PAPEETE, jeudi 20 mars 2014. Dans un communiqué envoyé aux rédactions, la Fédération des associations de parents d’élèves de l’enseignement public (FAPEEP) demande aux grévistes de ne pas «prendre en otage » les enfants dans l’exercice de leur droit de grève. Le président de la FAPEEP écrit que dès mercredi au premier jour de grève, il a été constaté «des dysfonctionnements notables, dans la bonne marche de plusieurs écoles publiques». Ces dysfonctionnements ont principalement porté sur le transport et la cantine scolaire et certaines associations de parents d’élèves «se sont organisées à la mesure de leurs moyens disponibles. Certaines associations se trouvent même dans l’obligation d’assurer la circulation des voitures à la sortie des écoles, à défaut d’agents municipaux».
Dans ce communiqué il est question des «conséquences collatérales de ce mouvement social, qui prend nos enfants en otage, alors que ces revendications ne les concernent pas. En prévision d’un durcissement du mouvement dans les jours qui viennent, la Fédération des associations de parents d’élèves de l’enseignement public appelle donc l’intersyndicale à la raison et demande à maintenir, durant le mouvement de grève, un service minimum dans l’ensemble des communes». Les tâches sont listées : personnel dédié aux écoles pour le transport scolaire, préparation et la distribution des repas, mais également le nettoyage des locaux. En cas de dysfonctionnements majeurs, «comme il a pu être constaté dans certaines écoles, si les conditions de sécurité des enfants ne peuvent être pleinement assurées au sein des écoles, la fédération en appelle au Ministère de l’Education pour que ces établissements soient fermés le temps de la durée du mouvement social».
Dans ce communiqué il est question des «conséquences collatérales de ce mouvement social, qui prend nos enfants en otage, alors que ces revendications ne les concernent pas. En prévision d’un durcissement du mouvement dans les jours qui viennent, la Fédération des associations de parents d’élèves de l’enseignement public appelle donc l’intersyndicale à la raison et demande à maintenir, durant le mouvement de grève, un service minimum dans l’ensemble des communes». Les tâches sont listées : personnel dédié aux écoles pour le transport scolaire, préparation et la distribution des repas, mais également le nettoyage des locaux. En cas de dysfonctionnements majeurs, «comme il a pu être constaté dans certaines écoles, si les conditions de sécurité des enfants ne peuvent être pleinement assurées au sein des écoles, la fédération en appelle au Ministère de l’Education pour que ces établissements soient fermés le temps de la durée du mouvement social».
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