WELLINGTON, mercredi 18 décembre 2013 (Flash d’Océanie) – Un adolescent de 16 ans a été tué mardi après avoir été percuté par un train de marchandises, près de Christchurch (île du Sud de la Nouvelle-Zélande).
L’accident a eu lieu dans la région Nord de cette ville peu avant neuf heures du matin (locales, GMT+13), rapporte la télévision nationale privée TV3.
Jayden Smith, 16 ans, était alors en train de travers la voie ferrée en compagnie de deux amis, à un passage à niveau.
Heurté de plein fouet par le train, il est mort sur le coup.
Les deux autres adolescents n’ont pas été touchés.
La police locale a ouvert une enquête sur cet accident, qui vient s’ajouter à une longue liste de victimes d’accidents à des passagers à niveau non protégés.
Interrogé par la presse locale, mardi, une habitante de cette région, Maureen Blackmoore, néanmoins, s’est insurgée après ce nouveau décès et a appelé les autorités à prendre des mesures afin de renforcer la sécurité aux abords de ce genre de passages à niveau.
Le 12 décembre 2013, à Waimauku (Nord-ouest d’Auckland), c’est à la suite d’une collision entre une voiture et un train, toujours à un passage à niveau, qu’une autre personne est morte.
La victime, un homme de 73 ans, était au volant de la voiture.
La semaine précédente, sur la même voie ferrée, à quelques kilomètres de là, un autre accident n’avait pas fait de victime, mais un blessé grave.
Le 30 septembre 2013, une autre collision entre une voiture et un train de marchandises, à un passage à niveau non protégé au Nord-ouest d’Auckland, avait grièvement blessé une femme (la conductrice) et trois enfants, qui se trouvaient à bord de l’automobile.
Selon la police, la collision s’est produite à un moment où ce dispositif, dépourvu de barrières, avait déjà activé son seul moyen d’avertissement : des feux clignotants et des sons de cloches.
Rapport accablant
Dans un rapport rendu public mi-septembre 2012 en Nouvelle-Zélande, la commission nationale d’enquête sur les accidents des transports (Transport Accident Investigation Commission, TAIC) a identifié pas moins de 252 passages à niveau dans ce pays qui ne satisfont pas aux normes de sécurité, y compris au plan de la distance minimale permettant à des véhicules longs de s’arrêter à temps ou de se dégager de la voie en cas de problème.
Le rapport intervient en réponse directe à une précédente série de collisions, dont une qui avait particulièrement marqué ce pays : le 31 octobre 201, au Nord-ouest de Wellington (Sud de l’île du Nord), les six passagers et le chauffeur d’un petits autobus avaient réussi in extremis à sortir du véhicule après qu’il se soit retrouvé coincé sur la voie.
Quelques secondes plus tard, le petit bus était littéralement coupé en deux par un train de marchandises.
Cette collision a eu lieu sur un passage à niveau non protégé à Paekakariki (Nord de Wellington) aux alentours de 22h30 (heure locale GMT+13), entre un train de marchandises et un autobus, à bord duquel se trouvaient sept passagers, dont le chauffeur.
Le rapport recommande notamment, pour les passages à niveau montrés du doigt, de revoir la configuration et l’équipement technique entourant le dispositif.
La série d’accidents, parfois mortels, n’a cessé de s’allonger ces derniers mois.
Le 19 septembre 2012, un conducteur avait trouvé la mort après que son véhicule soit entré en collision avec un train, sur un passage à niveau, près de Tinwald (Sud de Christchurch, centre-est de l’île du Sud).
La voiture avait immédiatement pris feu.
Selon les témoins, après l’impact, le train avait poussé le véhicule sur une distance évaluée à près d’un kilomètre.
Le 17 septembre 2012, la conductrice d’une voiture avait réchappé à une autre collision avec un train, à une cinquantaine de kilomètres de là.
Elle a dû être désincarcérée par les services d’urgence.
Début juillet 2010, toujours en Nouvelle-Zélande, une femme de 83 ans avait elle aussi miraculeusement échappé à la mort après que la voiture qu’elle conduisait se soit apparemment immobilisée et ait été heurtée de plein fouet par un train à proximité de la petite localité d’Ongarue.
Toute la partie arrière du véhicule avait été arraché à la suite de l’impact.
La conductrice, touchée à la tête, à la poitrine et aux épaules, avait ensuite été transportée d’urgence par hélicoptère vers le centre de Waikato, après une difficile désincarcération.
Toujours début juillet 2010, en Nouvelle-Zélande, une autre voiture était entrée en collision avec un train, à un passage non protégé, dans la banlieue de Wellington, aux alentours de dix huit heures (locales, GMT+13), sans faire de blessés.
Le 12 juin 2007, une nouvelle collision à un passage à niveau de voie ferrée, en Nouvelle-Zélande, avait fait deux morts et un blessé grave, au Nord-est de l'île du Nord.
Il s'agissait d'une collision entre une voiture et un convoi ferré transportant du bois.
Le conducteur de la voiture avait franchi le passage (sans barrière, mais matérialisé par des avertisseurs lumineux et sonores) à pleine vitesse.
Le conducteur du train avait tenté de freiner, mais n'avait pu stopper le convoi à temps.
Fin octobre 2008, en Nouvelle-Zélande, dans les environs de la ville côtière de Napier, dans la Baie de Hawke (Nord-est de l'île du Nord), une autre collision entre une voiture et un train, sur un passage à niveau non protégé, avait fait un mort.
Ce genre d’accidents touche aussi l’Australie où, tout comme en Nouvelle-Zélande, la mortalité liée à ce type d’événements, est considérée comme particulièrement élevée.
Ce type de passage à niveau peu protégé est très répandu en Nouvelle-Zélande, mais aussi en Australie et particulièrement en zones rurales ou semi-rurales.
Dans ce pays aussi, la liste de ces dernières années est tout aussi étoffée : début novembre 2012, une collision entre un train et un camion à un passage à niveau du Sud de Melbourne (Australie) avait fait un mort et une douzaine de blessés, y compris le conducteur du train.
La collision avait eu lieu au passage à niveau d’Abbotts Road, dans le quartier de Dandenong (Sud de Melbourne) peu avant midi (heure locale, GMT+10).
La victime serait morte des suites d’une attaque cardiaque, a précisé la police.
Une douzaine de passagers, blessés à des degrés divers, avait dû être hospitalisée.
Le 14 septembre 2012, en début de matinée, à Banyo (banlieue Nord de Brisbane, État du Queensland, Nord-est de l’Australie), un semi-remorque a été heurté de plein fouet par un train, qui l’a ensuite projeté sur une autre voie.
Le camion s’est retrouvé coincé entre deux rames de trains.
Il s’était retrouvé, pour une cause non encore déterminée, immobilisé au milieu du passage à niveau.
Le conducteur du camion avait été grièvement blessé.
Une quinzaine de passagers avait dû être soignés pour des blessures à des degrés divers.
Les autorités de cet État avaient alors ouvert une enquête afin de déterminer les causes exactes de cet accident.
Fin juillet 2010, au Nord-ouest de Melbourne (Queensland), une collision entre un train et une automobile, sur un passage à niveau non protégé avait fait une victime : le conducteur de la voiture, un jeune homme de 22 ans, morte sur le coup à la suite de cet impact avec un train de banlieue.
Selon un témoin, cette voiture venait de sortir d’un parking proche et s’était ensuite immobilisée sur la voie.
La police du Victoria, qui a ouvert l’enquête, a déclaré retenir deux pistes : soit celle de la panne, soit celle du suicide.
Quelques jours auparavant, le 3 juillet 2010, c’est encore dans l’État du Queensland qu’une autre collision à un passage à niveau de voie ferrée faisait aussi une victime.
La collision impliquait un train transportant du charbon et un utilitaire de type 4x4, à un passage à niveau non protégé dans le centre de l’État du Queensland.
Le 5 mai 2010, dans la banlieue Ouest de Sydney (État de la Nouvelle-Galles-du-Sud), le conducteur d’une pelleteuse, âgé de 25 ans, a perdu la vie après que son engin, apparemment immobilisé sur la voie, ait été heurté de plein fouet par un train de banlieue, aux alentours de 11h30 locales.
Cette série d’accidents vient s’ajouter à une précédente vague, impliquant une nouvelle fois des passages à niveau non protégés : le 26 mars 2010, dans le centre de l’État australien du Queensland, une collision sur l’un de ces passages faisait un mort, la conductrice de la voiture, percutée de plein fouet par un train, dans la petite localité de Mackay, peu avant six heures du matin.
Elle avait été tuée sur le coup.
Le 5 juin 2007, c'était un semi-remorque qui était entré en collision avec un train sur un passage à niveau dans les environs de Melbourne (État du Victoria, Sud-est de l'Australie).
Le semi-remorque avait littéralement transpercé l'un des trois wagons du train, lors d'un impact à pleine vitesse.
Le conducteur du poids lourd n'avait pas vu les signaux annonçant le passage imminent du train.
Bilan : 11 morts et une cinquantaine de blessés à des degrés divers.
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L’accident a eu lieu dans la région Nord de cette ville peu avant neuf heures du matin (locales, GMT+13), rapporte la télévision nationale privée TV3.
Jayden Smith, 16 ans, était alors en train de travers la voie ferrée en compagnie de deux amis, à un passage à niveau.
Heurté de plein fouet par le train, il est mort sur le coup.
Les deux autres adolescents n’ont pas été touchés.
La police locale a ouvert une enquête sur cet accident, qui vient s’ajouter à une longue liste de victimes d’accidents à des passagers à niveau non protégés.
Interrogé par la presse locale, mardi, une habitante de cette région, Maureen Blackmoore, néanmoins, s’est insurgée après ce nouveau décès et a appelé les autorités à prendre des mesures afin de renforcer la sécurité aux abords de ce genre de passages à niveau.
Le 12 décembre 2013, à Waimauku (Nord-ouest d’Auckland), c’est à la suite d’une collision entre une voiture et un train, toujours à un passage à niveau, qu’une autre personne est morte.
La victime, un homme de 73 ans, était au volant de la voiture.
La semaine précédente, sur la même voie ferrée, à quelques kilomètres de là, un autre accident n’avait pas fait de victime, mais un blessé grave.
Le 30 septembre 2013, une autre collision entre une voiture et un train de marchandises, à un passage à niveau non protégé au Nord-ouest d’Auckland, avait grièvement blessé une femme (la conductrice) et trois enfants, qui se trouvaient à bord de l’automobile.
Selon la police, la collision s’est produite à un moment où ce dispositif, dépourvu de barrières, avait déjà activé son seul moyen d’avertissement : des feux clignotants et des sons de cloches.
Rapport accablant
Dans un rapport rendu public mi-septembre 2012 en Nouvelle-Zélande, la commission nationale d’enquête sur les accidents des transports (Transport Accident Investigation Commission, TAIC) a identifié pas moins de 252 passages à niveau dans ce pays qui ne satisfont pas aux normes de sécurité, y compris au plan de la distance minimale permettant à des véhicules longs de s’arrêter à temps ou de se dégager de la voie en cas de problème.
Le rapport intervient en réponse directe à une précédente série de collisions, dont une qui avait particulièrement marqué ce pays : le 31 octobre 201, au Nord-ouest de Wellington (Sud de l’île du Nord), les six passagers et le chauffeur d’un petits autobus avaient réussi in extremis à sortir du véhicule après qu’il se soit retrouvé coincé sur la voie.
Quelques secondes plus tard, le petit bus était littéralement coupé en deux par un train de marchandises.
Cette collision a eu lieu sur un passage à niveau non protégé à Paekakariki (Nord de Wellington) aux alentours de 22h30 (heure locale GMT+13), entre un train de marchandises et un autobus, à bord duquel se trouvaient sept passagers, dont le chauffeur.
Le rapport recommande notamment, pour les passages à niveau montrés du doigt, de revoir la configuration et l’équipement technique entourant le dispositif.
La série d’accidents, parfois mortels, n’a cessé de s’allonger ces derniers mois.
Le 19 septembre 2012, un conducteur avait trouvé la mort après que son véhicule soit entré en collision avec un train, sur un passage à niveau, près de Tinwald (Sud de Christchurch, centre-est de l’île du Sud).
La voiture avait immédiatement pris feu.
Selon les témoins, après l’impact, le train avait poussé le véhicule sur une distance évaluée à près d’un kilomètre.
Le 17 septembre 2012, la conductrice d’une voiture avait réchappé à une autre collision avec un train, à une cinquantaine de kilomètres de là.
Elle a dû être désincarcérée par les services d’urgence.
Début juillet 2010, toujours en Nouvelle-Zélande, une femme de 83 ans avait elle aussi miraculeusement échappé à la mort après que la voiture qu’elle conduisait se soit apparemment immobilisée et ait été heurtée de plein fouet par un train à proximité de la petite localité d’Ongarue.
Toute la partie arrière du véhicule avait été arraché à la suite de l’impact.
La conductrice, touchée à la tête, à la poitrine et aux épaules, avait ensuite été transportée d’urgence par hélicoptère vers le centre de Waikato, après une difficile désincarcération.
Toujours début juillet 2010, en Nouvelle-Zélande, une autre voiture était entrée en collision avec un train, à un passage non protégé, dans la banlieue de Wellington, aux alentours de dix huit heures (locales, GMT+13), sans faire de blessés.
Le 12 juin 2007, une nouvelle collision à un passage à niveau de voie ferrée, en Nouvelle-Zélande, avait fait deux morts et un blessé grave, au Nord-est de l'île du Nord.
Il s'agissait d'une collision entre une voiture et un convoi ferré transportant du bois.
Le conducteur de la voiture avait franchi le passage (sans barrière, mais matérialisé par des avertisseurs lumineux et sonores) à pleine vitesse.
Le conducteur du train avait tenté de freiner, mais n'avait pu stopper le convoi à temps.
Fin octobre 2008, en Nouvelle-Zélande, dans les environs de la ville côtière de Napier, dans la Baie de Hawke (Nord-est de l'île du Nord), une autre collision entre une voiture et un train, sur un passage à niveau non protégé, avait fait un mort.
Ce genre d’accidents touche aussi l’Australie où, tout comme en Nouvelle-Zélande, la mortalité liée à ce type d’événements, est considérée comme particulièrement élevée.
Ce type de passage à niveau peu protégé est très répandu en Nouvelle-Zélande, mais aussi en Australie et particulièrement en zones rurales ou semi-rurales.
Dans ce pays aussi, la liste de ces dernières années est tout aussi étoffée : début novembre 2012, une collision entre un train et un camion à un passage à niveau du Sud de Melbourne (Australie) avait fait un mort et une douzaine de blessés, y compris le conducteur du train.
La collision avait eu lieu au passage à niveau d’Abbotts Road, dans le quartier de Dandenong (Sud de Melbourne) peu avant midi (heure locale, GMT+10).
La victime serait morte des suites d’une attaque cardiaque, a précisé la police.
Une douzaine de passagers, blessés à des degrés divers, avait dû être hospitalisée.
Le 14 septembre 2012, en début de matinée, à Banyo (banlieue Nord de Brisbane, État du Queensland, Nord-est de l’Australie), un semi-remorque a été heurté de plein fouet par un train, qui l’a ensuite projeté sur une autre voie.
Le camion s’est retrouvé coincé entre deux rames de trains.
Il s’était retrouvé, pour une cause non encore déterminée, immobilisé au milieu du passage à niveau.
Le conducteur du camion avait été grièvement blessé.
Une quinzaine de passagers avait dû être soignés pour des blessures à des degrés divers.
Les autorités de cet État avaient alors ouvert une enquête afin de déterminer les causes exactes de cet accident.
Fin juillet 2010, au Nord-ouest de Melbourne (Queensland), une collision entre un train et une automobile, sur un passage à niveau non protégé avait fait une victime : le conducteur de la voiture, un jeune homme de 22 ans, morte sur le coup à la suite de cet impact avec un train de banlieue.
Selon un témoin, cette voiture venait de sortir d’un parking proche et s’était ensuite immobilisée sur la voie.
La police du Victoria, qui a ouvert l’enquête, a déclaré retenir deux pistes : soit celle de la panne, soit celle du suicide.
Quelques jours auparavant, le 3 juillet 2010, c’est encore dans l’État du Queensland qu’une autre collision à un passage à niveau de voie ferrée faisait aussi une victime.
La collision impliquait un train transportant du charbon et un utilitaire de type 4x4, à un passage à niveau non protégé dans le centre de l’État du Queensland.
Le 5 mai 2010, dans la banlieue Ouest de Sydney (État de la Nouvelle-Galles-du-Sud), le conducteur d’une pelleteuse, âgé de 25 ans, a perdu la vie après que son engin, apparemment immobilisé sur la voie, ait été heurté de plein fouet par un train de banlieue, aux alentours de 11h30 locales.
Cette série d’accidents vient s’ajouter à une précédente vague, impliquant une nouvelle fois des passages à niveau non protégés : le 26 mars 2010, dans le centre de l’État australien du Queensland, une collision sur l’un de ces passages faisait un mort, la conductrice de la voiture, percutée de plein fouet par un train, dans la petite localité de Mackay, peu avant six heures du matin.
Elle avait été tuée sur le coup.
Le 5 juin 2007, c'était un semi-remorque qui était entré en collision avec un train sur un passage à niveau dans les environs de Melbourne (État du Victoria, Sud-est de l'Australie).
Le semi-remorque avait littéralement transpercé l'un des trois wagons du train, lors d'un impact à pleine vitesse.
Le conducteur du poids lourd n'avait pas vu les signaux annonçant le passage imminent du train.
Bilan : 11 morts et une cinquantaine de blessés à des degrés divers.
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