ARUE, le 22 septembre 2014. Le sénateur sortant et sa suppléante Frangélica Bourgeois tenaient une conférence de presse ce lundi à midi à Arue sur les enjeux des élections sénatoriales de dimanche. L’UPLD estime que même si seuls les 713 grands électeurs prendront part au vote, le débat sur ces élections doit être public et exposé à tous.
Depuis plusieurs semaines Richard Tuheiava, candidat à sa propre succession au sénat fait la tournée des mairies. C’est en effet parmi les 48 communes et 98 communes associées de Polynésie que se trouve la plus grande partie des grands électeurs polynésiens qui iront voter ce dimanche pour les élections sénatoriales. Mais au-delà de ces rencontres, presque privées entre élus, le sénateur sortant pointe les enjeux de ces élections.
Au premier rang desquels une possible modification du code général des collectivités territoriales (CGCT) pour une applicabilité plus aisée des règles de la fonction publique communale en Polynésie. Il estime que l’ordonnance de 2005, modifié par la loi de 2011 rendant obligatoire le respect du CGCT est encore perfectible «C’est le sort des 4800 agents communaux polynésiens qui est en jeu et le fait que actuellement ceux qui ne sont pas intégrés au statut de la fonction publique communale sont des sous-hommes, des agents non titulaires» détaille Richard Tuheiava. En avril 2014, le sénateur polynésien apparenté au groupe socialiste majoritaire du Palais du Luxembourg a déposé avec plusieurs députés socialistes, une proposition de loi sur le statut général des fonctionnaires des communes de Polynésie. Et il ajoute que s’il n’est pas élu, ce texte se perdra aux oubliettes. «Si je ne suis pas élu dimanche, la proposition de loi tombe».
C’est ce bilan que le sénateur sortant veut exposer publiquement et de préférence en débat télévisé face à ses contradicteurs. «On a l’impression que la campagne des sénatoriales se fait derrière le dos de la population» estime-t-il alors que certaines questions la concernent directement. Aussi il réclame un débat télévisé public sur les chaînes locales, «je les provoque, je les mets au défi et qu’ils viennent me montrer ce qu’ils ont dans le ventre pour la nécessaire information des grands électeurs qui voteront dimanche. Les autres candidats n’ont pas de bilan, je ne sais pas de quoi ils parlent et ce qu’ils promettent aux grands électeurs». L’UPLD a fait ses comptes et estime que ces élections sénatoriales, en dépit de nombreuses municipalités Tahoeraa et parce que les candidats sont nombreux, sont loin d’être gagnées par le parti orange, comme une simple formalité.
Depuis plusieurs semaines Richard Tuheiava, candidat à sa propre succession au sénat fait la tournée des mairies. C’est en effet parmi les 48 communes et 98 communes associées de Polynésie que se trouve la plus grande partie des grands électeurs polynésiens qui iront voter ce dimanche pour les élections sénatoriales. Mais au-delà de ces rencontres, presque privées entre élus, le sénateur sortant pointe les enjeux de ces élections.
Au premier rang desquels une possible modification du code général des collectivités territoriales (CGCT) pour une applicabilité plus aisée des règles de la fonction publique communale en Polynésie. Il estime que l’ordonnance de 2005, modifié par la loi de 2011 rendant obligatoire le respect du CGCT est encore perfectible «C’est le sort des 4800 agents communaux polynésiens qui est en jeu et le fait que actuellement ceux qui ne sont pas intégrés au statut de la fonction publique communale sont des sous-hommes, des agents non titulaires» détaille Richard Tuheiava. En avril 2014, le sénateur polynésien apparenté au groupe socialiste majoritaire du Palais du Luxembourg a déposé avec plusieurs députés socialistes, une proposition de loi sur le statut général des fonctionnaires des communes de Polynésie. Et il ajoute que s’il n’est pas élu, ce texte se perdra aux oubliettes. «Si je ne suis pas élu dimanche, la proposition de loi tombe».
C’est ce bilan que le sénateur sortant veut exposer publiquement et de préférence en débat télévisé face à ses contradicteurs. «On a l’impression que la campagne des sénatoriales se fait derrière le dos de la population» estime-t-il alors que certaines questions la concernent directement. Aussi il réclame un débat télévisé public sur les chaînes locales, «je les provoque, je les mets au défi et qu’ils viennent me montrer ce qu’ils ont dans le ventre pour la nécessaire information des grands électeurs qui voteront dimanche. Les autres candidats n’ont pas de bilan, je ne sais pas de quoi ils parlent et ce qu’ils promettent aux grands électeurs». L’UPLD a fait ses comptes et estime que ces élections sénatoriales, en dépit de nombreuses municipalités Tahoeraa et parce que les candidats sont nombreux, sont loin d’être gagnées par le parti orange, comme une simple formalité.
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