Lucie Decosse est championne du monde et championne olympique de judo. Profitant d’un périple qui l’a menée dans le Pacifique, elle a tenu à faire un détour par Tahiti pour venir à la rencontre des judokas de l’Ecole de Judo et de Jiu Jitsu de Polynésie (EJJP), des judokas des autres clubs et du grand public en général. Elle sera en Polynésie jusqu’à lundi.
PAPEETE, le 23 septembre 2014. La première d’une série de rencontres prévues avec la championne s’est faite au temple philanthropique chinois, en présence de nombreux enfants et adultes. Un stage d’une heure a été proposé aux petits, suivi d’un autre avec les adultes.
Les deux stages ont été ponctués de discours, de questions, de séances de photographies et de signatures d’autographes. Lucie Decosse s’est montrée disponible et souriante. Sa semaine polynésienne va être chargée avec de nouveaux stages en prévision à Tahiti et à Moorea ainsi qu’une conférence sur le haut niveau qui sera proposée à l’amphi de l’Ijspf vendredi de 17H à 18H suivie d’un dîner de clôture dans un restaurant de Mahina à partir de 20H.
Les deux stages ont été ponctués de discours, de questions, de séances de photographies et de signatures d’autographes. Lucie Decosse s’est montrée disponible et souriante. Sa semaine polynésienne va être chargée avec de nouveaux stages en prévision à Tahiti et à Moorea ainsi qu’une conférence sur le haut niveau qui sera proposée à l’amphi de l’Ijspf vendredi de 17H à 18H suivie d’un dîner de clôture dans un restaurant de Mahina à partir de 20H.
Lucie Decosse au micro de Tahiti Infos :
Qu’est ce qui t’a amenée à Tahiti ?
« J’étais partie pour une tournée dans différents pays, cela m’a amenée dans le Pacifique. J’ai été au Japon, en Nouvelle Calédonie et je me devais de venir à Tahiti car j’étais en contact avec l’EJJP depuis au moins trois ans pour venir, donc là c’était obligé, je n’étais pas loin, il fallait que je vienne ici. »
Cela t’apporte quoi ces séances avec les enfants, c’est un échange ?
« Beaucoup de bonheur, de sourires. Je pense que c’est important parce que…c’est le même monde, on fait tous du judo. Que l’on soit champion ou que l’on soit « simple licencié » en Polynésie il faut montrer que l’on est tous proches les uns des autres et c’est pour cela que cela me plaît de partager avec les judokas. »
On apprend quoi à des enfants de cet âge ?
« Ils posent beaucoup de questions ! (rires) L’idée c’est plutôt de leur faire passer un bon moment et puis ils me le rendent bien, ils sont contents, ils me donnent des sourires et beaucoup de bonheur. »
Tes premières impressions sur Tahiti, toi qui a des origines Guyanaises ?
« J’ai eu le temps de voir un petit peu le pays, c’est très joli, vous êtes chanceux, je ne suis qu’au début de mon séjour, je pense que je vais avoir pas mal d’activités sur le reste de la semaine qui vont me faire découvrir encore mieux le pays. »
Tu évoquais tout à l’heure ta reconversion professionnelle ?
« Pour l’instant je me suis orientée vers le journalisme en gardant toujours un pied dans le judo que ce soit avec des animations comme cela ou en essayant d’aider certains athlètes sur l’entraînement, on verra plus tard. »
Un message pour le public tahitien en général ?
« Je vais dire merci au public de Tahiti parce que j’ai eu un très bel accueil. Je suis contente de pouvoir découvrir ce pays et de découvrir les Polynésiens, c’est un réel plaisir. »
Qu’est ce qui t’a amenée à Tahiti ?
« J’étais partie pour une tournée dans différents pays, cela m’a amenée dans le Pacifique. J’ai été au Japon, en Nouvelle Calédonie et je me devais de venir à Tahiti car j’étais en contact avec l’EJJP depuis au moins trois ans pour venir, donc là c’était obligé, je n’étais pas loin, il fallait que je vienne ici. »
Cela t’apporte quoi ces séances avec les enfants, c’est un échange ?
« Beaucoup de bonheur, de sourires. Je pense que c’est important parce que…c’est le même monde, on fait tous du judo. Que l’on soit champion ou que l’on soit « simple licencié » en Polynésie il faut montrer que l’on est tous proches les uns des autres et c’est pour cela que cela me plaît de partager avec les judokas. »
On apprend quoi à des enfants de cet âge ?
« Ils posent beaucoup de questions ! (rires) L’idée c’est plutôt de leur faire passer un bon moment et puis ils me le rendent bien, ils sont contents, ils me donnent des sourires et beaucoup de bonheur. »
Tes premières impressions sur Tahiti, toi qui a des origines Guyanaises ?
« J’ai eu le temps de voir un petit peu le pays, c’est très joli, vous êtes chanceux, je ne suis qu’au début de mon séjour, je pense que je vais avoir pas mal d’activités sur le reste de la semaine qui vont me faire découvrir encore mieux le pays. »
Tu évoquais tout à l’heure ta reconversion professionnelle ?
« Pour l’instant je me suis orientée vers le journalisme en gardant toujours un pied dans le judo que ce soit avec des animations comme cela ou en essayant d’aider certains athlètes sur l’entraînement, on verra plus tard. »
Un message pour le public tahitien en général ?
« Je vais dire merci au public de Tahiti parce que j’ai eu un très bel accueil. Je suis contente de pouvoir découvrir ce pays et de découvrir les Polynésiens, c’est un réel plaisir. »
Arnaud Bertrand de l’EJJP :
Comment cela se passe cette démo ?
« Très bien, je remercie d’ailleurs la fédération polynésienne de Judo d’avoir joué le jeu et d’avoir ouvert l’entraînement à tous les clubs de judo. On avait demandé une participation financière pour nous aider pour la venue de Lucie, la fédé a donc décidé d’offrir ça aux enfants de l’EJJP et des autres clubs. Comme on le voit, il y a du monde, il y a la participation des parents qui ne sont pas de notre club donc pour moi l’objectif est atteint. »
C’est important pour les enfants de recevoir un athlète de cet acabit ?
« Je pense que pour les enfants c’est important de pouvoir la voir. On les a vus poser des questions sur les compétitions donc ils se rendent compte de qui c’est. Les parents ont dû les ‘briefer’, en leur montrant des vidéos car il y a des tonnes de vidéos et d’images de Lucie, donc du coup, sur le principe, tout c’est bien passé. »
Le programme ?
« On aura la même chose mercredi et jeudi de 16H30 à 17H30 pour les enfants et de 18H à 20H pour les adultes. Malheureusement, on a dû annuler la démo à Vaiete en raison du temps incertain et d’un manque de réservation de la place. On part sur Moorea pour un entraînement sur Moorea samedi, à Paopao, dans le club de l’Ecole de Judo de Polynésie qui se trouve là bas. » SB
Comment cela se passe cette démo ?
« Très bien, je remercie d’ailleurs la fédération polynésienne de Judo d’avoir joué le jeu et d’avoir ouvert l’entraînement à tous les clubs de judo. On avait demandé une participation financière pour nous aider pour la venue de Lucie, la fédé a donc décidé d’offrir ça aux enfants de l’EJJP et des autres clubs. Comme on le voit, il y a du monde, il y a la participation des parents qui ne sont pas de notre club donc pour moi l’objectif est atteint. »
C’est important pour les enfants de recevoir un athlète de cet acabit ?
« Je pense que pour les enfants c’est important de pouvoir la voir. On les a vus poser des questions sur les compétitions donc ils se rendent compte de qui c’est. Les parents ont dû les ‘briefer’, en leur montrant des vidéos car il y a des tonnes de vidéos et d’images de Lucie, donc du coup, sur le principe, tout c’est bien passé. »
Le programme ?
« On aura la même chose mercredi et jeudi de 16H30 à 17H30 pour les enfants et de 18H à 20H pour les adultes. Malheureusement, on a dû annuler la démo à Vaiete en raison du temps incertain et d’un manque de réservation de la place. On part sur Moorea pour un entraînement sur Moorea samedi, à Paopao, dans le club de l’Ecole de Judo de Polynésie qui se trouve là bas. » SB
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