Après un mois de présence en Polynésie française, les deux experts mandatés par l’Union européenne, à la demande de la Polynésie française, pour réaliser une étude-diagnostic sur l’organisation de la société civile ont pu dresser un premier bilan de leurs travaux. Cette mission s’inscrit dans le cadre de la politique menée par l’Union européenne afin de renforcer les capacités des acteurs de la société civile et, ainsi, améliorer leur participation à l’élaboration et à la mise en œuvre des politiques publiques.
Durant un mois, pas moins de 80 entretiens approfondis ont pu être menés avec un échantillon représentatif des structures associatives. Cinq réunions ont également été organisées sur des thématiques spécifiques avec des représentants de l’administration et des groupes d’associations. Compte tenu du délai imparti, les interviews ont été menées, principalement, à Tahiti et Moorea. Toutefois, un déplacement aux Marquises (Nuku Hiva) a permis d’appréhender les problématiques spécifiques aux autres îles.
Les premières conclusions font apparaître une grande diversité et un dynamisme certain du monde associatif polynésien. Elles mettent également en avant la capacité de la société civile à se mobiliser et à être force de proposition dans des domaines d’intérêt public (social, culture, environnement, tourisme, par exemple). Au-delà des atouts, l’étude a également permis d’identifier des points d’améliorations, sur lesquels l’Union européenne pourrait apporter un soutien. En effet, si les associations polynésiennes d’intérêt public disposent d’un réel savoir-faire technique dans les domaines où elles interviennent, elles restent souvent démunies sur les questions administratives, ce qui les pénalise tant pour la recherche de financements (montages de projets), la valorisation des actions ou pour le recrutement et la gestion des bénévoles.
De la même manière, une amélioration des méthodes de communication apporterait aux structures associatives des partages d’expériences, une plus grande efficacité et une meilleure connaissance de leurs actions. Enfin, la mission a mis en avant la nécessité, pour les structures associatives locales, de s’insérer dans des réseaux internationaux leur permettant de développer des partenariats utiles au développement de leurs actions.
Le rapport complet de cette mission sera communiqué dès le mois de septembre 2013. Il constituera une base de travail utile à l’organisation du dialogue et la gestion de la complémentarité entre l’action des pouvoirs publics et celle de la société civile. Ce rapport comprendra notamment des propositions concrètes d’actions pour le renforcement des capacités des acteurs de la société civile.
Durant un mois, pas moins de 80 entretiens approfondis ont pu être menés avec un échantillon représentatif des structures associatives. Cinq réunions ont également été organisées sur des thématiques spécifiques avec des représentants de l’administration et des groupes d’associations. Compte tenu du délai imparti, les interviews ont été menées, principalement, à Tahiti et Moorea. Toutefois, un déplacement aux Marquises (Nuku Hiva) a permis d’appréhender les problématiques spécifiques aux autres îles.
Les premières conclusions font apparaître une grande diversité et un dynamisme certain du monde associatif polynésien. Elles mettent également en avant la capacité de la société civile à se mobiliser et à être force de proposition dans des domaines d’intérêt public (social, culture, environnement, tourisme, par exemple). Au-delà des atouts, l’étude a également permis d’identifier des points d’améliorations, sur lesquels l’Union européenne pourrait apporter un soutien. En effet, si les associations polynésiennes d’intérêt public disposent d’un réel savoir-faire technique dans les domaines où elles interviennent, elles restent souvent démunies sur les questions administratives, ce qui les pénalise tant pour la recherche de financements (montages de projets), la valorisation des actions ou pour le recrutement et la gestion des bénévoles.
De la même manière, une amélioration des méthodes de communication apporterait aux structures associatives des partages d’expériences, une plus grande efficacité et une meilleure connaissance de leurs actions. Enfin, la mission a mis en avant la nécessité, pour les structures associatives locales, de s’insérer dans des réseaux internationaux leur permettant de développer des partenariats utiles au développement de leurs actions.
Le rapport complet de cette mission sera communiqué dès le mois de septembre 2013. Il constituera une base de travail utile à l’organisation du dialogue et la gestion de la complémentarité entre l’action des pouvoirs publics et celle de la société civile. Ce rapport comprendra notamment des propositions concrètes d’actions pour le renforcement des capacités des acteurs de la société civile.
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