PORT-MORESBY, jeudi 18 juillet 2013 (Flash d’Océanie) – Des milliers de personnes ont défilé jeudi dans les rues de la capitale papoue Port-Moresby, en signe de protestation contre une récente attaque d’un groupe d’une trentaine de soldats dans les locaux de la faculté de médecine de la capitale.
Le week-end dernier, un groupe d’une trentaine de soldats de l’armée a fait irruption à l’intérieur e la faculté de médecine, adjacente à l’hôpital de Port-Moresby, armés de sabres d’abattis, de barres de fer et d’armes à feu, avant de s’en prendre à un interne dentiste.
L'un de ces soldats aurait eu une altercation avec cet étudiant vendredi 12 juillet 2013, au sujet de l’utilisation d’un distributeur automatique de billets, rapporte la radio nationale.
Agressé par les soldats en armes, qui ont tiré des coups de feu, l’étudiant a été grièvement blessé dimanche et se trouve toujours depuis en soins intensifs.
Les autorités locales ont promis une enquête afin de retrouver les coupables de cette agression et de les traduire en justice.
Lors de leur manifestation de jeudi, les étudiants ont remis une pétition au gouvernement, exigeant que des mesures soient prises pour identifier et juger les militaires responsables de ces actes.
Depuis, le gouvernement a vivement condamné cette attaque.
Au plan militaire, trois soldats auraient d’ores et déjà été mis à pied et arrêtés.
Les autorités promettent d’autres interpellations dans les jours à venir.
pad
Le week-end dernier, un groupe d’une trentaine de soldats de l’armée a fait irruption à l’intérieur e la faculté de médecine, adjacente à l’hôpital de Port-Moresby, armés de sabres d’abattis, de barres de fer et d’armes à feu, avant de s’en prendre à un interne dentiste.
L'un de ces soldats aurait eu une altercation avec cet étudiant vendredi 12 juillet 2013, au sujet de l’utilisation d’un distributeur automatique de billets, rapporte la radio nationale.
Agressé par les soldats en armes, qui ont tiré des coups de feu, l’étudiant a été grièvement blessé dimanche et se trouve toujours depuis en soins intensifs.
Les autorités locales ont promis une enquête afin de retrouver les coupables de cette agression et de les traduire en justice.
Lors de leur manifestation de jeudi, les étudiants ont remis une pétition au gouvernement, exigeant que des mesures soient prises pour identifier et juger les militaires responsables de ces actes.
Depuis, le gouvernement a vivement condamné cette attaque.
Au plan militaire, trois soldats auraient d’ores et déjà été mis à pied et arrêtés.
Les autorités promettent d’autres interpellations dans les jours à venir.
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