PAPEETE, le 13 mai 2014. (COMMUNIQUE) Dans près d'un mois, le samedi 14 juin prochain à 18H, les feux de la rampe illumineront la place To'ata en dévoilant les 600 élèves de la section traditionnelle du Conservatoire, réunis ou plutôt unis autour d'un thème fédérateur : la liberté dans la danse.
L'affiche de cette belle nuit de gala a été présentée à la presse ce mardi 13 mai dans les espaces de la Maison de la culture, partenaire fidèle. Située entre le Heiva des Ecoles, qui débute le 29 mai prochain, et le Heiva des grands groupes, cette soirée unique, réservée à Te Fare Upa Rau, l'école du Pays et très prisée du grand public, rend hommage à chaque composante de la culture vivante : l'art de la danse, bien évidemment, mais également l'art des chants traditionnels avec un choeur de 250 enfants, des percussions, des cordes (ukulele et guitares) et du 'orero. On retiendra également la présence de la classe des percussions classiques, intégrée dans le spectacle.
Les billets sont en vente aux guichets de la Maison de la culture dés le mercredi 14 mai. Trois tarifs sont proposés : 1500 XPF (nouvelle tribune), 1000 XPF (tribunes latérales) et 500 XPF (places enfants). R
Renseignements : 50 14 14 (CAPF) et 544 544 (TFTN).
L'affiche de cette belle nuit de gala a été présentée à la presse ce mardi 13 mai dans les espaces de la Maison de la culture, partenaire fidèle. Située entre le Heiva des Ecoles, qui débute le 29 mai prochain, et le Heiva des grands groupes, cette soirée unique, réservée à Te Fare Upa Rau, l'école du Pays et très prisée du grand public, rend hommage à chaque composante de la culture vivante : l'art de la danse, bien évidemment, mais également l'art des chants traditionnels avec un choeur de 250 enfants, des percussions, des cordes (ukulele et guitares) et du 'orero. On retiendra également la présence de la classe des percussions classiques, intégrée dans le spectacle.
Les billets sont en vente aux guichets de la Maison de la culture dés le mercredi 14 mai. Trois tarifs sont proposés : 1500 XPF (nouvelle tribune), 1000 XPF (tribunes latérales) et 500 XPF (places enfants). R
Renseignements : 50 14 14 (CAPF) et 544 544 (TFTN).
LES GRANDES LIGNES
Un grand rendez-vous avec tous les amoureux de la culture
Près de 600 élèves – enfants, adolescents et adultes - et artistes attendent de pied ferme le grand public le samedi 14 juin prochain à18H, place To’ata, à l’occasion de la grande et belle nuit de Gala 2014 du conservatoire Te Fare Upa Rau. Située entre le Heiva des Écoles et le Heiva des grands groupes cette soirée exceptionnelle, placée sous le thème de la liberté dans la danse, promet un feu d’artifice principalement dédié aux arts traditionnels, que l’école du Pays enseigne depuis 34 ans : seront ainsi représentés les classes de ‘ori tahiti hommes et femmes, les élèves de ‘orero, les élèves de percussions traditionnelles et de Ukulele, les guitaristes et les élèves de la classe de Himene. Le public pourra également entendre quelques notes présentées par les surprises classiques de l’année et notamment la classe de percussions.
Une tradition sous forme de défi
L’organisation de la nuit de Gala du conservatoire est à la fois une tradition et un défi. Une tradition, tout d’abord, car les différentes formations du Te Fare Upa Rau se produisent seules, depuis près de 10 ans sur l’espace To’ata, considéré comme le temple de la danse le temps des festivités du Heiva. L’école du Pays doit à cette occasion relever un défi peu commun : il est question de réaliser non pas le passage des différents départements devant le public, mais un véritable spectacle liant chaque tableau – cinq, au total - pour près de 600 acteurs, et harmoniser chaque tableau avec le thème et l’esprit des textes, en incluant de manière harmonieuse les ensembles de musique traditionnelle. Un superbe Aparima, « Te Upu O Ta’u ‘Ori » (la danse est ma prière) dévoile au moment du final le cœur de la démarche: « je vis un rêve dans mes mouvements. Cette vision qui me saisit tout entière et éveille en moi le souffle de vie… je suis liée, liée aux gestes de la danse et c’est pour toi, génération future, c’est pour toi que je danse. » La réalisation de ce défi est rendue possible grâce au partenariat actif des équipes administratives et techniques de TFTN, partenaires de cœur du CAPF, et grâce, également, aux parents d’élèves de l’établissement, qui vivent ce grande rendez-vous avec autant de passion que leurs enfants.
Liberté, danse : un mariage poétique
Si elle a pris sa retraite, tant méritée, l’année dernière, Mamie Louise Kimitete n’a pas disparu de la scène et de la vie du CAPF pour autant, bien au contraire. Cette grande dame de la danse a une nouvelle fois prêté sa plume, inspirée et poétique, au thème du Gala 2014 : la liberté dans la danse, qui est selon elle le but à atteindre dans la pratique de cet art merveilleux. Ses mots, ses envolées suivent l’évolution du spectacle du début à la fin des plus jeunes des danseurs, celles et ceux que l’on appelle les petits « bébés » du conservatoire jusqu’aux élèves de haut-niveau.
Cette progression pédagogique est remarquable, car le thème de la soirée de Gala se dessine et s’interprète en fonction du niveau de chaque danseur: « claque de tes mains et arrondis-les comme une virgule », chanteront les petits danseurs. « Penche toi, incline toi… Eau qui frappe et qui éclabousse », répondront les élèves de la deuxième heure.
« Deux coups de hanche et voici comme je glisse, je balaye, j’enlace »… chaque âge a donc son propre programme et les programmes s’enchaînent en une magie rendant grâce à la nature du Fenua, et à la manière dont la danse l’incarne.
Avec de plus en plus de liberté, car comme l’a souvent dit et répété Mamie Louise Kimitete, le but ultime de la danse est la « liberté » : liberté de se mouvoir, liberté d’incarner les élans du cœur, liberté, qu’offre une technique maîtrisée, liberté des visages souriants, liberté poétique : « le feu qui brûle en toi est comme ces rayons du soleil qui éclaireront ta danse et ton jeu… écoute, trouve cet état de paix qui te rendra heureuse… » Place sera également faite aux meilleurs danseurs et danseuses de l’année, un moment généralement très apprécié par le public et les fidèles du CAPF.
Les formations d’ensemble
Les classes de percussions traditionnelles, de Ukulele, le retour des élèves de ‘orero, le chœur magnifique des 250 chanteurs de Mama Iopa, les jeunes guitaristes de blues et l’ensemble des percussions classiques se glissent, harmonieusement, dans ce spectacle vivant, magique, apprécié du public. Ne serait-ce que pour rappeler qu’il n’y a pas de danse sans rythmes et sans musique, chaque pièce du spectacle étant jugée… essentielle.
Un grand rendez-vous avec tous les amoureux de la culture
Près de 600 élèves – enfants, adolescents et adultes - et artistes attendent de pied ferme le grand public le samedi 14 juin prochain à18H, place To’ata, à l’occasion de la grande et belle nuit de Gala 2014 du conservatoire Te Fare Upa Rau. Située entre le Heiva des Écoles et le Heiva des grands groupes cette soirée exceptionnelle, placée sous le thème de la liberté dans la danse, promet un feu d’artifice principalement dédié aux arts traditionnels, que l’école du Pays enseigne depuis 34 ans : seront ainsi représentés les classes de ‘ori tahiti hommes et femmes, les élèves de ‘orero, les élèves de percussions traditionnelles et de Ukulele, les guitaristes et les élèves de la classe de Himene. Le public pourra également entendre quelques notes présentées par les surprises classiques de l’année et notamment la classe de percussions.
Une tradition sous forme de défi
L’organisation de la nuit de Gala du conservatoire est à la fois une tradition et un défi. Une tradition, tout d’abord, car les différentes formations du Te Fare Upa Rau se produisent seules, depuis près de 10 ans sur l’espace To’ata, considéré comme le temple de la danse le temps des festivités du Heiva. L’école du Pays doit à cette occasion relever un défi peu commun : il est question de réaliser non pas le passage des différents départements devant le public, mais un véritable spectacle liant chaque tableau – cinq, au total - pour près de 600 acteurs, et harmoniser chaque tableau avec le thème et l’esprit des textes, en incluant de manière harmonieuse les ensembles de musique traditionnelle. Un superbe Aparima, « Te Upu O Ta’u ‘Ori » (la danse est ma prière) dévoile au moment du final le cœur de la démarche: « je vis un rêve dans mes mouvements. Cette vision qui me saisit tout entière et éveille en moi le souffle de vie… je suis liée, liée aux gestes de la danse et c’est pour toi, génération future, c’est pour toi que je danse. » La réalisation de ce défi est rendue possible grâce au partenariat actif des équipes administratives et techniques de TFTN, partenaires de cœur du CAPF, et grâce, également, aux parents d’élèves de l’établissement, qui vivent ce grande rendez-vous avec autant de passion que leurs enfants.
Liberté, danse : un mariage poétique
Si elle a pris sa retraite, tant méritée, l’année dernière, Mamie Louise Kimitete n’a pas disparu de la scène et de la vie du CAPF pour autant, bien au contraire. Cette grande dame de la danse a une nouvelle fois prêté sa plume, inspirée et poétique, au thème du Gala 2014 : la liberté dans la danse, qui est selon elle le but à atteindre dans la pratique de cet art merveilleux. Ses mots, ses envolées suivent l’évolution du spectacle du début à la fin des plus jeunes des danseurs, celles et ceux que l’on appelle les petits « bébés » du conservatoire jusqu’aux élèves de haut-niveau.
Cette progression pédagogique est remarquable, car le thème de la soirée de Gala se dessine et s’interprète en fonction du niveau de chaque danseur: « claque de tes mains et arrondis-les comme une virgule », chanteront les petits danseurs. « Penche toi, incline toi… Eau qui frappe et qui éclabousse », répondront les élèves de la deuxième heure.
« Deux coups de hanche et voici comme je glisse, je balaye, j’enlace »… chaque âge a donc son propre programme et les programmes s’enchaînent en une magie rendant grâce à la nature du Fenua, et à la manière dont la danse l’incarne.
Avec de plus en plus de liberté, car comme l’a souvent dit et répété Mamie Louise Kimitete, le but ultime de la danse est la « liberté » : liberté de se mouvoir, liberté d’incarner les élans du cœur, liberté, qu’offre une technique maîtrisée, liberté des visages souriants, liberté poétique : « le feu qui brûle en toi est comme ces rayons du soleil qui éclaireront ta danse et ton jeu… écoute, trouve cet état de paix qui te rendra heureuse… » Place sera également faite aux meilleurs danseurs et danseuses de l’année, un moment généralement très apprécié par le public et les fidèles du CAPF.
Les formations d’ensemble
Les classes de percussions traditionnelles, de Ukulele, le retour des élèves de ‘orero, le chœur magnifique des 250 chanteurs de Mama Iopa, les jeunes guitaristes de blues et l’ensemble des percussions classiques se glissent, harmonieusement, dans ce spectacle vivant, magique, apprécié du public. Ne serait-ce que pour rappeler qu’il n’y a pas de danse sans rythmes et sans musique, chaque pièce du spectacle étant jugée… essentielle.
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