle en avait l'habitude n'ayant pas de personnel qualifié le week-end pour conduire les engins nécessaires à ces interventions.

Le quinquagénaire se bat donc aujourd'hui devant le tribunal administratif pour faire reconnaître son statut de collaborateur occasionnel de la commune et sollicite, en tout, plus de 174 millions de francs de réparation au titre de ses préjudices. "Aujourd'hui il ne travaille plus, il était jardinier et musicien au Royal Tahitien et il ne peut plus faire cela dans son état. La montagne lui est tombée dessus, il n'y a plus beaucoup d'avenir pour lui", a indiqué ce mardi son avocat, Me Bourion, qui demande que "la responsabilité de la commune soit reconnue dans cet accident".

Les conclusions du rapporteur public, généralement suivies par le tribunal, vont dans ce sens même si une révision à la baisse des indemnisations est suggérée. Le tribunal rendra sa décision sous quinzaine.


Mal diagnostiqué, il meurt après son passage à l'hôpital de Taravao
Autre affaire examinée ce mardi par le tribunal administratif, celle de ce malade du cancer décédé des suites d'une simple occlusion intestinale alors que les médecins avaient mis, à tort, les maux de ventre dont il se plaignait sur le compte de la chimiothérapie qu'il suivait.

Les proches d'un homme de 61 ans décédé après son hospitalisation en mai 2014 à l'hôpital de Taravao ont réclamé, ce mardi devant le tribunal administratif, une quarantaine de millions de francs en réparation de leur préjudice. Le sexagénaire, atteint d'un cancer de l'estomac, avait été admis pour de violentes douleurs au dos et au ventre.

Les médecins avaient mis ces douleurs sur le compte des effets de la chimiothérapie. Il s'agissait en réalité d'une banale occlusion intestinale qui aurait pu être traitée. Renvoyé chez lui, le retraité devait décéder quelques jours plus tard suite à cette erreur de diagnostic confirmée par les experts.

Le rapporteur public du tribunal est revenu sur ces négligences de l'hôpital qu'il estime aussi responsable du décès. Le tribunal administratif rendra sa décision sous quinzaine.


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Réflexions et concertation autour du SAGE à la Présidence

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Réflexions et concertation autour du SAGE à la Présidence
PAPEETE, 5 septembre 2017 - Les Journées de concertation sur le Schéma d’aménagement de la Polynésie française se sont ouvertes ce mardi à la Présidence. Le Pays entend graver dans le marbre de la réglementation locale avant avril 2018, ce plan stratégique pour les politiques publiques à l’horizon 2037.

Définir la matrice qui permettra d’orienter les axes stratégiques de développement, le projet de société de la collectivité et, de manière générale, les politiques publiques sur les 20 prochaines années : telle est l’ambition du Schéma d’aménagement général de la Polynésie française (SAGE). Schéma général dont l’adoption pourrait être proposée aux représentants de Tarahoi dans le courant du 1er trimestre 2018. Plusieurs mois de concertation à travers les cinq archipels sont encore nécessaires pour en venir à bout.

L’idée est de définir un document juridique prescriptif, opposable aux PGA, définissant le cadre général de manière à investir de manière ciblée dans des équipements structurants, avec une vision d’ensemble, et durablement. Le terrain est préparé, au plan juridique, par une loi du Pays du 13 août 2012 et l'inscription de ce principe dans le statut d'autonomie. Reste à échafauder le cadre général de ce schéma d'aménagement. Et cela devrait être accompli avant la fin de l'année.

"La question est simple, a résumé mardi matin le secrétaire général du Haut-commissariat, Marc Tschiggfrey, lors de son allocation pour l’ouverture des Journées de concertation sur le SAGE, qui se tiennent du 3 au 8 septembre à la Présidence : Quel sera le visage de la Polynésie française en 2037 ?" Pour tenter d’y répondre, une phase de diagnostic a été lancée fin janvier dernier et confiée à quatre bureaux d’étude. Les observations réalisées sont aujourd’hui consignées dans un document qui met en évidence les forces et faiblesses du territoire. Ce diagnostic suggère aussi les enjeux prioritaires à moyen terme, en matière sociétale avec prise en compte d’une probable évolution démographique ; en matière d’urbanisme, d’organisation des transports, de développement économique, de répartition de l’habitat, d’équipements structurants, en posant une réflexion à l’échelle du territoire et de la collectivité dans son environnement régional.

Les territoriales de 2018 en chemin

C’est à la lueur de ce diagnostic que doivent se tenir jusqu’à vendredi les Journées de concertations organisée à la Présidence. Au fil de sept demi-journées de travail, élus de proximité des cinq archipels, représentants territoriaux et chefs de services de l’administration du Pays sont invités à participer à des ateliers thématiques. La synthèse de leurs travaux sera validée le 13 septembre, lors du prochain comité de pilotage du SAGE.
S’ouvrira alors, la seconde phase de l’élaboration de ce Schéma, celle concernant la construction du projet de territoire, arrêtant les enjeux, les objectifs et les projets de ce plan général à l’échelle polynésienne. Ce deuxième temps de la mise en œuvre du SAGE doit s’achever au premier trimestre 2018.
Viendra ensuite, dans le courant du second trimestre 2018, le temps de la présentation du projet de Schéma d’aménagement général de la Polynésie française devant les élus de Tarahoi. Puis, si le projet est adopté, celui de la mise en concordance des textes réglementaires, des schémas sectoriels et des lois de Pays dans les années qui suivront.

Mais entre-temps, courant avril, se tiennent les élections territoriales. Et on sait combien le temps électoral, à courte vue par définition, peut être déterminant sur la rapidité de mise en œuvre de projets sur le moyen terme tels que le SAGE. Le principe de ce plan stratégique avait été forgé sous la présidence d’Oscar Temaru, dès 2011, et inscrit dans le statut d’autonomie de la Polynésie française en 2012. Le projet a été mis au rencart en 2013, avec l’arrivée de la nouvelle majorité conduite par Gaston Flosse. Et ce n’est finalement qu’en 2015 qu’il est ressorti des oubliettes de la Présidence, pour que soient rouverte la concertation nécessaire à son élaboration. Ce projet ambitieux connaîtra-t-il un sort identique en avril 2018, avant même d’être présenté aux représentants polynésiens ?

"Nous sommes tous portés par la volonté de travailler pour l’avenir de nos enfants", a scandé mardi matin Jean-Christophe Bouissou à l’adresse des élus polynésiens présents pour l’ouverture des Journées de concertation sur le SAGE. Et le ministre de l’Aménagement et de l’Urbanisme de souligner : "Le SAGE complète nos actions dans un futur qui n’est pas celui de 2018 mais des 20 ans qui viennent. En vue de cette cause, nous allons nous accorder. Et nous devons chercher ce qui nous rassemble à l’échelle de la Polynésie. Prenons le temps de nous accorder".

Il n’en reste pas moins qu’initié depuis six ans maintenant, le plan stratégique de développement de la collectivité pour les 20 prochaines années, peine encore à franchir la fin du début de sa phase de réalisation. Même si l’ambition du gouvernement Fritch est aujourd'hui d’en faire un document juridique prescriptif pour les politiques publiques, avant la mi-2018.

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Jacques Raynal s’entretient avec Dominique Mirada de la Caisse des dépôts et consignations

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Jacques Raynal s’entretient avec Dominique Mirada de la Caisse des dépôts et consignations
PAPEETE, le 5 septembre 2017 - Le ministre de la Santé et des solidarités, Jacques Raynal, a reçu mardi, à son ministère, le directeur des Outre-mer à la Caisse des dépôts et consignations (CDC), Dominique Mirada.

Ce dernier a insisté sur l’intérêt de la CDC pour le « numérique » et en particulier l’e-santé. Il a également présenté au ministre les principes directeurs et les modalités de possibles interventions de l’organisme qu’il représente dans le soutien technique et le financement de projets de la Polynésie française dans le domaine de la santé.

Lors de leurs échanges, le ministre a évoqué des projets de rénovation et de reconstruction de plusieurs structures de la Direction de la santé actuellement encore au stade d’études, mais qui pourrait se concrétiser dans les mois à venir.

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Crossfit - Alpha Games : Les Tahitiens sont prêts

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Les « Alpha games » se dérouleront à Nice en France, du 24 au 27 septembre. Pour ce rendez-vous incontournable du crossfit en France et dans le monde, quelques Tahitiens ont réussi à se qualifier.
Crossfit - Alpha Games : Les Tahitiens sont prêts
Dans la nouvelle salle de Fare Ute appelée « Crossfit Pop », Yves Tehau, Munanui Lehartel, Roniu Aiamu et John Aiamu ont obtenu leur place respectivement dans les catégories : élite, novice, élite et rx. Les athlètes ont eu une fenêtre de trois semaines pour se qualifier pour l’évènement métropolitain.
 
Ils ont dû se filmer en train d’effectuer des exercices et les soumettre aux organisateurs par internet. Les personnes qui faisaient les meilleurs temps (dans le top 60) étaient qualifiées pour l’évènement principal en métropole. On note aussi que Vaihau Bottari, Teremu Touatekina et Tepoerangi Luloque représenteront le club Nahiti de Arue.
 
Parole à Yves Tehau
 
« J’ai sollicité l’aide d’un coach pour m’aider dans ma préparation. Tout ce que j’ai à faire, c’est écouter et appliquer ses conseils. Il me dit quoi travailler et quoi manger. On a décidé de travailler sur ma mobilité des épaules pour ces Alpha Games, c’est un peu mon point faible. »

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Cyclisme - Tahara’a des dames : Le retour de Kylie Vernaudon, qui s’impose

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Une trentaine de vahine s’étaient données rendez-vous devant le portail du RSMA au PK11, à Mahina, où le départ fictif du Tahara’a des Dames était donné à 13h30 par la marraine de l’épreuve Poerava Van Bastolaire. C’est l’ancienne championne Kylie Vernaudon qui a finalement remporté la course.
Cyclisme - Tahara’a des dames : Le retour de Kylie Vernaudon, qui s’impose
Les choses ont commencé à devenir sérieuses pour le peloton féminin au PK 18 avant Nivee, au départ réel. Quelques vahine ont donné la cadence d’emblée en prenant la direction Tiarei pour faire demi-tour au PK 29 (Eglise St-Pierre Chanel) et là, rapidement, une échappée s’est formée.
 
La bonne échappée initiée par l’ancienne championne Kylie Vernaudon  avec Paquita Ly Sao, Heivai Nui, Sakina Hanna, Jessica Perichon, Teanavai Ti-paon et Laure-Line Lafille se distancera du peloton au fil des kilomètres. A l’entrée de la ville de Mahina, les vahine terminent les relais pour aller chacune chercher la victoire. Au pied du Tahara’a, elles ne sont plus que trois, et avant l’ascension, Paquita Ly Sao tente une attaque.
 
Malheureusement, elle se fait rattraper dans l’ascension par Kylie Vernaudon et sa poursuivante Jessica Perichon. Au final, l’ancienne championne de Polynésie, Kylie Vernaudon, l’emporte en 56’27 devant Jessica Perichon (56’29) et Paquita Ly Sao (56’50).
 
La cérémonie protocolaire s’est tenue dans le parking des jardins du Tahara’a où Poerava Van Bastolaire a vu grand pour toutes ces vahine venues participer à l’épreuve. Outre les podiums récompensés par les nombreux lots de bienfaiteurs soutenant le développement du cyclisme féminin en Polynésie, chacune des participantes, sans exception, est joyeusement repartie avec un cadeau. Pure Nena / Sport Tahiti

Cyclisme - Tahara’a des dames : Le retour de Kylie Vernaudon, qui s’impose
Parole à Kylie Vernaudon
 
«  La course était particulièrement belle. Belle de par le nombre d’inscrites, c’est la première fois que l’on a autant de filles, avec environ 32 filles au départ. Après, les conditions météorologiques étaient difficiles, avec du vent de face impressionnant à l’aller. La course s’est super bien passée, au delà de l’adversité, il y a beaucoup d’amitié entre nous. On a pris des relais, on s’est entendu comme il faut. On était un bon petit groupe de 6 jusqu’au retour. »
 
« Puis à Nivee, on a attaqué et on s’est retrouvé à trois. On savait que ça allait se jouer entre toutes les trois. C’est un profil de course qui me convient particulièrement parce que j’adore les montées. Je savais que j’avais ma carte à jouer. Je dédie cette victoire à mes enfants. Et je remercie particulièrement Poerava qui est à l’initiative de cet événement, la fédération, tous les sponsors, ma famille et mes mamans. »

Cyclisme - Tahara’a des dames : Le retour de Kylie Vernaudon, qui s’impose
Parole à Poerava Van Bastolaire
 
« J’ai trouvé que ça s’est super bien passé parce que le beau temps était au rendez-vous, il y avait du vent dans le dos pour le retour. Les filles ont roulé entre elles, c’est-à-dire en relais, comme ce que font les hommes. C’est une bonne chose pour moi parce que je compte partir avec un groupe de femmes en Calédonie. Je rejoue mon titre que j’ai gagné l’année dernière, et je repars pour le ramener à Tahiti avec Kylie Vernaudon et Paquita Ly Sao. »
 
« Enfin, je remercie les partenaires à savoir Socredo, Vodafone, E Bike Polynesia, Café Maeva, Noni Energy, la boutique de bijoux creation Miel.A, le snack WSK, Merahi esthétique, Beauty service, B Zen esthetic, K sport, Kader Touati, 3 clubs de vélo, Teura Allain make up, Aloe institut de beauté. »

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Déplacement temporaire de l’arrêt de bus de la gare routière de Tipaerui

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Déplacement temporaire de l’arrêt de bus de la gare routière de Tipaerui
PAPEETE, le 5 septembre 2017 - L'accès à la gare de Tipaerui sera fermé à partir de mercredi.

Le ministère de l’Equipement et des transports intérieurs, de Luc Faatau, informe les usagers de transport en commun que dans le cadre des travaux d’aménagement de l’entrée ouest de Papeete, l’accès à la gare routière de Tipaerui sera fermé pendant la durée du chantier (entre 4 et 6 mois) et ce, à compter de ce mercredi.

Les usagers de cette gare devront donc provisoirement utiliser l’arrêt de bus sur la RT1 situé devant le stade Willy Bambridge. En outre, les bus accéderont désormais au front de mer par la rue Napoléon Spitz qui longe l’école Toata.

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Apnée – Championnat du monde : Hinatea Penilla y Perella-Marere à 40m

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Danseuse et professeur de Hip hop accomplie à Nice et Monaco depuis 2007, Hinatea, polynésienne originaire de Moorea, a découvert la plongée en apnée il y a trois ans maintenant dans le club du Cipa (centre international de plongée en apnée) à Nice.
Apnée – Championnat du monde : Hinatea Penilla y Perella-Marere à 40m
Suite à des discussions avec des responsables de son club, Hinatea a décidé de participer cette année aux mondiaux Outdoor en CNF (constant weight no fin – discipline consistant à descendre sans palme et remonter le long d’un câble à la brasse) dans la catégorie espoir. Pour cela, elle a dû réaliser des minima lors d’une compétition organisée par son club dans la rade de Villefranche sur mer où elle a réalisé 30 puis 31 mètres à la brasse, accédant ainsi à la deuxième place de la compétition.
 
Cet été, notre polynésienne était de retour au Fenua non pas pour se reposer mais pour parfaire ses entraînements. Sur Moorea, elle a pu plonger régulièrement avec Denis Grosmaire (Moorea Freediving) et ainsi atteindre les 35 mètres à la brasse.
Depuis le 14 Août, elle est à Roatan au Honduras. Notre Athlète fait partie d’une délégation de 13 athlètes représentant la France.
 
Profitant de très bonnes conditions d’entraînement, Hinatea a pu battre son record personnel durant les entraînements en affichant un superbe 42 mètres en CNF. Mais pour son épreuve qui s’est déroulée ce vendredi 1er septembre, elle n’a annoncé « que » 40m afin de s’assurer de ramener un carton blanc (synonyme d’une performance validée) pour sa première expérience dans un championnat du monde. Chose faite pour la tahitienne qui ramène bien l’une des trois « White Card » des Françaises engagées sur cette épreuve, derrière Aurore Asso (50m) et Lily Crespy (42m).
 
Notre championne en herbe a eu l’honneur de plonger aux côtés de grandes championnes atteignant presque la barre des 100 mètres, telle que Sayuri Kinoshita du Japon, qui décroche encore le titre cette année avec une performance à 70m. TM / Sport Tahiti

Apnée – Championnat du monde : Hinatea Penilla y Perella-Marere à 40m

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Santé : l'épidémie de grippe continue

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Santé : l'épidémie de grippe continue
PAPEETE, le 5 septembre 2017 - Chaque semaine, la surveillance des maladies infectieuses en Polynésie française est effectuée par la déclaration volontaire des médecins sentinelles et des laboratoires. Lundi, le bureau de veille sanitaire a émis son bulletin.

L'épidémir de grippe continue en Polynésie française. L'activité est stable après une première phase de décroissance. Sur ces deux dernières semaine, 107 cas ont été signés pas les médecins du réseau. Deux prélèvements se sont révélés positifs.

En ce qui concerne la dengue, le nombre de cas recensés est en légère augmentation. 39 cas confirmés de dengue ont été recensés ces deux dernières semaines. Ils étaient localisés à Moorea, Raiatea, Tahaa et Tahiti. Près de la moitié des cas de dengue ont été diagnostiqués chez des enfants de moins de 15 ans.

Le bureau de veille sanitaire note une activité en légère augmentation du côté de la leptospirose. Huit cas ont été déclarés les deux dernières semaines du mois d'août. Depuis janvier, la majorité des cas se trouve à Tahiti et à Raitaea.

Le nombre de cas de diarrhée déclarés s’élève à 124 (39 cas en semaine 33 et 85 cas en semaine 34) dont 59 % d’enfants de moins de 4 ans. L’activité est en augmentation par rapport à la quinzaine précédente. Les toxi-infections alimentaires collectives doivent être déclarées au Bureau de veille sanitaire

Enfin, la méningite à éosinophile continue de toucher la population. Depuis le début de l'année, cinq personnes ont été touchées, donc deux au mois d'août.

Le bureau de veille sanitaire rappelle comme prévenir la méningite à éosinophile :
- éradiquer l’escargot Achatina fulica;
- contrôler la pullulation des rongeurs (rats) par la gestion des déchets;
- éviter de consommer les crustacés crus et non préalablement congelés (chevrette, escargot, mollusque d’eau douce). Ils doivent être cuits ou congelés plus de 24 heures avant d’être consommés;
- laver soigneusement les végétaux et tout ce qui aurait pu être souillé.


Santé : l'épidémie de grippe continue

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48ème Forum des îles du Pacifique : l'économie bleue sujet porteur d'espoirs

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48ème Forum des îles du Pacifique : l'économie bleue sujet porteur d'espoirs
APIA, SAMOA, le 5 septembre 2017 - Mardi, en fin de journée (heure locale), s'est déroulée la cérémonie d'ouverture du 48ème forum des îles du Pacifique à Apia, aux Samoa.

La cérémonie a été marquée par le discours du président sortant, Peter Christian, des Etats Fédérés de Micronésie, et par le discours du Premier ministre des Samoa, Tuilaepa Sailele Malielegaoi, qui, une année durant, assurera désormais la présidence du Forum des îles du Pacifique. Le Premier ministre des Samoa a insisté sur le thème de l’économie bleue, qui peut être, pour l’ensemble de la région Pacifique, un sujet porteur de beaucoup d’espoirs, en matière de développement économique notamment.

Cette entrée en matière, culturelle et protocolaire, sera suivie mercredi et jeudi de plusieurs réunions et de rencontres bilatérales permettant d’échanger entre les nations du Pacifique. La journée de mercredi comportera ainsi notamment une rencontre avec la société civile. Le Forum des îles du Pacifique arrivera à son terme vendredi, avec la retraite des Leaders, à laquelle prendra part, pour la première fois, le Président de la Polynésie française.

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Ryane, self-made man du 'ukulele à Tahiti

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Ryane, self-made man du 'ukulele à Tahiti
PAPEETE, le 5 septembre 2017 - Roger Yane, de son nom d'artiste Ryane, a appris le 'ukulele en bringue et avec ses cousins. Et un jour il a découvert un artiste hawaiien qui manipulait l'instrument avec une facilité déconcertante, l'utilisant pour des solos de rocks, jazz ou blues incroyable. Avec le reste de sa génération des ukuleleistes, il s'est plongé à corps perdu dans l'instrument à quatre cordes.

Ryane participera au Festival International de 'Ukukeke organisé la semaine prochaine à la Maison de la culture. Il jouera en particulier lors du grand concert du 15 septembre. Il avait également participé au premier Festival International de 'Ukulele en 2014, ainsi qu'au précédent record du monde.

[Démonstration de Maruarii Ateni et Roger Yane lors de la conférence de presse annonçant le Festival :]url:https://www.facebook.com/Tahitiinfos/videos/1514071498685520/


Le profil de Ryane répond en écho à celui du joueur de 'ukulele hawaiien Andrew Molina, (lire notre portrait). Le Tahitien, comme le Hawaiien, a plongé dans le 'ukulele après avoir entendu Jake Shimabukuro en jouer. Ils ont été parmi les premiers convertis à cette nouvelle vague, que l'on ressent encore à travers le monde : le 'ukulele avait gagné ses lettres de noblesses dans le jazz et le rock et sortait du simple rôle d'instrument "local". Jake Shimabukuro a inspiré toute une génération de futurs maestros du petit instrument à quatre cordes. Mais il n'y avait encore aucune école ou professeur de ce nouveau style, et ils ont tous appris en autodidacte, en écoutant obsessivement les albums de leur précurseur. Mais aucun des deux ne renie leur plaisir, et on les retrouvera souvent à jouer en bringue ou en "lū'au" avec leurs proches.

La rencontre des deux artistes la semaine prochaine au festival devrait, justement, être détonante. Un morceau de choix pour tous les fans de 'ukulele de Polynésie.



Roger Yane, dit "Ryane", professionnel du 'ukulele à Tahiti
"J'ai essayé de travailler dans un bureau et ça me rend dingue. Je ne peux plus vivre sans musique !"


Comment as-tu commencé le 'ukulele ?
J'ai commencé le 'ukulele à 14 ans, donc ça fait maintenant 13 ans que j'en joue, presque la moitié de ma vie ! C'est une vrai passion, qui est venue avec l'orchestre Te Ava Piti. J'écoutais beaucoup de musique locale quand j'étais jeune, puis de voir les copains jouer à l'école ça m'a donné l'envie de m'y mettre, j'ai appris comme ça. Et un jour j'ai vu à la télévision un concert avec beaucoup d'artistes hawaiiens qui m'a beaucoup influencé. Il y avait en particulier Jake Shimabukuro qui était invité avec le groupe Makaha Sons pour jouer Noho Pai Pai… Quand je l'ai vu jouer, je me suis dit 'waou, c'est carrément autre chose que ce que je connais du 'ukulele'… Ca m'a montré que le 'ukulele n'a pas de limite, on peut en faire beaucoup plus que ce qu'on imagine, ça m'a vraiment influencé…

(en vidéo : Noho Paipai par Makaha Sons et Jake Shimabukuro)

Et comment fait-on pour apprendre le 'ukulele à ce niveau, tout seul, sans école ou prof ?
En fait je suis autodidacte. Au début j'avais un cousin dans le quartier qui m'a montré les premiers accords, même si les noms d'accord qu'il m'avait donné étaient faux ! Ensuite j'ai regardé les copains jouer, en écoutant la radio j'ai développé mon oreille, et ensuite 90 % de mon apprentissage s'est poursuivi dans ma chambre, d'abord avec les CD, surtout ceux de Jake Shimabukuro, puis avec l'arrivée d'internet c'est devenu plus facile.

Malgré le fait que tu n’as jamais eu de prof, aujourd'hui tu enseignes…
Oui c'est ça qui est marrant, je n'ai jamais pris de cours mais j'en donne. Et ça marche, mes élèves ont été invités en 2014 pour le Festival 'ukulele à Hitia'a, ils étaient 6 et le soliste était un petit de 12 ans ! Ça a très bien marché, le public était heureux, donc on nous a invités l'année suivante à un concert de Patrick Noble à Paea, ça s'est bien passé aussi, et depuis ça continue.

Et depuis 2016 on tourne régulièrement avec le groupe de Eto, le gagnant du Festival Guitare, et on fait les bars, restaurants, hôtels, la tournée classique des groupes locaux. Prochainement on aura un concert à Bora Bora.

A quel moment as-tu décidé que le 'ukulele deviendrait ta vie ?
En fait… Depuis la 6ème je voulais déjà faire prof de musique. Tout ce qui était piano, guitare, flûte, ça m'attirait beaucoup. Tout ce qui était partitions, je trouvais ça bizarre mais merveilleux : avec quelques notations comme ça on pouvais faire de la musique, sortir le bon son d'un instrument. Donc j'ai aussi continué d'apprendre le solfège en autodidacte avec des livres et sur internet.

Mais quand j'ai commencé le 'ukulele l'année d'après, je n'ai jamais pensé à faire prof de 'ukulele… Du coup j'ai fini par faire deux ans de Droit à l'université. Ça ne m'a pas plu, alors j'ai essayé de trouver du boulot… Et finalement je me suis lancé dans les cours de 'ukulele. Pour ça j'ai dû étudier d'autres aspects de l'instrument. J'ai commandé beaucoup de livres sur la théorie musicale, la construction des accords, l'histoire du 'ukulele, j'a beaucoup lu sur internet, et avec ce que je savais déjà faire en technique ça a bien complété.

Tu penses que d'avoir appris seul te donne une perspective différente ?
On dit que l'école de la rue est souvent la meilleure… En tout cas je n'ai jamais été timide pour jouer devant un public ! Mais il y a aussi des faiblesses. Quelqu'un qui apprend dans la rue ne saura pas forcément lire une partition, alors que celui qui sait lire une partition ne saura pas forcément jouer avec le "feeling", avec d'autres musiciens, un chanteur, ou même improviser. Donc il faut un peu des deux, et c'est comme ça que je fonctionne avec mes élèves : je leur apprend avec des feuilles, des partitions, et j'essaie de leur faire ressentir la musique, écouter où placer ses accords, chanter au bon moment, respecter le tempo… Ça a l'air difficile comme ça, mais à force de persévérer les gens qui arrivent.
Aujourd'hui j'ai 27 ans, et je ne pense pas pouvoir faire autre chose, c'est la musique qui me rend heureux. J'ai essayé de travailler dans un bureau et ça me rend dingue. Je ne peux plus vivre sans musique !

As-tu un conseil pratique pour ceux qui sont en ce moment même en train d'apprendre avec leurs amis, leurs tontons ou seuls sur internet ?
Oui, il faut vraiment persévérer et jouer tous les jours. Moi aussi quand j'ai appris j'ai eu envie d'abandonner au moins quatre fois. Pendant deux ans j'ai stagné, mais après il faut persévérer et s'ouvrir. Il faut regarder ce qu'il se passe ailleurs qu'en Polynésie, ce que les gens font autour du globe, et là tu vas progresser, c'est sûr ! C'est en apprenant des autres qu'on progresse. Ça permet d'être plus créatif, et quand on a maîtrisé la technique, la musique ça devient vraiment de la création.

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Cérémonie d’ouverture du 48e Forum des îles du Pacifique

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Cérémonie d’ouverture du 48e Forum des îles du Pacifique
APIA (Samoa indépendantes), 5 septembre 2017 - Le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a participé, mardi en fin de journée, à la cérémonie d’ouverture du 48e Forum des îles du Pacifique. La cérémonie s’est déroulée sur les hauteurs d’Apia, dans un site autrefois habité par le romancier Robert Louis Stevenson.

La cérémonie a été marquée par le discours du président sortant, Peter Christian, des Etats Fédérés de Micronésie, et par le discours du Premier ministre des Samoa, Tuilaepa Sailele Malielegaoi, qui, une année durant, assurera désormais la présidence du Forum des îles du Pacifique. Le Premier ministre des Samoa a insisté sur le thème de l’économie bleue, qui peut être, pour l’ensemble de la région Pacifique, un sujet porteur de beaucoup d’espoirs, en matière de développement économique notamment.

Le président Edouard Fritch a participé à l’ensemble de la manifestation, y compris la cérémonie traditionnelle de partage du kava, qui dans le Pacifique est hautement symbolique, dans un cadre de dialogue serein et apaisé entre les différentes entités, états et territoires, constituant le Forum des îles du Pacifique.

Cette entrée en matière, culturelle et protocolaire, sera suivie mercredi et jeudi de plusieurs réunions et de rencontres bilatérales permettant d’échanger entre les nations du Pacifique. La journée de mercredi comportera ainsi notamment une rencontre avec la société civile. Le Forum des îles du Pacifique arrivera à son terme vendredi, avec la Retraite des Leaders, à laquelle prendra part, pour la première fois, le Président de la Polynésie française.

Cérémonie d’ouverture du 48e Forum des îles du Pacifique

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" Le CFPA a pour vocation d'être un ascenseur social "

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PIRAE, le 5 septembre 2017 - Les centres de formation professionnelle des adultes ont ouvert leurs portes ce mardi, dans le cadre des 40 ans du CFPA de Pirae. Quatre décennies que le centre assure sa mission première : permettre aux adultes d'accéder à une qualification professionnelle. Explications avec Jean-Michel Blanchemanche, directeur général des CFPA.

Quel est l'objectif de ces journées portes ouvertes?

L'objectif principal d'ouvrir nos quatre centres (Pirae, Taravao, Punaauia et Raiatea NDLR) de manière simultanée. De cette manière, nous montrons nos différents plateaux et moyens pédagogiques au public et aux entreprises. Beaucoup de gens connaissent le CFPA mais ne savent pas vraiment ce que nous y faisons. Nous avons besoin de montrer ce que nous faisons. C'est aussi l'occasion de fêter nos 40 ans car cela fait 40 années que nous existons sous l'appellation CFPA.

Espérez-vous ainsi recruter plus de stagiaires ?

Cela leur permet surtout aux personnes qui se déplacent de pouvoir se projeter dans l'avenir et de voir ce qu'elles pourraient être amenées à faire. Souvent, les gens que nous voyons sont des jeunes qui ont vécu des échecs scolaires. Étant adultes maintenant, avec leur vécu et leur expérience professionnelle, venir ici leur permet de pouvoir monter des projets professionnels pour pouvoir acquérir un titre. Nous dispensons des titres reconnus nationalement. Cela donne aux stagiaires un vrai diplôme de qualification. Chose qu'ils n'ont peut-être pas pu acquérir avant. Quelque part, le CFPA a pour vocation d'être un ascenseur social.

Est-ce que cela a toujours été le leitmotiv des CFPA?

Depuis 40 ans, l'objectif est de pouvoir favoriser l'ascension sociale, de pouvoir donner à nos stagiaires une qualification en vue de pouvoir travailler. Nous évoluons en permanence en fonction des directives dans le marché des entreprises. Nous investissons sans cesse en moyens pédagogiques afin de rester dans la course pour les besoins des entreprises. Pour éviter de saturer le marché, nous nous sommes engagés à développer chez les formateurs différents niveaux de formation pour qu'ils puissent dispenser plusieurs niveaux de qualification.

Combien de chances a un stagiaire de trouver du travail après une formation au CFPA?


En 2016 50 % des 792 stagiaires qui sont entrés au CFPA ont été insérés dans le monde du travail. Nous792 stagiaires. C'est un résultat très satisfaisant. 2016 a été une bonne année. Nous essayons de maintenir ces niveaux d'excellence.

Les dates
- 1977 : la formation professionnelle prend l'appellation de CFPA. D'abord à Tipaerui, le centre est transféré cette même année à Pirae;
- 1987 : création du CFPA de la Punaruu à Punaauia;
- 2007 : ouverture d'un CFPA à Raiatea;
- 2010 : le CFPA de Taravao est inauguré.

Les nouveautés à la rentrée 2018
Les quatre centres comptent 657 stagiaires et une trentaine de formateurs. Diverses formations sont dispensées suivant les centres dans les domaines du bâtiment, de l'agriculture ou encore des services. En 2018, trois nouveaux diplômes font leur entrée :
- Monteur, dépanneur et frigoriste à Taravao;
- Maraîchage à Raiatea;
- Formation amiante SS4 à Taravao;

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Paea : la nouvelle école de Papehue sera inaugurée ce mercredi matin

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Paea : la nouvelle école de Papehue sera inaugurée ce mercredi matin
PAEA, le 05/09/2017 - Cet établissement scolaire a été fermé il y a quelques années, afin de lui donner un second souffle. Aujourd'hui, l'école dispose d'un nouveau bureau de direction, d'un préau supplémentaire et de nouvelles salles de classes. Des travaux qui ont coûté près de 137 millions de francs, financés à 95 % par le FIP et 5 % par la commune.

Après quelques années de stand-by, l'école de Papehue de Paea reprend enfin vie. Pour cette année scolaire, ce sont plus de 240 enfants qui ont été répartis dans les dix classes que compte l'établissement, allant de la CP jusqu'à la CM2.

Aujourd'hui, l'école dispose de "deux nouvelles salles de classe, une salle informatique, une bibliothèque, une infirmerie et une salle DASED, un dispositif d’aide spécialisée aux élèves en difficulté", indique le communiqué de la municipalité. "De plus, l’école dispose désormais d’une réserve, d’un nouveau bureau de direction mais également d'un préau supplémentaire relié au bâtiment principal par une coursive".

Des travaux qui ont coûté près de 137 millions de francs, financés à 95 % par le Fonds intercommunal de péréquation (FIP) et à 5 % par la commune.

Et pour obtenir de tels résultats, le projet a été réalisé en trois tranches. "La première tranche comprenant la construction de neuf salles de classe, de sanitaires et d'un préau ; la deuxième tranche disposant d’un réfectoire", précise le communiqué. "La troisième tranche a été entamée en octobre 2016 jusqu'au mois de juillet 2017."

L'idée principale était d'agrandir l'établissement scolaire, jugé trop étroit pour accueillir l'ensemble des élèves. "Au cours des dernières années, l'école élémentaire de Papehue fut nombre de fois contrainte de refuser des inscriptions, notamment par manque de place", prévient la municipalité.

Pendant la durée des travaux, les élèves de Papehue ont poursuivi leur cursus scolaire au sein de l’Église catholique Saint François Xavier.



Paea : la nouvelle école de Papehue sera inaugurée ce mercredi matin

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Tahiti tourisme se fixe de nouveaux objectifs pour 2018

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Tahiti tourisme se fixe de nouveaux objectifs pour 2018
PAPEETE, le 05 septembre 2017 - La conférence annuelle de Tahiti Tourisme s'est tenue hier matin. L’organisme en charge du marketing de la destination Tahiti et ses îles à l’international a présenté les stratégies de développement et les actualités globales pour l'année 2018, ainsi que les projets pour chacun de ses marchés spécifique (Europe, Amérique du Sud, Amérique du Nord, Asie, Australie…)

Tahiti Tourisme a tenu mardi sa grand-messe annuelle. L'organisme de promotion de la Polynésie a choisi de définir cinq axes stratégiques. Ainsi l'année 2018 verra Tahiti Tourisme développer les marchés à fort potentiels qui sont entre autres la Corée, le Japon, La Chine, l'Australie, les États-Unis, le Canada, le Brésil, la Colombie et la France. Le but est d'accroître le nombre de voyageurs et d'asseoir la destination. C'est pourquoi, le deuxième axe est de rendre la destination encore plus "visible et désirable" pour se faire, la campagne #takemetotahiti sera lancée sur les réseaux sociaux et tout au long de l'année 2018 sur les différents marchés émetteurs, à commencer par les États-Unis. Tahiti Tourisme compte également se servir des influencers et des médias pour faire parler de la destination.

Si la destination devient plus populaire, il faut avoir un réseau de distribution capable de soutenir et d'orienter la demande. C'est pourquoi, l'organisme va développer et renforcer le réseau de distribution pour 2018.
Le but est de former les agents de voyage qui vendent la destination, mais également de multiplier la présence de la destination dans les différents salons.
Le quatrième axe consiste à optimiser la distribution et la commercialisation de la destination. Enfin le dernier axe s'inscrit dans un partenariat renforcé avec les pensions de famille et la petite hôtellerie familiale. Tahiti Tourisme se donne comme objectif de mieux répartir les clientèles touristiques dans les îles et dans les divers types d'hébergements. Pour cela, une nouvelle campagne de communication axée sur les pensions de famille est prévue pour 2018, tout comme l'organisation de voyages de presse et de campagne spécifique pour la petite hôtellerie familiale sur le marché français.

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Tahiti Tourisme : Les pensions de famille au cœur d'une campagne de communication

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Tahiti Tourisme : Les pensions de famille au cœur d'une campagne de communication
PAPEETE, le 05 septembre 2017 -Les services de Tahiti Tourisme ont clairement affiché, hier, leur volonté de mettre en avant les pensions de familles sur le marché local, mais surtout sur le marché international. C'est dans ce sens que Tahiti Tourisme a annoncé le lancement d'une nouvelle campagne de communication autour des pensions de famille.

Alors que l'an dernier, les relations entre Tahiti Tourisme, le Pays et les pensions de famille étaient tendues, cette année c'est plutôt le retour au beau fixe. En effet, les pensions de famille se plaignaient d'être les laissées pour comptes de l’organisme en charge du marketing de la destination Tahiti et ses îles à l’international et de sa promotion au profit des grands hôtels et des bungalows sur pilotis. Aujourd'hui, Tahiti tourisme semble avoir entendu les plaintes des professionnels de la petite hôtellerie polynésienne. En effet, il lance une campagne de communication dont l'objet et de mettre en avant les pensions de famille.

Avec 301 structures d’hébergements réparties dans 39 îles et environ 1 400 chambres, le secteur de la petite hôtellerie familiale représente 33  % de la capacité hôtelière. Ces structures d’hébergement touristiques présentent de vrais atouts pour une promotion de la destination, tournées davantage sur l’authenticité et sur son peuple.

Il est vrai que longtemps, l'image de la Polynésie véhiculée par les campagnes de communication s'est cantonnée aux lagons bleus et aux bungalows sur pilotis. Si la destination est bien connue pour cela, il existe aussi une opportunité de communication autour de la pension de famille. La petite hôtellerie répond d'ailleurs au besoin d'authenticité grandissant chez les touristes occidentaux.

En 2018, Tahiti Tourisme se donne pour mission de mieux répartir les clientèles touristiques dans les îles et dans les divers types d’hébergement. Selon Paul Sloan, directeur général de Tahiti Tourisme "Pour notre campagne de promotion 2018, nous allons mettre en avant des alternatives d’hébergement tel que la petite hôtellerie familiale ; avec ces 1 400 chambres, qui s’ajoutent aux 2 800 proposées actuellement par les grands hôtels, la petite hôtellerie familiale représente un tiers de l’hébergement terrestre disponible sur l’ensemble de la Polynésie ; nous allons accentuer notre communication sur ce modèle d’hébergement qui offre une expérience authentique et unique, plus proche de la population."

C'est donc dans ce contexte que l’agence MeringCarson et les équipes de Tahiti Tourisme travaillent sur une campagne dédiée à la petite hôtellerie familiale pour 2018, sous l’ombrelle de la campagne "Tahiti et ses îles, Les îles du Mana" .


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Exposition Paul Jacoulet : dans le sillage d'un artiste voyageur en Micronésie

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Exposition Paul Jacoulet : dans le sillage d'un artiste voyageur en Micronésie
PUNAAUIA, le 5 septembre 2017 - Le Musée de Tahiti et des îles accueille, du 7 septembre au 10 décembre, l'exposition itinérante "Un artiste voyageur en Micronésie - L’univers flottant de Paul Jacoulet". Découvrez 76 magnifiques estampes issues des collections du Musée du quai Branly, un don précieux de la fille adoptive de Jacoulet.


Présentée en premier lieu au Musée du quai Branly - Jacques Chirac en 2013, l'exposition "Un artiste voyageur en Micronésie - L’univers flottant de Paul Jacoulet" a été conçue par Christian Polak, docteur en droit, expert en histoire des relations franco-japonaises, spécialiste de l’œuvre de Paul Jacoulet. À l'instar de la superbe exposition "Tiki", elle voyage enfin jusqu'au fenua grâce au partenariat entre le Musée de Tahiti et des îles (MTI) et le musée parisien. D'ailleurs, son président, Stéphane Martin, nous fait l'honneur de revenir en Polynésie, en compagnie de Thérèse Jacoulet-Inagaki, la fille adoptive de Paul Jacoulet (1896-1960) et représentante des trois autres héritiers-donateurs. M. Martin précise : "Thérèse est l'une des plus grosses donatrices, elle a donné la totalité de l'atelier de l'artiste, un trésor personnel précieusement conservé, d'une valeur estimée à 4 millions d'euros (environ 480 millions de Fcfp)."

Exposition Paul Jacoulet : dans le sillage d'un artiste voyageur en Micronésie
Artiste français, Paul Jacoulet (1896-1960) arrive au Japon en 1899, avec son père médecin. Enfant de la haute bourgeoisie, il séjournera au pays du Soleil-Levant la majeure partie de sa vie. Il reçoit une solide éducation artistique qui fera naître son intérêt pour la peinture, la calligraphie et le récit chanté (gidayu). Très vite, il se fait remarquer par sa maîtrise considérable de la technique de gravure sur bois et de l’estampe, ainsi que la richesse des pigments employés (jusqu'à 250 passages de couleurs !) et la qualité des matériaux utilisés (cerisier, etc.). Pour autant, il n'a vendu aucune de ses œuvres… Ces images imprimées décrivent un "monde flottant" (ukiyo-e), celui du profane, des hommes et de la nature soumis à l’impermanence. Pour l'époque, il est l'un des rares Occidentaux à voyager en Corée, en Chine et en Micronésie où il se rend à de nombreuses reprises pour faire des portraits des habitants. À travers son œuvre subtile et raffinée, au style singulier, Jacoulet représente les hommes et les femmes qu’il a rencontrés avec un regard à la fois intime, esthétique et ethnographique.

Exposition Paul Jacoulet : dans le sillage d'un artiste voyageur en Micronésie
Si 160 aquarelles, dessins et estampes exceptionnels, ainsi qu'un ensemble de matrices de bois utilisées pour la préparation des estampes, entre autres objets, ont été exposés à Paris, ce sont 76 magnifiques estampes réalisées par Paul Jacoulet que le public polynésien pourra découvrir à compter de jeudi prochain. L'exposition est axée sur cinq thématiques : "L’artiste voyageur", "Vers la lumière des îles de Micronésie", "L'art du tatouage", "L'art de la parure" et "L'intime". "C’est notamment la représentation des tatouages et des parures micronésiens, dans ses similitudes et ses variantes avec la culture polynésienne, qui interpellera le spectateur polynésien sensible à la vision d’un artiste qui s’est fait ethnographe par la minutie du rendu de ses observations", remarque Miriama Bono, la nouvelle directrice du MTI. Les amoureux de Jacoulet et de culture japonaise noteront par ailleurs qu'un catalogue de l'exposition, un ouvrage broché de 352 pages, est en vente sur place, à Te Fare Manaha.

Infos pratiques
Exposition Paul Jacoulet : dans le sillage d'un artiste voyageur en Micronésie
Du 7 septembre au 10 décembre
Musée de Tahiti et des îles
Tarifs : 800 Fcfp (adultes) ; gratuit (étudiants et moins de 18 ans)
Ouvert tous les jours de 9 à 17 heures (sauf le lundi)
www.museetahiti.pf

Rencontre avec le public au Musée de Tahiti et des îles
Jeudi 7 septembre, à 10 heures en présence de Stéphane Martin et Thérèse Jacoulet-Inagaki

Journées du patrimoine au MTI et à l'UPF
Exposition Paul Jacoulet : dans le sillage d'un artiste voyageur en Micronésie
La 34e édition des Journées européennes du patrimoine se tiendra les 16 et 17 septembre, au Musée de Tahiti et des îles (MTI), sur le thème de la jeunesse. Le 14 septembre, une journée supplémentaire sera en outre réservée aux scolaires, avec des activités proposées autour du Taure’are’a et de la thématique de la transmission des savoirs et des périodes d’initiations. En outre, le MTI souhaite lancer des visites thématiques, alliées aux activités et ateliers qui seront proposés durant ces journées : tapa, percussions, mise en pots de plantes, tressage, navigation, projections de films du Fifo, etc. L'entrée est libre mais n'oubliez pas de réserver à accueil@museetahiti.pf.
La bibliothèque de l'Université de la Polynésie française (UPF) dévoilera, quant à elle, ses collections rares et anciennes relatives au triangle polynésien, les 15 et 16 septembre. Une belle occasion de découvrir gratuitement le fonds patrimonial polynésien. Dans ce cadre, la BU accueille également une exposition portée par Tahiti Héritage et la Polynésienne des eaux : "Pape o Tahiti, l'eau dans la culture polynésienne", du 11 septembre au 7 octobre.

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Ordonnances royales, mystère et prescription

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Ordonnances royales, mystère et prescription
PAPEETE, le 5 septembre 2017 - Un ancien président du tribunal de première instance de Papeete, Henri Renaud de la Faverie, devait être jugé ce mardi par son ancienne juridiction pour "recel d'objets provenant d'un délit". Mais le tribunal a jugé les faits prescrits.

Ce magistrat aujourd'hui âgé de 73 ans, en poste dans les années 80 en Polynésie française, avait fait l'objet d'une enquête ouverte en 2013 pour avoir vendu à une galerie parisienne, au milieu des années 2000, une série d'ordonnances royales originales signées de la reine Pomare, des biens appartenant au Pays et dont il avait donc pris possession.

Insolite, le dossier était attendu comme une petite gourmandise du côté du palais de justice. Il a vite perdu de sa saveur, le tribunal correctionnel se rangeant du côté de la défense du prévenu, lui demandant de constater l'extinction de l'action publique sur ces faits relativement anciens et désormais prescrits. Le galeriste parisien ayant pu justifier avoir acheté de bonne foi le précieux patrimoine culturel en 2007 et aucune action en justice n'ayant été lancée dans le délai légal de trois ans, la plainte du service des archives du Pays en 2013 serait donc arrivée bien trop tard aux yeux du tribunal. L'enquête avait néanmoins eu lieu et le très sérieux Office central de lutte contre le trafic des biens culturels avait été saisi par le parquet. Des perquisitions avaient été réalisées.

Restituées au Pays

Si, depuis, les précieuses ordonnances royales ont été restituées au Pays, le mystère demeure sur la façon dont Henri Renaud de la Faverie en a fait l'acquisition. Aujourd'hui en métropole, l'ancien magistrat n'a pas fait le déplacement. Il était représenté localement par l'avocat Me Yves Piriou. "Les documents lui ont été remis par un ami décédé dont il n'a pas souhaité donné le nom", a raconté l'avocat au tribunal avant le classement de l'affaire, portant la version de son client. "Il a quitté la Polynésie française il y a quelques années et a indiqué avoir retrouvé ces documents égarés dans les déménagements. N'en ayant pas d'utilité, il a eu l'idée de les présenter à une galerie qui s'est montrée intéressée".

Une transaction qui lui avait rapporté à l'époque plus de 9 000 euros, soit 1 million de francs environ. Selon sa défense, le service des archives lui-même, plaignant, n'aurait pas été en mesure de fournir de traçabilité de ces écrits royaux avant qu'ils ne tombent dans l'escarcelle d'Henri Renaud de la Faverie. Le galeriste parisien qui les avait lui-même revendus peu de temps après en avoir fait l'acquisition a affirmé pendant l'enquête que les documents n'étaient estampillés d'aucun tampon ou cachet propres aux archives patrimoniales d'une collectivité.

Outre son poste de magistrat à Papeete, Henri Renaud de la Faverie, avait aussi été conseiller du président de l'assemblée de la Polynésie française et travaillé dans divers cabinets ministériels. Le parquet, qui n'a pas caché un certain agacement à l'annonce de la prescription du dossier, peut encore faire appel de cette décision.

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Louer un poisson pour la nuit, l'idée insolite d'un hôtelier belge

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Louer un poisson pour la nuit, l'idée insolite d'un hôtelier belge
Bruxelles, Belgique | AFP | mardi 05/09/2017 - Louer un poisson rouge pour la nuit. Le gérant d'un hôtel belge a eu l'idée de proposer ce service afin d'animer la file d'attente devant la réception de son établissement, un concept qui a rapidement suscité la curiosité des internautes.
Une touriste néerlandaise a posté début septembre une photo de bocal à poisson sur son compte Facebook. Une de ses amies, productrice radio en Nouvelle-Zélande, l'a reprise sur Twitter. Le tweet est devenu viral et a été aimé plus de 30.000 fois en moins de quatre jours.
Mais ce n'est pas la première fois que le concept "Rent a fish" de l'hôtel Van der Valk de Charleroi (sud de la Belgique) connaît ce succès, relayé mardi par plusieurs médias belges.
"Il y a deux-trois ans, un joueur australien de tennis en fauteuil roulant n'arrivait pas à dormir. Il a décidé de filmer les poissons et de partager la vidéo sur les réseaux sociaux", se souvient David Dillen, manager de l'hôtel, joint par l'AFP.
Depuis, les trois poissons rouges Nemo, Heineken et Prince Charles, loués pour 3,50 euros la nuit, sont les vedettes de l'hôtel.
C'est le manager qui a eu cette idée en mars 2013. "Assis au bar de l'hôtel avec mon cousin, je voyais tous ces gens qui s'ennuyaient dans la file d'attente de la réception", se souvient-il, "je voulais rendre leur temps d'attente plus agréable, les faire sourire".
Le concept a tout de suite été plus loin avec le slogan : "Seul dans votre chambre, vous souhaitez de la compagnie ?". Il permet de louer son poisson rouge à la nuit, bocal fourni.
"Aujourd'hui, nous avons trois types de clients : ceux qui postent des photos du poisson dans leur chambre sur les réseaux sociaux, les hommes d'affaires qui s'éclatent à envoyer leur note de frais rigolote à leur patron, et les familles à qui on prête gratuitement le poisson", raconte M. Dillen.
Mais gare aux enfants. "Une petite Néerlandaise de trois ans a kidnappé l'un de nos poissons. Son père, qui l'a découvert dans la voiture à la frontière belgo-hollandaise, nous a immédiatement appelé. L'hôtel le lui a offert", conclut-il.

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Washington réaffirme son engagement aux côtés de ses alliés en Asie

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Washington réaffirme son engagement aux côtés de ses alliés en Asie
Washington, Etats-Unis | AFP | mercredi 06/09/2017 - Les Etats-Unis ont réaffirmé leur engagement aux côtés de leurs alliés en Asie face aux menaces de Pyongyang, réaffirmant leur menace de "réponse militaire massive".
Au cours d'une conversation téléphonique mardi avec son homologue sud-coréen Song Young-moo consacré au nouvel essai nucléaire nord-coréen, le plus puissant à ce jour, Jim Mattis a souligné la détermination "à tout épreuve" des Etats-Unis à défendre la Corée du Sud, a indiqué mercredi la porte-parole du Pentagone, Dana White.
L'ancien général des Marines a réaffirmé que "toute menace contre les Etats-Unis, leurs territoires ou leurs alliés recevraient une réponse militaire, effective et écrasante", a-t-elle précisé dans un communiqué.
Jim Mattis avait tenu des propos similaires dimanche, précisant que les Etats-Unis ne cherchaient pas à obtenir "l'anéantissement total" de la Corée du Nord. Mais "nous avons de nombreuses options pour le faire", avait-il précisé.
Cette réaffirmation de l'engagement américain aux côtés de son allié sud-coréen intervient après des critiques de Donald Trump à l'encontre de son homologue sud-coréen Moon Jae-In, partisan d'un dialogue avec le régime de Kim Jong-Un.
"La Corée du Sud s'aperçoit, comme je le leur ai dit, que leur discours d'apaisement avec la Corée du Nord ne fonctionnera pas, ils ne comprennent qu'une chose!", a-t-il lancé dimanche après le sixième essai nucléaire de Pyongyang, qui a revendiqué le test d'une bombe H.
Dans un communiqué commun publié mardi, le département d'Etat américain et le Pentagone ont annoncé la création d'une structure de dialogue stratégique américano-coréen regroupant des responsables diplomatiques et militaires des deux pays.
Le Groupe élargi de consultation et de stratégie de dissuasion (EDSCG) se réunira une fois par an, précisait le communiqué.
M. Mattis a également appelé le ministre japonais de la Défense, Itsunori Onodera, pour lui assurer que l'engagement des Etats-Unis à défendre le Japon, y compris par la dissuasion nucléaire, reste total", a indiqué mercredi le Pentagone.
De son côté, Donald Trump a téléphoné au Premier ministre australien Malcolm Turnbull pour "réaffirmer son engagement à défendre le territoire des Etats-Unis et de leurs alliés, utilisant toutes les capacités diplomatiques et militaires disponibles", a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.
Le président américain a également téléphoné à la Première ministre britannique Theresa May, réaffirmant que "toutes les options restent ouvertes" pour défendre les Etats-Unis et leurs alliés contre une agression nord-coréenne.

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