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Concours pour 122 rédacteurs de catégorie B

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Concours pour 122 rédacteurs de catégorie B
PAPEETE, le 3 janvier 2018. La Polynésie française recrute, par concours externe, sur titres avec épreuves, 97 rédacteurs de catégorie B relevant de la fonction publique de la Polynésie française.

Le concours externe est ouvert aux candidats titulaires du baccalauréat ou d’un diplôme homologué au niveau IV, ainsi qu’aux candidats titulaires d’un diplôme étranger au moins équivalent au baccalauréat et autorisés à concourir par la commission d’évaluation des diplômes ou titres étrangers.

L’âge minimum d’admission à concourir est fixé à 18 ans accomplis au 1er janvier 2017. La limite d’âge maximale pour se présenter au concours externe est fixée à 60 ans au 1er janvier 2017.

Par concours interne, avec épreuves, 25 rédacteurs de catégorie B relevant de la fonction publique de la Polynésie française.

Le concours interne est ouvert aux fonctionnaires relevant du statut de la fonction publique de la Polynésie française, qui justifient, au 1er janvier 2017, d’une durée de service effectif de trois ans au moins dans un service administratif ou un établissement public administratif de la Polynésie française, compte tenu de la période de stage ou de formation.

Les épreuves d’admissibilité se dérouleront à partir du jeudi 9 août 2018.

Retrait des dossiers d’inscriptions :
Les dossiers d’inscription seront disponibles à compter du vendredi 29 décembre 2017 au 5ème étage de la direction générale des ressources humaines, immeuble PAPINEAU, rue Tepano JAUSSEN ou sur le site internet : www.fonction-publique.gov.pf.

Dépôt des dossiers d’inscription et demandes d’informations :
Les dossiers d’inscription, accompagnés de toutes les pièces requises, devront obligatoirement être postés à l’adresse de la direction générale des ressources humaines (B.P. 124 – 98713 Papeete, Tahiti).
Tout dossier qui parviendrait à la direction générale des ressources humaines de la Polynésie française par fax, courriel, dépôt physique du candidat, tiers…, autre que par voie postale, sera considéré comme non conforme et rejeté.
Tout dossier incomplet sera considéré irrecevable.
Tous renseignements complémentaires pourront être obtenus en contactant la cellule concours au 40 47 79 00.

LA DATE LIMITE DE RECEPTION, PAR VOIE POSTALE, DES DOSSIERS DE CANDIDATURE A LA DIRECTION GENERALE DES RESSOURCES HUMAINES EST FIXEE AU LUNDI 29 JANVIER 2018 (LE CACHET DE LA POSTE FAISANT FOI

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Boite postale : augmentation des prix

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Boite postale : augmentation des prix
PAPEETE, le 3 janvier 2018. Les prix des boites postales vont être augmentés à partir du 1er juillet.

Le conseil des ministres a validé le 28 décembre la décision du conseil d'administration de l'OPT d'augmenter ses tarifs pour les boites postales.
A partir du 1er juillet prochain, il faudra payer 2 500 Fcfp au lieu de 2 250 Fcfp pour une petite boite. De même, il faudra payer 5 800 Fcfp au lieu de 5 500 Fcfp pour une grande boite.
Ces nouveaux tarifs seront appliqués à partir du 1er juillet prochain.

A noter que désormais, l'OPT ne fournira plus une clé supplémentaire gratuitement.

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Augmentation de l'abonnement téléphonique à partir du 1er juillet

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Augmentation de l'abonnement téléphonique à partir du 1er juillet
PAPEETE, le 3 janvier 2018. Le conseil des ministres a validé le 28 décembre la décision du conseil d'administration de l'OPT d'augmenter son tarif pour l'abonnement téléphonique.

A partir du 1er juillet prochain, l'abonnement téléphonique mensuel sera à 2 843 Fcfp hors taxes soit 3 123 Fcfp TTC. Aujourd'hui, l'abonnement mensuel téléphonique TTC est à 2 921 Fcfp. L'augmentation à venir est donc de l'ordre de 6.5%.

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800 emplois supplémentaires entre 2015 et 2016

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800 emplois supplémentaires entre 2015 et 2016
PAPEETE, le 3 janvier 2018 - Dans sa publication du 28 décembre, l’ISPF observe une hausse de 800 emplois salariés supplémentaires entre 2015 et 2016 (+ 1,4 % des effectifs), ce qui porte à 61 700 le nombre emplois salariés mensuels moyens déclarés à la CPS.

Les secteurs tertiaire marchand et du commerce progressent respectivement de 2,4 % et de 1,8%. Le nombre d’emplois dans le secteur automobile augmente pour la première fois depuis 10 ans (+ 0,4 %). Les effectifs dans le transport et l’entreposage affichent une hausse de 2,8 % et ceux de l’hôtellerie-restauration de 3 %.

Le domaine de la construction (+ 1,9 % pour atteindre 4 190 emplois) est porté par le second œuvre et les travaux publics (+ 3% et 4 % respectivement). Le secteur tertiaire non marchand progresse de 0,5 % alors que les effectifs se stabilisent dans l’industrie sur les deux dernières années et diminuent dans le secteur primaire (- 7,3 %) pour la troisième année consécutive.

La durée moyenne mensuelle du travail reste stable et atteint 145,2 heures. Le nombre de salariés effectuant des heures supplémentaires (11 %) continue sa progression. L’effectif moyen en équivalent temps plein augmente de 1,5 % sur un an pour s’établir à 53 040 postes. La masse salariale progresse de 1,7 %, et le salaire moyen brut de 0,2 % pour atteindre 326 100 Fcfp. Le nombre de demandeurs d’emploi reste stable en 2016 (26 860), alors que le nombre d’offres d’emploi augmente (+ 2,9 %).


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Le gouvernement revoit le seuil des donations à la baisse pour créer une fondation

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Le gouvernement revoit le seuil des donations à la baisse pour créer une fondation
PAPEETE, le 03 janvier 2018 - Après avoir créé un cadre juridique permettant aux fondations de voir le jour en Polynésie française, le conseil des ministres du 3 janvier a voté une nouvelle loi de pays qui revoie à la baisse le seuil des donations et à la hausse les réductions d'impôts.

Le 25 août 2016, le Pays créait le statut juridique de la fondation en Polynésie française. Cependant, devant le peu de succès qu'à rencontré cette nouvelle entité juridique du fait de barrière à l'entrée trop élevée et devant les demandes de différents acteurs économique locaux, le gouvernement à décider de retravailler le cadre juridique des fondations.
Afin de rendre plus attractif le dispositif en faveur des fondations, la loi du Pays du 21 novembre 2017 introduit diverses modifications. Le seuil des donations versées en numéraire par les donateurs est réduit à 500 000 Fcfp, au lieu de 1 000 000 Fcfp. L'assiette des dons en numéraire est désormais plafonnée à 2 pour 1000 du chiffre d’affaires. La réduction d’impôt est finalement portée de 20% à 40%. Enfin, le dispositif est compatible avec les déductions prévues au profit d’œuvres ou d’organismes d’intérêt général, de caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, familial, culturel, ainsi que les œuvres et organismes reconnus d’intérêt général ou collectif par arrêté du Président de la Polynésie française.
La fondation est une personne morale de droit privé à but non lucratif créée par un ou plusieurs donateurs pour accomplir précisément une œuvre d’intérêt général ou des missions sociales, culturelles, éducatives, environnementales ou collectives.

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La mélancolie tahitienne de Gauguin

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La mélancolie tahitienne de Gauguin
PAPEETE, le 3 janvier 2018. Le film d’Edouard Deluc « Gauguin, Voyage de Tahiti » a bien trouvé la tonalité musicale de cette histoire tragique.

Elle concerne un des plus grands peintres modernes au monde, dans le mouvement impressionniste et fauviste, voire nabis et symboliste, mais avec surtout son expérience polynésienne à Tahiti, et plus tard aux îles Marquises. Cette histoire fait sa singularité artistique et son avant-gardisme, par rapport à ses pairs de Pont Aven, de Paris, de France, ou d’ailleurs, voire son « ennemi » intime en la personne du maître flamand Van Gogh. Il a aussi révolutionné la peinture moderne, en découvrant de nouveaux horizons sous le ciel provençal d’Aix-en-Provence, en France méridionale, dans ses paysages sensuels et odoriférants. J’y ai vécu et étudié à la fin des années 1970, où j’ai particulièrement apprécié la peinture cubiste de Paul Cézanne, et surtout ses simples (en apparence) mais magnifiques et pures natures mortes, surtout sa peinture des fruits.

La mélancolie tahitienne de Gauguin
Plus tard à Paris, j’ai suivi les cours du Louvre sur l’apparition et la définition de l’art en général et de la peinture, depuis les outils agraires jusqu’à l’ère contemporaine (20ème siècle et 3ème millénaire), à raison d’un cours magistral par semaine (Jeudi, de 18h à 20h). J’ai eu aussi la chance de voir toutes les expositions majeures de peinture (de 1989 à 2013), incluant Gauguin, Manet, Monet, Van Gogh, etc. J’ai aussi visité l’extraordinaire exposition au Grand Palais de « La Mélancolie au travers de tous les arts » et sur une période de 3000 ans.

En pleine crise existentielle à Paris entre la moitié et la fin du 19ème siècle, vivant très mal son manque d’argent, alors que peu de temps auparavant, il était plutôt bien nanti comme courtier en Bourse et autres opérations financières. Il se retrouve sans le sou avec aussi un désintérêt général du public pour ses œuvres naissantes. Sa femme (mariée) danoise Mette est obligée de rentrer au Danemark avec leurs cinq enfants, dans sa propre famille, afin d’assurer leur équilibre psychologique, leurs études et leur avenir matériel. C’est donc la mort dans l’âme qu’il quitte femme et enfants qu’il avait projeté d’emmener avec lui aux antipodes. Mais c’est aussi dans une excitation intellectuelle intense que le peintre Gauguin prendra sa décision de partir à Tahiti, avec un ordre de mission, pensant changer radicalement d’existence en vivant dans un autre univers, complètement à l’opposé du monde occidental individualiste. Ses amis intimes le surnommaient « Le Sauvage », auquel il ressemblait par son côté spontané, naturel, libre, et rebelle… C’était déjà une anticipation de sa vie de Blanc en Polynésie. Il était enragé par quelque chose qui le rongeait de l’intérieur et dans son âme ; la mélancolie créative, celle des nuits blanches des génies artistes qui n’ont plus conscience du temps qui passe, étant complètement accaparés par le processus créateur. A Tahiti, Punuauia, et Mataiea, sa vie matérielle à crédit au magasin du Chinois ne fut pas facile. Sa santé aussi était précaire, mais le désir de créer était plus fort que tout. Sa vie amoureuse d’amant et de maîtresse avec la jeune modèle Teheura le rendit heureux malgré les souffrances physiques et matérielles du quotidien.

La mélancolie tahitienne de Gauguin
La vie sensuelle et proche de la nature des Tahitiens et leur chaleur humaine furent un baume pour l’artiste qui arrive à survivre et même à apprécier sa vie difficile. Le bonheur était là, dans la splendeur lumineuse du ciel et du paysage tahitien ; une forme de paradis simple mais réel. L’imagerie de la rêverie diurne faisait le reste. La sagesse des Tahitiens et leur esprit communautaire ont aidé le peintre à oublier les vicissitudes quotidiennes, pouvant mener à l’ennui morbide, si l’existence ne propose rien de transcendental ou de créatif. Sa mélancolie (‘ancolie’ ; fleur au Moyen Age, et ‘mela’, ‘noir’ en Grec) va se mélanger à la nonchalance, au « fiu » apaisant de sa jeune et sublimement belle maîtresse ; déesse absolue au visage radieux et comme illuminé de l’intérieur, émanant une chaleur vitale intense. Cela ne peut que donner de la force de vivre, voire « Lhomme à l’oreille coupée » de Van Gogh. La beauté de la langue orale tahitienne et la sagesse des propos de la vieille dame, proches de tout message moral et religieux, pacificateur de cohésion humaine et sociale, agit comme une petite musique bienfaitrice. Elle accompagne la jolie musique triste et belle en sourdine pendant tout le film.

Les esprits de la nuit ayant envahi l’espace mental de Teheura, en désarroi avec cette absence de bougies, ce qui permit aux « Tupapa’u » ou esprits maléfiques, incubes, d’envahir son intimité de dormeuse à Mataiea. A Punuauia, l’endroit où Gauguin avait habité était une zone de « Mara’e », ce qui l’influença dans sa peinture des « Tupapa’u », comme à Mataiea, et plus tard à Hiva Oa, aux Marquises. Au début de l’an 2000, il y eut une grande rétrospective Paul Gauguin au Grand Palais à Paris. J’ai attendu huit heures dans la queue avec des amis et de la lecture ; ça valait le coup, car tous ses chefs-d’œuvre du Musée de l’Hermitage russe de Saint-Pétersbourg étaient exposés, et en particulier sur les esprits de la nature dans les cascades, par exemple...

L’actrice tahitienne, Tehei Adams, modèle du peintre (Teheura) est magnifique, car elle prend bien la lumière, avec son visage très expressif de beauté sauvage, naturelle et généreuse. L’acteur polynésien d’origine marquisienne, Puatai Hikutini, campe bien son personnage de « Bon Sauvage » ami et ensuite adversaire de Gauguin, à cause de son attirance sexuelle pour Teheura la trop belle muse du peintre. Il y a un kaléidoscope de muses dans le film : la beauté du paysage paradisiaque polynésien ; la musique mélancolique du film ; la beauté sublimatoire de Teheura, qui aide le peintre à se surpasser ; l’humanité polynésienne du peuple et de Iotefa, sculpteur amateur qui s’arrêtera au geste mimétique, sans chercher une catharsis, ce qui irritera le Maître du Jouir, Gauguin ; la langue tahitienne… La sexualité était naturelle à l’époque, et l’art utilise cette énergie pour magnifier le réel, qui est déjà très beau, trop beau pour être vrai ?

La mélancolie tahitienne de Gauguin
Le peintre français contemporain, Tahitien d’adoption naturelle, Gaya, a façonné un très bel autoportrait dans une statue bleue du Christ, grandeur nature. On ressent la mélancolie de Jésus, comme celle du peintre Gaya en pleine création artistique de sculpteur et de peintre. La couleur bleue symbolise la spiritualité, celle de l’univers céleste et aussi une sorte de vague à l’âme… Cette statue peut aussi signifier les souffrances et les angoisses existentielles du peintre, à l’image d’un Paul Gauguin et des stigmates doloristes sur les affres de la création, le désir d’atteindre une certaine perfection, voire une harmonia mundi. Gaya ressemble un peu à Gauguin par son physique mince et efflanqué, comme un genre de Don Quichotte sous les Tropiques. Il a peint des paysages polynésiens multicolores, avec de belles couleurs chatoyantes, chaudes et inspirantes ; avec une influence fauviste, impressionniste, voire symboliste et nabis… Il y a une harmonie mélodieuse dans les tonalités chromatiques, comme une musique de couleurs ou un chant qui loue la beauté des paysages polynésiens. Son tableau d’un homme nature du Pari en Presqu’île me rappelle la solitude du peintre Gauguin, face aux enjeux de la création. Une visite s’impose à son atelier personnel de Taaone…

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814 millions de francs de budget pour le te Fare Tauhiti Nui

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814 millions de francs de budget pour le te Fare Tauhiti Nui
PAPEETE, le 03 janvier 2017 - Mercredi, le conseil des ministres a validé un budget de 814 050 000 francs pour l'exercice 2018 pour la maison de la Culture.

Le Conseil des ministres a validé un budget primitif s'élevant à un montant global de 814 052 000 Fcfp pour la maison de la culture (Te Fare Tauhiti Nui) pour l'exercice 2018.

La subvention de fonctionnement financera en autre la masse salariale de l'établissement, les charges, et les travaux d'entretien et de réparation de l’établissement. Elle concerne notamment une partie des événements culturels tels que le Heiva I Tahiti, le Heiva Tarava, le Hura Tapairu et les ateliers d’immersion en culture et langues polynésiennes.

Le budget d’investissement de TFTN pour l’’exercice 2018 est en diminution par rapport à 2017. Il s’inscrit dans la continuité du renouvellement du parc de matériels techniques engagés en 2017. Il est ainsi notamment prévu de remplacer les coffrets électriques de To’ata, des moteurs de levage, des planchers de tribunes et de scènes. L’acquisition de pagodes et de coques pour compléter une tribune sont également en projet.

Ce budget est financé en grande partie par des subventions du Pays, mais de plus en plus par les évènements organisés dans le cadre de la maison de la culture.

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Le conseil des ministres vote la carte professionnelle pour les généalogistes

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Le conseil des ministres vote la carte professionnelle pour les généalogistes
PAPEETE, le 03 janvier 2018 - Le cadre légal à l’activité de médiateur foncier et d’agent de transcription a été instauré par une loi du Pays du 30 novembre dernier. Désormais, l’exercice de ces activités est subordonné à l’obtention d’une carte professionnelle accordée par le Président de la Polynésie française. Cette carte n’est accordée qu’aux personnes répondant à des critères précis de capacité et de moralité permettant ainsi de garantir un service de qualité aux usagers.

Les textes présentés s’articulent en trois parties: la délivrance de la carte professionnelle, qui détaille notamment la procédure relative à la recevabilité et l’instruction des demandes de délivrance ; les obligations du titulaire de cette carte, à l’égard de l’administration et de ses clients ; l’obtention de la carte est par ailleurs soumise à l’avis d’une commission dont les modalités d’exercice sont détaillées dans l’arrêté. Il est par ailleurs aussi question du contrôle du respect des obligations des généalogistes par l’administration compétente.

Il appartient, en outre, au Conseil des ministres de préciser les modalités d’application de la loi de Pays et notamment la procédure d’instruction des demandes d’autorisation d’exercer. Cette matière étant intrinsèquement liée à la matière foncière, le service en charge du suivi de cette profession est la Direction des affaires foncières.

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Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...

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Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...
PAPEETE, le 3 janvier 2018. Réforme de la PSG, ferme aquacole de Hao, toilettage du statut, enquête publique à Makatea… Ce sont tous des dossiers qui devaient aboutir en 2017. Un litige entre professionnels, des négociations qui durent, des élections en perspective…, plusieurs événements sont venus retarder ces dossiers. On fait le point sur ceux qui devraient être clos en début d'année et ceux qui vont devoir attendre encore.

PSG : la réforme qui tarde…
Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...
La réforme de la PSG ? Tout le monde en parle en Polynésie française ou presque : syndicats, comités de retraités, administrateurs de la caisse de prévoyance sociale : tous ces interlocuteurs y vont depuis des mois voire des années de leurs commentaires ou de leurs appels à l'urgence d'agir pour sauvegarder principalement le financement des pensions retraite dans les prochaines années.
En novembre, les syndicats de salariés et les organisations patronales ont rencontré à plusieurs reprises le ministre de la Solidarité. Jacques Raynal. Le gouvernement a notamment acté, suite à leurs propositions, la création d'un conseil d'orientation et de suivi des retraites paritaires des salariés.
L'année 2017 n'a donc pas permis encore de mettre en place la réforme de la protection sociale généralisée. Mais 2018 devrait être l'année de la réforme des retraites, le projet de loi du Pays a été transmis au Conseil économique, social et culturel, qui doit rendre son avis avant le 14 janvier prochain. Le débat dans la quatrième institution du Pays promet déjà d'être animé. Début décembre, les cinq centrales syndicales de salariés et les organisations patronales Medef et CGPME ont exprimé, dans un communiqué, leur "désaccord sur la forme et sur le fond de la réforme" des retraites proposées par le gouvernement.
Le texte sera ensuite posé sur la table des représentants de l’assemblée. L'objectif pour le gouvernement est de faire adopter le texte en février avant que la campagne pour les territoriales batte son plein.

Ferme aquacole de Hao : la truelle reste à terre
Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...
Le projet devait passer en décembre à la phase de construction. C'était sans compter un litige qui oppose Coco Taputuarai et Tian Rui International.
Coco Taputuarai, gérant de la société Coco Group Engineering, avait été chargé par la société chinoise Tian Rui International Investment de travailler à l'étude de faisabilité et au dépôt du permis de construire de la ferme aquacole de Hao.
"Aujourd'hui le projet est au point mort mais n'est pas remis en cause", soulignait début décembre le tavana de Hao. Celui-ci s'appuie sur un courrier signé de la société locale Tahiti Nui Ocean Foods, filiale du groupe chinois Tian Rui International Investment. "L'investissement du projet de la ferme aquacole ne changera pas et Tahiti Nui Ocean Foods ira jusqu'au bout du projet", peut-on lire dans cette lettre. "TNOF a actuellement un procès, mais le résultat ne va pas influencer la suite du projet, la direction de la société a simplement besoin de temps pour évaluer cette affaire afin qu'une affaire similaire ne se reproduise pas."
Teva Rohfritsch, le vice-président, se veut rassurant sur l'avenir du projet. "Le projet de Hao est retardé mais pas annulé", a-t-il indiqué sur Polynésie 1ère. "L'investisseur a confirmé dans une lettre adressée au maire de Hao qu'il démarrerait bientôt mais il y a eu quelques retards en raison de quelques soucis juridiques qu'ils sont en train de régler. Les travaux sont au point mort sur le chantier mais l'investisseur est en train de discuter avec les entreprises polynésiennes pour pouvoir les démarrer bientôt."
Le tribunal de commerce doit examiner en début d'année ce litige.

Seasteading : bientôt un cadre réglementaire ?
Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...
Il y a un an, un « accord d’intention » a été signé entre le gouvernement et le directeur général de l’Institut Seasteading. Ce document prévoyait que les "parties collaboreront activement afin de finaliser le cadre réglementaire spécial avant la fin de l'année 2017". Mais pour le moment, aucun cadre réglementaire n'a été validé par le Pays.
En septembre dernier, l’Institut Seasteading a présenté au Pays une étude environnementale, une étude économique sur l'impact de cette initiative et une étude juridique permettant de proposer un cadre réglementaire au projet. Les deux premières études ont été rendues publiques.
"Nous avons rempli nos obligations", explique Marc Collins, directeur et co-fondateur de Blue Frontiers, maitre d'œuvre du projet d’îles flottantes. "Nous avons des réunions hebdomadaires avec le Pays. Un cabinet tiers à Paris a travaillé sur l'analyse juridique."
Visiblement le Pays souhaite prendre son temps pour travailler sur ce cadre règlementaire. "Nous n'avons pas d'inquiétudes", précise Marc Collins, qui espère néanmoins que le cadre règlementaire adéquat pour le projet du Seasteading Institute se fasse "très rapidement" au premier semestre 2018. Selon l'ancien ministre du Tourisme, ce cadre réglementaire peut entièrement être mis en place par le Pays, dans le cadre de ses compétences.
Le projet de cités flottantes prévoit dans un premier temps des constructions sur une surface maritime de 7.5 hectares. Mais ce n'est que la première partie du plan, qui comporte en tout trois phases. Le projet pourrait ainsi tripler de taille. L'étude économique indique que près de 2 000 emplois directs et indirects pourraient être créés à l'issue de la troisième phase.

Le statut d'autonomie attend toujours son toilettage
Le "toilettage" du statut était annoncé pour 2016 et promis par le président François Hollande lors de sa visite officielle à Tahiti. En novembre 2016, la ministre des Outre-mer avait évoqué un examen du texte en conseil des ministres en janvier 2017. Mais vu le calendrier politique national, le projet de loi organique relatif au toilettage du statut d'autonomie de la Polynésie française n'a pas été soumis à l'examen parlementaire durant le quinquennat précédent.
Cette réforme statutaire devait initialement être intégrée à un projet de loi organique mais cela n'a toujours pas été le cas.
Alors que le toilettage du statut est en pause, les sénateurs de la commission des lois "n'excluent" pas de faire une proposition de loi organique pour que soient mis en place " les quelques ajustements nécessaires" ont-ils annoncé en décembre.
Depuis 2014, des modifications sur "le statut des lois du pays", la clarification des compétences sur "les matières premières stratégiques" ou encore "les échanges numériques entre les institutions et l'Etat" sont en discussion. Ce sont des modifications légères, c'est pourquoi on parle de toilettage.


Makatea : L'enquête publique pas encore lancée
Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...
En juillet dernier, Edouard Fritch s'était rendu à Makatea avec Colin Randall, P-dg de la SAS Avenir Makatea. Il avait fait part de son intention de lancer rapidement l’enquête publique… Il est désormais peu probable que cette enquête publique soit réalisée avant la fin du premier semestre 2018, en raison de l'échéance électorale d'avril prochain.
Lors de ce déplacement, Edouard Fritch avait souligné qu'il souhaite que la population soit favorable au projet. De son côté, Colin Randall continue donc à rencontrer les propriétaires fonciers concernés par le projet.
La SAS Avenir Makatea a estimé la ressource en phosphate à 6.5 millions de tonnes. "C'est du phosphate de haute qualité. Nous pensons vendre 250 000 tonnes par an", expliquait Colin Randall en novembre 2016. "La durée d'exploitation est prévue pour 26 ans. Il y aura 73 emplois directs.

La centrale hydraulique a pris l'eau…
Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...
En 2014, le gouvernement assurait que le projet de construction d'un barrage dans la vallée de Vaiihia, sur la côte Est de Tahiti, n'était pas enterré. Il prévoyait de définir le projet, son emprise foncière et le choix de l'opérateur en 2015. Un début des travaux était prévu pour fin 2016 ou 2017.
Cet ouvrage devrait permettre de produire 25 millions de kWh (soit 5 % des besoins de l'île) et d'économiser 6 millions de litres de fuel selon le gouvernement d'alors.
Ce projet était loin de faire l'unanimité. Les défenseurs de la vallée craignaient que le projet porte atteinte à la faune, la flore et au patrimoine culturel de la Vaiiha. Leur mobilisation a, pour le moment, porté ses fruits.


Le Swac a pris son temps
Fin 2014, le gouvernement annonçait que les travaux pour la construction du Swac «(Sea Water Air Conditioning) pour les besoins en climatisation du centre hospitalier de la Polynésie française débuteraient en "2015 pour 24 mois environ". Après un petit rapide calcul, cela aurait dû être fini cette année. Finalement, on a appris en octobre que le marché de maîtrise d’œuvre pour la conception et le suivi des travaux du SWAC du Centre Hospitalier de Polynésie française était attribué au groupement Creocean SA - Luseo Pacific. Après une phase d'études, les travaux devraient débuter au plus tard début 2019 pour une mise en service du nouveau dispositif de climatisation du CHPF du Taaone prévue en 2020. Rendez-vous pris pour 2020 !


Zone bio marine de Faratea
Ce qu'on a attendu en 2017 et qu'on attend toujours...
En début d'année dernière, le ministre de l'Economie bleue, Teva Rohfritsch, précisait qu'il souhaitait installer en 2017 une zone bio-marine à Faratea. Désormais, c'est Tearii Alpha qui a en charge ce portefeuille. Celui-ci a précisé en novembre, que les premiers travaux de préparation devraient démarrer en janvier 2018 et l’aménagement de la zone se poursuivre jusqu’à mi-2019. Les porteurs de projet devraient pouvoir démarrer leurs travaux d’investissement en début de l’année 2019.

Le Pays prendra à sa charge la viabilisation du domaine comprenant toutes les installations collectives (arrivées d’eau, d’électricité, puisage d’eau de mer, traitement des eaux usées, sécurisation du site). Les porteurs de projet prendront à leur charge les investissements nécessaires à leur exploitation, ainsi que les frais de gestion liés au fonctionnement et à l’entretien des installations collectives.
Le Pays mettra en place des conditions avantageuses de location des terrains viabilisés, afin de permettre à ce secteur de se développer à la mesure de son potentiel.

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La bouteille de vodka "la plus chère du monde" volée au Danemark

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La bouteille de vodka
Stockholm, Suède | AFP | jeudi 04/01/2018 - La police danoise a indiqué jeudi enquêter sur le vol de la bouteille de vodka "la plus chère du monde" dans un bar de Copenhague dont le propriétaire soupçonne des complicités internes.

Le précieux flacon, paré d'or blanc et jaune et surmonté d'une réplique de l'Aigle Impérial russe incrustée de diamants, est estimé à 1,3 million de dollars (un million d'euros).

Sur les images de la vidéosurveillance de l'établissement qu'a pu visionner l'AFP, on voit un homme masqué saisir la bouteille de Russo-Baltique Vodka, mise sur le marché par le fabricant russe de voitures de luxe du même nom, avant de prendre la fuite du Cafe 33 dans la nuit de lundi à mardi.

"Quelqu'un a dû recevoir la clé d'une personne qui a déjà travaillé ici", a indiqué jeudi Brian Ingberg, le propriétaire du bar, à l'AFP.

L'objet volé avait été prêté par un homme d'affaires russe et n'était pas assuré, a précisé le propriétaire du bar.

La bouteille de vodka, qualifiée de "plus chère du monde" par Brian Ingberg, avait été servie au président américain joué par Kevin Spacey dans la saison trois de la série américaine "House of Cards".

Un porte-parole de la police de Copenhague a déclaré jeudi à l'AFP qu'aucun suspect n'avait été arrêté pour le moment.

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Indonésie: un tigre déchiquète une employée d'une plantation d'huile de palme

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Indonésie: un tigre déchiquète une employée d'une plantation d'huile de palme
Pekanbaru, Indonésie | AFP | jeudi 04/01/2018 - Un tigre de Sumatra a tué une employée dans une plantation de palmiers à huile en Indonésie, a-t-on appris jeudi auprès de la police, un nouvel incident mortel qui illustre le conflit entre humains et animaux attribué à la déforestation.

Jumiatik, âgée de 30 ans, a été découverte morte mercredi dans cette plantation située dans la province de Riau (nord-ouest) sur l'île de Sumatra, avec de terribles morsures au cou et aux jambes.

Elle travaillait avec deux autres employées à collecter des données sur les insectes nuisibles lorsque le tigre a surgi et les a pourchassées sur environ 200 mètres dans la plantation.

Ses deux collègues, qui ont survécu à l'attaque, ont expliqué aux autorités que le trio a tenté d'échapper au fauve en grimpant sur des palmiers mais l'animal s'est jeté sur la jambe de Jumiatik, la faisant tomber au sol.

"Jumiatik s'est battue avec le tigre pendant environ 15 minutes", a expliqué à l'AFP le responsable de la police locale, Iptu Rafi. Elle a été "grièvement blessée au cou et a fini par être tuée".

Ces dernières années, plusieurs cas de personnes tuées par des tigres sont survenus en Indonésie lors de chantiers de déforestation pour faire place à des plantations de palmiers à huile. La déforestation détruit les habitats des animaux et favorise leurs contacts avec l'homme.

Fin décembre, une éléphante de Sumatra qui attendait un petit avait été retrouvée morte dans une plantation de palmiers à huile de la province d'Aceh, apparemment empoisonnée par des villageois se plaignant qu'elle mangeait les engrais qu'ils répandaient.

L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) considère que le tigre de Sumatra est en danger critique d'extinction et estime qu'entre 400 et 500 spécimens vivent toujours dans la nature.

str-bbs/hp/pb/kaf/lch/cr

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Australie: des routards tombent malades en pensant prendre de la cocaïne

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Australie: des routards tombent malades en pensant prendre de la cocaïne
Sydney, Australie | AFP | jeudi 03/01/2018 -Neuf jeunes routards étrangers, dont cinq Français, ont été hospitalisés dans l'ouest de l'Australie, victimes "d'accès de délire" après avoir consommé un médicament contre le mal des transports en pensant que c'était de la cocaïne, selon les autorités australiennes et les médias locaux.

Deux Français et un Allemand étaient toujours hospitalisés jeudi. La veille, leur état avait été décrit comme "critique" par David McCutcheon, un médecin des urgences cité par le journal West Australian.

Les secours avaient été appelés en renfort mardi soir dans la maison occupée par les routards dans la banlieue de Perth, dans l'Etat d'Australie-Occidentale.

Sept jeunes gens et deux jeunes femmes âgés entre 21 et 25 ans avaient pris de l'hyoscine avant de se retrouver inconscients ou dans un état de semi-inconscience.

"Plusieurs d'entre eux seraient morts sans intervention médicale", a ajouté David McCutcheon. Les neuf ont été hospitalisés en proie à des "accès de délire agité", a-t-il ajouté. "Ils hallucinaient, leur coeur battait trop vite, plusieurs ont dus être plongés dans un coma artificiel pour leur propre protection".

D'après la police, la seule drogue identifiable à partir des échantillons prélevés sur les patients est l'hyoscine, un médicament dispensé sous ordonnance également connu sous le nom de scopolamine et utilisé à petites doses comme sédatif et contre le mal des transports.

L'une des victimes, un Italien, a raconté au West Australian qu'un paquet contenant la drogue était arrivé dans leur maison à l'adresse d'une personne qui n'y habitait plus.

En ouvrant le paquet, les routards ont découvert de la poudre blanche enveloppée dans du papier portant la mention "scoop".

Pensant qu'il s'agissait de cocaïne, ils ont tous sniffé la substance, a poursuivi l'Italien en expliquant qu'il s'était alors retrouvé paralysé sans pouvoir appeler au secours.

"On était impuissants, on ne pouvait rien faire".

Une voisine a raconté au groupe de médias Australian Broadcasting Corporation que les victimes étaient la proie de convulsions et avaient le regard vitreux lorsqu'elles avaient été évacuées sur des brancards.

"C'était dingue. Bon nombre d'entre eux tremblaient et essayaient de descendre du brancard mais je crois qu'ils n'avaient pas conscience de le faire", a déclaré Sophie Barnet.

grk/ev/jac/lch

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L'Australie va autoriser les exportations de cannabis thérapeutique

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L'Australie va autoriser les exportations de cannabis thérapeutique
Sydney, Australie | AFP | jeudi 03/01/2018 - L'Australie a décidé d'autoriser les exportations de cannabis à usage thérapeutique afin d'accroître les débouchés pour ses producteurs nationaux, et devenir un leader mondial.

Une première ferme a reçu en mars l'agrément pour faire pousser du cannabis médicinal, et plusieurs autres ont suivi par la suite, le gouvernement y voyant un secteur économique d'avenir.

"C'est une étape très importante pour nos patients et pour la production nationale", a déclaré jeudi sur la chaîne ABC le ministre australien de la Santé Greg Hunt.

"L'existence d'un marché australien et d'un marché international va améliorer la pérennité de cette activité en Australie."

Il a ajouté que l'Australie avait l'ambition de devenir "le premier producteur de cannabis à usage thérapeutique au monde", mais qu'une des conditions à la délivrance d'un permis d'exportation serait d'accepter que le marché national demeurerait toujours la priorité du producteur.

L'usage récréatif du cannabis demeure interdit en Australie, pays qui a légalisé son usage thérapeuthique en 2016, qui est également autorisé dans plusieurs autres pays comme le Canada, Israël ou une majorité d'Etats des Etats-Unis.

mp/jac/mf

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Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre

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Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
PAPEETE, le 4 janvier - Tous les jours de cette semaine, nous vous présentons une sélection des temps forts qui ont marqué l'année 2017. Voici ce qui, en novembre et décembre, a marqué le monde de la culture.

3 novembre

Acclamé par le public le show Tahiti 1917 revient sur la scène du Petit théâtre

Tahiti 1917 est un spectacle qui a rendu hommage aux musiciens polynésiens du début du XXème siècle. Les auteurs des musiques et chansons qui se jouent dans les bringues d'aujourd'hui. Sur scène, ils étaient 8, dirigés par le Polynésien d'adoption Félix Vilchez. une nouvelle soirée est prévue le vendredi 19 janvier 2017.



Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
5 novembre

Le Bounty Day rend hommage au Captain Bligh

Depuis 2013, Thérèse et Beni Huber ont proposé trois festivals du Bounty. Passionnés par l’histoire de ce navire et de son équipage, ils participent à la reconstruction d’une réplique à l’identique du fameux bateau. Cette année, 200ème anniversaire de la disparation du marin capitaine William Bligh, le duo a organisé un Bounty Day commémoratif.

Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
16 au 19 novembre

Un salon du livre sur le thème du [vɛʁ]

Ver, verre, vert, vers, vair… Le 17e salon du livre de Tahiti, organisé par l’Association des éditeurs de Tahiti et des îles et la Maison de la Culture - Te Fare Tahiti Nui, ont faire rimer les mots !


Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
30 novembre

Titaua Peu, lauréat 2017 du prix Eugène Dabit pour Pina

Titaua Peu qui a signé Pina paru aux éditions Au vent des îles a remporté le prix Eugène Dabit, le prix du roman populiste créé en 1931. C'est Grand Corps Malade qui a parrainé la cérémonie.


Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
2 décembre

Hei Tahiti Mehura se distingue au Hura Tapairu

La 13ème édition du Hura Tapairu s'est tenue du 22 novembre au 2 décembre à la maison de la culture. Trente-huit formations étaient en compétition, elles se sont succédées pendant huit soirées (dont 6 à guichet fermé).

En Mehura ce sont Hei Tahiti Mehura de Tiare Trompette, Tahiti Ora de Tumata Robinson, Hana de Enda Tanseau et Manahere de Poehere Roomataaroa qui se sont distingués. Le vendredi 2 décembre, la cérémonie de remises des prix a permis de récompenser : Tamariki Poerani de Makau Foster, Hei Tahiti Tapairu de Tiare Trompette et Hei Toa Nui de Heirani Salmon en catérgoe 'Aparima.

En catégorie 'Otea ce sont les Tamariki Poerani de makau Foster, Hei toa Nui et Hei Tahiti Tapairu les grands vainqueurs.

Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
15 décembre

2500 personnes ont vibré avec Lost Frequencies

Le concert de Lost Frequencies a profité d'une accalmie pour faire vibrer 2500 personnes dans les jardins du Parc Paofai.

Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
17 décembre

'Api Tahiti sort la Marque rouge, un livre de Tumata Robinson et Anthony Cier Foc

Le nouvel ouvrage de la maison d'édition 'Api Tahiti est La Marque rouge. Écrit par Tumata Robinson et illustré par Anthnoy Cier Foc, il reprend le thème que la chef de troupe a présenté au Heiva 2014. Le titre est sorti en deux formats, l'un pour les jeunes lecteurs allégé en illustrations et l'autre plus riche en images.

Rétro culture : retour sur les temps forts de novembre et décembre
18 au 21 décembre

la Matava'a à Tahuata

Les six îles marquisiennes ont honoré leur culture à Tahuata avec le festival Matava'a. Le thème retenu pour ce "mini-festival" est "Haatupuaè i te Haa Enata" (la croissance de la culture marquisienne). Il a réuni plus de 1 500 personnes. 

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Avis de vents forts, d'orages et de fortes pluies sur une majeure partie du Pays

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Avis de vents forts, d'orages et de fortes pluies sur une majeure partie du Pays
PAPEETE, le 04 janvier 2018 - Météo France a placé l'ensemble des archipels, sauf les Marquises, en vigilance jaune pour des épisodes de vents violents, de fortes pluies et d'orages. Une situation qui devrait durer jusqu'à demain, vendredi. La prudence est de mise.

Des vents violents aux Australes, de l'orage aux Tuamotu et des fortes pluies sur la Société, ces archipels ont été placés en vigilance jaune, ce jeudi matin, par les services de Météo France, à Faa'a.

Aux Raromatai et à Tahiti et Moorea, le mauvais temps devrait durer jusqu'à demain soir, avec des passages d'averses parfois accompagnés d'orages. Le vent pourrait se renforcer demain, "avec des rafales pouvant atteindre 80 kilomètres/heure", indique Météo France. La mer est agitée à forte.

Aux Tuamotu-Gambier, des orages pourraient intervenir sur les "Tuamotu Est, Tuamotu Centre Sud, Tuamotu Centre, Tuamotu Centre Nord, Tuamotu Nord Ouest. Une amélioration est attendue vendredi sur le Nord-Est, puis sur l'Est Tuamotu avec un ciel voilé. Vent faible à modéré de secteur Nord sur les Tuamotu jeudi, d'Est à Sud-Est modéré de Hereheretue à Tematangi. Il se renforce vendredi, en venant au Nord-Ouest assez fort vers Hereheretue, de Nord sur le Sud Tuamotu/Gambier, rafales 60/70 kilomètres/heure." La mer est agitée à forte.

Aux Australes, les fortes pluies seront également au rendez-vous, jusqu'à demain. "Vent assez fort à fort d'Est à Sud-Est, rafales à 80/90 kilomètres/heure. Vendredi, il faiblit sur le Nord Australes mais se renforce sur Rapa avec des rafales pouvant dépasser les 100 kilomètres/heure." Mer agitée à forte, avec une houle "courte de Sud-Est autour de 2 mètres 50 voire 3 mètres vendredi".

Durant ces périodes, il vous est recommandé de ne pas prendre de risques inutiles et de rester prudent.

Avis de vents forts, d'orages et de fortes pluies sur une majeure partie du Pays

Avis de vents forts, d'orages et de fortes pluies sur une majeure partie du Pays
Lu sur Infos Cyclone

"Minimum dépressionnaire en cours de formation centré sur 18°S, 165°O Mercredi 03 Janvier 2018 à 20h00 locale.
Vents moyens à 40 km/h, rafales à 60 km/h, pression 1008 hPa en baisse.
Le centre de cette perturbation se déplace lentement vers l'Est et occasionne des orages isolés modérés à forts sur son passage.
Les prévisions montrent une légère intensification du système sans pour autant dépasser le stade de dépression.
Un second minimum dépressionnaire pourrait se former au Sud de l'archipel de la Société ce Jeudi en soirée.
Attention, ces perturbations pourraient engendrer de fortes précipitations et des rafales de vents lors de leur passage entre les archipels de la Société et des Australes à partir de Jeudi soir.
"



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Christophe Malmezac agressé par un fan de sa compagne Marine Lorphelin

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Christophe Malmezac agressé par un fan de sa compagne Marine Lorphelin
PAPEETE, le 4 janvier 2018. Le site internet du Progrès a annoncé ce jeudi que Christophe Malmezac, le compagnon de l'ancienne Miss France Marine Lorphelin, a été agressé le soir du 1er janvier à Lyon. Son agresseur a été interpellé.

L'année 2018 a commencé tristement pour Christophe Malmezac et sa compagne, l'ancienne Miss France Marine Lorphelin. Le site internet du Progrès a indiqué ce jeudi que le couple a été agressé le soir du 1er janvier.

Marine Lorphe­lin et son compa­gnon de longue date ont été agres­sés par un homme, qui serait atteint de troubles psychiques, rapporte Le Progrès. Admi­ra­teur de l'ancienne Miss, l'assaillant a inter­pellé le couple à une station de métro proche du cours Albert-Thomas, à Lyon 3e, avant de poignar­der à coups de couteaux le compa­gnon de Marine Lorphe­lin. Christophe Malmezac a été sérieu­se­ment blessé.

Les policiers de la Sûreté de Lyon, chargés de l'enquête ouverte pour tentative d'homicide, ont finalement pu interpeller l'assaillant ce jeudi près de Grenoble.

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Salon de la gastronomie des Outre-mer : la Polynésie invitée d’honneur

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Salon de la gastronomie des Outre-mer : la Polynésie invitée d’honneur
PARIS, le 4 janvier 2018 - Babette de Rozières a convié les médias, jeudi matin, à l'hôtel de ville de Paris, afin de leur présenter la 3ème édition du salon de la gastronomie des Outre-mer et de la francophonie qui aura lieu du 2 au 4 février Porte de Versailles à Paris, avec la Polynésie française comme invitée d’honneur.

Lors de son intervention, Caroline Tang a remercié chaleureusement, au nom du président de la Polynésie française, Babette de Rozières pour cette initiative. Elle a rappelé que celle-ci en avait eu l’idée après avoir dégusté et apprécié du uru et du fei sur le stand de la délégation il y a deux ans.
La Déléguée de la Polynésie a souligné l’importance de ce type de salon pour les producteurs du secteur primaire, mais aussi pour les acteurs du tourisme, car il aura pour vocation d’offrir de nouveaux débouchés et permettra de renvoyer une image aussi inédite que superbe de la Polynésie française.

De manière concrète, en 2015, Babette de Rozières avait convié des acheteurs du groupe Carrefour qui avaient sélectionné trois produits ultramarins aujourd’hui commercialisés à l’international sous la marque « Reflets de France ». Cette année, les acheteurs de plusieurs grandes enseignes seront présents, ce qui devrait favoriser une plus large sélection de produits.

Un stand en forme de pirogue double

Le nombre d’exposants augmentera aussi, passant de 70 à 130. Parmi eux, des Polynésiens venus directement de Tahiti ainsi que des chefs polynésiens, parmi lesquels Bénédicte Sauvage, chef pâtissière du restaurant gastronomique « Le Coco’s » ou encore Nicolas Baretje, chef à bord du Haumana. Tous auront à cœur de valoriser leur production ou leur création. Ils évolueront sur un stand de 150 m2, très original puisqu'il aura la forme d'une pirogue double, emblème du Fenua.

L’objectif sera de faire découvrir les saveurs polynésiennes, leur diversité, l’art culinaire polynésien, et de valoriser des produits comme la vanille, les jus de fruits, le Rhum de Tahiti ou encore le vin produit aux Tuamotu. Le public pourra trouver, de surcroît, des verres gravés et de la vaisselle aux motifs polynésiens.

La Délégation de la Polynésie française sera partenaire de l'opération auprès de la présidence de la Polynésie française, le ministère du Tourisme, celui de l’agriculture, la chambre d'agriculture, Tahiti Tourisme et l’établissement Vanille de Tahiti.

Cette troisième édition du salon de la gastronomie des Outre-mer et de la francophonie devrait attirer plus de 100 000 visiteurs selon les organisateurs. Il est vrai qu’en investissant le hall 5 de la porte de Versailles ils bénéficieront d’une indéniable visibilité.


Salon de la gastronomie des Outre-mer : la Polynésie invitée d’honneur

Salon de la gastronomie des Outre-mer : la Polynésie invitée d’honneur

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Câble Natitua : visite du navire Fugro supporter

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Câble Natitua : visite du navire Fugro supporter
PAPEETE, le 4 janvier 2018 - Le président Edouard Fritch, le ministre en charge du numérique Jean-Christophe Bouissou, le ministre du Développement des ressources primaires, Tearii Alpha, le ministre de l’Equipement, Luc Faatau, et le pdg de l’OPT (Office des Postes et télécommunications), Jean-François Martin, ont visité, mercredi après-midi, les installations techniques du navire Fugro supporter.

Ce navire a réalisé l’acquisition des données bathymétriques et géologiques des fonds sous-marins sur une longueur totale de 2700 kms pour le tracé du câble sous-marin Natitua.

Ces données vont permettre à l’Office des postes et télécommunications et à Alcatel Submarine Networks de définir le tracé définitif de la route du câble Natitua qui sera mis en service fin 2018.

Câble Natitua : visite du navire Fugro supporter

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Les Vœux du président Edouard Fritch aux Polynésiens pour 2018

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Les Vœux du président  Edouard Fritch aux Polynésiens pour 2018
PAPEETE, le 4 janvier 2017- Dans un communiqué, le Président de la Polynésie française adresse ses vœux aux Polynésiens pour la nouvelle année .

"Mes chers amis,

L’année qui vient de s’écouler a été marquée par la poursuite du redressement économique de notre Pays. Les choses vont mieux et nous savons que cela ira en s’améliorant.

Le gouvernement a mis en place les conditions de ce retour à la confiance.

Ce travail porte ses fruits. Les acteurs économiques ont retrouvé confiance et veulent investir à nouveau avec des créations d’emploi à la clé. L’espoir est revenu.

J’ai rencontré le Premier ministre Edouard Philippe et le président de la République Emmanuel Macron qui m’ont confirmé que l’Etat était à nos côtés et que l’accord de l’Elysée pour le développement de la Polynésie française restait notre feuille de route pour les années à venir. Nous pouvons être optimistes.

Nous avons participé pour la première année au Forum du Pacifique en tant que membre à part entière. Notre voix porte désormais aux côtés de celles de nos frères du Pacifique pour transmettre nos craintes sur les conséquences du réchauffement climatique.

Le Pape qui nous a reçus à la mi-novembre nous a entendu et porte, lui aussi, notre message auprès des grandes Nations.

Le Saint-Père reste le défenseur des plus humbles. Je sais que toutes ces années passées, les inégalités se sont creusées dans notre pays. Je sais que la pauvreté s’est installée chez une partie d’entre nous.

Ce n’est pas une fatalité. Je veux leur dire qu’ils sont ma préoccupation.
Il est de notre devoir de lutter contre cette fracture de notre société.

Chaque année, notre pays consacre plusieurs milliards pour accompagner les plus démunis et tenter de soulager leur fardeau. Mais le constat est là : cela ne suffit pas à ramener plus d’équité et plus de justice dans notre société.

Il faut sans aucun doute changer de méthode pour être plus efficaces. C’est ce que j’ai demandé au gouvernement de faire.

Mais les pouvoirs publics ne sont pas les seuls à pouvoir agir. Notre communauté doit préserver les vertus de la solidarité et du partage.

C’est dans cet esprit de solidarité que nous devons agir pour préserver notre système de santé et l’avenir de nos retraites.

Le gouvernement a décidé de prendre ce problème à bras le corps. Si nous reculons encore, ce sera la faillite de notre système. Bien sûr, changer fait peur.

Mais c’est notre responsabilité collective de prendre les décisions qui s’imposent pour maintenir la cohésion, pour que chacun continue d’être soigné, pour que nos vieux touchent leur retraite et nos enfants leur allocation.

Ne cédons pas aux vieux réflexes. Osons et soyons tournés vers l’avenir, rassemblons les énergies positives.

Inspirons nous de tous ceux qui innovent chaque jour, de ces jeunes qui créent leurs entreprises, de tous ceux qui marquent leur confiance dans notre société.

Inspirons nous de ceux qui se battent par amour pour leur pays.

Oui, soyons positifs. Avançons et continuons la construction de notre maison commune, ce pays qui nous est cher et qui est le nôtre.

Mes chers amis, bonnes fêtes et bonne année 2018, sous les auspices de la paix, du bonheur et de la prospérité."


"E hoa here mâ,

Te hope nei te matahiti 2017, te fâ mai ra te matahiti apî 2018, ta tatou pa’ato’a e pure nei, ia riro ei matahiti hau atu i te maita’i no to tatou mau utuafare, no to tatou mata’eina’a, no to tatou ‘oire, no to tatou fenua e no tatou tata’i-tahi.
E taime tàno ato’a teie no’u, no te fa’atae i to’u tapa’o aroha ta’a’ê i te feia ta te àti i fa’aô i roto i te âhoâho e te mâuiui a’au. E mana’o to’u i to tatou feia apî e parahi nei i roto i te mana’ona’o, no te papû ‘ore o to ratou ànanahi. Ia ‘ite mai outou i ô nei e; aita e; e’ita outou e mo’e ia’u. E’ita e nehenehe e ha’amo’e i te ànanahi o te hoê fenua. A fa’aitoito i te titau i te parau tû-‘ite; e ùputa te reira no te ô i roto i te fa’aineinera’a toro’a, te taviri e ô ai i roto i te ao-‘ohipa. E mea tauà’ave, e nehenehe râ !

E tuha’a na te hau te fa’atupura’a i te mau ‘opuara’a rarahi. E mea titauhia râ ia’na, te horo’ara’a i roto i te rima o te feia apî, te mauha’a e ô ‘ohie ai o ia i roto i te ao- ‘ohipa. O ta’u ïa Tareni ! (Devoir).
Ua ‘auaha’a’atihia tatou e te ‘ohipa. Ua tau noa râ to tatou mata i ni’a i te mau pû ‘ohipa a te hau e ta te mau ‘oire. Ua ‘ite ânei outou e, e nehenehe ato’a i to tatou mau metua e horo’a i te ‘ohipa ?
E’ere teie i te moemoeâ ! Ua ineine au, ua ineine ato’a te hau fenua e ta’na mau piha ‘ohipa i te ‘iriti i te mau pû fa’aineinera’a i te mau tino no roto iho i te feti’i, e na ratou e aupuru, e ha’apa’o i to tatou mau metua pa’ari. E toro’a nehenehe roa, te aupurura’a i to tatou mau metua !

Ua ‘ite au e ; e hia’i- ‘ohipa to te pae rahi o outou ! Na matou te horo’ara’a i te mauha’a e nehenehe ai outou e ha’amau i ta outou iho. Eiaha e mata’u i te haere mai e âni i te mau ha’amaramaramara’a no te mea ; ua ineine te mau mea ato’a i te fa’anahohia !

Tei to’u nuna’a ato’a to’u mana’ora’a i teie hora nei. Ei ia outou o ta’u i farerei i roto i to’u mau tere àti ti’a a’e to tatou Porinetia. Ia ratou tei ‘ite i te hùna i to ratou vai-taha’a na roto i te vehira’a i to ratou tino i te rau no’ano’a o te âru mai te upo’o e tae i te avae. Aita e ‘ohomu, aita ato’a e ha’apàhi.



Ia ratou tei pàpà i to ratou ananahi i ni’a i te fa’aotira’a a te tau. Ia ratou tei tu’u i to ratou parau i roto i te rima o te Manahope. Ia ratou e tatari nei i te ra’i apî e te fenua apî, to’u mana’ora’a i teie hora nei. Na to outou ma’ohira’a e horo’a mai nei i te puai e te itoito, eiaha vau ia to’aru’aru.
Ia outou pa’ato’a na, Ia ‘oa’oa i te Noera, Ia manuia i te matahiti apî !"

Edouard Fritch











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Les fortes pluies s'intensifient sur la Société

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Les fortes pluies s'intensifient sur la Société
PAPEETE, le 4 janvier 2018 - Vigilance orange pour l'archipel de la Société, suite aux fortes pluies qui devraient s'abattre sur cette partie du pays, jusqu'à samedi. Aux Tuamotu et aux Australes, la vigilance jaune est maintenue.

Les conditions météorologiques se dégradent sur l'archipel de la Société, ce qui a conduit les services de Météo France à placer cet archipel en vigilance orange. Selon les prévisionnistes de Météo France, les fortes pluies pourraient s'intensifier ce jeudi soir, jusqu'à samedi.

La population est donc invitée à respecter les recommandations suivantes :

- ne pas s'approcher des rivières, ni des grands caniveaux situés le long des routes qui peuvent se transformer en torrent, et attirer l'attention des enfants sur ce danger ;
- veiller au curage des évacuations d'eaux des maisons (gouttières, caniveaux…) ;
- limiter les trajets en véhicule sur la route en raison du risque de chute de pierres, de glissements de terrain, coulées de boue, et de nappes d'eau sur la chaussée ;
- réduire la vitesse du véhicule et augmenter la distance de sécurité ;
- limiter les sorties en mer en raison du vent et de la houle ;
- suivre régulièrement les bulletins émis par Météo France.

Sur l'ensemble des Tuamotu, attention aux orages. Les Australes seront concernés par des vents forts, avec des rafales pouvant atteindre les 80/90 kilomètres/heure.

Vous pourrez suivre l'évolution de ces phénomènes météorologiques sur le site de Météo France.


Les fortes pluies s'intensifient sur la Société

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