WELLINGTON, vendredi 6 décembre 2013 (Flash d’Océanie) – Les autorités universitaires françaises et néo-zélandaises ont signé, fin novembre 2013, un nouvel accord visant à encourager et renforcer la coopération et les échanges dans les secteurs de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’octroi de bourses, a annoncé vendredi l’ambassade de France à Wellington.
Cet accord-cadre a été signé le 28 novembre 2013 entre le groupement « Universities New Zealand – Te Pokai Tara » (qui rassemble la plupart des établissements d’enseignement supérieur de ce pays) et la Conférence des Présidents d’Universités françaises (CPU).
La CPU, côté français, était représentée par Gaël Lagadec, Président de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, toute proche de la Nouvelle-Zélande.
« L’accord offre de nombreux avantages pour les établissements d’enseignement supérieur français et néo-zélandais. Il permet notamment de faciliter la mobilité des étudiants et des boursiers entre la France et la Nouvelle-Zélande, via la mise en place de niveaux comparatifs des diplômes entre les universités des deux pays », a précisé l’ambassade de France en Nouvelle-Zélande, qui déclare avoir « appuyé » cette signature.
Cette convention couvre notamment de nombreux aspects de la vie des échanges interuniversitaires franco-néo-zélandais, y compris pour les étudiants français et néo-zélandais de premier, deuxième et troisième cycles, les stages et échanges d’étudiants et de chercheurs, l’élaboration et le développement de projets conjoints de recherche, la participation aux symposiums et autres événements académiques ainsi que la publication, l’échange d’informations et l’établissement de contacts.
Du point de vue néo-zélandais, « avec environ 55 liens formels déjà établis entre des universités françaises et néo-zélandaises, cet accord formalise et complète des liens de longue date entre nos deux pays en matière éducative », a commenté le professeur Roy Crawford, Président de Universities NZ, qui évoque aussi une plus grande « souplesse » de la coopération universitaire, notamment au plan des équivalences entre les deux systèmes.
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Cet accord-cadre a été signé le 28 novembre 2013 entre le groupement « Universities New Zealand – Te Pokai Tara » (qui rassemble la plupart des établissements d’enseignement supérieur de ce pays) et la Conférence des Présidents d’Universités françaises (CPU).
La CPU, côté français, était représentée par Gaël Lagadec, Président de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, toute proche de la Nouvelle-Zélande.
« L’accord offre de nombreux avantages pour les établissements d’enseignement supérieur français et néo-zélandais. Il permet notamment de faciliter la mobilité des étudiants et des boursiers entre la France et la Nouvelle-Zélande, via la mise en place de niveaux comparatifs des diplômes entre les universités des deux pays », a précisé l’ambassade de France en Nouvelle-Zélande, qui déclare avoir « appuyé » cette signature.
Cette convention couvre notamment de nombreux aspects de la vie des échanges interuniversitaires franco-néo-zélandais, y compris pour les étudiants français et néo-zélandais de premier, deuxième et troisième cycles, les stages et échanges d’étudiants et de chercheurs, l’élaboration et le développement de projets conjoints de recherche, la participation aux symposiums et autres événements académiques ainsi que la publication, l’échange d’informations et l’établissement de contacts.
Du point de vue néo-zélandais, « avec environ 55 liens formels déjà établis entre des universités françaises et néo-zélandaises, cet accord formalise et complète des liens de longue date entre nos deux pays en matière éducative », a commenté le professeur Roy Crawford, Président de Universities NZ, qui évoque aussi une plus grande « souplesse » de la coopération universitaire, notamment au plan des équivalences entre les deux systèmes.
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