TOURS, 21 mars 2014 (AFP) - Deux hommes de 30 et 34 ans, trahis par le perroquet de leur victime, ont été condamnés vendredi à Tours à quatre ans de prison ferme pour avoir frappé et volé une étudiante de 22 ans à son domicile.
L'un des agresseurs était entré, quelques semaines auparavant, en contact avec l'étudiante qui avait mis en vente sur un site en ligne du matériel informatique. A cette occasion, il avait pénétré dans l'appartement qu'elle partageait avec son compagnon à Fleury-les-Aubrais, dans la périphérie de Tours, repérant l'existence d'un coffre-fort ainsi que la présence d'un perroquet prénommé Pepito...
Se mettant en cheville avec un jeune père de famille paumé, l'initiateur du cambriolage a épié les allées et venues de sa future victime et de son ami, achetant cagoules, gants et talkies-walkies.
Le 10 février, les deux hommes ont passé la nuit en bas de l'immeuble de leur victime à fumer des joints dans une voiture. Et le 11 au matin, ils sont entrés en action, pénétrant dans l'appartement où l'étudiante ne s'est pas laissé faire. Dans la bagarre, elle a eu quatre tendons sectionnés à la main droite.
Les deux hommes se sont malgré tout emparés de deux ordinateurs, de deux téléphones, d'un poste de télévision et de Pepito, le fameux perroquet, dont l'un d'eux avait déjà prononcé le nom quelques semaines plus tôt. La victime s'est alors souvenue de cette voix déjà entendue dans la bouche d'un homme souhaitant lui acheter une tablette numérique et a ainsi permis l'identification de ses agresseurs.
L'un des agresseurs était entré, quelques semaines auparavant, en contact avec l'étudiante qui avait mis en vente sur un site en ligne du matériel informatique. A cette occasion, il avait pénétré dans l'appartement qu'elle partageait avec son compagnon à Fleury-les-Aubrais, dans la périphérie de Tours, repérant l'existence d'un coffre-fort ainsi que la présence d'un perroquet prénommé Pepito...
Se mettant en cheville avec un jeune père de famille paumé, l'initiateur du cambriolage a épié les allées et venues de sa future victime et de son ami, achetant cagoules, gants et talkies-walkies.
Le 10 février, les deux hommes ont passé la nuit en bas de l'immeuble de leur victime à fumer des joints dans une voiture. Et le 11 au matin, ils sont entrés en action, pénétrant dans l'appartement où l'étudiante ne s'est pas laissé faire. Dans la bagarre, elle a eu quatre tendons sectionnés à la main droite.
Les deux hommes se sont malgré tout emparés de deux ordinateurs, de deux téléphones, d'un poste de télévision et de Pepito, le fameux perroquet, dont l'un d'eux avait déjà prononcé le nom quelques semaines plus tôt. La victime s'est alors souvenue de cette voix déjà entendue dans la bouche d'un homme souhaitant lui acheter une tablette numérique et a ainsi permis l'identification de ses agresseurs.
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