Le projet PAPE (PArtenariat pour la Potabilité de l’Eau) initié en 2010 au sein du SPCPF (Syndicat pour la Promotion des Communes de Polynésie Française), arrive à la seconde phase de sa mise en place. Un agent du département Eau Potable s’était rendu en Métropole, à Limoges, pour une formation sur la détection de fuites et de canalisations enterrées. Le constat fait état d’une chute de rendement important de la production d’eau sur l’ensemble du Territoire polynésien.
La recherche de fuites d’eau est un nouvel aspect de la compétence "Eau potable" pour le SPCPF qui se rajoute aux autres projets comme le suivi de la ressource. Les premières opérations de détection ont démarré en 2012 et le SPCPF a déjà réalisé des découpages par zone (sectorisations) sur l’île de Raiatea, dans les communes de Tumaraa, Taputapuatea, mais également à Tubuai et Tahaa.
Aujourd’hui, la recherche de fuites d’eau et leur réparation est devenu une priorité pour les 31 communes qui ont adhéré à la compétence « Eau potable » du SPCPF. Rappelons que d’ici 2016, la réglementation applicable en Polynésie française et le Code Général des Collectivités Territoriales imposent aux communes polynésiennes de distribuer de l’eau potable. Au delà de cette date buttoir, ces communes risquent des sanctions financières.
Incidence des fuites d'eau sur le budget d’une commune
La recherche et la détection des fuites d’eau sont même devenues une priorité pour les communes, car la préservation de la ressource et la diminution des coûts d’exploitation s’avère un enjeu majeur pour l’avenir. Vaihere Richmond, ingénieur-adjoint au Département « Eau potable » du SPCPF, actuellement en déplacement sur Rurutu, a expliqué l’importance d’intégrer cette action nouvelle dans le contexte général : « On ne se rend pas forcément compte, mais la fourniture d’eau possède ses propres problématiques dont la détection des fuites fait partie. En Polynésie, le rendement a chuté de 20 points environ. Auparavant, nous étions à 80 % de taux de rendement. A l’heure actuelle, nous sommes descendus à 70, voire même 65 %. L’importance du phénomène s’étend jusque sur le budget d’une commune. En effet, d’un côté on perd de l’eau et pendant ce temps, le pompage se poursuit sans cesse. Cela engendre des coûts d’exploitation (EDT, frais de réparation et autres) qui pourraient être optimisés. Les usagers ressentiront également le problème au niveau de leurs factures. Accumulées, toutes ces petites choses coûtent très cher. »
Techniques de recherches avancées
Afin de mener à bien cette mission, le SPCPF fait appel à des prestataires de service. Ces derniers dont on pourrait dire qu’ils n’ont rien à voir avec le domaine hydraulique (sociétés spécialisées dans l’acoustique) ont pourtant leur rôle à jouer. Munis d’instruments de mesures spécifiques, ils viennent « écouter » les fuites. Cette technique permet une détection sans faille et surtout précise. Une autre méthode consiste à projeter un gaz neutre dans les canalisations. Cela rend visible les points défaillants. « L’utilisation de ces méthodes est encore en phase de test pour l’instant. » confiait Vaihere Richmond.
Les premiers résultats sont pourtant probants grâce à l’application de ces techniques sur la quasi-totalité du fenua. On parle alors de sectorisation, c’est-à-dire, du redécoupage des zones de chaque commune. Il est désormais possible de repérer une fuite à un emplacement précis, et donc d’intervenir dans un délai relativement court. Les tests sont surtout effectués le soir. « …car c’est le moment où il est plus facile de quantifier les pertes exactes. Nous procédons ainsi zone après zone, et commune après commune. ».
Dans ce genre d’opération et de programme, le SPCPF fait office de bureau d’étude et de maître d’œuvre pour le compte des communes. Cela répond à un réel besoin, notamment pour les îles éloignées. « Les îles ont bien adhéré au programme « Eau Potable » ».concluait Vaihere Richmond.
N’étant pas équipées d’appareils et n’ayant pas encore suffisamment d’expérience dans ce domaine, les communes continueront à faire appel à des prestataires. A l’avenir, l’achat d’appareils mis à la disposition des communes pourrait être envisageable pour le SPCPF.
TP
La recherche de fuites d’eau est un nouvel aspect de la compétence "Eau potable" pour le SPCPF qui se rajoute aux autres projets comme le suivi de la ressource. Les premières opérations de détection ont démarré en 2012 et le SPCPF a déjà réalisé des découpages par zone (sectorisations) sur l’île de Raiatea, dans les communes de Tumaraa, Taputapuatea, mais également à Tubuai et Tahaa.
Aujourd’hui, la recherche de fuites d’eau et leur réparation est devenu une priorité pour les 31 communes qui ont adhéré à la compétence « Eau potable » du SPCPF. Rappelons que d’ici 2016, la réglementation applicable en Polynésie française et le Code Général des Collectivités Territoriales imposent aux communes polynésiennes de distribuer de l’eau potable. Au delà de cette date buttoir, ces communes risquent des sanctions financières.
Incidence des fuites d'eau sur le budget d’une commune
La recherche et la détection des fuites d’eau sont même devenues une priorité pour les communes, car la préservation de la ressource et la diminution des coûts d’exploitation s’avère un enjeu majeur pour l’avenir. Vaihere Richmond, ingénieur-adjoint au Département « Eau potable » du SPCPF, actuellement en déplacement sur Rurutu, a expliqué l’importance d’intégrer cette action nouvelle dans le contexte général : « On ne se rend pas forcément compte, mais la fourniture d’eau possède ses propres problématiques dont la détection des fuites fait partie. En Polynésie, le rendement a chuté de 20 points environ. Auparavant, nous étions à 80 % de taux de rendement. A l’heure actuelle, nous sommes descendus à 70, voire même 65 %. L’importance du phénomène s’étend jusque sur le budget d’une commune. En effet, d’un côté on perd de l’eau et pendant ce temps, le pompage se poursuit sans cesse. Cela engendre des coûts d’exploitation (EDT, frais de réparation et autres) qui pourraient être optimisés. Les usagers ressentiront également le problème au niveau de leurs factures. Accumulées, toutes ces petites choses coûtent très cher. »
Techniques de recherches avancées
Afin de mener à bien cette mission, le SPCPF fait appel à des prestataires de service. Ces derniers dont on pourrait dire qu’ils n’ont rien à voir avec le domaine hydraulique (sociétés spécialisées dans l’acoustique) ont pourtant leur rôle à jouer. Munis d’instruments de mesures spécifiques, ils viennent « écouter » les fuites. Cette technique permet une détection sans faille et surtout précise. Une autre méthode consiste à projeter un gaz neutre dans les canalisations. Cela rend visible les points défaillants. « L’utilisation de ces méthodes est encore en phase de test pour l’instant. » confiait Vaihere Richmond.
Les premiers résultats sont pourtant probants grâce à l’application de ces techniques sur la quasi-totalité du fenua. On parle alors de sectorisation, c’est-à-dire, du redécoupage des zones de chaque commune. Il est désormais possible de repérer une fuite à un emplacement précis, et donc d’intervenir dans un délai relativement court. Les tests sont surtout effectués le soir. « …car c’est le moment où il est plus facile de quantifier les pertes exactes. Nous procédons ainsi zone après zone, et commune après commune. ».
Dans ce genre d’opération et de programme, le SPCPF fait office de bureau d’étude et de maître d’œuvre pour le compte des communes. Cela répond à un réel besoin, notamment pour les îles éloignées. « Les îles ont bien adhéré au programme « Eau Potable » ».concluait Vaihere Richmond.
N’étant pas équipées d’appareils et n’ayant pas encore suffisamment d’expérience dans ce domaine, les communes continueront à faire appel à des prestataires. A l’avenir, l’achat d’appareils mis à la disposition des communes pourrait être envisageable pour le SPCPF.
TP
Te aupūpū o te mau ‘oire : te fāfāra’a i te mau tahera’a pape māu’a
Tei roto atu ra i te fa’anahora’a pi’i hia PAPE (Partenariat pour la Potabilité de l’Eau) i fēruri hia i te matahiti 2010 ra e te aupūpū o te mau ‘oire, i te pitira’a o tā na tuha’a. ‘Ua tono hia atu i te hō’ē ti’a nō teie aupūpū, i te fenua Farāni, il te tuha’a ‘oire nō Limoges, i reira ‘ua ha’api’i nāhea ia fāfā ‘e te ‘ite atu i te mau tahera’a pape māu’a nā roto i te mau fa’atehaera’a pape . Inaha, mea rahi te fāito ritera pape o te māu’a noa ra i te fenua nei.
Te ‘imira’a i te pape e tahe māu’a nei, teie i tetahi tuha’a ‘ohipa hau roa atu nō roto mai i te mana o te mau ‘oire i te ‘ōpera’a i te pape mā. ‘Ua ha’amata a’e na teie ‘ohipa i te matahiti 2012, ‘ua tātuha’a a’e na hia i te mau ‘oire nā roto i tetahi tānūmera’a i te mau aroa, mau fare ‘e mau nohora’a, te reira i Raiatea, i Tumaraa ‘e Taputapuatea, tae noa atu i Tubuai ‘e Tahaa.
I teie mahana, ‘ua riro roa atu teie fa’anahora’a mai i te hō’ē ‘ohipa rū e ti’a ia rave hia, nō na ‘oire e 31 ihoa ra o tei noa’a hia īa rātou i te mana o te ‘ōperera’a i te pape mā. Ma te fa’ari’i i te reira fa’anahora’a, e fa’ahepo hia rātou i te rave i teie tuha’a hou i te matahiti 2016. ‘Ia ma’iri hia i taua tai’ora’a mahana, e fa’aūtu’a hia rātou.
Te mau fifi e riro i te noa’a mau nō te tāpura faufa’a o te hō’ē ‘oire
I te parau a te ‘aivāna’a ra o Vaihere Richmond, e ha’a nei nō teie aupūpū, « ‘aita tātou e ‘ite atu ra i te ‘ohipa e tupu, i te mea ē rave mau fifi e vai nei i roto i te ‘ōpuara’a ‘ōperera’a i te pape mā, tei roto i teie ‘ohipa ‘imira’a ‘e te fāfara’a i te pape māu’a, i teie fa’anahora’a. ‘Ia ‘ite mai tātou, ‘ua topa roa i te fāito pape e ‘ōpere hia ra i ni’a i te faito 30%, mea rahi terā. I mātāmua a’e ra, tei ni’a te fāito i te 80%. I teienei, tei raro roa i te 60%. E ha’uti ato’a teie huru fifi i te tāpura faufa’a o te hō’ē ‘oire. I tetahi pae, te māu’a noa ra i te pape, ‘e i taua taime ato’a, te pāumu noa hia ra i te pape. Māu’a ato’a i te moni nō te pāumu i te hō’ē pape o te tahe faufa’a ‘ore noa, te uira ihoa ra a ore ra i te mau tāta’īra’a i te mau māteni. Na reira, e topa ato’a atu teie fifi i ni’a i te tua o te mau ‘aimāmau. ‘Ia ‘āmui ana’e hia i te tā’ato’ara’a o teie mau fifi, e moni rahi terā e reva ra. »
Te mau fa’anahora’a ‘āpī ‘e te faufa’a
Nō te ha’amanuia i teie fa’anahora’a, ‘ua tĪtau hia i te mau taiete ‘ohipa. Ia hi’o ana’e hia i te tuha’a ‘ohipa o teie mau taiete ‘e te ‘ohipa e ti’a ia rave, e maere ri’i i te mana’o, mea ātea roa (mau taiete e ha’a nei i te pae ‘au o te ‘ihi ta’ira’a) teie ra, ‘e ‘ere roa atu i te reira. Te vai ihoa i tā rātou mau mauiha’a ta’a’ē nō te fāito i te teitera’a i te pūaira’a o te māniania. E noa’a ia fa’aro’o hia i te māniania o te topatapatara’a pape. Ta’a i te reira, te fa’a’ohipa ato’a hia nei i te māhū auahi nō te fāfā haere i te mau tahera’a papa e tahe māu’a nei. « Tei roto noa ra mātou i tetahi mau tāmatamatara’a. » o tā Vaihere i fa’ata’a mai.
Noa atu ra, mea huru pāpū roa i te mau nūmera tei noa’a mai, ‘aua’e māoti teie mau mauiha’a ‘āpī terā o te fa’a’ohipa hia ra i te rahira’a o te mau ‘oire nō Pōrīnetia farāni nei. Inaha, e rave hia i tetahi tāpūpūra’a i te mau ora, fare, nohora’a. E pi’i hia teie e “tātuha’ara’a ». Ma teie huru fa’anahora’a, e ‘ite ‘oi’oi hia ihea te pape e tahe ra. E noa’a ‘ia tāta’i ‘oi’oi. E tupu nei teie mau hi’opo’ara’a i te ārea pō : « …Nō te mea, terā i tetaima nahonaho maita’ai nō te fāito pāpū i te mau tahera’a pape māu’a. E na reira noa mātou, i roto i te mau ‘oire ato’a. »
‘Ua riro te SPCPF ‘ei piha hi’opo’ara’a nō te mau ‘oire ato’a. E au hia teie mau ravera’a nō te pāhono i te mau anira’a a te mau ‘oire ātea. « ‘Ua ‘āmui mai ihoa te mau ‘oire o te mau motu ātea, i roto i teie fa’anahora’a pi’i hia « Eau Potable ».
Nō teie taime, ‘aita te mau ‘oire i ineine atu ra nō te fa’a’ohipa i tā rātou mau ti’a rave ‘ohipa, i vaiiho noa ai rātou i teie mau taiete iti e rave i te ‘ohipa. E riro ra rātou i te ho’o i te mau mauiha’a i teie pu’e tau i muri nei.
TP
Tei roto atu ra i te fa’anahora’a pi’i hia PAPE (Partenariat pour la Potabilité de l’Eau) i fēruri hia i te matahiti 2010 ra e te aupūpū o te mau ‘oire, i te pitira’a o tā na tuha’a. ‘Ua tono hia atu i te hō’ē ti’a nō teie aupūpū, i te fenua Farāni, il te tuha’a ‘oire nō Limoges, i reira ‘ua ha’api’i nāhea ia fāfā ‘e te ‘ite atu i te mau tahera’a pape māu’a nā roto i te mau fa’atehaera’a pape . Inaha, mea rahi te fāito ritera pape o te māu’a noa ra i te fenua nei.
Te ‘imira’a i te pape e tahe māu’a nei, teie i tetahi tuha’a ‘ohipa hau roa atu nō roto mai i te mana o te mau ‘oire i te ‘ōpera’a i te pape mā. ‘Ua ha’amata a’e na teie ‘ohipa i te matahiti 2012, ‘ua tātuha’a a’e na hia i te mau ‘oire nā roto i tetahi tānūmera’a i te mau aroa, mau fare ‘e mau nohora’a, te reira i Raiatea, i Tumaraa ‘e Taputapuatea, tae noa atu i Tubuai ‘e Tahaa.
I teie mahana, ‘ua riro roa atu teie fa’anahora’a mai i te hō’ē ‘ohipa rū e ti’a ia rave hia, nō na ‘oire e 31 ihoa ra o tei noa’a hia īa rātou i te mana o te ‘ōperera’a i te pape mā. Ma te fa’ari’i i te reira fa’anahora’a, e fa’ahepo hia rātou i te rave i teie tuha’a hou i te matahiti 2016. ‘Ia ma’iri hia i taua tai’ora’a mahana, e fa’aūtu’a hia rātou.
Te mau fifi e riro i te noa’a mau nō te tāpura faufa’a o te hō’ē ‘oire
I te parau a te ‘aivāna’a ra o Vaihere Richmond, e ha’a nei nō teie aupūpū, « ‘aita tātou e ‘ite atu ra i te ‘ohipa e tupu, i te mea ē rave mau fifi e vai nei i roto i te ‘ōpuara’a ‘ōperera’a i te pape mā, tei roto i teie ‘ohipa ‘imira’a ‘e te fāfara’a i te pape māu’a, i teie fa’anahora’a. ‘Ia ‘ite mai tātou, ‘ua topa roa i te fāito pape e ‘ōpere hia ra i ni’a i te faito 30%, mea rahi terā. I mātāmua a’e ra, tei ni’a te fāito i te 80%. I teienei, tei raro roa i te 60%. E ha’uti ato’a teie huru fifi i te tāpura faufa’a o te hō’ē ‘oire. I tetahi pae, te māu’a noa ra i te pape, ‘e i taua taime ato’a, te pāumu noa hia ra i te pape. Māu’a ato’a i te moni nō te pāumu i te hō’ē pape o te tahe faufa’a ‘ore noa, te uira ihoa ra a ore ra i te mau tāta’īra’a i te mau māteni. Na reira, e topa ato’a atu teie fifi i ni’a i te tua o te mau ‘aimāmau. ‘Ia ‘āmui ana’e hia i te tā’ato’ara’a o teie mau fifi, e moni rahi terā e reva ra. »
Te mau fa’anahora’a ‘āpī ‘e te faufa’a
Nō te ha’amanuia i teie fa’anahora’a, ‘ua tĪtau hia i te mau taiete ‘ohipa. Ia hi’o ana’e hia i te tuha’a ‘ohipa o teie mau taiete ‘e te ‘ohipa e ti’a ia rave, e maere ri’i i te mana’o, mea ātea roa (mau taiete e ha’a nei i te pae ‘au o te ‘ihi ta’ira’a) teie ra, ‘e ‘ere roa atu i te reira. Te vai ihoa i tā rātou mau mauiha’a ta’a’ē nō te fāito i te teitera’a i te pūaira’a o te māniania. E noa’a ia fa’aro’o hia i te māniania o te topatapatara’a pape. Ta’a i te reira, te fa’a’ohipa ato’a hia nei i te māhū auahi nō te fāfā haere i te mau tahera’a papa e tahe māu’a nei. « Tei roto noa ra mātou i tetahi mau tāmatamatara’a. » o tā Vaihere i fa’ata’a mai.
Noa atu ra, mea huru pāpū roa i te mau nūmera tei noa’a mai, ‘aua’e māoti teie mau mauiha’a ‘āpī terā o te fa’a’ohipa hia ra i te rahira’a o te mau ‘oire nō Pōrīnetia farāni nei. Inaha, e rave hia i tetahi tāpūpūra’a i te mau ora, fare, nohora’a. E pi’i hia teie e “tātuha’ara’a ». Ma teie huru fa’anahora’a, e ‘ite ‘oi’oi hia ihea te pape e tahe ra. E noa’a ‘ia tāta’i ‘oi’oi. E tupu nei teie mau hi’opo’ara’a i te ārea pō : « …Nō te mea, terā i tetaima nahonaho maita’ai nō te fāito pāpū i te mau tahera’a pape māu’a. E na reira noa mātou, i roto i te mau ‘oire ato’a. »
‘Ua riro te SPCPF ‘ei piha hi’opo’ara’a nō te mau ‘oire ato’a. E au hia teie mau ravera’a nō te pāhono i te mau anira’a a te mau ‘oire ātea. « ‘Ua ‘āmui mai ihoa te mau ‘oire o te mau motu ātea, i roto i teie fa’anahora’a pi’i hia « Eau Potable ».
Nō teie taime, ‘aita te mau ‘oire i ineine atu ra nō te fa’a’ohipa i tā rātou mau ti’a rave ‘ohipa, i vaiiho noa ai rātou i teie mau taiete iti e rave i te ‘ohipa. E riro ra rātou i te ho’o i te mau mauiha’a i teie pu’e tau i muri nei.
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