PAPEETE, lundi 9 septembre 2013 – La Polynésie française s’associe pour la deuxième année aux Journées européennes du patrimoine, avec la collaboration de l’Assemblée de Polynésie française, du ministère de la Culture, du service du Patrimoine archivistique et audiovisuel et du musée de Tahiti et des îles, à travers plusieurs événements portes ouvertes jusqu’au dimanche 15 septembre.
Le programme ICI
En Polynésie française, la notion de protection des monuments historiques est apparue il y a une soixantaine d'années avec les premiers classements formalisés dès 1952 et concernant plus d'une centaine de sites majeurs, représentatifs du patrimoine culturel propre à chaque archipel.
Ce n'est qu'en 1961 que la Polynésie française se dote véritablement d'un cadre juridique en matière de protection des monuments historiques avec l’adoption d’une réglementation constituant le chapitre 1 du Livre I, Titre 5 du Code de l’aménagement de la Polynésie française (articles D.151-1 à D.151-14).
Cette réglementation est, aujourd'hui encore, au coeur de la politique culturelle du Pays. Toutefois, la volonté d’inscrire les sites majeurs au patrimoine mondial de l'humanité, conduit le ministère de la culture à proposer, dans un futur proche, sa mise en adéquation avec les recommandations de l'UNESCO. Un projet de loi du Pays sur la protection du patrimoine est en cours de rédaction et pourrait être soumis à l'avis des représentants de l'Assemblée en fin d'année.
"Cette année sera l'an zéro d'une nouvelle vision de notre culture", a estimé Edouard Fritch. "J'espère que l'an prochain, à la faveur de cette nouvelle loi, on fêtera les journées polynésiennes du patrimoine".
Le programme ICI
En Polynésie française, la notion de protection des monuments historiques est apparue il y a une soixantaine d'années avec les premiers classements formalisés dès 1952 et concernant plus d'une centaine de sites majeurs, représentatifs du patrimoine culturel propre à chaque archipel.
Ce n'est qu'en 1961 que la Polynésie française se dote véritablement d'un cadre juridique en matière de protection des monuments historiques avec l’adoption d’une réglementation constituant le chapitre 1 du Livre I, Titre 5 du Code de l’aménagement de la Polynésie française (articles D.151-1 à D.151-14).
Cette réglementation est, aujourd'hui encore, au coeur de la politique culturelle du Pays. Toutefois, la volonté d’inscrire les sites majeurs au patrimoine mondial de l'humanité, conduit le ministère de la culture à proposer, dans un futur proche, sa mise en adéquation avec les recommandations de l'UNESCO. Un projet de loi du Pays sur la protection du patrimoine est en cours de rédaction et pourrait être soumis à l'avis des représentants de l'Assemblée en fin d'année.
"Cette année sera l'an zéro d'une nouvelle vision de notre culture", a estimé Edouard Fritch. "J'espère que l'an prochain, à la faveur de cette nouvelle loi, on fêtera les journées polynésiennes du patrimoine".
Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti