« Les îles d’en face », la nouvelle série proposée par Polynésie 1ère depuis le 9 septembre, a tout pour plaire : des saynètes amusantes, des comédiens attachants, une variété de décors chaleureux… Les ultramarins, que l’on voit peu à la télévision deviennent désormais les meilleurs ambassadeurs de leurs pays au petit écran !
50 épisodes pour la saison 1 de « Les îles d’en face », dont les épisodes mettent en lumière et en humour le quotidien des habitants de Martinique, Guadeloupe, Réunion, Nouvelle-Calédonie et Polynésie française. Le résultat est à la hauteur, aussi bien pour le public « des îles » que pour celui « du continent », qui a l’occasion privilégiée de partager la vie de ces familles à la fois proches et lointaines.
50 épisodes pour la saison 1 de « Les îles d’en face », dont les épisodes mettent en lumière et en humour le quotidien des habitants de Martinique, Guadeloupe, Réunion, Nouvelle-Calédonie et Polynésie française. Le résultat est à la hauteur, aussi bien pour le public « des îles » que pour celui « du continent », qui a l’occasion privilégiée de partager la vie de ces familles à la fois proches et lointaines.
En Polynésie, le tournage de la série a eu lieu au mois de mars 2013 et c’est la société de production locale Archipel Prod qui a assuré la réalisation des épisodes, aux côtés du réalisateur français Philippe Giangreco.
« Quand la société de production de Père en fils nous a présenté le projet et proposé une coproduction, nous avons tout de suite été séduits par ce principe généreux et novateur », indique Silvy Deschamps, directrice de production pour Archipel Prod.
Généreux car avec une réelle implication dans et pour le pays : autant au niveau de la réalisation et de l’aspect technique que de l’écriture, car des auteurs locaux ont collaboré à l’écriture des épisodes polynésiens. Mieux encore : « la volonté est de pérenniser la série et de la faire réaliser par des équipes exclusivement locales pour les prochaines saisons. Tous ces paramètres réunis favorisent une professionnalisation de la filière audiovisuelle », explique Silvy Deschamps. « Artistiquement, nous avons été séduit par cette volonté de favoriser des personnages authentiques, des lieux de vie réels, un vocabulaire coloré, un humour et un franc parlé bien polynésiens. »
« Quand la société de production de Père en fils nous a présenté le projet et proposé une coproduction, nous avons tout de suite été séduits par ce principe généreux et novateur », indique Silvy Deschamps, directrice de production pour Archipel Prod.
Généreux car avec une réelle implication dans et pour le pays : autant au niveau de la réalisation et de l’aspect technique que de l’écriture, car des auteurs locaux ont collaboré à l’écriture des épisodes polynésiens. Mieux encore : « la volonté est de pérenniser la série et de la faire réaliser par des équipes exclusivement locales pour les prochaines saisons. Tous ces paramètres réunis favorisent une professionnalisation de la filière audiovisuelle », explique Silvy Deschamps. « Artistiquement, nous avons été séduit par cette volonté de favoriser des personnages authentiques, des lieux de vie réels, un vocabulaire coloré, un humour et un franc parlé bien polynésiens. »
Quatre comédiens polynésiens ont été choisi pour camper des personnages avec lesquels vous avez fait connaissance : Marau Niuaiti (Tatie Miri), Talia Valenta (Poeiti), Revatua Rossoni (Maeva) et Manuarii Bonnefin (Hiro). Manuarii Bonnefin, que l’on déjà eu l’occasion de voir dans des réalisations locales, assure que « le tournage a été une partie de plaisir mais pas seulement : il a aussi été un réel apprentissage. Je pense pouvoir dire que vous avons tous beaucoup appris aux côtés de Philippe Giangreco. Sur la préparation, l’articulation, la réactivité…. Ce n’était pas toujours facile mais quelle expérience ! » De poursuivre : « il y a de la vie en outre mer et cette série démontre que nous sommes tout à fait en mesure de proposer des programmes susceptibles de rivaliser avec d’autres productions nationales. Je trouve que c’est une bonne chose pour le public francophone que de leur donner accès à la variété des cultures ultramarines. »
Talia Valenta, qui est animatrice télé en France, est revenue spécialement à Tahiti pour tourner dans cette série : « j'ai entendu parler d'un casting pour une série pour laquelle le producteur, Philippe Giangreco, recherchait des Polynésiens. Sans avoir plus de détails, je l’ai contacté directement et nous nous sommes rencontrés dans ses bureaux à Paris. Le feeling est bien passé et j’ai eu la chance qu'il me donne un rôle. Grâce au soutien d'Air Tahiti Nui, j'ai pu faire partie de cette belle aventure. »
« Belle aventure » est d’ailleurs l’expression la mieux partagée par la petit équipe locale, car tous admettent avoir pris énormément de plaisir à participer à ce tournage, « dans des conditions optimales », souligne Talia. La doyenne de la série, Marau Niuaiti, avoue que « c’était un plaisir de travailler avec ces jeunes comédiens et l’équipe de tournage. L’ambiance était géniale, il y avait une vraie synergie entre tout le monde. Ce n’est pas toujours le cas et je pense que la série restitue bien cette formidable ambiance ». Quant à Revatua Rossoni, qui acquiesce les propos de sa nouvelle « Tatie », elle estime que « la série va beaucoup plaire, le concept est génial. Le public pourra découvrir de nouvelles ambiances et en ce qui concerne les épisodes sur Tahiti, les jeunes vont vraiment se reconnaitre et rire ».
En bref, « Les îles d'en face », c'est un programme frais, léger et ensoleillé avec beaucoup d'humour qui va en plus permettre aux téléspectateurs d'en savoir d'avantage sur leurs voisins plus ou moins proches, mettant en valeur les pays d’outre-mer mais surtout leurs habitants.
Talia Valenta, qui est animatrice télé en France, est revenue spécialement à Tahiti pour tourner dans cette série : « j'ai entendu parler d'un casting pour une série pour laquelle le producteur, Philippe Giangreco, recherchait des Polynésiens. Sans avoir plus de détails, je l’ai contacté directement et nous nous sommes rencontrés dans ses bureaux à Paris. Le feeling est bien passé et j’ai eu la chance qu'il me donne un rôle. Grâce au soutien d'Air Tahiti Nui, j'ai pu faire partie de cette belle aventure. »
« Belle aventure » est d’ailleurs l’expression la mieux partagée par la petit équipe locale, car tous admettent avoir pris énormément de plaisir à participer à ce tournage, « dans des conditions optimales », souligne Talia. La doyenne de la série, Marau Niuaiti, avoue que « c’était un plaisir de travailler avec ces jeunes comédiens et l’équipe de tournage. L’ambiance était géniale, il y avait une vraie synergie entre tout le monde. Ce n’est pas toujours le cas et je pense que la série restitue bien cette formidable ambiance ». Quant à Revatua Rossoni, qui acquiesce les propos de sa nouvelle « Tatie », elle estime que « la série va beaucoup plaire, le concept est génial. Le public pourra découvrir de nouvelles ambiances et en ce qui concerne les épisodes sur Tahiti, les jeunes vont vraiment se reconnaitre et rire ».
En bref, « Les îles d'en face », c'est un programme frais, léger et ensoleillé avec beaucoup d'humour qui va en plus permettre aux téléspectateurs d'en savoir d'avantage sur leurs voisins plus ou moins proches, mettant en valeur les pays d’outre-mer mais surtout leurs habitants.
©Polynésie 1ère
Les îles d’en face
Série humoristique
Réalisée par « De père en fils » (et Archipel Prod pour les tournages en Polynésie)
Produite par France Télévisions
Diffusion : quotidienne, du lundi au vendredi à 19h40
Durée : 50 mini-épisodes de 3min30
Les îles d’en face
Série humoristique
Réalisée par « De père en fils » (et Archipel Prod pour les tournages en Polynésie)
Produite par France Télévisions
Diffusion : quotidienne, du lundi au vendredi à 19h40
Durée : 50 mini-épisodes de 3min30
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