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Avis de coupures: EDT prévoit des travaux de rénovation de son réseau à Rangiroa

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EDT, GDF SUEZ remplace 1,7 km de câble souterrain haute tension défectueux et effectue un contrôle sur tout le réseau souterrain haute tension de Rangiroa.

Le réseau électrique haute tension (14 400V) de Rangiroa est constitué principalement de câbles souterrains posés dans les années 1990 : 10,5 km de câbles souterrains, 0,9 km de câbles sous marins sous la passe de Tiputa et 4,4 km de lignes aériennes.
Pendant des années, les clients de Rangiroa ont bénéficié d’une bonne qualité de service grâce à la fiabilité de ces réseaux enterrés. Cependant depuis juillet 2014 des incidents sont recensés sur certains réseaux souterrains.
Devant les incidents survenus ces dernières semaines, EDT, GDF SUEZ a décidé de remplacer le câble en défaut sur une longueur de 1,7 km. Face à ce constat du vieillissement accéléré des câbles souterrains, EDT GDF-SUEZ a décidé d’engager un audit complet de l’état des câbles par Laborelec, un bureau d’études reconnu au niveau international et spécialisé dans le domaine de la recherche de défauts sur les réseaux souterrains.

Cet audit aura lieu à Rangiroa les 5 et 6 octobre 2015 et sera réalisé par 2 techniciens de Laborelec et 3 techniciens EDT des services techniques de Tahiti. Ces contrôles et mesures nécessiteront la mise hors tension par tronçon des câbles à contrôler. C’est pourquoi il est prévu de procéder à la coupure de l’alimentation électrique comme suit :
OHOTU et TIPUTA : Lundi 05 et mardi 06 Octobre 2015 de 7h30 à 12h00,
Entre Les logements ADT et F.E.I de TIPUTA
AVATORU : Lundi 05 et mardi 06 Octobre 2015 de 13h30 à 17h30, depuis le Bar TE MA’O jusqu’au Village de AVATORU.

EDT prie tous ces clients de bien vouloir accepter ses excuses pour ces nouvelles coupures.

Cet audit permettra de définir le programme de remplacement des câbles nécessaire pour assurer de nouveau une bonne qualité de fourniture d’électricité à tous les clients de Rangiroa,.

Rangiroa en Bref en 2014:
 Longueurs réseaux : 15,8 km HTA (dont 10,5 en souterrain) et 26,3 km basse tension
 Nombre de Clients : 985
 Investissements engagés 2013-2014 : 109,7 millions XPF (Rénovation réseau haute
tension souterrain et moyens de production)
 Energie distribuée : 5,5 GWh
 L’équipe de l’Exploitation de Rangiroa est composée de 4 agents.

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Fausse alerte incendie dans un immeuble du front de mer quartier Paofai

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Fausse alerte incendie dans un immeuble du front de mer quartier Paofai
PAPEETE, le 2 octobre 2015 - Les pompiers ont été appelés sur une alerte incendie, ce vendredi matin, dans l'immeuble situé à l'angle de la rue Cook et du boulevard de la reine Pomare IV, à Papeete. Après inspection des lieux, les riverains ont dû confondre de la poussière dégagée par des travaux en cours avec de la fumée.

Un camion des pompiers de la ville de Papeete et un véhicule de la police municipale ont bloqué pendant une dizaine de minutes, ce matin vers 8 h 45, l'une des trois voies du boulevard Pomare IV suite à un appel pour une suspicion de début d'incendie dans l'immeuble faisant l'angle avec la rue Cook.

Après vérification dans les étages, les soldats du feu ont levé le dispositif. Fausse alerte. "Il y a des travaux de polissage dans l'immeuble et cela entraîne parfois de gros dégagements de poussière, des personnes ont pu confondre avec de la fumée" en ont conclu les policiers municipaux.

La circulation a pu reprendre son cours normal peu après 9 h.

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Concours de cuisine de 'Uru pour le festival de la Bounty

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Concours de cuisine de 'Uru pour le festival de la Bounty
PAPEETE, le 2/10/15- Le deuxième festival de la Bounty se tiendra les 9-10-11 octobre place Vaiete. A cette occasion, un concours de cuisine autour du 'Uru est organisé.

Pendant trois jours, les 9-10-11 octobre, la Bounty sera à l'honneur place Vaiate à Papeete. Le samedi matin, un concours de cuisine sur la mise en valeur de l'utilisation du 'uru dans la cuisine polynésienne est organisé de 11h30 à 12h30. Un billet d'avion Air Tahiti Nui est en jeu pour le meilleur plat salé à base de 'uru qui sera cuisiné, le plat lauréat sera ensuite servi à bord d'un avion ATN lors du prochain festival de la Bounty.
Ce concours de cuisine est ouvert à toutes personnes de plus de 14 ans. Il faudra réaliser un plat salé pour deux personnes dont l'ingrédient principal sera le 'uru (fruit de l’arbre à pain). Il pourra être accompagné de poissons, de crustacés ou d'autres légumes ou fruits, mais à condition qu’ils soient tous d'origine locale. Le plat devra être préparé chez le candidat et sera dressé sur le lieu du concours comme s'il était destiné à être servi à bord d'un avion. Le jury sera composé de deux enseignants du lycée hôtelier, d'un membre de la compagnie Air Tahiti Nui, d'un membre du comité organisateur du festival et de Maurice Bligh, le descendant du capitaine Bligh. Ce dernier sera d'ailleurs présent tout au long du festival pour animer des visites de la ville.

Concours de cuisine de 'Uru pour le festival de la Bounty
Inscriptions pour le concours de cuisine

Entre le mercredi 30 septembre 2015 et le jeudi 8 octobre 2015 midi au plus tard.
Bulletin d’inscription et règlement disponibles sur la page FACEBOOK : Bounty Festival Tahiti
Bulletin d’inscription à retourner par mail à : bounty.tahiti@gmail.com

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Légende de Paniolo, le 100 pieds amoureux d’une princesse

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Légende de Paniolo, le 100 pieds amoureux d’une princesse
PAPEETE, le 1er octobre 2015- Tahiti Heritage vous présente cette semaine l’histoire d’un veri, un 100 pieds ou scolopendre, qui se prénommait Paniolo. C’était un veri très intelligent et très gentil, qui rapportait toujours à manger pour son village de Papara. Dans ce village, vivait la princesse Mirivai qui était promise au prince Mégakiro de Pa’ea.

LES PREPARATIFS DU MARIAGE

Un jour, le roi de Papara, décida d’organiser un grand tama’ara’a (festin) pour fêter les fiançailles de sa fille, la princesse Mirivai, avec le prince Mégakiro. Il commença les préparatifs et annonça aux habitants qu’ils étaient tous conviés au tama’ara’a. Mais la princesse n’était pas d’accord avec la décision de son père.

Le soir du tama’ara’a, tout le monde était ébloui par la beauté de la princesse. Elle était vêtue d’un tapa (tissu végétal), d’un diadème en écailles de tortue et de coquillages avec une couronne ornée de perles et de dents de dauphins. Cependant, cela ne lui plaisait pas d’être là et elle cherchait dans la foule quelqu’un qui puisse comprendre ce qu’elle ressentait. C’est à ce moment là qu’elle croisa le regard de Paniolo, un teuteu (domestique) qui servait le repas. Elle fut aussitôt submergée par des sentiments qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant pour personne. Ils étaient là, à se regarder, sans pouvoir se toucher, se parler, ni exprimer les sentiments qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre, du fait de leur situation sociale.

La princesse n’avait pas le droit de parler sans la permission de son père. Leurs sentiments étaient cependant si intenses qu’ils décidèrent de braver les interdits pour échanger quelques mots en toute discrétion. Les gardes, qui les virent ensemble, éloignèrent la princesse du serviteur. Paniolo eut juste le temps de lui glisser un petit mot lui disant qu’il aimerait bien la revoir car il était fou amoureux d’elle dès le premier regard qu’ils échangèrent. Elle lui fit un signe de la tête pour lui dire qu’elle acceptait avec le plus grand plaisir.


Légende de Paniolo, le 100 pieds amoureux d’une princesse
LES AMOUREUX TRAHIS

Le soir d’une rencontre secrète entre la princesse Mirivai et le Paniolo, Hi’opo’a, l’espion du prince Mégakiro, se mit à suivre la princesse. Il découvrit la tromperie des deux amants et la trahison faite à son Prince. Il décida d’avertir immédiatement le prince de la liaison secrète de Mirivai et de Paniolo :
– Iaorana, Arii, puis-je vous parler un moment de choses très importantes.
– Que veux-tu ? Tu as vu l’heure qu’il est ? Ça ne peut pas attendre demain ?
– Excusez-moi de vous déranger à une heure pareille mais j’ai quelque chose qui vous intéressera très certainement, osa insister le fidèle espion.
– J’espère pour toi mon brave. Car me déranger à cette heure pour une bêtise pourrait te coûter la vie. Je t’écoute donc et ha’aviti mai (Dépêche toi !).
– Voilà, vous m’avez demandé de surveiller votre promise et de vous rapporter ses faits et gestes.
– Et alors, viens-en au fait, s’impatienta le Prince !
– Voilà, en suivant la princesse, je me suis aperçu qu’elle rejoignait tous les soirs le veri qui servait le repas lors de la cérémonie de présentation de la princesse. Ils étaient ensemble et s’embrassaient amoureusement. Ils avaient l’air très amoureux, se permit-il de commenter !
– Comment oses-tu me dire que Mirivai me trompe avec un serviteur alors qu’elle m’est promise ? Espèce de traite, je vais te jeter au ma’o (requin) si jamais tu mens !
– Non, maître, je vous jure, je ne vous trahirai jamais. Vous êtes trop bon avec moi, ne me jetez pas aux ma’o. Ils n’apprécieraient pas de manger quelqu’un de laid, de maigre et d’amer. Je vous supplie, épargnez-moi, maître, supplia t-il !!!
– Si ce que tu dis est vrai, Mirivai paiera cher pour cette trahison et l’humiliation qu’elle fait à ma famille et à moi même. Hors de ma vue, je ne veux plus te voir, hurla t-il vexé !
– Comment a-t-elle pu me faire une chose pareille ? En plus avec un serviteur ! Elle va le regretter, pensa t-il. Je vais de ce pas en informer mon père le Arii o Pa’ea (chef de Paea) et lui demander conseil.
– Père, père, réveillez-vous, j’ai quelque chose d’important à vous dire.
– Pourquoi me réveilles-tu ? As-tu vu l’heure qu’il est Mégakiro ! Que se passe-t-il ?
– Ce soir Hi’opo’a a surpris Mirivai et Paniolo le teuteu du tamara’a qui s’embrasaient, alors qu’elle m’est promise!
– E aha, quoi ? Comment Arii o Papara a-t-il pu me mentir ? Il nous a trahis, c’est un déshonneur envers nous qui sommes de sang royal alors que lui n’est qu’un simple teuteu (domestique) de rien du tout !
– Oui, père, je suis d’accord avec toi.
– Je n’accepterai pas cette humiliation. Je me vengerai, même si pour cela je dois lui faire la guerre ou tuer ce teuteu pour regagner mon honneur et lui faire comprendre qu’on ne se moque pas de moi de cette façon.
Quelques jours plus tard, le Arii o Pa’ea vint rendre visite au Arii o Papara qu’il retrouva près de la vallée Raumiri à Papara. Pour laver l’affront fait à son fils, le Arii o Pa’ea posa ses conditions. Si la princesse continuait à fréquenter Paniolo, il dirait à tous les villageois que celle-ci fréquente un veri, ce qui rendra honteux le Roi de Papara qui perdra son honneur en n’ayant pas respecté la loi : une princesse doit se marier avec un prince !

UNE SOLUTION RADICALE

Pour le roi de Papara, son trône représentait toute sa vie, sa famille et ses ancêtres. Il demanda un délai de deux semaines pour trouver une solution. Le arii o Pa’ea lui accorda ce délai et lui demanda de venir le voir dès qu’il aura une solution acceptable à lui proposer.
Une semaine plus tard, le arii o Papara, après avoir demandé conseil au Raatira qui habite non loin du marae Mata’irea, prit une décision qui ne plairait malheureusement pas à sa fille. Il se rendit alors chez le arii o Pa’ea, dans la vallée ‘Orofero, et lui annonce qu’il ordonnerait à ses ‘aito (guerriers) de tuer Paniolo. Le surlendemain à l’aube, les ‘aito du arii o Papara coupèrent la tête de Paniolo. Le reste de son corps s’enfuit, et se tortilla jusqu’à la mer en creusant la rivière et l’embouchure qu’on appelle désormais Taharu’u.

Il se réfugia au fin fond de l’océan et se choisit un autre destin !

Découvrez plus de légendes sur le site www.tahiti-heritage.com

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L'assemblée mécontente du projet de rallonge d'un an de la Lodéom

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L'assemblée mécontente du projet de rallonge d'un an de la Lodéom
PAPEETE, 2 octobre 2015 - L’assemblée s’est prononcée unanimement, jeudi, en défaveur du projet de report d’un an jusqu’en décembre 2018 du dispositif d’aide fiscale Lodéom, tel que prévu au projet de loi de finance 2016. La représentation polynésienne plaide en faveur d’une prolongation jusqu’en 2025 de la défiscalisation métropolitaine.

Cet avis doit dorénavant être défendu à Paris par les parlementaires polynésiens. Ils en auront l’opportunité le 26 octobre prochain en commission élargie du Budget, puis le 3 novembre en séance plénière à l’Assemblée nationale.

L’assemblée de Polynésie a émis, jeudi, un avis défavorable unanime à la prolongation d’une année, jusqu’au 31 décembre 2018 du dispositif de défiscalisation des investissements dit Lodéom. Cet avis propose en revanche aux autorités de l’État de proroger la "défisc métropolitaine" dans sa forme actuelle jusqu'en 2025, "de façon à redonner une dynamique à l'économie locale et assurer ainsi la relance par l'investissement et la création d'emplois".

C’est dans cet esprit que les acteurs économiques des trois collectivités françaises du Pacifique (Wallis-et-Futuna, Nouvelle-Calédonie et Polynésie française) avaient martelé une demande de prorogation de 2017 à 2025 du dispositif de la Lodéom, à l'occasion de deux conférences économiques sur les COM du Pacifique à l'Assemblée nationale le 5 novembre 2014 et au Sénat le 25 juin dernier.

Le Pays a prorogé, le 2 décembre 2014, le dispositif de la défiscalisation locale jusqu'en 2025, afin d’inscrire l’action de relance économique de la Polynésie française dans une perspective de moyen et long terme "notre défiscalisation locale est à 1,5 à 2 milliards Fcfp par an avec la défisc métropolitaine on a un investissement de 7 à 8 milliards Fcfp, là ça a du sens", remarque Antony Géros qui note que "notre seule défisc n'a pas de sens. Et le texte qui nous est soumis montre le peu d’égard que porte l’Etat à notre situation, en écourtant sans appel son régime…".

Telles que sont rédigées les modifications apportées par le projet d’article au Code général des impôts, l’État consent en effet à prolonger d’un an le dispositif de défiscalisation métropolitaine au 31 décembre 2018. "Outre le fait que cette extension est assortie de conditions extrêmement restrictives, elle ne répond pas aux intérêts de la Polynésie française", a critiqué Virginie Bruant. "La prolongation sur 10 ans de la défiscalisation locale constitue un vecteur incontestable de relance économique. La prorogation d’un an proposée par l’État ne suit pas du tout cette logique puisqu’elle ne va rien apporter à la Polynésie en termes d'investissements structurants dans la durée. Cela est d'autant plus vrai que vraisemblablement, aucun dispositif de substitution n'est envisagé après 2018".

Le projet de prolongation de la Lodéom est également vivement critiqué par les patrons polynésiens, qui estiment que cela ne change rien, compte tenu des délais d’instruction des demandes de défiscalisation, puis une fois agréées de réalisation des équipements structurants. Un an de plus n’apporte concrètement rien de plus, selon eux. Mardi dernier, ils en ont appelé à l’Union sacré des collectivités françaises du Pacifique, sur cette question. Ce dossier est dorénavant entre les mains des parlementaires polynésiens qui devront défendre "bec et ongles" les intérêts de la collectivité à l’Assemblée nationale et au Sénat.

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Sauvage agression devant la clinique Paofai : un homme entre la vie et la mort

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Sauvage agression devant la clinique Paofai : un homme entre la vie et la mort
PAPEETE, le 2 octobre 2015. Un homme d'une trentaine d'années a été hospitalisé et placé en coma artificiel après une sauvage agression dont il a été victime mercredi soir vers 21 heures, aux abords de la clinique Paofai à Papeete.

La victime a été découverte par un passant, au sol gisant dans son sang et très grièvement blessée au crâne.

Une enquête de flagrance a été ouverte par le parquet de Papeete.

Le ou les agresseurs de la victime n'ont toujours pas été identifiés. L'enquête, confiée aux policiers du groupe d'appui judiciaire (GAJ) puis à leurs collègues de la Sûreté urbaine (BSU) est compliquée en l'absence, notamment, de caméras de surveillance dans ce secteur de la ville.

L'agression se serait par ailleurs produite sans témoin identifié à cette heure.

Violences gratuites ? Crapuleuses ? En l'absence de suspects le mobile est encore inconnu. "Pour l'instant c'est une page blanche" confie un proche du dossier.

Selon nos informations, la victime était hospitalisée depuis la mi-septembre au service néphrologie de la clinique Paofai et était sortie pour prendre l'air et fumer une cigarette.

La dernière personne à avoir vu la victime l'avait croisée une demi-heure avant son agression, non loin de là où le corps a été découvert, inconscient. La victime lui aurait proposé un deal de pakalolo.

Grièvement blessé à la face et à l'arrière du crâne, le pronostic vital de l'homme blessé dans cette agression est engagé a t-on appris de sources proches du dossier.


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Soutien unanime des élus pour l'inscription de Taputapuatea à l'Unesco

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Soutien unanime des élus pour l'inscription de Taputapuatea à l'Unesco
PAPEETE, 2 octobre 2015 - Les représentants polynésiens ont soutenu de manière unanime jeudi la résolution visant à soutenir la procédure d’inscription du marae Taputapuatea sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

La candidature "Taputapuatea" sera proposée au comité du patrimoine mondial de l’Unesco en janvier prochain pour être instruite en juillet 2017. Les représentants de l'assemblée ont voté unanimement, par 57 voix pour, jeudi, une résolution pour soutenir cette procédure.

Un peu plus tôt, dans la matinée, la représentation polynésienne avait adopté par 57 voix pour la loi du Pays instituant un code du patrimoine de la Polynésie française. Le texte propose, afin de protéger les biens culturels du pays, de fixer la réglementation applicable aux monuments historiques, sites et espaces protégés. Cette évolution législative a été portée par plusieurs gouvernements depuis 2006. Cette loi du Pays vise à mettre la réglementation applicable localement en adéquation avec les recommandations de l’Unesco.

"Le code du patrimoine, accompagné des dispositions pénales suffisamment dissuasives, est le nécessaire outil juridique. Cependant, les moyens humains et budgétaires doivent l’accompagner", a rappelé Nicole Bouteau, rapporteur du projet de loi du Pays après avoir souligné qu’en "2015, l'enveloppe consacrée à l'entretien des sites a été de 18 millions Fcfp, ce qui est une enveloppe dérisoire. Force est de constater que le secteur de la culture reste l’enfant pauvre sur le plan budgétaire…"

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Herbe, plants de paka et perles : deux saisies des douanes cette semaine

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Herbe, plants de paka et perles : deux saisies des douanes cette semaine
PAPEETE, le 2 octobre 2015. La douane a réalisé cette semaine deux saisies significatives de paka aux deux extrémités de l'île de Tahiti. La première a eu lieu dimanche soir à Taravao. Une personne contrôlée par le service est trouvée en possession de 0,5 grammes d'herbe de cannabis. La visite à domicile opérée chez cette personne récidiviste conduira à la découverte d'une "nurserie" de 147 jeunes plants de paka. A terme, ces plants de paka auraient conduit à une revente illégale de 14 700 000 Fcfp. La personne a été remise aux gendarmes.

La seconde saisie a eu lieu jeudi 1er octobre et porte sur 4 kilos d'herbe de cannabis à Mahina. La personne contrôlée à la circulation détenait 6 grammes de paka et n'était pas connue des services. A son domicile les douaniers ont trouvé 4 kilos d'herbe de cannabis ainsi que des perles.

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Hitiaa : Le départ de la 2ème édition des championnats du monde de Kayak a été donné ce matin.

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Hitiaa : Le départ de la 2ème édition des championnats du monde de Kayak a été donné ce matin.
HITIAA, le 02/10/2015 - Plus de 200 compétiteurs s'affrontent pour ces championnats du monde de Kayak qui se tient aujourd'hui et demain, entre Hitiaa et Arue. Le départ pour la course des femmes a été donné, ce matin à 11 heures. Elles devront parcourir 34 km entre Hitiaa et l'hôtel Pear Beach Resort à Arue. Demain, place à la course des hommes. Ce sont en tout 22 Pays qui participent à ces championnats.

Le top départ pour la course des femmes a été donné ce matin à 11 heures, depuis le quai de Vaihe'e à Hitiaa. Les compétitrices devront parcourir 34 km entre Hitiaa et Arue. L'arrivée est prévue dans l'après-midi sur la page de l'hôtel Pearl Beach Resort, à Arue.

Pour cette deuxième édition, 22 Pays s'affronteront pour tenter de décrocher le titre de champion du monde de kayak, ce qui représente une participation de 160 athlètes internationaux. Des champions du monde, olympique ou encore d'Europe. Ils viennent, d'Afrique du Sud, d'Australie, de la Nouvelle-Zélande ou encore du Japon.

Une fierté pour le maire délégué de Hitiaa, Jacqui Drollet, "nous avons fait en sorte que l'accueil soit des meilleurs mais je pense que si, on pouvait recommencer de telles opérations sur Hitiaa o te ra, nous serons toujours partants".

Une belle promotion également pour la Polynésie, "la course sera diffusée sur le site de la Fédération Internationale qui regroupe 187 Pays, ce qui n'est pas négligeable", estime Charles Villierme, président de la fédération tahitienne de kayak.

Pour les compétiteurs polynésiens, le potentiel est présent. "On a notre légende qui est revenu de Hawaii, Lewis Laughlin. Il y a aussi Hiro Mana, Eric Deane, il y a même des anciens qui sont revenus, Moehau Paillet, Teihotu Dubois. Nos champions de Raromatai, Tauirai Teiti, Jonathan. Il y a aussi une fille junior de Huahine, la fille Maono", explique Charles Villierme.

Le président de la fédération tahitienne de kayak qui se dit heureux que les jeunes s'intéressent de plus en plus à cette activité, "c'est quand même une discipline olympique. C'est une activité sûre pour nos jeunes, ils peuvent suivre des formations en France. Ils peuvent même devenir des éducateurs du 1er et 2ème degré".

Aujourd'hui, la fédération tahitienne compte 375 licenciés dont 70 participent à ces championnats du monde.

À partir de 16 heures, aura lieu la remise des prix pour la course des femmes, à l'hôtel Pearl Beach Resort. Demain matin, place à la course des hommes, qui seront convoqués sur le quai de Hitiaa à partir de 8 heures du matin. Le départ sera donné à 11 heures, direction l'hôtel de Arue. La remise des prix se tiendra à partir de 16 heures.

Hitiaa : Le départ de la 2ème édition des championnats du monde de Kayak a été donné ce matin.

Hitiaa : Le départ de la 2ème édition des championnats du monde de Kayak a été donné ce matin.

Hitiaa : Le départ de la 2ème édition des championnats du monde de Kayak a été donné ce matin.

Hitiaa : Le départ de la 2ème édition des championnats du monde de Kayak a été donné ce matin.

Hitiaa : Le départ de la 2ème édition des championnats du monde de Kayak a été donné ce matin.

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Deux projets de loi sur les avantages en nature bloqués par une alliance UPLD/Tahoera'a

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Deux projets de loi sur les avantages en nature bloqués par une alliance UPLD/Tahoera'a
PAPEETE, 2 octobre 2015 - Le gouvernement Fritch dénonce une manœuvre politique du Tahoera’a, jeudi à Tarahoi lors du renvoi en commission de deux projets de loi du Pays relatives aux contributions patronales sur les complémentaires retraite et santé.

Ces deux projets de loi avaient reçu en commission législative, un avis favorable des représentants du Tahoera'a. Pourtant, jeudi lors de leur examen en séance plénière, ils ont été retirés de l’ordre du jour et renvoyés pour un nouvel examen en commission, par un vote conjoint des élus de l’UPLD et du groupe Tahoera’a. La présidence a dénoncé vendredi "un Front uni Tahoeraa/UPLD contre les retraites complémentaires".

Le projet de loi du Pays "portant institution d’un régime d’exonération de cotisations sociales des contributions patronales au financement des régimes de retraite et de prévoyance complémentaires des travailleurs salariés" entend fixer l’assiette des cotisations sociales. Ce texte prévoit notamment de ne pas y inclure les dépenses faites par les employeurs au titre des régimes complémentaires, comme c’est le cas aujourd’hui en vertu d’une ancienne réglementation remontant à 1956.

La seconde loi du Pays a été taillée sur mesure pour permettre l’apurement de près de 1,6 milliard Fcfp d’impayés de cotisations et de majorations constatées par la Caisse de prévoyance sociale depuis 2009, après la mise en place de procédures de contrôle et de redressement systématiques. Tous les établissements scolaires de l'enseignement privé visés par un redressement ont saisi le tribunal administratif. La procédure est suspensive.

Cette loi du Pays dite "instituant le principe de l’apurement des impayés de cotisations sociales dues au titre de la contribution des employeurs au financement des régimes de retraite ou de prévoyance complémentaires obligatoires", prévoit le classement des impayés en deux types : ceux d’entreprises du privé ; et ceux impliquant des établissements scolaires de l’enseignement privé. Pour les unes, il stipule la possibilité d’un étalement de la dette sur dix ans et l’exonération des pénalités de majoration ; pour les autres, il prévoit une annulation de la dette, sur demande.
Soumis à l’avis du CESC, ce deuxième texte avait reçu un avis défavorable, mi septembre. Les conseillers de la quatrième institution du Pays estiment que la distinction n'est pas fondée. Ils ont préconisé un effacement de l’ardoise pour tous.

"Front uni Tahoeraa/UPLD"

Jeudi en séance plénière le président du groupe UPLD, Antony Géros, a soutenu une modification des deux textes afin de circonscrire l’exonération à venir et l’apurement des impayés constatés par la CPS à toutes les entreprises publiques ou privées non impactées par la fiscalité locale. C'est à dire tous les établissements ou collectivités territoriales, organismes privés à but non lucratif et poursuivant une mission de service public ou d’intérêt général. En revanche, les élus souverainistes souhaiteraient que les sociétés commerciales ne soient pas concernées par la loi du Pays sur le régime d’exonération de cotisations sociales pour les complémentaire retraite et santé.

Avec le soutien du groupe Tahoera’a, l’UPLD a obtenu jeudi le retrait ces deux projets de loi de l’ordre du jour de l'assemblée et leur renvoi à une commission de la Santé qui doit normalement avoir lieu mardi 6 octobre.

Dans un communiqué adressé vendredi, la Présidence dénonce un Front uni Tahoeraa/UPLD contre les retraites complémentaires, une nouvelle manœuvre politique dilatoire et risquée à mettre au crédit de l’opposition. Ce communiqué rappelle que "les redressements sont opérés auprès d’une soixantaine d’entreprises socialement en avance. Ils concernent aussi bien des entreprises du secteur privé que les établissements d’enseignement privés, des communes ou encore les services publics et parapublics.
Si la CPS devait, à défaut de texte réglant cette situation, étendre ses contrôles, comme le prescrivent les textes actuellement en vigueur, qu’elle est tenue d’appliquer, et ce sur 15 années en accord avec le délai de prescription, le pays serait confronté à une crise économique et sociale majeure car nombreux sont ceux qui, à l'évidence, seraient dans l’incapacité d’honorer cette créance. D’autres pourraient dénoncer cette couverture sociale complémentaire ce qui, pour les retraites par répartition, entraînera la perte des droits des retraités et des futurs retraités.
En d’autres termes, si les élus du Tahoeraa Huiraatira et de l’UPLD devaient camper sur leur position, ils fragiliseraient encore davantage le tissu économique, dans une conjoncture que nous savons déjà difficile.
Aussi, le gouvernement lance-t-il un appel à la raison à l’adresse des élus Tahoeraa Huiraatira et de l’UPLD, en les exhortant, dans l’intérêt des entreprises mais également des établissements d’enseignement privés, des communes ou encore des services publics et parapublics et des nombreux salariés et retraités concernés, à adopter rapidement ces deux textes
".

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Tahiti organise le concours international de cuisine des lycées

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Tahiti organise le concours international de cuisine des lycées
PAPEETE, le 2 octobre - En septembre 2014, deux élèves du lycée hôtelier et du tourisme de Punaauia remportaient la médaille d'or du concours international de cuisine Asie-Pacifique Lycées. Cette année le concours se tient à Tahiti. Les festivités commencent lundi.

Organisé par l'Australian culinary federation, le concours international de cuisine Asie-Pacifique Lycées (ISSCC) va se dérouler au lycée hôtelier de Punaauia. Au total sept pays sont représentés (le Japon, Taiwan, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, Singapour, les îles Cook et la France avec la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française). Onze équipes de lycées vont s'affronter, soit 22 élèves et 18 enseignants.

C'est Hiona Teraiharoa et Keanu Boosie qui représenteront la Polynésie française pour ce concours. "Pour moi c'est une belle expérience professionnel", explique Keanu Boosie. "Les élèves qui ont gagné l'an dernier m'ont donné envie, j'ai aussi eu les échos de notre professeur et j'ai voulu m'investir."

Au départ, lorsque le proviseur lance un appel à candidature, un certain nombre d'élèves répond présent. "Et puis quand on nous a expliqué le nombre d'heures de travail que cela impliquait, on s'est retrouvé à quatre". Les professeurs ont réduit le nombre de candidats à deux.

Hiona Teraiharoa et Keanu Boosie ont suivi des heures d'entrainement. "Le soir après les cours, pendant nos stages dès qu'on avait un peu de temps, pendant les vacances…On a travaillé sur la préparation de polenta, de chartreuse, de poissons, le paraha peue et enfin de ravioles." L'épreuve consiste à réaliser un plateau de quatre assiettes sur un plateau en une heure maximum. Les candidats seront jugés sur la qualité gustatives des plats bien sûr, mais aussi, sur le temps de réalisation, l'hygiène, la présentation. "Nous sommes prêts", assure le duo. Nous avons réussi notre plateau en cinquante minutes aux derniers entrainements.

Programme

Du premier au 4 octobre : arrivée échelonnée des délégations.
5 octobre : visite de la ferme Tahiti fish aquaculture à Vairao, puis visite de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) en matinée. Dans l'après-midi, initiation à la danse tahitienne et nouarge de pareo chez Tumata Robinson à Paea.
6 octobre : visite d'une plantation d'ananas, de l'usine de jus de fruits Rotui et du dolphinarium le matin. L'après-midi Temae, plage et lagon.
7 octobre : accueil spécial fait par l'ensemble des élèves et étudiants du lycée hôtelier et du tourisme aux délégations puis initiation à la pirogue et visite du musée de Tahiti et ses îles. L'après-midi, master classes boulangerie/pâtisserie.
8 octobre : visite du marché, des cuisines du lycée hôtelier et contrôle des ingrédients le matin. L'après-midi, entraînement pour deux assiettes.
9 octobre : dernières instructions des juges, derniers contrôles des denrées et concours pour quatre assiettes le matin. Débriefing avec les membres du jury et cérémonie officielle de remise des prix et clôture du concours ISSCC 2015 l'après-midi.


Tahiti organise le concours international de cuisine des lycées

Tahiti organise le concours international de cuisine des lycées

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Programme Best, la Polynésie va définir ses priorités

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Programme Best, la Polynésie va définir ses priorités
PAPEETE, le 2 octobre 2015 - La première phase du programme Best en Polynésie française est terminée. Les acteurs de ce programme ont assisté jeudi à la restitution des premiers résultats. L'appel à projets est en cours. Ceux qui seront sélectionnés pourront recevoir jusqu'à 400 000 euros (47 millions de Fcfp).

L'état des lieux partagés du profil de l'écosystème polynésien est en cours de finalisation. Les premiers éléments ont été restitués jeudi matin en présence des acteurs du programme Best. "Il ressort qu'en Polynésie française, les enjeux sont grands", rapporte Carole Martinez, coordinatrice du programme Best pour les sept régions. "Il y a notamment des problèmes d'espèces envahissantes, de destruction et dégradation des habitats naturels maritimes et terrestres, de réchauffement climatique. Entre autre exemple palpable de ce réchauffement, il y a le blanchiment du corail. Les acteurs polynésiens craignent pour leur patrimoine. Ils s'engagent pour le protéger car cela a un intérêt pour le développement, pour le développement durable mais aussi pour la survie des populations. Il y a d'étroites relations entre la nature et le devenir des habitants. Plus la science avance et plus l'on s'aperçoit que tous les écosystèmes sont liés. Nous faisons partis des rouages."

Le programme Best est un programme européen né en 2011. Il concerne spécifiquement les régions ultrapériphériques et les pays et territoires d’outre-mer de l'Union européenne. Les 34 entités politiques incluent plus de 150 îles et une région ultrapériphérique en Amérique de Sud : la Guyane française. Ces territoires couvrent une surface terrestre équivalente à la superficie de l’Europe continentale et une surface maritime la plus vaste au monde.

Pour répondre à la vulnérabilité, de ces territoires, le programme Best propose en tout premier lieu d'établir des états des lieux. Des versions Best I et II ont déjà vu le jour. Ils ont permis d'affiner le contour du programme Best III. En Polynésie, Best III a commencé officiellement en janvier 2015. Près de neuf mois ont été nécessaires à établir cet état des lieux partagé par tous les acteurs "publics, privés, associatifs, scientifiques", précise Carole Martinez.

Un nouveau travail attend maintenant les acteurs, il consiste à établir les zones à enjeux et priorités. Celui-ci démarre. En parallèle un appel à projet a été le 14 septembre dernier. Il court jusqu'au 4 décembre. Les projets qui seront sélectionnés par un jury d'experts indépendants connaissant bien la zone, pourront être supportés financièrement à hauteur de 400 000 euros (plus de 47 millions de Fcfp). Un autre appel à projet est prévu au printemps prochain, toujours dans le cadre du programme Best.

Pour en savoir plus

http://ec.europa.eu/environment/nature/biodiversity/best/
https://portals.iucn.org/best/
Pour tout renseignements : kape@mail.pf


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Pharmacies, médecins et vétérinaires de garde du samedi 03 au dimanche 04 octobre 2015

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Pharmacies de garde : Consultable sur le site www.ordre-pharmaciens-polynesie.com/index.php/pharmacies-de-garde

Pharmacies de garde : Du Samedi 03 au dimanche 04 octobre 2015

- Papeete : Pharmacie du PORT. Tél : 40 42 00 69
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 47 01 47

-Faa’a : Pharmacie TIARE TAHITI. Tél. 40 83 29 44
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 46 72 00

-Punaauia : Pharmacie OTEANIA. Tél. 40 85 59 00
En cas de réelle urgence établie par une ordonnance du jour sur laquelle le médecin aura inscrit l'heure de la prescription, veuillez appeler la DSP au 40 54 38 60

CLINIQUES DE PAPEETE :

Cardella : Tél. 40,46,01,25 ou 40,46,04,00 (à partir de 07h00 et de 12h00)
Paofai : Tél. 40,46,18,18 poste 4114 (à partir de 08h00 et de 13h00)

SAMU - Tel. 15 ou 40 42 01 01

Vétérinaire de garde : Du Dimanche 04 Octobre 2015
Clinique vétérinaire Faaa . Tél : 40 82 91 63

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Rugby : Faa’a confirme sa place de leader

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Rugby : Faa’a confirme sa place de leader
PIRAE, le 2 octobre 2015- Ce jeudi 1er octobre au stade Fataua se sont jouées deux rencontres comptant pour la 3ème journée du Championnat de Tahiti de Rugby à XV.

Le premier match a opposé le RC Pirae face à l’ AS ARUE. Les joueurs de Teiki Dubois ont su prendre le meilleur sur Arue, Pirae s’est imposé 19 à 12.

Le match qui suivait mettait en jeu les deux équipes en tête de ce championnat et qui restaient encore invaincu. Malgré un beau jeu défensif de la part de Manu Ura, les guerriers de Puurai ont su maintenir les rennes du match tout le long du temps règlementaire. C’est Heiau Orbeck qui marque le premier essai pour les vert et jaune de Faa’a. A la mi-temps Manu Ura est mené sur le score de 11 à 0. La deuxième période n’aura pas été plus favorable pour Manu Ura. Les joueurs de Faa’a ont maintenu la pression et aggravé le score jusqu’à la fin du temps règlementaire 23 à 3.

Résultats du 1/10/2015

RC Pirae 19 – 12 Arue

Faa’a 23 – 03 Manu Ura

Le samedi 3 octobre à 15h30 c’est au Lycée de Taiarapu Est à Taravao que le RC Taravao et Punaauia s’affronteront.

Rugby : Faa’a confirme sa place de leader
Heiau Orbeck, joueur de Faa’a :

Faa’a a donné du beau jeu ce soir ?
« Malgré le score ça a été très difficile face à Manu Ura. On a choisi de jouer du côté du paquet pour s’ aider de nos gros gabarit pour jouer en puissance. Et après on a alterné notre jeu en optant pour une configuration plus tactique en deuxième période. «

Suivez toute l’actualité sportive du fenua sur www.sportstahiti.com

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En 2014 la construction est repartie… sans ses salariés

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En 2014 la construction est repartie… sans ses salariés
PAPEETE, le 2 octobre 2015 - Le bilan du secteur de la construction en 2014 montre un étrange paradoxe : alors que le chiffre d'affaires des entreprises a explosé de 13% grâce aux commandes du Pays, le nombre de salariés a continué à chuter, détruisant 240 emplois.

L'ISPF a publié son bilan du secteur du BTP pour 2014. Les chiffres sont contrastés, pour dire le moins. Du côté positif, l'Institut de la statistique a mesuré une forte hausse du chiffre d'affaires des entreprises du secteur. 4 milliards supplémentaires (soit +40%) ont été injectés par la commande publique, en particulier pour des travaux d'infrastructure. 1,5 milliard de plus ont été investis par le secteur privé, en particulier les ménages qui profitent de la forte baisse des taux d'intérêt pour investir dans l'immobilier. Au final, la hausse du chiffre du secteur a été de 12,6%, après cinq années de baisse et une année presque stable en 2013.

L'importance de la demande publique pour la construction de routes dans la reprise du secteur a été tellement forte qu'elle a changé la structure même des corps de métier employés : "Représentant désormais 31,6 % du secteur en 2014, le Génie Civil pèse davantage que le Second Œuvre pour la première fois dans l’histoire du secteur" souligne l'ISPF. Malgré tout, le principal corps de métier reste le gros œuvre, qui a également été en progression (+2,2 milliards de francs) grâce à la reprise du bâtiment causée par l'augmentation des prêts immobiliers.

UNE CROISSANCE SANS SALARIÉS

Mais cette très forte reprise n'aura pas permis de relancer l'emploi salarié dans le secteur. 239 emplois auront été supprimés l'année dernière, soit la septième année de baisse consécutive. Il y a désormais autant de salariés dans le secteur qu'en 1998. Ce sont principalement des temps partiels qui ont été supprimés, dans la construction immobilière. Les travaux publics, eux, ont généré un volume de travail équivalent à 106 000 heures de plus. Mais les travaux publics ne représentent qu'une fraction des salariés du secteur. Quand le bâtiment va mal, les travaux publics ne suffisent pas à compenser…

Cette déconnexion entre chiffre d'affaires des entreprises et emplois est spécifique au secteur de la construction. L'ISPF avance plusieurs explications : "Cette évolution contrastée entre chiffre d’affaires et emploi salarié peut s’expliquer par des gains de productivité, par une externalisation de la force de travail (recours à l’intérim, aux prestataires indépendants et à la sous-traitance), par le développement d’un travail non déclaré, par l’encaissement en 2014 de chantiers réalisés les années antérieures, ces explications ne s’excluant pas l’une l’autre. Cette situation est concomitante avec l’accélération de la concentration des entreprises observée dans le secteur de la Construction." En clair, les grosses entreprises ont profité de ces grands chantiers sans embaucher. A la place, elles semblent avoir eu recours au travail précaire, aux sous-traitants, ou au travail au noir…

Une autre étrangeté du secteur l'année dernière : si l'effectif a baissé de 5,5%, le salaire moyen par employé a augmenté de 5,5% (bien plus vite que le reste de l'économie). La masse salariale est donc restée parfaitement stable. Seul élément d'explication de l'ISPF : l'augmentation du SMIG en octobre dernier. Un peu léger.

Enfin, dernier élément bizarre : alors que le chiffre d'affaires a augmenté, les importations de matériaux (à part le bitume) ont baissé. C'est encore une fois dans la construction, et pas dans les travaux publics, que l'anomalie émerge. Les importations étaient pourtant stables en 2012 et 2013. Peut-être que les stocks ont suffi pour l'activité de l'année dernière, ce qui expliquerait aussi la forte hausse des importations de ciments et autres matériaux en 2015.


3 entreprises s'accaparent 5 milliards de plus

L'ISPF livre aussi une analyse très intéressante sur la concentration dans le secteur. S'il n'y a pas de problème de concurrence, avec 4200 entreprises actives, les chiffres montrent bien que tout le monde n'est pas logé à la même enseigne. En fait, un tiers des entreprises a vu son activité augmenter. Elle a baissé pour tous les autres.

Ainsi, 80 entreprises (2% du total) s'accaparent 80% du chiffre d'affaires du secteur. En 2013, elles étaient 100 à se partager le gâteau. Autre indicateur : sur la hausse de 5,5 milliards Fcfp du chiffre d'affaires du secteur, 5 milliards sont réalisées par seulement… 3 entreprises. Elles ne sont pas citées, seul indice : "deux dans le Génie Civil et une seule dans le Gros Œuvre"

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Un TGV évacué à cause d'une odeur suspecte... de viande fermentée

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Un TGV évacué à cause d'une odeur suspecte... de viande fermentée
Dijon, France | AFP | vendredi 02/10/2015 - Un TGV reliant Bruxelles à Marseille a été stoppé dans l'Yonne et évacué vendredi après-midi en raison d'une odeur suspecte, qui s'est avérée provenir d'aliments fermentés, a-t-on appris auprès de la SNCF et de la préfecture.

Vers 13H, des passagers d'un TGV Bruxelles-Marseille ont été incommodés par une "odeur de gaz suspecte", entraînant l'arrêt du train à Vaumort (Yonne), selon la préfecture.

Le train ayant été arrêté à quai, la première rame a pu être détachée pour continuer son trajet vers Marseille, tandis que les 250 passagers de la seconde rame ont été évacués, a précisé un porte-parole de la SNCF.

Les pompiers de la cellule Nucléaire, risque biologique et chimique (NRBC) sont intervenus pour procéder à une "fouille complète" du TGV.

L'origine de l'odeur suspecte a finalement été débusquée: dans les bagages d'un passager qui transportait des aliments fermentés, notamment un "colis de viande très odorante", a-t-on ajouté.

Après environ deux heures et demie d'attente, les 250 passagers du TGV ont pu remonter dans la rame.

Le reste du trafic ferroviaire n'a pas été perturbé par cet incident, selon la SNCF.

mb/phi/nm

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Projet Ecoparc : les avis sont partagés au sein du conseil municipal de Hitiaa o te ra

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Projet Ecoparc : les avis sont partagés au sein du conseil municipal de Hitiaa o te ra
HITIAA O TE RA, le 02/10/2015 - Les administrateurs du projet touristique "Ecoparc" dans la vallée de la Maroto, attendent que la commune nomme ses représentants au sein du comité de pilotage. Ce vendredi matin, les élus du conseil municipal ont préféré retarder cette nomination. Les voix sont encore partagées sur la réalisation de ce projet.

Verra-t-il vraiment le jour ? Le projet ecoparc créé la polémique, depuis son annonce. Après le refus de l'association Haururu à ce sujet, un collectif de citoyens de Papenoo a vu le jour, il y a quelques semaines. Mais les administrateurs ne baissent pas pour autant les bras, ils veulent créer un comité de pilotage qui réunira les différents acteurs de la commune et du Pays. Ils attendent encore la nomination des membres de la commune au sein du comité de pilotage.

Et justement, ce vendredi matin, les membres du conseil municipal se sont retrouvés pour voter plusieurs délibérations, et le projet touristique de la vallée de la Maroto n'était même pas à l'ordre du jour. Il a, cependant, été abordé dans les questions diverses.

Toutefois, aucune nomination n'a été effectuée. Les élus préfèrent prendre leur temps afin de bien analyser la situation. Les avis sont néanmoins partagés, "je ne suis ni pour, ni contre. C'est ce comité de pilotage qui va devoir travailler sur cela", estime Henri Florh, conseiller municipal. Le maire, lui, prône la création d'emplois que procurera ce projet, "je suis pour l'écoparc. On parle de 400 à 800 postes qui devraient voir le jour, à travers ce projet. Pour ma part, je pense que c'est au Pays à prendre les décisions, vu qu'il est propriétaire du terrain". Le maire délégué de Papenoo, Vetea Avaemai, campe sur sa position et refuse catégoriquement que ce projet voit le jour dans cette vallée.
Même son de cloche pour le maire délégué de Hitiaa, Jacqui Drollet, qui estime que ce projet n'est pas encore mûr. "J'ai interrogé les promoteurs pour savoir quelles étaient les positions des différents représentants. Apparemment, selon eux, tout le monde est d'accord. Mais lorsque je me suis rapproché des représentants du gouvernement, il n'y a aucune décision concrète de participer à ce comité de pilotage, à l'heure où je parle, il n'y a personne. Le haut-commissaire est venu nous rendre visite, mercredi, apparemment, il n'était pas tout à fait, au courant, ni favorable sur le projet". Et de poursuivre, "nous avons suggéré au maire de la commune, qui a accepté, de ne pas nommer nos représentants à l'heure actuelle et d'attendre que les autres se situent par rapport à ce projet".

UNE PETITION CIRCULE POUR CONTRER CE PROJET
Projet Ecoparc : les avis sont partagés au sein du conseil municipal de Hitiaa o te ra
Le 19 septembre dernier, un collectif citoyen de Papenoo "Te Aru o Teura Vahine" a vu le jour. Ils ont mis en place une pétition pour contrer le projet, et qui compte déjà 1 200 signatures d'électeurs de Papenoo, "on a étendu notre action et on se rapproche aujourd'hui à 1 500 signatures", explique Adèle Domingo, membre du collectif.

Ce collectif défend les causes de cette vallée et s'oppose fermement à ce projet, "c'est une zone qui est dans le Plan d'aménagement détaillé (PAD), un rapport qui a été défini en 2006 par toutes les associations, la commune et les propriétaires fonciers", rappelle Adèle. En clair, une zone "réservée et qui interdit l'exploitation touristique", défend Jacqui Drollet.

Autre question en suspend : l'utilité du comité de suivi. "Il y a déjà un comité de suivi, maintenant, ils veulent monter un comité de pilotage, c'est à ne rien comprendre. Le comité de suivi a été mis en place justement pour cette vallée et on ne le respecte pas", martèle Adèle Domingo.

Le comité de suivi se réunira d'ailleurs, lundi matin, au complexe sportif de Papenoo. Si les administrateurs s'entêtent dans leur projet, des blocages pourraient être envisagés, prévient les membres du collectif.

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Olivier de Benoist : "Pour moi, la femme est une extraterrestre"

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Olivier de Benoist :
PAPEETE, le 2 octobre 2015 - Alors qu'il arrive dimanche au fenua, l'humoriste dévoilera son nouveau spectacle, "Fournisseur d'excès", les 8, 9 et 10 octobre au Grand Théâtre de la Maison de la Culture. La veille de son décollage, il a accepté de répondre à nos questions par téléphone. Interview exclusive !


Vous déterrez la hache de guerre des sexes… Votre nouveau spectacle "Fournisseur d'excès", la suite de "Très très haut débit", annonce donc la victoire des femmes sur les hommes ?
Oui… Après avoir défendu les hommes dans mon précédent spectacle, je collabore désormais avec la gent féminine. Sous la pression de ma femme, je suis devenu en quelque sorte leur avocat.

Vous êtes issus d'une fratrie de sept frangins. Qu'est-ce qui vous a inspiré ce thème de prédilection ?
En effet, j'ai grandi dans un univers d'hommes, puisque j'ai six frères mais pas de sœur. En plus, durant mon enfance, j'étais dans une école non mixte, alors, pour moi, la femme est une extraterrestre, une espèce, comment dire, un peu particulière…

Dans votre nouveau one man show, les femmes du premier rang pourront vous arroser avec des pistolets à eau au moindre faux pas de votre part, c'est bien ça ?
Tout à fait, avec ces armes, elles possèderont ainsi un contre-pouvoir !

Êtes-vous profondément misogyne ou un attrape-cœurs redoutable ?
Non pas du tout, et je crois que tout le monde l'a bien compris. Je suis un con, mais pas un misogyne ou un macho. Je trouve d'ailleurs leurs rituels effrayants, ce sont des dinosaures, et mes spectacles les décrédibilisent finalement.


"Ma femme m'a lancé un ultimatum…"


Est-ce votre femme qui vous a mis la pression en réalité ?
Clairement. Vous savez, c'est elle qui porte la culotte, et elle m'a lancé un ultimatum… C'était la défense des femmes, ou la mort !

Vous êtes-vous déjà pris une paire de claques par une femme ou avez-vous été victime d'insultes ?
Heureusement, les femmes comprennent ce que signifie l'humour au second degré, et elles aiment rire de mes bêtises. Je me souviens qu'un jour, Isabelle Alonso (qui a créé en 1999 l'association Les Chiennes de garde pour lutter contre le sexisme, ndlr) m'a dit : "Je vous déteste car je me marre dans vos spectacles !"

Pourquoi avoir arrêté la magie, votre première passion ?
Je faisais de la petite magie, pas de la grande illusion. Ce que j'aimais, c'était surtout la manière de présenter les tours. J'aimais avant tout rire, c'est pour cela que je me suis lancé plutôt dans une carrière humoristique.

Beaucoup se rappellent de vos nombreuses prestations dans "On ne demande qu'à en rire". Puis, en quelques années, on parle de vous comme "la nouvelle star de l'humour français". Quel est le secret de votre succès selon vous ?
Je pense que pas mal de gens se retrouvent dans cet humour assez populaire qui caractérise mes spectacles et dans lesquels j'ai ressorti le personnage de la belle-mère par exemple et de la complexité de la femme. Pour ma part, j'aime jouer le con et user de décalages pour faire réagir le public. Il y a aussi beaucoup de travail en amont, et j'ai un réel plaisir dans l'écriture des textes.

C'est la première fois que vous venez à Tahiti. Avez-vous hâte de rencontrer vos fans polynésiens ?
Oh, je suis ravi, vraiment, c'est une belle étape ! Quand on évoque Tahiti en métropole, l'effet est assuré, c'est une légende. Les gens ont d'un coup des étoiles dans les yeux et pensent au paradis que cette île représente.


"J'ai été longtemps seul dans une salle vide"


Quelles sont les surprises que vous allez leur réserver ? Vous avez commencé à apprendre le tahitien ?
Je me suis un peu renseigné sur la douceur de vivre, mais j'attends de découvrir les Tahitiens, de les rencontrer, sans me faire de préjugés auparavant. Ensuite, j'ajouterais probablement des éléments à mon one man show.

Vous êtes-vous déjà produits en Outre-mer ou dans des îles ?
Non, hormis l'île Maurice, et bien sûr des émissions sur France Ô. (Rires) Par contre, j'ai eu la chance de visiter le Québec, l'Algérie, la Belgique, la Suisse, etc. Un tour du monde, et j'ai très hâte de venir en Polynésie !

Comptez-vous prendre quelques jours de vacances dans nos îles avant de repartir ?
Je me produis les 8, 9 et 10 octobre et je devrai repartir le 12 octobre, donc c'est un peu court, mais je compte bien en profiter au maximum. Et puis, je crois savoir déjà qu'un retour s'imposera !

Quels sont vos prochains projets ?
Je suis en cours d'écriture de mon prochain spectacle qui devrait être finalisé en février 2016. Par ailleurs, j'ai également plusieurs projets à la télévision, mais aussi au cinéma aux côtés de Manu Payet. Tout baigne. Je suis un enfant gâté, et c'est une belle récompense après des années de galère. J'ai été longtemps seul dans une salle vide...

Un message pour les vahine ?
J'invite ardemment les femmes à venir me voir et passer un bon moment à mes côtés. Je fais 24 heures d'avion pour venir les défendre !

Olivier de Benoist :
Infos pratiques

Jeudi 8, vendredi 9 et samedi 10 octobre, à 20 heures
Grand Théâtre
Billets en vente à partir de 4 000 Fcfp
- Parfumerie galerie Carrefour Punaauia
- Parfumerie galerie Carrefour Faa'a
- Parfumerie Hyper U Arue

Site : www.synergence.pf://

Renseignements au 40 53 47 47

Olivier de Benoist :
De la magie au rire

Olivier Marie-Emmanuel, baron de Benoist de Gentissart, dit Olivier de Benoist, est un comédien et humoriste français, né le 14 juin 1974 à Reims. Issu d’une famille nombreuse, il a grandi entouré de six frères. Ce garçon de bonne famille a reçu une éducation stricte et religieuse, ce qui déteint certainement sur son côté "gendre impeccable". Après avoir suivi de brillantes études de droit, et malgré sa passion pour la magie, Olivier de Benoist choisit sa voie et se tourne vers le one man show. On ne lui en voudra pas !

De 2002 à 2007 :

- “Modèle déposé“, de Benoît Poelvoorde

- “Né sous X“

- “Loft Sorry“


2008 et 2009 :

- "Haut débit" a été créé au Petit Palais des Glaces, puis prolongé aux Blancs Manteaux, pour s’installer en fin d’année 2008 au Point Virgule et devenir "Très Très Haut Débit" (où ODB le jouera jusqu’au 9 avril 2010).


2010 :

- “Très Très Haut Débit“ : continue du mercredi au samedi avec un succès grandissant.

- “On n’demande qu’à en rire“ : première apparition le 6 septembre dans l’émission animée par Laurent Ruquier sur France 2.


2011 :

- 55 passages déjà dans l’émission “On n’demande qu’à en rire".

- Triomphe absolu du spectacle “Très Très Haut Débit“ au Point Virgule avec plus de 300 représentations et reprise à L’Européen à Paris à partir du 13 avril pour 112 représentations,

- Apparitions multiples en télévision : "Les Stars du Rire" (France 2) en avril et septembre, "Les Années Bonheur" (France 2) en mai, "Rire contre le racisme" et "Vivement Dimanche" (France 2)…

- Présente un billet d’humeur pendant l’été sur Europe 1, tous les mardis et jeudis de juillet et août, dans l’émission de Laurent Cabrol "Dans l’air du temps"

- Incarne le rôle d’un commandant de gendarmerie dans le téléfilm "Carmen" de Jacques Malaterre diffusé sur France 3 le 24 septembre

- Participe au clip "Des Ricochets" pour l’Unicef avec 60 autres chanteurs, en soutien à la Corne de l’Afrique (diffusion novembre 2011).

- A partir de septembre, Olivier part en tournée à travers la France, la Belgique et la Suisse.


2012 :

- Présente "Très Très Haut Débit" à la Cigale à Paris en janvier pour 8 représentations à guichet fermé. Devant une telle demande du public, ODB reviendra pour 15 représentations supplémentaires en juillet prochain.

- Olivier de Benoist a déjà joué "Très Très Haut Débit" plus de 450 fois. Le phénomène va continuer jusqu’en avril 2013 avec plus de 150 dates de tournée. Soit un total de 600 représentations minimum et plus de 200 000 spectateurs.


2013 :

Après deux Olympia complets et une tournée qui s’est terminée le 30 avril, Olivier de Benoist est impatient de présenter son nouveau spectacle "Fournisseur d'excès" à partir du 15 novembre à la Cigale à son fidèle public.


2014 :

Il reprend les routes de France à la rencontre de son public et fait une escale sur les planches des Bouffes Parisiens pour 32 représentations pendant l’été !


2015 :

En plus de ses interventions dans "Vivement Dimanche Prochain" sur France 2, de sa tournée en province, en Suisse et en Belgique, ODB offrira un spectacle inédit et exceptionnel le 8 mars prochain au Cirque d’Hiver pour la Journée de la Femme, qu’il définit comme "Le Jour le plus long" !

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Dormir dans un château de sable, un rêve d'enfant devenu réalité aux Pays-Bas

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Dormir dans un château de sable, un rêve d'enfant devenu réalité aux Pays-Bas
Oss, Pays-Bas | AFP | vendredi 02/10/2015 - Au milieu des dinosaures et des robots se dresse un immense château de sable médiéval, aux tourelles et pont-levis travaillés dans les moindres détails. A l'intérieur, une chambre d'hôtel de luxe : un hôtel de sable, présenté comme le premier au monde, a ouvert ses portes cet été aux Pays-Bas.

Abritant une seule une seule et unique chambre, ce château a été bâti à l'aide de milliers de kilos de sable : les murs, le plafond et les statues qui décorent la chambre ont tous été sculptés dans ce matériau pour le moins inhabituel.

"L'idée est venue des hôtels de glace, comme en Finlande ou en Suède", assure à l'AFP Maud van Leeuwen, directrice de l'hôtel situé à Oss, dans le sud des Pays-Bas.

Dans ces hôtels de glace, les touristes viennent de très loin pour dormir, bien emmitouflés, sur un lit de glace sculptée, dans des chambres où la température ne descend pas sous les -8 degrés.

Point de conditions aussi rudes à Oss, où la chambre, tout comme en Suède ou en Finlande, est pensée comme une œuvre d'art éphémère.

"Il y a beaucoup d'artistes qui travaillent aussi bien avec la glace qu'avec le sable et du coup, on s'est dit : pourquoi pas un hôtel de sable ?", explique Mme Van Leeuwen.

Deux hôtels ont été construits aux Pays-Bas, un au nord et un au sud, dans le cadre de festivals annuels de sculptures de sable. A Oss, le festival regroupe une trentaine de statues de dinosaures, d'explorateurs ou de robots sur le thème "Un voyage à travers le temps" tandis qu'à Sneek, au nord du pays, les visiteurs ont pu voyager "à travers l'Asie".

Rêve d'enfant ou occasion spéciale

Les deux chambres, qui seront détruites pour l'hiver, ont connu un réel succès, tant auprès des Néerlandais qu'auprès des touristes.

"Je pense que pour certains, c'est un peu un rêve d'enfant de dormir dans un château de sable, tandis que pour d'autres, c'est un peu comme partir à l'aventure", assure Mme Van Leeuwen.

Pour beaucoup, c'est aussi une manière un peu différente de fêter une "occasion spéciale", ajoute-t-elle.

Erwin, un mécanicien venu d'un petit village au centre du pays, a lui choisi de fêter ses "douze ans et demi" de relation avec sa compagne dans cet "endroit unique". "Je voulais quelque chose de spécial et aussi réaliser un peu un rêve d'enfant : dormir dans un château de sable, c'est quand même fou !", explique-t-il à l'AFP.

Pas d'inquiétude à avoir pour ceux qui pensaient passer une nuit plutôt inconfortable : les meubles ne sont pas en sable et le sol de la chambre est recouvert d'une moquette grise."Les gens se disent : +un hôtel de sable, ça va être comme un étang de boue+ mais en fait, c'est très luxueux", assure Maud van Leeuwen.

Les chambres ont été décorées avec des statues de sable, représentant notamment la reine égyptienne Cléopâtre ou le blason de la ville de Oss.

"La chambre a d'abord été construite grâce à de fins panneaux de bois, qui ont ensuite été recouverts de sable", explique Mme Van Leeuwen. Et "si on touche le mur, le sable est vraiment très dur : c'est parce qu'on a rajouté de la colle dans le mélange pour être sûrs que les murs ne s'effondrent pas".

Impossible donc de retrouver quelques grains de sable dans sa valise après avoir séjourné à Oss, pour un prix de 150 euros par nuit.

Les deux hôtels devraient revoir le jour l'année prochaine, à l'occasion des prochains festivals de sculptures à Sneek et à Oss. L'idée pourrait aussi s'exporter, peut-être, en Grande-Bretagne et en Allemagne.

mbr/ndy/ak

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Arts de Papouasie-Nouvelle-Guinée au musée du Quai Branly à Paris

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Arts de Papouasie-Nouvelle-Guinée au musée du Quai Branly à Paris
NEWS Press | vendredi 02/10/2015 - Première exposition en France consacrée aux arts des populations du fleuve Sepik en Papouasie-Nouvelle-Guinée, l'exposition du musée du quai Branly rassemble 230 oeuvres en provenance de ses propres collections et de celles de 18 musées d'Europe et du monde.

Le Sepik est le plus long cours d'eau de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Il se situe au nord de l'île et s'étend sur 1 126 km avant de se jeter dans l'océan Pacifique. Immense marais, sa vallée abrite depuis le premier millénaire avant notre ère des populations qui vivent sur les berges ou dans des zones proches du fleuve et de ses affluents. Ces sociétés évoluent dans un monde où tout objet est multiforme, susceptible d'être sculpté, gravé ou peint de figures animales, humaines ou de motifs abstraits.

Sculptures, crochets, colliers en coquillage d'huître perlière, tambours à fente, flûtes en bambou, coiffes en vannerie, coupes en coco, panneaux d'écorces peintes, cranes sur-modelés, qu'ils appartiennent au quotidien ou apparaissent lors des cérémonies, les objets sont parés d'images ou de signes en lien avec la nature et les figures ancestrales humaines ou animales.

L'exposition évoque l'espace d'un village traditionnel avec ses lieux publics ouverts à tous et ses majestueuses maisons des hommes érigées sur des allées accessibles aux seuls initiés. Elle mène à la découverte des figures majeures des ancêtres et permet aux visiteurs d'appréhender les multiples formes et variations sous lesquelles les ancêtres se manifestent.

L'exposition présente les résultats de 35 ans de recherches menées par Philippe Peltier, Markus Schindlbeck et Christian Kaufmann. Les pièces présentées ont été choisies pour leurs qualités formelles et certaines comptent parmi les icônes de l'art du Sepik. Toutes témoignent de la grande diversité des formes développées et de matériaux utilisés par les habitants des berges du fleuve.

Dans le Sepik, l'organisation sociale des villages impose que les femmes vivent strictement séparées des hommes. Dans un espace réservé aux hommes, les ancêtres sont omniprésents et se manifestent lors de cérémonies rituelles accessibles aux seuls initiés. Pour rendre compte de la densité de ce monde partagé entre ciel et eau, le commissaire d'exposition a choisi de faire découvrir aux visiteurs les rapports étroits entretenus par les habitants de la vallée avec le monde des esprits et des ancêtres.

Dans une scénographie immersive guidant le visiteur à travers un village, l'exposition "SEPIK, Arts de Papouasie-Nouvelle-Guinée" donne à voir et à comprendre cette organisation sociale unique.

"Sepik : ce mot bref, qui claque comme un coup de fouet dans l'air, a hanté, hante et hantera encore longtemps notre imaginaire. Il est l'un de ces noms qui évoquent des contrées lointaines, des lieux mythiques. Ici, une vallée du nord de la Nouvelle-Guinée. Il y a mille manières de découvrir le Sepik. Des générations entières l'ont abordé par la lecture de récits d'explorateurs et d'aventuriers ou de récits scientifiques comme ceux de Margaret Mead ou, plus pointus, de Gregory Bateson. D'autres l'ont découvert dans les musées et plus particulièrement dans les musées allemands, notamment le musée d'Ethnologie de Berlin. Là, au fil des vitrines d'une richesse insoupçonnée, elles découvraient, souvent incrédules, des objets aux formes inventives, imprévisibles, des objets qui sont autant de provocations à l'imagination, où se mêlent, dans un débordement ininterrompu, agressivité, séduction et sexualité."

Philippe Peltier et Markus Schindlbeck


Colloque international Sepik, mardi 27 et mercredi 28 octobre 2015


En raison du nombre et de la complexité des sociétés installées sur ses berges mais aussi d'une production matérielle aussi étonnante que variée, la vallée du Sepik et de ses affluents a joué le rôle de laboratoire pour la recherche de terrain et la réflexion sur les rituels et l'usage des objets. Ce colloque permet de faire le point sur la recherche et plus particulièrement sur l'interprétation des objets dans leurs usages (rituels, danses etc.) ainsi que sur les problématiques de mise en représentation par les musées et leurs expositions.

Du mardi 27 octobre 2015 au dimanche 31 janvier 2016

En application du Plan Vigipirate niveau "alerte attentat", l'accès au musée du quai Branly se fait uniquement par l'entrée Debilly (37, quai Branly) et par l'entrée Université (218, rue de l'Université).
Ouverture exceptionnelle les lundis des petites vacances scolaires (Toussaint, Noël, Hiver et Printemps) de 11h à 19h
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