Les députés de la Polynésie française se montrent extrêmement surpris des déclarations de leur collègue René Dosière qui a estimé, lors de son passage en Nouvelle-Calédonie, que « les conditions de vie outre-mer ne justifient plus l’indexation ».
Les Polynésiens savent que les quelque 10.000 fonctionnaires qui vivent et travaillent ici contribuent activement à la vie économique du pays, et ce d’autant que la plupart d’entre eux sont des enfants du fenua.
Les députés de la Polynésie française rappelle à leur collègue les termes du rapport déposé à l’Assemblée nationale en mars 2007 par Jean-Yves Brard, relatif aux pensions de retraite et aux rémunérations outre-mer, selon lequel, en Polynésie française, « à défaut d'une baisse de la « vie chère », une éventuelle baisse des coefficients de majoration des traitements entraînerait, non pas une baisse des prix, mais une baisse du pouvoir d'achat des fonctionnaires ». Ce constat est toujours d’actualité.
Remettre en cause l’indexation, après avoir remis en cause l’ITR, serait non seulement mettre à mal le pouvoir d’achat des fonctionnaires, mais surtout porter un coup fatal à notre économie déjà bien fragilisée.
Avant toute déclaration intempestive, il convient de mener des études précises et sérieuses sur l’impact des sur-rémunérations dans le tissu économique polynésien.
Les députés de la Polynésie française sont, pour ce qui les concerne, opposés à toute remise en cause de l’indexation et entendent le faire savoir à leur collègue René Dosière.
Les Polynésiens savent que les quelque 10.000 fonctionnaires qui vivent et travaillent ici contribuent activement à la vie économique du pays, et ce d’autant que la plupart d’entre eux sont des enfants du fenua.
Les députés de la Polynésie française rappelle à leur collègue les termes du rapport déposé à l’Assemblée nationale en mars 2007 par Jean-Yves Brard, relatif aux pensions de retraite et aux rémunérations outre-mer, selon lequel, en Polynésie française, « à défaut d'une baisse de la « vie chère », une éventuelle baisse des coefficients de majoration des traitements entraînerait, non pas une baisse des prix, mais une baisse du pouvoir d'achat des fonctionnaires ». Ce constat est toujours d’actualité.
Remettre en cause l’indexation, après avoir remis en cause l’ITR, serait non seulement mettre à mal le pouvoir d’achat des fonctionnaires, mais surtout porter un coup fatal à notre économie déjà bien fragilisée.
Avant toute déclaration intempestive, il convient de mener des études précises et sérieuses sur l’impact des sur-rémunérations dans le tissu économique polynésien.
Les députés de la Polynésie française sont, pour ce qui les concerne, opposés à toute remise en cause de l’indexation et entendent le faire savoir à leur collègue René Dosière.
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