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La Comédie-Française au cinéma Le Liberty

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La Comédie-Française au cinéma Le Liberty
PAPEETE, le 28 mars 2019 - Pacl Events et Pathé Live présentent Britannicus de Jean Racine. Une pièce de théâtre interprétée par les comédiens de la troupe de la Comédie-Française et de l’Académie de la Comédie-Française. Cet événement est prévu vendredi au Liberty. Il n’y aura qu’une seule séance.

Britannicus est une oeuvre de Jean Racine représentée pour la première fois en 1169, à Paris. Il s’agit de la deuxième grande tragédie de Racine. "C’est un véritable tissu d'intrigues entre professionnels de la politique où se mélangent histoires intimes, amoureuses et familiales. Cette tragédie est le récit d’une prise de pouvoir et la métamorphose d'un homme, Néron, en tyran", annonce Pacl Events.

Avec Pathé Live, Pacl Events propose après la diffusion du concert des BTS en janvier une projection de Britannicus ce vendredi au Liberty.

La pièce est une version mise en scène par Stéphane Braunschweig et interprétée par des comédiens de la Comédie-Française (Hervé Pierre, Laurent Stocker, Clotilde de Bayser, Benjamin Lavernhe, Georgia Scalliet, Stéphane Varupenne, Dominique Blanc) et de l’académie de la Comédie-Française (Alexandre Schorderet, Marceau Deschamps-Segura, Matthieu Astre).

Elle a été jouée à la Comédie-Française en juin et juillet 2018. Elle dure 2h15 sans entracte.

Britannicus prend place à Rome où l’empereur Claude a eu de Messaline un fils appelé Britannicus. Puis, il épouse Agrippine et adopte Néron. Néron étant le fils d’Agrippine d’un précédent mariage.

Néron succède à Claude. Dans sa pièce Jean Racine s’intéresse au moment précis où le règne de Néron bascule. Alors qu’il agissait avec sagesse, il finit par assassiner son propre frère suite à une rivalité amoureuse.

D’autres grands classiques devraient succéder à Britannicus sur les écrans polynésiens. Pacl Events et Pathé Live devraient proposer des projections de pièces de la Comédie-Française mais aussi des opéras du Metropolitan Opera de New-York, des ballets du théâtre Bolchoï de Moscou.

Qu’est-ce que l’académie de la Comédie-Française ?

Depuis 2009, la Comédie-Française accueille chaque saison des jeunes diplômés des grandes écoles supérieurs d’art qui bénéficient ainsi d’un complément de formation : 6 comédiens et depuis 2015 : 1 metteur en scène-dramaturge, un scénographe et un costumier).

La Comédie-Française au cinéma Le Liberty
Pratique

Séance unique au cinéma le Liberty 2, le vendredi 29 mars à 17h40.
Tarif unique : 1 800 Fcfp
Billets en vente tous les jours de 11h30 à 20 heures directement au cinéma, dans la limite des places disponibles.


La Comédie-Française au cinéma Le Liberty

La Comédie-Française au cinéma Le Liberty


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Les plus beaux contes de Tahiti de Sonia de Braco

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Les plus beaux contes de Tahiti de Sonia de Braco
PAPEETE, le 28 mars 2019 - L’ouvrage Les plus beaux contes de Tahiti vient de paraître. Il rassemble 26 histoires imaginées par Sonia de Braco qui dédicacera ses textes ce samedi à Archipels.

"Mes contes, typiquement "locaux", sont un mélange de réalité et de fiction", indique Sonia De Braco. "Ils ont tous un petit côté disons ‘éducatif’, car ils ont pour thème principal la nature, les plantes, les fleurs, les insectes polynésiens."

Parmi les personnages principaux se trouvent des "dieux d'autrefois-celui de la forêt, celui de la mer, des fées, des lutins, et évidemment, comme dans Harry Potter, ils savent tous parler ! "

Dans cette compilation, il y a en fait trois livres. Le dernier est un voyage dans le temps : un groupe d'enfants de Tahiti retournent à l'époque de la reine Pomaré. Ils apprennent de nombreuses choses avec elle avant de poursuivre leur remontée du temps et découvrir d'autre secrets, par exemple celui des tiki…

Les plus beaux contes de Tahiti de Sonia de Braco
Pratique

Dédicace le samedi 30 mars 2019 de 9h30 à midi à la librairie Archipels.

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L’exposition sur les "Xiang" est de retour

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L’exposition sur les
PAPEETE, le 28 mars 2019 - Après l’assemblée de la Polynésie française en janvier, elle sera du 1er au 7 avril à la Chambre de commerce, d’industrie, des services et des métiers (CCISM).

Des rosaces généalogiques sont présentées. Ces rosaces établissent les liens au sein de familles issues d’un même ancêtre. Il y en a une trentaine au total dont deux remontent aux années 1865 avec l’arrivée des premiers Chinois à Atimaono.

Concrètement, les rosaces montrent au centre le nom de l’ancêtre et, quand il y a les dates de naissance et de mort. Puis dans un premier cercle se trouve la, ou les conjointes. Suivent les enfants et leur(s) conjoint(s) respectifs, et cela jusqu’aux générations d’aujourd’hui.

Les xiang sont les noms de famille. Ils permettent à tous les Polynésiens de mieux comprendre leur généalogie et les liens qui les unissent. "Cette exposition s’adresse à tous, quelle que soit son origine", insiste Louis Shan Sei Fan qui anime le groupe de travail de l’association culturelle Sinitong auteur de l’exposition Xiang.





Pratique

Du 1er au 7 avril, de 8 à 17 heures.

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Laurent Gerra revient en Polynésie le 13 septembre

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Laurent Gerra revient en Polynésie le 13 septembre
PAPEETE, le 28 mars 2019 - L’artiste fera escale à Tahiti avant de rejoindre Nouméa avec son dernier spectacle "Sans modération". Ce spectacle a été lancé en 2017 à l’occasion des 50 ans de l’artiste.

Angela R. productions en accord avec TS3 présentent "Sans modération", le dernier spectacle de Laurent Gerra. L’artiste sera sur la scène de To’ata le 13 septembre accompagné de ses musiciens.

Dans ce spectacle, "tout est passé au crible" ! Hommes politiques, chanteurs, acteurs, personnalités faisant l’actualité… Personne n’est épargné.

En plus l’artiste revisite quelques-uns de ses grands sketchs et personnages préférés comme Céline Dion et rend hommage à son ami Johnny Hallyday.

Laurent Gerra présente Sans modération depuis près de 2 ans. Il y mettra un point final en Polynésie et en Nouvelle-Calédonie.

Imitateur, l’artiste est aussi auteur, humoriste, chroniqueur radio et télé, scénariste de bande dessiné et comédien. Ses différentes expériences professionnelles et ses rencontrent nourrissent ses spectacles appréciés par un fidèle public.




Laurent Gerra revient en Polynésie le 13 septembre
Pratique

Le 13 septembre 2019 à To’ata à 19h30.
Billets en vente en ligne et dans les magasins Bose centre Vaima, iStore à Pacific Plaza.
Réduction de 5% pour toutes les places achetées avant le 3 juin.


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Circulation de nuit restreinte sur la RDO du 1er au 4 avril

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Deux voies de la RDO, la route de déviation ouest, seront fermées de part et d’autre du terre-plein central de 20 heures à 2 heures du matin, du lundi 1er au jeudi 4 avril, afin de permettre au Service des Parcs et Jardins et de la Propreté d’entretenir les plantations du terre-plein central.Il est recommandé aux automobilistes la plus grande prudence et le respect des consignes de sécurité aux abords du chantier.

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Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

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Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !
AMERIQUE CENTRALE, le 28 mars 2019. “Si tu vas à Santiago Atitlan, ne manque pas de rendre une visite à Maximon” (on prononce Machimon). Fort de cette recommandation, Tahiti Infos est donc allé voir le fameux “Machin-chose”. Suivez-nous pour un face-à-face avec la personnification du diable…

Vous aimez le tourisme “bien carré”, genre club de vacances ? Cette escapade n’est pas pour vous. Nous vous invitons en effet à rencontrer un triple diable, pas moins, réplique méphistophélique de la Sainte Trinité.

Rendez-vous avec « Super Satan »
Nous sommes sur la rive sud du lac Atitlan, au Guatemala, dans le petit village de Santiago. Causer avec un super Satan, ça n’arrive pas tous les matins.

Ce jour-là, rendez-vous est calé de bonne heure.

Pour aller à Santiago Atitlan, il faut prendre le bateau à Panajachel et traverser en 45 minutes le grand lac Atitlan dominé par les silhouettes inquiétantes de volcans colériques (le San Pedro, 3 020 m, le Toliman, 3 134 m, et le Atitlan, 3 535 m).

À la descente de la « lancha », sur l’embarcadère, des petites Indiennes, hautes comme trois pommes, assaillent les rares touristes (à cette heure) en leur proposant “Machimon, Machimon ?” Pour quelques piécettes ou quetzals, les enfants conduisent alors leurs visiteurs à travers le labyrinthe des rues de Santiago jusqu’à la maison où réside le “monstre”. De la fenêtre ouverte et de la porte entrebaîllée de la masure abritant la créature s’échappent des fumées bleutées dues au copal, résine brûlée en l’honneur du dieu-diable. Ambiance…

Bébé hurleur et épileptique
On entre dans une semi obscurité presque palpable.

Autour de la statue sans jambes, habillée de carrés de soie et de pièces de vêtements indiens, s’activent quelques officiants, “grands prêtres” mayas dont le curé voisin ne veut plus entendre parler. Il est à peine 9 heures du matin et l’alcool coule déjà à flot. La statue en bois, fumant en permanence le cigare, reçoit de nombreux visiteurs, car on la consulte comme on va voir un toubib.

Un rien médusé, nous assisterons à deux séances de “médecine” : un “bébé hurleur” qui fera silence au terme de la visite et un épileptique au bord du delirium tremens, pour lequel Maximon ne pourra visiblement rien.

Nous obtenons, moyennant sacrifice (financier) au dieu Maximon, d’assister à ces deux cérémonies matinales, du moment qu’on pense à rajouter des billets au pied de l’incube et à nous tenir tranquille dans notre coin.

Pour les photos, c’est plus compliqué et plus cher. Et il faut le feu vert du prêtre maya. Mais avec force billets (verts), on finit par y arriver, vite fait entre deux séances de guérison…

Un exorcisme
Satanique, le principe de l’exorcisme, puisque c’en est un, est simple ; le malade que l’on croit ou qui se croit possédé amène évidemment un peu d’argent (plus il y en a, plus les chances de guérir sont grandes). Les prêtres de Maximon achètent de l’alcool dont ils versent une rasade dans la bouche de la statue en la penchant en arrière. Ils se partagent le reste en discutant ferme avec leur diabolique interlocuteur, tout en répandant force nuages de copal dans la pièce.

Incantations et discussions contradictoires à voix haute entre les prêtres se suivent, au rythme des verres d’alcool. Le bébé hurleur a ainsi été approché, enfumé, désenvoûté. Sa mère avait l’air tétanisé. Le marmot l’a bouclé en cinq minutes, mais il a fallu que les prêtres donnent toutes leurs tripes pour convaincre Maximon. Il a fallu boire et reboire, donc repayer. Un peu. Maman s’est exécutée.

En plus explicite, à 10 heures du matin, tout le monde était fin saoul et avait les yeux rouges ; preuves d’une grosse fatigue. A quoi cette noble assemblée devait-elle ressembler à 5 heures de l’après-midi, nous préférons ne pas savoir…

Parmi les Indiens attendant leur tour, personne ne bougeait le petit doigt. Maximon, il est vrai, n’est pas un rigolo. Et pour cause, ce diable est triplement redouté : dans ce village, les Mayas Tzutuhil, accablés par tous les malheurs de la terre au moment de la Conquista, ont en effet fondu dans le même creuset trois personnes incarnant pour eux le mal absolu : Judas, qui a trahi le Christ, le dieu de la mort maya et Pedro de Alvarado, le cruel conquistador qui a soumis le Guatemala. Trois diables en un, on comprend que les Indiens en aient une peur bleue.

Leur âme au Diable…
Si tous, autour du lac Atitlan ou sur les hauts-plateaux d’Amérique centrale, maudissent Maximon (certains, c’est rare, osant quand même s’en moquer), allez savoir pourquoi, dans le même temps ils ont pris le parti non pas de rejeter ce démon, mais de tenter au contraire de s’en faire un allié en lui vouant un culte. Ils ont, ni plus ni moins, vendu leur âme au diable… Quitte à gérer des ennuis, se sont-ils dit, autant traiter directement avec le responsable et tenter de l’amadouer plutôt que de se tourner vers Dieu ou ses saints, ce qui ne pourrait que déchaîner encore plus le courroux de la diabolique trinité.

En changeant Maximon de maison chaque année, ses adorateurs veillent à ce que la statue ne soit pas confinée en un seul lieu, mais circule chez tout le monde (le principe de la tournée générale en quelque sorte).

Est-il besoin de préciser que le curé de Santiago Atitlan n’apprécie guère ce culte satanique ? En attendant, durant la Semaine Sainte, Maximon défile dans les rues, en procession, avec Jésus et tous ses saints. Ainsi va la foi à Santiago Atitlan…

Textes et photos : Daniel Pardon

Une ribambelle de Maximon
Quand on circule sur les hauts plateaux du Guatemala, on est surpris par le nombre de Maximon plus ou moins cachés ici et là. Pour certains, Maximon a été formé par la synthèse d’un dieu maya, Maam, avec un saint catholique, Simon (Maam-Simon ayant donné Maximon prononcé Machimon).

D’autres y ajoutent Pedro de Alvarado, conquistador ayant soumis la région dans un bain de sang, et Judas, traître au Christ. Presque partout, il est représenté par une statue en bois affublée de divers vêtements colorés. Protéiforme, tantôt il est imberbe, tantôt il est barbu, tantôt il est blanc, rarement noir de peau mais il peut même changer de sexe pour devenir une femme !

Deux constantes : la peur que sa statue inspire partout et le fait que toute approche ne peut se faire qu’avec du bel et bon argent. Rien n’est gratuit en ce bas monde et surtout pas sa protection.

Il est vrai que son champ de compétences est vaste : amour, argent, santé, malédictions… Quant à sa cohorte de servants, les petits et grands prêtres (tous des hommes), saouls du matin au soir à force de libations, ils coûtent fort cher en alcool (aguardiente, bière, mezcal, tequila, whisky, rhum…).
Les Indiens Tzutuhils le surnomment Ri Laj Man (le Vieux, le Vénérable, le « Metua » dirait-on chez nous).

Personnage, malsain, dépravé, fornicateur, il est le protecteur de toutes les prostituées qui le fêtent le 28 octobre, jour de la Saint-Simon. Par extension, il protège aussi les homosexuels, les trans, les travestis, etc.

On sacrifie tous les jours de l’année au culte de Maximon, mais c’est le Vendredi Saint que culmine souvent dans les villages sa dévotion ; il est alors porté par ses adeptes en procession, allant inévitablement à la rencontre des processions catholiques célébrant la mort du Christ. Inutile de préciser que le face-à-face est souvent tendu.

Si les prêtres ont réussi à expulser les images de Maximon de leurs églises, en revanche, ceux qui ont essayé de le détruire ont échappé de peu au lynchage.

Maximon et la Trinité cohabitent donc aujourd’hui au Guatemala…

Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

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Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

Carnet de voyage - En tête-à-tête avec Maximon, triple diable !

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​Retraites : une première réunion du COSR prévue "fin avril, début mai"

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​Retraites : une première réunion du COSR prévue
PAPEETE, 28 mars 2019 - Le Conseil d'orientation et de suivi des retraites (COSR) pourrait réunir ses 13 membres dès la fin du mois prochain.

Le principe d’un Conseil d’orientation et de suivi des retraites (COSR) est établi par la loi du Pays  réformant le système de retraites polynésien, applicable depuis le 1er février dernier après validation du texte par le Conseil d’Etat. Cette instance permanente a pour vocation de surveiller l'évolution des régimes de retraites et de formuler des propositions pour assurer leur solidité financière et leur fonctionnement solidaire.

Mercredi, le Conseil des ministres a acté la création du COSR. Dans les prochains jours, un arrêté devrait définir les organisations syndicales retenues pour y siéger. Sur le principe, sa composition est définie par la loi du Pays réformant les retraites : le COSR sera composé de 13 membres désignés pour un mandat de quatre ans, dont 5 représentants des employeurs, 5 représentants des syndicats de salariés, 2 représentants des organisations de retraités, pensionnés des régimes de retraites polynésiens, et d’un représentant de la Jeune chambre économique de Tahiti.

La première réunion du Comité d’orientation et de suivi des retraites pourrait avoir lieu "fin avril, début mai" prochains, nous indique-t-on. La réforme du système polynésien d’assurance vieillesse entrera progressivement en vigueur entre le 1er juillet 2019 et le 1er janvier 2023.
 
>> Lire aussi : Le Conseil d’Etat valide la réforme des retraites dans les grandes lignes

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ATN: Premier vol Paris/ Papeete du Tahitian Dreamliner, les passagers accueillis pas Vaimalama Chaves

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ATN: Premier vol Paris/ Papeete du Tahitian Dreamliner, les passagers accueillis pas Vaimalama Chaves
Aéroport Paris Charles De Gaulle , le 28 mars 2019- Belle surprise pour les passagers du Fakarava, le Dreamliner de la compagnie Air Tahiti Nui, ce jeudi matin: à l'occasion du premier vol de l'aéronef à destination de Los Angeles et Papeete, ils ont été accueillis par Miss France 2019, Vaimalama Chaves. Ils ont également pu déguster une délicieuse part de gâteau.


ATN: Premier vol Paris/ Papeete du Tahitian Dreamliner, les passagers accueillis pas Vaimalama Chaves

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Sup – Waterman Tahiti Tour 2019 #1 : Belles performances pour Ricky Aitamai

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La première étape du Waterman Tahiti Tour 2019 s’est déroulée ce week-end entre Mataiea et Papearii. Une quarantaine d’athlètes ont participé aux épreuves concoctées par Stéphan Lambert, l’organisateur. La course de Sup, qui compte pour le championnat de Polynésie, a été remportée par Enzo Bennett devant Ricky Aitamai et Georges Cronsteadt. Chez les femmes, victoire de Vaimiti Maoni devant Haniarii Brillant et Hinarii Yiou.
Sup – Waterman Tahiti Tour 2019 #1 : Belles performances pour Ricky Aitamai
La sixième édition du Waterman Tahiti Tour s’est déroulée dans le cadre idyllique de Teva i uta les samedi 23 et dimanche 24 mars. Environ une quarantaine d’athlètes ont pris part au programme proposé par Stéphan Lambert. Le Waterman Tahiti Tour propose trois disciplines principales : le Sup, la natation et le prone paddle board. Des épreuves « surprise » étaient également au programme.
 
Le Waterman Tahiti Tour de Stéphan Lambert fait figure d’ovni dans le monde du sport polynésien. Sans cesse en recherche d’innovation au niveau des épreuves comme au niveau des sites de compétition, le Waterman Tahiti Tour est une invitation au dépassement de soi dans le cadre de jeu paradisiaque qu’est la Polynésie française. Ce championnat itinérant a proposé depuis 2014 des épreuves à Huahine, Bora Bora, Raiatea, Rangiroa, Tahiti…
 
La première journée de compétition était consacrée au « Warm up ». Les athlètes ont dû exécuter un trail (une course à pied en nature) d’une douzaine de kilomètres les menant au Lac Vahiria pour enchainer avec quelques exercices - corde à sauter, pompes - avant de finir en beauté avec un petit parcours chronométré de Sup gonflable sur le Lac. « Ne vous attendez à rien, soyez prêts à tout », telle est la devise de ces watermen et waterwomen qui se sont retrouvés, pour une fois, en pleine montagne.
 
La deuxième journée - dimanche - s’est déroulée au Jardin Botanique de Papearii avec les épreuves classiques du Waterman Tahiti Tour, le Sup, la natation, le prone paddle board et le « combo », un parcours qui allie les trois disciplines. La discipline principale, le stand up paddle, fait partie du calendrier des courses comptant pour le championnat de Polynésie de Sup organisé sous l’égide de la fédération tahitienne de surf.

Sup – Waterman Tahiti Tour 2019 #1 : Belles performances pour Ricky Aitamai
Le dépassement de soi avant tout
 
La course la plus longue était proposée sur un parcours de 11 km reliant le motu Ovini, la passe Temarauri et la passe Rautirare, avec un retour au motu Ovini. Sur cette course, c’est Enzo Bennett qui a été le plus rapide devant le jeune Keoni Sulpice, Georges Cronsteadt, Niuhiti Buillard et Ricky Aitamai. Ce dernier s’illustre en remportant le parcours suivant sur 6 km devant Enzo Bennett et Georges Cronsteadt.
 
Au final, c’est donc Enzo Bennett qui remporte la catégorie Sup devant Ricky Aitamai et Georges Cronsteadt. Belles performances pour Ricky Aitamai qui, rappelons-le, nous vient du football et faire figure de nouveau venu dans cette discipline. Le message est clair, il faudra désormais compter sur lui dans la partie haute du classement du championnat de Polynésie de Sup.
 
Chez les femmes, c’est la rameuse de Teva Va’a et gagnante du Waterman Tahiti Tour 2018 Vaimiti Maoni qui s’impose en Sup devant Haniarii Brillant et Hinarii Yiou. Ricky Aitamai monte sur la plus haute marche du podium en prone paddle board alors que du côté des femmes, c’est Heilani Cronsteadt qui gagne devant Vaimiti Maoni. Les résultats complets et officiels seront diffusés ultérieurement par l’organisation.
 
Rendez-vous le samedi 30 mars à la Pointe Vénus pour la course Air Tahiti Nui Paddle Royal Race qui compte également pour le championnat de Polynésie de stand up paddle. SB

Sup – Waterman Tahiti Tour 2019 #1 : Belles performances pour Ricky Aitamai
Parole à Ricky Aitamai :

Beau week-end de courses pour toi au 1er round de la WTT ?

« Oui, c’était un super week-end de courses pour moi, avec le Marathon Va’a Polynésie 1ère samedi puis deux podiums à la clé dimanche lors du 1er round de la WTT, une victoire en prone et une 2ème place en SUP. Un week-end très difficile, très chargé mais comme je les aime. »

Pas trop difficile de participer à plusieurs disciplines SUP et prone ?

« De participer à plusieurs disciplines, non. Mais d’être performant dans plusieurs disciplines, oui ! Bien sûr que c’est très difficile, surtout que la concurrence est très rude que ça soit en prone ou en SUP. Du coup, l’hygiène de vie devient un facteur déterminant : alimentation, nutrition, hydratation, sommeil…ainsi que la préparation athlétique et mentale. Mais je pense que cela reste tout de même possible avec beaucoup de travail, d’humilité et de détermination. »

Quelques mots sur le concept WTT, tu aimes bien ?

« Le concept de la WTT est super pour celui qui veut connaître ses limites mais aussi se dépasser à travers plusieurs disciplines « aquatiques » natation, warm-up, prone, SUP…»

Quels sont tes objectifs à venir ?

« Les objectifs à venir sont tout d’abord les deux grandes courses locales qui entrent respectivement dans l’Euro Tour et le circuit mondial de SUP, avec la « Air Tahiti Nui Paddle Race » en prone et SUP puis le « Air France Paddle Festival » en SUP. Ensuite, nous partons avec la team 425pro fin avril aux Etats–Unis pour la « Carolina Cup », une des plus prestigieuses étapse du circuit mondial. Nous avons aussi deux à trois autres déplacements à l’international dans l’année, et d’autres plusieurs autres courses locales (en prone, SUP et va’a), mais je vais me concentrer d’abord sur ce premier bloc de travail. » 

Un dernier mot, un remerciement ? 
« Je voudrais remercier tout d’abord ma femme et mon fils qui sont ma toute première force et sans qui je ne serai pas là aujourd’hui. Je voudrais bien sûr remercier tous mes sponsors avec en premier lieu 425pro (Jerry Mihimana) pour tout le matériel d’entrainement et de compétition (SUP, prone, rames SUP et va’a, iatos, leash…), Virus Tahiti by SNS (Heifara Navarro et Vaianu Lucas) pour les vêtements de compression et accessoires, SurfNsupply et Futures pour les dérives Futures, Overstim Tahiti (Gisèle et Kimo) pour la nutrition sportive mais aussi Island Nation pour les vêtements de tous les jours. Vraiment du fond du cœur… un grand mauruuru pour votre soutien et votre confiance ! » Propos recueillis par SB

Sup – Waterman Tahiti Tour 2019 #1 : Belles performances pour Ricky Aitamai
Parole à Vaimiti Maoni :
 
Une étape particulièrement difficile ?
 
« Encore un dimanche très très sportif et où il fallait surtout avoir un sacré mental...Un des Waterman Tahiti Tour les plus hot et les plus durs pour moi. Je suis heureuse de l'avoir fait et de terminer à la première place de cette première étape, sauf erreur de ma part. Les épreuves ont été très difficiles et se sont enchainées, pas le temps de se reposer...Un peu plus de 45 km à la force des bras et des jambes pour ce week-end, des courbatures partout…Qu'est-ce que c'est bon de finir ! »
 
Un dernier mot, un remerciement ?

« Merci à mes parents d'amour qui se sont occupés de moi aujourd'hui, qui ont été à mes petits soins, merci à mon coach pour les entrainements et le soutien, merci à tout le staff du Waterman Tahiti Tour sans oublier mes sponsors et tous ceux qui me soutiennent. Si j'ai pu tenir ce week-end, c'est grâce au mental, à mes parents et à la nutrition (Overstims). Maururu roa, félicitations à tous les compétiteurs. Place à la Air Tahiti Nui paddle race samedi prochain. Never give up ! »

Sup – Waterman Tahiti Tour 2019 #1 : Belles performances pour Ricky Aitamai

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Les douanes au ralenti à cause d'une panne de logiciel

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Les douanes au ralenti à cause d'une panne de logiciel
PAPEETE, le 28 mars 2019 - ​Le logiciel SOFIX des douanes polynésiennes, sur lequel les entreprises font toutes leurs déclarations, est tombé en panne cette semaine. "On est passé en opération manuelle. C'est encore gérable mais nous ne sommes pas paralysés", assure-t-on du côté des douaniers.

"Les dysfonctionnements au niveau des déclarations douanières ont commencé ce mardi en fin d'après-midi, et ils continuent encore aujourd'hui", a confié un transitaire du fenua. La cause de ces dysfonctionnements : une panne sur le logiciel SOFIX, qui relie les entreprises aux douanes et par l'intermédiaire duquel ces dernières réalisent toutes leurs opérations.
 
Si certaines entreprises parlent de blocage de leur marchandises, les douaniers assurent de leur côté que, "l'activité n'est pas bloqué mais elle tourne au ralenti. On est passé en opération manuelle. C'est encore gérable mais nous ne sommes pas paralysés."
 
En attendant le rétablissement du logiciel, qui pourrait intervenir ce jeudi après-midi selon les douanes, les produits périssables passeront en priorité. Et pour fluidifier un peu plus le trafic des marchandises sur Motu Uta, les opérateurs auront également la possibilité de sortir leurs déclarations douanière sur FENIX, "même si cette solution n'est pas encore parfaite", concède le service des douanes.

Lire aussi >> Êtes-vous prêt pour le changement de logiciel des douanes ?

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Festival des îles – Charles Ariiotima « Un coup de chapeau aux Marquises »

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La 11e édition du Festival des îles se déroulera à Tahiti du 8 au 13 avril. Pas moins de 2000 personnes dont 700 femmes sont attendues, issues de 26 îles des archipels de Polynésie française. Charles Ariiotima, de la fédération tahitienne de football, a pu nous ouvrir les coulisses de l’organisation de cet événement exceptionnel. En ouverture du Festival, le public pourra assister le 7 avril au quart de finale de la Ligue des champions OFC qui opposera l’as Central au club calédonien de Magenta.
Festival des îles – Charles Ariiotima « Un coup de chapeau aux Marquises »
Parole à Charles Ariiotima, directeur des compétitions au sein de la FTF :
 
Quelques mots sur le Festival des îles ?
 
« De toutes les fédérations, nous sommes une des rares à réunir les champions de tous les archipels. Nous réunissons les 110 meilleures équipes de la Polynésie. Le Festival des îles est aussi le tournoi qui réunit le plus de femmes sur un événement sportif. De nombreuses îles habitées sont concernées. Cinq aux Marquises, cinq aux îles sous le vent, quatre aux îles Australes, Moorea, Tahiti, les Tuamotu et une des Gambiers…26 au total. Dans chaque île, nous avons nos référents qui sont les présidents des comités de futsal ou les présidents de district de football. Ils organisent dans leur île leur propre championnat et les champions participent au Festival des îles. »
 
Un événement qui permet aux îliens de se rencontrer ?
 
« Oui, on a mis ça en place pour sortir les gens des îles de leur isolement. Certains n’ont jamais pris l’avion. C’est une chance pour eux de venir à Tahiti pour rencontrer les gens des autres archipels. On prépare cet événement chaque année depuis octobre, novembre. Puis à partir de janvier, on demande les confirmations aux équipes participantes en avril. Ils envoient le nom de leurs équipes au comité d’organisation basé à Tahiti. »
 
« Cela fait pratiquement 12 ans que le comité fonctionne bien, car les membres connaissent bien leur rôle. On change les personnes rarement. C’est ce qui nous facilite un peu la tâche. Surtout que ce comité gère les deux ou trois grands évènements que l’on a chaque année. C’est notre force à la FTF. Ce sont les mêmes qui gèrent la sécurité, l’hébergement, la restauration, les compétitions, le protocole, les bénévoles… »

Festival des îles – Charles Ariiotima « Un coup de chapeau aux Marquises »
Qu’est ce qui est le plus difficile à gérer ?
 
« Le plus difficile à gérer, ce sont le transport aérien, l’hébergement et la restauration. C’est là qu’il y a un gros travail. Pour l’hébergement, nous sommes obligés de solliciter le Lycée du Taaone, le Lycée Aorai, le collège…Il y a un gros budget pour la restauration, pour nourrir toutes ces personnes. Le transport aérien est à la charge des équipes. La fédé prend en charge les transports terrestres, l’hébergement et les repas. Les îles qui viennent prennent en charge le transport aérien, ce qui n’est pas évident pour eux, connaissant les tarifs des billets d’avion. »
 
Comment ils résolvent ce problème ?
 
« Ce qui est bien avec les îles, c’est qu’ils mettent les moyens humains pour faire une chaine de dons ou autre. Aux Tuamotu, ils font du coprah pour le vendre et payer leur billet, aux Marquises ils vont à la pêche, à la chasse et envoient leurs produits à Tahiti à la vente. Aux Australes, ils organisent des ventes de plats, des bals pour payer leur billet…Un billet pour les Marquises, avec la réduction, coute environ 50 000 xpf. Le plus petit budget, Huahine par exemple, c’est presque 500 000 xpf qu’il faut réunir. Ce n’est pas évident. »
 
Une anecdote, une équipe qui sort de l’ordinaire ?
 
« Je vais tirer un coup de chapeau aux Marquises. Rien qu’en billets, c’est environ 1,3 million xpf. Réunir cette somme demande un an d’investissement contrairement à d’autres qui s’y prennent au dernier moment. Ils sont unis et solidaires. Par solidarité, les équipes de Tahiti sont chargées de vendre les Pass d’accès aux compétitions. »

Festival des îles – Charles Ariiotima « Un coup de chapeau aux Marquises »
Comment les gens de l’extérieur, la Fifa, voit ce Festival ?
 
« Il y a un mois environ, un article qui parle du Festival des îles est sorti sur fifa.com. C’est fou de voir que l’événement d’un petit pays arrive jusqu’à la Fifa. Nos copains de l’Océanie ont également beaucoup entendu parler du Festival des îles. Les responsables des fédérations de l’Océanie seront à Tahiti pendant le Festival pour un séminaire, avec également la présence de Patrick Pion, le directeur technique national adjoint de la fédération française de football. »
 
Les bénévoles sont également nombreux ?
 
« Si la fédé peut organiser ce genre d’événement, c’est grâce à son réseau de bénévoles. Quand on les appelle, ils viennent. Pour cette année, on tourne avec 300 bénévoles. Sans les bénévoles, pas de Festival des îles donc un grand merci à eux. Je rajouterais que cela fait trois ans maintenant qu’on essaye de permettre aux gens des îles de voir un match international. Cette année, ils auront la chance de voir le quart de finale de la Ligue des champions OFC opposant l’as Central et l’as Magenta, le club calédonien, le dimanche 7 avril en ouverture du Festival. »
 
Un dernier mot, un remerciement ?
 
« On compte bien évidemment sur le public de Tahiti, notamment les îliens qui vivent à Tahiti, pour venir à la rencontre de ces gens des îles qui font l’effort de venir nous voir, venez profiter de la super ambiance ! Ne manquez pas non plus le quart de finale entre Central et Magenta. Les Pass sont à 2000 xpf pour huit jours de compétition, le Pass journalier est à 500 xpf. Venez nombreux ! » Propos recueilli par SB / FTF

Festival des îles – Charles Ariiotima « Un coup de chapeau aux Marquises »

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Éveillez vos sens au village de l’alimentation

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Éveillez vos sens au village de l’alimentation
PAPEETE, le 28 mars 2019 - Le village de l’alimentation et de l’innovation (VAI) vient d’ouvrir ses portes. Il est situé à la Maison de la culture. Ses stands, conférences, ateliers et animations illustrent le thème choisi pour cette deuxième édition : les sens et les émotions.

C’est la deuxième édition du village de l’alimentation et de l’innovation, aussi appelé VAI. Cet événement à l’initiation de Manihi Lefoc d’Asae Conseils Il vise des objectifs précis : "donner du sens à ce que nous mangeons et à la façon dont nous consommons", "découvrir l’influence de nos sens", "créer des émotions en cuisine au service d’une alimentation locale, saine et durable".

Le VAI est un lieu de rencontre, de partage, de découvertes et de transmission de savoirs et savoir-faire, le VAI rassemble pour connecter les individus entre eux et faire émerger de nouvelles dynamiques, qui valorisent les hommes et leur environnement.

Il s’organise autour de différents stands. Mais ce n’est pas tout, des animations et expériences sensorielles sont proposées, des ateliers culinaires dit Cooking class, des conférences, exposés, projections vidéo, des contes… Un marché des saveurs a également été mis en place avec des plats et des produits locaux.

Le village restera ouvert jusqu’à samedi. Le programme ainsi que le plan du village sont disponibles sur le site internet de l’événement.

Éveillez vos sens au village de l’alimentation
Exposition de feuilles comestibles

La Communauté du Pacifique tient un stand sur les feuilles comestibles du Pacifique. Il est le fruit d’un projet lancé il y a un an. "L’objectif est d’encourager à la consommation de légumes, car les feuilles sont considérés comme tels", explique Solène Bertrand nutritionniste. Les feuilles vert foncé sont une excellente source de vitamines (notamment de vitamine A, C et K ainsi que d’acide folique) et de minéraux (fer, calcium, magnésium, potassium). Elles sont riches en fibres et ne contiennent pas ou très peu de glucides. Elles sont riches en antioxydants, polyphénols, caroténoïdes… "Elles ont par ailleurs l’avantage d’être gratuites, et elles se trouvent partout pour qui sait les identifier."

Selon les scientifiques, il existe un millier de plantes à feuilles comestibles à travers le monde. "Nous en avons retenu 60 sur quatre sites : la Polynésie, la Nouvelle-Calédonie, les Fidji, le Vanuatu." Pour chacune, une vidéo a été tournée. Dans chaque vidéo, les feuilles sont présentées : forme, lieu de vie, intérêt nutritionnel… et cuisinées par un chef.

Les vidéos ont été diffusées sur le réseau France télévision. Un livret est sorti, rassemblant les recettes. Il est disponible au village ou sur le site de la Communauté du Pacifique.

Éveillez vos sens au village de l’alimentation
Alimentation et émotion animé par les élèves du lycée Raapoto

Dans le cadre d’un enseignement optionnel Santé social, des élèves du lycée Raapoto animent un espace sur l’alimentation et les émotions. Les ateliers, pour petits et grands, durent 5 minutes et, pour ceux qui veulent tous les faire, il faut compter 30 minutes. "On a eu une intervention d‘infirmiers pour nous parler des émotions, la joie, la colère…", expliquent Eva Vidov et Logan Balch, persuadés qu’il y a un lien entre les émotions, ce que l’on ressent et nos choix alimentaires. "Nous parlons donc des émotions et de ce que l’on peut ressentir dans son corps, chaleur, froid…" Des jeux sont également mis en place pour apprendre à reconnaître les fruits et légumes par exemple.

Éveillez vos sens au village de l’alimentation
Cours de cuisine en live

Anaïs Bergeretti, pâtissière végétale et Alice Valentin, chef vegan Au P’tit café à Nouméa ont co-animé un atelier culinaire jeudi sous le chapiteau. Au menu : des barres de céréales et un bananolu (figolu revisité avec de la banane séchée). À l’issue de la présentation, le public a pu déguster les créations. Ils sont repartis avec la recette. D’autres ateliers ainsi que des cooking class sont prévus tout au long de l’événement.


Pratique

Jeudi 28 mars et vendredi 29 mars de 8 heures à 17 heures.
Samedi 30 mars de 8h30 à 17 heures.
À la Maison de la culture.
Accès libre


Contacts

Site internet du VAI
Facebook : village de l’alimentation et de l’innovation.
Instagram : @village_vai


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Bols, verres, couverts, Tropical bowls élargit sa gamme de vaisselle écologique

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Bols, verres, couverts, Tropical bowls élargit sa gamme de vaisselle écologique
Papeete, le 28 mars 2019 - Maeta Maamaatuaiahutapu fait partie de la vingtaine d'exposants, qui seront présents à la première édition du Salon Ti'a Fenua Eco Durable Expo Market, organisé par la Chambre de Commerce, d'Industrie, des Services et des Métiers de Polynésie française, le samedi 30 mars sur la promenade du front de mer de Papeete. La jeune femme a créé, avec son compagnon, il y a quelques mois Tropical bowls. Depuis ses débuts en août 2018 avec des bols 100% naturels et fabriqués à partir de noix de coco recyclées, l'entreprise a élargi sa gamme de produits.

Des couverts en bois, des verres en bambou, et bien sûr, les désormais "classiques" bols, faits à partir de noix de coco recyclées, Tropical bowls a bien développé sa gamme de vaisselle écologique depuis ses débuts il y a quelques mois. Fondée en août dernier par Maeta Maamaatuaiahutapu et son associé, la jeune entreprise est spécialisée dans la fabrication de vaisselle confectionnée à partir de produits 100% naturels et locaux. "On prend le bambou dans le jardin de ma mère à la Presqu'île pour faire les verres, on utilise du bois pour les couverts et pour les noix de coco, ce sont les vendeurs de lait de coco qui nous fournissent en coques et ensuite on les trie ", détaille la jeune fille, qui confie apprécier la cuisine et les bons produits sains.
En quelques mois, Tropical bowls a su transformer l'essai. L'entreprise commence à toucher un public de plus en plus large. "Beaucoup de gens achètent nos produits parce qu'ils les trouvent beaux, sympas, mais pas forcément parce que ce sont des produits naturels recyclables. En les achetant, ils se mettent à utiliser des bols recyclables ou des couverts en bois. Petit à petit, ça permet de sensibiliser les gens à la surconsommation du plastique. Il existe beaucoup de solutions, d'alternatives au plastique ", insiste Maeta Maamaatuaiahutapu, avec enthousiasme.

UN GRAND HOTEL DE BORA BORA
Bols, verres, couverts, Tropical bowls élargit sa gamme de vaisselle écologique
Et effectivement, la vaisselle Tropical bowls, 100% naturelle, recyclable et faite main, commence à se faire une belle place et devient même tendance ! Ainsi, couverts, verres ou bols se retrouvent de plus en plus non seulement sur les tables des particuliers, mais également sur celles des restaurants, des pensions et même de certains hôtels de luxe. "Le Méridien de Bora Bora nous a commandé des bols pour leurs glaces", précise Maeta,
Actuellement, en moyenne environ 400 à 500 bols, "les produits phares" de Tropical boals, sortent chaque mois de leur atelier, situé à Toahotu à la Presqu'île. Les bols sont désormais disponibles en trois tailles différentes. C'est surtout Kin Len, avec parfois un coup de main de la famille, qui se charge de la fabrication des bols qu'il faut découper, tailler, stabiliser, décaper et poncer… Si Maeta s'y met aussi, l'ancienne étudiante en droit planche aussi en ce moment sur la création d'un nouveau site internet pour l'entreprise.
Les deux jeunes ont encore plein de projets en tête. Ils espèrent fabriquer un jour des pailles en bambou, des assiettes recyclables… Tout ce dont on peut avoir besoin dans une cuisine écologique !

b[Infos pratiques :
]bTI'A Fenua Eco Durable Expo Market
Samedi 30 mars sur la promenade du front de mer de Papeete de 9 à 19 heures.
Retrouver toutes les infos sur la page Facebook : TI'A Fenua Eco Durable Expo Market
ou sur le site : www.ccism.pf
Odile Tcheou, Chef de Projet au 40 47 27 68 ou odilet@ccism.pf ; Jerry Biret, co organisateur au 87 77 22 87. La brochure des exposants et associations présents sur l’événement est accessible sur l’application Tahiti Best Promo.
Facebook : Tropical Bowls. Instagram : @tropicalbowls. Maeta Maamaatuaiahutapu : 87 72 61 73. tropicalbowlstahiti@gamial.com

Le Club EPER
Créé en 2015, le Club des Entreprises Polynésiennes Éco-Responsables ou club EPER (association loi 1901) a pour objectifs :
• De fédérer les entreprises ayant intégré les thématiques liées au développement durable dans leur fonctionnement et leur stratégie ;

• De valoriser les démarches exemplaires d’entreprises en termes de développement durable, notamment par des actions de communication, de sensibilisation et de diffusion de l’information ;

• De favoriser l’expression, les rencontres et les échanges entre les représentants de ces entreprises ;

• De contribuer au montage d’actions mutualisées ;

• D’être force de propositions, y compris auprès des pouvoirs publics, et inciter au développement d’outils d’accompagnement aux bonnes pratiques environnementales au sein des entreprises polynésiennes et porteurs de projet.
En 2019, le Club EPER compte 18 membres : Air Tahiti Nui, ASAP Pacifique, CEGELEC Polynésie, EDT, Excelia, STP-Multipress , Interoute, le Laboratoire de Cosmétologie du Pacifique Sud, la Laiterie Sachet, la Pension de la Plage, la Polynésienne des Eaux, SARL Paruru Natura (enseigne commerciale Eco Fare), la Banque Socredo, la TEP, Technival, Total Polynésie, TSP, Vinci Facilities.
Le Club EPER est soutenu par la CCISM et l'ADEME.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter la cellule QHSE de la CCISM : qhse@ccism.pf / 40 47 27 72 (Orama Richaud) ou 40 47 27 31 (Brice Meunier).

Programme Animations du Salon Ti'a Fenua Eco Durable Expo Market

9h : Ouverture du Village
9h30- 10h : Scène ouverte avec l’artiste Aniheitini Tepano
10h –10h50 : Scène ouverte avec les artistes Tahiari Tehahe & Vaitea Tauhiro
10h30 : Animation de l’Association Oceania « Découvrir les cétacés de Polynésie française »
10h50 –11h : Scène ouverte avec l’artiste Marevareva
11h : Inauguration Officielle, accueil au son des « Pahu »
11h 15 : Dédicace de Mister Grand International Kevin Richmond et repartez avec 10 T shirts « Collector » de l’événement dédicacés
11h30-12h : Scène ouverte avec l’artiste Meleana
12h –13h : Scène ouverte avec l’artiste Feeling Fingers
13h30 –14h : Scène ouverte avec l’artiste Manaarii
13h30 : Animation de l’Association Oceania « Découvrir les cétacés de Polynésie française »
14h–16h : Animation Course aux Déchets (en partenariat avec Fenua Ma)
16h–17h : Conférence sur diverses thématiques environnementales
17h 30- 18h30 : Mini concert gratuit
19h : Fermeture du Village

9h30 à 18h30
• Exposition de produits éco durable et des produits BIO du terroir
• Animations ludiques pour les enfants avec l’EIE en grandeur nature (Twister de l'énergie, Jeu de l’oie, Chaîne de l’énergie et La maison des éco gestes)
• Démonstrations et dégustations par les exposants
• Grand Jeu Concours « Vote pour le plus beau stand du village » et tente de gagner un billet aller-retour pour Los Angeles offert par Air Tahiti Nui
• Jeu concours sur le stand Oceania avec un tirage au sort à 17H30
• Trajet en Tuk Tuk Gratuit sur le village Ti’a

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Les mangroves de la Société placées sous surveillance

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Les mangroves de la Société placées sous surveillance
PAPEETE, 28 mars 2019 - Une opération de cartographie des mangroves de Tahiti, Moorea, Huahine, Raiatea, Taha’a et Bora Bora sera supervisée courant avril par la Fédération des associations de protection de l’environnement supervise, dans le cadre d’un projet de surveillance financé par l’Agence française pour la biodiversité.
 
Dans le cadre du projet Surveillons les mangroves de Polynésie française ensemble ! , la Fédération des associations de protection de l’environnement (FAPE) souhaite réaliser, courant avril, une cartographie des mangroves sur les îles de Tahiti, Moorea, Huahine, Bora-Bora et enfin Raiatea et Tahaa. Cette opération sera conduite en collaboration de Florent Taureau, expert géographe, attendu en Polynésie pour une mission de trois semaines dans l’archipel de la Société.

Ces recensements effectués dans les zones littorales où le palétuvier Rhyzophora stylosa est présent visent à déterminer si l’on assiste ou non, localement, à un phénomène de remplacement de la végétation indigène, telle que le miro (Thespesia populnea), le ‘amae (bois de rose d’Océanie), le pūrau (Hibiscus tiliaceus), hibiscus des plages ou encore des prairies indigènes à Paspalum vaginatum.

En effet, bien que présente naturellement dans les îles du Pacifique Sud-Ouest (Nouvelle-Calédonie, Fidji, Samoa, Tonga, Wallis et Futuna), la mangrove n’existait pas en Polynésie française avant l’introduction du palétuvier Rhizophora stylosa sur l’île de Moorea dans la première moitié du XXe siècle.

La population appelée en renfort
Au cours de cette mission cartographique, plusieurs réunions d’information publiques suivies de sorties sur le terrain sont programmées afin de recruter et de former des bénévoles qui surveilleront activement la mangrove de leur île par la suite.

Après analyse et synthèse des résultats et relevés réalisés courant avril dans le cadre de cette mission d’observation supervisée par la FAPE, une restitution est annoncée à la fin de l’année dans chacune des îles ayant participé à ce projet.

Le projet Surveillons les mangroves de Polynésie française ensemble !  avait été le seul polynésien retenu en mai 2018 parmi les 44 lauréats du concours Mon projet pour la planète initié en marge de la COP 23 par Nicolas Hulot, alors ministre d’Etat en charge de la transition écologique et solidaire. Sa concrétisation est rendue possible grâce au partenariat de l’Agence Française pour la Biodiversité (AFB), avec l’aide de la compagnie aérienne Air Tahiti et grâce au soutien technique de l’Université de Nantes et du Comité français de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).

Dates des réunions publiques d’information et des sorties terrain
Tahiti : samedi 6 avril de 9h00 à 11h00 dans la salle du Conseil Municipal de la Mairie de Taravao
Huahine : mercredi 10 avril de 9h00 à 11h00 dans la petite salle de réunion la mairie de Fitii
Bora Bora : samedi 13 avril de 9h00 à 11h00 – lieu à déterminer
Raiatea : mercredi 17 avril de 15h30 à 17h30 à la mairie de Taputapuatea
 

Deux conférences gratuites

Tahiti : mercredi 24 avril de 17h00 à 19h00 à la Maison de la Culture (Salle Muriavai)
Moorea : jeudi 25 avril de 17h00 à 19h00 au CRIOBE

>> Téléchargez le programme des conférence   

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Traitement du cancer : « Des progrès importants »

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Traitement du cancer : « Des progrès importants »
PAPEETE, le 28 mars 2019. Le Comité de Polynésie française de la Ligue contre le cancer organise ce vendredi 29, ce samedi 30 mars et le samedi 6 avril des conférences débats pour les professionnels de santé et les malades et leurs familles. Le Dr Marc Spielmann, chef de service en oncologie médicale et pathologie mammaire à l’Institut Gustave Roussy et président de l’Institut français du sein, répondra à toutes les questions.


Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes. Les cancers détectés à un stade précoce nécessitent, en général, des traitements moins lourds et moins agressifs, avec moins de séquelles. Les traitements sont alors très efficaces. A partir de quel âge recommandez-vous aux femmes de faire de l’autopalpation et comment s’y prendre ?
Dr Marc Spielmann. L’autopalpation peut se faire à partir de 40 ans en position allongée si c’est possible. On palpe le sein gauche avec la main droite et le sein droit avec la main gauche.
On fait cadran par cadran, on appuie sur le sein. On tourne à la recherche d’une anomalie. Il faut aussi s’attarder sur le mamelon pour voir s’il y a quelque chose derrière. Ensuite, quand vous êtes face à un miroir, regardez s’il y a une anomalie de la forme. Ce sont des choses que les femmes peuvent faire toutes seules à la maison.

Quand on annonce à une femme le cancer du sein, une des premières peurs est de perdre un sein. Cette opération est-elle fréquente ?
En France, il y a moins de 30 % de mastectomie.

Lors de la conférence de ce vendredi, vous allez parler des progrès des traitements médicaux. Les progrès sont au niveau de la guérison ou de la réduction des effets secondaires ?
Les deux mais les progrès sont surtout au niveau de la guérison. Il y a 30 % d’amélioration en 35 ans. Le taux de guérison atteint 80%. On a des médicaments qui sont assez efficaces. Les traitements sont moins agressifs qu’avant. Il n’y a plus de vomissements. On peut avoir des nausées mais ça dure très peu de temps : 24 à 48 heures maximum.
Avec les traitements, les patients perdent les cheveux mais ils repoussent toujours.

Les traitements contre le cancer peuvent être source de crainte chez les patients. Que pouvez-vous dire pour rassurer par rapport à ces peurs ?
Les progrès sont très importants par rapport aux toxicités. C’est une peur qui n’est pas fondée. Il faut aussi comprendre que le médecin doit donner du temps. On ne peut pas faire une annonce en dix minutes. Le médecin doit donner du temps aux patients. C’est extrêmement compliqué d’avoir un cancer.




Aujourd’hui, les radiothérapies durent moins longtemps. C’est important pour les malades des îles. Pouvez-vous expliquer comment cela est possible ?
Lors des conférences, le Dr Sylvie Mengue parlera comment on fait des radiothérapies plus concentrées pour éviter aux patients d’être longtemps sur Tahiti. Nous pouvons faire la même radiothérapie dans un temps beaucoup plus court avec le même résultat. Aujourd’hui on va faire une dose un peu plus élevée chaque jour et on va pouvoir réduire en ayant la même dose au total. Ainsi, on passera de six semaines à trois semaines. C’est extrêmement important pour les gens dans les îles éloignées pour qu’ils ne restent pas à Papeete seuls pendant des semaines et des semaines. Le temps passé en radiothérapie est beaucoup plus court donc vous êtes éloignés beaucoup moins longtemps de votre famille.
Cela se met en place depuis quatre à cinq ans. Il faut vraiment le favoriser.

Pouvez-vous expliquer en quoi consistent la chimiothérapie et l’hormonothérapie ?
La chimiothérapie permet de tuer une cellule tumorale au moment de sa division. Elle est tuée immédiatement. C’est un traitement efficace si vous avez beaucoup de division cellulaire. Il agit immédiatement. L’hormonothérapie est un traitement qui va se mettre sur les récepteurs des hormones. Les traitements hormonaux sont utilisés en cancérologie parce que certains cancers, comme ceux du sein ou de la prostate, ont leur croissance favorisée par des hormones pour lesquelles ils ont des récepteurs hormonaux spécifiques. On dit qu'ils sont hormonosensibles ou hormonodépendants. Les récepteurs peuvent réagir aux messages donnés par les hormones et déclencher des divisions des cellules cancéreuses, provoquant ainsi la croissance de la tumeur maligne.
Le principe de l'hormonothérapie est assez simple : il s'agit de rendre inopérantes les hormones qui influencent la croissance d'une tumeur.




Programme
Vendredi 29 mars
A 19 h, à l’amphithéâtre du CHPF Taaone.
Conférence débat dédiée aux professionnels de santé
En présence du Dr Marc Spielmann
1) Quelles sont les avancées dans le cancer du sein qui changent notre pratique quotidienne ?
2) La place des signatures génomiques dans la décision du traitement médical adjuvant chez les malades avec récepteurs hormonaux positifs.

Samedi 30 mars
A la mairie de Pirae, à 9 h
Conférence débat dédiée aux patientes et à leur famille
« Où en est –on du cancer du sein : du Diagnostic au Traitement »
En présence du Dr Marc Spielmann
1) Se faire dépister avant d’être malade :
2) J’ai un cancer du sein. Vais-je perdre mon TITI ?
3) Peut-on faire la radiothérapie plus rapidement ?
4) Les traitements médicaux : immunothérapie chimiothérapie et hormonothérapie, les progrès.
5) Les médecins répondent aux questions que vous vous posez

Samedi 6 avril
Mairie de Uturoa, de 9 h à midi
Conférence débat dédiée aux patientes et à leur famille
En présence du Dr Marc Spielmann
1) Où en est-on du dépistage des cancers en Polynésie ? Dépistage du cancer du sein. Comment faire une autopalpation ?
2) Le dépistage du cancer du col de l’utérus. Devez-vous faire vacciner vos filles contre le cancer du col de l’utérus ? (Vaccin anti HPV).
3) Avons-nous fait des progrès dans les cinq dernières années dans le traitement du cancer du sein ? Immunothérapie, chimiothérapie, et hormonothérapie. Faut-il avoir peur de ces nouveaux traitements ?


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James Cook et Tupaia, un tahitien en quête d'aventure, à l'honneur le 13 avril

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James Cook et Tupaia, un tahitien en quête d'aventure, à l'honneur le 13 avril
MAHINA, le 28 mars 2019 - L'amitié qui unit les deux hommes date de 250 ans. Et pour commémorer l'extraordinaire périple de Tupaia, cet indigène qui n'a peur de rien et qui embarque à bord de l'Endeavour du capitaine James Cook, en 1769, Tahiti Tourisme mettra en place plusieurs activités, le 13 avril à la Pointe Vénus.

Depuis 2017, Tahiti Tourisme célèbre l'arrivée des navigateurs européens à Tahiti. En 2017, l'accent a été mis sur Samuel Wallis, l'année suivante, place au capitaine Louis Antoine de Bougainville. Et pour 2019, c'est au tour du capitaine James Cook qui est venu à Tahiti le 13 avril 1769, afin de mesurer le passage de Vénus.

Durant son passage à Tahiti qui aura duré trois mois, le capitaine Cook fera la connaissance de Tupaia, un tahitien qui s'est lié d'amitié avec Joseph Banks, un jeune et puissant aristocrate anglais qui faisait partie de l'équipage. Le 13 juillet 1769, Tupaia fera tout pour embarquer à bord de l'Endeavour, et grâce à la collaboration de Banks, le capitaine Cook acceptera de faire la traversée avec ce tahitien plein d'énergie, qui jouera aussi un rôle important en tant que traducteur, interprète et médiateur lors de leur séjour en Nouvelle-Zélande, puis en Australie.

Pour découvrir plus en détail le fabuleux périple de Tupaia à bord de l'Endeavour, Tahiti Tourisme vous invite à venir à la Pointe Vénus, le 13 avril de 9 heures à 16 heures, où plusieurs activités culturelles seront proposées, telles que le tatouage traditionnel, la fabrication du tapa, le lancer de javelot ou encore le décorticage de cocos.

En soirée, de 17h30 à 22 heures, place à un diner spectacle traditionnel sur la plage de la Pointe Vénus, afin de mettre à l'honneur la rencontre entre le capitaine Cook et Tupaia, comme il y a 250 ans. Attention, les places sont limitées à 200 personnes et le prix des billets varient entre 3 000 et 7 000 francs, pour les enfants de moins de 10 ans, le prix du billet sera divisé par deux. Les non dineurs pourront aussi être de la partie. Au menu de cette soirée, une mini-conférence, des spectacles de danses et un grand mā'a tahiti.

Les billets sont en vente à l'office du Tourisme.


Infos pratiques
Le prix des billets est fixé à

- 3 000 francs pour les non-dineurs (1 500 francs pour les enfants – de 10 ans)
- 5 000 francs pour les personnes qui souhaitent s'asseoir sur les pē'ue (2 500 francs pour les enfants - de 10 ans)
- 7 000 francs pour les personnes qui souhaitent s'asseoir sur les fauteuils (3 500 francs pour les enfants – de 10 ans).



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Vigilance orange aux Australes pour des fortes pluies et des vents violents

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Vigilance orange aux Australes pour des fortes pluies et des vents violents
PAPEETE, le 28 mars 2019 - Dans son bulletin publié ce mercredi, Météo France a placé les Australes de l'ouest et les Australes du centre en vigilance orange pour des fortes pluies et vents violents. Des rafales de 100 à 110 km/h sont prévues.

Une partie de l'archipel des Australes en proie à un temps très perturbé. Ce mercredi Météo France a placé les Australes Ouest (Rimatara et Rurutu) et les Australes Centre (Tubuai et
Raivavae) en vigilance orange pour fortes pluies et vents violents.
 
Sur le nord Australes, le temps reste fortement perturbé jusqu'à vendredi matin avec des précipitations importantes et quelques orages possibles. Ce temps maussade laisse place vendredi en matinée à de timides éclaircies sous un ciel restant très nuageux avec de petites averses résiduelles. A Rapa, ciel couvert par un épais voile nuageux avec quelques averses vendredi, retour du soleil samedi.
 
Sur les îles du nord, vent modéré à assez fort d'Est à Sud-est venant temporairement Ouest à Nord-Ouest assez fort à fort. Vendredi il s'établit au Sud-Est modéré à assez fort. Rafales à 100/110 kilomètres/heure. A Rapa, vent d'Est modéré venant rapidement au Sud-Est.
 
Mer agitée à forte. Houle longue de Sud d'1 mètre 50 à 2 mètres s'amortissant samedi à 1 mètre.

Le Haut-commissariat invite la population des Australes à faire preuve de la plus grande prudence et à respecter strictement les consignes de sécurité suivantes :
- limiter les déplacements à pied ou en véhicule en raison du risque de chute d’arbres ou
d’objets, de coulées de boue et de nappes d'eau sur la chaussée ;
- ne pas s’engager sur les routes inondées en voiture comme à pieds ;
- ne pas s’approcher des lignes électriques tombées à terre ;
- ranger et fixer les objets sensibles aux effets du vent ou susceptibles d’être
endommagés ;
- être vigilant à l’envol et aux chutes possibles d’objets pouvant devenir des projectiles en
cas de vents violents ;
- éviter les sorties en mer en raison du vent et de la houle ;
- suivre régulièrement les bulletins émis par Météo France ;
- en cas d’urgence, composer le 18 ou le 17.

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L'écurie Tenahe, la pouponnière des chevaux de course made in fenua

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L'écurie Tenahe, la pouponnière des chevaux de course made in fenua
MATAIEA, le 28 mars 2019 - Depuis 2016 l'écurie Tenahe de Mataiea a vu naitre 7 poulains issus de leur étalon et de leurs quatre juments importés de Nouvelle-Zélande. "L'objectif est d'avoir cinq voire six poulains par an issus de l'élevage local pour pouvoir aligner davantage de chevaux locaux sur les courses hippiques", a expliqué Rémy Rey, président de l'association Ecurie Tenahe.

Un domaine de 24 hectares, 16 pâturages, deux carrières, une sellerie et plusieurs box. L'écurie Tenahe située à Mataiea est l'un des élevages de chevaux les plus importants du fenua. Et en 2011 Rémy Rey, président de l'association Ecurie Tenahe en accord avec des associés, a décidé de donner un coup d'accélérateur à l'élevage de chevaux locaux. "Aujourd'hui je crois que la part des chevaux importés est de 90% et les 10% restants sont des chevaux locaux. L'objectif de notre écurie est d'inverser cette tendance et de proposer des chevaux de qualités qui pourront être alignés sur des courses", explique Rémy Rey.
 
Pour remplir cet objectif l'écurie a donc acquis en 2012 un étalon et quatre juments importés de Nouvelle-Zélande. "Notre étalon Sir Kev est issu d'un cheval qui a fait des courses à l'international, et qui fait partie des dix meilleurs chevaux au monde. Et les juments également ont des super pédigrées. C'était donc un investissement assez conséquent", indique le président de l'association.
 
Après avoir participé et gagné un grand nombre de courses entre 2012 et 2016 sur l'hippodrome de Pirae, Sir Kev a été mis à la "retraite" pour assurer son rôle d'étalon au sein de l'écurie Tenahe.

ENTRAINEMENT QUOTIDIEN
L'écurie Tenahe, la pouponnière des chevaux de course made in fenua
Le travail de reproduction a donc commencé il y a trois ans et depuis sept poulains sont nés sur le domaine de Mataiea. "On se donne comme objectif de faire cinq voire six poulains par an. L'objectif étant ensuite de les vendre", précise Rémy Rey.
 
Pour s'occuper des animaux sur place, le président de l'association peut compter sur Pauline Briquet, seule employée du domaine et monitrice d'équitation. "Mon travail consiste à m'occuper des structures comme les pâtures, les box,… pour que tout soit dans un bon état pour accueillir les chevaux. Après je les nourris, je les soigne aussi quand ils ont des petits bobos. Je fais le tour des pâtures pour voir si tout le monde va bien", explique-t-elle.
 
Cette dernière se charge également d'une partie de l'entrainement des poulains une fois qu'ils sont assez âgés : "Je m'occupe des poulains et de leur sevrage. Je les sépare petit à petit de leur maman quand ils ont trois mois. J'en profite alors pour commencer à les manipuler, à les brosser et à les promener comme ça ils s'habituent déjà au travail qu'ils auront à faire plus tard. Après au niveau des chevaux de course on voit avec Rémy ce que les chevaux doivent faire quotidiennement comme entrainement. Soit de la plage, de la piste monté ou de l'allonge."

Pauline partage l'entrainement des futurs champions de l'hippodrome avec Dick Poroi, un cavalier confirmé qui est spécialisé dans l'entrainement des trotteurs (lire encadré).
 
Pour les courses programmées cette année, l'écurie Tenahe a prévu d'aligner trois poulains, âgés de deux ans, issus de leur étalon Sir Kev. "Ils feront au minimum une course. Mais  ce sera vraiment l'année prochaine qu'ils seront prêts", affirme Rémy Rey. Avis aux amateurs de paris et de courses hippiques.

PAROLE A
L'écurie Tenahe, la pouponnière des chevaux de course made in fenua
Dick Poroi, entraineur des trotteurs (avec photo)
"C'est un travail très long à faire avec le cheval"
 
Comment entraine-t-on un cheval de course ?
Avec les nouveaux je commence par des séances de 20 minutes. Et pour les plus expérimentés je fais des séances de 45 minutes. Je n'entraine que les trotteurs. J'ai fait de la rame pendant des années et du coup j'ai transposé quelques séances d'entrainement que je faisais. Par exemple le lundi on fait du décrassage avec les chevaux. Puis le jour suivant on monte en intensité au niveau des courses, avec une pyramide. 15 minutes d'effort et 5 minutes de récupération. J'amène aussi les chevaux à la mer pour débloquer leurs articulations et pour travailler leur souffle.
 
On peut commencer le travail avec un cheval à quel âge ?
Déjà après trois mois le poulain est séparé de sa mère. On commence alors à s'occuper de lui. Puis quand il a 1 an et demi on commence à l'atteler. Ensuite les trotteurs eux peuvent faire de la course dès l'âge de 2 ans, parce que le cavalier ne les monte pas.  Pour les galopeurs on attend l'âge de 3 ans pour les aligner sur des courses. Après c'est un travail très long à faire avec le cheval. Tous les jours il faut être avec eux. Il faut leur parler, discuter avec eux. Mais il faut toujours répéter les mêmes mots que tu vas utiliser pendant une course. A gauche, à droite, doucement, tranquille. Comme ça ils peuvent assimiler et retenir ces différents ordres.
 
Depuis combien de temps t'occupes-tu de chevaux ?
Depuis tout petit. Il y a 50, 60 ans à Tahiti il n'y avait pas de voiture et on faisait tout avec les chevaux. On allait par exemple chercher des cocos en calèche, et on transportait après notre coprah en chevaux. Et puis en 2011 quand Rémy est venu me voir pour me dire qu'il allait reprendre la propriété j'ai décidé de l'aider avec l'entrainement des chevaux. Aujourd'hui je continue toujours de courir en trotteur sur des courses.

L'écurie Tenahe, la pouponnière des chevaux de course made in fenua
Pauline Briquet, employée de l'écurie Tenahe
"Des chevaux avec les mêmes qualités que ceux de Nouvelle-Zélande"

Je suis monitrice d'équitation à la base, ce qui est assez différent des chevaux de course. Les entrainements ne sont les mêmes, l'approche et le regard sur le cheval n'est pas aussi la même. Maintenant avec l'élevage on a des poulains qui naissent tous les ans. Mon but est de travailler le mieux possible avec eux, pour les voir un jour sur l'hippodrome et qu'ils soient remarqués par des personnes. Ce qu'on cherche avoir ici dans notre écurie ce sont des chevaux qui ont les mêmes qualités que les chevaux qui viennent de Nouvelle-Zélande, et en plus qu'ils soient mieux adaptés au climat.
 

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Bols, verres, couverts, Tropical bowls élargit sa gamme de vaisselle écologique

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Bols, verres, couverts, Tropical bowls élargit sa gamme de vaisselle écologique
Papeete, le 29 mars 2019 - Maeta Maamaatuaiahutapu fait partie de la vingtaine d'exposants, qui seront présents à la première édition du Salon Ti'a Fenua Eco Durable Expo Market, organisé par la Chambre de Commerce, d'Industrie, des Services et des Métiers de Polynésie française, le samedi 30 mars sur la promenade du front de mer de Papeete. La jeune femme a créé, avec son compagnon, il y a quelques mois Tropical bowls. Depuis ses débuts en août 2018 avec des bols 100% naturels et fabriqués à partir de noix de coco recyclées, l'entreprise a élargi sa gamme de produits.

Des couverts en bois, des verres en bambou, et bien sûr, les désormais "classiques" bols, faits à partir de noix de coco recyclées, Tropical bowls a bien développé sa gamme de vaisselle écologique depuis ses débuts il y a quelques mois. Fondée en août dernier par Maeta Maamaatuaiahutapu et son associé, la jeune entreprise est spécialisée dans la fabrication de vaisselle confectionnée à partir de produits 100% naturels et locaux. "On prend le bambou dans le jardin de ma mère à la Presqu'île pour faire les verres, on utilise du bois pour les couverts et pour les noix de coco, ce sont les vendeurs de lait de coco qui nous fournissent en coques et ensuite on les trie ", détaille la jeune fille, qui confie apprécier la cuisine et les bons produits sains.
En quelques mois, Tropical bowls a su transformer l'essai. L'entreprise commence à toucher un public de plus en plus large. "Beaucoup de gens achètent nos produits parce qu'ils les trouvent beaux, sympas, mais pas forcément parce que ce sont des produits naturels recyclables. En les achetant, ils se mettent à utiliser des bols recyclables ou des couverts en bois. Petit à petit, ça permet de sensibiliser les gens à la surconsommation du plastique. Il existe beaucoup de solutions, d'alternatives au plastique ", insiste Maeta Maamaatuaiahutapu, avec enthousiasme.

UN GRAND HOTEL DE BORA BORA
Bols, verres, couverts, Tropical bowls élargit sa gamme de vaisselle écologique
Et effectivement, la vaisselle Tropical bowls, 100% naturelle, recyclable et faite main, commence à se faire une belle place et devient même tendance ! Ainsi, couverts, verres ou bols se retrouvent de plus en plus non seulement sur les tables des particuliers, mais également sur celles des restaurants, des pensions et même de certains hôtels de luxe. "Le Méridien de Bora Bora nous a commandé des bols pour leurs glaces", précise Maeta,
Actuellement, en moyenne environ 400 à 500 bols, "les produits phares" de Tropical boals, sortent chaque mois de leur atelier, situé à Toahotu à la Presqu'île. Les bols sont désormais disponibles en trois tailles différentes. C'est surtout Kin Len, avec parfois un coup de main de la famille, qui se charge de la fabrication des bols qu'il faut découper, tailler, stabiliser, décaper et poncer… Si Maeta s'y met aussi, l'ancienne étudiante en droit planche aussi en ce moment sur la création d'un nouveau site internet pour l'entreprise.
Les deux jeunes ont encore plein de projets en tête. Ils espèrent fabriquer un jour des pailles en bambou, des assiettes recyclables… Tout ce dont on peut avoir besoin dans une cuisine écologique !

b[Infos pratiques :
]bTI'A Fenua Eco Durable Expo Market
Samedi 30 mars sur la promenade du front de mer de Papeete de 9 à 19 heures.
Retrouver toutes les infos sur la page Facebook : TI'A Fenua Eco Durable Expo Market
ou sur le site : www.ccism.pf
Odile Tcheou, Chef de Projet au 40 47 27 68 ou odilet@ccism.pf ; Jerry Biret, co organisateur au 87 77 22 87. La brochure des exposants et associations présents sur l’événement est accessible sur l’application Tahiti Best Promo.
Facebook : Tropical Bowls. Instagram : @tropicalbowls. Maeta Maamaatuaiahutapu : 87 72 61 73. tropicalbowlstahiti@gamial.com

Le Club EPER
Créé en 2015, le Club des Entreprises Polynésiennes Éco-Responsables ou club EPER (association loi 1901) a pour objectifs :
• De fédérer les entreprises ayant intégré les thématiques liées au développement durable dans leur fonctionnement et leur stratégie ;

• De valoriser les démarches exemplaires d’entreprises en termes de développement durable, notamment par des actions de communication, de sensibilisation et de diffusion de l’information ;

• De favoriser l’expression, les rencontres et les échanges entre les représentants de ces entreprises ;

• De contribuer au montage d’actions mutualisées ;

• D’être force de propositions, y compris auprès des pouvoirs publics, et inciter au développement d’outils d’accompagnement aux bonnes pratiques environnementales au sein des entreprises polynésiennes et porteurs de projet.
En 2019, le Club EPER compte 18 membres : Air Tahiti Nui, ASAP Pacifique, CEGELEC Polynésie, EDT, Excelia, STP-Multipress , Interoute, le Laboratoire de Cosmétologie du Pacifique Sud, la Laiterie Sachet, la Pension de la Plage, la Polynésienne des Eaux, SARL Paruru Natura (enseigne commerciale Eco Fare), la Banque Socredo, la TEP, Technival, Total Polynésie, TSP, Vinci Facilities.
Le Club EPER est soutenu par la CCISM et l'ADEME.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter la cellule QHSE de la CCISM : qhse@ccism.pf / 40 47 27 72 (Orama Richaud) ou 40 47 27 31 (Brice Meunier).

Programme Animations du Salon Ti'a Fenua Eco Durable Expo Market

9h : Ouverture du Village
9h30- 10h : Scène ouverte avec l’artiste Aniheitini Tepano
10h –10h50 : Scène ouverte avec les artistes Tahiari Tehahe & Vaitea Tauhiro
10h30 : Animation de l’Association Oceania « Découvrir les cétacés de Polynésie française »
10h50 –11h : Scène ouverte avec l’artiste Marevareva
11h : Inauguration Officielle, accueil au son des « Pahu »
11h 15 : Dédicace de Mister Grand International Kevin Richmond et repartez avec 10 T shirts « Collector » de l’événement dédicacés
11h30-12h : Scène ouverte avec l’artiste Meleana
12h –13h : Scène ouverte avec l’artiste Feeling Fingers
13h30 –14h : Scène ouverte avec l’artiste Manaarii
13h30 : Animation de l’Association Oceania « Découvrir les cétacés de Polynésie française »
14h–16h : Animation Course aux Déchets (en partenariat avec Fenua Ma)
16h–17h : Conférence sur diverses thématiques environnementales
17h 30- 18h30 : Mini concert gratuit
19h : Fermeture du Village

9h30 à 18h30
• Exposition de produits éco durable et des produits BIO du terroir
• Animations ludiques pour les enfants avec l’EIE en grandeur nature (Twister de l'énergie, Jeu de l’oie, Chaîne de l’énergie et La maison des éco gestes)
• Démonstrations et dégustations par les exposants
• Grand Jeu Concours « Vote pour le plus beau stand du village » et tente de gagner un billet aller-retour pour Los Angeles offert par Air Tahiti Nui
• Jeu concours sur le stand Oceania avec un tirage au sort à 17H30
• Trajet en Tuk Tuk Gratuit sur le village Ti’a

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Un mois après son premier enfant, une femme accouche à nouveau par surprise

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Un mois après son premier enfant, une femme accouche à nouveau par surprise
Dacca, Bangladesh | AFP | vendredi 29/03/2019 - Une mère bangladaise a récemment eu la surprise de sa vie en accouchant de jumeaux dont elle ignorait être enceinte, 26 jours après avoir donné naissance à un premier enfant prématuré.

Arifa Sultana, 20 ans, avait accouché d'un petit garçon le mois dernier par voie naturelle, mais les docteurs n'ont pas réalisé qu'elle possédait un second utérus.
"Elle ne savait pas qu'elle était encore enceinte de jumeaux. Elle a à nouveau perdu les eaux 26 jours après la naissance du premier bébé et a couru nous voir", a expliqué à l'AFP Sheila Poddar, la gynécologue qui a traité la femme.
Les docteurs ont procédé en urgence vendredi dernier à une césarienne pour sortir les jumeaux, un garçon et une fille. La jeune femme du district de Jessore (sud-ouest du Bangladesh) a pu rentrer mardi chez elle avec ses trois bébés. Tous sont en bonne santé.
"En plus de 30 ans de carrière médicale, je n'ai jamais vu un cas comme ça", a déclaré à l'AFP Dilip Roy, haut responsable médical de Jessore, se demandant comment les médecins de l'hôpital avaient pu passer à côté de la seconde grossesse.
Issue d'une famille pauvre, Arifa Sultana s'est dite heureuse d'avoir trois enfants mais se demande comment elle trouvera les moyens de les élever.
Son mari travaille comme ouvrier et gagne à peine 6.000 takas (63 euros) par mois. "Je ne sais pas comment nous allons faire face à une telle responsabilité avec si peu d'argent", a-t-elle confié à l'AFP.
Son époux, Sumon Biswas, cherchait lui à faire bonne figure. "C'était un miracle de Dieu que tous mes enfants soient en bonne santé. Je vais faire de mon mieux pour qu'ils restent heureux", a-t-il dit.

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