MATAIEA, mardi 7 janvier 2014 – Les derniers occupants des parcelles domaniales situées en bord de mer, face au golf de Atimaono à Mataiea (Teva i Uta) ont été expulsés lors d'une opération conduite dans la matinée. Une habitation a été détruite lors du déblayage complet de la zone.
Gaston Flosse a indiqué mardi que, lors de la mission gouvernementale en Chine, des investisseurs avaient manifesté leur intérêt pour la gestion du golf d'Atimaono avec un projet incluant la construction d'hôtels. "Le site bord de mer est particulière indiqué pour cela", a commenté mardi Marcel Tuihani, le ministre des Affaires foncières.
Aucune mesure de relogement n'a été sollicité par les squatters de ces terres domaniales, indique aussi le ministère des Affaires foncières qui déclare avoir entrepris des démarches "il y a quelques mois" et adressé des courriers individuels aux occupants pour leur rappeler le caractère illégal de leur installation sur ce site.
"Il y avait une vingtaine de familles entre la route de ceinture et la mer. Plusieurs ont accepté de quitter. (…) Ce sont ceux qui sont restés que j’ai revus dimanche dernier : je suis allé à leur rencontre et ils s’obstinent à rester là", a commenté Gaston Flosse, mardi matin. "C’est une histoire tout à fait ancienne. Déjà Oscar Temaru avait demandé aux forces de l’ordre d’intervenir. Puis au dernier moment il avait reculé. Nous avons besoin de ce domaine-là. Lors des rencontres en Chine, des chefs d’entreprises nous ont dit être intéressés par la gestion du golf et la construction d’hôtels autour. Comme vous avez pu le voir, nous sommes en train de nettoyer toute cette partie-là qui fait quand même 42 hectares. Ensuite, il y a tous les squateurs qui sont côté montagne et que nous ferons également partir de là : ils occupent illégalement ce domaine".
Gaston Flosse a indiqué mardi que, lors de la mission gouvernementale en Chine, des investisseurs avaient manifesté leur intérêt pour la gestion du golf d'Atimaono avec un projet incluant la construction d'hôtels. "Le site bord de mer est particulière indiqué pour cela", a commenté mardi Marcel Tuihani, le ministre des Affaires foncières.
Aucune mesure de relogement n'a été sollicité par les squatters de ces terres domaniales, indique aussi le ministère des Affaires foncières qui déclare avoir entrepris des démarches "il y a quelques mois" et adressé des courriers individuels aux occupants pour leur rappeler le caractère illégal de leur installation sur ce site.
"Il y avait une vingtaine de familles entre la route de ceinture et la mer. Plusieurs ont accepté de quitter. (…) Ce sont ceux qui sont restés que j’ai revus dimanche dernier : je suis allé à leur rencontre et ils s’obstinent à rester là", a commenté Gaston Flosse, mardi matin. "C’est une histoire tout à fait ancienne. Déjà Oscar Temaru avait demandé aux forces de l’ordre d’intervenir. Puis au dernier moment il avait reculé. Nous avons besoin de ce domaine-là. Lors des rencontres en Chine, des chefs d’entreprises nous ont dit être intéressés par la gestion du golf et la construction d’hôtels autour. Comme vous avez pu le voir, nous sommes en train de nettoyer toute cette partie-là qui fait quand même 42 hectares. Ensuite, il y a tous les squateurs qui sont côté montagne et que nous ferons également partir de là : ils occupent illégalement ce domaine".
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