PAPEETE, le 27 mars 2014 – Condamné à 8 mois de prison avec sursis en octobre 2013 pour avoir été complice d’un vol à Fakarava, l’ancien joueur de basket professionnel a vu sa peine diminuée en appel à 4 mois avec sursis.
En première instance, lors d'un procès très médiatisé, les circonstances de l’affaire avaient été ignorées pour se concentrer sur les faits. Mais cette fois les juges ont laissé l’avocate du sportif, Me Bambridge, raconter en détail les circonstances ayant conduit à son acte. Elle explique comment, fuyant la civilisation après une brillante carrière sportive en métropole, Georges Adams avait trouvé refuge au « paradis » que représentait pour lui Fakarava pour se consacrer à une vie simple dédiée à la pêche.
Mais sa désillusion fut rapide. Une rivalité commerciale a rapidement dégénéré en un acte de sabotage sur le bateau de pêche dont Georges avait la charge. Les flyers de l’entreprise touristique de sa femme ont été déchirés. Rapidement, ses soupçons se focalisent sur un chasseur sous-marin et guide touristique (le plaignant), mais l’inaction de la gendarmerie le laissa désarmé. Il a finalement décidé de retourner à Papeete et de laisser cette affaire derrière lui.
Et c’est à Tahiti qu’il reçoit un appel de son ami et ancien employé, lui affirmant qu’il a trouvé « moyen de les embêter ». Selon Me Bambridge, le basketteur donne son accord sans vraiment réfléchir aux conséquences. Le voilà du coup complice du cambriolage punitif organisé par son ami. En retournant à Fakarava, il trouve le matériel de chasse de ses rivaux dans le lagon et le jugeant dangereux pour les baigneurs décide de les enterrer sur son terrain.
Après avoir entendu cette plaidoirie, les juges décident de prendre en compte le casier judiciaire vierge de l’accusé et son excellente intégration sociale. La peine est donc diminuée à 4 mois avec sursis. Restera le procès au civil pour le dédommagement du matériel volé, estimé par les victimes à 7 millions Fcfp. Georgy Adams, qui se consacre désormais à la jeunesse et au basket, assure avoir « hâte que cette histoire soit terminée. » Mais il conserve toute son affection à l’île de Fakarava et à ses habitants.
En première instance, lors d'un procès très médiatisé, les circonstances de l’affaire avaient été ignorées pour se concentrer sur les faits. Mais cette fois les juges ont laissé l’avocate du sportif, Me Bambridge, raconter en détail les circonstances ayant conduit à son acte. Elle explique comment, fuyant la civilisation après une brillante carrière sportive en métropole, Georges Adams avait trouvé refuge au « paradis » que représentait pour lui Fakarava pour se consacrer à une vie simple dédiée à la pêche.
Mais sa désillusion fut rapide. Une rivalité commerciale a rapidement dégénéré en un acte de sabotage sur le bateau de pêche dont Georges avait la charge. Les flyers de l’entreprise touristique de sa femme ont été déchirés. Rapidement, ses soupçons se focalisent sur un chasseur sous-marin et guide touristique (le plaignant), mais l’inaction de la gendarmerie le laissa désarmé. Il a finalement décidé de retourner à Papeete et de laisser cette affaire derrière lui.
Et c’est à Tahiti qu’il reçoit un appel de son ami et ancien employé, lui affirmant qu’il a trouvé « moyen de les embêter ». Selon Me Bambridge, le basketteur donne son accord sans vraiment réfléchir aux conséquences. Le voilà du coup complice du cambriolage punitif organisé par son ami. En retournant à Fakarava, il trouve le matériel de chasse de ses rivaux dans le lagon et le jugeant dangereux pour les baigneurs décide de les enterrer sur son terrain.
Après avoir entendu cette plaidoirie, les juges décident de prendre en compte le casier judiciaire vierge de l’accusé et son excellente intégration sociale. La peine est donc diminuée à 4 mois avec sursis. Restera le procès au civil pour le dédommagement du matériel volé, estimé par les victimes à 7 millions Fcfp. Georgy Adams, qui se consacre désormais à la jeunesse et au basket, assure avoir « hâte que cette histoire soit terminée. » Mais il conserve toute son affection à l’île de Fakarava et à ses habitants.
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