Quantcast
Channel: TAHITI INFOS, les informations de Tahiti
Viewing all 46816 articles
Browse latest View live

Tavae sur grand écran : "le projet devrait se concrétiser" cette année

$
0
0
Tavae sur grand écran :
PAPEETE, le 6 janvier 2015. Le président Edouard Fritch et le ministre du Tourisme, Jean-Christophe Bouissou, ont reçu, mardi après-midi, le cinéaste Jacques Dorfmann ("Le Palanquin des larmes" (1987), "Agaguk" (1992) et "Vercingétorix" (2001)) qui souhaite adapter à l’écran l’aventure de Tavae.

Cette rencontre fait suite à l’entretien qu’avait accordé Edouard Fritch début décembre à Paris.
Le cinéaste s'est dit très impressionné par le récit de la dérive solitaire du pêcheur Tavae Raioaoa qui, parti de Tahiti, avait dérivé pendant 118 jours, à la suite d’une panne de moteur, pour finalement s’échouer à Aitutaki, aux îles Cook. Sa mésaventure avait été retracée dans le livre « Si loin du monde ». "Ce projet, qui constituera une très belle promotion pour la Polynésie française, devrait se concrétiser dans le courant de cette année", assure la présidence dans un communiqué. "Le président a de nouveau confirmé le soutien des autorités polynésiennes à ce projet." Ce projet est aujourd’hui assez ancien et avait fait l’objet d’une subvention de la part de la Polynésie française inscrite au budget 2006. Il n’a toutefois jamais pu se réaliser jusqu’alors pour des raisons administratives.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Les pro-Fritch unissent leurs moyens financiers à l'Assemblée

$
0
0
Les pro-Fritch unissent leurs moyens financiers à l'Assemblée
PAPEETE, 6 janvier 2016 – Le groupe Rassemblement pour une majorité autonomiste s’est constitué en association. La fusion des 29 représentants pro-Fritch devrait être déclarée à l’Assemblée en début de semaine.

Pour l’instant, le site de l’Assemblée de la Polynésie française fait encore état de quatre groupes, dans l’hémicycle : Tahoera’a Huiraatira (18 sièges), Tapura Huiraatira (21 sièges), Union pour la démocratie (UPLD, 10 sièges) et A Ti’a Porinetia (ATP, 8 sièges). En début de semaine prochaine il ne devrait plus figurer que trois groupes à Tarahoi, après l’officialisation de la fusion des groupes Tapura et ATP.

L’association Rassemblement pour une majorité autonomiste a été constituée en début d’année. Les formalités de déclaration publique sont en cours après le dépôt, mercredi matin, des informations au journal officiel de la Polynésie française. Dès parution, en début de semaine prochaine, le groupe des 29 représentants pro-Fritch sera formellement constitué à l’Assemblée. Sylvana Puhetini en assurera la présidence. Un poste de président d’honneur est spécialement créé pour Jacquie Graffe, le doyen du groupe.

Bien que scindés en deux groupes, s’ils expriment régulièrement leurs convergences de vues depuis juin dernier, les élus pro-Fritch disposent d’une majorité absolue de 29 voix depuis le ralliement de l'ex représentante UPLD Joëlle Frébault, début décembre. Cette qualité a grandement facilité l’adoption du budget primitif 2016, le 10 décembre dernier lors de la 11e et dernière séance de la session budgétaire. L'imposante délibération aura été examinée, débattue et adoptée en une demi-journée.

Avec leur fusion effective, les groupes ATP et Tapura s’offrent une convergence de moyens. Les associations Tapura Huiraatira et A Ti’a Porinetia sont dissoutes et leurs membres réunis dans l’association Rassemblement pour une majorité autonomiste qui sera bénéficiaire de leurs actifs financiers respectifs. Il s’agit de plusieurs dizaines de millions Fcfp. Mais la nouvelle association parlementaire sera également gestionnaire (hors indemnités de représentants) de 17,02 millions Fcfp mensuels de dotations et crédits collaborateurs versés par l’Assemblée à ses 29 membres.

Un beau trésor de guerre alors qu’Edouard Fritch pourrait annoncer l’organisation du congrès constitutif de son parti politique (vraisemblablement baptisé Mana Huiraatira) pour février prochain.

Le bureau du Rassemblement pour une majorité autonomiste

Président d’honneur : Jacquie Graffe
Présidente : Sylvana Puhetini
Vices-présidents : Gaston Tong Sang et Michel Buillard
Secrétaire : Nicole Bouteau
Secrétaire adjointe : Béatrice Lucas
Trésorière : Dylma Aro
Trésorier adjoint : Antonio Perez
Assesseurs : Charles Fong Loi et Joëlle Frébault

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Netflix débarque sur nos écrans

$
0
0
Netflix débarque sur nos écrans
PAPEETE, le 6 janvier 2016 - C'est officiel, Netflix a étendu son offre au monde entier cette semaine, incluant la Polynésie française. Le plus populaire des services de streaming légal de la planète va maintenant essayer de concurrencer les offres de Vini… et le téléchargement illégal.

Ce mercredi 6 janvier, le p-dg et co-fondateur de Netflix, Reed Hastings, a annoncé le lancement de son service de streaming légal dans 130 nouveaux pays, dont la Polynésie française. "Aujourd’hui vous assistez à la naissance d’un nouveau réseau global de télévision via internet" a-t-il déclaré. Voilà qui vient compléter les 60 pays déjà couverts, et permet d'assurer un service dans tous les pays du monde sauf la Chine, la Syrie, la Crimée et la Corée du Nord.

L'annonce a été faite au CES 2016, le plus grand salon de l'électronique au monde, et a aussi fait bondir l'action Netflix de 7% : il faut dire que, fort de ses 70 millions d'abonnés, la firme américaine a un modèle qui marche bien et qui devrait séduire de nombreux internautes du monde entier. Mais trouvera-t-elle un bon créneau à Tahiti ?

L'offre de Netflix, entre 8 et 10 dollars par mois selon la formule choisie, permet de regarder légalement et en streaming des millions de séries télévisées et de films sur sa télé, son ordinateur, sa tablette... Sauf que, problèmes de droits d'auteurs obligent, tout le contenu n'est pas disponible partout. En métropole en particulier les séries déjà achetées par les télévisions françaises n'étaient pas proposées, aboutissant à des situations ubuesques : des séries où la saison 2 est disponible mais pas la saison 1, du contenu vieillot, certaines sans la version originale ou sans la version française… Les abonnés se retrouvaient à trafiquer leur connexion internet pour faire croire qu'ils se connectent des États-Unis et profiter de tout le contenu ! À Tahiti, le catalogue proposé par Netflix n'est pas encore connu.

UN SUCCÈS EN MÉTROPOLE

Mais malgré ses handicaps, l'entreprise a tout de même séduit près de 900 000 internautes français en un an. Il faut dire que le service de streaming a fait un pari audacieux, qui paye : produire lui-même des séries et des films, et les diffuser par saison entière sur son service. Des contenus de grande qualité, comme les séries House of cards, Orange is the new black, Daredevil, Jessica Jones, et bientôt Marseille (première série francophone du service avec Gérard Depardieu tout de même) disponibles exclusivement sur Netflix bien sûr.

À Tahiti, outre le fait que tout le monde n'a pas des débits suffisant ni d'internet illimité (le streaming illimité ce n'est pas génial pour les utilisateurs de Viti par exemple) le problème risque d'être tout simplement de convertir les consommateurs au concept même du streaming payant. Au Fenua, Hadopi n'existe pas, les droits d'auteurs sont une légende (demandez aux musiciens), le piratage est général et les débits internet sont de toute façon assez limités. D'autant que les nouvelles offres de Vini incluent une vingtaine de chaines TV avec tous les abonnements de 8 ou 20 Mb/s, et son propre service de contenu en streaming. En métropole, Netflix a pu constater que les fournisseurs d'accès à internet bridaient intentionnellement son débit quand il entrait en concurrence avec des services "maison"… Jusqu'à ce que Netflix passe des accord avec chaque FAI pour être inclus sur leurs box (Free résiste encore et aurait baissé les débits de Netflix de 10%...).

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Christophe Plée dénonce "l'immobilisme des politiques"

$
0
0
Christophe Plée dénonce
PAPEETE, le 6 janvier 2016. Le président de la CGPME, Christophe Plée, regrette "l'immobilisme des politiques" qui bloque l'avancée des réformes.
Christophe Plée, le président de la CGPME, a adressé ses vœux ce mercredi. Il y dénonce "l'immobilisme des politiques" qui bloquent l'avancée des réformes. "C’est avec le plus grand des dépits que nous constatons que les années se suivent et se ressemblent tant les employeurs semblent être condamnés à subir l’immobilisme des politiques, engluées dans leur stratégie qui ne laisse que peu de place à l’avancée des réformes", souligne le président de la CGPME qui énumère la "longue" liste des dossiers en attente : "la réforme de la protection sociale généralisée repoussée d’année en année, la réforme du code du travail, vitale pour la création d’emplois, la mise en route des grands projets annoncés, le sauvetage des commerces moribonds du centre-ville de Papeete, la réforme de la fiscalité…"
Christophe Plée souligne que les entreprises se sentent comme "Sisyphe, condamné à œuvrer perpétuellement pour l’inutile".
Il finit néanmoins en demandant aux chefs d’entreprise de Polynésie française "pour la énième fois un peu de patience, un jour ou l’autre nos élus finiront par se rendre compte de l’importance de l’entreprise, un jour ou l’autre la voix des chefs d’entreprise sera entendue, un jour ou l’autre ils comprendront que l’entreprise c’est l’emploi. Un jour ou l’autre, Ils comprendront…."
Christophe Plée espère qu'un "jour ou l’autre nos élus finiront par se rendre compte de l’importance de l’entreprise".

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Compte rendu du Conseil des ministres du 6 janvier 2016

$
0
0
Situation du Groupement Interprofessionnel du Monoï de Tahiti, action publique en matière de soutien à la filière

Le Président de la Polynésie française a présenté au Conseil des ministres une communication visant à préciser la situation actuelle du GIMT et la filière « monoï de Tahiti » et les tensions persistantes qui existent entre ses différents membres et dont la presse s’est fait l’écho dernièrement.

Le Président a insisté sur la nécessité de moderniser la structure du GIMT et d’accompagner ce travail d’une réflexion sur la filière visant à la faire évoluer tout en préservant l’appellation d’origine contrôlée instaurée depuis 1992. Ce faisant, il répond aux préoccupations clairement affichées par l’ensemble des producteurs de monoï de Tahiti.


Fonds pour le développement de la croisière : aménagements à Fakarava

Le Conseil des ministres a adopté un arrêté affectant les crédits de paiement de la section investissement du Fonds pour le Développement de la Croisière (FDTC) pour l’année 2016. Ces crédits, d’un montant total de 70 millions Fcfp, sont affectés au financement des études relatives à l’aménagement de pôles de débarquement pour les compagnies de croisière sur l’île de Fakarava.

Ces aménagements figurent au rang des priorités de stratégie du tourisme, dans le cadre du développement de l’activité de croisière. Ils visent à proposer aux compagnies des sites adaptés à l’accueil des passagers et de permettre un regain d’activité pour les artisans, commerçants et prestataires de l’île. Il s’agit, principalement, de l’aménagement de plusieurs fare sur le quai de Rotoava et du développement d’équipements destinés aux activités de loisirs et de baignade et d’un débarcadère sur la plage de Makarea.

Les études menées en 2016 permettront une définition de projets qui pourront être ensuite proposés pour être financés au titre du Contrat de Projets 2015-2020.


Nomination de Nancy Chin Foo en qualité de notaire salarié au sein de la SCP Restout-Delgrossi-Buirette

Le Conseil des ministres a procédé à la nomination de Madame Carolyn, Nancy Chin Foo, épouse Emmanuel, en qualité de notaire salarié au sein de la Société civile professionnelle « Office Notarial Restout-Delgrossi-Buirette » en résidence à Papeete.


Indice des prix à la consommation : baisse de 0,6% sur l’année 2015

L'indice des prix à la consommation augmente de 0,7 % en décembre 2015 et s'établit à 107,84. Cette évolution est essentiellement portée par la hausse saisonnière des tarifs des transports aériens internationaux.

De janvier à décembre 2015, l'indice général est en repli de 0,6 %. Les baisses de prix dans les divisions transports et logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles sont atténuées par l'augmentation des prix des produits alimentaires et boissons non alcoolisées et par celle des prix de l'hôtellerie, cafés, restauration.

En décembre 2015, l'indice ouvrier progresse de 0,1 %. De janvier à décembre, il est en repli de 0,3 %. Hors transport aérien international, l'indice général est en baisse de 0,2 % sur un mois ( 0,5 % de janvier à décembre).

En décembre 2015, les prix dans les transports augmentent de 3,5 % (+ 0,7 point d'indice), principalement sous l'influence de l'évolution des tarifs des transports aériens qui progressent de manière saisonnière de 20,7 %. Les prix des carburants baissent de 6,4 %. Le mois de décembre est également marqué par la progression du prix des bicyclettes (+ 8,5 %). Entre janvier et décembre, les prix dans les transports sont en baisse de 4,2 %.

L’augmentation de 0,3 % des prix des produits alimentaires et boissons non alcoolisées (+ 0,1 point d'indice) résulte essentiellement de celles des prix des légumes (+ 5,0 %), des viandes (+ 1,1 %) et des laits, fromages et œufs (+ 0,6 %). Parallèlement, les prix des produits de la mer diminuent de 3,9 % et ceux des pains et céréales de 0,1 %. En glissement sur douze mois, les prix des produits alimentaires et boissons non alcoolisées sont en hausse de 2,4 %.


Index du BTP : baisse de 0,5% sur l’année 2015

L'index du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP) baisse de 0,4 % en décembre 2015 sous l'influence des prix de l'énergie, et plus particulièrement des carburants. Les index du Bâtiment et des Travaux publics diminuent respectivement de 0,1 % et 0,8 %.

Dans le Bâtiment, les index du Gros Œuvre et du Second Œuvre se replient légèrement ( 0,1 %).

Dans les Travaux Publics, l'index du Génie Civil diminue de 0,7 % et celui des travaux spécialisés de 1,6 %.
De janvier à décembre, l'index du BTP diminue (- 0,5 %). L'index des Travaux Publics est en repli de 1,6 % et celui du Bâtiment progresse de 0,5 %.


13ème édition du Festival International du Film documentaire Océanien (FIFO)

Le ministre de la Culture a présenté au Gouvernement le programme de la 13ème édition du FIFO qui se déroulera du 30 janvier au 7 février. Au fil des éditions le FIFO s’est imposé comme le rendez-vous incontournable du film documentaire du Pacifique Sud, le seul dans la région à rassembler les professionnels francophones et anglophones. Il est aussi la fenêtre par laquelle le public polynésien découvre la richesse et la diversité des cultures océaniennes. Le festival se veut le carrefour des cultures et des peuples. Il est un lieu de rencontre et de partage d’un patrimoine audiovisuel, dans un monde où le poids et la voie de l’image sont des axes majeurs et privilégiés de l’établissement du dialogue et de l’échange.

Cent soixante films ont été réceptionnés par l’organisation du festival, et soixante films ont été retenus. Onze sont « en compétition » et vingt trois seront montrés « hors compétition », dont quatre documentaires polynésiens. Huit films dans la catégorie « Pacific Island » et enfin dix-huit courts métrages de fiction pour « La nuit du Court Océanien » seront également projetés. Cette sélection se tourne résolument vers la modernité et les réalités contemporaines auxquelles l’Océanie est confrontée, se faisant l'écho de préoccupations mondiales comme, par exemple, la protection de l'environnement. En marge du concours, le FIFO permet également la tenue du colloque des télévisions océaniennes, du Pitch dating, du marché du film documentaire océanien et d’ateliers professionnels. Le grand public peut quant à lui profiter des nombreuses projections, des animations et des ateliers d’initiation mis en place à son usage.

Le FIFO 2016 affirme une fois de plus de la vitalité de ce continent Pacifique qui s'exprime en toute liberté et souvent avec audace sur des problématiques parfois inattendues qui sont toujours traitées à l'Océanienne. C'est un beau regard porté sur l’Océanie, un continent capable d'harmoniser les valeurs de ses traditions et celles d'un présent confronté à la mondialisation.

Le Président du Jury de cette 13éme édition est Abderrahmane Sissako, cinéaste et producteur mauritanien, César du meilleur réalisateur en 2015 pour son film Timbuktu, qui sera projeté durant le FIFO en marge de la manifestation. Le jury compte aussi Julia Parnell, productrice néo-zélandaise, Liz Stevens, directrice de l’unité documentaire de Screen Australia, René Boutin, Directeur du festival Anuu ru Aboro en Calédonie, Patrice Guirao, auteur, écrivain et parolier, et Teva Pambrun, Chef de fabrication à Polynésie 1ère.

Une affluence équivalente à la précédente édition, qui avait comptabilisé 31 000 entrées, dont 6900 scolaires, est escomptée. Comme chaque année, des projections seront organisées dans les archipels et dans la région, à l’issue du festival. Afin de rendre les projections accessibles à un large public, tous les films seront sous-titrés en français.

Au travers du SCAN, mais aussi de l’implication de ses services et particulièrement de Te Fare Tauhiti Nui, partenaire institutionnel du FIFO, le Pays soutient activement l’organisation du festival.


Aménagement et acquisitions de divers matériels : attribution d’une subvention d’investissement au profit du Musée de Tahiti et des îles

Le Conseil des ministres a attribué au Musée de Tahiti et des îles – Te Fare Manaha (MTI) une subvention pour le financement d’aménagements et d’acquisitions de divers matériels. L’établissement a entrepris depuis quelques années la rénovation de ses structures, afin d’améliorer l’accueil des visiteurs et susciter l’intérêt d’un plus large public. En 2013, cette démarche a notamment porté sur le rafraîchissement de la première salle d’exposition du musée et la création du nouvel espace d’accueil.

En 2014, cette initiative a permis d’entreprendre divers aménagements nécessaires au sein du musée, et notamment dans les structures ouvertes au public, et d’acquérir de nouveaux matériels en remplacement des équipements défectueux voire obsolètes.

Aussi, dans cette continuité, le MTI envisage à présent de réaliser des sanitaires supplémentaires à l’extérieur de l’établissement. Parallèlement, l’établissement entend s’équiper de nouveaux matériels, à savoir et notamment des coffrets de régulation de température pour la climatisation des salles du musée. Ces investissements visent notamment à assurer le développement des activités du musée et à améliorer les conditions de sécurité et de préservation de ses collections. Ils s’inscrivent dans une programme sur le long terme pour rénover progressivement l’établissement.

Afin de soutenir ce projet, une subvention d’investissement d’un montant de 9,3 millions Fcfp a été attribuée au Musée de Tahiti et des îles.


Mau fa'aotira'a a te 'Apo'ora'a a te mau Fa'aterehau


Te huru no te 'Amuitahira'a Toro'arau no te Mono'i no Tahiti (ATMT), tapura 'ohipa a te hau no te turu i taua 'ama'a 'ohipa ra

Ua vauvau te Peretiteni no Porinetia faran i mua i te 'Apo'ora'a a te mau Fa'aterehau i te ho'e ha'amaramaramara'a no te ha'apapu i te huru i teie mahana o te ATMT e te 'ama'a 'ohipa no te « Mono'i no Tahiti » e te mau umeumera'a tamau e vaira i roto i to'na mau mero rau o ta te ve'a i fa'ahiti rahi na i ma'iri a'e nei.

Ua fa'atumu te Peretiteni i ni'a i te faufa'a rahi no te fa'a'api i te fa'anahora'a o te ATMT e te mape'era'a i te reira tapura 'ohipa i te ho'e ferurira'a mana'o i ni'a i te 'ama'a 'ohipa o te titau ra e fa'arava'i fa'ahou atu a ma te fa'aherehere noa i te piira'a tumu hi'opo'ahia e ha'amauhia mai te matahiti 1992 maira. Na roto i te reira, e pahono 'oia i te mau mana'ona'ora'a o tei fa'ahiti maramarama maita'ihia mai e te ta'ato'ara'a no te feia hamani Mono'i no Tahiti.


'Afata no te fa'ahotu i te tere oriori na ni'a i te pahi : ha'amaita'ira'a i Fakarava

Ua rave te 'Apo'ora'a a te mau Fa'aterehau i te ho'e fa'aotira'amana no te horo'a i te tahi mau faufa'a moni no te 'aufau i te 'ama'a fa'ahotura'a i te 'Afata no te Fa'ahotu i te Tere oriori na ni'a i te Pahi (AFTP = FDTC) no teie matahiti 2016. Taua mau faufa'a moni ra, no te faito e 70 mirioni toata farane, e horo'ahia ia no te 'aufau i te mau titorotorora'a no ni'a i te fa'anaho papu maita'ira'a i te mau poro poura'a e pa'i'umara'a horopatete na te mau Taiete no te Tere oriori na ni'a i te pahi i te motu no Fakarava.

E 'apapahia te reira mau ha'amaita'ira'a i roto i te mau tapura 'ohipa ruroa a'e no te mau rave'a fariira'a ratere, no te fa'ahotu i te tapura 'ohipa a te mau pahi uta ratere oriori na ni'a i te pahi. E tu'u ato'a 'oia i mua i te mau totaiete i te mau tahua e tano no te farii i te mau horopatete e ia 'ahune te tapura 'ohipa a te mau rima I, a te mau Fatufaretoa e a te mau fatupatana no taua motu ra. No ni'a iho ra i te hamanira'a i te tahi mau fare i ni'a i te uahu no Rotoava e te ha'amaita'ira'a i te mau fa'anahora'a fa'ata'ahia no te te mau tapura 'ohipa fa'a'ana'anataera'a e no te mau hopura'a miti e te ho'e uahu i ni'a i te one tahatai no Makarea.

Te mau titorotorora'a o te ravehia i te matahiti 2016 na te rera e ha'apapu maita'i mai i te mau 'opuara'a o te tu'uhia mai i muri mai ia paturu monihia atu na roto i te Fa'aaura'a no te mau 'Opuara'a 2015-2020.


Nominora'a i te ho'e notera 'api i roto i te SCP Restout-Delgrossi-Buirette

Ua nomino mai te 'Apo'ora'a a te mau Fa'aterehau ia Carolyn, Nancy Chin Foo fa'aipoipohia Emmanuel vahine i ni'a i te toro'a ei notera 'aufau tamoni i roto i te Totaiete Tivira Toro'a « Office Notarial Restout-Delgrossi-Buirette » e noho i Papeete.


'Initi no te mau moniho'o o te 'aimamaura'a : ua topa i te faito 0,6 % i roto i te matahiti 2015

Ua mara'a te 'initi no te mau moniho'o o te 'aimamaura'a i ni'a i te 0,7 % i titema 2015 e ua mau i ni'a i te 107,84. E mea faufa'a taua mara'ara'a ra o tei tura'ihia e te mara'ara'a pu'etau o te mau tarifa no te mau utara'a manureva na te ara.

Mai tenuare e tae mai i titema 2015, ua 'otohe te 'initi rahi i raro 0,6 %. Te mau topara'a no te mau moniho'o i roto i te mau tuha'a no te mau utara'a e no te nohora'a, te pape, te ura, te mahuauahi e te tahi è atu mau hotu e ura, ua tamaruhia e te mara'ara'a o te mau moniho'o o te mau hotu ma'a tama'a e te mau vaiharo ta'ero 'ore e na te topara'a ato'a o te mau moniho'o o te mau hotera, te mau fare inura'a taofe, te pae ato'a no te tama'ara'a.

I te titema 2015, ua mara'a te 'initi o te rave 'ohipa i ni'a i te 0,1 %. Mai tenuare e tae mai i titema, ua 'otohe 'oia i raro 0,3 %. Ma te tai'o 'ore i te utara'a na ni'a i te manureva na te ara, ua topa te 'initi rahi i ni'a 0,2 % i roto ho'e 'ava'e (0,5 % mai tenuare e tae mai i titema).

I titema 2015, ua mara'a te mau moniho'o i roto i te mau utara'a e 3,5 % (+ 0,7 % tai'o 'initi), na roto ihoa i te hana no te mara'ara'a te mau tarifa no te mau utara'a na ni'a i te mau manureva i roto i te pu'etau e 20,7 %. Ua topa te mau moniho'o o te mau mori e 6,4 %. Ua tapa'o ato'ahia te 'ava'e titema e te mara'ara'a no te moniho'o o te mau pere'o'o ta'ata'ahi (+ 8,5 %). I rotopu ia tenuare e o titema, ua topa te mau moniho'o i roto i te mau utara'a e 4,2 %.

Te mara'ara'a 0,3 % o te mau moniho'o o te mau hotu ma'a tama'a e no te mau vaiharo ta'ero 'ore (+ 0,1 % tai'o 'initi), no te mau mara'ara'a ia no te mau moniho'o o te mau ma'atupu tiare (° 5,0 %), o te mau 'i'o 'ina'i (+ 1,1 %) e o te mau U, pata pa'ari e o e mau huero moa (+ 0,6 %). te tahi atu pae'au, ua 'iti te mau moniho'o o te mau hotu no roto i te miti e 3,9 % e te mau moniho'o o te mau faraoa e te mau faraoa ota 0,1 %. I ni'a 12 'ava'e, ua mara'a te mau moniho'o o te mau hotu ma'a tama'a e o te mau vaiharo 'ava 'ore i ni'a e 2,4 %.


'Initi o te BTP : ua topa 0,5 % i roto i te matahiti 2015

Te 'initi o te Patura'a fare rarahi e o te mau 'Ohipa Rarahi a te Hau (BTP) a topa ia 0,4 % i te titema 2015 i raro a'e i te hana no te mau moniho'o o te itouira, e o te mau mori ihoa ra. Ua topa te mau 'initi o te Patura'a fare rarahi e o te mau 'Ohipa Rarahi a te Hau, te matameha'i 0,1 % e te piti 0,8 %.

I roto i te patura'a i te mau fare rarahi, te mau 'initi no te 'Ohipa rahi e no te Piti o te 'Ohipa rahi, ua 'ora'ira'i rii maru noa ia i muri ( 0,1 %).

I roto i te mau Tapura 'Ohipa Rarahi a te Hau, ua iti te 'initi no te mau 'Ohipa tivira 0,7 % e to te mau tapura 'ohipa 'aravihi 1,6 %.

Mai tenuare e tae mai i titema, ua iti te 'initi o te BTP (- 0,5 %). Ua 'otohe te 'initi o te mau Tapura 'Ohipa Rarahi a te Hau 1,6 %, e to te patura'a fare rarahi ua nu'u ia i ni'a 0,5 %.


13ra'a no te fa'anahora'a no te Ta'uruanui no te Ao no te Hoho'a Fa'ati'a 'a'ai no 'Oteania (FIFO)

Ua vauvau mai te Fa'aterehau no te Ta'ere i mua i te 'Apo'ora'ahau i te tapura 'ohipa no te 13 ra'a o te fa'anahora'a no te FIFO o te tupu mai te 30 no tenuare e tae atu i te 7 no fepuare. I roto i te mau fa'anahora'a a, ua riro roa mai te FIFO ei farereira'a o te 'ore roa e nehenehe fa'ahou e 'ape no te hoho'a fa'ati'a 'a'ai no Patitifa Apato'a, te fa'anahora'a 'otahi noa te reira no teie tuha'a fenua o te ha'aputuputu mai i te feia 'aravihi reo farani e reo peretane. Ua riro ato'a 'oia ei ha'amaramarama na roto i te reira te huira'atira porinetia e 'ite atu ai i te faufa'a rahi e te raura'a no te mau ta'ere 'oteania. Ua riro roa taua ta'uruanui ra ei vahi farereira'a no te mau ta'ere e no te mau nuna'a. Ua riro 'oia ei vahi no te farereira'a e no te 'aitauira'a i te faufa'a tupuna o te hoho'a, i roto i te ho'e ao i reira e 'iteahia ai te teimaha e te 'e'a o te hoho'a, o tei riro ei mau 'aho metua e te faufa'a rahi no te fa'atupu i te tau'aparaura'a e te 'aitauira'a.

Hanere e ono 'ahuru rahira'a hoho'a o tei fariihia'tu na e te pu fa'atere no taua ta'uruanui ra, e ono 'ahuru mau hoho'a o tei ma'itihia mai. 11 no taua mau hoho'a ra « tei roto i te tata'ura'a » e 23 o te fa'a'itehia « 'eita ra e tai'ohia i roto i te tata'ura'a », e 4 o ratou e mau hoho'a fa'ati'a 'a'ai poinetia. E 8 mau hoho'a no te tuha'a « Motu Patitifa » e 18 rahira'a hoho'a rarahi 'a'ai ferurihia no « Te 'aru'i no te Hoho'a 'Oteania » o te pata ato'ahia. E fariu taua ma'itira'a ra i ni'a i teie tau e i ni'a i te mau 'ohipa o te tupu maoti mau ra i teie 'anotau i mua i te reira, te fa'auhia ra e to 'Oteania, o te fa'aro'ohia ra te pina'ina'ira'a no te mau 'aehuehura'a o teie nei ao, ei hi'ora'a, te parurura'a i te 'auanatura. I te hiti a'e i te tata'ura'a, e 'iriti ato'a te FIFO i te torota no te mau 'afata teata 'oteania, te Pitch dating, no te matete o te hoho'a fa'ati'a 'a'ai 'oteania e te mau piha 'ohipara'a 'aravihi. E nehenehe ta te huira'atira e fana'o i te haere atu e mata'ita'i e rave rahi mau patara'a hoho'a, mau rautira'a e mau piha 'ohipara'a fa'atorora'a i ni'a i taua toro'a ra, o te fa'anahohia mai.

Te ha'apapu fa'ahou maira te FIFO 2016 i te oraora o teie fenua Patitifa o te nehenehe e fa'a'ite i ton'a mana'o ma te ti'ama e e rave rahi mau taime, ma te 'opriiroa'tu i o mai, i ni'a i te mau parau fifi tia'i 'orehia e o te tataranoahia mai a, ia au i te fa'ati'ara'a a to 'Oteania. E hi'ora'a rahi te reira i ni'a ia 'Oteania, te ho'e fenua o te nehenehe e fa'atano i te mau faufa'a no ta'na mau peu tumu e to teie nei tau i mua i te tauira'a o te tau i roto i to teie nei tau.

Te Peretiteni o te Tomite Hi'opo'a no teie 13 ra'a no te fa'anahora'a o Abderrahmane Sissako, 'aivana'a patara'a hoho'a e tavirira'a hoho'a no Mauritania, o tei haru na i te Tetara no te ta'ata hamani hoho'a hau roa a'e i te maita'i i te matahiti 2015 ra no ta'na hoho'a Timbuktu, o te pata ato'ahia i roto teie FIFO ta'a-è noa'tu te ta'uruanui. I roto i te Tomite hi'opo'a, te vai ato'a ra o Julia Parnell, hamani hoho'a Niu-Terani, o Liz Stevens, fa'atere vahine no te pu hoho'a fa'ati'a 'a'ai no Screen Australia, o René Boutin, Fa'atere no te Ta'uruanui Anuu ru Aboro i Taratoni, o Patrice Guirao, ta'ata papa'i puta, papa'i e hamani parauparaura'a e o Teva Pambrun, Fa'atere hamanira'a hoho'a no Porinetia Tahi.

E huru tuea noa te 'aehuehura'a i to te ta'uruanui i ma'iri, o tei farii na e 31 000 rahira'a feia i tomo mai e mata'ita'i, i roto i te reira, e 6900 rahira'a piahi, o tei tapurahia. I te mau matahiti ato'a, e fa'atupu ato'ahia te mau patara'a hoho'a i roto i te mau Ta'amotu e i te tuha'a fenua na te ta'ato'ara'a o te huira'atira, te ta'ato'ara'a no te mau hoho'a, i papa'i reo faranihia te hurira'a o te mau parauparaura'a.

Na roto i te SCAN, tera ra, i te paturu ato'ara'a mai a ta'na mau piha toro'a e Te Fare Tauhiti Nui ihoa ra, te taipe mana o te FIFO, e paturu pautuutu te Haufenua i te fa'atupura'a i taua ta'uruanui ra.


Horo'ara'a i te ho'e tauturu moni no te fa'ahotu i Te Fare Mana no Tahiti e te mau Motu no te paturu moni i te mau fa'a'apira'a e te ho'ora'a mai e rave rahi mau materia

Ua horo'a te 'Apo'ora'a a te mau Fa'aterehau na Te Fare Manaha no Tahiti e to'na mau Motu (MTI) ho'e tauturu moni no te paturu faufa'a moni i te fa'a'apira'a i te tahi no to'na mau tuha'a e te ho'ora'a mai e rave rahi mau materia. Ua rave mai taua pu ra tau matahiti i teie nei, i te fa'a'apira'a i ta'na mau fare, no te ha'amaita'i i te pae no te fariira'a i te feia e haere atu e mata'ita'i e no te fa'atiani ia rahi fa'ahou atu te huira'atira i te haere atu . I te matahiti 2013, ua niurahihia taua mau ha'amaita'ira'a ra i ni'a i te fa'ato'eto'era'a i te piha rahi matamua no te mau fa'a'ite'itera'a a Te Fare Manaha e te hamanira'a mai ho'e piha fariira'a ta'ata 'api.

I te matajhiti 2014 ra, na roto i te reira mau tareni, ua nehenehe i te ravehia mai e rave rahi mau fa'arava'ira'a faufa'a rahi i roto i Te Fare Manaha, e i roto ihoa ra i te fare e farii atu i te naho'a hura'atira, e te ho'ora'a mai i te mau materia 'api no te mono atu i te mau tauiha'a 'ino e parau e o tei pe roa.

I roto i te reira raranira'a, te 'opua ra te MTI i teie taime e hamani i te mau fare pape e haumitira'a hau atu i rapae'au i taua pu ra. I te tahi noa'tu pae, te hina'aro ra taua pu ra e ho'o mai i te mau materia 'api, mai te mau 'afata rii no te tape'ara'a i te anuvera no te fa'ato'eto'era'a o te mau piha o Te Fare Manaha. Taua mau fa'ahotura'a ra, no te ha'apapu ia i te hotura'a o te mau tapura 'ohipa a Te Fare Manaha e no te ha'amaita'i i te mau fa'anahora'a no te parurura'a 'eiaha ia tupu mai te 'ati e te ha'aputu papura'a i ta'na mau faufa'a. Ua tapurahia te reira no te ho'e tapura 'ohipa pu'etau roa no te fa'a'api tamau noara'a i taua pu ra.

No te turu i te reira 'opuara'a, ua horo'ahia te ho'e tauturu moni i ni'a i te faito e 9 362 529 toata farane na Te Fare Manaha no Tahiti e no te mau Motu.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Quels sont vraiment les risques de cyclone ?

$
0
0
Quels sont vraiment les risques de cyclone ?
PAPEETE, le 6 janvier 2015. Des sites internet annoncent un risque de cyclone d'ici sept à dix jours au fenua. Il passerait au nord de l'archipel de La Société. Les spécialistes de la météorologie jugent cette prévision encore trop lointaine pour être fiable. Explications.

Sur le site internet Windyty.com, des vents à 45 kt (83 km/h) avec des rafales à 55 kt (102 km/h) sont annoncés pour la nuit du vendredi 15 au samedi 16 janvier mais c'est surtout l'annonce de fortes pluies qui seraient inquiétantes avec 13.8 millimètres par heure (1 millimètre de pluie équivaut à 1 litre d’eau par m2). Le site Windyty travaille avec le modèle numérique GFS. Le Global Forecast System (GFS) est un modèle de prévision du service météorologique des États-Unis. Il fait des prévisions jusqu'à 16 jours mais au-delà de cinq jours, les spécialistes météorologiques s'accordent à dire que ces prévisions doivent être considérées comme des tendances.

Ce mercredi, ce modèle GFS était le seul à annoncer le développement d'un système cyclonique. "A une échéance de 11 jours, la marge d'erreur est énorme", soulignait ce mercredi le site Info-cyclones.com sur sa page Facebook[ "Si la tendance se confirme (et si d'autres modèles aussi le confirment) alors la probabilité deviendra beaucoup plus 'fiable'".]i
Le site Info-cyclones.com ajoutait ce mercredi : "Malheureusement pour cette fois, la majorité des modèles informatiques s'accordent à dire qu'une formation pourrait se former en milieu de ce mois-ci à proximité Nord des îles de la Société. Nous attendons d'avoir plus d'éléments qui confirmeraient si oui ou non cette menace est réelle".

Mais les observations météorologiques appellent déjà à la vigilance : "Le risque cyclonique est plus que jamais présent. Les pointes de vent du côté de Punaauia ont atteint des vitesses avoisinant les 60-70 km/h par rafales hier soir (mardi soir)", indique info-cyclones.com. "Une rotation des vents semble s'organiser autour d'un centre de basse pression à l'ouest de Bora Bora depuis quelques jours. Cette situation augmente le risque de formation cyclonique à proximité des îles de Polynésie française. Le phénomène est sous surveillance."

Attention aux prévisions trop éloignées

Du côté de Météo France, on met en garde contre les sites de prévision qui utilisent des modèles "trop lointains". "Plus on s'éloigne dans le temps, plus les erreurs sont nombreuses. Au-delà de cinq jours, on peut seulement déterminer une tendance. Les prévisions au-delà de cinq jours peuvent engendrer des erreurs de 400 à 1 000 kilomètres…"

Depuis le début de la saison chaude, les prévisionnistes de Météo-France suivent avec attention les masses nuageuses et leur progression. D'autant plus, que Météo France a annoncé que le risque de voir un cyclone passer cette saison chaude sur le territoire était de 90%.
"Pour les trois prochaines semaines, des anomalies positives de précipitations sont attendues sur la Société, les Marquises et les Tuamotu", peut-on lire dans le point hebdomadaire de Météo France, paru mardi. "A contrario, sur les Australes, des anomalies négatives de précipitations sont prévues, notamment au cours des deux prochaines semaines."
Si le risque cyclonique venait à se confirmer dans les prochains jours, c'est le haut-commissaire qui décidera s'il faut déclencher ou non l'alerte cyclonique. C'est lui qui décide du changement d’état d’alerte et de la zone géographique à laquelle s’applique ce statut.

Le Haut-commissariat rappelle que le fait d’être en phase de « mise en garde cyclonique », voire en « pré-alerte cyclonique orange », n’implique pas que les conditions météorologiques se soient déjà notablement dégradées. Il arrive, en effet, que l’arrivée d’une tempête ou d’un cyclone tropical, soit précédée d’un temps relativement beau.

Sur cette image de mardi soir, on peut voir qu'une "rotation des vents semble s'organiser autour d'un centre de basse pression à l'ouest de Bora Bora depuis quelques jours", note le site info-cyclones.com. "Cette situation augmente le risque de formation cyclonique à proximité des îles de Polynésie française. Le phénomène est sous surveillance."

C'est quoi un cyclone ?
Quels sont vraiment les risques de cyclone ?
Le cyclone tropical est une perturbation atmosphérique occasionnant des vents tourbillonnaires violents et des pluies diluviennes. Il se forme sur les océans tropicaux où il génère houle et marée de tempête. Un système atteint le stade de cyclone lorsque les vents moyens (sur 10 minutes), près du centre, atteignent 118 km/h. La naissance d’un cyclone requiert certaines conditions :
- température de la mer supérieure à 26°C sur une profondeur d’au moins 60 mètres,
- air suffisamment humide,
- et surtout l’existence d’une dépression initiale.
Le cyclone se caractérise par une énorme masse nuageuse d’un diamètre moyen de 500 kilomètres, pouvant dépasser 1000 kilomètres dans certains cas, organisée en bandes spiralées qui convergent vers un anneau central. Au cœur de cet anneau se trouve l’œil, une zone d’accalmie où le vent est faible et le ciel généralement peu nuageux. Son diamètre est typiquement de 40 kilomètres.


Les différents stades d’alerte
La veille : Elle constitue la situation normale pendant la saison cyclonique (en pratique de novembre à mars) en l’absence de menace pour la Polynésie française dans les prochaines 72 heures.

La mise en garde cyclonique : Elle constitue pour chacun une mise en garde contre le péril cyclonique. Une perturbation cyclonique présente une menace potentielle pour une partie de la Polynésie française dans les prochaines 72 heures.

La pré-alerte cyclonique orange : Cette pré-alerte indique que la menace cyclonique se précise. Il y a un danger dans un délai inférieur à 48 heures. « La pré-alerte » pourra être éventuellement maintenue après le passage du phénomène, si un retour de celui-ci peut être envisagé dans les 48 prochaines heures.

L'alerte cyclonique rouge : "Elle indique que le danger cyclonique se confirme et devient imminent. La perturbation cyclonique affectera une partie de la Polynésie française dans les 12 à 18 heures qui viennent avec un risque de conditions cycloniques (vents moyens supérieurs à 100 km/h). Afin de permettre à l’ensemble de la population de rejoindre son domicile ou de gagner un abri, l’interdiction de circuler sera annoncée six heures avant que la mesure n’entre en vigueur.

La phase de sauvegarde – stade violet : La phase de sauvegarde est décidée, si besoin, après le passage de la perturbation cyclonique et la levée de l’alerte rouge, si les dangers indirects subsistent sur la zone (réseau routier totalement ou partiellement impraticable, arbres arrachés, fils électriques à terre, inondations, éboulements…). Elle permet de gérer l’intervention des secours et des services d’intervention et une interdiction de circuler totale ou partielle pour la population. Le but de cette phase est d’évaluer les dégâts, de permettre de réactiver le maximum de réseaux au profit de la population ou de projeter des secours au profit d’une île ayant subi de gros dommages. L’interdiction de circuler à la population peut toujours être active.

Fin d'alerte cyclone, retour à la situation de veille : La fin d’alerte indique que tous les dangers directement liés au cyclone sont écartés. Les équipes de secours ont rétabli un certain nombre de structures ou de réseaux permettant à la population de reprendre des activités en mode dégradés. Les secours sont en cours afin de revenir à la normale ; la phase de reconstruction est alors mise en œuvre par le gouvernement de la Polynésie française.


Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

De nouvelles conventions pour les unités de production hydroélectrique

$
0
0
De nouvelles conventions pour les unités de production hydroélectrique
PAPEETE, 6 janvier 2016 - Les nouvelles règles du jeu entre le Pays et EDT au sujet des tarifs de l'électricité ne concernent pas que la distribution, mais se préoccupent aussi de la production. Ainsi, pas moins de sept nouvelles conventions viennent d'être signées entre le Pays et la société Marama Nui, fixant les conditions d'exploitation des installations hydroélectriques.

La fin de l'année 2015 a été décidément prolifique en ce qui concerne les relations "commerciales" établies entre le Pays et la société qui assure sur Tahiti la production et la distribution de l'électricité, à savoir EDT ou ses filiales. Sans que rien ne transparaisse, ni ne fuite vers l'extérieur, la vice-présidence et la direction du groupe EDT ont fixé les nouvelles règles qui régissent les relations entre le Pays, autorité concédante et le concessionnaire. Après un avenant à la convention sur la distribution de l'électricité, cette fois ce sont les conventions faites à la société Marama Nui pour l'exploitation des forces hydrauliques qui ont été revues. Au final, pas moins de sept nouvelles conventions ont été signées le 29 décembre dernier entre le territoire et la SA Marama Nui (filiale à 56,4% d'EDT, le reste appartenant au Pays). Elles revoient certains des principes du mode de rémunération du concessionnaire, mis en place à l'ouverture de ces concessions. Des principes qui n'avaient guère ou pas du tout revu depuis leur signature initiale, dont les plus anciens remontent à octobre 1985 (plateaux de Hitiaa, Vaite, Vaihiria), à août 1988 pour la Titaaviri, à décembre 1989 pour la haute vallée de la Papenoo ou, les plus récents, datent d'août 1995 pour ce qui concerne la moyenne vallée de la Papenoo.

Bref, dans un souci de transparence et de limitation des calculs de l'électricité en Polynésie française, concédant et surtout concessionnaire ont accepté de faire des efforts. Les parties (le Pays d'une part et la SA Marama Nui de l'autre) ont convenu "dans l'intérêt des consommateurs de l'énergie électrique de procéder de façon à limiter l'impact sur le prix de vente du kWh hydroélectrique. Les Parties sont ainsi convenues de supprimer l'amortissement de caducité sur l'ensemble des biens de la concession, et de prévoir en conséquence l'indemnisation du concessionnaire à hauteur de leur Valeur Nette Comptable, à l'issue du contrat de délégation. Cette méthode contribue à assurer l'équilibre économique de la concession en limitant l'impact pour le consommateur final" peut on lire en toutes lettres en introduction de ces nouvelles conventions, toutes rédigées sur le même modèle pour chacun des sites de production hydroélectrique. Une façon de faire qui rejoint presque mot pour mot, les préconisations de la CRE (Commission de Régulation de l'Energie) dans son rapport du 14 décembre 2012 sur la régulation du système électrique polynésien.

Les nouvelles conventions fixent ainsi la durée d'amortissement "économique" des biens de la concession et en particulier des conduites forcées, pistes et barrages ; d'introduire une indemnité de fin de concession sur la valeur non amortie de ces biens, ce qui met fin à la pratique de l'amortissement de caducité ; de créer un "Fonds de Maintenance des conduites forcées" destiné au financement des opérations de maintenance, de réparation, d'entretien ou de remplacement partiel des conduites forcées sur la durée de la concession ; de prévoir la prise en charge par Marama Nui des pertes liées au transport de l'hydroélectricité, lesquelles sont historiquement facturées au concessionnaire de transport; d'introduire, sur la base d'indices spécifiques, rationnels et objectifs, un tarif du kW h et sa formule d'actualisation, visant à assurer dans le temps l'équilibre économique de la concession. Et enfin de prévoir des étapes de rendez-vous réguliers afin de procéder à la révision éventuelle de certains paramètres techniques et financiers de la concession. Pour tenir compte de l'évolution des conditions économiques, climatiques et techniques, pourront être soumis à réexamen tous les cinq ans à la à la demande de l'une ou de l'autre des parties (la première échéance intervenant le 1er mars 2021 au plus tôt), la nouvelle formule de fixation des prix, le montant du Fonds de maintenance des conduites, le montant des provisions pour le renouvellement d'ouvrages.

Tarif maximum et nouvelle formule de calcul

L'article 16 des conventions fixe le tarif maximum. "Le prix auquel le concessionnaire est autorisé à vendre l'énergie aux concessionnaires de distribution d'énergie électrique, est fixé en Conseil des Ministres et publié au Journal Officiel de la Polynésie française". Ce prix "P" est de 13,18 Fcfp hors taxes par kWh.

Cette valeur sera réactualisée tous les ans au 1er mars, et pour la première fois au 1er mars 2016, par application de la formule qui suit : Pn = 0,5218 Pno + 0,2579 Pn0 x (1+(IPC + PSD)/2) + 0,2204 Pnox(I+ ISC)

Où:

Pn : Prix HT du kWh hydroélectrique actualisé au 1er mars de l'année n
Pn0 : Prix HT du kWh hydroélectrique issu de l'avenant au présent cahier des charges, soit 12,66 F
IPC = variation exprimée en pourcentage de l'Indice des Prix à la Consommation publié par l'ISPF, entre le mois de décembre 2014 et le mois de décembre de l'année n-1
PSD = variation exprimée en pourcentage de l'indice des Produits et Services Divers publié par l'ISPF, entre le mois de décembre 2014 et le mois de décembre de l'année n-1
ISC = variation exprimée en pourcentage de l'Indice des Salaires et Charges publié par l'ISPF, entre le mois de décembre 2014 et le mois de décembre de l'année n-1

Coefficients :
0,5218 : part fixe correspondant aux charges calculées sur immobilisations (amortissements, provisions pour renouvellement et provisionnement du Fonds de Maintenance)
0,2579 : correspond aux dépenses de maintenance et de fonctionnement actualisées sur la base de la variation moyenne de l'IPC et du PSD
0,2204 : correspond à la part main d'œuvre refacturée au franc le franc par EDT, actualisée sur la base de la variation de l'ISC.

Les trois coefficients ont été déterminés sur la base de l'année 2016 du Compte d'Exploitation Prévisionnel de la société concessionnaire. Ils seront actualisés chaque année au 1er mars, à partir du 1er mars 2017, sur la base des charges réelles constatées au cours de l'exercice précédent.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Tere fā'ati iā Tahiti-nui : tour de l'île en truck le 30 janvier

$
0
0
Tere fā'ati iā Tahiti-nui : tour de l'île en truck le 30 janvier
Afin de célébrer la Nouvelle année 2016, Tahiti Tourisme organise sa 11è édition du Tere fā'ati iā
Tahiti-nui, le 30 janvier. C'est un tour de l’île de Tahiti-nui en “truck” fleuris dans une ambiance musicale locale. "Une occasion de vivre ou revivre entre amis ou en famille, le tour de l’île mythique de la grande île de Tahiti dans une ambiance festive de “bringue”!", indique Tahiti Tourisme. Six arrêts sont prévus au programme de la journée sur quelques sites incontournables du patrimoine etde la culture du fenua. A 15h30, les “trucks” marqueront le dernier arrêt de la journée à Atimaono pour soutenir les participants au Record du Monde de Ori Tahiti 2016.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Compétition de pêche sous-marine à Mataiea le 9 janvier

$
0
0
Compétition de pêche sous-marine à Mataiea le 9 janvier
Papeete, le 06/01/16- Le club de plongée sous-marine Tehoro iti organise un hommage au pêcheur Reia "Tom" Hopara le 9 janvier sous forme de compétition. Ce sera aussi la dernière manche du championnat de Polynésie.

En hommage à Reia "Tom" Hopara, décédé des suites d’une longue maladie en 2014, il est organisé un mémorial le samedi 9 janvier à la marina de Tehoro iti à Mataiea. Ce mémorial sera comptabilisé aussi comme 8ième et dernière manche du championnat de Polynésie par équipes 2015. Les pêcheurs sont convoqués à 7h30 à la marina et la pesée est prévue à 15 heures. Un jackpot de 2000 francs par équipe pour la plus grosse prise sera mis en place.
Cette dernière manche définira une sélection de pêcheurs qui seront les représentants du tournoi Océania en Nouvelle Zelande les 4 et 5 mars.

Cette compétition a été créée en hommage à Reia "Tom" Hopara qui était spécialiste de la pêche aux ume. Ses talents de pêcheur l'ont poussé vers la compétition de 1983 à 1991 où il pêchera sous les couleurs de l’AS Excelsior, de 1993 à 1995 dans le club Maoti de Arue et finira sa carrière sportive dans le club de Tehoro iti (Mataiea) de 2002 à 2007.

Pour plus de renseignements sur le mémorial, contacter Clément Verghnes au 87 79 52 38 ou clement.vergnhes@plastiserd.pf

Calendrier prévisionnel de la Fédération Tahitienne des Sports Subaquatiques de Compétition (FTSSC)
9 janvier : mémorial tom hopara (tehoro iti)
30-31 janvier : championnat individuel 2015 - sélectives pour les mondiaux
27 février et 4 et le 5 mars : Compétition internationale et tournoi Océania en Nouvelle Zélande
19-20 mars / 23-24 avril / 21-22 mai : championnat individuel 2016 + sélectives pour les mondiaux
Juillet (dates à définir) : Championnat de Polynésie par équipes 2016 à Raiatea
30 juillet 2016 : Championnat de Polynésie de Nage avec palmes
31 juillet 2016 : Championnat de Polynésie d’apnée statique
27 aout : Coupe Marara Flying day + championnat de Tahiti par équipes + sélectives Océania 2017
15 au 19 septembre : Championnat du monde 2016 se déroulera du à Hermoupolis dans l'île de SYROS en GRECE
24 septembre : Coupe Marara Flying day + championnat de Tahiti par équipes + sélectives Océania 2017
1 octobre : Tefana water days
8 octobre : 2ième Tefana blue water
29 octobre : Coupe Tautira + championnat de Tahiti par équipes + sélectives Océania 2017
12 novembre : Coupe Nuuroa + championnat de Tahiti par équipes + sélectives Océania 2017
26 novembre : Coupe Tehoro iti + championnat de Tahiti par équipes + sélectives Océania 2017

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Drame de Taravao : les pièces à conviction retrouvées dans les ruines du fare calciné

$
0
0
Drame de Taravao : les pièces à conviction retrouvées dans les ruines du fare calciné
TARAVAO, le 6 janvier 2016 -Les techniciens de l'identification criminelle ont minutieusement fouillé les décombres de la maison où un jeune couple de la Presqu'île a tragiquement trouvé la mort dimanche. Un couteau de cuisine, un briquet et un bouchon de jerrican ont été retrouvés là où gisaient leurs corps. L'homme s'était immolé par le feu dans la maison après avoir poignardé sa compagne à 11 reprises. Une enquête de personnalité se poursuit le concernant, pour tenter de comprendre son geste fou.


Les gendarmes de l'identification criminelle ont passé au peigne fin les décombres de la maison dans laquelle un homme de 34 ans a selon toute vraisemblance tué sa femme à l'arme blanche, dimanche dernier en début de soirée à la Presqu'île avant de tout faire brûler à l'essence, lui compris. Les enquêteurs ont retrouvé au terme d'une fouille minutieuse, au milieu des ruines, un couteau à steak, un briquet et le bouchon d'un jerrican d'essence à proximité immédiate de l'endroit où avaient été découverts les corps grièvement brûlés du jeune couple, a-t-on appris ce mercredi auprès du parquet de Papeete.

La victime, une jeune femme sans histoire de 26 ans, avait été lardée de onze coups de couteau dont une plaie profonde, avait révélé le rapport d'autopsie. Elle avait eu le temps d'accuser son tane d'avoir voulu la tuer à des voisins venus la secourir, peu de temps avant de rendre son dernier souffle. Son compagnon, qui devait décéder lui aussi, mardi, des suites de ses brûlures, n'avait pas pu être entendu par les enquêteurs en raison de son état désespéré. L'autopsie de sa dépouille n'a révélé aucune trace de coups le concernant, écartant la participation d'une tierce personne.

Vers un classement de l'affaire

Avec la mort du principal suspect, l'action publique est sur le point de s'éteindre dans ce douloureux dossier. Le couple était parent d'un petit garçon de 3 ans, aujourd'hui orphelin. Quelques proches du meurtrier pyromane doivent encore malgré tout faire l'objet d'auditions par les enquêteurs qui souhaitent en savoir plus sa personnalité afin, peut-être, d'expliquer les raisons de son geste fou.

Décrit comme quelqu'un de jaloux et possessif, il aurait reproché de prétendues infidélités à sa compagne "sans que cela ne ressorte pour l'heure des investigations" précise une source judiciaire. C'est la sœur du suspect qui avait alerté la gendarmerie dimanche après avoir reçu un coup de téléphone ambigu de son frère, lui faisant comprendre qu'elle allait devoir à l'avenir prendre soin de l'enfant du couple. L'incendie faisait déjà rage à leur arrivée sur place.


Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Disparition inquiétante d'une adolescente à Mahina, la gendarmerie lance un appel à témoin

$
0
0
Disparition inquiétante d'une adolescente à Mahina, la gendarmerie lance un appel à témoin
PAPEETE, le 6 janvier 2016 - La gendarmerie lance un appel à témoin suite à la disparition jugée inquiétante d'une adolescente.

Il s'agit de la jeune Tuarae Ura Karen, âgée de 15 ans, domiciliée chez ses parents quartier Hitimahana à Mahina. La mineure a quitté son domicile dans l'après-midi du dimanche 3 janvier 2016. Mince, de type polynésien, elle mesure 1 m 70, cheveux longs de couleur noire. Elle présente une petite cicatrice sous l’œil droit. Elle est habituellement vêtue d'un short court et d'un sweatshirt à capuche, elle porte parfois une casquette à l'envers à la façon des garçons.

Toute personne ayant vu dernièrement l'intéressée ou susceptible d'apporter des renseignements relatifs à sa disparition est invitée à contacter le centre opérationnel de la gendarmerie en composant le 17, ou le 40.50.72.09 depuis Papeete ou Pirae.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Mahina : il savate son voisin d'un coup de pied au visage et lui brise la mâchoire

$
0
0
Mahina : il savate son voisin d'un coup de pied au visage et lui brise la mâchoire
PAPEETE, le 6 janvier 2016 - Un homme d'une trentaine d'années a grièvement blessé l'un de ses voisins d'un violent coup de pied à la tête, au cours d'une bagarre pendant le week-end du réveillon à Mahina. Récidiviste, il a été placé en détention provisoire ce mercredi matin.

La victime, sensiblement du même âge, souffre de multiples fractures au visage et en particulier à la mâchoire. Il s'est vu délivrer 21 jours d'incapacité totale de travail (ITT). Placé en garde à vue, son agresseur, déjà condamné pour des faits de violence, a expliqué lui avoir asséné un violent coup de pied au visage alors qu'il intervenait pour défendre son propre frère, pris dans une bagarre.

Présenté au juge des libertés et de la détention ce mercredi matin, il a été conduit à la maison d'arrêt de Nuutania en attendant de s'expliquer devant les juges, demain jeudi en comparution immédiate.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Stationnement : ce qui change au centre-ville de Papeete

$
0
0
Stationnement : ce qui change au centre-ville de Papeete
PAPEETE, 6 janvier 2016 - Le 22 septembre dernier, lors d'un conseil municipal, la municipalité de Papeete adoptait une délibération concernant les tarifs de stationnement réglementé payant au centre ville. Un arrêté d'application vient d'être pris pour en fixer les modalités d'application. De nouvelles rues ou portions de rues, deviennent ainsi payantes.

Des rues ou portions de rues au stationnement libre jusqu'alors qui deviennent payantes avec passage obligé à l'horodateur ; des rues autrefois classées "orange" avec stationnement limité à une heure qui repassent au vert (stationnement payant de deux heures). A la municipalité de Papeete, le stationnement en centre ville change un peu de forme en ce début d'année 2016. On y trouve toujours trois zones payantes : la zone rouge, très limitée, à l'avenue de la Reine Pomare IV (le long de la Poste) par exemple où le stationnement payant n'est autorisé que durant 30 minutes. La zone verte, la plus étendue dans le centre ville, avec stationnement payant autorisé par tranche de deux heures. L'ex zone orange avec stationnement payant limité à une heure (comme précédemment par exemple dans les rues autour de la cathédrale, la rue Lagarde, la rue Jeanne d'Arc ou la rue du docteur Cassiau) n'existe plus. Ces rues passent au vert avec stationnement payant de deux heures autorisé.

Grande nouveauté, prochainement, pour se garer dans la contre-allée devant le palais de Justice ou le centre administratif de l'avenue Pouvana'a a Oopa il faudra régler son stationnement aux horodateurs. Ceux-ci ne sont pas encore installés : panneaux indiquant le stationnement payant et horodateurs devraient, au mieux, être effectifs sur la chaussée à compter de la fin du mois de février prochain. Les tarifs applicables désormais sont de 100 Fcfp les 30 minutes en zone rouge et de 150 Fcfp l'heure en zone verte. Un tarif préférentiel forfaitaire et mensuel est consenti pour les résidents des rues situées en zone verte, il est fixé à 6000 Fcfp. Rappelons que le stationnement automobile n'est autorisé que dans les emplacements délimités au sol. "Les véhicules autres que les véhicules automobiles doivent être stationnés sur les aires spécialement aménagées à cet effet" précise encore l'arrêté municipal : c'est le cas désormais pour les deux-roues qui ne doivent stationner que dans les emplacements prévus pour eux : de 150 cases pour les deux-roues existant au préalable, la municipalité de Papeete prévoit de passer à 380 dans les prochains mois.

La zone bleue…. méconnue mais payante aussi !

Les automobilistes qui se rendent ou travaillent à Papeete n'ignorent rien du stationnement payant : ils savent que le passage à l'horodateur est obligatoire et que le stationnement est limité au maximum à deux heures sur un emplacement. Mais beaucoup ignorent que sur les rues périphériques de l'hyper centre comme la rue Dumont d'Urville, la rue du Frère Allain, la rue des Poilus tahitiens, la route du CESC, la rue de l'Evêché, l'avenue Clémenceau et même la seconde portion de l'avenue du Prince Hinoi (après le croisement avec la rue des Remparts) est une zone bleue… payante ! Pour elle, par de parcmètre mais l'obligation, néanmoins, selon la réglementation de s'acquitter du paiement de 600 Fcfp pour un stationnement d'une journée complète. "Selon le mode de paiement utilisé, le fractionnement du paiement par périodes inférieures est possible" précise l'arrêté municipal. Il faut alors avoir recours au "Parc Chec" tickets numérotés d'une valeur fiduciaire unique de 100 Fcfp vendus sous forme de carnets de 20 tickets à la régie municipale de la mairie de Papeete ou du marché de Papeete, dans les caisses des parkings gérés par la mairie de Papeete ou auprès de certains commerçants.


Rappelons encore que le stationnement réglementé est payant du lundi au vendredi de 8 heures à 17 heures et le samedi de 8 heures à midi. Il est gratuit : le samedi après-midi, le dimanche et les jours fériés.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Un singe n'a pas de droits sur ses selfies, a estimé un tribunal américain

$
0
0
Un singe n'a pas de droits sur ses selfies, a estimé un tribunal américain
San Francisco, Etats-Unis | AFP | jeudi 07/01/2016 - Un juge fédéral américain a estimé qu'un macaque qui avait pris deux selfies ne pouvait pas être propriétaire des droits d'auteur, la loi sur le copyright ne s'étendant pas selon lui aux animaux.

Les photos ont été prises en 2011 sur l'île indonésienne des Célèbes. Le photographe animalier britannique David Slater y effectuait un reportage photo, lorsqu'il s'est absenté quelques minutes après avoir installé son trépied. A son retour, il a trouvé le macaque en train de se photographier avec l'appareil.

M. Slater, qui a par la suite publié un livre avec ses photos et incluant les deux selfies du macaque, arguait être donc propriétaire de ces photos - et s'est plaint que leur large diffusion sur internet l'avait indûment privé de revenus.

Une association de défense des droits des animaux, People for the Ethical Treatment of Animals, avait décidé d'aller en justice pour faire valoir les droits de Naruto, le macaque "auteur et propriétaire de ses photos".

Mais le juge de San Francisco (ouest) a estimé mercredi que "bien que le Congrès et le président puissent étendre la protection des lois aux animaux, il n'y a pas d'indication qu'ils l'aient fait dans la loi sur le copyright".

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Etat d'urgence en Californie à cause de la fuite de méthane massive

$
0
0
Etat d'urgence en Californie à cause de la fuite de méthane massive
Los Angeles, Etats-Unis | AFP | jeudi 07/01/2016 - Le gouverneur de Californie a déclaré l'Etat d'urgence mercredi autour de Los Angeles à cause d'une fuite de méthane massive qui a forcé des milliers de résidents à évacuer et que les experts qualifient de catastrophe écologique majeure.

Cette fuite est "incomparable, catastrophique" car c'est du méthane, un gaz à effet de serre "80 fois plus puissant que le Co2 à l'échelle de 20 ans, et qui agit beaucoup plus rapidement", dénonce Stephanie Pincetl, professeure de sciences environnementales, interrogée par l'AFP.

Cette promulgation permet de mobiliser l'ensemble des agences gouvernementales de l'Etat pour venir en aide à la population des environs de Porter Ranch, une banlieue de Los Angeles où un puits de méthane fuit depuis déjà plusieurs mois.

"Toutes les agences gouvernementales vont utiliser leur personnel, équipement et infrastructures pour assurer une réponse continue et complète face à cet incident", affirme M. Brown dans un communiqué.

M. Brown précise avoir rencontré les habitants de Porter Ranch lundi, dont plusieurs milliers ont été relogés par la compagnie de distribution gazière Socal Gas et plusieurs milliers d'autres ont demandé à l'être.

A cause de la fuite de méthane et notamment d'additifs nauséabonds destinés à signaler les fuites de méthane, gaz inodore, beaucoup d'habitants des environs ont souffert de nausées, saignements de nez et maux de tête.

Kristine Lloyd, porte-parole de Southern California Gas Company (SoCalGas), a déclaré que tout était mis en oeuvre pour réparer la fuite, qui selon les autorités dégage entre 30.000 et 58.000 kilogrammes par heure de méthane dans l'air.

C'est "l'équivalent de 3/4 des émissions de toutes les raffineries de pétrole de la Californie en un an", souligne Mme Pincetl.

Même si les autorités affirment que la fuite depuis le site d'Aliso Canyon de Socal Gas ne pose pas de danger sérieux pour la santé des riverains, l'impact environnemental pourrait être dévastateur.

L'autorité de la qualité de l'air en Californie (California Air Resources Board) estime que la fuite est si massive qu'elle augmente la production de gaz à effet de serre pour toute la Côte est de 25%.

"Nous ne pourrons évaluer son impact que lorsque la fuite sera définitivement arrêtée et que nous bénéficierons de chiffres", a déclaré David Clegern, porte-parole de l'agence gouvernementale.

La fuite, à plus de 2.400 mètres de profondeur dans un puits gazier, a été détectée le 23 octobre par des employés de Socal Gas.

L'incident de Porter Ranch "montre la vulnérabilité" d'infrastructure datées, estime Stephanie Pincetl, professeure de sciences environnementales à l'université UCLA.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

L'Indonésie va participer au développement d'avions de combats avec la Corée du Sud

$
0
0
L'Indonésie va participer au développement d'avions de combats avec la Corée du Sud
Séoul, Corée du Sud | AFP | jeudi 07/01/2016 -L'Indonésie a signé jeudi avec la Corée du Sud un contrat prévoyant un investissement de 1,3 milliard de dollars dans le programme de développement commun d'avions de combat sud-coréens de la prochaine génération, a annoncé le fabricant d'avion de la péninsule coréenne.

Selon les termes de l'accord signé avec Korea Aerospace Industrie (KAI), le ministère indonésien de la Défense va investir environ 1,600 milliards de wons (1,3 milliard de dollars) dans le programme Korean Fighter Experimental (KF-X).

Les nouveaux appareils sont destinés à remplacer à terme les F-4 et F-5 importés des Etats-Unis, qui équipent actuellement l'armée de l'air sud-coréenne.

Un consortium formé par KAI et le groupe de défense américain Lockheed Martin avait remporté en mars dernier un contrat de 8.600 milliards de wons (7,15 milliards d'euros) consistant à concevoir et fabriquer 120 chasseurs de classe F-16.

L'investissement de l'Indonésie va représenter environ un cinquième du coût total du projet, avec jusqu'à 100 employés indonésiens participant au développement et à la production, a précisé KAI dans un communiqué.

L'Indonésie recevra un avion prototype et aura accès à certaines données techniques ainsi qu'à des informations concernant le projet, selon la même source.

L'armée sud-coréenne prévoit la mise en service des nouveaux avions de combat en 2025, afin de faire face à la menace de la Corée du Nord voisine.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Bora Bora : un homme de 30 ans se tue en scooter, deuxième accident mortel depuis le début de l'année

$
0
0
Bora Bora : un homme de 30 ans se tue en scooter, deuxième accident mortel depuis le début de l'année
ANAU, le 7 janvier 2016 - Un accident mortel de la circulation s'est produit ce mercredi en soirée. C'est déjà le deuxième de l'année.

A 21 heures, route de Anau à Bora Bora, un scootériste âgé de 30 ans a perdu le contrôle de son engin. Il est tombé lourdement dans sa chute sur un regard en béton. Grièvement blessé, il a été pris en charge par les pompiers, mais il est mort des suites de ses blessures au dispensaire vers 22 h 40, indique la gendarmerie. La victime ne portait pas de casque.

Cet accident mortel est le deuxième de l'année après le décès d'un homme de 41 ans, le vendredi 1er janvier, au volant de son pick up sur la RDO, avant la sortie de Puurai. Le quadragénaire qui roulait trop vite zigzaguait sur la route quand son véhicule est parti en tonneau. Deux passagers, blessés, se trouvaient à bord.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Le haka des pompiers qui fait le buzz

$
0
0
Le haka des pompiers qui fait le buzz
Papeete, le 07/01/14 - Une vidéo des pompiers de Tahiti et des pompiers marquisiens qui dansent le haka au Festival des Marquises fait le buzz. Elle a déjà été partagée 4 800 fois à partir du mur Facebook de Moehau Elwood Puairau.

http://www.tahiti-infos.com/video/

Quand les pompiers de Tahiti et des marquise se mélangent sa donne çaaa haha 󾌵 à Hiva oa Festival !!!!

Posté par Moehau Elwood Puairau sur samedi 2 janvier 2016

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Port de Papeete : du paka saisi dans un véhicule

$
0
0
Port de Papeete : du paka saisi dans un véhicule
PAPEETE, le 7 janvier 2016. Ce mardi (le 5 janvier 2016), les agents des douanes ont procédé à un contrôle sur le port de Papeete d'un véhicule occupé par deux personnes. La visite a permis de trouver dans un premier temps près de 62 grammes de paka prêts à la revente.

Les agents des douanes se sont rendus aux domiciles des deux personnes, à Faa'a et à Papeete et ont trouvé au total 1,208 kilogramme de paka sous toutes ses formes (en pot, séché et prêt à la revente). 30 000 Fcfp d'argent liquide ont été saisis également. Les auteurs encourent une amende d'1,2 million Fcfp.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti

Cessation des recherches, la jeune Ura a été retrouvée

$
0
0
Cessation des recherches, la jeune Ura a été retrouvée
Le commandement de la gendarmerie informe que la la jeune TUARAE Ura Karen, âgée de 15 ans , domiciliée chez ses parents quartier Hitimahana à Mahina qui faisait l'objet d'un avis de recherche hier a été retrouvée dans la soirée de mercredi

La mineure avait quitté son domicile dans l'après midi du dimanche 3 janvier 2016.
Un forte mobilisation des médias a permis de retrouver le jeune fille.

Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti
Viewing all 46816 articles
Browse latest View live
<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>