Communiqué: Le ministre de la Culture, Geffry SALMON, et le Haut-Commissaire, Lionel BEFFRE, ont présidé, lundi après-midi, à Papeete, le Comité de pilotage (COPIL) des candidatures de la Polynésie française au patrimoine mondial de l’UNESCO.
En ce qui concerne l’archipel des Marquises, plusieurs études ont été menées jusqu’à présent afin de déterminer les sites archéologiques les plus intéressants à mettre en valeur. Il s’agit, à travers cette démarche, de valoriser l’héritage culturel du Pays mais aussi de créer un lien entre les générations et les communautés locales.
« Les deux difficultés qu’il y a pour le choix des sites sont les suivantes : la différenciation entre la valeur pour les gens et la valeur pour le monde », a ainsi expliqué un des experts présents. « Il est donc important de démontrer la valeur universelle exceptionnelle du site, son intégrité, ainsi que son authenticité », a-t-il souligné.
Le site du marae de Taputapuatea, sur l’île de Raiatea, a également été évoqué lors de ce COPIL. La partie placée sous la protection de l’UNESCO, si le dossier est accepté, pourrait aller de la montagne jusqu’à la passe.
Ce site exceptionnel est un témoignage unique de la culture polynésienne. Il est représentatif également d’interaction humaine avec l’environnement. Autant de critères qui, pour l’UNESCO, sont extrêmement importants.
Toujours selon les critères de l’UNESCO, le site doit également être directement associé à des événements à des traditions, des idées, des croyances ou des œuvres artistiques et littéraires ayant une signification universelle exceptionnelle.
Les différents membres du comité de pilotage ont voté à l’unanimité pour que le site de Raiatea soit présenté dans le cadre du patrimoine de la France. Le dossier de candidature doit être complet et vérifié au plus tard en septembre de cette année. Il sera ensuite soumis à l’UNESCO, en janvier 2015, laquelle prendra dix-huit mois pour son étude.
Concernant les Marquises, plus de trente sites archéologiques et culturels ont été mentionnés. Un tri doit donc encore être fait, en Polynésie, avant de soumettre le dossier concernant cet archipel à l’UNESCO.
Enfin, monsieur le Haut-commissaire et monsieur le Ministre de la Culture ont rappelé aux participants et différents acteurs dans ces deux dossiers, l'implication et la détermination de l'Etat, du Pays et de leurs services pour conduire cette démarche à son aboutissement.
En ce qui concerne l’archipel des Marquises, plusieurs études ont été menées jusqu’à présent afin de déterminer les sites archéologiques les plus intéressants à mettre en valeur. Il s’agit, à travers cette démarche, de valoriser l’héritage culturel du Pays mais aussi de créer un lien entre les générations et les communautés locales.
« Les deux difficultés qu’il y a pour le choix des sites sont les suivantes : la différenciation entre la valeur pour les gens et la valeur pour le monde », a ainsi expliqué un des experts présents. « Il est donc important de démontrer la valeur universelle exceptionnelle du site, son intégrité, ainsi que son authenticité », a-t-il souligné.
Le site du marae de Taputapuatea, sur l’île de Raiatea, a également été évoqué lors de ce COPIL. La partie placée sous la protection de l’UNESCO, si le dossier est accepté, pourrait aller de la montagne jusqu’à la passe.
Ce site exceptionnel est un témoignage unique de la culture polynésienne. Il est représentatif également d’interaction humaine avec l’environnement. Autant de critères qui, pour l’UNESCO, sont extrêmement importants.
Toujours selon les critères de l’UNESCO, le site doit également être directement associé à des événements à des traditions, des idées, des croyances ou des œuvres artistiques et littéraires ayant une signification universelle exceptionnelle.
Les différents membres du comité de pilotage ont voté à l’unanimité pour que le site de Raiatea soit présenté dans le cadre du patrimoine de la France. Le dossier de candidature doit être complet et vérifié au plus tard en septembre de cette année. Il sera ensuite soumis à l’UNESCO, en janvier 2015, laquelle prendra dix-huit mois pour son étude.
Concernant les Marquises, plus de trente sites archéologiques et culturels ont été mentionnés. Un tri doit donc encore être fait, en Polynésie, avant de soumettre le dossier concernant cet archipel à l’UNESCO.
Enfin, monsieur le Haut-commissaire et monsieur le Ministre de la Culture ont rappelé aux participants et différents acteurs dans ces deux dossiers, l'implication et la détermination de l'Etat, du Pays et de leurs services pour conduire cette démarche à son aboutissement.
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