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Channel: TAHITI INFOS, les informations de Tahiti
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Embarquez dimanche sur une pirogue traditionnelle

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Embarquez dimanche sur une pirogue traditionnelle
PAPEETE, le 25 avril 2015. Plusieurs associations culturelles et sportives participent à une manifestation pour sensibiliser à la préservation du lagon et de l’environnement, ce week-end à Teva i Uta. Les journées "Mataiea Malama Honua" se tiennent jusqu'à demain soir dans la baie Oututaihi’a au départ de la plage publique du PK 46,3.

Cet événement culturel se propose, par le biais d’un festival du va’a et de diverses compétitions de sports traditionnels, de porter un message en faveur de la préservation de notre océan, nos lagons et nos rivières. "L’objet de ces journées consiste à faire prendre conscience aux utilisateurs du lagon comme les sportifs, les adeptes de sports nautiques, les rameurs, les surfeurs, les pêcheurs, les plaisanciers, les constructeurs nautiques, les riverains, et à l’ensemble de la population de l’intérêt de protéger notre environnement pour nous d’abord, mais aussi pour les générations futures", détaillent les organisateurs de la manifestation.





Dimanche 26 avril
11h à 15h : Navigation et visite des pirogues Fa’afaite et Rangi, Initiation au Va’a Motu
11h : Inscriptions aux courses de Stand up paddle
12h : Ouverture du four Tahitien Ahima’a
13h à 15h30 : Courses SUP enfants, SUP Tenue traditionnelle, SUP life saving, SUP Tag team
16H00 remise des prix

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Bora Bora lance son parc de véhicules électriques

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Bora Bora lance son parc de véhicules électriques
PAPEETE, le 26 avril 2015- Bora Bora a inauguré ce dimanche son parc de véhicules électriques en présence de personnalités venues tout exprès assister à cet évènement. Douze Twizy, la petite voiture 100% électrique de Renault, sont proposées à la location par la société AVIS qui a décidé de jouer la carte "100% propre" en complétant le dispositif par l'installation de panneaux solaires. On peut suivre la production en énergies vertes de ces panneaux sur le site d'Avis.

La détaxe sur les voitures électriques votée en décembre dernier montre ses effets dès ce mois d'avril. Les Twizy ont été livrées par la Société SODIVA qui œuvre depuis de nombreuses années pour favoriser le développement des véhicules électriques en Polynésie.
Une technologie parfaitement adaptée aux archipels particulièrement lorsqu'elle est liée à un dispositif de recharge par l'énergie solaire.


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Miss Tahiti : Les candidates 2015 présentées à la ‘Color Fun Run’.

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Miss Tahiti : Les candidates 2015 présentées à la ‘Color Fun Run’.
Fare Ute, le 25 avril 2015.  La ‘Color TRT Fun Run’ a été organisée par la Tahitian Running Team samedi après midi à Fare Ute. Elle a rencontré un large succès avec plus de 1500 participants. Les fonds récoltés étaient destinés à l’association Te Ananahino te Tama, une association qui s’occupe d’enfants malades atteints de maladies génétiques orphelines.
 
L’ambiance était au top lors de cet événement sportif plutôt festif qui a donné l’occasion au public de découvrir en live, lors d’un échauffement fitness avant la course, les candidates sélectionnées à l’élection de Miss Tahiti 2015, de manière officieuse. Plus de détails à venir sur votre Tahiti Infos web et papier. SB

Miss Tahiti : Les candidates 2015 présentées à la ‘Color Fun Run’.

Miss Tahiti : Les candidates 2015 présentées à la ‘Color Fun Run’.

http://www.tahiti-infos.com/video/

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Triathlon – Xterra Tahiti : Le Français Brice Daubord s’impose dans ‘l’enfer dans le paradis !’

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La 1ère édition du Xterra Tahiti s’est déroulée samedi matin entre Mataiea et Papenoo. Au menu, de la natation, du vtt et de la course à pied pendant plus de 2H30 pour les pros et le double pour les autres. Rien ne semble arrêter le club VSOP qui voit toujours plus haut, avec l’aide du Pays.
Triathlon – Xterra Tahiti : Le Français Brice Daubord s’impose dans ‘l’enfer dans le paradis !’
PAPENOO, le 25 avril 2015. Le VSOP présidé par Jean Michel Monot est un club dynamique et ambitieux. La Transtahitienne allie course à pied et vtt en binôme, reliant Mataiea à Papenoo. Victime de son succès, cette course de passionnés a évolué pour être finalement associée à un triathlon inclus dans le circuit international ‘Xterra’.
 
Le VSOP sait donner de la saveur à ses évènements. Hébergement dans le centre de l’île avec bringue et pasta party en 2012, invitations d’athlètes de renom comme Marc Allen ou Tony Moulai cette année, avec à chaque fois une bonne gestion de la logistique. La carte culturelle est également jouée cette année encore un groupe marquisien ou encore un partenariat avec la mairie de Mataiea pour deux journées culturelles grandioses.
 
Le Français Tony Moulai est revenu cette année et semble être devenu Tahitien de cœur. Pour Brice Daubord qui s’impose dans cette 1ère édition de l’Xterra, c’est le ‘coup de foudre’ qui lui a donné des ailes puisqu’il devance son rival néozélandais Oliver Shaw.

Triathlon – Xterra Tahiti : Le Français Brice Daubord s’impose dans ‘l’enfer dans le paradis !’
Pour les locaux, c’est une qualification pour le Xterra à Hawai’i qui était en jeu. Nicolas Lebrun, le directeur technique du tour européen Xterra était de la partie. C’est la légende du triathlon Marc Allen qui a donné le départ de la course à Mataiea. Une barge avec des musiciens était sur l’eau pour les 1500 mètres de natation, qui ont permis à Brice et Tony de prendre une minute d’avance sur le reste des compétiteurs avant les 32 km de VTT.
 
Brice s’arrêtera en vélo pour enlever de la pression à ses pneus, une décision judicieuse sans doute puisqu’il dépassera Tony Moulai en réussissant à prendre de l’avance au niveau du lac Vahiria. Dans la descente à vélo, Brice reste en tête alors qu’Oliver Shaw dépasse Tony Moulai. ‘Chaud comme Hawai’i mais plus humide’ diront les athlètes.
 
Brice commence la course à pied de 9 km avec 2 minutes d’avance, la fin de course sera tout de même difficile pour cet excellent coureur, avec les cailloux glissants des différents gués à traverser. Il boucle le parcours en 2H46’45 devant Oliver Shaw 2H48’45 et Tony Moulai 2H54’31.
 
Chez les femmes Sarah Backler termine le parcours en 3H32’06 très loin devant les deux Tahitiennes Yasmina Chenel en 4H43’48 et Sandra Labbeyi en 4H55’36.

Triathlon – Xterra Tahiti : Le Français Brice Daubord s’impose dans ‘l’enfer dans le paradis !’
Brice Daubord du club de St Jean de Mont Triathlon :
 
Comment te sens tu ?
 
« Je suis super heureux. C’est la 1ère fois que je viens à Tahiti, c’est ma 1ère victoire en Xterra. J’ai fait 3ème il y a 3 semaines à Malte, là je suis bien heureux de gagner sur Xterra, enfin, enfin ! »
 
Comment analyses tu ta course ?
 
« C’est plus qu’une course, c’est une aventure. La natation c’est classique, on ne peut changer grand chose, par contre le VTT… très très pentu, très difficile. Pas dur techniquement mais le dénivelé…c’est l’enfer dans le paradis. En course à pied c’est magique, on a le temps de regarder, on savoure. Même s’il y avait 10 km de plus on pourrait continuer, c’est magnifique. »
 
Tahiti est adapté au Xterra ?
 
« Oui, c’est sûr que c’est adapté. Avec Nicolas Lebrun, Jean Michel, René, on donnera des retours sur quelques éléments techniques, partir sur une course que l’on a pas pu voir avant, je pense que c’est un point faible pour le Xterra. Ceci dit, moi qui préfère courir que pédaler en général, là c’est vraiment magique. Cela fait 15 ans que je fais du sport, 8 ans que je suis pro, c’est un des plus beaux moments de toute ma vie. J’ai un record au 10km en 9’45 mais là on s’en fiche de courir en 9’45, c’est tellement magique… »
 
Tu craignais certains athlètes en particulier ?
 
« Oui, mon compagnon de chambre Tony mais surtout le 2ème Oliver Shaw qui a fait une magnifique course la semaine dernière aux championnats d’Asie Pacifique avec l’élite de l’Xterra. Je fais partie des meilleurs nageurs, je pensais qu’Oliver allait revenir à vélo et que l’explication allait se faire à pied mais là j’ai fait le forcing en vélo à partir du 13ème km et ça m’a bien servi. »
 
Impressions sur Tahiti en général ?
 
« J’étais amoureux de Maui à Hawai’i et là je ne suis pas loin du divorce ! »

Triathlon – Xterra Tahiti : Le Français Brice Daubord s’impose dans ‘l’enfer dans le paradis !’
Jean Michel Monot, président du VSOP :
 
La compétition est clairement montée d’un cran ?
 
« ‘Xterra Monde’ avait eu des échos positifs de la Transtahitienne, ils nous ont contactés pour nous proposer d’entrer dans le monde Xterra. On a demandé au ministère des sports, à l’Ijspf, au Tahiti Tourisme de nous suivre car le ‘droit d’entrée’ était élevé pour notre association, ce qui nous a permis de se lancer. »
 
« La décision a été prise fin janvier, les athlètes internationaux ont leur calendrier préparé à l’avance. J’ai reçu énormément de demandes d’inscription pour l’année prochaine. On devait le faire cette année pour le faire connaître, c’est pour cela que l’on a fait venir de grands athlètes, comme Marc Allen qui a fait rêver la génération de cinquantenaires que nous sommes, il est ravi, on a réussi notre coup pour promouvoir l’édition de l’année prochaine »
 
« Merci à Mataiea, à son maire Tearii Alpha et à son conseiller Teva Zaveroni qui ont fait un boulot exceptionnel pour nous accueillir, il y avait un plan d’eau magnifique avec une pirogue double polynésienne au milieu, sans oublier Papenoo et son village d’artisans. Tout le monde a compris qu’à travers le sport on peut s’équilibrer mais également faire connaître la culture polynésienne et promouvoir la destination. » SB

Triathlon – Xterra Tahiti : Le Français Brice Daubord s’impose dans ‘l’enfer dans le paradis !’

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L'État prélève 300 millions Fcfp dans la caisse de l'UPF

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L'État prélève 300 millions Fcfp dans la caisse de l'UPF
PAPEETE, le 26 avril 2015. Le ministère de l'Éducation métropolitain a décidé de récupérer 12 milliards Fcfp dans les fonds de roulement des universités qui en ont trop accumulé. Celle de la Polynésie française devra rendre 280 millions Fcfp à son ministère de tutelle… Mais la décision ne devrait pas impacter les futurs investissements de l'établissement assure le président de l'université.


L'Université de la Polynésie française avait un fonds de roulement équivalent à plus de 130 jours d'activité, soit tout de même 1,3 milliard Fcfp, pour un budget qui dépasse les 3,3 milliards Fcfp annuels.

Mais ce trésor de guerre va être amputé de 284 millions de francs. Le ministère de l'Éducation en métropole a en effet trouvé une solution originale pour économiser quelque 12 milliards Fcfp sur son budget 2015 : obliger les universités et grandes écoles qui ont de trop grosses réserves (plus de 30 jours d'activité), à les utiliser en diminuant d'autant leurs dotations pour cette année. 47 établissements sont concernés dans toute la France, et l'UPF, qui est pourtant une des plus petites, est en huitième place de celles qui devront mettre le plus la main à la poche.

Mauvaises notes pour bons élèves

En métropole, les chefs de plusieurs écoles d'ingénieur critiquent la mesure dans une lettre ouverte publiée sur le site d'Arts et Métiers ParisTech, considérant que c'est une prime à la mauvaise gestion. Le ministère assure de son côté qu'il s'agit d'une mesure de solidarité.

En Polynésie, le professeur Eric Conte, président de l'UPF, est plus modéré : "on pénalise un peu ceux qui sont les bons élèves… Mais bon, de manière plus objective, c'est de l'argent public, et il est évident que le ministère a des besoins…"

Selon lui, le fonds de réserve de l'UPF est important car l'université est encore jeune, et le temps d'arriver à pleine puissance les enveloppes ont été plus élevées que les dépenses pendant plusieurs années. Le nombre d'étudiants a ainsi doublé en 10 ans, et atteint aujourd'hui 3500 jeunes ou professionnels en formation continue.

L'établissement a ainsi économisé "jusqu'à 400 millions Fcfp l'année du passage aux compétences élargies, et depuis, au fil du temps, nous avons géré correctement la maison". Aujourd'hui, l'Université ne dégage plus que 100 millions Fcfp par an pour ses réserves, en préparation de ses gros investissements. "Mais ces excédents pourraient être utilisés assez vite. Quelques opérations, et c'est passé. Nous avons des masses salariales très importantes, et on fait des contrats sur nos fonds propres à certaines personnes, pour monter des choses, et ça ponctionne beaucoup d'argent". D'autant que l'UPF a beaucoup de projets en cours, entre l' École supérieure du professorat et de l'éducation, les cours par Internet…

"On n'a pas saigné l'université"

Malgré tout, l'universitaire reconnaît que "l'on n'a pas complètement saigné l'université, puisqu'il nous reste environ un milliard Fcfp de réserves". Mais "après avoir été ponctionné cette année, j'espère que ça n'arrivera pas tous les ans. Là, on sécurise notre fonds de réserve en indiquant ce qu'on va en faire."

En particulier, le conseil d'administration attendait la finalisation du nouveau contrat de projets pour arrêter ses projets d'investissement jusqu'à 2019. Ils ont été votés cette semaine et ils sont conséquents : 870 millions Fcfp d'investissements d'ici 2019 sur les fonds propres, et 743 supplémentaires apportés par l'État et le Pays.

Ils incluent la construction de deux nouveaux bâtiments pour la recherche (670 millions Fcfp, financés avec le contrat de projets, plus 100 millions d'équipement sur le budget de l'UPF), la restauration du bâtiment D (100 millions Fcfp en ressources propres), presque 300 millions Fcfp pour l'extension de la bibliothèque universitaire et la création du Centre de culture scientifique, technique et industrielle, des travaux pour réduire les émissions de CO2 (220 millions Fcfp)… En plus des éventuels imprévus.




743 millions Fcfp pour les investissements viendront du contrat de projets
Alors que d'une main le ministère de l'Education enlève près de 300 millions Fcfp aux réserves de l'Université, c'est la même administration qui va apporter une partie des 743 millions Fcfp prévus pour les investissements de l'Université via le contrat de projets. Cet argent va en particulier financer la construction des deux nouveaux bâtiments de recherche, qui regrouperont toutes les équipes de recherche, les laboratoires et une partie pour les sciences humaines. Cette migration permettra de libérer le bâtiment D, qui sera rénové et transformé en salles de cours. Ces travaux vont commencer en 2015.

Un peu plus tard, et toujours dans le cadre du contrat de projets, une nouvelle résidence étudiante ayant 160 places va être construite. Pour ses étudiants, l'Université va aussi rénover 72 chambres sur fonds propres.

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Pétition en Australie contre l'expulsion d'un enfant philippin autiste

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Pétition en Australie contre l'expulsion d'un enfant philippin autiste
Sydney, Australie | AFP | lundi 27/04/2015 - Une mère de famille philippine qui dit que son fils autiste est menacé d'expulsion d'Australie parce qu'il représenterait une charge financière trop lourde pour le contribuable, a réuni des dizaines de milliers de signatures de soutien.

Agé de dix ans, Tyrone Sevilla est arrivé légalement en Australie à l'âge de deux ans et sa maladie a été diagnostiquée en 2008.

Sa mère, Maria Sevilla, travaille comme infirmière dans un hôpital de l'Etat du Queensland.

Mais le tribunal des migrations a refusé de renouveler le visa de séjour accordé à la famille, arguant du "coût significatif" que représente l'état de santé du jeune garçon pour la communauté australienne, a expliqué sa mère à la radio ABC.

Le visa de Maria Sevilla, qui paie des impôts en Australie et bénéficie d'une assurance santé privée, est arrivé à expiration lundi.

La famille a lancé une pétition demandant aux autorités de faire preuve de clémence et celle-ci a réuni plus de 120.000 signatures.

La pétition a été remise lundi au QG électoral du ministre de l'Immigration Peter Dutton, à Brisbane.

"L'Australie est notre maison. Parce que nous sommes ici depuis presque huit ans et que nous sommes parfaitement intégrés", a ajouté la mère de famille. "Je travaille ici, je subviens aux besoins de Tyrone (...), c'est pour cela que nous considérons l'Australie comme chez nous".

Elle a précisé que son fils ne parlait pas le philippin et que toute sa famille proche, grands-parents, oncles et cousins, habitaient en Australie.

Peter Dutton a indiqué que ses services étaient en train de lui préparer un rapport sur l'affaire de Mme Sevilla et que d'ici là un visa temporaire de 28 jours lui serait octroyé.

"Dans ce cas précis, il faut faire preuve de bon sens", a-t-il dit à ABC. "Nous sommes une société solidaire et nous voulons aider les familles en difficulté", a-t-il déclaré.

Une décision sera prise au cours des prochaines semaines.

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Une langue de terre surgit au nord du Japon

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Une langue de terre surgit au nord du Japon
Tokyo, Japon | AFP | lundi 27/04/2015 - Une langue de terre de 300 mètres de long sur 40 m de large est soudainement apparue près d'une côte au nord du Japon, un phénomène qui s'expliquerait par un glissement de terrain, selon des géologues.

Ce prolongement s'élève jusqu'à 10 mètres au-dessus du niveau de la mer, le long du littoral de la localité de Rausu, sur l'île septentrionale de Hokkaido.

Evacuant les craintes initiales d'une intense activité tellurique qui aurait généré ce monticule, les experts penchent pour un glissement de terrain quelque part alentour, ce qu'a confirmé au quotidien local Hokkaido Shimbun le chercheur Yoshinori Yajima.

"C'est différent d'un tremblement de terre", a déclaré à l'AFP un fonctionnaire de la région, précisant que la langue de terre ainsi créée ne devrait pas s'étendre.

Le phénomène n'a en outre rien de commun avec l'éruption volcanique qui a donné naissance à une nouvelle île fin 2013 à un millier de kilomètres au sud de Tokyo.

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Blanc jusqu'aux palmiers, un motel transformé en sculpture géante à Los Angeles

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Blanc jusqu'aux palmiers, un motel transformé en sculpture géante à Los Angeles
Los Angeles, Etats-Unis | AFP | lundi 27/04/2015 - Un motel désaffecté repeint en blanc et transformé en sculpture géante sur laquelle chacun peut projeter ses pensées, ses désirs. C'est le pari réussi du Français Vincent Lamouroux qui crée l'événement à Los Angeles avec son oeuvre "Projections".

Plusieurs centaines de personnes ont assisté dimanche à l'inauguration de "Projections" sur Sunset Boulevard.

Une foule d'artistes, de branchés, de familles avec enfants dans les bras se prenaient en photo devant le "Pacific Sunset Motel", dont même le grillage, l'herbe et les palmiers ont été passés à la chaux.

Le motel, désaffecté depuis plus de dix ans, était surnommé le "Bates Motel" à cause de sa localisation à l'angle de Sunset Boulevard et de Bates Avenue. Un surnom qui évoque aussi l'hôtel lugubre du chef d'oeuvre d'Alfred Hitchcock, "Psychose", ainsi que la série télévisée à succès "Bates Motel".

Depuis deux semaines déjà, cet hôtel vide dont la peinture blanche éclatante attirait l'attention des passants sur cette portion de Sunset Boulevard, dans le quartier de Silver Lake, suscitait de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux et dans la presse locale.

Le blanc, couleur qui efface, est devenue celle qui fait apparaître au grand jour cette quasi ruine urbaine.

"L'idée c'était de transformer intégralement le bâtiment et de l'envisager comme une grande sculpture à l'échelle de l'environnement urbain", a expliqué à l'AFP Vincent Lamouroux, qui réside à Paris mais vient régulièrement à Los Angeles depuis quinze ans.

Il a choisi la couleur blanche car c'est celle "qui pouvait amener le plus de lumière, qui pouvait éventuellement provoquer une espèce d'aveuglement, ça amenait aussi quelque chose de plutôt positif et peut-être l'idée d'un écran de projection pour tous les désirs, toutes les envies, toute l'imagination".

"Sur Sunset Boulevard où tout est fait pour attraper l'oeil, ce bâtiment blanc est devenu le plus visible de tous. On oublie tous les panneaux d'affichage, les néons, l'architecture un peu démonstrative pour ne voir en fait que cet immeuble qui semble être échappé d'un rêve", commente Nicolas Libert, de la boutique "Please do not enter" qui a produit l'installation.

L'installation, aboutissement de deux ans de travail, va être maintenue en l'état pendant deux semaines avant de laisser le temps, la poussière et les artistes de rue en reprendre possession.

"Ça pourra être une proie facile et même une proie rêvée pour l'ensemble des tagueurs et des artistes street art. On a mis en place un système de gardiennage pour 15 jours (...) puis on rend l'immeuble à l'espace public et advienne que pourra".

Puis le bâtiment sera détruit, "on ne sait pas quand", explique l'artiste, qui utilise beaucoup le blanc dans son travail de sculptures et d'installations géantes. Vu l'inflation immobilière galopante qui sévit à Los Angeles depuis plusieurs années, le "Bates Motel" sera, sans surprise, transformé en immeuble d'habitation par des promoteurs.

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Exploitation des fonds de l’océan : l’Allemand Siemens équipera le Canadien Nautilus

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Exploitation des fonds de l’océan : l’Allemand Siemens équipera le Canadien Nautilus
TORONTO, dimanche 26 avril 2015 (Flash d’Océanie) – L’industriel allemand Siemens a remporté en milieu de semaine dernier un important appel d’offres afin de fournir l’équipement électrique censé accompagner l’exploitation innovante de fonds sous-marins au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Ce projet, piloté par le Canadian Nautilus Minerals Inc ., concerne des gisements d’or, de cuivre et d’argent identifiés à quelque 1.600 mètres de profondeurs, dans la Mer de Bismarck.
Le marché remporté par Siemens International Trading (filiale du groupe Siemens) concerne l’équipement du navire de soutien (générateurs, tableaux électriques, transformateurs, moteurs électriques et systèmes de production d’énergie) à ces prospections et exploitations, a annoncé l’industriel dans un communiqué.

Le projet a été baptisé Solwara 1.
Selon les premières estimations de Nautilus, qui travaille sur ce projet depuis plusieurs années, les ressources minérales convoitées sont situées à l’intérieur de roches qui forment des cheminées de volcans éteints, au fond de l’océan.
Ces roches contiendraient du cuivre (à hauteur de 8,2 pour cent), de l’or (6,4 grammes par tonne), de l’argent (34 grammes par tonne) et du zinc (0,9 pour cent).

Fin mars 2015, Nautilus annonçait aussi l’octroi d’un autre marché, celui des six moteurs du navire-usine, qui seront fournis par Rolls Royce d’ici à mars 2016.
Il s’agira de six moteurs diesel de 9 cylindres (d’une puissance totale de 31,4 MégaWatts).
Rolls Royce devrait aussi fournir, dans le cadre de la même exploitation, trois propulseurs azimutaux (9 Mégawatts), deux propulseurs relevables (7 Mégawatts) et deux propulseurs à tunnel (2 Mégawatts).

Date prévue de livraison du bateau : courant 2017.
Date prévue du début des opérations : courant 2018.
Cette véritable usine flottante devrait mesurer 227 mètres de long sur 40 mères de large.
Elle a été pensée par SeaTeach Solutions (Singapour) pour l’armateur Marine Assets (Dubaï).

Au cours de ces dernières années, Nautilus a aussi obtenu des droits de prospection et d’exploitation dans d’autres zones de l’Océan Pacifique, dont les îles Salomon et Tonga.

pad


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Doux séjour à Niue pour un éléphanteau en transit

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Doux séjour à Niue pour un éléphanteau en transit
ALOFI, dimanche 26 avril 2015 (Flash d’Océanie) – Un éléphanteau venu du Sri Lanka poursuit sans encombre sa villégiature forcée à Niue, où il doit encore passer deux mois, jusqu’en juin 2015, avant que de pouvoir rejoindre sa destination finale : le Zoo d’Auckland.

Pour cet hôte inhabituel, arrivé par avion spécial militaire néo-zélandais en mars dernier, le petit État insulaire de Niue s’est mis en quatre : il a construit un enclos où a aussi été aménagée une plateforme spéciale afin de permettre aux habitants de pouvoir admirer Anjalee, 8 ans.

« Anjalee s’est bien acclimatée à la nourriture, de l’herbe et des pousses de cocotier. C’est formidable de voir un éléphant heureux (…) C’est vraiment quelque chose de très différent pour nous, ici (…) tout le monde ici en parle, forcément personne ici n’avait vu d’éléphant avant », a confié Richard Hipa, secrétaire du gouvernement de Niue, à, la presse néo-zélandaise.

À Niue, Anjalee est accompagné d’un spécialiste du Zoo d’Auckland, chargé de veiller à son bon traitement pendant toute l’escale.
Cet éléphant a été offert au Zoo d’Auckland par l’orphelinat Pinnawala près de la capitale Colombo, établissement sri-lankais où il se trouvait jusqu’à récemment, mais qui avait atteint ses limites de capacité.

À Auckland, Anjalee doit rejoindre une éléphante adulte de 32 ans, baptisée Burma, et qui se trouvait seule depuis le décès de son compagnon, Kashin, en 2009, à l’âge de 40 ans.
Un second éléphant provenant du même orphelinat sri-lankais devrait suivre le même chemin dans les prochains mois.

En attendant, en fin de semaine dernière, au Zoo d’Auckland, est né un bébé girafe de 1,80 mètre, a annoncé l’établissement dans un communiqué jeudi 23 avril 2015.

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« Sportstahiti.com Boxing Tournament » : Tahiti l’emporte face à la Calédonie

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« Sportstahiti.com Boxing Tournament » : Tahiti l’emporte face à la Calédonie
Ce vendredi 24 Avril du côté de la salle Louis Babo Aitamai, l’AS Central Olympic de Maco Nena organisait le « Sportstahiti.com Boxing Tournament » qui opposait la sélection de Tahiti Nui à celle de Nouvelle Calédonie. De très beaux combats qui se sont soldés par la victoire des boxeurs tahitiens par trois victoires à deux.

La première partie était consacrée à de la boxe éducative. Puis, un combat des féminines qui s’est soldé par un match nul entre Brunela Gilmore et Tuiei Tauraa de Hititoa.

Chez les amateurs, en -56kg, la revanche entre Raimana Rataro-Tuihaa de Central Olympic et Lee ray Vongey d’Avia club s’est également conclue par une décision nulle. L’autre combat qui était aussi une revanche, a vu Tehau Faufau de Central Olympic, déjà vainqueur lors du précédent combat, confirmer sa supériorité face au généreux et combattant Jérôme Marunui du Polynesia Boxing club.

La deuxième partie opposait la pré-sélection de Tahiti Nui composée de très jeunes boxeurs, dont la moyenne d’âge est de 20 ans, à la sélection calédonienne étant plus expérimentée.

La première rencontre internationale opposait, en -64kg, Rowan Taurei de Central Olympic à Sébastien Drayton. C’est finalement un match nul qui allait être décidé par les juges.

En -69kg, Jordan Tuihaa de Aorai était opposé à Louis D’anglebermes de Nouvelle Calédonie. Belle victoire de Jordan Tuihaa par arrêt de l’arbitre au troisième round.

En -75kg, le combat opposait Iriatai Raiheui à Christian Toi, fils de Joseph Toi ancienne gloire de la boxe tahitienne. Après un premier round avec un léger avantage pour Iriatai, ce dernier allait baisser d’un cran physiquement ce qui a permis à Christian Toi de revenir dans le combat pour finalement imposer son rythme et avancer constamment sur le tahitien arrêté à la troisième reprise. Victoire du calédonien Christian Toi par arrêt de l’arbitre au troisième round.

En Mi lourds -81kg, Torea Jubely de Tahiti était opposé à Luke Hema, médaillé de bronze aux derniers Jeux du Pacifique à Nouméa. Même configuration que lors du combat précédent, où le premier round a été légèrement dominé par le Tahitien qui a ensuite reculé et lâché physiquement lors des deuxième et troisième rounds. C’est donc à l’unanimité des juges que Luke Hema remporte le combat.

Chez les lourds, Heimata Neuffer n’a laissé aucune chance à son adversaire calédonien du jour, Yves Liufau. Fidèle à son style, il a imposé un rythme très élevé mettant en évidence toute sa puissance. Il s’impose logiquement à l’unanimité des juges même si toutefois, il faudra qu’il gagne en précision pour être encore plus efficace.

Le dernier combat de la soirée opposait le super lourds tahitien de 19 ans, Ariitea Putoa au médaillé d’or, Jean Tuisamoa. Ariitea allait démontrer toute sa boxe en maîtrisant le combat du début à la fin et en touchant à plusieurs reprises le calédonien. C’est une décision unanime en faveur d’Ariitea qu’allait rendre les juges.
Le rendez vous est pris pour Mercredi 29 Avril pour la revanche qui aura lieu à Papenoo à la salle Pitohiti à partir de 19H.

Retrouvez toute l'actualité sportive sur www.sportstahiti.com


« Sportstahiti.com Boxing Tournament » : Tahiti l’emporte face à la Calédonie

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Tahiti Pearl Regatta: Le village de la course s’installe à Uturoa

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Tahiti Pearl Regatta:  Le village de la course s’installe à Uturoa
A la veille du départ de la 12e Tahiti Pearl Regatta, Uturoa est en effervescence : un "village" dédié à la course prend ses quartiers près de;la marina et prépare son lot d'animations et de festivités pour inaugurer la régate les 28 et 29 avril prochains.

Les concurrents et autres visiteurs pourront profiter des stands du service de la Pêche, de la fondation PEW, de l'association Rainuiatea, de l'Agence des Aires Marines Protégées, de la mission Intègre pour la Communauté du Pacifique Sud, de l'association GEMM, de Raiatea Yacht Broker... autant d’acteurs qui seront présents pour présenter leurs travaux en faveur des océans et du développement durable.

La fête sera aussi au rendez- vous: Majo aux maquillages, Zef aux cerfs-volants, Eriki qui sculptera en direct les trophées de cette édition et de nombreux artisans aux talents divers et variés.

Vendredi soir, rendez-vous sera donné au public sur le parvis du Marché pour une méga bringue avec orchestre Kaina et projection de films.
Entrée libre !

Tahiti Pearl Regatta:  Le village de la course s’installe à Uturoa

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La sécurité, un enjeu majeur pour EDT

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La sécurité, un enjeu majeur pour EDT
« L’homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique » Albert Einstein

Des travaux en toute responsabilité

Un arbre qui s’effondre sur un poteau électrique, un godet de pelleteuse qui endommage un câble enterré, c’est ce genre d’aléas qui perturbe les usagers, freine l’avancée des travaux et dans le pire des cas, engendre des accidents sur la personne.

La salle Matisse du Méridien était comble vendredi matin, de nombreuses communes et entreprises ayant répondu présent à l’invitation de l’EDT. Le thème du séminaire est, il est vrai, mobilisateur, puisque derrière cette injonction « Pensez à la DICT ! » se cache un enjeu majeur : la sécurité.

La formation, la clé de l’enjeu sécurité : la sécurité est l’affaire de tous

Les maîtres d’ouvrage et les entreprises de travaux doivent faire une déclaration d’intention de commencement de travaux (DICT) à l’exploitant du réseau pour prendre connaissance des ouvrages (enterrés ou aériens) situés dans l’emprise ou à proximité de leur chantier. Une fois l’autorisation obtenue, les travaux spécifiques concernant les installations électriques doivent être réalisés par des techniciens habilités. En effet, creuser une tranchée sans percer une canalisation ou élaguer près des fils électriques, demande un savoir-faire, or la réalité du monde du travail n’est pas encore à la hauteur de l’enjeu : nombre de bûcherons par exemple ne connaissent pas les normes en vigueur concernant l’élagage.

Les communes en tant que maîtres d’ouvrage sont concernées par la DICT. Pour Marcus Vaitu, chef du réseau hydraulique de Moorea, le défi est de taille : « Le réseau électrique de Moorea est enterré, donc tous les travaux que nous réalisons en ce moment impliquent une grande technicité. C’est difficile de voir le danger quand le réseau est enterré, il faut évaluer à la main, se repérer avec les grillages avertisseurs, mais au fil des années ils se détériorent, parfois les tuyaux se touchent. Nous avons une vingtaine d’agents qui ont une habilitation électrique, mais elle doit être renouvelée, à cause des nouvelles normes.». Manarii Gatien, responsable au sein de la commune de Faa’a, souligne que cette formation spécifique d’habilitation électrique n’est pas inscrite au catalogue des formations du CGF, le centre de gestion des formations des communes. Félix Tetua, élu de la commune de Rangiroa, se propose de faire un courrier à la CGF. La réalité de cette commune des Tuamotu est spécifique : « Notre réseau est aérien, donc soumis aux tempêtes et cyclones. Nous sommes plus éloignés, avec un territoire étendu puisque la commune s'étend sur 145 km². C’est difficile de contrôler les travaux des particuliers qui parfois endommagent le réseau. Heureusement nous avons un bon partenariat avec l’EDT.»

La sécurité est une responsabilité de toute organisation ainsi que des membres concernés

Un changement face au risque

Tous ces responsables de communes reconnaissent que la DICT a changé les comportements : « Nous avons tous pris des risques dans l’urgence d’une intervention, nous avons eu des brûlures par arcs électriques, mais tout cela a bien évolué » déclare Manarii Gatien.
En 2014, 1134 déclarations ont été traitées précise Patrick Desfour, chef de Service Exploitation des Réseaux de Tahiti à l’EDT, « En quatre ans, nous sommes passés de 12 incidents sur travaux à quatre en 2014». Mais, comme il le souligne, il ne faut pas lâcher la pression, car l’environnement électrique est éminemment dangereux et la moindre imprudence peut être dramatique.

L’accident n’est pas une fatalité

Cette matinée d’information, de sensibilisation des entreprises et des institutions à la DICT (la 3e en 6 ans) a porté ses fruits, chacun aura pris la mesure des enjeux humains, mais aussi judiciaires et financiers qu’elle implique.

la TEP et Gaz de Tahiti également présents

La DICT est une mesure obligatoire qui vise à éviter les endommagements de réseaux et ouvrages de transport ou de distribution. En Polynésie, elle concerne principalement l’EDT, mais aussi la TEP et Gaz de Tahiti qui ont également présenté durant la matinée les risques inhérents à leurs réseaux respectifs.

Article LP. 4121-7
Conformément aux instructions qui lui sont données par l’employeur, dans les conditions prévues au règlement intérieur s'il existe, il incombe à chaque travailleur de prendre soin, en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa sécurité et de sa santé ainsi que de celles des autres personnes concernées du fait de ses actes ou de ses omissions au travail.






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Présentation des Sections Sportives dans les écoles de Faa'a

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Présentation des Sections Sportives dans les écoles de Faa'a
FAA'A, le 27 avril 2015. (COMMUNIQUE) Laurent Heinis, responsable communal du sport, de la jeunesse et de la culture a achevé ce vendredi 24 avril sa tournée des écoles de Faa’a, pour présenter aux élèves de CM2 les sections sportives.

Le développement sportif est primordial dans l’éducation de nos enfants, et la commune de Faa’a travaille en étroite collaboration avec les établissements scolaires, les clubs et le ministère pour promouvoir le sport avec ce dispositif pilote des classes et sections sportives. Pour rappel, depuis 2013, 3 sections ont été ouvertes dans les collèges de la ville : Le football, le volley ball et le va’a. Concrètement, les enfants suivent 2 séances d’entraînements à l’école, et 2 séances d’entraînements avec leurs clubs, en parallèle de leurs cursus scolaire. L’objectif est d’intensifier la pratique d’un sport afin de développer le potentiel du jeune tout en poursuivant ses études.

Au collège Henri Hiro, les élèves peuvent dès la 6ème, intégrer les sections sportives volley ball et va’a à condition d’être sélectionné et licencié dans un club. Et au collège Notre-Dame des Anges, se trouve la section sportive football.

Ainsi, Laurent Heinis a présenté aux 400 élèves de CM2 de Faa’a ce dispositif. Et il a informé tous les enfants intéressés que des tests d’admission pour les sections sportives de la rentrée 2015-2016 se feront le jeudi 30 avril, de 8 heures à 12 heures. Les tests d’admission pour le volley ball se feront à la salle Poheroa et ceux pour le football au stade Ganivet.

Concernant les sélections pour la section sportive va’a, les élèves feront avec leurs écoles respectives deux courses de vitesse et d’endurance. Les éducateurs spécialisés de la commune qui organisent ces courses repèreront ceux qui ont le potentiel pour intégrer la section.

« Un point très important, les places sont limités dans les sections sportives, pour sélectionner ceux qui pourront les intégrer, les éducateurs évalueront les aptitudes physiques des élèves, mais aussi leurs bulletins de notes et les observations des instituteurs. Si les performances sont primordiales, nous privilégions surtout les élèves qui ont un bon comportement. » ajoutait Laurent Heinis. Pour de plus amples informations sur le dispositif, vous pouvez contacter Laurent Heinis au 40 80 09 60.

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Cérémonie organisée à l'occasion de la Journée nationale du souvenir de la Déportation

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Cérémonie organisée à l'occasion de la Journée nationale du souvenir de la Déportation
PAPEETE, le 27 avril 2015. (COMMUNIQUE) M. Lionel BEFFRE, Haut-Commissaire de la République en Polynésie française, a présidé la cérémonie organisée à l'occasion de la Journée nationale du souvenir de la Déportation, ce dimanche 26 avril 2015 au Monument aux Morts de Papeete, Avenue Pouvanaa a Oopa.

Etaient présents à ses côtés: Mme Monique RICHETON, troisième Vice-présidente à l'Assemblée de la Polynésie française, Mme Danièle TEAHA, 2ème adjointe au maire de Papeete, M. Angélo FREBAULT, Président du CESC, M. Patrick GALENON, Conseiller économique, social et environnemental et un représentant de l'Amiral COMSUP.

Message des déportés lu par le Haut-Commissaire



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Clotilde Virmaux, première médaillée d'honneur des services judiciaires en Polynésie française

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Clotilde Virmaux, première médaillée d'honneur des services judiciaires en Polynésie française
Ce vendredi 24 avril 2015, le Président du Tribunal Mixte de Commerce de Papeete, Bernard Fouquere, a remis, au nom de la Garde des Sceaux, Madame Christiane Taubira, la médaille d'honneur des services judiciaires, échelon argent, à Madame Virmaux née Puairau Clotilde, qui a œuvré en tant que juge de 1993 à 2015.

Le diplôme accompagnant la médaille, signé conjointement par la Garde des Sceaux et le Directeur des services judiciaires, indique que cette distinction honorifique est attribuée «au titre de bons et loyaux services rendus auprès de l'institution judiciaire». Cette récompense est parfaitement méritée tant il est vrai que Madame Clotilde Virmaux a servi la juridiction commerciale de manière irréprochable durant de longues années.

L'événement est d'autant plus exceptionnel que le Président du Tribunal a débuté son allocution par ces mots quelque peu surprenants en pareille circonstance «Je n'aime pas les médailles» car, a-t-il souligné, d'une part, «Il n'y a aucun mérite à faire son travail, et à le faire bien, puisqu'on est payé pour cela» , d'autre part, «elles sont des instruments de vanité pour ceux qui les portent et dont les mérites ne sont pas, la plupart du temps, supérieurs à ceux qui n'en ont pas».

Ces allégations donnent d'autant plus de valeur et de poids au fait que le Président du Tribunal ait lui-même, comme il l'a rappelé, «instruit le dossier de demande en faveur de Clotilde» qui, à ses yeux, «se trouve dans la seule situation qui justifie une telle récompense, celle du geste altruiste, du sacrifice de sa personne, de sa santé ou de sa vie familiale au profit d'autres personnes».

Clotilde Virmaux, femme d'exception, a effectivement consacré sa vie à venir en aide aux autres, très souvent en s'oubliant soi-même. Elle a, durant plus de deux décennies, traité les litiges commerciaux avec humanité, compassion et respect pour les souffrances des débiteurs. Elle a humanisé «notre justice commerciale», a résumé le Président, en créant au sein du Tribunal Mixte de Commerce, une véritable «vie de famille empreinte de tolérance» . Car, a-t-il poursuivi «Clotilde porte en elle toutes les valeurs morales essentielles du peuple polynésien», notamment, «le sens du collectif, le dévouement à l'autre et à sa famille».

«Clotilde, c'est un peu notre grande sœur, notre maman, toujours douce, toujours calme. Un membre essentiel de notre famille sur lequel on peut toujours compter» a conclu Bernard Fouquere.

C'est, très émue et entourée de ses proches, très touchés eux-aussi par cet hommage, que Clotilde a remercié, avec toute l'humilité qui la caractérise, pour cette reconnaissance par le ministère de la justice du travail accompli, bénévolement faut-il le rappeler, durant toute une vie.

La République a récompensé aujourd'hui une très grande Dame de la Polynésie française.

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A Mahina Sandrine vous aide à comprendre la loi

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A Mahina Sandrine vous aide à comprendre la loi
MAHINA, le 27 avril 2015 - Un jour par mois, Sandrine Noilou est à Mahina pour assurer un service de conseil juridique. Femmes battues, affaires de terres, droit du travail… Son domaine d'expertise et les besoins de la population sont très variés, et la juriste a fort à faire.


Sandrine Noilou, juriste à la CIDFF (Centre d'information des droits des femmes et des familles), vient à Mahina une matinée par mois. "Mais je pourrai rester plus longtemps, quand les gens viendront plus nombreux."

Elle donne des conseils juridiques aux habitants de la commune, surtout ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas se déplacer jusqu'à Papeete. Ils prennent rendez-vous auprès des services sociaux communaux et viennent rencontrer Sandrine pour lui parler de leurs problèmes juridiques, personnels… "Ca concerne toute la population. Nous recevons aussi bien les hommes que les femmes, les matahiapo, ect."

Et si de nombreuses affaires concernent le droit de la famille, la juriste donne son expertise dans tous les domaines du droit : "les affaires qu'ils nous amènent, c'est un peu de tout. Que ce soit dans la séparation, on parle du droit des familles et on leur explique quels sont leurs droits parentaux. Ça peut être des informations sur la mise sous tutelle d'une personne majeure qui est en danger, ça peut être du droit du travail suite à un licenciement ou du harcèlement au travail… C'est très varié. Il y a même des affaires de terre, où les gens se posent des questions. Donc on leur explique le principe du partage, puis on les oriente sur ce qu'il faut comme pièces, par exemple pour revendiquer une terre."

Sandrine est parfois confrontée à des affaires très difficiles : "Il y a des cas de violences faites aux femmes, mais elles ne viennent pas spécialement pour ça. Elles viennent pour se renseigner sur leurs droits, et au fil de la conversation, elles dévoilent des faits de violence. Là, en fonction de leur situation il y a différentes choses à faire. Si elles sont vraiment en danger, on essaie de les mettre à l'abri avec un hébergement d'urgence, et après de les accompagner dans leurs procédures. S'il n'y a pas eu de plainte, on voit si elles souhaitent dévoiler les faits et poursuivre l'auteur au pénal. Et sinon au civil, pour assainir la situation si elles sont en couple avec des enfants."

Mais elle n'est pas policière ou juge. Son rôle est simplement d'aider et de donner des conseils : "On essaie de prendre la problématique dans la globalité. Dans les cas de violences, on peut essayer de leur trouver une aide psychologique avec les diverses associations et services territoriaux ; si les enfants ont des soucis on travaille avec le Fare Tama Hau pour essayer de les accompagner ; si il y a de l'endettement, on les aide à monter le dossier de surendettement. On les guide au mieux, mais toujours dans le respect de leur personne et de ce qu'ils souhaitent faire."

Où demander des conseils juridiques ?

Les deux juristes de la CIDFF reçoivent tous les jours en journée continue de 8h à 16h (sauf le vendredi jusqu'à 15h) au siège de la CIDFF. Il est situé à Papeete, à Fariipiti, en face de l'immeuble Te Hotu où sont les Affaires sociales (plutôt en face de la station Mobil voisine). Il faut normalement prendre rendez-vous au 40 45 01 20, mais personne ne sera refoulé même sans RDV.

Il y a aussi une permanence à Mahina le troisième mercredi du mois, de 8h à 12h. Il y a des antennes dans les communes, avec des délégués municipaux référents qui peuvent demander à un juriste de venir sur place.

La CIDFF est composée de 5 personnes, dont deux juristes professionnels et la présidente bénévole, Tilda Harehoe.

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Apprenez la cuisine tahitienne... grâce à Facebook

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Apprenez la cuisine tahitienne... grâce à Facebook
PAPEETE, le 27 avril 2015 - Un cuisiner calédonien, Thierry Esposito, a partagé les recettes (et photos) d'une cinquantaine de plats polynésiens sur Facebook. Et elles font le buzz : certaines recettes atteignent les 200 "like", et provoquent des expériences culinaires inédites à travers le monde.

La page "Cuisine de Thierry Esposito" a été créée en mai 2014, et frôle aujourd'hui les 10 000 fans. Le chef y partage des recettes du monde entier, mais surtout des Outre-mers francophone : Nouvelle-Calédonie, Île Maurice, Madagascar... Et Polynésie, avec une cinquantaine de recettes partagées.

On y trouvera la façon de préparer les différents types de poe, des firi firi, des pai ananas, l'indémodable poisson cru au lait de coco, le poulet fafa, le pua'a choux... Mais aussi des recettes plus sophistiquées, comme un plat de crabe au poivre noir, ou une daube au thon.

Dans une interview accordé au site radiococotier.nc, le cuisinier explique comment il a débuté sa carrière chez un traiteur de Nouméa, jusqu'à un grave accident : "Ma vie de cuisinier s'est arrêtée le 8 Mai 2000 car j'ai eu un grave accident de voiture et je suis devenu handicapé à 90 % à l'âge de 35 ans. Aujourd'hui j'ai 49 ans bientôt et croyez moi, mon métier me manque terriblement mais grâce à Bruno Moure qui m’a aidé à ouvrir cette page pro-cuisine, je suis heureux aujourd’hui de pouvoir partager mon savoir faire et de donner des conseils à ceux qui en ont besoin."

Pour ceux qui voudraient entrer dans cette communauté culinaire très appétissante, direction : la page Facebook du chef.

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Air Tahiti Nui lance deux nouveaux pilotes sur sa flotte d’Airbus A340-300.

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Air Tahiti Nui lance deux nouveaux pilotes sur sa flotte d’Airbus A340-300.
PAPEETE, le 27 avril 2015- C’est ce mardi 28 avril 2015 de 14H00 à 15H30 que sera validée la qualification technique sur Airbus A340-300 de deux nouveaux co-pilotes de la compagnie au Tiare.
M. Vaimana Pellemans et M. Cédric Blondeau devront se livrer à l’exercice dit des Touch & Go avant d’être définitivement intégrés à l’équipe des Personnels Navigants Techniques de la compagnie.

Précédemment pilotes au sein d’autres compagnies aériennes, ils ont achevé leur formation sur simulateur et leur qualification de Type A340 sur le site de formation Airbus de PEKIN.
Vaimana Pellemans, âgé de 24 ans, totalise 1500 heures de vol. Il était Officier Pilote à Fly CAA, Compagnie Africaine d’Aviation.
Cédric Blondeau, âgée de 24 ans, affiche 1450 heures de vol. Il était Officier Pilote à Fly CAA Compagnie Africaine d’Aviation.

M. Gérard Maurin, Directeur Général Adjoint Exploitation d’Air Tahiti Nui supervisera cet examen final en qualité d’instructeur. L’exercice consistera en une succession de décollages et d’atterrissages effectués sur l’aéroport international de Tahiti-Faa’a.

A ce sujet, M. Maurin précise : « une activité inhabituelle pourra être remarquée par les riverains au-dessus de l’aéroport de Tahiti-Faa’a ce mardi après-midi, mais qu’ils se rassurent, l’ensemble des exercices qui vont être effectués sont prévus et strictement encadrés par les formateurs de la compagnie et les autorités aéroportuaires du Pays. »

La compagnie sera fière d’accueillir ces deux nouvelles recrues au sein de ses équipages afin de les déployer sur son programme de vol international.

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Les infirmiers en grève ne décolèrent pas

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Les infirmiers en grève ne décolèrent pas
PAPEETE, le 27 avril 2015 - Les infirmiers libéraux de Polynésie sont en grève. Puisque par définition ils ne sont pas salariés, leur grève prend une forme particulière : depuis lundi ils refusent de prendre en charge de nouveaux patients. Le mouvement pourrait rapidement affecter les hôpitaux et cliniques obligés de garder les patients hospitalisés plus longtemps.


"On n'est pas en train d'essayer d'avoir le beurre et l'argent du beurre. Nous voulons sauver notre profession" explique Jérôme Fernandez, le président du syndicat des infirmiers libéraux. Le syndicaliste assure aussi que 70% des infirmiers conventionnés du Pays sont syndiqués, et qu'ils sont très motivés à poursuivre le mouvement jusqu'à obtenir satisfaction : "on continuera le temps qu'il faudra. Qu'on travaille ou qu'on ne travaille pas, de toute façon on n'est pas payé !"

Les infirmiers libéraux réclament que la convention collective signée le 5 janvier 2009 soit respectée, en particulier les délais de paiement pour les patients au RST. "Depuis cinq ans ils piétinent notre convention collective, et on n'a rien dit" s'exclame Jérôme Fernandez. "Vous avez vu à la CPS, ils ont juste fait mine de toucher à leur convention, et ils ont déposé des barricades ! Nous, on a tout le temps assumé nos responsabilités, mais nous n'avons pas à assumer les disfonctionnements du système de santé !"

Le syndicaliste assure également que si le mouvement provoque des problèmes dans les hôpitaux, "ce n'est pas mon problème, c'est celui des politiques. Moi mon problème, c'est la continuité des soins sur lesquels je me suis engagé. Mais on ne travaille pas gratuitement."

Enfin, il répond aux critiques exprimées par des politiques et des membres du public, qui soutiennent que les infirmiers libéraux sont des privilégiés : "Il y a 15 ans les infirmiers gagnaient beaucoup d'argent, c'est vrai. Mais maintenant c'est fini. Les charges ont augmenté continuellement, et maintenant peuvent représenter 50% de notre chiffre d'affaires. Les lettres-clé (équivalent du point d'indice chez les fonctionnaires) ont baissé de 10% depuis 1995, quand l'inflation a progressé de 30% sur la même période ! Aujourd'hui le salaire horaire est plus élevé pour les infirmiers de l'hôpital que les libéraux, sauf que nous on n'a pas de congés, pas d'arrêt maladie, pas de retraite, qu'on peut travailler 15 heures par jour…"

Les hôpitaux pourront toujours assurer les urgences

Le problème dans les hôpitaux publics et les cliniques privées, c'est le taux d'occupation élevé des lits. "En chirurgie et en médecine, nous sommes à des taux d'occupation de 92%, ou 95%. Les normes pour permettre une rotation fluide, c'est 85%" nous explique le secrétaire général du CHPF, Jean-Marie Savio. Dans les cliniques privées, les taux d'occupation sont également très élevés.

Du coup, pour libérer les lits plus vite et accueillir plus de patients, les établissements de santé utilisent dès que possible les soins à domicile, et souvent ce sont les infirmiers libéraux qui prennent les patients en charge. Cette grève "ne va pas bloquer l'hôpital, mais ça va lui compliquer la vie" admet le directeur. "On ne refusera jamais les patients aux urgences, mais on pourrait avoir du mal à leur trouver un lit. Il va peut-être falloir décaler des opérations programmées afin de pouvoir accueillir les urgences."

La CPS a annoncé par communiqué recevoir le syndicat des infirmiers demain à 14h.

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