WELLINGTON, lundi 2 décembre 2013 (Flash d’Océanie) – Le transfert progressif de toutes les émissions de télévision en mode numérique, entamé en 2010 et initialement programmé sur un calendrier allant jusqu’à 2015, a été achevé ce week-end.
Le dernier émetteur analogique, sur l’île du Nord, dans la banlieue d’Auckland, a été désactivé dimanche a deux heures du matin (locales, GMT+13) par le ministre des la radio et télédiffusion Craig Foss.
Tous les signaux de télévision du pays sont désormais numériques, a précisé le ministre, qui parle d’une étape « historique » la plus significative depuis l’arrivée de la télévision en couleurs, en 1974.
Il a toutefois rappelé qu’à l’occasion de cette transition numérique, il est aussi apparu que « de nombreux Néo-zélandais ne dépendent plus de leur télévision en tant que source première de réception de programmes. Certains ont même décidé qu’ils n’avaient pas besoin du tout de la télévision numérique et ont choisi, à la place, de recevoir des contenus via leur ordinateur et leurs smartphones ».
Ce passage au tout numérique a aussi pour conséquence directe une amélioration sensible de la qualité des images diffusées, une multiplication des chaînes disponibles et des retombées économiques de l’ordre de plus d’un milliard d’euros au cours des vingt années à venir.
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Le dernier émetteur analogique, sur l’île du Nord, dans la banlieue d’Auckland, a été désactivé dimanche a deux heures du matin (locales, GMT+13) par le ministre des la radio et télédiffusion Craig Foss.
Tous les signaux de télévision du pays sont désormais numériques, a précisé le ministre, qui parle d’une étape « historique » la plus significative depuis l’arrivée de la télévision en couleurs, en 1974.
Il a toutefois rappelé qu’à l’occasion de cette transition numérique, il est aussi apparu que « de nombreux Néo-zélandais ne dépendent plus de leur télévision en tant que source première de réception de programmes. Certains ont même décidé qu’ils n’avaient pas besoin du tout de la télévision numérique et ont choisi, à la place, de recevoir des contenus via leur ordinateur et leurs smartphones ».
Ce passage au tout numérique a aussi pour conséquence directe une amélioration sensible de la qualité des images diffusées, une multiplication des chaînes disponibles et des retombées économiques de l’ordre de plus d’un milliard d’euros au cours des vingt années à venir.
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