Mardi 30 juillet 2013. Samedi un prestataire de service qui propose des sorties baleine à Teahupo’o publiait sur internet les photos des ‘premières’ baleines de la saison.
Chaque année les baleines à bosse, appelées aussi mégaptères, reviennent vers le mois de juillet-août et restent dans nos eaux jusqu’en octobre-novembre, c’est à dire jusqu’au retour de la saison chaude.
Ces animaux impressionnants de taille mais inoffensifs car se nourrissant de plancton, remontent de l’antarctique lors de l’hiver austral pour venir dans les eaux plus tempérées du pacifique sud pour venir chanter, s’accoupler ou encore allaiter leurs petits dans nos eaux.
Il est recommandé d’être prudent, un surfeur s’est fait assommer par un coup de queue accidentel tout récemment en Australie.
Souvent elles longent les récifs avec leur petit, se reposent ou jouent à la surface de l’eau. En septembre dernier à Teahupo’o une baleine avait sauté à une cinquantaine de mètres des surfeurs, surprenant les quelques personnes présentes.
Espérons que les humains sauront se comporter de manière réfléchie sans gêner ces animaux magnifiques, derniers symboles d’une nature en perdition, d’une biodiversité en danger.
En 2013 certains de ces animaux sont toujours pourchassés, par la pêche ‘scientifique’ japonaise ou encore dans les îles Feroe ou des centaines de globicéphales sont massacrés au grand dam des écologistes du monde entier.
Chaque année les baleines à bosse, appelées aussi mégaptères, reviennent vers le mois de juillet-août et restent dans nos eaux jusqu’en octobre-novembre, c’est à dire jusqu’au retour de la saison chaude.
Ces animaux impressionnants de taille mais inoffensifs car se nourrissant de plancton, remontent de l’antarctique lors de l’hiver austral pour venir dans les eaux plus tempérées du pacifique sud pour venir chanter, s’accoupler ou encore allaiter leurs petits dans nos eaux.
Il est recommandé d’être prudent, un surfeur s’est fait assommer par un coup de queue accidentel tout récemment en Australie.
Souvent elles longent les récifs avec leur petit, se reposent ou jouent à la surface de l’eau. En septembre dernier à Teahupo’o une baleine avait sauté à une cinquantaine de mètres des surfeurs, surprenant les quelques personnes présentes.
Espérons que les humains sauront se comporter de manière réfléchie sans gêner ces animaux magnifiques, derniers symboles d’une nature en perdition, d’une biodiversité en danger.
En 2013 certains de ces animaux sont toujours pourchassés, par la pêche ‘scientifique’ japonaise ou encore dans les îles Feroe ou des centaines de globicéphales sont massacrés au grand dam des écologistes du monde entier.
http://www.tahiti-infos.com/video/
Fait plus rare, lundi soir des pêcheurs revenant bredouilles d’une partie de pêche tombent sur des orques, appelées également épaulards ou encore ‘baleines tueuses’ et réalisent une séquence vidéo. Ces cétacés sont facilement reconnaissables par leur couleur noire et blanche. Le plus grand jamais vu mesurait 9,74m, mais en général un orque mesure 6 à 8 mètres. La nageoire dorsale peut faire jusqu’à deux mètres de haut.
Cet animal est considéré comme le prédateur suprême de l’océan et ne possède aucun ennemi naturel à part l’homme. L’orque s’attaque parfois même au requin blanc. Tahiti ne fait pas partie des zones de vie connues de cet animal.
Pourtant Tehei Claret et son père Yvon Claret, pêcheurs émérites avaient déjà raconté une telle rencontre en 2011 :
« On était entre Tahiti et Moorea, on allait assez vite. Cette « chose » est venue à notre hauteur avec une rapidité incroyable. On en croyait pas nos yeux mais je suis sûr à 100 % que c’était un orque. »
SB
Cet animal est considéré comme le prédateur suprême de l’océan et ne possède aucun ennemi naturel à part l’homme. L’orque s’attaque parfois même au requin blanc. Tahiti ne fait pas partie des zones de vie connues de cet animal.
Pourtant Tehei Claret et son père Yvon Claret, pêcheurs émérites avaient déjà raconté une telle rencontre en 2011 :
« On était entre Tahiti et Moorea, on allait assez vite. Cette « chose » est venue à notre hauteur avec une rapidité incroyable. On en croyait pas nos yeux mais je suis sûr à 100 % que c’était un orque. »
SB
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