C’était en novembre 1995, mais dans la mémoire de Timeri Baudry, ce jour est resté gravé à jamais. Ce fut le jour d’une brève mais fulgurante rencontre avec l’une des icônes les plus emblématiques du XXe siècle.
La belle jeune femme tahitienne âgée de 20 ans, couronnée quelques mois plus tôt Miss Tahiti 1995, participait cette année-là au concours de Miss Monde qui se déroulait en Afrique du Sud. Etre reçue à Johannesburg en 1995, avec 80 autres jeunes filles du monde entier, dans un pays qui sortait à peine de l’apartheid grâce au combat de celui qui avait passé 27 ans en prison pour dénoncer la ségrégation raciale, était déjà une immense joie pour Timeri.
Mais comble de l’honneur, le président sud africain avait tenu à rencontrer personnellement toutes les candidates présentes dans son pays pour ce concours de beauté mondial. «Cela a été une émotion particulière pour nous toutes. Quand on nous avait dit que Nelson Mandela nous serait présenté, chez lui, au début on n’y croyait pas. Mais finalement de cette expérience de Miss Monde c’est ce dont je me souviens le plus» explique Timeri presque 20 ans plus tard. Le temps d’une photo, d’une poignée de mains, l’échange d’un sourire qui ne s’oublie pas
La belle jeune femme tahitienne âgée de 20 ans, couronnée quelques mois plus tôt Miss Tahiti 1995, participait cette année-là au concours de Miss Monde qui se déroulait en Afrique du Sud. Etre reçue à Johannesburg en 1995, avec 80 autres jeunes filles du monde entier, dans un pays qui sortait à peine de l’apartheid grâce au combat de celui qui avait passé 27 ans en prison pour dénoncer la ségrégation raciale, était déjà une immense joie pour Timeri.
Mais comble de l’honneur, le président sud africain avait tenu à rencontrer personnellement toutes les candidates présentes dans son pays pour ce concours de beauté mondial. «Cela a été une émotion particulière pour nous toutes. Quand on nous avait dit que Nelson Mandela nous serait présenté, chez lui, au début on n’y croyait pas. Mais finalement de cette expérience de Miss Monde c’est ce dont je me souviens le plus» explique Timeri presque 20 ans plus tard. Le temps d’une photo, d’une poignée de mains, l’échange d’un sourire qui ne s’oublie pas
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