BERLIN, jeudi 5 décembre 2013 (Flash d’Océanie) – La Nouvelle-Zélande est, ex aequo avec le Danemark, le pays le moins corrompu au monde, selon la version 2013 de l’Indice de perception de la corruption, publié en milieu de semaine par l’ONG Transparency International.
L’Australie occupe la neuvième place dans ce tableau.
La France est 22ème, l’Allemagne 12ème, l’Italie 69ème, les États-Unis 10èmes et le Canada 9ème.
http://cpi.transparency.org/cpi2013/results/
Dans les bas-fonds de ce classement, un autre pays d’Océanie se distingue : la Papouasie-Nouvelle-Guinée (seul États insulaire océanien, hors Australie et Nouvelle-Zélande, cité dans ce classement), à la 144ème place sur 177 pays classés et ex-æquo aux côtés de pays comme l’Iran, le Nigeria, le Cameroun, l’Ukraine et la république centrafricaine.
En début de semaine, la cellule papoue des enquêtes et de la lutte contre la corruption, « Task Force Sweep », a signé un accord de partenariat avec la police fédérale australienne en vue d’œuvrer conjointement dans les enquêtes de corruption concernant les deux pays, y compris dans des affaires de détournements présumés de fonds public papous pouvant avoir été mis à l’abri dans des banque australiennes ou investis dans ce grand pays voisin, en particulier dans l’État du Queensland, a indiqué Sam Koim, chef de Task Force Sweep.
Dans ce classement, les pays perçus comme étant les plus corrompus au monde, en bas du tableau, sont l’Afghanistan, la Corée du Nord et la Somalie.
« Plus des deux tiers des 177 pays étudiés dans le cadre de l’indice 2013 obtiennent une note inférieure à 50, sur une échelle allant de 0 (pays perçu comme étant extrêmement corrompu) à 100 (pays perçu comme étant très peu corrompu) », remarque l’ONG.
« L’Indice de perception de la corruption 2013 démontre que tous les pays sont encore confrontés aux risques de corruption à tous les niveaux de l’administration, qu’il s’agisse de l’octroi de permis à l’échelle locale à l’application des lois et des règlements », a déclaré Huguette Labelle, présidente de Transparency International.
L’Indice de perception de la corruption s’appuie sur l’opinion d’experts concernant la corruption dans le secteur public.
« L’accès aux documents administratifs et l’encadrement du comportement des élus sont des éléments déterminants pour l’obtention d’un bon score. À l’inverse, l’incapacité de l’administration à rendre des comptes aux citoyens et l’inefficacité des institutions publiques sont perçues comme des facteurs négatifs », précise l’ONG.
Transparency International, à cette occasion, met également en garde la communauté internationale sur « le danger que représente la corruption face aux efforts entrepris pour apporter des solutions au changement climatique, à la crise économique et aux situations d’extrême pauvreté ».
pad
L’Australie occupe la neuvième place dans ce tableau.
La France est 22ème, l’Allemagne 12ème, l’Italie 69ème, les États-Unis 10èmes et le Canada 9ème.
http://cpi.transparency.org/cpi2013/results/
Dans les bas-fonds de ce classement, un autre pays d’Océanie se distingue : la Papouasie-Nouvelle-Guinée (seul États insulaire océanien, hors Australie et Nouvelle-Zélande, cité dans ce classement), à la 144ème place sur 177 pays classés et ex-æquo aux côtés de pays comme l’Iran, le Nigeria, le Cameroun, l’Ukraine et la république centrafricaine.
En début de semaine, la cellule papoue des enquêtes et de la lutte contre la corruption, « Task Force Sweep », a signé un accord de partenariat avec la police fédérale australienne en vue d’œuvrer conjointement dans les enquêtes de corruption concernant les deux pays, y compris dans des affaires de détournements présumés de fonds public papous pouvant avoir été mis à l’abri dans des banque australiennes ou investis dans ce grand pays voisin, en particulier dans l’État du Queensland, a indiqué Sam Koim, chef de Task Force Sweep.
Dans ce classement, les pays perçus comme étant les plus corrompus au monde, en bas du tableau, sont l’Afghanistan, la Corée du Nord et la Somalie.
« Plus des deux tiers des 177 pays étudiés dans le cadre de l’indice 2013 obtiennent une note inférieure à 50, sur une échelle allant de 0 (pays perçu comme étant extrêmement corrompu) à 100 (pays perçu comme étant très peu corrompu) », remarque l’ONG.
« L’Indice de perception de la corruption 2013 démontre que tous les pays sont encore confrontés aux risques de corruption à tous les niveaux de l’administration, qu’il s’agisse de l’octroi de permis à l’échelle locale à l’application des lois et des règlements », a déclaré Huguette Labelle, présidente de Transparency International.
L’Indice de perception de la corruption s’appuie sur l’opinion d’experts concernant la corruption dans le secteur public.
« L’accès aux documents administratifs et l’encadrement du comportement des élus sont des éléments déterminants pour l’obtention d’un bon score. À l’inverse, l’incapacité de l’administration à rendre des comptes aux citoyens et l’inefficacité des institutions publiques sont perçues comme des facteurs négatifs », précise l’ONG.
Transparency International, à cette occasion, met également en garde la communauté internationale sur « le danger que représente la corruption face aux efforts entrepris pour apporter des solutions au changement climatique, à la crise économique et aux situations d’extrême pauvreté ».
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