PAPEETE, 2 juillet 2014 - Gaston Flosse a adressé ce mercredi un courrier en réponse à la lettre ouverte que lui avait remise le Révérend Naoya Kawakami, lundi.
L'homme d'Eglise japonais était arrivé samedi de Tokyo pour participer au 48e anniversaire du premier essai nucléaire à Moruroa, le 2 juillet 1966. Il a transmis au président de Polynésie française une “demande pour le retrait de la décision de démolir le monument des victimes des essais nucléaires et sa préservation permanente à l’emplacement actuel”.
La lettre est consignée par plusieurs survivants des bombes de Nagasaki et Hiroshima, des individus de la deuxième génération, trois anciens maires de Hiroshima, plusieurs associations et organisations religieuses japonaises et des individus de la société civile.
La réponse de Gaston Flosse a été transmise par email ce mercredi à Roland Oldham, le président de l'association Moruroa e tatau, pour être communiquée au Révérend Naoya Kawakami.
Le président y assure qu'il "n'a jamais été question de démolir ce monument, mais de le déplacer".
L'homme d'Eglise japonais était arrivé samedi de Tokyo pour participer au 48e anniversaire du premier essai nucléaire à Moruroa, le 2 juillet 1966. Il a transmis au président de Polynésie française une “demande pour le retrait de la décision de démolir le monument des victimes des essais nucléaires et sa préservation permanente à l’emplacement actuel”.
La lettre est consignée par plusieurs survivants des bombes de Nagasaki et Hiroshima, des individus de la deuxième génération, trois anciens maires de Hiroshima, plusieurs associations et organisations religieuses japonaises et des individus de la société civile.
La réponse de Gaston Flosse a été transmise par email ce mercredi à Roland Oldham, le président de l'association Moruroa e tatau, pour être communiquée au Révérend Naoya Kawakami.
Le président y assure qu'il "n'a jamais été question de démolir ce monument, mais de le déplacer".
Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti