PAPEETE, mercredi 18 septembre 2013 – "Nous sommes là. Le fils spirituel est là, n’est-ce pas ?", a déclaré un brin ironique Edouard Fritch en fin de matinée, interrogé au sujet de l’ouverture de la session budgétaire, jeudi, qui se fera en l’absence de Gaston Flosse.
Le président d’honneur du Tahoera’a Huira’atira confirme également que le président de la Polynésie française ne pourra pas subir l’intervention chirurgicale pour laquelle il s’est rendu à Paris, cette semaine.
Il s’agit du remplacement d’une prothèse à la hanche. Opération désignée par Gaston Flosse lui-même, mercredi 11, comme l’installation d’"un bout de caoutchouc" pour corriger une jambe plus courte que l’autre qui le tourmente à la suite d’un accident de jeunesse. Mais le médecin anesthésiste parisien a préféré renvoyer l’intervention au mois de novembre prochain. Il s'agit en réalité d'une opération chirurgicale relativement lourde, qui présente des risques certains sur un patient de 82 ans.
Plusieurs observateurs ont constaté chez Gaston Flosse une certaine difficulté à se mouvoir, depuis plusieurs semaines. Il sera de retour samedi 21 septembre à Tahiti, avec les mêmes douleurs à la hanche.
"M. Flosse, je le rappelle malgré tout, souffre de cette difficulté depuis un mois déjà", a confirmé Edouard Fritch. "Il est aujourd’hui disposé à reporter cette intervention chirurgicale et je pense que c’est prévu pour le mois de novembre. Bien sûr que nous sommes très inquiets de sa situation, d’autant que nous avions tous espoir qu’il nous revienne de Paris en grande forme pour attaquer la session budgétaire".
Adoubé "fils spirituel" par Gaston Flosse, le 11 septembre dernier, Edouard Fritch dit se préparer à l’éventualité d’une passation de pouvoir effective, mais compare son attitude politique à celle d'un "chrétien". "Comme le dit la Parole", a-t-il développé, "il faut être prêt à tout moment. Donc j’ai toujours mon fût d’huile et mon feu qui brûle tout doucement. Mais je sais attendre le moment opportun pour cela. Voilà. Mais je ne suis pas pressé du tout. Et je crois M. Flosse, mis à part ces difficultés passagères, est encore en bonne forme : il a encore beaucoup de punch. (…) Personnellement je suis prêt. (…) Ce qui me soucie et qui m’a fait énormément plaisir lors de cette déclaration, c’est la réaction des gens du Tahoera’a. C’est une inscription de la continuité. Notre couple avec Gaston, est un duo qui vit déjà depuis pas mal d’années et qui fonctionne très bien.
Le président d’honneur du Tahoera’a Huira’atira confirme également que le président de la Polynésie française ne pourra pas subir l’intervention chirurgicale pour laquelle il s’est rendu à Paris, cette semaine.
Il s’agit du remplacement d’une prothèse à la hanche. Opération désignée par Gaston Flosse lui-même, mercredi 11, comme l’installation d’"un bout de caoutchouc" pour corriger une jambe plus courte que l’autre qui le tourmente à la suite d’un accident de jeunesse. Mais le médecin anesthésiste parisien a préféré renvoyer l’intervention au mois de novembre prochain. Il s'agit en réalité d'une opération chirurgicale relativement lourde, qui présente des risques certains sur un patient de 82 ans.
Plusieurs observateurs ont constaté chez Gaston Flosse une certaine difficulté à se mouvoir, depuis plusieurs semaines. Il sera de retour samedi 21 septembre à Tahiti, avec les mêmes douleurs à la hanche.
"M. Flosse, je le rappelle malgré tout, souffre de cette difficulté depuis un mois déjà", a confirmé Edouard Fritch. "Il est aujourd’hui disposé à reporter cette intervention chirurgicale et je pense que c’est prévu pour le mois de novembre. Bien sûr que nous sommes très inquiets de sa situation, d’autant que nous avions tous espoir qu’il nous revienne de Paris en grande forme pour attaquer la session budgétaire".
Adoubé "fils spirituel" par Gaston Flosse, le 11 septembre dernier, Edouard Fritch dit se préparer à l’éventualité d’une passation de pouvoir effective, mais compare son attitude politique à celle d'un "chrétien". "Comme le dit la Parole", a-t-il développé, "il faut être prêt à tout moment. Donc j’ai toujours mon fût d’huile et mon feu qui brûle tout doucement. Mais je sais attendre le moment opportun pour cela. Voilà. Mais je ne suis pas pressé du tout. Et je crois M. Flosse, mis à part ces difficultés passagères, est encore en bonne forme : il a encore beaucoup de punch. (…) Personnellement je suis prêt. (…) Ce qui me soucie et qui m’a fait énormément plaisir lors de cette déclaration, c’est la réaction des gens du Tahoera’a. C’est une inscription de la continuité. Notre couple avec Gaston, est un duo qui vit déjà depuis pas mal d’années et qui fonctionne très bien.
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