PAPEETE, 5 juin 2014 – Une femme de 45 ans a été retrouvée morte après l’incendie de sa maison à Avatoru, Rangiroa. C'est dans cette même demeure que s'était pendue sa belle-fille, le 25 mai dernier.
Les enquêteurs privilégient la piste d’un suicide, après la découverte mercredi du cadavre d'une femme brûlée vive au milieu des décombres de son domicile. Le "fare" de bois a pris feu en début de soirée, vers 19 heures mercredi et s'est rapidement consumée.
Les pompiers de l’aéroport de l’île n’ont pu intervenir à temps pour circonscrire l’incendie. A 20 heures, la demeure était entièrement détruite.
La victime, née en septembre 1969, a été identifiée comme étant la belle-mère de la jeune femme qui avait trouvé la mort par pendaison, le 25 mai dernier, dans ce même "fare" situé derrière le stade municipal d’Avatoru, sur l’île de Rangiroa.
L’enquête de voisinage menée ce jeudi par les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie a permis de recueillir plusieurs témoignages affirmant que la défunte avait un comportement anormal, depuis quelques jours et qu’elle avait passé toute la journée précédent son décès, mercredi, à divaguer.
Son corps a été transféré jeudi sur l’hôpital de Taaone à Tahiti, pour y être autopsié.
Les enquêteurs privilégient la piste d’un suicide, après la découverte mercredi du cadavre d'une femme brûlée vive au milieu des décombres de son domicile. Le "fare" de bois a pris feu en début de soirée, vers 19 heures mercredi et s'est rapidement consumée.
Les pompiers de l’aéroport de l’île n’ont pu intervenir à temps pour circonscrire l’incendie. A 20 heures, la demeure était entièrement détruite.
La victime, née en septembre 1969, a été identifiée comme étant la belle-mère de la jeune femme qui avait trouvé la mort par pendaison, le 25 mai dernier, dans ce même "fare" situé derrière le stade municipal d’Avatoru, sur l’île de Rangiroa.
L’enquête de voisinage menée ce jeudi par les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie a permis de recueillir plusieurs témoignages affirmant que la défunte avait un comportement anormal, depuis quelques jours et qu’elle avait passé toute la journée précédent son décès, mercredi, à divaguer.
Son corps a été transféré jeudi sur l’hôpital de Taaone à Tahiti, pour y être autopsié.
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