PAPEETE, le 10 juillet 2014 - 14 bénéficiaires du dispositif de Contrat d’apprentissage, mis en place grâce au SEFI en partenariat avec la CCISM en 2012, ont tous réussi l’examen de passage du BTS NRC Négociation et Relation Client en juin dernier. « La grande majorité venait principalement de Tahiti et de Moorea. » a souligné Bernadette Tetahiotupa, Conseillère en formation à la CCISM .
Pour bénéficier de ce dispositif, les candidats doivent être âgés entre entre 16 à 29 ans, avoir obtenu le baccalauréat, mais également passer un entretien avec un jury. La dernière condition sine qua non étant l’obtention d’un contrat d’apprentissage avec une entreprise. Dès lors que l’ensemble des critères imposés sont réunis, un Contrat à Durée Déterminée est signé offrant au jeune l’opportunité de travailler et surtout d’apprendre sereinement. Si le salaire est payé par la société qui a intégré le stagiaire, le SEFI (le Service de l’Emploi, de la Formation et de l’Insertion Professionnelle) a financé pour sa part les frais de formation et a remboursé les charges patronales.
De son côté, la CCISM a assuré la partie pédagogie et enseignement générale. L’expérience acquise sur les deux années de contrat ainsi que les enseignements théoriques sont destinés « à la formation des commerciaux en force de vente. » explique Jean Trinkl, responsable des études BTS au pôle Formation de la CCISM. « Le BTS NRC existe depuis quatre ans sur le territoire. Les élèves qui viennent d’obtenir leur diplôme ont formé la 4ème promotion. (…) l’objectif de ce cursus est la prospection et le développement du chiffre d’affaire des entreprises ! »
Pendant leur formation, les apprentis ont suivi le même programme que leurs camarades métropolitains. Ils ont passé l’examen final avec les mêmes épreuves, dans les mêmes conditions que les autres étudiants suivant un cursus classique. Ce BTS existe également en formation initiale au lycée Aorai. Tous encouragent la continuité du dispositif qui permettra de former des jeunes « prêts à l’emploi ».
TP
Pour bénéficier de ce dispositif, les candidats doivent être âgés entre entre 16 à 29 ans, avoir obtenu le baccalauréat, mais également passer un entretien avec un jury. La dernière condition sine qua non étant l’obtention d’un contrat d’apprentissage avec une entreprise. Dès lors que l’ensemble des critères imposés sont réunis, un Contrat à Durée Déterminée est signé offrant au jeune l’opportunité de travailler et surtout d’apprendre sereinement. Si le salaire est payé par la société qui a intégré le stagiaire, le SEFI (le Service de l’Emploi, de la Formation et de l’Insertion Professionnelle) a financé pour sa part les frais de formation et a remboursé les charges patronales.
De son côté, la CCISM a assuré la partie pédagogie et enseignement générale. L’expérience acquise sur les deux années de contrat ainsi que les enseignements théoriques sont destinés « à la formation des commerciaux en force de vente. » explique Jean Trinkl, responsable des études BTS au pôle Formation de la CCISM. « Le BTS NRC existe depuis quatre ans sur le territoire. Les élèves qui viennent d’obtenir leur diplôme ont formé la 4ème promotion. (…) l’objectif de ce cursus est la prospection et le développement du chiffre d’affaire des entreprises ! »
Pendant leur formation, les apprentis ont suivi le même programme que leurs camarades métropolitains. Ils ont passé l’examen final avec les mêmes épreuves, dans les mêmes conditions que les autres étudiants suivant un cursus classique. Ce BTS existe également en formation initiale au lycée Aorai. Tous encouragent la continuité du dispositif qui permettra de former des jeunes « prêts à l’emploi ».
TP
Angélique Becquet, 24 ans – Originaire de Raiatea : « Je pense continuer !»
Tahiti Infos : qu’as-tu appris durant ta formation ?
A.B : En cours, on acquiert toutes les compétences pour être un bon commercial. On a eu des cours de droits, d’économie, de management d’entreprise. Par rapport aux étudiants classiques, on a la chance d’être plus en entreprise.(…) Par rapport à la pratique du métier, c’est plus gratifiant. On apprend plus.
Tahiti Infos : Quelle entreprise as-tu intégré ?
A.B : Je suis actuellement à Aito Immobilier, où je suis affecté au service de location. J’ai l’occasion d’en apprendre beaucoup et de mettre en pratique mes acquis.
Tahiti-Infos : Maintenant que tu as eu ton diplôme, comptes-tu poursuivre dans l’immobilier ?
A.B : Là, je pense continuer. De toute manière, notre contrat d’apprentissage continue jusqu’en décembre car ce sont des contrats de deux ans. A l’issue de la formation, je serai vouée à devenir commerciale et oui, le métier me plaît.
Tahiti Infos : qu’as-tu appris durant ta formation ?
A.B : En cours, on acquiert toutes les compétences pour être un bon commercial. On a eu des cours de droits, d’économie, de management d’entreprise. Par rapport aux étudiants classiques, on a la chance d’être plus en entreprise.(…) Par rapport à la pratique du métier, c’est plus gratifiant. On apprend plus.
Tahiti Infos : Quelle entreprise as-tu intégré ?
A.B : Je suis actuellement à Aito Immobilier, où je suis affecté au service de location. J’ai l’occasion d’en apprendre beaucoup et de mettre en pratique mes acquis.
Tahiti-Infos : Maintenant que tu as eu ton diplôme, comptes-tu poursuivre dans l’immobilier ?
A.B : Là, je pense continuer. De toute manière, notre contrat d’apprentissage continue jusqu’en décembre car ce sont des contrats de deux ans. A l’issue de la formation, je serai vouée à devenir commerciale et oui, le métier me plaît.
Quincy Faatau, 25 ans – Originaire de Tahiti : « Je suis râvie, franchement !»
Tahiti Infos : étais-tu déjà salariée avant d’intégrer cette formation ?
Q.F : Non, pendant un an je suis restée sans emploi. (…) quand je suis revenue de métropole, j’ai décidé de reprendre une formation.
Tahiti-Infos : Qu’est-ce qui t’a plu dans cette formation ?
Q.F : C’est la formation pratique en entreprise
.
Tahiti-Infos : Vers quoi t’es-tu orientée ?
Q.F : La mode. Le prêt-à-porter parceque j’aime tout ce qui concerne la mode. Et aussi être directement en face du client, malgré parfois les difficultés, c’est alors que je mets en pratique ce que j’ai appris en cours. Les deux se sont bien combinées. Je suis ravie, franchement.
Tahiti-Infos : Un message ?
Q.F : Oui, je voudrais dire aux prochains stagiaires d’y croire et de persévérer. C’est difficile, mais quand on a le diplôme, on se dit que ça valait la peine de faire tous ces sacrifices.
Tahiti Infos : étais-tu déjà salariée avant d’intégrer cette formation ?
Q.F : Non, pendant un an je suis restée sans emploi. (…) quand je suis revenue de métropole, j’ai décidé de reprendre une formation.
Tahiti-Infos : Qu’est-ce qui t’a plu dans cette formation ?
Q.F : C’est la formation pratique en entreprise
.
Tahiti-Infos : Vers quoi t’es-tu orientée ?
Q.F : La mode. Le prêt-à-porter parceque j’aime tout ce qui concerne la mode. Et aussi être directement en face du client, malgré parfois les difficultés, c’est alors que je mets en pratique ce que j’ai appris en cours. Les deux se sont bien combinées. Je suis ravie, franchement.
Tahiti-Infos : Un message ?
Q.F : Oui, je voudrais dire aux prochains stagiaires d’y croire et de persévérer. C’est difficile, mais quand on a le diplôme, on se dit que ça valait la peine de faire tous ces sacrifices.
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