L’an dernier, le Gouvernement de la Polynésie française et l’ADEME (L'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) avaient lancé un appel à projet au profit des collectivités compétentes en matière de collecte des déchets ménagers. Ce partenariat concernait l’élaboration et la mise en œuvre de la politique sectorielle de gestion des déchets
En 2012, les communes de Mo’orea-Mai’ao, Punaauia et Pira’e dont les projets de gestion des déchets avaient été retenus, ont bénéficié d’une aide financière ainsi qu’un accompagnement technique, afin de réaliser une étude d’optimisation de leurs services de collecte. On parle ici de déchets ménagers, de la collecte sélective et des déchets verts et encombrants. D’autres communes ont également emboîté le pas.
Séminaire de restitution : partage d’expérience
Profitant ainsi du Congrès des communes qui avait eu lieu la semaine dernière, les organisateurs de l’appel à projet ont restitué les travaux effectués pendant toute une année. L’occasion surtout de toucher l’ensemble des collectivités compétentes en matière de déchets, mais aussi « de partager les enseignements issus de ces démarches. » comme le souligne le communiqué de Presse de l’ADEME.
Chaque commune lauréate a présenté son étude afin de partager avec les autres collectivités les principaux résultats, mais aussi des éléments de méthodologie pour la mise en place d’un service optimisé de collecte des déchets ménagers.
Pour ne prendre que l’exemple de la commune de Punaauia, l’étude a permis de mettre en exergue les axes de progrès principaux comme la mise en place des points de regroupements en commençant dès 2013 par l’instauration de ces points dans 15 servitudes pilotes, l’acquisition de 3 bennes (destinées à la collecte itinérante des déchets verts et des encombrants), le renouvellement du parc roulant nécessaire à la collecte des déchets ménagers, la redéfinition des secteurs de collecte et l’installation d’une déchetterie fixe.
Une cinquantaine d’élus, de représentants et de techniciens issus des communes, circonscriptions, et services de l’Etat ont pu échanger leurs avis avec les lauréats sur les résultats de leurs études.
La réflexion a permis de faire ressortir une idée majeure, qui pourrait faire chemin : la faisabilité et l’opportunité de mutualisation d’infrastructures intercommunales, telles que les déchetteries.
Enfin, la valorisation de ces démarches se poursuivra par une présentation devant les partenaires techniques et financiers des collectivités locales, afin de les sensibiliser sur l’importance de mettre en oeuvre l’ensemble des préconisations issues de leurs études.
Sources : ADEME – Service Communication
TP
En 2012, les communes de Mo’orea-Mai’ao, Punaauia et Pira’e dont les projets de gestion des déchets avaient été retenus, ont bénéficié d’une aide financière ainsi qu’un accompagnement technique, afin de réaliser une étude d’optimisation de leurs services de collecte. On parle ici de déchets ménagers, de la collecte sélective et des déchets verts et encombrants. D’autres communes ont également emboîté le pas.
Séminaire de restitution : partage d’expérience
Profitant ainsi du Congrès des communes qui avait eu lieu la semaine dernière, les organisateurs de l’appel à projet ont restitué les travaux effectués pendant toute une année. L’occasion surtout de toucher l’ensemble des collectivités compétentes en matière de déchets, mais aussi « de partager les enseignements issus de ces démarches. » comme le souligne le communiqué de Presse de l’ADEME.
Chaque commune lauréate a présenté son étude afin de partager avec les autres collectivités les principaux résultats, mais aussi des éléments de méthodologie pour la mise en place d’un service optimisé de collecte des déchets ménagers.
Pour ne prendre que l’exemple de la commune de Punaauia, l’étude a permis de mettre en exergue les axes de progrès principaux comme la mise en place des points de regroupements en commençant dès 2013 par l’instauration de ces points dans 15 servitudes pilotes, l’acquisition de 3 bennes (destinées à la collecte itinérante des déchets verts et des encombrants), le renouvellement du parc roulant nécessaire à la collecte des déchets ménagers, la redéfinition des secteurs de collecte et l’installation d’une déchetterie fixe.
Une cinquantaine d’élus, de représentants et de techniciens issus des communes, circonscriptions, et services de l’Etat ont pu échanger leurs avis avec les lauréats sur les résultats de leurs études.
La réflexion a permis de faire ressortir une idée majeure, qui pourrait faire chemin : la faisabilité et l’opportunité de mutualisation d’infrastructures intercommunales, telles que les déchetteries.
Enfin, la valorisation de ces démarches se poursuivra par une présentation devant les partenaires techniques et financiers des collectivités locales, afin de les sensibiliser sur l’importance de mettre en oeuvre l’ensemble des préconisations issues de leurs études.
Sources : ADEME – Service Communication
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