SUVA, jeudi 30 janvier 2014 (Flash d’Océanie) – Les autorités fidjiennes ont activé jeudi leur procédure d’urgence, y compris l’ouverture de centres de refuges, pour les habitants de la ville de Nadi (où se trouve le principal aéroport international), inondée une nouvelle fois à la suite d’importantes précipitations venues d’une dépression dans la zone.
La rivière Nadi, qui a donné son nom à cette ville essentiellement touristique, est sortie de son lit jeudi dans la matinée, tout comme d’autres cours d’eaux de la proche région.
Dans les rues principales de cette ville, le niveau de l’eau approchait une hauteur d’un mètre, forçant les commerces et entreprises à mettre à l’abri en urgence leurs stockes et matériel.
Les populations de toute cette zone ont reçu pour consigne de se déplacer vers des zones plus en hauteur.
À la mi-journée, les autorités locales décidaient de lancer un ordre d’évacuation pour la ville et une interdiction de circulation pour son centre.
Le Premier ministre fidjien, le Contre-amiral Franck Bainimarama, à l’occasion d’une séance de briefing en milieu de journée, jeudi, a indiqué que les pompiers, la police et l’armée se tenaient aussi à la disposition des services d’urgence, en cas de besoin, y compris pour évacuer des résidents en difficulté.
Nadi, construite dans une cuvette, connaît régulièrement des inondations, comme celles, les plus récentes, survenues en 2009 et en 2012.
Le centre de gestion des catastrophes naturelles a mis à la disposition du public des refuges, dans des écoles ou des églises.
Les établissements scolaires de la région ont été fermés et une grande partie des vols intérieurs au départ ou à destination de Nadi ont été annulés.
La circulation routière est également fortement perturbée du fait de l’inondation de plusieurs portions de routes et de ponts.
Ces inondations se conjuguent aussi avec les marées de la pleine lune, cette semaine.
Plus au Nord, et à l’Ouest, dans les régions des villes de Ba et de Sigatoka, elles aussi régulièrement frappées par des inondations, des mesures similaires ont été prise, y compris l’évacuation préventive de plusieurs centaines de personnes.
Entre-temps, plus à l’Ouest dans la grande région, les autorités de l’État australien du Queensland étaient elles aussi en état d’alerte jeudi, en prévision d’une dépression tropicale charriant déjà des vents d’une vitesse dépassant les cent kilomètres heure et qui pourrait se transformer en cyclone dans les heures à venir et toucher les côtes de l’île-continent.
Les craintes, là aussi, se focalisent sur le risque d’inondation des zones côtières peu élevées, avec là aussi une conjonction redoutée des effets des grandes marées.
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La rivière Nadi, qui a donné son nom à cette ville essentiellement touristique, est sortie de son lit jeudi dans la matinée, tout comme d’autres cours d’eaux de la proche région.
Dans les rues principales de cette ville, le niveau de l’eau approchait une hauteur d’un mètre, forçant les commerces et entreprises à mettre à l’abri en urgence leurs stockes et matériel.
Les populations de toute cette zone ont reçu pour consigne de se déplacer vers des zones plus en hauteur.
À la mi-journée, les autorités locales décidaient de lancer un ordre d’évacuation pour la ville et une interdiction de circulation pour son centre.
Le Premier ministre fidjien, le Contre-amiral Franck Bainimarama, à l’occasion d’une séance de briefing en milieu de journée, jeudi, a indiqué que les pompiers, la police et l’armée se tenaient aussi à la disposition des services d’urgence, en cas de besoin, y compris pour évacuer des résidents en difficulté.
Nadi, construite dans une cuvette, connaît régulièrement des inondations, comme celles, les plus récentes, survenues en 2009 et en 2012.
Le centre de gestion des catastrophes naturelles a mis à la disposition du public des refuges, dans des écoles ou des églises.
Les établissements scolaires de la région ont été fermés et une grande partie des vols intérieurs au départ ou à destination de Nadi ont été annulés.
La circulation routière est également fortement perturbée du fait de l’inondation de plusieurs portions de routes et de ponts.
Ces inondations se conjuguent aussi avec les marées de la pleine lune, cette semaine.
Plus au Nord, et à l’Ouest, dans les régions des villes de Ba et de Sigatoka, elles aussi régulièrement frappées par des inondations, des mesures similaires ont été prise, y compris l’évacuation préventive de plusieurs centaines de personnes.
Entre-temps, plus à l’Ouest dans la grande région, les autorités de l’État australien du Queensland étaient elles aussi en état d’alerte jeudi, en prévision d’une dépression tropicale charriant déjà des vents d’une vitesse dépassant les cent kilomètres heure et qui pourrait se transformer en cyclone dans les heures à venir et toucher les côtes de l’île-continent.
Les craintes, là aussi, se focalisent sur le risque d’inondation des zones côtières peu élevées, avec là aussi une conjonction redoutée des effets des grandes marées.
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